Articles de yugcib

  • Le NPA en perte d'électeurs

    … J’ai été, disons, “assez satisfait” d’apprendre que le NPA (Nouveau Parti Anti Capitaliste) perdait de ses électeurs au profit de Lutte Ouvrière…

    Du temps où le NPA s’appelait “Ligue Communiste Révolutionnaire”, je le trouvais plus “crédible” – si l’on peut dire …

    Mais depuis qu’il est NPA, je le trouve “pas du tout anti islamisme, anti port du voile, enfin, trop complaisant avec les islamistes, trop pour des “complaisances au nom d’une liberté discutable” (en gros une espèce d’anarchisme où je ne m’y retrouve pas, que je considère comme une mauvaise copie, déformée, de l’anarchisme)…

    Et en plus, dans le contexte de violences commises ces derniers temps, contre des policiers qui, en l’occurrence n’étaient pas dans la répression brutale et arbitraire (ce qui peut arriver, mais là dans le contexte actuel ce n’était point le cas) ; l’affiche de Philippe Poutou “ Pas lui” qui en a choqué plus d’un… ça peut plus être un parti “crédible” que le NPA !

    En revanche – mais de ma part “dans une certaine nuance cependant”, j’aime mieux (façon de parler) Lutte Ouvrière, parti – je ne m’en cache point – pour lequel je votais au 1er tour des élections présidentielles avant 2012…

    Mais là aussi, en ce qui concerne ce parti, je souhaiterais qu’ils soient encore plus virulents qu’ils ne le sont, à l’égard des religions… Je pense qu’ils mettent bien en avant le statut de la Femme (qu’ils affirment être l’égale de l’homme et qui, comme ils disent, comme je le dis, n’est pas vraiment l’égale pour les salaires)… Je suis d’accord avec beaucoup de leurs revendications, je trouve que leur anarchisme est une “moins mauvaise copie” que celle du NPA… Mais, tout de même, ils ont “un peu trop” à mon sens, de complaisance, d’acceptation (toujours au nom d’une liberté discutable) à ce que des femmes musulmanes paraissent voilées dans l’espace public…

    Du coup, depuis 2017, au premier tour des élections présidentielles, ils n’ont plus ma voix…

    J’ai essayé d’imaginer (pour rire “un peu scabreux” on va dire) un bolchevisme à la soviétique octobre 1917… Tous ces gens là, ces islamistes radicaux, avec quelques voyous, fanatiques religieux, et bien sûr quelques milliardaires et gros actionnaires dans le lot… Ils se retrouveraient dans des goulags, ou pour certains, devant un peloton d’exécution… Mais bon… Ce ne sont là que des propos…

     

  • La mémoire, le souvenir

    … Notre mémoire est une sorte d’armoire dans laquelle sont rangés tous nos souvenirs.

    Avec le temps qui passe, l’armoire ne s’agrandit pas, elle est toujours la même depuis notre enfance.

    La seule différence qu’a l’armoire entre le temps de notre enfance et le temps de notre vieillesse, c’est que nous lui avons ajouté des étagères parce que les souvenirs sont devenus plus nombreux.

    Les souvenirs ne disparaissent jamais. Ils s’accumulent sur les étagères et de temps à autre, l’un ou l’autre ou plusieurs d’entre eux, que nous n’avons pas forcément extraits de l’étagère d’en dessous, de celle du milieu ou de celle du dessus ; par quelque glissement inattendu, surgit à notre vue.

