Articles de yugcib

  • Récupération recyclage des masques

    Recup masques

    … Dans ce monde d’apparences où le cul a plus d’importance que le visage, je suggère de recycler les masques non utilisés après la fin de la pandémie de covid, en slips : il suffit de couper l’élastique de maintien autour des oreilles, puis de joindre, avec un rajout, les bouts, afin que les élastiques de maintien fassent le tour du cul, l’un au dessus (bien au dessus) du trou de bale et l’autre au dessous…

    Voici ce que ça donne sur l’image ci jointe (devant et derrière)…

    À noter que sur le dessin, à gauche, donc côté devant, on ne voit que le contour de la tête : en effet, les yeux, le regard, le sourire, on s’en fout !

    À noter également, encore, sur le dessin “côté devant” : le nombril bien en vue …

     

  • Entérid 22

    … Survient une pandémie, non plus cette fois, de covid, mais d’ entérid, causée par un virus de la famille des lentivirus , et infectant les organismes vivants (dont l’humain) par l’eau (eau potable, eaux usées, eaux des ruisseaux, des rivières, eaux circulant dans les canalisations en réseaux, des villes et des villages partout en zones habitées ) … Mais pas, cependant, par les eaux des mers et des océans, en milieu salin qui “endort” et rend inactif ce virus, apparu fin 2021…

    Ce virus s’attaque aux humains, aux animaux domestiques, chiens, chats, ainsi qu’aux oiseaux, aux animaux d’élevage pour la production de viande et de lait, beurre, fromage, … Mais pas aux insectes, pas aux animaux à sang froid…

    La maladie se déclare sous la forme d’une gastro-entérite avec fièvre intense qui s’aggrave et devient sévère, laisse d’importantes séquelles invalidantes, permanentes ou récurrentes dans environ 50% des cas, et la mortalité s’établit autour de 15 à 20%…

    En l’espace de seulement quelques jours, avec la vitesse de propagation dans les eaux, notamment l’eau circulant dans les canalisations, les tuyauteries, jusqu’à nos robinets de cuisine, salle de bain etc. … C’est toute une population dans les villes et les campagnes qui est infectée, de telle sorte qu’en moyenne au moins une personne sur dix, développe les premiers symptômes de la maladie : une fièvre intense se déclarant brusquement, suivie de nausées et de douleurs abdominales…

    Dans environ 50% des cas, les gens atteints doivent être hospitalisés et demeurent dans un état critique, nécessitant des soins particuliers et permanents, durant une dizaine de jours, puis le mal régresse et laisse des séquelles…

    Mais 10 à 15% des personnes gravement atteintes, décèdent au bout de quelques jours…

    La gravité de l’atteinte ainsi que les décès, affectent les populations quelque soit leur âge, leur mode de vie et leurs habitudes de consommation alimentaire, quel que soit aussi leur environnement social, s’ils sont riches, aisés, pauvres…

    La différence avec le covid 19, c’est que l’entérid 22 ne se transmet pas par l’air, et donc pas par la respiration, mais par l’eau avec laquelle le corps entre en contact… Or, tout le monde boit de l’eau, se lave, utilise de l’eau pour la cuisine…

    L’afflux des malades dans les hôpitaux, cliniques, centres de soins est tel et surtout si soudain, que les services notamment de réanimation et soins intensifs sont saturés, que des dizaines de personnes sont allongées sur des lits de fortune dans les couloirs, jusqu’en extérieur ; la mortalité est effrayante…

    Les chiens, les chats, les animaux domestiques, d’élevage (bovins, porcs, etc.) et de basse cour (poulets, dindes, canards etc.) meurent en masse… Ceux qui survivent doivent être abreuvés avec des eaux minérales conditionnées en bouteilles et cubitainers… (Il en est de même pour les humains qui ne peuvent plus utiliser d’eau du robinet)…

    D’où la prépondérance que prend le marché des eaux minérales produites en masse – mais avec la perspective à moyen terme d’un épuisement du fait de l’importance des besoins… Même si les gens ne prennent plus de douches, encore moins de bains, et pour beaucoup d’entre eux, ne se lavent plus le corps…

    Alors que pour le covid 19 on avait trouvé un vaccin en l’espace de quelques mois, cette fois pour l’entérid 22, il s’avère impossible de mettre au point un vaccin ( ce virus, de la famille des lentivirus, s’apparente au virus du sida – contre lequel depuis 40 ans que le sida sévit, on n’a jamais trouvé de vaccin)…

