Articles de yugcib

  • Incohérence

    … Pourquoi l’obligation vaccinale aux soignants, médecins, infirmiers, personnels hospitaliers, responsables et exécutants des professions médicales… MAIS pas aux gendarmes, aux forces de l’ordre, aux personnes détenant autorité et pouvoir de contrôle ?

    Il y a bien là, une incohérence ! C’est tout à fait aberrant, absurde !

    Qui, détenant quelque autorité ou pouvoir de contrôle que ce soit, lisant ma question, peut me répondre ?

    Et d’autre part, “moins incohérent” si l’on veut mais absurde quand même : à quoi sert le pass sanitaire si dans les lieux où il est obligatoire, et donc là où n’entrent que des vaccinés et des non infectés, il faut “en plus” de la contrainte d’avoir à présenter le pass, porter un masque quand même ?

    Pourquoi? Pour “protéger” d’éventuels non vaccinés qui ont présenté un test négatif datant d’avant-hier mais peuvent tout de même être infectés depuis à peine quelques heures ? Donc, porter un masque dans des lieux où il a fallu présenter le pass, ça serait “un acte de solidarité et de responsabilité” à l’égard de possibles infectés non détectés ?

    Je regrette de le dire, mais je ne me sens “aucunement solidaire” de ces 2 ou 3 personnes en tel lieu de pass, qui ont pu entrer avec un test négatif d’avant-hier et pouvant être infectées depuis peu de temps…

     

    … Un décret paru au Journal Officiel le dimanche 8 août 2021 : “en contrepartie de l’obligation du pass sanitaire dans les cinémas, théâtres, musées, médiathèques, salles de sport et de spectacles, cafés, restaurants… Le port du masque en ces lieux soumis au pass sanitaire, ne sera plus obligatoire.

    En revanche le port du masque reste obligatoire dans les cars, les trains et les avions, dans les transports publics ; et les préfets selon la situation locale pourront rétablir le port du masque obligatoire dans les lieux publics, les marchés, s’ils le jugent nécessaire en fonction du nombre de contaminations locales.

     

  • Entre l'humain et le covid, un rapport de forces

    … Dans un “assouplissement” des mesures concernant le pass sanitaire, il est spécifié que les tests covid devront, non plus être valides de moins de 48h, mais de moins de 72h ! …

    Autrement dit, tu présentes un certificat de test négatif réalisé, si nous sommes le 8 août, le 5 août, mais tu es porteur du virus depuis hier le 7 août, alors tu passes, non seulement toi, mais encore les personnes dans le même cas que toi, testées négatives mais porteuses du virus depuis hier ou aujourd’hui…

    Pour la question – essentielle – de la chaîne de contamination et de oui ou non son ralentissement, cette question s’articule sur un rapport de forces absolument incontournable :

    Plus le champ de propagation du covid (ne serait-ce en France, que portant sur 10 millions de personnes non vaccinées – ce qui est loin d’être le cas ), est encore important, et plus le virus dans un processus naturel et commun à tous les virus, s’activera non seulement là où il peut s’activer, mais aussi là où il parviendra à franchir les barrières qu’il rencontre devant lui…

    Pour être plus clair : si le virus a en face de lui un nombre encore important de personnes contaminables mais pas, cependant en nombre suffisant, alors il cherchera une autre voie pour se frayer un passage, cette voie étant tout d’abord celle des vaccinés vulnérables, sinon par la suite des vaccinés moins vulnérables.

    Aussi l’efficacité du vaccin dépend – t - elle du nombre de vaccinés le plus important possible en le moins de temps possible. Il n’y a qu’ainsi que la chaîne de transmission peut être rompue… Avec un rapport de forces qui ne soit plus à l’avantage du virus.

    J’y avais déjà un peu pensé, mais au vu de l’accélération des contaminations portant sur quasi essentiellement 30 millions de non vaccinés (au lieu de 60 millions de personnes potentiellement, avant la vaccination), ma crainte est que d’ici quelques semaines, le rapport de forces restant favorable au virus, que ce virus se mette à infecter peu à peu davantage de personnes vaccinées.