    Tous les autres souvenirs les uns sur les autres rangés sur les étagères, qui peut-être et même certainement, un jour surgiront ; par glissement inattendu ou par extraction volontaire, sont comme endormis…

    Mais il y a des souvenirs, nombreux, qui demeureront toujours endormis… Des souvenirs de visages, en particulier…

     

  • Les mots qui n'ont pas été dits

    … Les paroles qui n’ont pas été dites, de tout le vivant de chaque personne, par les autres, en particulier des proches et des amis, à celui ou celle avec qui on a vécu, que l’on a connu ; parfois durant des années… Font dans les cercueils, des morts dont la pesanteur exerce sur les accompagnants au moment des obsèques, une force qui, lorsque ces morts étaient encore des vivants, ne s’exerçait pas…

    La pesanteur alors, est faite de tout ce dont on se souvient, qui nous a laissé indifférent, silencieux, qui nous a paru étranger à nous-mêmes, n’a pas été dans nos aspirations et donc jamais partagé avec celui ou celle qui, lui ou elle même, n’ a jamais rien dit – mais a cependant, comme le petit poucet dans le conte, semé des cailloux le long du chemin…

    Et tout ce dont on se souvient alors, le temps des obsèques, dont la pesanteur est réelle, qui fait les regrets, les “si j’avais su”… Le vent de la vie qui court, l’emporte après l’avoir fait tourbillonner un temps indéterminé, comme des feuilles mortes sur le chemin où l’on continue d’avancer…

     

  • Si les gens heureux ...

    … Si les gens heureux ne perdent pas leur temps à faire du mal aux autres, et si la méchanceté est le fait des malheureux, des aigris, des amers et des jaloux…

    Il n’en demeure pas moins – et ce n’est nullement condamnable – que les gens “heureux dans leur pensée et dans leur esprit”, s’il leur arrive d’être agressés ou violemment et lapidairement contestés, ne perdent alors jamais leur temps, s’ils agressent leur agresseur, s’ils font du mal à leur agresseur…

    Ne pas pouvoir agresser son agresseur, notamment lorsque l’agresseur est inatteignable, anonyme, ou dans une situation où l’on ne peut réagir… C’est une véritable souffrance !

    Et contre cette souffrance là, il n’ y a que la “morphine” de la réactivité – autant que possible immédiate – pour la soulager…

    C’est à dire, lorsque l’agresseur est atteignable, l’agresser autant sinon plus qu’il nous a agressé ; et, lorsqu’il n’est pas atteignable, l’agresser par la mitraille des mots et de la caricature iconoclaste, sur le grand mur le long duquel tout le monde passe, afin que si l’agresseur se reconnaît dans ce qu’il voit écrit sur le grand mur, ça lui fasse saigner les gencives !

    L’agresseur agressé n’est jamais une victime, c’est toujours une ordure ! Et les ordures, on les brûle ou on les enterre… Mais bon, c’est vrai aussi, on peut en faire du compost…

     

     

  • La nouvelle - et déroutante- dimension du monde humain

    … Depuis des siècles voire des millénaires, le monde humain fonctionnait en gros selon un même mode, celui :

     

    Des riches et des pauvres, des dominants et des dominés, à savoir d’un côté les grands propriétaires terriens et d’industrie, les nobles, les rois et les princes et les ducs du temps de l’Ancien Régime, les prélats, dignitaires de l’église ; et de l’autre côté (de la grande majorité) du peuple, des travailleurs, des esclaves ou serfs au moyen âge et dans l’antiquité, des gens du commun y compris les bourgeois ne faisant pas partie des dominants en “haut lieu”…

     

    De la droite et de la Gauche sur le plan politique et social.

     

    Après l’ancien régime, ce furent – en France notamment – la république, l’empire, enfin des régimes différents jusqu’à la dernière république, la 5 ème… Avec les mêmes “rapports de force” entre les riches et les pauvres, les dominants et les dominés…

    Tout cela fonctionnait donc sur “ce mode là”, avec des évolutions, des révolutions, des changements de régime…

     

    Au début du 21 ème siècle, le monde humain, déja cependant “globalisé” ou “mondialisé” – économiquement parlant – fonctionnait encore selon ce mode là… Et donc, dans le même rapport de forces, souvent il faut dire, en faveur des dominants et des décideurs, de façon plus marquée qu’avant, avec les nouvelles technologies accroissant les richesses des plus favorisés (d’environ 1% des hommes et des femmes)… (par exemple Louis XIV se déplaçait en carrosse tiré par des chevaux, et les milliardaires de 2021 se déplacent en Jet Privé)…