    Le seul moyen de se sortir de cette pandémie, c’est de faire venir de l’eau de mer par camions citernes, trains de wagons citernes, d’édifier des entrepôts de stockage d’eau de mer , afin que tout le monde, partout, puisse s’alimenter en eau pour les toilettes, les salles de bains, la vaisselle… Et pour boire, faire la cuisine, n’utiliser que des eaux minérales (autant qu’il s’avère possible de s’en procurer)…

    Des essais pourront être faits, de désaliniser l’eau de mer, afin de la rendre consommable pour l’alimentation, la cuisine, la boisson… Mais en veillant à ce que cette eau désalinisée échappe au contact de l’entérid 22…

     

  • The Queen below the seas

    Queen below the seas

    … Avec en option : plongée sous-marine le long des côtes de Terre Adélie, Antarctique, exploration de grottes s’ouvrant sous la banquise et s’enfonçant tels de gros boyaux sinueux dans la masse rocheuse sous-continentale… Pour les sportifs de l’extrême, aguerris, intrépides, amateurs de sensations fortes…

     

     

  • Une question pratique, banale, peut-être "bête" mais pouvant se poser

    … Dans les “Carrefour City” des centre – ville en rues piétonnes éloignées des parkings souterrains, vend-on des eaux minérales en pack de 6 bouteilles de 1,5 litre ?

    Si c’était le cas, alors l’on verrait bien à proximité du “Carrefour City”, s’installer un marchand de poussettes d’enfants reconverties en charriots de transport de commissions, entre autres objets pratiques, de la maroquinerie, des valises, de ce que l’on achète dans les GIFI et les CASA…

    J’imagine mal papy ou mamy vivant seul au 4ème étage d’une résidence sans ascenseur, faisant ses courses dans le quartier, se procurer au “Carrefour City” où il/elle se rend à pied, un pack de 6 bouteilles de 1,5 litre d’eau minérale, notamment lors de journées où, suite à un gros problème d’eau potable (une pollution occasionnelle) , la municipalité conseille vivement de ne pas boire d’eau du robinet…

    Tiens, il faudra que je vérifie, la prochaine fois que je me rends en centre ville piétonnier dans une grande ville, si, dans le Carrefour City du coin ou autre supermarché installé en rue piétonne, l’on y vend effectivement des packs d’eau minérale de 6 bouteilles de 1,5 litre…

     

     

  • Les émissions Télé que je ne regarde jamais

    Les matches de foot avec en particulier un rejet absolu du PSG

    Esprits criminels

    Capital

    Indiana Jones

    New York unité spéciale

    The Bridge

    Les Experts

    Kaamelott

    S.W.A.T

    Ford Boyard

    Balance ton post

    Cold Case

    Koh-Lanta

    Vendredi tout est permis

    The Voice

    Commissaire Magellan

    On est en direct (qui remplace On n’est pas couché depuis septembre 2020)

    Colombo

    Joséphine ange gardien

    Le grand entretien après 20 h 30 (une demi heure) d’un personnage invité, avec Laurent Delahouse le samedi ou dimanche soir (j’en ai souvent rien à foutre de la vie privée de ce personnage -en général sauf si d’aventure c’est un artiste ou un écrivain que j’apprécie )… Laurent Delahouze il m’énerve un peu, je le trouve “très édulcoré/ très consensuel/ très dans le convenu… (mais il est “plus supportable” que David Poujadas avec son “petit sourire constipé”)…

    … Et plus généralement, les grands shows de divertissement spectacle chansons music hall ; les séries (policières et autres)

    Et, celle là je la garde pour la fin tellement elle me gonfle : Un si grand soleil tous les soirs sur France 2 après la météo

    Ça fait tout de même beaucoup ! … À la “Tu-es-laid” !

    Et il y a encore quelques autres émissions, qui me barbent ou que je regarde jamais, que je n’ai pas citées dans la liste.

