Articles de yugcib

  • Un peu d'humour de premier niveau (bas)... Rire gras et facile

    … Les plus grands milliardaires de la planète en 2021, tout comme le Roi Soleil, les ducs et les princes en 1691, avec leurs armées de domestiques pour les servir, n’ont, les uns en 2021, les autres ayant eu en 1691, aucun d’entre eux, même Jeff Bezos patron d’Amazon, même Louis XIV roi de France… Un valet… Qui puisse aller pisser à leur place !

    Pris dans quelque action que ce soit, quotidienne, en quelque affaire urgente, tous ces gens là, lorsqu’ils sont indisposés, interrompus par une “promte envie de pipi”, doivent nécessairement s’isoler en un lieu dit d’aisance et passer plusieurs minutes – surtout s’ils sont âgés – assis ou debout devant ou sur le “trou” ! Ne pouvant guère demander à un valet, de pisser à leur place!

    À ce titre, ils sont donc les égaux du “commun des mortels” qui, en train d’essuyer de la vaisselle ou de pianoter sur son ordinateur ; n’a d’autre chose que de “dansoloter” jusqu’à la fin de l’action, ou bien de prendre le temps qu’il faut pour vider sa vessie !

     

  • Le Verbe

    … Le Verbe est comme la sève qui irrigue le bois de l’arbre ainsi que le corps ou le tissu de tout ce qui pousse ; il donne vie à l’arbre et à la plante, il fait tout l’espace de communication entre les êtres vivants…

    Il a donc un pouvoir, une puissance…

    Je lui souhaite, lui espère, le rêve, d’acquérir le même genre de pouvoir, que celui que j’ai une fois évoqué dans une histoire qui parle du “dragorek” : un très jeune enfant qui, serrant un caillou entre ses doigts, déclenche une force capable d’anéantir le monde à l’instant…

    Mais… Au lieu d’anéantir le monde, le “dragorek du Verbe” guérit le monde de ses maux, enlève la souffrance des gens, éclaire sans aveugler…

     

    … Entre les êtres vivants qui ne sont pas des êtres humains – je pense par exemple à des oiseaux, à des chiens, des chats, des vaches, des chauves souris ou des fourmis… Le Verbe est Verbe dans un tout autre sens : son “équivalent” se décline en son, en cri, en odeur, en vibration, en onde, en phéromone…

    C’est, pour l’être humain, la position du larynx (en haut à l’âge adulte et progressivement entre bas et haut, de la très petite enfance jusqu’à l’adolescence) qui est à l’origine du langage articulé.

    Pour tous les autres êtres vivants, notamment tous les mammifères, et en particulier les singes, ainsi qu’avant – 2 millions d’années pour les premiers humains (hominidés), le larynx n’était et ne restait qu’en position basse…

     

  • À propos des vidéos en publication diffusion sur Youtube

    … Au sujet, plus précisément, de créations personnelles – en vidéos – que tout un chacun, sur la Toile, et donc sur Youtube, Dailymotion, Facebook… Produit, expose, à la vue de tout public ou à l’intention d’un public restreint, choisi, d’amis ou de connaissances…

    La procédure, notamment sur Youtube, avec les vérifications faites (visible par des enfants oui ou non, droit d’auteur, problèmes pouvant être détectés et ne permettant pas la publication)… Me semble “tout à fait logique et acceptable” et je ne ressens pas cette procédure comme une contrainte, ni comme une privation de liberté…

    J’espère tout de même que cette procédure, telle qu’elle est définie ( “Chartrisée” on va dire )… Ce n’est pas “seulement une façade”…

    La position qui est la mienne en ce qui concerne la liberté d’expression, s’articule, se fonde sur la responsabilité, sur la réflexion, sur l’acceptation des risques encourus, sur l’acceptation aussi, de tout commentaire, de toute réaction pouvant venir, surgir…

    Ce monde, oui, est violent, exécrable, d’une médiocrité ambiante désespérante, absurde, par moments… C’est vrai que, y’a des moments où on a envie de sortir la kalachnikov et d’arroser rageusement !

    Mais c’est aussi, ce monde, un monde de beauté, ne l’oublions jamais ! Et la beauté doit pouvoir s’exprimer, c’est d’ailleurs le devoir de tous les acteurs de la beauté, que nous pouvons être, même ne sachant ni lire ni écrire, même sans “bagage intellectuel”… De l’exprimer, la beauté… Afin qu’elle prenne le dessus sur la laideur…

     

  • Les nostalgiques de la machine à écrire

    … Si je suis – et reste- un “nostalgique du Vinyle”, je ne suis guère en revanche, un “nostalgique des machines à écrire” !