    C’est la raison pour laquelle j’ai tendance à penser que toutes les mesures prises, en particulier pour le pass sanitaire, les contrôles dans les aéroports et les gares, entre autres mesures, lorsqu’elles ont été prises, ne l’on pas été assez tôt (en amont)…

    La question se pose sur la vaccination obligatoire de tous, après celle des soignants, mais si elle se fait comme par une “force des choses jugée nécessaire”, ça sera trop tard… (Pour vraiment casser la chaîne de contamination, il aurait fallu rendre la vaccination obligatoire de tous, dès la fin de l’hiver dernier – ce qui n’était guère possible du fait d’un nombre insuffisant de doses).

    Déjà, il y a trois mois, avec l’arrivée d’Inde, du variant Delta, dans les aéroports et les gares, les mesures qui s’imposaient (black out total personnes et marchandises) n’ont pas été prises…

    Ainsi, hélas, les inconditionnels du port du masque partout y compris à l’extérieur ; les tenants de la politique d’adaptation (du “faire avec”), nous préparant pour les trente ans à venir “ce monde covidien et en masque”, sont-ils désormais bien présents et déterminés dans leurs vues… Et à part leur faire un bras d’honneur, on pourra jamais se débarrasser d’eux ! Et il ne faut guère compter sur tous ces inconditionnels et sur ces tenants du “faire avec”, pour être des “acteurs de la beauté du monde”!… Mais des acteurs de la “chienne du monde” – ou des gardiens du jardin désenchanté clôturé alchimisé du monde !

     

  • Il n'y a pas de paradis heureux

    … S’il n’y pas d’amour heureux (comme dans la chanson), il n’y a pas non plus, de paradis heureux…

     

    Pas d’amour heureux… Quoi que… Parfois, oui ça arrive, mais c’est assez rare… Il en est, de ces amours heureux…

    En revanche il n’y a jamais de paradis heureux…

    De ces paradis, de tous les paradis, de ceci, de celà, où tout le monde veut aller…

    Les gueux qui veulent aller au paradis des riches, des milliardaires, des gens de pouvoir…

    Les inconsidérés, les oubliés, les méritants sans récompense, qui veulent aller au paradis des consécrations…

    Les gens de peu, qui ne sont pas des gueux, mais dans des “là dedans” ne leur convenant pas, qui veulent aller au paradis des autrements…

    Le monde des riches, des milliardaires, des gens de pouvoir ; il a ceci de commun avec le monde des gueux, c’est qu’il est de la même laideur, de la même violence, de la même brutalité, de la même vulgarité… Quoique chez les riches, les milliardaires et les gens de pouvoir, la vulgarité soit bardée d’éducation et de codes de comportements…

    Le monde des inconsidérés, des oubliés, des méritants sans récompense, il a ceci de particulier, qu’il n’a pas le ticket d’entrée…

    Et pour avoir le ticket d’entrée, où et chez qui que ce soit, il faut jouer le jeu dans la règle du jeu…

    Et la règle passe par la laideur, par la violence, par la brutalité de l’ordre qui prévaut…

    Et quand la règle se fait dans la souplesse, dans ce qu’elle a d’acceptable ; quand elle convient ou est proche de l’attente que l’on a de tel ordre réel ou possible… Alors elle implique que l’on adhère, que l’on soit introduit…

    C’est ça, le paradis : celui du monde dans lequel on n’est pas et où l’on voudrait être reçu… En fait, celui du monde où si l’on arrive d’y être, l’on s’aperçoit qu’il n’en est pas un, de paradis, ce monde là ou un autre…

    Parce que si tu ne respectes pas la règle, ne serait-ce qu’une seule fois pour telle raison qui t’es personnelle, réfléchie et responsable, le paradis se fait enfer…

     

  • Des pseudos bizarroïdes

    … Je viens de consulter – dans la page générale d’accueil de Facebook, où l’on voit apparaître toute une suite de publications (en général assez brèves) qui, soit dit en passant au bout d’un quart d’heure sont “noyées dans la masse” pour chacune d’entre elles – un échange pour le moins “incisif” entre l’un de mes amis (de ma liste d’amis) et un “non ami” (qui ne figure pas dans ma liste)…

    Et je fais cette constatation : dans ces cas là, d’échanges “incisifs” voire agressifs et il faut le dire “laminants”, “à l’emporte pièce”… Les intervenants “incisifs” qui, en général ne font pas partie de ma liste (ou de la liste d’un de mes amis) s’expriment sous des pseudonymes “bizarroïdes” genre “un groupe de lettres toutes attachées”, ou sous un nom inventé, de telle sorte qu’on pense plutôt à une “entité” qu’à une personne humaine…

    Je vous le dis tout net : pour moi, un interlocuteur il a – il doit avoir – un vrai nom prénom, un vrai visage… Sinon, c’est “un clampin dont je n’ai rien à foutre”, je n’arrive pas à me faire à l’idée que ça peut être une personne humaine !