     

    … Mais depuis récemment, on va dire depuis les années, en gros, de 2014/2015, le monde humain ne fonctionne plus QUE dans le mode tel que je viens de le décrire ci dessus (en résumé ou en condensé)…

    Autrement dit, les riches et les pauvres, les dominants et les dominés, ça existe toujours, et ça c’est même renforcé, accentué… Mais ce n’est plus la seule “dimension”…

    Il y en a une autre, de dimension, celle là, indéfinissable, jusqu’alors inconnue durant des siècles et des millénaires, dont personne, aucun analyste, aucun sociologue, aucun témoin de son temps, et cela dans la réflexion la plus profonde qui soit, ne peut faire une lecture exacte… Juste une “lecture d’observation” et encore, selon différentes visions – personnelles ou de groupes…

     

    La “prise de conscience” de cette “nouvelle dimension” n’est pas, loin s’en faut, le fait d’une majorité de gens sur cette planète, tous pays confondus… C’est même le fait d’une très petite minorité de gens – et pas forcément d’intellectuels …

    Je dirais que dans cette “nouvelle dimension” il y entre de l’absurde, du “non sens”, et cela, c’est très déroutant… Peut-être que la violence actuelle de la société dans la vie au quotidien telle que l’on la vit, y est pour quelque chose…

     

     

    Ce qu’il y a de sûr, c’est que ça dépasse complètement le rapport entre riches et pauvres, entre dominants et dominés (qui existe toujours), cela se situe au delà de l’idée de “droite et de gauche” (politiquement parlant), et que dans ce dépassement, plus personne ne s’y retrouve, du moins ceux et celles qui sont conscients de ce “dépassement”… Parce qu’en fait, et cela est patent, les “inconscients” semblent “entrer dans ce monde là, nouveau, comme si cela coulait de source”, sans se poser la moindre question… Ils entrent, en somme, dans ce monde là, en “consommateurs”…

     

    Il est certain que la violence actuelle de la société en général, “y est pour quelque chose” dans la nouvelle dimension du monde d’aujourd’hui…

    Parce que la violence actuelle est, bien plus qu’avant ( avant le 21 ème siècle) une violence individuelle (individualisée)…

     

    Avant, en effet, la violence était plus une violence collective qu’une violence individuelle, notamment lors de révoltes ou de combat contre des dominants… Et lorsque la violence était individuelle, elle l’était surtout, par nécessité, pour survivre dans des conditions de vie difficile, ou par ce qui procédait de la loi du plus fort (en tant que loi naturelle n’étant pas forcément “injuste” mais plutôt “dans l’ordre des choses”…

     

    C’est la nature de la violence individuelle qui a changé : elle se “conjugue” désormais sur fond de développement personnel au détriment des autres, sur fond de construction des acquits et de la sauvegarde des acquits, sur fond de consommation accrue notamment de loisirs et d’objets technologiques, sur fond d’impatience, de hâte à profiter… Tout cela générant de la violence… Une violence de crispations, de préjugés, de discrimination, de revendication de droits n’ayant pas forcément quelque chose à voir avec le droit dans le sens de droits humains…

     

    Il y a aussi, bien sûr, le délitement, la décomposition de la société par la perte ou par le déni des valeurs, par la déconsidération des fonctions dites “régaliennes” de l’état et de l’ordre social, par l’irrespect manifesté à l’égard des personnes dépositaires de l’ordre public (pourtant démocratiquement élues)… Ce qui a déjà existé par le passé, plusieurs fois, lors du déclin des grands empires et des grandes civilisations dans l’Histoire… Mais cette fois ci, en cette première moitié du 21 ème siècle, le “séisme sociétal et civilisationnel” est d’autant plus violent et nouveau par rapport à ce qui a été jusqu’alors vécu, qu’il est, en plus de la violence individualisée qui s’est transformée et diversifiée ; accompagné d’une évolution de la technologie (internet, numérique, informatique, domotique, robotique, biotechnologique) …

