Articles de yugcib

  • La liberté d'informer

    Reportages

    … Avec les lobbies de l’Audiovisuel et de la Presse, qui ont la main sur tout ce qui se publie, se diffuse, se voit à la télévision, s’entend à la radio et qui oblige les journalistes, les chroniqueurs à se conformer à une “ligne éditoriale” – ou de convenance ; ainsi d’ailleurs, de la part des géants de l’information – presse – audiovisuel, à l’égard des gens ordinaires ayant la possibilité de s’exprimer dans les “courriers de lecteurs”, tribunes émissions publiques de radio, pages dialogue de journaux…

    Les députés élus de l’Assemblée Nationale, les maires et détenteurs de quelque autorité, personnalités du monde de la littérature… Qu’ils soient (les élus) “Macronistes” ou autres (quand bien même ils seraient “Mélenchonistes” – enfin tout ce que l’on voudra)… Tous les intervenants qui s’expriment sur tel ou tel sujet, à propos de quelque fait d’actualité que ce soit… Sont tous “profilés”, épiés, et n’ont qu’une liberté très réduite, quand elle n’est pas, cette liberté, empêchée, muselée, sous le coup de poursuites judiciaires… Ou assez souvent, comme reprise en compte par intérêt…

    C’est ainsi que, de plus en plus – on le voit bien d’une année à l’autre – les lanceurs d’alerte, les témoins de l’inacceptable, observateurs et rapporteurs de conditions de travail exécrables chez Free et chez LIDL entre autres, d’abus de toutes sortes des dominants, des exploitants, ne peuvent s’exprimer (s’ils y arrivent) sans risquer d’être condamnés par la Justice (souvent il faut dire, sur dénonciation anonyme ; ou encore par des robots, des intelligences artificielles logarithmées)…

    Cette loi sur le “secret des affaires”, avant d’être introduite dans les Textes, pré- existait déjà et exerçait sa pression sur les organes de presse et de diffusion de l’information.

    La démocratie, la vraie, celle qui est évoquée dans les Textes, dans les Ordres, dans les constitutions… N’a jamais existé, ou n’a été qu’apparente…

    La démocratie, la vraie, celle qui n’est pas une apparence, une illusion, reste à conquérir par la force, mais peut – être autrement que par la force des armes, que par les mouvements de foule et de meutes, que par des révolutions n’ayant d’autre conséquence que de substituer un nouvel ordre à un ordre… Et de nouvelles prisons à des prisons, de nouvelles exclusions à des exclusions…

     

  • "Iel" je t'emmerde !

    … Je hurle de rage à “IEL” et autant pour l’écriture dite “inclusive” !

    En pensée je brûle les nouveaux dicos qui ont “officialisé” le pronom “iel” !

    Je hurle haut et fort sur la place publique : “ nos éminents grammairiens et académiciens progressistes réformistes sont des assassins de la langue française !”

     

    … Il y a de ces colères très fortes qui s’apparentent à de la haine… Encore faut-il distinguer la haine contre des personnes – c’est à dire des êtres humains – de la haine contre des comportements, des agissements, des manières de penser, des pratiques, des idées (idéologies), des systèmes, des principes, des modes… Que l’on combat, contre lesquels on s’insurge…

    Le problème c’est que derrière des comportements, des agissements, des manières de penser, des pratiques, des idées, des systèmes, des principes, des modes ; il y a des personnes…

    À défaut de s’en prendre directement, frontalement, à des personnes – ce que l’on serait enclin à faire dans un agissement violent – on s’en prend à une représentation : en l’occurrence, à propos des acteurs en tant que personnes, de l’institution de l’écriture inclusive et du pronom “iel” désapprouvés, la “représentation” c’est le dictionnaire qui est mis en diffusion officielle, reconnue ; et que l’on souhaite détruire, brûler en pleine rue après l’avoir ôté de la librairie ou du magasin où ce dictionnaire figurait en rayon…

    Brûler, détruire, est un acte “fort” (de violence), un acte pouvant être qualifié de haineux, mais qui traduit, à mon sens, davantage un mouvement d’extrême colère ou de révolte, que de la haine proprement dite du ou des personnages en tant qu’acteur(s)…

    “Idéologiquement – ou philosophiquement” parlant, je pense que la haine ne peut être justifiée, ne peut être laissée, livrée à elle même… Elle peut juste, “à l’extrême limite” être “concevable” parce qu’elle est inhérente à la nature humaine (les autres êtres vivants que l’humain ne haïssent pas)…

    Inhérente donc reconnue en tant que réalité…

    Dans un certain sens, “il faut” – façon de parler- l’accepter, la haine, en tant que réalité (et par extension, accepter l’existence du mal)…

    Et de l’acceptation, de la reconnaissance, de la réalité de la haine, vient – ou peut venir- la conscience même de ce qu’elle est, de ce qu’elle implique, la haine… Alors s’ensuit – ou peut s’ensuivre – la réflexion sur l’implication…