    Bon je le reconnais, sur ce genre de question d’anonymat, de pseudo à la con et d’avatar bizarroïdes… Je suis “assez radical anti” ! (et je le dis!)

    Le respect de la personne humaine, c’est pour une vraie personne humaine qui s’identifie sous son vrai nom prénom et son vrai visage… Pas pour “Trouduk2467” ou “Belcanto187” !

    Qu’on se le dise !

     

     

  • "Être dans l'esprit ou dans la note" ...

    … Le problème qu’il y a, avec tout ordre de pensée, toute vision du monde selon une sensibilité, tout esprit communautaire de telle ou telle tendance ; c’est qu’une fois que tu adhères, fais partie, même en tant que sympathisant non engagé… Il faudrait “épouser” l’ensemble de ce qui fonde l’ordre, la vision, la communauté, c’est dire, pour dire les choses nettement : “épouser quasiment sans restriction”… Et donc, ne jamais déroger par rapport à l’ordre de pensée censé être le “lien” entre les “partageants”… “Être dans l’esprit, dans la note, dans le consensus”, en somme… Sinon (c’est ce qu’on voit le plus souvent – en fait quasiment toujours) si, sur tel ou tel point particulier tu es en désaccord et exprimes ton désaccord, tu n’es plus le bienvenu, plus un ami…

    C’est la raison pour laquelle les amis que l’on a, même “de longue date”, sont des amis avec des guillemets de part et d’autre du mot ami…

    Et que le “test” de la provocation, ou de l’affirmation de sa différence… Est “révélateur”…

     

     

  • La décision du conseil constitutionnel

    … En ce qui concerne l’obligation d’isolement (cas contact, cas de contamination), le Conseil Constitutionnel dans sa décision de censurer l’obligation d’isolement, n’a pas précisé ce qu’il faut vraiment comprendre dans cette décision :

     

    La non obligation d’isolement ne concerne QUE les personnes vaccinées (qui pourraient éventuellement être porteuses ou cas contacts mais beaucoup moins tansmetteuses)…

    En revanche l’obligation d’isolement pour les contaminés et les cas contacts, par les personnes non vaccinées, est toujours d’actualité…

     

    Donc, si vous êtes vacciné, en vacances, sans sortir de France, vous ne vous verrez pas soumis à obligation d’isolement en cas de contamination asymptomatique ou effets légers…

    Mais hors de France, non, là interpellation immédiate ambulance conduite en hôtel covid 21 jours, même vacciné !

     

     

  • Déroger par rapport à un consensus de pensée

    … Si, entre un vacciné “porteur” et un non vacciné s’établit une transmission de l’ordre de 3,5 à 18% ( au lieu de, entre non vaccinés, de 20 à 60% ) … Alors les vaccinés “moraux et scrupuleux” peuvent encore, selon leur “philosophie” consistant à se sentir responsables et précautionneux vis à vis des autres, se poser la question “sensible” du risque qu’il y aurait à quand même contaminer une “personne fragilisée” non vaccinée…

    À mon sens, cette question de “morale” ou de responsabilité, n’intervient vraiment QUE s’il s’agit d’une personne parmi nos proches, nos amis, nos connaissances… Et donc, en dehors du “cadre” d’environnement de relation (proches, amis, connaissances) ; cette question de morale est purement consensuelle, inhérente à un esprit conformiste de “bien – correct – pensance” civilisationnelle de principe, soit dit en passant très souvent en contradiction avec ce que l’on pense et ressent vraiment au fond de soi mais que l’on n’exprime jamais publiquement au risque de passer pour un affreux individualiste égoïste irresponsable…

    Le vacciné qui se fonde sur “une transmission réduite” et, en conséquence, se sent “moins respons.able” – voire “se fout complètement des 2 ou 3 clampins non vaccinés qu’il ne connait ni d’Eve ni d’Adam pouvant être contaminés” … Est-il “si immoral que ça” ? Doit-on le traiter d’irresponsable, d’affreux égoïste ?

