Articles de yugcib

  • Que représente 1% de la population mondiale ?

    … L’on n’imagine pas – l’on n’a pas vraiment et immédiatement présent à l’esprit – que 1% de la population mondiale, ce sont 80 millions de personnes, soit à peu près l’équivalent de la population de l’Allemagne…

    Je n’ai jamais été très fort en calcul notamment lorsque, après deux ou trois chiffres il y a plusieurs fois trois zéros – et même d’ailleurs plusieurs fois trois zéros après un seul chiffre – et qu’il faut diviser ou multiplier par tant…

    Ainsi pour 8 milliards soit en chiffre : 8 000 000 000, si l’on ôte le dernier zéro à droite afin de diviser par 10, cela donne 800 000 000… Et divisons encore 800 000 000 par 10 pour obtenir 1%, ôtant le dernier zéro à droite, cela donne 80 000 000.

    Quatre vingt millions de personnes sur Terre – pour écrire ce nombre en lettres – qui détiennent la moitié si ce n’est plus, de toutes les richesses de la planète en biens mobiliers et immobiliers, cela représente des centaines de jets privés, des milliers de yachts de croisière, de châteaux et de belles demeures entourées de parcs immenses, de voitures genre Jaguar et Rolls Roye, et cela explique le nombre de toutes ces boutiques de luxe dont des bijouteries, des grandes avenues de capitales telles que New York, Londres, Paris, Berlin, Tokyo, Pékin, Hong Kong, Shangaï, Melbourne, Sidney, etc…

    Cela explique aussi le prix des terrains et des maisons sur la côte méditerranéenne ou atlantique française dans des régions telles que le Var, les Alpes maritimes, la côte Basque autour de Biarritz… Entre autres lieux similaires, sur la côte pacifique d’Amérique du nord, ou ailleurs, un peu partout dans le monde…

    Quatre vingt millions de personnes qui peuvent dépenser sans compter, dont les fortunes, non seulement immenses, sont parfois difficilement chiffrables du fait de revenus financiers qui s’ajoutent à tout ce qui est possédé, et qui sont comme des cours d’eau dévalant de multiples sources… Cela fait assurément une clientèle assez importante pour une consommation de produits, d’équipements et de services n’ayant rien à voir avec la consommation du “commun des mortels” de 8 milliards d’humains moins 80 millions d’entre ces humains…

    Alors, en ce temps d’octobre 2021, où l’on voit réapparaître des manifs et où les “manoufs” sont en perte de vitesse – des manifs c’est à dire des gens qui descendent dans la rue pour des conditions de travail, de salaire, contrairement à des “manoufs” qui elles, ne s’articulent qu’autour de revendications purement individualistes n’ayant pas grand chose à voir avec les conditions de travail et de salaires, ou avec la pauvreté et la misère, le chômage…

    En ces jours d’octobre 2021 je pose cette question :

    De quel côté se situe la plus grande violence, la plus grande agressivité, la plus grande arrogance, la plus grande prédation : de celui de 80 millions de privilégiés, possédants et dominants, ou de celui des manifestants, des grévistes, des bloqueurs de routes et de dépôts d’essence, des récalcitrants, de ceux qui font entendre leur voix, de ceux qui vivent dans la pauvreté et le font savoir ? …

    La véritable injustice n’est-elle pas, par exemple, celle d’accepter ou de concevoir comme si “ça coulait de source” et que “c’était donc normal et dans l’ordre des choses”, qu’en un an entre 2020 et 2021, les actionnaires ont gagné 40% de plus… Mais que depuis le 1 er octobre 2021, plus d’un million de chômeurs subit des baisses d’ allocations de 100, 200, 300 euros par mois, alors que ce million de chômeurs vit avec parfois moins de 600 euro par mois ?

     

  • Que reste-t-il du risque de décès par covid ?

    … Nous sommes, ce 6 octobre 2021, à 66% de la population vaccinée 2 doses…

    Il reste donc encore 23 millions de français non vaccinés dont environ, sur ces 23 millions, 8 à 10 millions de jeunes de moins de 16 ans…

    Le pass sanitaire étant encore exigé dans les restaurants, les salles de spectacle et de sport, les lieux culturels, c’est à dire en de nombreux endroits fréquentés par des dizaines, des centaines de personnes… L’on peut bien se demander combien de gens peuvent encore contracter le covid ! Et finalement, que demeure – t – il encore, du risque de décès dû au covid ?