    Alors s’ouvre, avec la réflexion, une “porte” sur ce qui n’a pas été exploré… C’est alors que la haine peut commencer à refluer…

     

     

  • Réflexion sur le langage écrit et parlé, sur les règles, sur les apports et sur les singularités

    … Les grammairiens et les académiciens, ainsi – parfois – que les tenants d’une littérature aux règles immuables et incontournables sur le plan de la logique, de la syntaxe, de la forme et du sens – en somme de la beauté, de la pureté, de la richesse, de la diversité et en même temps de l’unicité de la langue écrite (et parlée)…

    Non seulement les grammairiens et les académiciens mais aussi les auteurs, les écrivains et les poètes attachés “viscéralement” et inconditionnellement à l’authenticité, à la pureté de la langue – française ou autre… Tout en s’affirmant les garants de la pureté et de ce qu’il y a d’intemporel, d’immuable, de la langue – et qui selon eux, “n’est pas négociable”…

    Contribuent – parfois- à une ou à des évolution(s) de la langue… Soit par des apports, soit par de “nouvelles” formes (ou formulations)…

    Le “problème” que pose l’apport ou la “nouvelle” forme (ou formulation) dans le langage écrit (et parlé) est lié au rapport qui s’établit entre la règle, la logique, le sens, la perception et l’acceptation par le lecteur ou par l’entendant… D’une part ; et ce qu’apportent l’élément, le terme, la formulation, nouveaux et introduits dans le langage… D’autre part.

    Tout est dans ce rapport…

    Ce qui n’entre pas dans le rapport (qui, dans ce cas “déroge”, dérange, en s’écartant du sens, de la logique, en n’étant que de l’effet recherché, ou même en étant l’expression d’une singularité inhérente à la personnalité même de l’exprimant)… Ne peut, en aucun cas, être comme “officialisé” – en somme, entrer dans la normalité, dans la règle, dans le Dictionnaire… Mais doit demeurer indépendant (pouvant certes, être reconnu mais seulement reconnu en tant que singularité)…

     

    Si je hurle de rage à “iel” et à l’écriture inclusive ; si j’accuse (dans la colère) les grammairiens et les académiciens progressistes réformistes d’être des assassins de la langue française en se “fondant dans le moule” des modes, des engouements, de la modernité dans ses évolutions et en instituant et en officialisant de nouvelles règles…

    Je hurlerais autant de rage si, par exemple, les mêmes “décideurs” et arbitres et gardiens” devaient instituer et officialiser mes propres expressions personnelles et langagières, en somme la grammaire et le vocabulaire du personnage que je suis…

     

    La singularité peut être reconnue… Elle doit même l’être… Mais elle ne peut être “officialisée” ou devenir la règle, ou une règle…

     

     

  • La couleur

    Ils, elles

    N’annoncent pas la couleur

    Ils, elles

    Préfèrent la dissimuler la couleur

    Par le silence

    Par le non dit

    De peur que

    Ça fasse de brûlantes éclaboussures

    Et en retour de cuisantes giclures en projection

    Sur ta pomme

    De peur de

    Casser la relation

    De peur de risquer l’opprobre

     

    N’annonçant pas la couleur

    Ils, elles

    S’exposent à la suspicion

    Et en somme

    À ce qui fonde le supposé

    Et finalement

    À ce qui transparaît

    Du silence

    Du non dit

     

    Il paraît

    Que ne point annoncer la couleur

    C’est civil

    C’est de bon aloi

    À vrai dire

    Et je le dis

    Ça pue le cornichon vinaigré

    Et c’est fou

    Le cornichon vinaigré

    Ce que ça fait bander les narines

    Ce que ça conforte le goût

    Le goût qu’il convient d’avoir

     

    Mais

    Est-ce qu’annoncer la couleur

    Ça fait pas plutôt le Personnage

    Que l’Humain que l’on est

    Parce que si c’est que le Personnage

    C’est de l’imposture

    De l’imposture avec ou sans suiveurs

    Avec ou sans abonnés

    Avec ou sans tapements des mains ou des pieds

     

  • Le vélo électrique ne vaudra jamais ce cyclomoteur d'antan

    Mobylette

    … Sauf peut-être les VTT ou VTC électrique ayant le moteur au pédalier, plutôt qu’à la roue arrière… Et avec des rapports d’assistance électrique “éco – tour – sport – turbo” (au moins 4 niveaux)…

    Les batteries ? Pour les vélos et surtout pour les autos, ce n’est pas vraiment “écolo” vu la quantité de “métaux rares” qu’il faut extraire du sol dans les régions du monde où sont ces métaux ; sans compter le temps de chargement des batteries (plusieurs heures et “pompant” de l’électricité bien plus qu’une machine à laver)…