     

    Plus généralement, donc par “extension” très en deçà de la question de la vaccination…

    Est-ce que par exemple, quelqu’un “d’un peu anarchiste sur les bords/ marchant en dehors des clous/ atypique de comportement/ tendance gauche voire extrême gauche… Ayant des amis de même tendance que lui… Est-ce que ce quelqu’un là, un beau jour qui “déroge”par ses propos, son comportement, ses choix dans telle ou telle situation, par rapport à l’ “esprit qui anime la communauté de ses amis ; doit être du jour au lendemain, parce qu’il choque, considéré comme un pestiféré et doit-on lui fermer la porte, ne plus l’accueillir, faire comme s’il n’existait plus?

     

    Est-ce que déroger par rapport à un consensus de pensée générale (de quelqu’ordre que ce soit) (que l’on ait tort ou raison ou en partie tort ou raison), c’est “condamnable” ?

    Il semble que oui, dans le monde où nous vivons ! Eh bien que ce monde soit, et “allez vous faire foutre” les amis avec douze paires de guillemets de part de d’autre du mot ami !

     

  • Grochenko

    Grochenko

    Ce Grochenko président Biélorusse, y’aura pas un mec d’un commando d’opposants pour lui arracher la moustache, la lèvre et tout le dessous du nez, avec une tronçonneuse en marche ; avant de le découper vivant en rondelles à la tronçonneuse ? (rire)…

     

    Et, est-ce que, cet été 2021 en France, les propriétaires de chambres d’hôte et “hôtels de charme”, vont accepter d’avoir pour visiteurs, des Biélorusses aisés pro Grochenko ?

     

  • Les tests covid ne sont pas LA solution

    … Les tests covid de moins de 48h, devant forcément être renouvelés aussi souvent que nécessaire, pour les non vaccinés ou vaccinés seulement une injection, ne sont absolument pas LA solution !

    Je suis littéralement sidéré, qu’en “haut lieu” (les gouvernements et les autorités de santé publique) l’on puisse concevoir de laisser entrer dans des lieux de pass sanitaire obligatoire, des gens non vaccinés qui présentent un test négatif de moins de 48h alors que peut-être, vu la vitesse de propagation du virus, ils sont porteurs depuis une demi heure (ce que le test réalisé hier ne révèle pas – sauf si le test est réalisé immédiatement à l’entrée en file d’attente et avec résultat immédiat – mais même dans ce cas, dans la file d’attente avant d’être testé on peut être contaminé, cela fait tout de même quelques personnes infectées durant le temps passé dans la file d’attente)…

    Non, les tests à résultat immédiat ne sont pas la solution ! Pour “bien faire” il faudrait au moins que le test négatif soit “ancien” de moins de 24h voire de 12h ! … Ce qui implique la fréquence fort élevée de ces tests… Ou alors, y être soumis à l’entrée du lieu, dans l’immédiat…

    La solution, ce serait la présentation du pass sanitaire faisant état d’une vaccination complète (uniquement du pass sanitaire et non pas du certificat de test négatif), de telle sorte que ne pourraient entrer dans les lieux clos, les salles de spectacle, que des gens vaccinés… Ce qui rendrait donc la vaccination obligatoire pour tous… Et résoudrait tous ces problèmes de différenciation, de disparités…

    Dans tout lieu où il n’y a que des vaccinés, étant donné que les éventuelles “charges virales” portées par quelques uns occasionnellement, sont “peu agressives”, les vaccinés ne se contaminent que très peu entre eux et d’ailleurs, dans une très faible proportion, par exemple sur 100 personnes, à peine 1 ou 2, 5 au plus… qui ne risquent quasiment pas de se retrouver en réanimation dans un état grave…

    Ce que je dis là ne va pas plaire du tout aux antivax… Je me doute bien que je n’irai jamais dans le “paradis des antivax” !