    Alors, dans ces conditions, le port du masque partout, dans les centres commerciaux, dans la rue, sur les marchés, devient une aberration !

    Bon sang, jusqu’à quand (jusqu’en 2048?) les gens, tous, sans exception, vont porter un masque dans les Leclerc, les Intermarchés, etc. … ?

    Il faudra bien prochainement, que – pour commencer – il y en ait de ci de là, un ou deux qui se décide à entrer dans un Leclerc, un Carrefour, un Intermarché, sans masque ! Et que ces un ou deux là soient suivis par d’autres !

     

    … Si des remontées de l'épidémie sont hélas possibles dans les années qui viennent, alors le fait de devoir encore pour très longtemps porter un masque, rien que ce fait là, celui de devoir porter un masque, c'est bien là le "signe" (le signe le plus tangible et le plus présent) indiquant que le monde "ne sera plus jamais comme avant" (2020)... Car le monde sans masque était sans nul doute ce qu'il était déjà devenu... Mais le monde "avec masque", en plus d'être ce qu'il est devenu - et qu'il va devenir - a donc, en plus, le masque ! ... Mais il est vrai aussi, que des masques autres que ceux pour le covid, y'en avait déjà, bien avant le covid ... Et ceux là, ils sont bien plus insupportables, bien plus crétins, bien plus absurdes, bien plus "mauvaisement carnavalesques" que le masque covid - sous lequel par exemple, on peut imaginer (et en rêver) ce que l'on ne voit pas d'un joli visage de femme...

     

  • Dimanche 3 octobre fête des grands pères

    … Paraît-il – je viens tout juste de l’apprendre par Facebook en voyant un “placard” rose foncé avec dedans écrit fête des grands pères, dans le “défilement des nouvelles brèves” sur la page générale d’accueil – que c’était hier dimanche 3 octobre 2021, la fête des grands pères !

    “On en apprend tous les jours” ! À l’âge de 11 ans comme à l’âge de 73 ans ! Mon “immense” (rire) culture générale (rerire)… Faisait totalement abstraction de l’existence de ce “grand événement de célébration” que peut être la “fête des grands pères” (notez les guillemets)…

    La “fête des grands pères” ? JE M’EN TAMPONNE LE HARICOT !

    Merde au “gros gâteau” dont une part trop grosse, dans l’assiette de Papy, s’effondre lamentablement et dont la crème s’écoule alors que “loopingue” la mouche au dessus de l’assiette… Il fait chaud, et Papy, avec sa casquette de pépère sur son crâne dégarni, fait la Une, pris en photo par sa petite fille, de la “story” familiale…

    Ah, que ne s’est-on “pris la tête” pour le cadeau de Papy ! Bon, ça suffisait pas, la fête des grands mères de début mars je crois ? …

     

  • Vision personnelle du monde, de chacun de nous

    … C’est fou, absolument fou – et oh combien naturellement humain – ce que nous sommes tous, sans exception, dépendants de notre vision personnelle du monde, des gens, des comportements ; enclins à juger, à déplorer, à regretter, à reprocher, à condamner parfois, à nous faire à cette “idée première” qui nous vient, d’un proche, d’un ami, de telle ou telle personne de nos connaissances… “Idée première” qui, en quelque sorte, devient “idée enracinée” que nous conservons toute notre vie durant…

    Cette vision personnelle du monde, des gens, des comportements… S’est construite par l’éducation que nous avons reçue, par ce qui, dès la petite enfance, nous a impacté ; par nos croyances, notamment religieuses… Tout cela fondant cette culture en nous, en lien avec la culture environnementale, sociétale, à la quelle nous appartenons…

    Il est très difficile de parvenir à se situer “au delà” de cette vision personnelle du monde, des gens, des comportements, ou de s’en libérer, mais de s’en libérer cependant en demeurant attaché à ce qui, dans la vision personnelle, rejoint une vision “universellement partagée”…

    Toute cette culture en nous, en lien avec une culture environnementale, est “empreinte de morale” et de “principes”; se fonde sur ce que l’on définit comme étant le “bien” ou au contraire le “mal”…

    Culture “manichéenne” donc…

    Dont l’origine se situe dans l’Empire perse de la période Séleucide, avec le prophète Manès, de 216 à 274… Manès ayant été judéo chrétien par son père et zoroastrien par sa mère…

    Nous sommes dépendants de cette culture…

    Existe – t – il une “vision universellement partagée” ? Et, si elle existe, comment existe – t – elle ? … N’existe – t – elle pas comme par exemple un prisme dont on ne pourrait dénombrer les facettes toutes différentes les unes des autres en luminosité, transparence, éclat, couleurs, nuances de couleurs, scintillement… ?