    Lorsqu’il m’arrive de voir, dans un vide grenier ou dans une brocante, de “vieilles machines à écrire” (du genre par exemple de celle qu’utilisait Ernest Hemingway), je me dis “ c’est sans doute bien pour un collectionneur, mais certainement pas pour qui souhaite vraiment se servir d’une machine à écrire dans un but uniquement utilitaire en l’occurrence pour écrire le manuscrit d’un roman (pour un écrivain)”…

    Du temps où internet et surtout les ordinateurs n’existaient pas, il existait – dans les années 80 – des machines à écrire électroniques, qui permettaient une mise en place, une écriture, des ajustements, plus pratiques, que du temps des anciennes machines…

    Pour qui n’avait pas eu une formation en dactylographie, qui avait appris à taper tout seul, ce qui était mon cas, c’était “une galère” pour déjà mettre la feuille en place, faire les espacements bien alignés à droite et à gauche verticalement (justifié), corriger les fautes de frappe, changer le ruban, etc. …

    Et en plus, pour dupliquer, c’était assez limité, avec 2, 3 carbones c’est à peine si l’on pouvait réaliser trois copies d’un texte…

    Aussi, avec l’arrivée des ordinateurs à partir de 1995, avec le clavier, open office et les logiciels de traitement de texte, c’est devenu bien plus facile (il n’y pas de comparaison possible) !… Et avec les fichiers, dossiers, fonction copier coller, possibilité de reproduire en autant de fois qu’on veut sur des supports CD, disque dur, disque externe, etc. …

    C’est la raison pour laquelle je ne suis pas un “nostalgique de la machine à écrire” ! Et que j’ai peine à comprendre les personnes qui sont attachées à l’écriture sur machine à écrire !

    J’aimerais bien, par curiosité, qu’un “fervent” ou qu’un “inconditionnel”, ou qu’un utilisateur par préférence, de la machine à écrire ; me dise les “avantages” ou le “plus” qu’il y aurait, par rapport à l’usage d’un clavier d’ordinateur et d’Open Office ou Word ; m’explique pourquoi vraiment il préfère !

     

    … Je ne connais personne dans mon entourage qui écrit avec une machine à écrire ! J'ai bien connu, "dans le temps" (il y a déjà un certain nombre d'années) un ami, en Lorraine, qui était plus âgé que moi, et qui écrivait et publiait des livres, à une époque où l'on n’ avait pas encore internet ni d’ordinateurs (années 1980) et qui se servait d'une machine à écrire, comme d’ailleurs tous les écrivains à l’époque…

    Bien plus tard, au début des années 2000, j’étais encore en relation épistolaire avec cet ami, et il y avait depuis 1995 environ, internet, des ordinateurs, des logiciels de traitement de texte. Cet ami m’avait confié qu’il n’y connaissait rien en internet, qu’il n’envisageait pas de se servir d’un ordinateur, et qu’il continuait à se servir d’une machine à écrire, qu’il en serait ainsi, pour lui, jusqu’à la fin de ses jours…

    Il demeurait d’ailleurs un inconditionnel des “bonnes vieilles méthodes” traditionnelles, un “figé” de l’ancien temps…

    Il avait gagné, avec un livre "Cochebille", le Prix Découverte de la Société Littéraire des Postes et Télécom, en 1988…

    Il faut dire, soit dit en passant, que ce livre “Cochebille” “vaut son pesant d’or” tant par l’histoire racontée, d’un personnage de terroir Vosgien ; que par l’écriture du texte, très pure, très fluide…

    Comme quoi – c’est évident – la qualité de ce qui est produit, le talent… Ne dépend point de l’usage d’une machine à écrire ou d’un ordinateur, ou encore de cet outil naturel qui est la main…

    Il y a bien aussi Amélie Nothomb, elle, "anti-internet", mais je crois qu'elle écrivait ou qu'elle écrit toujours ses livres à la main...

    Qu'est-ce que je "rigole", tout de même, quand je vois dans des vide greniers, de vieilles machines à écrire !

     

    … Avant d’écrire avec le clavier d’un ordinateur, de compléter, de modifier ou d’ajouter un texte dans un fichier Open Office ; j’'écris moi-même avec un stylo... Ou plutôt avec un crayon de papier (je préfère gommer que raturer)... En général dans un carnet, toujours à portée de main, afin de noter des pensées, des réflexions qui me viennent, diverses notes éparses -souvent brèves- ... Tout cela pouvant être de futurs thèmes ou sujets à développer... Une manière en quelque sorte de "prendre sur le vif" ; avant que, "la vie courant" (dans ce que j'appelle "des bintzeries quotidiennes") ou certaines préoccupations d'ordre divers... Ne me les "envole" ces pensées, ces réflexions me venant…

     

  • Le variant indien du covid

    … En date du 30 avril 2021, il y a en Europe, déjà plusieurs cas de covid variant Indien.

    En Italie, en Belgique, en Suisse notamment…

    Et en France, sept cas identifiés (ce qui laisse supposer d’autres cas non identifiés), en Nouvelle Aquitaine, dans les Bouches du Rhône et en Guadeloupe…

    Selon des études et des recherches effectuées en laboratoire, plusieurs membres du Conseil Scientifique ainsi que des chercheurs, médecins spécialistes en épidémiologie, ont établi récemment que le variant Indien résiste à tous les vaccins et à tous les traitements…

    Il y a bien là, une réelle inquiétude…

    Il est étonnant que ce variant Indien ne soit pas encore apparu en Angleterre (mais peut-être l’est-il cependant)…

    L’Angleterre ayant conservé des liens – économiques, sociaux, culturels, commerciaux et autres- avec l’Inde depuis son indépendance le 15 août 1947 (L’Inde faisait partie intégrante de l’Empire Britannique du temps des Empires coloniaux)…