    D’ailleurs je me demande bien dans quel “paradis” j’irai ! À part celui des minous, des toutous cagneux et pelés, des bousiers et des cloportes… Et de quelques rares humains d’une immense bonté, humilité, dignité, simplicité, de gens qui ne paient pas de mine, totalement exclus de partout que l’on méprise mais dont on exploite l’immense bonté… Je ne vois pas dans quel autre “paradis” je vais pouvoir aller… Ce sont des “enfers” où ils me vouent tous, les antivax et les “de tels ordres et désordres”, des “enfers” desquels je continuerai à les emmerder !

     

     

  • Ces pensées qui nous viennent

    … De même que Gérard Mordillat dans son livre “La tour abolie”, en ces termes que de lui je cite :

     

    “Nelson n’était pas un assassin, il oublia cette pensée aussi vite qu’elle l’avait assailli. D’ailleurs ce n’était pas la première fois qu’il éprouvait le sentiment que ses pensées n’étaient pas de lui ; qu’elles venaient de cerveaux étrangers, comme s’il avait l’esprit à tout vent, perméable aux mots en déshérence qui flottaient dans l’air”.

     

    … Je me pose la même question au sujet de bon nombre de pensées qui nous viennent en tête…

     

    En effet, outre cette part d’ “unicité” – parfois de singularité – faite de tout ce qui en nous ne ressemble à rien de ce que sont les autres – chacun d’eux mêmes uniques en leur genre ; combien de toutes les pensées qui nous viennent à l’esprit, ne nous sont comme insufflées, suggérées par les autres autour de nous, que nous avons rencontrés, écoutés, lus… Que nous avons prises à notre compte en les reformulant, les arrangeant à notre façon ?

    Et tous ces mots, toutes ces pensées, venus d’ailleurs, ne sont-ils pas pour la plupart d’entre eux, le plus souvent en déshérence, ne parvenant pas à se fixer autrement que comme des oiseaux sur une branche, ou déposant comme une semence qui germera ou ne germera pas, en nous dans cette matière humaine dont on on est fait…

    Qu’est ce qui vient vraiment de soi, et de soi seul, en somme ? En matière de pensée ?

     

     

  • Hôtels covid pour isolés forcés

    Le calvaire d'une famille de touristes bloquée pour covid dans un hôtel à Palerme

     

    … Touristes, vacanciers français, voici un aperçu de ce qui vous attend si vous vous rendez hors de France, dans des pays Européens (par exemple en Italie) ou dans d’autres pays hors Europe…

    Quand bien même au départ, à l’aéroport de Roissy Charles De Gaulle ou Orly, vous avez présenté un pass sanitaire valide, ou un certificat de vaccination complète.

    En France les personnes vaccinées (complètement vaccinées) éventuellement et occasionnellement pour une durée d’une quinzaine de jours porteuses de “charge virale de covid variant Delta” ; ne sont point tenues, si “cas contacts” détectées, de s’isoler… D’ailleurs, nulle part à ma connaissance, en France, l’on ne demande “en plus” du pass sanitaire.certificat de vaccination, de présenter donc “en plus”, un test négatif de moins de 48h…

    “Il ne manquerait plus que ça” pour “couronner” l’injustice flagrante qu’il y a à traiter les vaccinés comme les non vaccinés”!

    Eh bien il faut savoir, que, hors de France, par exemple en Italie, si tu es vacciné complètement, même après avoir présenté un pass sanitaire valide, on va te soumettre à un test à résultat immédiat, à ton arrivée, descente d’avion à l’aéroport (ou si tu arrives dans une gare par le train, ou en passant la frontière en voiture ou en bus)…

    Si par malheur le test est positif, tu es immédiatement interpellé, empêché du moindre déplacement, une ambulance vient te chercher pour te conduire dans un “hôtel covid” d’où tu ne peux plus ressortir durant 21 jours…

     

    “Moralité” (ma langue fourche “mortalité” – rire ) :

    Vacanciers français, renoncez -même vaccinés - à des séjours hors de France en cet été 2021, restez dans notre pays, ne rêvez pas de “richesses patrimoniales culturelles art de vivre mode de vie à l’italienne, beautés siciliennes etc.” … “On sait jamais”, il suffit par un malheureux et imbécile hasard, d’être - manque de pot - porteur de charge virale covid, pour se voir “comme foutu en taule” alors que tu risques déjà rien toi même ou pas grand chose, et que t’es pas pour les autres “un énorme danger public” ! (si tu es vacciné) …