    Pour une autonomie, finalement, d’environ 70 à 80 km en vélo ( à condition de mettre la batterie en sourdine – zéro ou éco- durant au moins un tiers du parcours )…

     

    Ce cyclomoteur de jadis – qui pourrait être refabriqué et remis en circulation, a un moteur à deux temps consommant 2,5 litres de carburant (du mélange essence huile 3 ou 4% huile) par 100 km… La contenance du réservoir pouvant permettre de parcourir 150 km soit 2 fois plus qu’un vélo électrique…

    D’autre part, en ce qui concerne un certain effort physique tout de même, à faire ; lors d’un parcours relativement accidenté, par exemple un circuit ou un trajet comportant sur 50 km, 20 ou 30 km de montées, le cyclomoteur étant doté d’un pédalier, incite l’utilisateur à fournir une assistance musculaire afin “d’aider” le moteur…

    Vous ne trouvez pas que ce cyclo de jadis a “une meilleure allure” que les lourds et encombrants scooters que l’on voit de nos jours ? Une “meilleure allure” et une plus grande maniabilité ?

     

     

  • Coup de gueule du jour

    … Bon sang, mais d’où “ils” les sortent ces chiffres sur le nombre de contaminations au covid, en augmentation ces derniers jours ?

     

    Sachant que, pour le “quidam” que je suis multiplié par plus de 5 millions de mes concitoyens non vaccinés ainsi que par plus de 60 millions de vaccinés ; les uns non vaccinés pour la plupart d’entre eux ne se font plus tester (à 20 euro le test), les autres vaccinés se faisant encore moins tester pour savoir s’ils seraient porteurs (en effet en tant que vacciné je me fous complètement de savoir si je suis éventuellement porteur et en nul endroit où je me rends on exige que je prouve que je suis pas porteur, on me demande juste un pass sanitaire dont je dispose et que je présente là où il faut)…

     

    Et d’autre part – et c’est bien là un constat que l’on peut faire déjà pour soi même et autour de soi d’une manière plus que générale – si on se sent “un peu patraque, un peu fiévreux”, comme pour un rhume en somme, est-ce qu’on va consulter un médecin pour autant ? Et donc, si c’est le covid, qui le saura?

     

    Comment peut-on identifier le covid sans test, sans aucune analyse de laboratoire, seulement sur la base d’un diagnostic de type médecine générale, c’est à dire par auscultation ?

    Est-ce qu’un simple médecin de médecine générale peut, sans test, sans analyse ordonnés, diagnostiquer (comme il le fait pour une colique ou un rythme cardiaque anormal) une atteinte de covid ? Absolument pas !

     

    Alors dans ces conditions, vous comprenez, le chiffre sur le nombre de contaminations des derniers jours, est un non sens, ne peut révéler aucune réalité vraie !

    Les seuls chiffres valables et fiables sont ceux du nombre d’entrées en hospitalisations pour covid (dans ce cas oui, identifié par test et analyse) et le nombre de morts en service de réanimation…

     

    Et puis, pour vraiment “dire les choses à cru et à cœur et sans fioritures”… Depuis deux ans que ça dure cette histoire de covid, pour une maladie qui fait 2% de morts “officiellement” et sans doute le double voire le triple à l’échelle mondiale, cela n’en fera jamais autant, de morts, que le cancer, que la malnutrition, que les guerres, que la misère, que toutes les maladies graves et invalidantes réunies, tout cela, toutes ces vacheries abominables ayant un taux de mortalité supérieur à 50% !

     

    Ainsi pour une vacherie (le covid) qui tue à 2% et au pire à 5% de la population mondiale, et rend malade vraiment malade un dixième de la même population mondiale, l’on a pris tout un ensemble de mesures contraignantes qui ont foutu en l’air l’économie et la vie sociale, qui nous a tous “pourri la vie” et nous la pourrit encore ! Alors que tout le reste (le cancer, alzheimer, la malnutrition, la misère, les guerres, les maladies graves) nous pourrit la vie bien davantage dans un quotidien fait de drames et de situations suite à ces drames, très difficiles pour des dizaines, des centaines de millions de gens…

     

    Quelle disproportion ahurissante que celle de tout ce qu’on fait contre le covid en rapport avec la mortalité, avec la dangerosité réelle du covid!

    Et depuis deux ans, ces milliers d’heures de plateaux télé d’émissions notamment sur BFMTV, LCI, CNEWS, etc. autour du covid - des télés aux mains de grands lobbies de l’audiovisuel et de l’information… ( Télé tu – es – laid comme je dis )…

    Absurde! Délirant! Hallucinant, tout ça !

     

    Et ce qui me gave, dans tout ça, c’est de voir tous ces gens “vertueux et obéissants” souvent donneurs de leçons de morale à leurs façons qui se ressemblent toutes, qui, aussi stoïques que raisonnables, “font avec”, s’adaptent, et qu’on voit par exemple avec déjà le masque 50 mètres avant d’entrer dans la boulangerie ou le supermarché !