    De ce fait, forcément, il y a en Angleterre de nombreuses personnes originaires d’Inde ayant de la famille en Inde, des liens de commerce, de tourisme, d’importation exportation de produits, des échanges se faisant par voies aérienne et maritime…

    Un arrêt absolu et total de toute relation, échange, transit de personnes et de marchandises ; un arrêt de tout vol en provenance d’Inde, dans les aéroports européens ; un arrêt également de tout transport de marchandises induisant forcément du contact humain dans les opérations de logistique, fret, chargement déchargement, en provenance d’Inde ; devrait s’imposer partout dans toute l’Europe…

    Ce serait le seul moyen, pour éviter que des contaminations nouvelles s’ajoutent aux contaminations déjà existantes… Car, tant que ce variant Indien se trouve en concurrence avec d’autres variants (dont un ou deux ou trois restent majoritaires par rapport aux autres), il ne pourra, faute d’un “champ” suffisant pour s’étendre, se développer, prendre le dessus sur les autres variants…

    D’où la nécessité, actuelle, absolue, de bloquer, mettre à l’arrêt, tout échange, tout transit de biens et de personnes en provenance d’Inde…

     

     

     

    … Un virus, quel qu’il soit, de n’importe quelle nature, constitution, famille etc. , ne peut être considéré en tant qu’organisme vivant, que parce qu’il fonctionne comme un organisme vivant…

    Un virus est un organisme qui, pour pouvoir se développer, a besoin de prendre ce qu’il lui manque, ailleurs. C’est donc à l’origine même, un organisme incomplet…

    Fonctionnant donc comme un organisme vivant, à partir du moment où il trouve le champ d’expansion suffisant, où il trouve les hôtes pour se développer, possédant ce dont il a besoin, il devient, selon ses caractéristiques (des variants), majoritaire par ses caractéristiques, autrement dit un concurrent des autres de sa famille, qui domine…

    Tous les organismes vivants fonctionnent de la même manière, selon les mêmes lois ou principes naturels, universels… Ces lois et ces principes s’établissant selon un “rapport de forces”…

    Par comparaison avec un virus, une bactérie, elle, est un organisme vivant complet, autonome, qui n’a pas besoin de prendre ailleurs ce qu’il lui manque, pour se développer naturellement en milieu favorable à son développement…

    Cela dit, certaines bactéries sont plus dangereuses que certains virus… Mais elles sont combattues, détruites par les antibiotiques… Pour autant, cependant, que les antibiotiques demeurent efficaces, ce qui n’est pas toujours le cas…

     

     

  • Les deux dimensions de l'espace de communication

    … Je n’arrive pas à concevoir l’existence, la vie, autrement que dans un espace de communication…

    Sans espace de communication, par exemple avec en face et autour de soi, rien que de l’inanimé, du “non vivant”, par exemple un mur de pierre, de bois, de briques, de contre plaqué, de verre, de métal ; ou encore une étendue de cailloux et de sable à perte de vue jusqu’à un horizon indiscernable, l’intérieur d’une “capsule de survie” genre “canot de sauvetage” dans le cosmos à la suite d’un naufrage de vaisseau spatial…

    Sans espace de communication, la vie n’a plus aucun sens…

    Et cet espace de communication, il est fait de tout ce qui est vivant autour de soi, qui émet, se sent, se touche, se voit, s’entend, s’écoute…

    Il est fait, cet espace de communication, de tout ce que l’on émet, transmet, exprime de soi par la parole, l’écriture, le regard, le geste, d’une part…

    Et par tout ce que l’on reçoit de tout ce qui est vivant, qui émet du son, qui se meut, qui sent, se touche ; et si c’est d’un être humain, ce qui est exprimé par la parole, l’écriture, le geste, en plus de tout ce qui vient de tout être vivant, d’autre part…

    Autrement dit les deux sens nécessaires, intemporels, vitaux dirais-je, ou les deux dimensions, de l’espace de communication…

    Il y a “quelque chose d’absolument dramatique”, de “grave”, à se sentir exister dans les limites de l’être que l’on est, “tout seul dans sa peau”, et de savoir que l’on n’est, n’ a été et ne sera tel que l’on est, à la fois si semblable et si différent des autres, et si unique à nul autre pareil… Qu’une seule fois dans l’éternité, dans l’espace…

     

  • Smartphone et tablette, et ordinateur : comparaison

    Smartphone, tablette et ordinateur ; comparaison

     

    … Ayant constaté que de plus en plus, aujourd’hui, et cela depuis déjà quelques années, le “phénomène” s’accentuant même, actuellement… Les gens, surtout les moins de 40 ans, utilisent au quotidien, notamment dans leurs déplacements pour se rendre au travail, en fait à tout moment, en tous lieux où ils se trouvent, bien davantage un smartphone, une tablette, qu’un ordinateur (fixe ou portable) lorsqu’ils se connectent sur Internet, sur les réseaux sociaux, les blogs, les sites de centrales d’achat ou d’informations et de services en ligne…

    J’en ai déduit (ou cela m’a incité à penser), que cela traduirait une “tendance générale” à préférer le visuel, l’immédiat, la facilité de transmission, l’effet produit, la rapidité, l’accessibilité de ce que l’on cherche ; plutôt que du “travail” de recherche, d’étude, de production par l’expression écrite, artistique, personnelle et demandant un réel effort de réalisation, tout cela nécessitant l’usage et la maîtrise d’ “outils” bureautiques…

    Il est certain, je dis cela pour l’avoir constaté en me servant tous les jours d’un smartphone connecté à Internet, et après avoir à plusieurs reprises pratiqué l’usage de tablettes ; que pour la bureautique, les smartphones et les tablettes, ce n’est pas l’idéal loin s’en faut !