    Et cela semble “irréversible”…

     

     

  • Les réfractaires au vaccin covid

    … À combien de personnes peut-on évaluer, en France, les réfractaires au vaccin covid ? Ou, combien sont-ils, et surtout combien seront-ils , lorsque la vaccination aura été faite d’un maximum de personnes en France ? Mettons entre 70 et 90% de la population ?

    Sans doute à peu près “quelques centaines de milliers” de Français… Ce qui, s’il y en aurait 500 000, concernerait 1 Français sur 130.

    Difficile à évaluer, en fait…

    Je vais plutôt partir sur une base d’un million de réfractaires ou d’ “anti vacin”… Donc sur 1 Français sur 68… Lequel 1 Français sur 68 peut-être ton voisin, une connaissance, et même un ami, quelqu’un de ta famille…

    La question que je pose est la suivante :

    En tant que “citoyen responsable “ (de la santé et de la protection de son prochain), citoyen vacciné 2 doses pour être précis, faudra-t-il “par précaution citoyenne”, par souci de l’autre, pour lui éviter de “choper le covid” – si l’on est soi-même tout à fait occasionnellement porteur du virus pendant quelques jours, continuer à se conformer aux gestes barrière, à tout ce que l’on a connu depuis plus d’un an, presque deux ans, continuer à porter le masque ; à cause de ces 1 Français sur 68 ( un million de personnes) “réfractaires” au vaccin covid ? … Qui, s’ils le chopaient, le covid, n’en seraient affectés au pire, que comme pour une “mauvaise grippe”…

    Serait-ce considéré comme un “manque de civisme et d’absence de responsabilité ?” J’entends déjà les “donneurs de leçons de morale citoyenne”, scandalisés à l’idée que l’on puisse poser la question que je pose!

    Je ne suis pas – et je ne l’ai jamais été – “pour la brebis égarée (en fait plus emmerdeuse qu’égarée) qu’il faut sauver au risque de “pourrir la vie” au reste du troupeau !

    J’entends déjà les “qui diront” : en disant cela tu perds ton humanité (réflexion inacceptable à recevoir soit dit en passant, pour quelqu’un qui a justement “de la dimension humaine, de la bonté, du souci réel des autres”) … Mais qui, en même temps est un “grand réaliste” et a “une grande logique difficile à remettre en cause” !

    Bon c’est vrai : la “charité chrétienne” (ou musulmane non fondamentaliste radicale) ainsi d’ailleurs que la “bonne vieille traditionnelle morale consensuelle” ne vont trop guère dans le sens de la logique, de la nature, du fonctionnement des choses de l’univers – tout cela ne faisant pas dans la dentelle mais étant néanmoins la vraie vérité éternelle intemporelle !

     

     

  • Pour être clair et net !

    … Avec et dans la vie quotidienne qui s’amorce depuis le 9 juin, rapport au covid… (pour ma part)…

     

    Les cinémas NON… 2h avec le masque à respirer sa propre haleine, plus (si c’est un film qui m’intéresserait) rien comprendre aux dialogues – ce qui est le cas pour une majorité de films d’aujourd’hui depuis déjà plusieurs années- donner 9 euro la place dans ces conditions là… NON ! Sauf si c’est un film en VO sous titres français, et encore, pas trop long (1h 45 max)…

     

    Les musées, les médiathèques OUI, à condition de pouvoir dans une durée de 3h ou d’une demi journée, sortir une ou deux fois un quart d’heure dehors pour enlever le masque, se faire une clope ou une vape, tranquille, à l’air, un quart d’heure… Dans les médiathèques c’est possible, mais dans les musées c’est à voir (il faudrait qu’ils autorisent des sorties d’un quart d’heure)…

     

    Les restaurants et les cafés OUI mais en terrasse seulement… Parce qu’à l’intérieur si c’est pour remettre le masque chaque fois que tu te lèves le cul, non… (Si c’est pas entre les plats en attendant)…

     

    Les marchés par exemple celui de la ville, en extérieur, dans la région où je vis, j’attends qu’on soit plus obligé de porter le masque pour m’y rendre (peut -être en juillet ?)