     

    Et pour conclure dans ce même mouvement de colère du jour… À tout ce qu’il faut subir à cause de ce putain de covid, en plus/en plus, y’a la campagne électorale, un autre genre de covid si l’on peut dire (la “Zemmourite”) et bientôt, premier semestre 2022, le mundial de foot au Qatar… Et, ce très prochain “black friday” fin novembre ou début décembre (avec bien sûr le masque et des pèrnohaux made in Bangladesh)…

    Enculatory Lavatory Vécécireur !

     

     

  • Silence ou révolte

    … Entre le silence et la révolte, je ne fais pas vraiment de différence : le silence n’est-il pas par lui même déjà, selon l’usage que l’on en fait – pour autant que l’on l’exprime et qu’il soit, le silence, pressenti ou réellement perçu – une forme de révolte ?

    Tout comme la révolte, le silence peut blesser, être mal perçu, indisposer, surprendre, vexer… Jusqu’à mettre fin à une relation…

    S’il y en a peut-être (ou sans doute) une, oui, de différence, entre le silence et la révolte, c’est dans le fait que le silence est plus violent, plus “laminant” dirais-je, que la révolte… Lorsque le silence est perçu dérangeant, accusateur, et donc lorsqu’il condamne sans que soit dit ou écrit un seul mot…

    Quoiqu’il en soit, du silence ou de la révolte, autant l’un ou l’autre perçu – et même “subodoré”- il est “interpellant”, il questionne, il “remet en cause” ce qui fonde une vision que l’on a, que l’on se fait, à propos de ceci ou de cela que l’on croit…

    Il n’est pas sûr qu’il “rectifie”, il n’est pas sûr qu’il change quoi que ce soit dans nos comportements, dans nos croyances, il est comme une gifle reçue ou comme un coup de règle plate sur les fesses, et après que cela eût bien cuit la peau, l’on remet un boulon dans le porte projectile du lance pierres…

     

  • Les étrangers

    Les etrangers

    … En voyant cela, j’ai pensé à une pub – que l’on ne voit plus parce que les pubs ça va ça vient et qu’il en sort sans cesse des nouvelles à la pelle – une pub qui doit dater des années 2006, 2007… Qui représentait en une affiche de 4 X 4 mètres, Johnny Halliday OPTIC 2000 promo lunettes…

    Je m’étais dit à l’époque : “Si OPTIC 2000 avait pris MA POMME au lieu de celle de Johnny Halliday, pour son affiche de pub, ça lui aurait coûté beaucoup moins cher à OPTIC 2000 !”…

    En effet, j’aurais “posé” dans l’atelier photo de la célèbre marque de lunettes (que tout le monde connait et dont on voyait partout, dans les abris de bus, la grande affiche 4 X 4)… Pour un tarif disons, de quelques centaines d’euros seulement…

    En conséquence, OPTIC 2000 aurait réalisé une économie substantielle en me prenant, moi Yugcib (ou Guy Sembic) sur la Toile, plutôt qu’une “bête de scène” telle que Johnny Halliday… Bon, ça c’est “un volet” de la conséquence… L’autre “volet” étant celui lié au fait que “ça faisait en même temps de la pub pour “l’homme d’écriture que l’on peut apercevoir sur la Toile car, en lieu et place d’avatar, c’est ma pomme que l’on voit, en vrai de vrai (rire)…

    Cela dit, d’aucuns m’auraient rétorqué : “oui mais Johnny Halliday en 4 X 4 Optic 2000, ça fait plus d’effet qu’un type dans mon genre, c’est pourquoi Optic 2000 préfère payer très cher la pomme de Johnny Halliday pour vendre ses lunettes”…

    Comme quoi, du fait que dans la réalité les gens ayant besoin de lunettes, ce qu’ils voient le plus dans l’affiche, c’est sa dimension et l’endroit où elle est collée (par exemple un abri de bus en grande métropole urbaine)… Au fond, Johnny oui, ça tape, c’est percutant c’est vrai, mais c’est peut-être pas ça qui détermine… Alors autant qu’OPTIC 2000 à l’époque, m’eût pris, moi, plutôt que Johnny!

    Allez, je veux bien “poser” pour une grande marque : je prends pas cher, je suis très compétitif ! Je fais même “au black” si on veut ! Sans contrat!