    Ça vous étonne ? (Celles et ceux qui me connaissent de longue date)

    Quant aux émissions que je regarde tout de même de temps à autre (souvent en partie seulement ou avec des interruptions de 5, 10 minutes un quart d’heure) il y a :

    Faut pas rêver (un peu trop “convenu” je trouve)

    Echappées Belles ( 1 le samedi soir ça peut aller mais 2 coup sur coup ça fait trop) : j’aime pas trop le “concept”de l’émission (avec des arrêts gastronomiques et ou des “plongées” dans la vie quotidienne de gens qui “font un truc à eux”)…

    Des racines et des ailes (Passion Patrimoine) : trop de châteaux !( un château je veux bien mais ça va 5 minutes)

    Secrets d’Histoire mais ça dépend de quel personnage ça parle…

    Ces émissions là : Faut pas rêver, Echappées belles, Des Racines et des Ailes ; quand je les vois au programme, ça me laisse quelque peu dubitatif et ne me fait pas vraiment rêver… Juste un intérêt “mitigé” (ou particulier)… D’ailleurs ce titre “Faut pas rêver”, je le trouve “un peu bête” …

     

    À propos de ce "putain d'Grand Soleil" - de merde... Qui occupe la scène télévisuelle sur France 2, depuis au moins 2 ans (sinon 3?)... Tous les soirs après la météo jusqu'à 21h 05; comment ils font les gens qui regardent ça, le jour où pour une raison ou une autre ils peuvent pas voir et ainsi, "loupent" l'épisode ? Vous m'direz "y'a le replay"... Ouais... Y'a eu (y'a quand même plus encore?) sur TF1 "dans le temps" : Les Feux de l'Amour" tous les après midi de 13h 30 à 14h... ça a duré des années et des années !

     

    Pour rigoler : si un jour je suis l'invité de Laurent Ruquier dans son émission On est en direct (on peut "imaginer') -rerire- si je parle des programmes Télé, est-ce que je vais oser évoquer en plein public - en direct- le "petit sourire constipé" de David Pujadas ? Et, le "convenu/édulcoré" de Laurent Delahouze? Est-ce que je serai attaqué en justice pour "ironie calomnieuse" ? Bon sang, "sale temps" ces années 2020, pour les artistes, les humoristes qui font pas dans la dentelle... Mais "en avant" les rappeurs violents qui insultent la France et ses valeurs dans une obscénité et une vulgarité portées tels des flambeaux ! Sale temps, oui ! Désespérant ! C'est à sortir la Kalachnikov grand modèle, plus "maousse" que les flingues des thrillers américains gros comme des Berta de la guerre de 70!

     

  • Sans la vaccination, pas 300 morts par jour mais 600...

    … En ces temps d’accélération des contaminations covid, des entrées en hospitalisation et en service de réanimation, l’on observe que ce sont des gens âgés de 30 à 55 ans et même des moins de 30 ans, qui sont plus nombreux, plus atteints, que les gens que l’on voyait dans les hôpitaux et en réanimation, au printemps dernier en avril 2020… Qui eux, étaient âgés de plus de 80 ans…

    Certes, avec la vaccination des plus de 75 ans, on voit moins de “vieux” en réanimation, à vrai dire on n’en voit presque plus…

    Mais affirmer que du fait du variant anglais, plus contagieux, plus dangereux, plus mortel, y’a quand même pas plus de morts que 300 par jour en moyenne, et que donc, les “vieux” de plus de 75 ans ne meurent plus… C’est méconnaître qu’en vérité, si il n’y avait pas la vaccination, ça serait pas 300 morts par jour mais le double, 600…

    Reste à savoir si, lorsque les 40/50 ans auront été vaccinés, il y aura autant d’entrées en hospitalisation avec des personnes de moins de 40 ans…

    Comme je disais y’a pas très longtemps : “si la vaccination s’étend sur une durée trop longue, de plusieurs mois, d’un an ou plus, alors la France sera l’un des derniers pays dans le monde où l’on mourra encore du covid”…

    Déjà pour commencer, je trouve scandaleux, désastreux, que les soignants, que tous les personnels des services médicaux, les médecins, les infirmiers, ne soient pas tous vaccinés en masse en priorité, et que ce soit pas pour eux obligatoire ! (y’en a – rares il est vrai, qui refusent la vaccination! Des irresponsables !)…

    Quant à ceux et celles de nos concitoyens qui refuseront (par je ne sais quel “choix philosophique” ou autre) de se faire vacciner , eh bien qu’ils en acceptent les conséquences ! (pas pouvoir se rendre dans certains lieux publics, prendre des avions pour aller en touristes dans des “pays de rêve” – “pays de rêve” qui, soit dit en passant, sont des pays de misère dont l’économie fondée sur le tourisme ne profite en fait qu’aux “gros pontes du coin” et aux “encore plus gros pontes pas du coin mais de la planète”) ! …

    On peut être contre, archi contre même, tel ou tel comportement, choix délibéré, que l’on déplore… Mais s’il y a cependant de la cohérence, de la responsabilité dans ce choix, ce comportement, alors après tout “ça se vaut” ! (Sans cohérence c’est de la connerie, de la bêtise, de l’irresponsabilité à l’état pur!)