    Les hôtels, les chambres d’hôtes, OUI, là je veux bien faire l’effort de m’adapter en fonction des dispositions en cours…

     

    Les trains, les avions NON sauf obligation absolue, exceptionnelle due à un événement grave.

    3 ou 4 h heures porter le masque respirer sa propre haleine, dans un TGV, ou pire, 10/12 heures en avion sans compter les 2 h d’avant l’embarquement plus le transport jusqu’à l’aéroport, NON ! L’horreur!

     

     

  • La famille ne peut être détruite

    … La famille peut se déliter, se décomposer, se fracturer, se recomposer, s’élargir ou au contraire se réduire, se transformer, évoluer… Mais elle ne se détruit pas sauf si toutes les personnes dont elle est faite disparaissent dans un accident, un cataclysme, une épidémie… Elle ne se détruit pas, parce que, quoi qu’il arrive, il reste toujours quelque chose de ce qu’elle est depuis qu’elle a commencé à se former, et en dépit des événements qui l’ont transformée, réduite, fracturée, décomposée ou recomposée…

    Et ce qui ne peut qu’encore moins se détruire, de la famille, c’est cette part d’elle même qui n’est pas visible, et qui d’ailleurs demeurera toujours invisible, dont personne ne peut faire une lecture exacte, pas même l’une ou l’autre des personnes faisant partie de la famille, et dont les liens qui unissent les personnes de la famille, n’en sont pas moins réels, même si les liens sont incertains ou fragiles…

     

     

  • Toute forme de violence est, certes, inacceptable, mais ...

    … Toute violence est inacceptable, certes…

     

    Mais certaines, de ces violences, qui sont ou seraient celles d’agressés contre des agresseurs, et qui, si elles pouvaient se faire, mettraient l’agresseur à terre… Justement et hélas, ne peuvent se faire…

    Parce que l’agresseur alors, agit dans une totale impunité, impossible à interpeler qu’il est… Je pense en l’occurrence, à un automobiliste qui en agresse un autre, d’un coup de klaxon rageur : l’agressé ne peut au mieux que lui faire un bras d’honneur, ou répondre par un flash de ses phares… Il ne peut en effet, lui passer devant, lui barrer la route, descendre de sa voiture, et, muni d’une matraque, péter sa vitre, péter sa gueule d’enfoiré ! (les conditions de circulation en ville ne permettent en général pas, une “vengeance immédiate réactive”)… Si toutefois cela arrive un jour, cette possibilité de répondre à l’agresseur (un automobiliste klaxonnant rageusement), il ne faudra pas s’étonner que “ça fasse très mal” ! Et y’aura pas à en faire un fromage, d’une affaire pareille ! Ce n’est pas ce genre de violence qui est scandaleux ! L’agressé doit pouvoir agresser, mettre son agresseur à terre !

    Mettre un agresseur à terre, et même dans l’éventualité où il ne peut pas se relever, c’est aussi, d’une certaine manière, exprimer la violence que l’on sent en soi contre cette société de violence ! En somme, cet agresseur agressé, il paye pour tous les autres agresseurs ! Un agresseur agressé n’est jamais une victime, mais une “ordure au tapis” !

     

  • Leur paradis nullement ne me sied

    … Le paradis des musulmans ne me sied nullement… Encore plus lénifiant que le paradis des chrétiens !