     

    … À propos de ces gens, étrangers, maghrébins pour la plupart, si mal perçus mais “faisant les affaires” des patrons et des propriétaires de domaines agricoles, viticoles… Qui les prennent “au noir” pour des tâches pénibles sans qualification… Je me souviens de cette information qui, à l’époque, dans les années 1960/1970, circulait et était à la connaissance de tout le monde :

    Les gros viticulteurs et propriétaires terriens de grands domaines, dans le midi de la France, Languedoc, Roussillon, Provence, employaient pour des salaires de misère, à l’heure ou à la journée, sans contrat, “au noir” donc, des quantités de maghrébins, en général des marocains et des algériens venus clandestinement en France, pour effectuer ces travaux pénibles qu’aucun Français à l’époque n’aurait accepté de faire…

    Ils étaient “logés”, tous ces gens, dans des “algécos”, des baraquements en tôle ou en bois, et travaillaient dans les champs, dans les vignes, du matin très tôt au soir tard, par tous les temps, en hiver, avec le gel et la neige, le grésil, le vent…

    “Comme par hasard” ces grands propriétaires et ces gros patrons vignerons, ils étaient tous pour le Front National, anti migrants, n’aimaient pas les Arabes, qu’ils prenaient pour des voleurs et des feignants, avaient soutenu les gros colons en Algérie, et sans cesse dans leurs propos, disaient qu’il y avait trop d’immigrés en France…

    Cependant, ils étaient les premiers à utiliser cette “main d’œuvre” bon marché, qui ne leur coûtait rien en prestations sociales et en “charges” ; ils les faisaient même venir d’Afrique du Nord par des réseaux de passeurs…

    Je ne pense pas que “cela a beaucoup changé” 50 ans plus tard! Quoiqu’on dise (les gouvernements, les autorités, etc.)… Des mesures prises au sujet de l’immigration et des politiques menées depuis 50 ans…

     

     

  • Les réseaux sociaux, un terreau

    … Il peut paraître à juste titre, déplorable, que les réseaux sociaux puissent être comparés à du terreau favorisant le développement de ces pousses nauséabondes que sont la traque et la délation…

    Ce qui, il faut dire, est “manifestement le cas”…

     

    Cependant, faut-il s’offusquer lorsque traque et délation visent des “cibles” telles que, par exemple, des mutileurs de chevaux ou des pédophiles avérés ?

    Et même, “encouragent” à la constitution de patrouilles et de groupes organisés, pour s’en prendre par “opérations et agissements violents”, à des personnes absolument indéfendables et dangereuses, telles que des pédophiles avérés ?

     

    Une majorité de gens en France et ailleurs, ne “fermerait – elle pas les yeux”, sur ce genre de traque et de délation à l’encontre par exemple, de mutileurs de chevaux et de pédophiles avérés, traque et délation qu’au fond d’eux mêmes ils concevraient de “laisser faire” ?

     

    Ce qu’il y a de sûr – je l’exprime ainsi publiquement et j’assume – c’est que, question “cibles” ou “boucs émissaires”… De tout temps à jamais, l’on n’a jamais visé ou tiré sur les cibles qu’il aurait fallu viser… Toujours “celui qui pense et qui vit pas pareil et qui gêne”, les Juifs, les Homosexuels, les migrants, toutes sortes de gens “en marge de la société”, et même jusqu’à des handicapés, des personnes fragiles et “un peu dérangées”, etc… J’en passe y’en a des quantités…

     

    Les “vrais/vrais dangereux”, les vrais prédateurs, les vrais inacceptables, les vrais indéfendables… En vérité – c’est ce que l’on constate – sont considérés comme des malades qu’il faudrait soigner, et, “bizounoursement parlant”, l’on croit qu’ils pourraient être “récupérables”…

     

    L’on ne fait guère preuve d’autant d’humanité, en comparaison, hélas, et fort injustement, envers les juifs, les homosexuels, les “pas catholiques” qui dérangent, et même dans la société “civilisée” où l’on vit, des handicapés lourds, des personnes fragiles (d’ailleurs délaissées et méprisées jusque de leurs proches)…

     

    Soit dit en passant, à propos d’indéfendables et de cibles à viser… Jamais non plus trop, à l’égard des multi milliardaires, des actionnaires, des dominants possédants décideurs, de ces personnages à la tête des Big Pharmas et autres redoutables et exécrables prédateurs humains n’ayant rien d’humain… Qu’il conviendrait d’éliminer radicalement de la surface du globe, avec les pédophiles et les plus cruels et barbares des assassins, et quelques affreux et dangereux voyous, caïds, meneurs de bandes, ennemis de la France et de la société, gens totalement irrécupérables et forcément récidivistes lorsqu’ils sont relâchés au bout de 10 ou 15 ans !