    Merde, “ils commencent à me courir” les Inconditionnels consensuels du genre principe de précaution oblige et autres scies et injonctions à répétition – qui traitent les vaccinés comme les non vaccinés – avec leurs discours à la Télé tous aussi oiseux les uns que les autres, et que bon nombre de nos concitoyens “avalent” sans lever le petit doigt, bien obéissants bien dans la consensualité de soumission ! (tous ces gens là m’emmerdent autant que les fana antivax anti pass)

    Merde et merde ! À les entendre les “tenants” du discours comme quoi les vaccinés sont porteurs de la même charge virale que les non vaccinés (pour moi, bordel, ça c’est une hérésie), on se demande “mais à quoi sert le vaccin alors” ?

     

     

  • Bayonne mon ennemour

    … À environ 1100 kilomètres de distance (en diagonale traversant la France du pays Basque région Labour à l’Alsace et aux Vosges) … De Bayonne (où cela fait deux ans que je n’y ai pas remis les pieds dans cette ville) en ce début Août où se déroulent, à Bayonne, les grandes fêtes annuelles… Oh combien je trouve aussi heureux que confortable pour moi, de me trouver à plus de 1000 km de Bayonne !

    D’après de que j’ai pu comprendre, pour la 2 ème année consécutive, les fêtes sont annulées… Mais rien n’empêche (ne m’empêche) d’imaginer des fêtes “informelles”, de quelques “aficionados” et “aficionadades”, en groupes de festayres “éclatés” accros du “casque de la soif” sur la tête (avec au niveau des oreilles 2 réservoirs de punch ou de sangria et un tuyau à la bouche), dansant, accroupis les uns derrière les autres la “marseillaise basquo landaise” (un air célèbre de corrida)…

    Mais, du fait que ces fêtes sont annulées, je ne peux donc pas souhaiter à mon grand regret, aux non vaccinés et surtout à la frange des non vaccinés résolument antivax, “des fêtes de Bayonne pourries” !

    Vous imaginez, ces fêtes ayant lieu “sous réserve de mesures très strictes” avec en plus du “casque de la soif”, le masque! (Bon, “ils” auraient fait un trou dans le masque pour faire passer le tuyau dans la bouche)…

    C’est vrai, je le reconnais, je n’ai pas une grande attirance pour cette ville, Bayonne, ni pour ses habitants… ( deux ou trois “expériences” – relatives à l’accueil dans des cafés entre autres – qui m’ont “quelque peu échaudé” – ou déçu )… C’est peut-être “l’esprit de cette ville” de la part de Bayonnais “de pur jus”… qui ne m’a guère trop incité à un grand enthousiasme !

     

     

  • Le cancer est plus restrictif que le covid en matière de projets

    … Le cancer me désole davantage que le covid…

    En France en 2020, environ 200 000 personnes sont décédées du cancer, sur un total d’environ 400 000 personnes atteintes et soignées par radiothérapie, chimiothérapie et autres traitements…

    Ce qui représente une mortalité de 50%.

    Avec le covid on est “loin de ce compte” ! 118 000 à peu près, mais en un an et demi, soit de mars 2020 à juillet 2021 – il manque 2 mois pour faire un an et demi…

    Pour environ 6 millions de personnes ayant été atteintes du covid (des asymptomatiques aux sorties de réanimation en passant par des formes plus ou moins sévères)…

    Certes, 6 millions de personnes atteintes du covid, c’est beaucoup plus que 400 000 atteintes de cancers… La différence est dans le taux de mortalité : 2% pour le covid contre 50% pour le cancer !

    Il faudrait rapprocher ces données chiffrées, en cas de contamination, en nombre de morts, du covid, de celles des formes de grippe classique…

    Le cancer, ou plus exactement LES cancers, c’est bien plus restrictif, pour les projets, pour les perspectives à moyen long terme de chacun, que le covid. Avec le cancer en effet -qui dira le contraire ? - les projets et les perspectives, déjà pour celui ou celle qui est atteint d’un cancer, et ensuite et en même temps pour les proches de la personne atteinte d’un cancer, deviennent inexistants, inenvisageables, “barrent l’avenir devant soi” !