    “Le beurre et l’argent du beurre” ! Merde alors !

     

  • Question de statistiques et autres questions

    … L’une des statistiques les plus proches de la réalié effective, c’est celle relative au nombre d’éleveurs de porcs qui se convertissent à l’Islam…

    Un chiffre sans doute, très proche de 0%.

    Cela dit, lorsque la moitié des populations de la planète sera islamisée, que fera-t-on de deux milliards de porcs ?

    Et lorsque la moitié sinon les trois quarts des populations sera devenue végétarienne, que fera-t--on de quatre milliards de bovins (vaches, bœufs, taureaux et veaux) ?

    Pour autant que les deux milliards de consommateurs de porcs et de quatre milliards de bovins en un temps d’une demi génération, les uns se soient convertis à l’Islam, les autres au régime végétarien, et qu’en conséquence le nombre de porcs et de bovins ne pourra diminuer assez rapidement ?

    Cela dit, encore, est-ce que le Bon Dieu il a fait le poulet pour faire “joli dans la nature” ? Et la souris n’a-t-elle pas été faite pour être bouffée par le minou ?

    Et.. Encore, que pensent les croyants “mordus” de l’idée de la Création en 7 jours, et de l’Homme depuis seulement 6000 ans sur Terre, de Néandertal, des ères géologiques de millions d’années, des dinosaures et du Big Bang ?

     

  • S'assumer soi-même tel que l'on est

    … Il me vient une interrogation – ainsi qu’un doute – sur le fait de s’assumer soi-même tel que l’on est, en se présentant, se produisant, s’exprimant en public, et cela délibérement, par choix conscient… En laissant apparaître – jusqu’à même revendiquer – ses imperfections (de comportement, de langage, d’écriture ), ses maladresses, enfin, ce côté en nous mêmes qui “ne joue guère en notre faveur”…

    Peut-on, oui, s’assumer soi-même tel que l’on est, en toute sincérité, sans aucune arrière pensée?… Le plus “naturellement du monde” ? …

    S’assumer soi-même tel que l’on est, ne participe-t-il pas à cette “image de marque” que l’on s’attache à donner de soi ? … Et dans ce cas, ne serait-ce pas un stratagème, un subterfuge ?

    Et dans le stratagème, ne viendrait-il pas l’idée de “faire ressortir le bon côté de soi” avec ses forces, ses qualités, avec ce qu’il y a “d’unique”, de particulier en soi… Ainsi “mis en valeur”, en opposition avec ce “qui ne met pas en valeur” et que l’on laisse apparaître…

    Il y aurait “beaucoup à dire” sur ce que l’on appelle, sur ce que l’on définit “image de marque”… Beaucoup à dire et à réfléchir…

    Je préfère dire, plutôt “qu’image de marque” : signature …

     

  • Souvenir d'un 30 mars

    … C’était le jeudi 30 mars 1967.

    Cette année là, ce devait être, ce jour, durant les vacances scolaires de Pâques, j’étais en 1ère C4 au lycée de Mont de Marsan…

    À l’heure du passage du facteur, à Tartas où je demeurais chez mes grands parents maternels depuis l’âge de 14 ans (fin mai 1962) – mon grand père était mort le 9 janvier 1967 jour anniversaire de mes 19 ans – ma grand mère venant de relever le courrier dans la boîte aux lettres, me tend une enveloppe brune portant l’en tête de l’administration des PTT… Une grande enveloppe rectangulaire qui visiblement, ne devait pas contenir un document volumineux, juste une feuille à l’intérieur…

    “Tiens, Guy, c’est pour toi, ça vient des PTT”, qu’elle me dit, Mamy…

    J’ouvre la lettre, je vois écrit : “Nous avons le plaisir et l’honneur de vous annoncer que vous êtes reçu au concours d’agent d’exploitation des PTT auquel vous vous étiez présenté en candidat externe le 17 novembre 1966, vous êtes reçu avec le numéro 293, vous serez nommé le 27 avril 1967 où vous devrez rejoindre le centre de tri postal du PLM à Paris situé au 7 rue du Charolais, 12 ème arrondissement.”