     

    Il n’y a jamais eu d’”épuration convenable” ! Sauf peut-être sous la Révolution avec la Terreur en 1793, ou dans les débuts du Bolchevisme après octobre 1917… Sans doute certes, d’effroyables époques, durant lesquelles des innocents ont péri, mais tout de même où un certain nombre de vrais salauds ont été, durant la Terreur, “raccourcis”, et sous les Bolcheviks, jetés dans des camps en Sibérie, ou “passés par les armes”…

     

    L’extrême violence en tant que “moyen” de lutte contre l’inacceptable, notamment durant des périodes troublées, de crise sociale, de révolution, de désordres… Est parfois hélas, comme un “passage obligé”, incontournable, dans un certain sens “purificateur”, mais le plus souvent il faut dire, occasionnant “quelques dégâts collatéraux”…

     

    L’extrême violence donc, en tant qu’étape, n’étant que provisoire, mais ne devant jamais par la suite, être durablement instaurée, planifiée, organisée…

     

     

  • Actualité covid, suite et suite ...

    … Que signifie : “il faut protéger 15% de la population française” (contre le covid), soit 15% de non vaccinés ?

     

    Toute la réponse – exacte- réside dans ce constat :

    15% de la population française, suffit pour que les hôpitaux arrivent à saturation suite à un afflux de malades du covid…

    Cela veut dire qu’il n’y a pas, avec seulement 15% de la population, suffisamment de lits et de personnel médical pour faire face à un afflux de personnes atteintes de covid dans des formes graves nécéssitant leur prise en charge en service de réanimation…

    C’est dire, rien qu’avec 15%, de l’insuffisance manifeste, évidente, des moyens, en lits disponibles, en personnel médical !

    Alors qu’est-ce que cela serait si, au lieu de 15% c’était, comme en Autriche ou pire en Roumanie, de plus de 35% ?

    Le “vrai scandale” il est là : dans l’insuffisance des lits et du personnel médical ! Et il est aussi dans le fait que des traitements efficaces contre le covid y compris des formes graves, indépendemment de la vaccination, ne sont pas prescrits, ou appliqués!

    En revanche, brancher d’un tas d’appareils technologiques avec de la tuyauterie dans tous les orifices, à des malades transformés en cosmonautes extraterrestres sur des lits médicalisés ou des chariots, et faire des gros plans de reportage sur les télés… Ça, “on sait faire” !

     

     

  • Actualité covid, suite ...

    … Venant d’apprendre (JT de 20h France 2, dimanche 14 novembre), qu’en Autriche l’on oblige les non vaccinés ( 35% de la population) à rester confinés chez eux (sortie uniquement autorisée pour achats produits alimentaires et de première nécessité), et trouvant cependant, tout de même, cette mesure “un peu sévère”, je ne suis pas outre mesure “choqué” par cette décision prise dans ce pays à l’égard des non vaccinés…

    Autrement dit je “ferme ostensiblement les yeux” à la connaissance de cette mesure… N’étant guère, je l’avoue (ou ne me sentant guère) solidaire des non vaccinés…

    Si en France l’on devait adopter une telle mesure à l’égard des 15% de gens non vaccinés, je ne désapprouverais donc pas…

    Ce qui, vraisemblablement, obligerait les non vaccinés, comme en Autriche, à présenter une autorisation de sortie pour nécessité (achat de produits indispensables)… Et à défaut, se voir infligés d’une amende…

     

    D’autre part, la France, confrontée à un reprise de la pandémie de covid constatée dans les pays limitrophes (Belgique et Allemagne notamment), la France qui a le taux d’incidence le moins élevé (98 pour 100 000) – forcément puisque chez nous en France, 85% de la population est vaccinée – va se montrer plus sévère au passage de ses frontières à l’égard des autres européens, et, cela, oui, j’approuve…

     

    “Ras le bol” depuis le début de cette pandémie de covid, et surtout depuis que de plus en plus de gens sont vaccinés, de devoir encore supporter en tant que vacciné, sous prétexte que l’on peut quand même être porteur du virus… Et le masque, Et toutes ces mesures contraignantes, Et “devoir faire attention” etc… Ras le bol !

     

    De surcroît, si le gouvernement en France n’envisage pas un autre confinement concernant l’ensemble de la population (comme ce fut le cas pour le dernier cette année), ce nouveau confinement n’a pas pour autant été exclu… Ce qui signifie que si cela devait être le cas, alors en dépit de 85% de la population vaccinée, il faudrait encore s’y résoudre et le supporter, ce confinement “sans distinction entre les vaccinés et les non vaccinés” ! Un comble! Si cela devait avoir lieu j’appelle les vaccinés que nous sommes à 85% d’entre nous, à manifester en masse dans toutes les villes de France et de s’opposer avec fermeté et résistance aux contrôles policiers ordonnés dans le cadre de ce confinement possible, absurde, totalement injuste !

    Nous en sommes à un stade, vu le nombre de gens vaccinés, où l’on peut “le laisser courir jusqu’à ce qu’il s’éteigne de lui-même, ce putain d’covid” !