    Bien sûr avec le système Android, purement et uniquement tactile (tout se fait, s’obtient, par pression du bout du doigt – ou d’un stylet adapté ), on peut tout de même “faire de la bureautique” (de base)… Mais “bonjour la fonction copier/coller” déjà (une galère, avec cette mise en surbrillance entre deux index, et l’appui sur “copier” et ensuite le report (coller) là où on veut, d’autant plus qu’il faut aussi avoir sur son appareil la possibilité d’ouvrir des onglets comme sur un ordinateur fixe ou portable, ou de naviguer entre un fichier, un dossier et une page d’internet en zone texte d’un blog, de facebook, etc.)… Pas pratique du tout même si c’est “faisable” !

    Néanmoins, pour tout ce qui est photos, vidéos, images à transmettre à son correspondant, à ses amis et connaissances, pour diffuser ce que l’on voit, dont on est témoin, pour envoyer de brefs messages, il faut reconnaître que le smartphone et la tablette, du fait de la mobilité, du peu de place prise sur soi, dans une poche, une sacoche, un sac à main… C’est mieux qu’avec un ordinateur, même qu’un mini ordinateur…

    Mais reconnaissons aussi que le smartphone et la tablette, ne sont pas ce qu’il y a de mieux pour les écrivains, pour les artistes, pour tous ceux et celles d’entre nous qui produisent des “choses personnelles” (ou y travaillent dessus) …

    Et, d’autre part, que la tendance à une grammaire autant de langage que de comportement, simplifiée dans le langage, et axée sur de l’effet produit dans le comportement…

    Que la tendance aussi, à se limiter de plus en plus à une pensée et à une réflexion réduite ou raccourcie, incite bon nombre de personnes à se servir bien davantage d’un smartphone, ou d’une tablette, plutôt que d’un ordinateur…

     

     

  • L' Inde, un "pays de rêve" ?

    … L’Inde ne me semble guère être un pays dont on peut rêver, avec par exemple, une “ambition voyagesque démesurée” et je m’interroge sur l’engouement que peuvent avoir un certain nombre de gens “aimant les voyages” pour séjourner dans ce pays aussi densément peuplé, où les gens partout y compris dans le moindre “village” (d’au moins dix ou vingt mille habitants), sont entassés, compressés les uns les autres, où l’on se déplace au beau milieu de ces immenses foules au bord du Gange ; avec sans doute de l’électricité seulement dans quelques commerces et hôtels, une absence d’hygiène (j’essaye d’imaginer d’éventuels WC en guérites de planches disjointes ou même des fosses d’aisance communes où l’ on “bonze” par rangs de dix personnes) ; des restaurants en majorité de “gargotes” où l’on mange assis en tailleur sur une couverture ou à même le sol, des “hôtels louche” avec pour “salle de bains” un broc et une cuvette sur une table en formica… Sans compte le risque de contracter une gastro entérite carabinée ou quelque “saloperie” qui te foute en l’air ta santé pour un bon bout de temps…

    L’Inde, oui… Quel tourisme et surtout quel genre de tourisme, dans ce pays ?

    Un tourisme de Touropérator, peut-être, en palace, hôtel de luxe, en “ilot préservé” de la grande mouvance errance générale et des foules immenses, et de la puanteur de toutes sortes de relents ou de fragrances désagréables, de la cohue, des vols à la tire, de l’insécurité ambiante ; en cars Grand Tourisme équipés climatisés WC couchette internet à bord sur des routes cahotantes, des autoroutes défoncées, voire des chemins de terre “élargis”…

    Ou un tourisme de pur et dur aventurier, de personnes en très bonne santé, jeunes, rarement âgées de plus de 50 ans, avec sac à dos, bâtons de marche, smartphone au ceinturon, “logeant où et comment”, prenant un train bondé où les gens sont entassés sur les toits des wagons, ou faisant de l’auto stop, peut-être pris en charrette à âne, ou louant les services d’un coursier à pied tirant une “cahute” sur roues de vélo… Y’a-t-il d’ailleurs des “GR” balisés pour randonneurs “chevronnés” s’acheminant par étapes vers des sortes de “nirvanas” dans des montagnes ou vers le Gange, fleuve “mythique”?

    … Dans mes “J’irai jamais” ( J’irai jamais au Cameroun, j’irai jamais au Nigéria, j’irai jamais en palace quatre étoiles aux Seychelles, j’irai jamais faire du shopping à Shangaï…), j’irai jamais en Inde en vol sec aller retour New Delhi…

     

  • Les belles âmes

    … “Les belles âmes arrivent difficilement à croire au mal, à l’ingratitude, il leur faut de rudes leçons, avant de reconnaître l’étendue de la corruption humaine.”