    Parvenir à se situer “au delà” de cette vision personnelle “conditionnée” qui est la nôtre, ne serait-ce point parvenir à “saisir” en son ensemble, en son “boc” tout entier, le prisme aux multiples facettes dans toute la mouvance des éclats de toutes les facettes dont se dégage l’essentiel c’est à dire finalement, le “jeu de lumière” qui retient notre regard de la même manière que lorsque l’on voit briller une étoile dont on n’envisage pas la disparition…

     

  • Vibration de sphincters

    … Le monde “postcovidien” encore masqué et marqué en 2021 par 40% de dividendes en plus par rapport à 2020, versé aux actionnaires, vibre de tous ses sphincters en une musique générale qui berce les repus et les bâfrants et, en même temps secoue très durement les indigents, et crève les tympans des récalcitrants…

    … Tant qu’il y aura des “Messi” des PSG des gros banquiers des actionnaires et des dominants qui prédatent bien plus que des fauves de la savane africaine (lesquels fauves soit dit en passant sont en voie de disparition) ; tant qu’il y aura des ouvriers vosgiens dans une scierie qui ne gagnent que 1000 euro par mois en emploi partiel… Et des femmes de ménage de 55 ans qui ont mal au dos et se lèvent à 5h du matin pour prendre un bus les conduisant à une heure de leur domicile dans des bureaux à nettoyer…

    … Le monde demeurera aussi moche que le trou du cul d’une truie dont les sphincters vibrent et laissent échapper un vent puant et tenace…

     

     

  • La porte du bonheur est une porte étroite

    … “La porte du bonheur est une porte étroite”, chanson de Jean Ferrat..

     

    la porte du bonheur ...

     

     

    Paroles de Guy Thomas, parolier, poète et ami de Jean Ferrat, 1985…

    … Cette “porte du bonheur” si étroite, serait comme un “film” encore bien plus fin et plus transparent que par exemple, le film de plastique utilisé pour recouvrir les pots de confiture faite à la maison...

    Un “film” extrêmement ténu, transparent et traversable, entre deux mondes : l’un réel et l’autre imaginé ou rêvé ; tel un passage qui, à cause de sa transparence, de sa légèreté et de son absence d'épaisseur ; ne se voit jamais...

    Et parce que le passage ne se voit pas, nous croyons être dans le même et unique monde. Mais ce monde n'est que celui que nous connaissons.

    La vocation de l'artiste, du poète, de l’écrivain, du musicien, c'est de nous faire passer par les mots, par l'image, par le son ou encore par des objets confectionnés, comme à travers le “film”, dans l'existence de cet autre monde : celui que l'on ne voit pas.

    Mais cela ne veut pas dire que seuls, les artistes, les poètes, les écrivains, les musiciens, ont le pouvoir de nous faire passer au travers du “film” : toute femme, tout homme en ce monde, a une lumière en lui qui est, comme dans cette chanson de Johnny Halliday “quelque chose de Tenessee” ( texte de Michel Berger) ...

    Nous sommes ainsi faits que ; écrivant ou prononçant des mots, produisant des images ou confectionnant des objets ; ayant ou non une vocation particulière, nous ne projetons au delà de nous, le plus souvent, que de tous petits éclats seulement, de cette lumière en nous ; la plus grande partie de cette lumière en nous étant occultée par ce qui l’empêche de paraître, l’obscurcit ou la masque…

    Alors la vocation essentielle de toute femme et de tout homme en ce monde, comme celle de l'artiste en particulier, c'est de reconstituer le “puzzle” tout entier, de la lumière, en rassemblant les éclats dispersés de la lumière ...