    Cette nouvelle venait bien à propos, du fait que je redoublais ma 1ère, et que les résultats de compositions trimestrielles, notamment en maths et en physique, n’étaient guère brillants voire catastrophiques ( 1/20 en maths et autant en physique)…

    Le jour du concours, le jeudi 17 novembre 1966, dans une salle d’examen sous le regard de plusieurs surveillants – nous étions les uns et les autres, au moins une quarantaine de jeunes et de moins jeunes, séparés de plus d’un mètre entre les tables – de 8h à 11h, nous “planchions” sur un sujet de composition française “On ne s’égare jamais si loin que lorsque l’on croit connaître la route”…

    Il faut croire que le sujet m’inspira… Je rédigeai alors une page et demie “au propre” après avoir fait un brouillon (l’on nous donnait, pour les épreuves, la feuille double avec une feuille intercalaire, assez grande, blanche, avec l’en tête de l’administration des PTT, et plusieurs feuilles de brouillon… L’on devait se présenter, s’asseoir devant la table, avec juste un stylo, pas même une trousse, et surtout sans aucun document avec soi, autre qu’une carte d’identité…

    Au bout de 2h, je suis sorti, ayant remis ma copie, et j’ai passé la 3 ème heure à attendre l’épreuve suivante de 11h à midi : une dictée et des questions sur le texte.

    L’après midi, une épreuve de géographie et une épreuve de mathématiques…

    Par la suite, dans les jours suivants, après vérifications auprès de personnes qualifiées de ma connaissance, ayant montré mes brouillons, il s’est avéré que j’avais fait 2 fautes à la dictée (un texte d’une trentaine de lignes), que j’avais à peu près répondu correctement aux questions ; et qu’à l’épreuve de mathématiques (deux problèmes dits “de supposition”, assez complexes) j’en avais réussi complètement un, l’autre j’avais séché, ce qui m’assurait de ne pas avoir une note éliminatoire – de 0 à 5/20…

    Quant à l’épreuve de géographie, là, j’étais “imbattable” sur la France, ses économies régionales, ses lignes de chemin de fer, ses préfectures et sous préfectures et autres villes…

    Sur la lettre reçue le 30 mars 1967, ne figuraient pas les notes obtenues (seuls les non reçus avaient connaissance de leurs notes aux épreuves)…

    J’imagine que c’est l’épreuve de composition française (fort coefficient) qui a fait la différence dans mon cas… Ainsi que l’épreuve de géographie…

    J’ai appris par la suite qu’il y avait eu, dans toute la France, ce jeudi 17 novembre 1966, à ce concours des PTT, près de 10 000 candidats pour 1500 places offertes. Et que, pour le seul département des Landes où l’on devait être plus d’une centaine de candidats, j’avais été classé 2ème…

    Je me souviens, le 30 mars il y avait à Tartas, aux “Allées Marines” une fête foraine avec des “auto tampon” et j’avais fêté mon succès au concours en compagnie de mon grand copain de l’époque…

    Cependant je regrettais que mon grand père soit mort le 9 janvier et qu’il n’ait pas connu mon succès à ce concours qui, en quelque sorte “assurait mon avenir”…

    Le “grand copain” de l’époque était Christian Minet, qui habitait à Bégaar près de Tartas, et c’était le seul de mes copains que ma grand mère avait accepté de recevoir à la maison, parce qu’elle le trouvait “très bien, très soigné de sa personne, discret, posé, poli et tout ce qu’on voudra dans les “critères” de ma grand mère… Il avait à l’époque, Christian, une mobylette bleue Motobécane, et moi, un vélo… On avait ensemble de “grandes discussions sur des tas de sujets”… Et durant tout l’été 1967 quand j’étais dans les “Ambulants” (trains Postes) à Paris, je lui écrivais toutes les semaines des lettres de 10 pages dans lesquelles je lui racontais ma vie à Paris, au PLM…