     

    [Honoré de Balzac]

     

    … Les âmes les plus belles – à mon sens – ne sont pas forcément celles dont la beauté nous émerveille parce qu’elle est évidente ; ce sont les âmes “fortes”…

    Les âmes “fortes” qui bien sûr sont ou peuvent être “belles” par leur beauté, mais aussi par ce qui, en elles, les fait libres, indépendantes, et, ayant rencontré le mal, l’ingratitude, l’indifférence, l’hypocrisie, le mensonge, la cupidité, la jalousie ; ayant dû faire face aux individualismes les plus archarnés… Ne sont pas pour autant devenues amères ou emplies de rancœur, mais plutôt demeurées indéfectivement enclines à une espérance ne pouvant être qualifiée de déraisonnable…

    Si l’étendue de la corruption humaine peut être avec force et détermination dénoncée, autant que possible dans une formulation ayant plus de portée que d’effet…

    Si ce qui apparaît en “trompe-l’œil” dans le tableau doit être montré…

    N’y a- t – il pas aussi, nécessité, à “voir” ce qui n’a pas été vu, ce qui ne s’est pas laissé voir, ce qui a été tenu pour négligeable… Et qui aurait pu être aimé ? …

    … Comme dans les cimetières dont on parcourt les allées, s’arrêtant devant une tombe sans nom, abandonnée, où, gît, décédé à une date ne pouvant être lue, quelque personnage dont on imagine la vie et le visage qu’il a eu, une histoire, et ce que l’on aurait pu aimer de lui, qui n’a pas été su, de son vivant…

    … Il n’y a, c’est vrai, que dans les cimetières que peuvent nous venir de pareilles pensées, de pareilles “visions”… Que celles qui ne nous viennent jamais, enclins que nous sommes, à différencier, à apprécier, selon des valeurs, selon des critères, des principes, des apparences…

     

     

  • Les Empapaoutés et les Dépapaoutés, suite

    https://www.youtube.com/watch?v=69M2WfeBaoc

     

    … Les Empapaoutés, pas plus que les Dépapaoutés, ne sont forcément, les gens les plus intéressants…

    À fréquenter, à écouter, à lire…

    Il y a d’exécrables, d’ “imbuvables” Empapaoutés dont les empapatouements, pour ce qu’ils ont d’inaudible, pourtant parfois bardé de culture, ou au contraire bardé d’inculture, pour ce qu’ils ont de cocoricohant, de “patat’saladisant” dans leurs propos ; pour, encore, ce qu’ils ont de “luminant- qui – brûle – les – yeux” en eux, ce qu’ils ont d’emmerdant en eux, de crispé en eux… Nous gavent… Mais néanmoins suscitent des engouements de “followers”…

    Ils ont souvent, ces Empapaoutés là, qui nous gavent (enfin “qui ne gavent pas tout le monde il faut dire”) – y compris les bardés de culture – une caractéristique commune :

    Ils parlent et écrivent dans une langue qui n’est plus une langue ni française, ni anglaise, ni espagnole ni quoi que ce soit mais une langue d’une grammaire simplifiée, d’un vocabulaire limité, qui exclut les nuances, botte en touche la pensée et surtout la réflexion…

    Et ce ne sont pas, ces Empapaoutés là, les plus “zappés”… Soit dit en passant, vous vous doutez bien, quelques uns d’entre vous, quels sont les Empapaoutés les plus “zappés”…

    Le jour où la Panthère, sortie du bois, “trônera dans le paysage”, la Panthère devant laquelle se tortillent du derrière plusieurs millions de nos concitoyens (autant Empapaoutés que Dépapaoutés), sans doute n’existera-t-il point de censure pour exclure des débats publics, des réseaux sociaux, de ce qui fait l’opinon publique, toutes ces constellations d’Empapaoutés suscitant toujours les mêmes engouements allant dans le sens de ce qui régale le museau de la Panthère…

    En revanche il est fort à craindre que les Empapaoutés déjà aujourd’hui les plus “zappés”, soient encore plus “zappés” voire carrément bannis des réseaux sociaux, des débats publics !

    Quant aux Dépapaoutés, qui n’ont aucun empapatouement particulier, qui constituent “le gros des troupes” en grande partie “affilié” aux Empapaoutés avec “followers” derrière eux ; qu’auront-ils à craindre ?… Mais qu’auront-ils à vrai dire, à subir, sinon ce qu’ils subissent déjà, de la domination des élites, des décideurs, des grands patrons du CAC 40, ce qu’ils subissent donc déjà mais qu’ils subiront bien plus encore, en dépit de rognures peut-être enduites d’un peu plus de bidoche, qui leur seront jetées !