    Un monde de jardin enchanté où tout n’est que miel et délices, avec des harems de jolies mousmées qui te font des léchi lécha des guilis guilis, te font couler du miel dans le moulin en agitant des parapluies de fleurs et de feuilles de palmier au dessus de ta tête… J’en veux pas!

    Et les mousmées, alors ? Leur paradis, c’est d’être auprès de leurs sidis, de leur lécher le zizi et de veiller à ce que le couscoussier soit toujours parfumé, avec de la semoule constellée de grains de raisin, accompagné de vin de miel ?

    Déjà, le miel, de mon vivant, ne m’a jamais fait me lécher les babines, j’en achète jamais, fût-il parfumé de fleur d’oranger…

    Et les mousmées, et aussi les sidis, autant que je me souvienne, de mon vivant, quand il m’était arrivé une fois d’aller sur Café La Jasette un forum du Net, où l’on y causait patates salades beaux sentiments mamourisants, ça me gonflait ces embrassades ces mamours à répète, d’ailleurs très courts et accompagné de pensée du jour tirée de quelque dico de maximes… Et l’ostrogoth le pestiféré l’affreux jojo que je suis, autant anti tout qu’anti rien qu’anti pour anti contre… Qu’avait dans un post sur ce Café La Jasette osé dire des choses pas très catholiques, s’était fait virer par la Suzan et ses acolytes de l’équipe admin…

    Viré sans y être rentré, autant du paradis de miel et délices et de jolies mousmées, que du paradis des anges tout en blanc avec des ailes et qui traversent les murs et descendent du firmament!

    Viré sans y être rentré, d’ailleurs résolument posté devant la grand porte tahouel au bout du bras tendu propulsant des boulons sur les gardiens des paradis, des flèches qui me sifflent aux oreilles…

    Amen-ala-ouaqbar !

     

     

  • Mon tweet du Jour

    … L’on ne peut changer l’eau des pleurs, mais l’on peut varier à l’infini la tonalité du rire.

     

  • Le jour où ...

    … Le jour où un musulman dira qu’il faut peut-être aller chercher Allah dans l’ère de Planck, l’ère où tout se trouvait en gestation, en préparation, en pré-création, l’ère en somme, du souffle d’Allah, l’ère d’avant le commencement, d’avant le Big Bang…

    Le jour où un musulman ne contestera pas les dinosaures, Néandertal, l’Homme de Cro magnon, les ères géologiques de millions d’années…

    Le jour où un musulman dira qu’il croit en la pluralité des mondes dans l’univers, à l’existence de la vie ailleurs que sur la Terre…

    Le jour où un musulman pourra dialoguer avec des scientifiques, des chercheurs, des philosophes ; et où il sera même l’un d’entre eux, scientifique, chercheur, philosophe, sinon même à la fois scientifique, philosophe, poète, artiste et ingénieur…

    Ce jour là, oui, je croirai qu’un musulman est un excellent élève de sa classe.

     

    Précision : l’ère de Planck c’est une durée de temps indéterminée comprise entre une origine “zéro” inatteignable et un instant T où l’univers tout entier était un “point sphère” d’un diamètre de 1,61624 x 10 puissance moins 35… (la plus petite longueur connue en mathématiques )…

    Le Big Bang c’est cet instant T où commence l’univers.

    Mais l’instant T, du Big Bang, qui est l’instant T que nous connaissons, que nous avons “identifié” selon l’état actuel de nos connaissances scientifiques, et qui est l’origine de l’univers que nous observons avec nos puissants télescopes derniers modèles, cet univers “âgé” de 13,7 milliards d’années… N’est peut-être pas le seul instant T, il est plus que probable que bien d’autres instants T aient eu lieu, ou auront lieu qui ne se sont pas encore produit… Et c’est toujours précédé d’une “ère de Planck”…

    Du coup, Allah, il serait donc multiple, et des univers, les uns de 14 milliards d’années, les autres de 10 milliards d’années, et d’autres encore de 20 milliards d’années… Et un nombre indéterminé d’univers à venir… Il y en a “plus qu’à la pelle” !