    C’était l’été de “Strangers in the nigth”, de “Night in wite satin”, des chansons de Petula Clark… Il faisait une chaleur à crever et je demeurais -mais seulement 15 jours – au 6ème étage dans une chambre minuscule d’un hôtel rue de Châlons à 200 m du PLM, avec vue sur les toits de Paris… 250 francs par mois (je gagnais, mon premier salaire 759, 56 francs)…

     

     

  • Vacances de printemps ratées

    … La famille Tuye – Haut de poêle, lui trentenaire en Dacia Duster elle, lunette dans les cheveux au marché de son quartier, avec leurs deux enfants de huit et six ans, vivant en résidence au 14 ème étage d’une Tour à Cergy Pontoise, qui ont réservé une semaine en chambre d’hôte dans un bled de Franche Comté pour les vacances scolaires (17 avril -3 mai), qui souhaitent se livrer à des activités de randonnée, de cyclotourisme ou de varappe…

    Cette famille Tuye- Haut de poêle qui a du annuler sa réservation de chambre d’hôte en France Comté du fait du confinement interdisant de se déplacer à plus de dix kilomètres durant 4 semaines…

    J’en ai “rien à foutre” du dépit de cette famille Tuye – Haut de poêle ! … En revanche, tous ces pauvres bougres qui, en service de réanimation, risquent de mourir du covid, alors que s’ils avaient pu être vaccinés avant de tomber malades, ne se trouveraient pas en réanimation à l’article de la mort… Ça, oui, ça me pose problème !

    Sans compter que ces Tuye-Haut de poêle, lui trentenaire en Dacia Duster et elle lunettes de soleil dans les cheveux, on les voyait en randonnée forêt de Compiègne les samedis après midi, dans un groupe de marcheurs d’une association, une trentaine de personnes masque sur le visage lors d’une virée de douze bornes… Comme si le risque de choper le covid était imminent, en plein air, à plus de deux mètres de distance les uns des autres sur le circuit de promenade! (mais bon c’est vrai, y’avait ces échanges verbaux du genre patates salades en aparté, entre l’un et l’autre des marcheurs)…

    Même en vélo VTT, on les aurait vus avec le masque, ces Tuye-Haut de poêle, en forêt de Compiègne !

     

    … Je n'ai rien contre les Dacia (Duster)... Seulement il me vient -à mes dépens (comme un "cliché" - ou un préjugé me venant)- l'idée que ce véhicule là, Duster Dacia, me fait penser à un trentenaire féru de technologie smartphone internet nouveaux gadgets et applis "pour tout", très accro de jeux vidéos sur internet, salarié à 2500/3000 euro mensuels sa femme idem, habitant une maison architecture formatée 2021, en lotissement péri urbain, un grand mur de clôture avec un portail hyper balaise et un féroce "je monte la garde", qui va tous les ans une fois sinon deux en croisière touropérator, qui à la Télé regarde "On n'est pas couché" de Laurent Ruquier, ou des séries et des films de thriller... Qui se lève le dimanche matin à dix plomb'... Je vois très bien ce mec là, possesseur d'une Dacia Duster, genre de bagnole qui "cadre" avec le portrait que je décris (que je caricature)... C'est vrai que - apparemment- Dacia Duster, c'est pas tellement une "bagnole de papy" ! (ou alors un papy qui vit comme un mec de 30/40 ans (rire)... De surcroît, ça "cadre" aussi, cette bagnole, avec cet "esprit du temps" qui consiste à se "couler dans le moule" en ayant un mode de vie assez consumériste... J'imagine aussi, ce mec, en file d'attente au drive de Mac Do, avec son Duster Dacia (dans la file y' aussi des bagnoles cossues avec de gros pneus et des parechocs balaises)... Soit dit en passant "Mac Drive" pour moi c'est "bouffer en bagnole" (je déteste et c'est "absolument pas mon genre" (rire) ! (Bon c'est vrai, avec le covid, ça me serait presque arrivé -mais en fait non quand même pas- d'aller "à pattes" au Drive pour me procurer un déjeuner - un "vrap" à emporter dans un sac en papier )...