     

     

     

    … Bon, quelques militaires qui ont un peu – paraît-il – exprimé un peu trop haut et fort, ce qu’ils pensent de l’actualité du moment dans notre pays, la France…

    Mais que pensent, adhérents et sympathisants oui ou non, du Rassemblement National, beaucoup de “Français citoyens Lambda”…

    On ne peut leur donner tort, on les comprend, JE les comprends…

    MAIS… Mais…

    Outre ce qui désole, ce dont on en a marre, ce qui nous fait peur au quotidien… Pour appeler des chats des chats : l’islamo-gauchisme, le laxisme, les attentats terroristes, l’insécurité dans les banlieues avec les voyous et les dealers, l’école en déroute, et toutes les incivilités possibles et imaginables et… J’en passe y’en aurait des kilomètres à écrire…

    Outre ce qui désole, il y a AUSSI (mais ça on en parle beaucoup moins)… Toutes ces très grandes entreprises du CAC 40 et des lobbies des marchés agro alimentaires industriels tous produits, côtés en Bourse, qui ont reçu des aides de l’État à cause de la crise du covid, mais ont engrangé “comme par hasard” depuis plus d’un an, d’énormes profits et ont augmenté les dividendes de leurs actionnaires… Avec, c’est évident, une partie de l’argent que le Gouvernement leur a versé en compensation de supposées pertes parfois réelles…

    De “ça”, la Panthère, elle en “feule” pas trop ! … Du moins je n’ai pour ainsi dire rien entendu ni vu ni lu, de “ça”, de la part des “chantres” du Rassemblement National…

     

     

  • Nos modes de vie

    https://www.youtube.com/watch?v=vzpDmdjF6QI&t=79s

     

    … Ce sont bien là, nos modes de vie, dans une civilisation “occidentalisée consumérisée à l’échelle de toute la planète jusque chez les Inuits et les Papous” – version “Empire du Milieu” du côté du Levant et d’en dessous la Grande Muraille ; version Qatar, Iran, Grand Turc ou Pachtoune…

    Y’en effet que les versions qui changent mais pas le fond du fond…

    Des modes de vie qui, avant les masques portés sur les visages depuis le début de la pandémie de covid ; étaient déjà de toutes sortes d’autres masques couverts – et arborés…

    Des modes de vie qui ne seront peut-être jamais démasqués – ou qui parfois le sont mais indignant exaspérant tous ces porteurs de masques étendards foulards pancartes à bout de bras marchant à genoux sans le savoir ou dans la soumission ou dans l’indifférence…

     

     

  • "Par les temps qui courent" il faut reconnaître que ...

    “Par les temps qui courent”, il faut tout de même reconnaître que :

     

    … Aussi “large d’esprit” que l’on peut être ; aussi convaincu de la liberté de chacun de croire et de pratiquer la religion de son choix…

     

    … Quelqu’un qui, à l’âge de 35 ans (par exemple), un homme ou une femme, baptisé catholique à la naissance (comme le sont une majorité de gens en France), pas “spécialement pratiquant” – ou même “pas pratiquant du tout, ne se rendant à l’église que pour des mariages et des enterrements, et finalement même “non croyant”… Et, de surcroît, “Français de souche” depuis plusieurs générations et ayant ses ancêtres dans un même terroir de France…

     

    … Qui se convertirait à l’Islam…

     

    … Ou encore ce même homme ou femme - ou un autre n’étant pas “de souche” (française) depuis plusieurs générations, et qui serait :

    Un policier, un militaire, un professeur des écoles…

     

    … Qui se convertirait à l’Islam…

     

    … Ou encore ton fils ou ta fille en âge de se marier, fréquentant un Musulman, une Musulmane “pur et dur” et l’épousant… Avec peut-être pour ta fille l’obligation de se voiler, ou voir ta belle fille porter le voile…

     

    … Tout de même… Cela peut paraître “suspect”, ou “il y a de quoi être “déstabilisé”!

     

    “Suspect” s’il s’agit du policier, du militaire ou du professeur des écoles, âgé de 35 ans (par exemple) catholique de naissance “non spécialement pratiquant”…

    L’on peut en effet s’interroger sur cette “motivation” à “embrasser” l’Islam et devenir “croyant et pratiquant” à tel moment de sa vie !

     

    “Inconfortable”, “déstabilisant ”… (y’a quand même de quoi), pour des parents, de voir leur fille ou leur belle fille porter le voile…

     

    … Je le redis : “avec pourtant l’esprit très large, très ouvert” et attaché, très attaché à la liberté pour chacun, de croire, de ne pas croire, d’être de telle ou telle religion…

     

    … “Par les temps qui courent” …

     

    … Être musulman de naissance, de parents musulmans, croyant/pratiquant ou seulement “de tradition”… Tout comme chrétien, Juif, Bouddiste, de naissance et de par sa famille et de par la tradition… Cela paraît “naturel”, cela s’impose comme étant naturel ( on croit ou non en un Dieu, c’est société, c’est la civilisation qui est faite ainsi )…

     

    … Mais devenir musulman à un certain moment de sa vie alors qu’avant on était d’une autre religion ou athée… “Cela ne se voit pas tout à fait pareil, ça se ressent pas aussi naturel aussi automatique, que de voir chaque matin le soleil se lever !”…

    … Mais… On peut en dire autant, de devenir Chrétien, Juif, Bouddiste à un moment de sa vie alors qu’avant on était rien ou autre chose…

     

    … J’arrive pas à imaginer Dieu, catholique, protestant, musulman, juif, bouddiste ; j’arrive pas à imaginer Dieu “privilégiant” une religion plutôt qu’une autre…

    J’imagine Dieu n’ayant aucune empathie pour les religions, s’en riant et s’en désolant en même temps – pour ainsi dire !