     

     

  • La beauté des choses

    … Peut-on aimer la beauté des choses sans croire à la beauté des âmes ?

    La beauté des choses, c’est ce qui, de ces choses nous émerveillent, nous étonnent, éveillent en nous, de l’imaginaire… Notamment lorsque ces choses appartenant ou ayant appartenu à des gens, des gens que l’on n’a pas forcément connus, pouvant même être des inconnus, nous ont suggéré une histoire…

    C’est par exemple, ce qui arrive en déambulant dans les allées d’un vide grenier de quartier ou de village, en présence d’objets, décoratifs ou utilitaires, exposés pour être cédés, souvent pour un prix dérisoire.

    En ce sens, celui de la beauté des choses, de l’émotion qui nous vient en la présence d’un objet et de ce qu’il nous évoque, l’on ne peut que croire en la beauté des âmes, les âmes, alors, étant celles des objets…

    Quant à l’âme des gens, cela, c’est “toute autre chose” ! La beauté des âmes – des gens – en fait, c’est ce qu’il y a de beau en eux, d’unique, d’irremplaçable, de singulier et ne ressemblant à rien de ce qui peut être tout aussi beau en une autre personne… Mais qui “voisine” – si l’on peut dire – avec tout ce qui est moins beau, voire laid, et qui est “ordinaire”, ou “banal” puisque l’ordinaire et le banal se retrouvent en chaque personne…

    Et en ce sens, l’ordinaire et la banalité en lesquels n’entrent aucune beauté, ne peuvent porter à croire à la beauté des âmes – des gens… La beauté des âmes – des gens – n’étant qu’une face, comme une face de pièce de monnaie…

     

     

  • Transmissibilité du covid par des vaccinés occasionnellement porteurs

    Ce document d'information France Inter, publié le 8 juin 2021.

     

    … Vacciné, dans quelle mesure peut-on attraper le covid, ce que disent les cas, études, experts…

     

    Le plus important par rapport à une question que beaucoup se posent (au sujet de la transmission) … Mais soit dit en passant, qu’un certain nombre de personnes ne se posent pas, acceptant, soumises et obéissantes qu’elles sont, bien dans le conformisme ambiant, et par les médias conditionnées dans la crainte, dans une expectative de prudence surdimensionnée… Tout ce qui est imposé, par des dispositions, des prescriptions, des contraintes, des limitations de ceci de cela… Notamment en ce qui concerne le port du masque en extérieur…

    C’est fou, d’ailleurs, ce que l’on rencontre de gens, partout, en extérieur, en des lieux vraiment ouverts et aérés, et même en pleine nature en promenade, portant le masque en permanence dès qu’ils sont dehors !

     

    Voici ce qui est affirmé dans le document :

     

    “Une personne vaccinée (2 doses), pouvant occasionnellement être porteuse du virus (durant quelques jours) est beaucoup moins contagieuse et contaminante autour d’elle.”

     

    Cela rejoint d’ailleurs ce que je pensais avant d’avoir eu connaissance de cette information.

     

    D’autre part, au sujet du risque d’être malade, atteint par le covid, après 2 doses de vaccin, oui ce risque existe, mais sur par exemple dix cas nécessitant une hospitalisation, il y aura 1 à 2 cas “moyennement grave” sans entraîner la mort… Et, globalement, quelque soit le vaccin administré, et quelque soit le type de variant du covid (y compris le variant indien), sur un “recul” de six mois tous pays confondus en particulier les pays qui ont le plus vacciné (jusqu’à 70% de leur population), le risque de contracter le covid après 2 doses de vaccin, est évalué entre au mieux 2,5% et au pire à 25% (mais la moyenne s’établit en fait, plus poche de 2,5%…

     

    La conclusion est nette : le vaccin, n’importe lequel, réduit les formes graves à des formes moins graves en cas de contamination et d’infection, et surtout casse la chaîne de contamination, dans la mesure où il empêche la contamination dans 90% des cas…