     

    … Soit dit en passant, le “portrait” (caricature) que je fais de ce personnage d’une trentaine d’années en Duster Dacia, voiture qui “cadre” à son “profil”; “portrait” qui correspond à mon avis à bon nombre de nos concitoyens (pas forcément âgés de 30/40 ans), c’est aussi le “profil” de caractère mode vie qui est celui des gens dont je ne serais jamais dans leur “panthéon”, qui me “zappent”, m’ignorent souverainement ou par pure indifférence, qui en aucun cas, ne vont consulter quoique ce soit de moi sur la Toile, et si ça arrive par hasard, par le biais de quelque “mot clef”, alors vite fait ils zappent…

    Il faut dire que je me fous complètement du fait que je ne serais jamais dans leur “panthéon” ! (Ni dans les poches de leur pantalon)… (rire avec insolence)…

    … Tiens : Panthéon ça rime avec pantalon… On te fout sur le cul un beau pantalon qui – peut-être – “ne te va pas comme un gant à ta main” !

     

     

  • Elle est où l'irresponsabilité ?

    … Il ne semble guère “être dans la pensée ou dans l’expression publique qui convient”, en ces temps d’accélération de contamination covid, d’entrées en hospitalisations et en services de réanimation en hausse ; d’ironiser au sujet du port du masque, de s’exprimer par exemple ainsi :“ devra-t-on encore porter un masque lorsque plus de la moitié de la population aura été vaccinée et que les “cas graves” de covid auront alors beaucoup diminué”…

    Ironiser, en quelque “saillie” plus ou moins iconoclaste sur le port du masque, dire “qu’on en a marre du masque”, en public, dans une conversation, ou, de surcroît par exemple dans un “courrier des lecteurs” de quelque grand quotidien régional ; C’est – aux yeux de celles et ceux de nos concitoyens qui inclinent “par la force des choses” à se conformer à un ordre prescrit, à une obligation faite à tout le monde (et que d’ailleurs ces celles et ceux, implicitement ou tacitement en leur for intérieur approuvent et intègrent dans leur vie au quotidien) – c’est dis-je, à leurs yeux : “passer pour un irresponsable”…

    Merde! Ça serait donc “très malvenu” de dire que le masque c’est comme une capote sur le visage ?…

    Merde! … “Irresponsable”…

    Qui sont -ils, réellement, les irresponsables ?

    Avec leur “sagesse consensuelle”, leur “bien-pensance”, leurs “leçons de morale”, leurs soumissions et obéissances, leur fatalisme, leurs évitements des questions qui fâchent, leurs frousses, leurs complaisances, leurs hypocrisies, leurs inclinations à se “couler dans le moule”?

    Dans une corniflarderie généralisée consumérisée qui pue le vinaigre et la crevette ammoniaquée, qui s’étale tels de grands plats ovale de beurre d’escargot dans les vitrines de traiteurs… Ça serait plutôt là qu’elle serait l’irresponsabilité, d’autant plus qu’elle est “boostée médiatisée orchestrée” par toute une “diaspora” de gens qui gèrent la planète, ses sols, son atmosphère, ses eaux, ses modes de vie et de consommation à grand renfort de pesticides autant dans les bouffes que dans les cervelles !

    Merde, des capotes, des masques, autant que des casquettes avec écrit “New York” dessus, des tee-shirts “Fly Emirates” et des lunettes de soleil dans les cheveux… On en a partout, on en est infesté, barricadé de tous côtés !

     

     

  • Les 70 ans de papy Fernand (petite histoire)

    … C’est papy Fernand, de son nom (état civil complet ) : Fernand Albert Léon André Luigi CORNERE ( Luigi en souvenir d’un arrière grand père d’origine Italienne )…

    Fernand fêtera ses 70 ans en 2022, c’est un passionné de football, jusqu’à présent tous les quatre ans, il a été un suiveur de toutes les coupes du monde de football, à ses frais ; il a fait à chaque fois le voyage et séjourné en hôtel dans la grande ville où se déroulait la coupe du monde, quelque soit l’endroit, même sur un autre continent que l’Europe… Cinq semaines environ durant lesquelles il a assisté à tous les matches…

    Papy Fernand est l’un des trente ou quarante membres d’une famille qui, sur Familéo, porte pour nom (intitulé) “Fernand et Germaine CORNERE ” et dont la composition inclut les enfants, les petits enfants et leurs épouses et enfants, quelques collatéraux avec leurs conjoints et leurs enfants…

    En l’honneur des 70 ans de papy Fernand en 2022, les membres de la famille décident de lui payer le voyage et le séjour avec les entrées dans les stades, pour la coupe du monde de football au Qatar…