    Et c’est le “puzzle”, tel que l’on parvient à le reconstituer, même s’il manque encore quelques éclats, qui fait le “film” transparent et traversable…

     

     

  • La “vie publique” sur la Toile, oui ; mais la “vie non publique” quant à elle, existe sans Facebook

    … Assez souvent, consultant la page générale d’accueil de Facebook à partir de ma page ; page d’accueil générale sur laquelle je vois défiler tout ce qui est posté d’heure en heure, je constate que parmi mes amis, proches et connaissances, il y en a quelques uns qui postent des anecdotes relatives à des événements de leur vie quotidienne, qui, certes peuvent être intéressants à connaître, mais dont le contenu me semble ne plus tout à fait être “du domaine purement public”… En ce sens que ces événements anecdotiques de la vie quotidienne, sont davantage de l’ordre de la “sphère privée” – voire même “intime” – que de la “sphère publique”…

    Et cela est d’autant plus vrai, ce que je dis là, en ce qui concerne des photos, des images, de petites vidéos où l’on voit, outre eux-mêmes bien sûr en tant qu’auteurs et producteurs de ce qu’ils exposent ; leurs enfants, des amis et des proches ou des connaissances d’eux…

    Si – à mon sens – la vie publique par tout ce que l’on exprime et produit, montre, expose, partage… Existe par Facebook, par les réseaux sociaux – en plus d’exister autrement que par internet c’est à dire dans la “vraie vie”… La vie “non publique”, quant à elle, existe sans Facebook, sans les réseaux sociaux…

    Et pour la vie “non publique” il y a un outil de communication et de partage – avec un ami, un proche, ou plusieurs personnes en même temps – fort bien adapté : c’est Messenger…

    Bon, il est vrai aussi que la différence entre ce qui ressort du domaine privé et ce qui est du domaine public, n’est pas toujours évidente, et que la limite soit en fait assez “poreuse” – ou comme un espace – frontière indéterminé, entre les deux domaines…

    Un autre outil de communication et de partage, peut être aussi, sur Facebook, Instagram ou un réseau spécifique (professionnel, d’activité artistique, culturel ou autre) une “page dédiée, plus personnelle on va dire” consacrée à une production de caractère autobiographique – ou relative à ce à quoi l’on se passionne dans la vie…

    Une “page dédiée” ou “spéciale” qui elle, ne peut – ou ne saurait avoir – les mêmes “suiveurs” ou les mêmes abonnés que ceux de la page “principale”… Quoique cette “page plus personnelle” soit en fait, accessible par les moteurs de recherche, et donc, consultable par tout le monde…

    D’où la difficulté – encore faut-il être conscient de cette réelle difficulté – d’une “œuvre autobiographique” à réaliser… Difficulté qui peut en partie être résolue dans la mesure où l’auteur que l’on est se place en position de narrateur – ou d’observateur ou de témoin – dans le récit anecdotique où les personnes dont on parle tiennent un rôle principal ou essentiel…

     

    … Cela dit, en ce qui concerne “des proches” – voire des “très proches”, ainsi que des amis et quelques unes de mes connaissances… Qui publient ce que l’on appelle des “story’s” en lesquelles ils se “racontent” et s’exposent ou font entendre leur voix s’ils chantent en s’accompagnant de musique, avec en arrière plan un décor particulier, ou encore qui se mettent en scène en une anecdote humoristique, en une sorte de “défilé de mode” (pour une fille, une jeune femme)… Qui postent également des productions tout à fait personnelles (par exemple des plats, des desserts, des mets qu’ils ont préparés ; ou se montrent dans un exercice sportif en plein agissement)… Qui se livrent disons à “quelques confidences”… “On va dire” que je ne suis jamais “trop sévère” ni trop critique à leur égard ! … C’est vrai, à partir du moment où “l’on ne fait de mal à personne”, et puisqu’il y a là, de toute évidence, du partage avec des connaissances… Pourquoi pas ? … Sauf que - l’on n’en est pas forcément conscient - ce que l’on expose peut être vu par n’importe qui…

    Là où, en revanche je suis beaucoup moins “pour”, c’est en ce qui concerne des photos de ses proches, de ses enfants, ou même des photos d’amis et de connaissances (sans leur avoir demandé s’ils acceptent )…

    C’est la raison pour laquelle sur ma page Facebook comme par ailleurs sur la Toile, l’on ne verra jamais en photo, de visage, de profil, en long en large et en travers… Que moi -même (et jamais avec un masque ni une casquette ni quoi que ce soit sur la tête… Et sans lunettes de soleil non plus )…

     

     

  • Ça roule ... Mais ne "baigne" point ! ...