    S’il en reste un, de “projet”, s’il y a une, de “perspective”, cela ne peut être que le projet ou la perspective de devoir suivre un traitement médical lourd et long et exténuant, qui interdit ou limite considérablement tout autre projet notamment professionnel, ou lié à une activité engageante, à une réalisation d’œuvre, à des loisirs, à des voyages, etc. …

    Le covid, même dans des confinements tels que ceux que l’on a connus, même avec des contraintes difficiles à supporter, c’est tout de même “moins restrictif” que le cancer !

    Et, à tout ce que le cancer implique dans la vie quotidienne, de souffrance, de contraintes, de traitements difficiles, de conséquences au niveau de l’état de santé suite aux effets secondaires souvent dévastateurs, d’absence et d’abandon de projets, s’ajoutent la communication et le rapport de relation entre la personne atteinte et les proches de la personne.

    Et, à qui d’autre que son mari, sa femme, sa mère, son père, ses enfants, en parler, du cancer d’un proche pouvant être celui d’ un fils, d’une fille, d’une belle fille, d’ une mère, d’un père, d’un frère, d’ une sœur? À qui d’autre oui ? Sûrement pas (en général) à des gens autour de soi, de ses connaissances… Ce sont là des choses dont on n’aime pas parler aux autres…

    Et pour le proche du malade, pour des parents, il vient de la réticence à parler de ses propres projets, de, par exemple, la sortie que l’on a faite dimanche dernier, d’un film que l’on a vu au cinéma, du jardin, etc. … Tout cela que l’on peut raconter, c’est tellement éloigné de la souffrance et de la solitude de la personne malade… Tout ce que l’on peut faire alors, c’est d’écouter, d’écouter, de laisser parler la personne – pour autant qu’elle souhaite elle même parler, se confier…

     

  • Très rares sont les artistes et les écrivains se livrant à une auto critique de leur œuvre

    … Et encore plus rares, ceux qui se livrent à une caricature iconoclaste de leur œuvre, voire à une forme délibérée d’auto destruction…

     

    … Paraître aux autres, autant pour le commun des mortels (celui qui ne fait rien de particulier plus ou mieux ou moins bien que d’autres, qui n’a pas de grandes passions engageantes) que pour le singulier, le “pas comme les autres”, l’artiste, l’écrivain… Paraître aux autres au mieux de ce que l’on est, au plus performant, au plus attirant, au plus “fédérateur”, au plus convainquant possible, et cela dans la meilleure forme possible bien visible… C’est tellement dominateur, tellement inhérent à la nature humaine (je ne pense pas que les êtres non humains en particulier nos animaux de compagnie, aient ce “problème là” du paraître)… Que, quasiment personne d’entre nous, du “commun des mortels”, ni quasiment aussi, aucun artiste, aucun écrivain – sauf exception – ne se livre à une “caricature de son œuvre”, à une sorte d’ auto – destruction (qui n’en est pas vraiment une mais y ressemble), et cela dans la dérision… Jusque dans l’insolence iconoclaste…

    De très rares écrivains, tels Frantz Kafka, ont envisagé de détruire leur œuvre…

    Arthur Rimbaud, qui a cessé d’écrire de la poésie à l’âge de 20 ans, s’il n’a pas détruit son œuvre, a néanmoins orienté sa vie différemment en cessant d’écrire…

    Une caricature de son œuvre (accomplie ou inachevée, ou encore en travail), dans la dérision, dans l’insolence, dans une contestation de ce que l’on porte en soi (une contestation de son “propre système” en somme) ; et de surcroît, dans la caricature, quelques “étrons” jetés de ci de là, délibérément, qui font hurler d’horreur des amis de longue date ou même quelques uns de ses proches… Ça, c’est – peut-être – le combat contre les apparences, une quasi haine du Paraître, qui interpelle le plus, qui peut “faire mordre la poussière” au Paraître…

    Est-il possible de haïr le Paraître à ce point ?

    D’encore plus rares artistes et écrivains, que ceux qui détruisent leurs œuvres, se livrent à une caricature de leur œuvre.