     

    … “Pas d’amalgame” ! “Pas d’amalgame” ! Oh combien je veux bien, oh combien je suis pour !

    Car il faut reconnaître que, pour un “vrai/vrai” musulman, pacifique, sincère, et de surcroît “aimant la France, la République française et ses valeurs” – et intégré à la société française ; ça doit être “très/très dur”, dramatique, désespérant ; d’entendre dire que l’Islam c’est la seule religion où l’on tue “pour aller au paradis” (ce qui soit dit en passant n’est pas vrai puisque dans d’autres religions on assassine aussi des gens au nom de Dieu ou pour “purger la société de ses mauvais éléments” – y’a qu’à voir par exemple comment sont traités des musulmans en Inde et en Chine et pas par des Chrétiens ) …

     

    … Il est vrai aussi que les catholiques “n’ont pas fait dans la dentelle” au temps des Cathares, ni les mêmes catholiques ainsi que les protestants (religion réformée) à l’époque des guerres de religion au 16ème siècle chrétien !

     

    … Et ce “pape de merde” Pie XII, qui, durant la seconde guerre mondiale et la domination nazi en Europe, a “fermé les yeux” sur la déportation, le massacre des Juifs !

     

     

  • Grippe "espagnole" et covid

    … De mars 1918 jusqu’en juillet 1921, durant un peu plus de trois ans et en trois “vagues” successives partout dans le monde, la grippe dite “espagnole” a tué au moins 50 millions de personnes – peut-être jusqu’à 80 millions, et cela toutes générations confondues même si, comme pour le covid depuis fin 2019, ce sont les personnes âgées et les jeunes et moins jeunes en mauvaise santé, qui ont été les victimes en grand nombre…

    Elle n’avait en fait, absolument rien d’ espagnol, cette grippe : ce n’était ni plus ni moins qu’un virus grippal de même type que le covid actuel, de la famille virale des coronavirus…

    Il a même été avancé (un “bruit qui a couru”) que c’était la peste pulmonaire, mais cela est impossible puisque la peste a pour origine un bacille (bacille de Yersin transmis par des rats et ayant pris pour hôte l’homme s’est transmis d’humain en humain ensuite), et que la peste n’était plus que marginale au 20 ème siècle, les dernières épidémies s’étant produites au 19 ème siècle, et les progrès de l’hygiène l’ont sinon éradiquée du moins très fortement diminuée en expansion à partir du début du 20ème siècle… Alors que la grippe et que le covid ont pour origine un virus (lui aussi au départ, transmis par des animaux sauvages)…

    À l’époque, de 1918 à 1921, partout dans le monde, il n’y avait aucun confinement, les magasins, boutiques, marchés, écoles, salles de spectacle, les ateliers, les usines… De tout cela rien ne s’était arrêté, tout fonctionnait normalement, les gens ne portaient pas de masque, sauf dans les hôpitaux, dans les centres médicaux…

    Il a fallu trois ans en trois grandes vagues successives, dont la plus sévère fut la deuxième, pour que la moitié de la population mondiale soit infectée, c’est à dire près d’un milliard d’humains (sur une population totale en 1920, de 1,811 milliards d’humains)…

    C’est sur ce 1 milliard de personnes infectées qu’il faut compter les 50 millions de morts. (Combien ont été malades, certains sérieusement, et finalement ne sont pas morts, cela on ne le sait pas vraiment, peut-être 300 millions)…

    Lorsqu’au bout de trois ans, la moitié de la population du monde a été infectée, alors l’épidémie s’est mise à régresser et à disparaître, pour laisser la place à des formes de grippe “normales” (et perpétuelles, annuelles)…

    Si l’on compare avec le covid depuis fin 2019, l’on s’aperçoit que le covid progresse “moins vite” dans l’ensemble du monde, que la grippe “espagnole”, et cela, parce que les confinements successifs, le port généralisé du masque y compris en extérieur, les mesures prises de protection notamment en matière de contacts entre personnes avec la distanciation beaucoup pratiquée sauf en Inde et au Brésil ainsi que dans certains pays, les nombreuses fermetures de lieux public, de spectacle, de sport, de commerce… Ralentissent la progression et en conséquence étendent la durée de la pandémie (mais sans pouvoir l’arrêter)…

    Aujourd’hui ce sont 3,5 millions de personnes dans le monde qui sont mortes du covid (en fait certainement davantage) sur un total de 7,8 milliards d’humains…

    Avant que seulement la moitié de la population mondiale puisse être vaccinée (et avec le temps qu’il faudra pour atteindre 50% de la population) il existe donc encore pour le virus Covid et ses variants, un “réservoir” de quelque 4 milliards d’humains… En conséquence, du fait de l’extension de la durée dans le temps, ce sont encore, avant que ce virus régresse de façon significative, jusqu’à 2 milliards de personnes qui peuvent être infectées, durant une période indéfinie – sans doute supérieure à 3 ans… Et, sur ces 2 milliards de personnes infectées, peut-être 1 milliard de malades à venir, cent millions de formes graves, et entre 10 et 20 millions de morts s’ajoutant aux 3,5 millions de déjà morts…

    En proportion du nombre de morts par rapport à la population mondiale, ce qui fait la différence entre la grippe “espagnole” de 1918-1921 et le covid de 2019- … , ce sont les mesures de protection, les fermetures de lieux publics, la vaccination, les progrès de la médecine, actuels (qui faisaient défaut en 1920)… Et du fait de tout ce qui “freine” la pandémie, de toute évidence, une durée de la pandémie covid, forcément plus longue que la durée de la pandémie de grippe “espagnole”…

     

  • Est-ce que la provocation et la dénonciation sont possibles sans amertume ?