    Embouteillage

    … Une “vue” si l’on peut dire, du “quotidien de vie” dans les villes du Sud Est de la France, en particulier dans la région de Toulon… Avec des embouteillages de véhicules de toutes sortes – dont de gros camions – en permanence, toute la journée et surtout le matin entre 7h et 10h, puis de 16h à 20h…

    Si t’es pas un “habitué du coin”, “rompu/féru” – et “fataliste par la force des choses”- un “bon GPS” -en l’occurrence “Waze” – te sera bien utile… Encore qu’il faille être assez réactif tant parfois, la “première sortie” à tel rond point, peut être confondue avec par exemple, un accès vers l’entrée d’un bâtiment commercial…

    Mais bon… “Waze” si tu te plantes, il “recalcule” !

     

  • Le Rhône à Valence

    Rhone

    … À Valence dans le département de la Drome, l’A7 longe le Rhône… Mais la photo n’a aucun rapport – autre qu’”indicatif” si l’on peut dire – avec ce que l’on peut voir en vrai, de ses yeux…

    Le mardi 28 septembre vers 15h, le Rhône était bleu vert profond… La largeur du fleuve est impressionnante…

     

  • Visibilité du massif du Mont Blanc

    Mont blanc

    … Le massif du Mont Blanc était visible depuis l’autoroute A6 entre Mâcon et Chalons sur Saône le jeudi 30 septembre 2021 entre 18h et 19h, plus précisément et dans sa meilleure visibilité lorsque le soleil déclinant se trouvait à environ 10/15 degrés d’angle au dessus de l’horizon ouest…

    Au delà de Chalons sur Saône en allant vers Dijon, il était encore visible lorsque le soleil rasait l’horizon ouest en des endroits sans relief, sans forêts…

    D’ordinaire, à cette distance là, depuis Mâcon et Chalons, on ne le voit pas…

    À noter que depuis le Hohneck 1363 m dans les Vosges, par temps ensoleillé et très clair, on le voit assez souvent…

     

  • Deux expressions à bannir

    … Parmi quelques expressions, ou formulations que l’on entend souvent, ou que l’on lit, il en est deux ( entre autres ) qui m’horripilent – et que je n’emploie jamais, que l’on ne lira jamais, de moi, de tout ce que j’exprime par écrit :

     

    - “Ça craint” et “ça baigne” …

     

    “Ça craint” pour dire d’une situation inconfortable, d’insécurité, qu’elle est dangereuse, périlleuse, cette situation…

    “Ça baigne” pour dire que l’on se sent bien là où l’on se trouve et avec qui, ou que tout va bien.

     

     

  • "J'aime"

    Cul de minou

    … “Ce n’est point qu’il paraît… C’est plutôt que cela est certain !

    En revanche si je montre les traces de pattes que je fais sur le parquet, les “j’aime” ne font guère de nombre à deux chiffres et encore moins de nombre à plusieurs chiffres…

    Cela dit, le “bon je tente” du minou de l’image ci dessus, ne m’incite point à “montrer mon cul” ni d’ailleurs à montrer mon minois en selfie avec un masque !”

     

  • Dans le souvenir ...

    … Dans le souvenir que nous conservons de ces personnes hors du commun, que nous avons aimées et connues tout au long de notre vie, un lien invisible mais réel s’est établi entre nous, qui avons chacun, des souvenirs de ces personnes…

    Car ce qui nous unit, c’est d’avoir compris que la relation humaine donne tout son sens à la vie… La relation humaine par ce qui la rend parfois difficile mais aussi par ce qu’elle apporte…

    Ce proche, cet ami, cette femme, cet homme que nous avons connu ; est en quelque sorte comparable si l’on peut dire, à une salle de travaux pratiques de physique… À cette différence près que les travaux pratiques sont des travaux de relation humaine…

    Il n’y a pas, cependant, de travaux pratiques en salle de physique, sans bris ou fendillement d’éprouvette, dans l’exercice…

    Il n’y a donc pas de travaux de relation humaine, faciles… Mais les travaux sont nécessaires, et s’y soustraire n’est jamais heureux…

     

  • Un "génocide culturel" à mon sens, "concevable"