     

     

  • La Gauche de 2017, la Gauche de 2021

    … Si la Gauche de Benoît Hamon en 2017, si la Gauche de Jean Luc Mélenchon en 2021, s’étaient l’une et l’autre, évertuées à devancer le Front National devenu le Rassemblement National de Marine Le Pen sur la dénonciation d’une part, de l’islamisation de la société française, et d’autre part, de l’augmentation de la délinquance et de l’insécurité… Elles feraient, ces Gauche, notamment celle de Jean Luc Mélenchon, plus de 12% d’électeurs potentiels pour 2022…

    La Gauche oublie que la racaille, c’est pas seulement les milliardaires et les actionnaires.

    Le Rassemblement National quant à lui, n’en voit qu’une seule sorte, de racaille – dont les milliardaires et les actionnaires ne font pas partie…

    Le citoyen lambda qui en a marre d’être agressé par des voyous, qui ne voit autour de lui que des femmes voilées, qui habite à Cergy Pontoise ou à Mantes la Jolie, accro de shopping et de séries télévisées, qui n’arrête pas de mettre cent balles dans le Dada pour que ça branle 2 minutes, qui fait le milliardaire encore plus milliardaire et l’actionnaire encore mieux dividendé… Lui aussi, comme le mec ou la nana pro RN, il ne ne voit qu’une seule sorte de racaille… Et il croit dur comme fer au “ruissellement” qui, de tout en haut du haut du haut, ne fera en vérité “ruisseler” que de tous petits filets de flotte sur sa carcasse…

     

    L’islamisation de la société française est surtout observable et réelle dans les zones de forte densité de population, en particulier dans la “couronne parisienne”, dans les villes du sud est de la France, à Marseille, dans les grandes agglomérations… Et moins dans la “France profonde”, la France des campagnes et des petites villes…

     

    C’est que, voyez vous – et c’est naturel – lorsque vous allez dans un pays étranger, que vous voyez les gens se comporter différemment dans la relation, que vous entendez parler dans une autre langue que la vôtre, vous vous dites que c’est normal, et dans votre esprit, vous intégrez ce que vous voyez de différent, vous vous adaptez selon votre capacité d’adaptation…

    En revanche, lorsque vous êtes chez vous, dans votre pays, et que vous entendez parler une autre langue, plusieurs langues en fait, que les gens autour de vous ne sont pas habillés de la même façon, par exemple les hommes avec des turbans et les femmes avec des voiles, ou d’autres sortes d’habillements qui ne sont pas ceux que portent habituellement sur eux les gens comme vous… Que vous voyez les gens avoir des comportements différents… Alors vous vous dites que vous vous sentez étranger dans votre propre pays, et cela c’est très difficile à vivre, à accepter…

    C’est ce qui se passe dans ces lieux densément peuplés de la région parisienne, de Marseille et autres grandes villes en France. Il y a des endroits où l’on a l’impression de ne plus être en France. Et le plus terrible dans l’histoire, c’est que ces gens “différents” te font sentir que toi, t’es un intrus, ça se voit rien que dans leur regard, à leurs yeux c’est toi le raciste, c’est toi le coupable, c’est toi l’étranger !

    C’est même tellement évident, ce comportement des autres à ton égard, que, par exemple dans ces lieux qu’on appelle des “cités” (des lieux de “non droit”), tu dois t’ acquitter d’un droit de passage (un “backchich”) pour rentrer chez toi dans ton immeuble ! Et d’autres vexations, contraintes, provocations, agressions…

    Et… Au delà de ce “fond de tableau de la société”, dominant, insoutenable au regard, et pendant que dealers et voyous mettent les “cités” à sac, pendant que débats et polémiques d’une violence extrême pourrissent les réseaux sociaux et que les médias en mettent des louches en plus sans arrêt… Les milliardaires et les actionnaires se gavent toujours davantage !