    … Peut-on être dans la provocation, dans la dénonciation, dans l’attaque, dans la violence de propos en parole ou en écriture ou en caricature…

    Sans pour autant être dans l’amertume et dans la rancœur ? Et sans tomber dans le répétitif quand bien même ce qui est répété l’est différemment et dans toute une “gamme” de formulations et de contenus sur les mêmes thèmes ?

    Difficile…

    Et… Quelle pourrait alors être la lecture, par les autres autour de soi, de ce qui parviendrait à être exprimé dans la provocation, dans la dénonciation, mais sans rancœur, sans amertume… Autant qu’il est possible ? Ou du moins, avec ce qui pourrait être de la rancœur et de l’amertume “canalisés au mieux” ?

    Être dans la provocation et dans la dénonciation avec le moins d’amertume et de rancœur possibles ; devrait avoir plus d’impact, plus de portée… Encore faudrait-il que la lecture qui en est faite, soit la “bonne lecture”…

    Car la lecture faite par les autres autour de soi, dans la mesure où cette lecture rejoint l’amertume et la rancœur qui habite l’autre, les autres…Incite à un partage de ce qui est ressenti entre deux ou plusieurs interlocuteurs… Un partage, en fait, sans perspective et comme figé tel la sauce refroidie dans un plat que l’on se passe entre convives réunis…

    En littérature et en art, la dimension qui semble la plus commune et dans laquelle les auteurs de toutes sortes d’œuvres se situent – pour autant que l’on puisse, cependant, parler de littérature et d’art – cette dimension est celle, soit de l’adhésion à ce qui doit plaire ou distraire, soit de l’inclination à la dénonciation et à la provocation dans l’amertume…

    Mais il existe – peut-être – une autre dimension que celle, soit de l’adhésion à ce qui est commun et qui passe aisément ; soit de l’inclination à exprimer dans l’amertume…

    Il est difficile d’y entrer, dans cette dimension là, indépendante des deux autres en lesquelles on entre habituellement…

    … S’il ne pouvait demeurer, dans cette “autre dimension”, QUE la provocation et la dénonciation !… Mais pas l’amertume…

     

  • Qui peut répondre à la question suivante ? :

    Considérons un espace One Drive, de Microsoft, espace de stockage en ligne gratuit jusqu’à 5Go de données stockées (textes open office, PDF, des albums de photos, entre autres fichiers, dossiers)…

    Il n’est pas nécessaire chaque année de renouveler, puisque l’option choisie est gratuite, et donc “apparemment illimitée” dans le temps, telle qu’elle est à partir du moment où les 5 Go ne sont pas atteints.

    Il a suffi au départ, d’accepter et de signer les conditions générales d’utilisation, en créant un compte Microsoft (et en choisissant définissant ce que l’on accepte ou non, grâce aux paramètres, et après avoir bien lu et considéré tout le texte des CGU)…

     

    Supposons que, l’espace de 5Go se révélant “trop court”, que l’on ait besoin par exemple d’obtenir jusqu’à 50 Go ; que l’on prenne alors un abonnement coûtant 2 euro par mois soit 24 euro pour l’année… Dans ce cas, bien sûr chaque année il faut renouveler à date fixe, l’abonnement de 24 euro…

     

    La question est la suivante :

     

    Si pour une raison (accident grave, maladie, décès) du propriétaire (en “co propriété” avec Microsoft Google et les partenaires acceptés dans les CGU), il n’est plus possible de procéder au renouvellement annuel de l’abonnement… Alors que devient l’espace de 50 Go : est-il automatiquement ramené à 5 Go – mais dans ce cas, comment – ou bien cesse-t-il d’exister, et disparaît-il donc ? … Ou perdure-t-il quand même, mais “ne se remplissant plus” ?

     

    L’incertitude à ce sujet (du devenir d’un espace de 50 Go) étant ce qu’elle est (ou ce que l’on peut croire)… Ne vaut-il pas mieux alors, s’en tenir à l’option gratuite et donc sans renouvellement annuel, de seulement 5 Go ? … Quitte à devoir choisir ce qui peut entrer dans les 5 Go…

     

    … C’est cela, en effet, le problème des espaces de stockage en ligne : dans les versions payantes, le renouvellement annuel… Qui “un beau jour” hélas ne peut plus se faire…

    Pour certaines plateformes d’hébergement de sites personnels (par exemple “monsite.com”), dans l’option “pro” qui coûte 60 euro par an, le jour où tu ne peux plus renouveler – c’est bien spécifié clairement – ton site, alors redevient version gratuite et perdure tel qu’il est, sans nouvelles productions…