    … Le seul et unique “génocide culturel” que je concevrais – sans aucun “état d’âme” et que j’organiserais, planifierais si j’en avais le pouvoir, ce serait d’éradiquer, de sortir des têtes des enfants à l’école, d’éliminer des bibliothèques, de la littérature, des librairies, des salles de cinéma en films, tout ce qui a trait à la sorcellerie, qui parle de démons ou de diables, tout ce qui a trait à l’occultisme, à l’ésotérisme, à la cartomancie, à la voyance, aux phénomènes étranges que l’on “explique” de manière non scientifique et non rationnelle notamment par des légendes faisant état d’êtres venus du ciel, de dessous de l’antarctique ou de sortes de créatures bizarres et imaginaires telles que gnomes, fées, anges, personnages en blanc et lumineux etc. ... ; j’éliminerais les horoscopes, il serait très mal venu et passible d’amende voire de poursuite judiciaire de demander à quelqu’un de quel signe il est…

    J’utiliserais tous les moyens techniques de fichage et de surveillance et de contrôle disponibles, nouveaux ou en expérimentation, ainsi que toutes les méthodes de conditionnement psychique, d’éducation et de formation de la pensée, afin de faire disparaître en l’espace d’une génération d’êtres humains, tout ce qui a trait à la sorcellerie, à l’occultisme, à l’ésotérisme, à l’horoscope, de telle manière qu’en vingt ans il n’en resterait plus rien dans les esprits, de tout cela, pour toujours et à jamais !

    Est-ce que ce serait, ce “génocide culturel” un “crime contre l’humanité ?” Y’en auraient quelques uns qui diraient, s’élevant contre mon projet culturo – génocidaire : “ Il faut sauver Harry Potter” !

    … Mais bon, entre Harry Potter et Mein Kampf caché dans une cave ou dans un trou dans un mur, je suis plus sévère et plus expéditif pour Mein Kampf planqué dans la cave ! (Tout en étant sévère et expéditif pour Harry Potter notamment en collection complète)…

    … Cependant, en ce qui concerne des faits observés, des guérisons de certaines infirmités ou affections invalidantes, de maladies jusqu’à des cancers… En ce qui concerne des pouvoirs ou des dons particuliers que peuvent avoir certaines personnes – et que le science n’explique pas (du moins pas encore) – il y a là “matière à réflexion” car il ne s’agit plus là d’occultisme ni de sorcellerie ou de magie… Mais de quelque chose que la science pourra un jour expliquer…

     

     

  • De la difficulté relation contact avec certaines personnes

    … Certaines personnes, question relation avec leurs proches voire même très proches, avec leurs amis, leurs connaissances, bon nombre de gens autour d’eux en général… Sont “difficiles”, bien plus “difficiles” que d’autres…

    L’on peut – à juste titre ou “surdimensionné” – reprocher à ces personnes là, leur manque d’attention, de considération, leur dureté, leur exigence selon leurs aspirations et leurs points de vue, à l’égard de leurs proches ou moins proches… C’est un fait…

    Mais assez souvent (pas toujours il faut dire) ces personnes là, difficiles question relation, ont un “meilleur d’elles mêmes” qui interpelle, qui étonne, voire qui déconcerte… C’est aussi un fait…

    Dans l’expérience qui est la mienne, toute ma vie durant, de ces personnes que j’ai connues, difficiles de contact et de relation, mais ayant en elles mêmes un “meilleur” qui m’a étonné, qui a retenu mon attention, il se trouve que 9 fois sur dix sans doute, je n’ai jamais eu à me plaindre de quoi que ce soit, de ces personnes, qui m’ont toujours bien accueilli et écouté, considéré, et avec lesquelles à aucun moment je me suis fâché… C’est ainsi… Et, curieux, étonnant on va dire…

    En revanche, des personnes qui dès l’origine, m’ont “encensé” ou admiré voire vénéré, m’ont suivi, lu, écouté, et ont été durant des années des amis “sans guillemets à ami”… Un beau jour, pour un dit, pour un écrit qui a choqué, déconcerté… Cela a été la “grande et irréparable fracture relationnelle”… Et ces personnes là n’étaient point des personnes “difficiles” question contact, relation… Avaient-elles un “meilleur d’elles mêmes” semblable à un “meilleur commun à bien de gens” ? Comme si un “meilleur de soi – même” peut être autrement qu’unique, exceptionnel ?