     

    De toute manière, et que personne ne me dise le contraire… Le cancer et alzheimer font bien plus de morts que le covid! (Rappel : mortalité covid en France 2%, cancer 50% sachant que les autres 50% mourront quand même pour les trois quarts d’entre eux, dans les 5 – 10 ans qui viennent)…

     

    Me déclarant non solidaire des 15% de Français non vaccinés, je reconnais cependant qu’une telle déclaration exprimée publiquement, est disons “plus aisée” à exprimer lorsque l’on n’a pas dans son entourage proche, des parents et des amis non vaccinés… En effet, un quidam que l’on ne connaît ni d’ève ni d’adam, non vacciné, atteint de covid, “on s’en fout” (prétendre ne pas être indifférent est hypocrite)…

     

     

  • Alimentation, médicaments

    … Si la consommation de tabac, d’alcool et de drogues telles que le canabis… Et de tant d’autres choses “très mal vues, interdites en lieux publics ; choses sujettes à leçons de morale répétitives et à discrimination”… Est, certes, tout cela, nocif à la santé…

    Alors pourquoi ne déplore – t – on pas avec autant d’énergie combative, pourquoi ne dénonce – t – on pas avec autant de vigueur et de détermination…

    -Le paracétamol présent dans le doliprane, dans l’efferalgan, dans le dafalgan, dans l’actifed, dans l’humex, dans le fervex… Que tout le monde prend contre la douleur, contre les rhumes, contre la fièvre… Qui rapporte 6 milliards de dollars par an aux géants de l’industrie pharmaceutique… Et sont tout aussi nocifs à la santé, provoquant des maladies du foie et des reins notamment ? …

    -Les additifs, colorants, antioxydants, exhausteurs de goût… Présents dans la plupart des produits alimentaires vendus non seulement en grandes surfaces commerciales mais aussi dans les épiceries, boulangeries, boucheries charcuterie en ville… Et même en “alimentation bio”… Tout cela représentant en moyenne par an et par personne, une consommation d’environ 4kg… Produits ultra transformés de l’industrie agro alimentaire aux mains de grands groupes internationaux réalisant des profits considérables ? Également nocifs à la santé, responsables de nombreuses pathologies dont les cancers et la maladie d’Alzheimer ?

     

  • Un "drôle de rêve", nuit du 10 au 11 novembre

    … Toujours, dans ce “genre de rêve”, présent et passé – et parfois futur, et personnes vivantes ou disparues, et décors, environnements, et situations en général sensibles ou dramatiques, se superposent, se lient, se mêlent…

    Et presque toujours le “personnage central” que je suis dans l’ histoire, est soit un adolescent, soit un jeune adulte, rarement âgé de l’âge que j’ai…

    Voici :

    C’était lors d’une sortie en bord de mer, un rivage rocheux, de plages étroites recouvertes d’un sable caillouteux, en compagnie d’amis hommes et femmes dont l’une était C…, morte accidentellement il y a plus d’une dizaine d’années, une amie avec laquelle j’étais très lié…

    Nous étions venus en voiture jusqu’à ce bord de mer, et chacun, du groupe, venait de se mettre aux pieds ses grosses chaussures de marche…

    C… Ne s’était pas munie de chaussures de marche, n’ayant aux pieds que des sandales de toile et de corde…

    Visiblement, trois amis de notre groupe, semblaient pressés, sortis de la voiture, de se rendre sur les rochers qu’ils s’apprêtaient à escalader, en “joggant”…

    Un peu moins rapide d’exécution dans mes gestes, que les autres, j’avais eu un peu de mal à nouer les lacets de mes chaussures, et préféré opérer assis que debout…

    C’est alors que C… Dépitée de n’avoir que de légères sandales pour entreprendre cette marche sur les rochers, nous dit qu’elle nous attendrait à proximité de la voiture…

    Je me disais “et si je lui prêtais mes chaussures” ?

    J’hésitais, parce qu’il me fallait à cet effet, perdre du temps – et cela représentait un effort- à me défaire de mes chaussures, alors que les autres “piaffaient d’impatience”, sautillant sur place…

    Finalement je dis à mon amie C… “Je te prête mes chaussures, je prends tes sandales… Mais toi, tu fais du 37 et moi du 43, tu devras “un peu nager” avec ton 37 dans mes godaces ; t’as qu’à compenser avec du sopalin (dont on avait un rouleau dans le coffre de la voiture)…

    Et C… Me répondit “Oui, mais dans mes sandales, mon pauvre, t’auras les talons dans les cailloux !”…

    Bah, répondis-je, tant que ce ne sera pas dans du caca de toutou…

    Déjà, les trois autres étaient partis, “joggant” sur les rochers…

     

     

  • Actualité covid novembre 2021 en France

    … Est-ce que 85% des Français, vaccinés contre le covid, doivent “veiller” à ce que 15% de Français non vaccinés, ne contractent pas le covid par “porteur – vacciné- interposé ?