    Parce que, toujours, toujours et toujours, et très vite, c’est le Paraître qui revient… Même si dans le Paraître entre une grande sincérité, une grande authenticité, une grande singularité… D’où, dans l’œuvre les “très belles choses” qui sont retenues, relayées, et “font date”…

    Peut-être que Jacques Brel, par exemple, quand l’on entend certains propos de sa part dans des interviews de journalistes ou encore dans quelques phrases des textes de ses chansons, s’est-il caricaturé parfois – avec son langage, par des formulations bien à lui…

    Coluche en a fait de même, aussi, à sa façon…

    Se livrer à une caricature de son œuvre jusqu’à jeter quelques “étrons” entre deux ou trois productions de ci de là, jusqu’à risquer de perdre des amis, jusqu’à risquer de se voir fermer des portes que l’on aurait aimé voir ouvertes… C’est en quelque sorte, une forme de suicide (mais tout en demeurant en vie, le poing prêt à se lever, d’un air de dire “ j’suis pas encore crevé va falloir me supporter j’ai encore des ronds d’chapeau à vous faire avaler”)…

     

    Est-ce que c’est vraiment aimer les autres, que de leur causer beaucoup de chagrin en mourant ?

    Est-ce que ça serait pas possible de les aimer, les autres, sans leur causer le moindre chagrin en disparaissant du “plancher des vaches” ?

     

  • Si le covid venait à disparaître

    … Si le covid – on sait jamais – “parvenait” à disparaître de la surface de la Terre… Les Inconditionnels du port du masque, “sans en avoir l’air”, sont en train, tant que dure le covid, à nous préparer pour trente ans, un monde masqué !

    En effet, si le covid disparaissait, il resterait encore toutes ces affections grippales, respiratoires, plus ou moins virulentes et à répétition, qui, en quelque sorte, “justifierait” le port du masque “entré dans les mœurs”, d’autant plus que, “en plus” des affections grippales et respiratoires, il y aurait dans une atmosphère devenue polluée, toutes sortes de particules, miasmes, etc. … Qui inciterait la plupart des gens, partout dans le monde, à porter un masque…

    À l’idée qu’un tel monde masqué serait là pour trente ans (c’est à dire jusqu’à l’année de mes cent ans en 2048 – et au delà si je devais dépasser cent ans d’âge) j’aimerais mieux, quitte à ne plus être “témoin vivant de mon temps”, “débarrasser le plancher des vaches” bien plus tôt que je ne le souhaite !

    Ce probable “monde masqué” pour trente ans et plus, ne me fait aucunement rêver, il m’horrifie, m’hallucine, me désespère !

    Je n’aurais jamais imaginé, quand j’étais âgé de 20 ans en 1968, qu’un jour dans le 21 ème siècle, on en arriverait à voir tous ces gens masqués partout, comme dans un très mauvais, très cauchemardesque film de science fiction…

     

     

    … En vertu de la constatation suivante : “tous les culs se ressemblent, aucun visage n’est pareil à un autre”… Et, en vertu du fait qu’aucun cul ne me fait fantasmer, fût-il de la plus belle femme du monde…

    Je suis “pour le port du masque sur le cul”, mais pas sur le visage !

    Dans un camp de nudistes, et plus généralement partout où l’on se met à poil, un masque sur les fesses, enfilé tel un slip de bain, pour par exemple éviter les coups de soleil… Ou pour ne point laisser voir s’écarter les lèvres du trou de bale quand on pète ; ou encore pour le cas où des bataillons de mouches et de moustiques en environnement chaud et humide près d’un étang se montreraient agressifs pour les fesses dénudées et odorantes de la raie … Ne me dérangerait point !

    Oui, donc, pour le masque sur les fesses ! (jetable ou en tissu) …

     

    … Personne, absolument personne au monde, ne me verra en photo – ou en “selfie” – avec un masque ! Sur aucun, absolument aucun des “univers” en lesquels je me produis sur la Toile. Ni sur Facebook, ni sur un blog, ni dans un forum, ni sur un site qui s’appelle “Familéo” dédié à des photos de famille accompagnées de petits commentaires…

    “Sa pomme” sur la Toile avec un masque, c’est comme une pomme de terre ceinte d’un ruban, fichée sur un piquet de tente au beau milieu d’un grand camping un 15 août…