    Autrement dit, afin de “protéger” au mieux ces 15% de Français non vaccinés (dont la plupart il faut le dire sont des “irréductibles” (des “anti” déterminés) ; faut-il continuer à “faire attention” pour le cas où dans notre entourage, il y aurait une ou deux personnes de ci de là, dont ne ne sait pas qui elles sont ; “faire attention” c’est dire porter un masque dans la rue, dans un lieu non fermé, accepter encore des mesures “générales” contraignantes…En tant que vaccinés ? …

    Quoiqu’il en soit, avec ce “putain de covid”, j’ai toujours pensé que dès l’origine, fin 2019 et début 2020, il y avait dans cette “histoire” “quelque chose de pas catholique” dans ce virus…

    Et par la suite au fil des mois écoulés, le seul fait selon lequel 10% de gens contaminés n’ayant pas contracté une forme grave (ce qui représenterait environ – en France – plus de 600 000 personnes) ont eu par la suite des séquelles (lésions de tissus cérébraux, troubles neurologiques, toux chronique, essoufflements, douleurs thoraciques, troubles digestifs entre autres)… M’incite à penser que ce virus – de la famille coronavirus comme les virus grippaux- ne se comporte pas de la même façon que les autres virus de cette même famille…

    Est-ce “naturel” ?

    En ce qui concerne les déterminés, irréductibles, farouchement opposés à la vaccination, ils n’ont pas, tout comme d’ailleurs les favorables et pro vaccin, toutes les informations qu’il conviendrait d’avoir…

    Il y a cependant un point sur lequel d’une certaine manière je les “rejoins” (si je puis dire), c’est sur celui relatif à la “politique” fondée sur le profit des “Big Pharma”, absolument gigantesque, révoltant, indécent…

    Pourraient-ils, ces irréductibles, le demeurer avec autant de conviction personnelle, si la vaccination covid avait été considérée comme un “bien humanitaire” devant faire l’objet d’une diffusion, d’une gestion, par l’ensemble de la collectivité humaine, et non pas par des grands groupes privés avec dirigeants, décideurs et actionnaires ?

    À l’origine, du temps de Louis Pasteur, et encore durant la première moitié du 20 ème siècle, il n’y avait pas ces “Big Pharma”…

    Ma “conviction personnelle” sur l’utilité et sur l’efficacité du vaccin (des vaccins), s’articule sur les travaux de Louis Pasteur et de ses successeurs et chercheurs, scientifiques… Et donc, sur les résultats obtenus grâce à ces travaux de recherche…

    J’imagine tous ces irréductibles, actuellement 15% de gens, devoir accepter de ne plus pouvoir, sans “pass”, accéder à des cinémas, des salles de spectacle ; prendre des trains, des avions, d’utiliser les services de transport en commun (les bus, métros, tram, en ville)… Et pire, ne plus pouvoir – sauf en cas d’évacuation en urgence sanitaire – se rendre à une consultation en centre médical, en hôpital pour une intervention programmée, pour une visite à un proche, etc… Quelle galère ! Et quel risque pris en l’absence forcée, de suivi médical, d’examens préventifs, pour chacune de ces personnes résolument réfractaires à la vaccination…

    Ainsi, d’un côté le “pass” assure, certes, mais d’un autre côté, il s’avère “contre productif” puisqu’il prive de soins et de suivi, des gens susceptibles de se voir atteints de cancer ou d’une autre affection grave, par absence de consultation et d’examen préventif ou diagnostiquant…

    Je déplore que, depuis le début de la vaccination et ensuite depuis l’instauration du pass sanitaire obligatoire, il y ait toutes ces crispations, ces discriminations, ces conflits, ces agissements agressifs, des uns et des autres… Et si peu de vraie réflexion, de volonté à “comprendre au mieux les choses”… Et, il faut le dire, d’absence de certaines informations (non communiquées, ou faussées ou passées sous silence)…

     

     

  • La conscience de l'existence de l'autre

    .. La conscience réelle de l'existence de l'autre, de ce dont cet autre est constitué, pouvant être comparé à l'arbre fait de son ’écorce recouvrant le tronc et de son bois sous l'écorce jusqu'en son cœur ... N'est pas innée en nous, ne l’est jamais, innée en nous, à vrai dire...

    Il est plus difficile de l'acquérir, cette conscience réelle de l'existence de l'autre, que de réussir ou de construire sa vie.

    Mais la conscience de l'existence de l'autre, ne rend pas forcément meilleure, plus profonde, plus durable, la relation à l'autre...

    Elle est comme un point lumineux que notre regard parvient à percevoir, sur une ligne d'horizon parcourue de cimes de différentes formes, et de brumes de diverses nuances de blanc, de gris, de bleuté, parfois de quelques incandescences au moment où le soleil se lève ou se couche...

    Le point lumineux, perçu, révèle – peut-être – l'existence d'un passage, le passage par lequel s'ouvre, ce "monde de l'autre" qui, habituellement et surtout par individualisme et par une conscience surdimensionnée, aiguë de soi, nous est étranger...