    Mais Ursulin, le “vilain petit canard” de la famille, un peu “anarchiste sur les bords assez contestataire de la société de consommation loisiresque”, déclare qu’il ne participera pas à cet élan de générosité de la part de la famille et qu’il ne faut pas compter sur lui pour donner un seul euro de sa poche pour papy Fernand fana de foot, et qu’il souhaite que cette coupe du monde de football au Qatar en 2022, capote à cause d’un événement planétaire dramatique (par exemple une nouvelle pandémie de covid, beaucoup plus sévère que celle de 2020/2021)…

    L’on arrive en 2022, la coupe du monde a bien lieu, pas de nouvelle pandémie de covid ni autre catastrophe planétaire…

    L’avion, un Airbus 380 dans lequel Papy Fernand et sa femme Germaine ont pris place à destination du Qatar, début juin 2022, pour une cause inconnue explose en vol au dessus de la Mer Rouge… Aucun survivant…

     

    … Bon cela dit… Peut-être qu’il y a dans beaucoup de familles, quelque “vilain petit canard un peu dérangeant”…

     

    … Suite et fin de l’ “histoire” :

     

    Cinquante ou soixante ans après la dramatique disparition de Fernand et de Germaine, dans le crash aérien au dessus de la mer Rouge à 2 jours du début de la coupe du monde de football au Qatar en 2022, la cousine Elisabeth, d’un petit fils d’Ursulin prénommé Osirius ( une cousine “vilaine petite canarde” de la famille de l’époque - on doit être dans les années 2080), retrouve dans le grenier de la maison des parents d’Osirius, en farfouillant dans des “vieilleries”, un carton recouvert de poussière contenant des dessins et des écrits d’Ursulin… Un carton qui, on se demande comment, a été sauvé de plusieurs réaménagements et débarras dans la maison d’origine qui, à l’époque était habitée par Ursulin…

    Elle en fera, la cousine Elisabeth, des dessins et des écrits d’Ursulin, son “expo de chevet”…

     

     

  • L'immunité du vaccin covid

    … Selon Julian Yang, virologue à l’université Britannique de Leicester ; ainsi d’ailleurs que selon l’avis d’autres scientifiques épidémiologistes, il n’est pas sûr qu’avec une production à grande échelle des vaccins ARN Messager ou autres, l’on puisse assurer aux populations, une immunité de plusieurs années ni même peut-être d’un an… Du fait de l’émergence fortement probable par la suite, de nouveaux variants du covid qui seront plus résistants en cherchant à s’adapter ( ce qui est le cas notamment pour les virus grippaux de “nouvelles générations” que l’on voit apparaître d’une année à l’autre et contre lesquels il faut trouver un vaccin plus adapté)…

    D’où cette idée d’une “deuxième campagne de vaccination dès le mois d’octobre 2021”…

    Si cela devait être le cas, “bonjour encore une fois la logistique de production, de diffusion, d’accès aux populations par tranche d’âge, etc. …” !

    C’est qu’entre vacciner 10% maximum des populations contre la grippe chaque année, et vacciner 95% des populations contre le covid selon une périodicité indéfinie mais pouvant être d’un an, ce n’est “pas tout à fait la même chose” ! (Pas la même échelle) !

     

     

  • Sidaction

    … Avec le sida qui apparut dans les années 1980, ce fut “la capote sur le nœud”…

    Avec le covid qui apparut à la fin de l’année 2019, ce fut “la capote sur le visage”…

    Avec la capote sur le nœud, la “purée” restait dans la capote qui n’était pas poreuse – sauf “matériel” de mauvaise qualité…

    Mais avec la capote sur le visage, du fait de la porosité de la capote, c’est seulement une partie de la respiration qui reste dans la capote.

    Cela dit, je salue la répétition chaque année, depuis bientôt 40 ans, de la semaine Sidaction fin mars…

    Car le sida tue toujours… Encore…

     

  • Le paysage de la poésie, un désert ?

    … Selon Salman Rushdie, dans “Les versets sataniques”, “ le paysage de sa poésie restait le désert”…

     

    … Plus encore que le terme de “désert”, c’est la formulation “restait le désert”, qui m’interpelle…

     

    Est-ce que le paysage de la poésie est un désert qui “resterait” toujours un désert ? Et quel désert ? Un désert de quoi ? De sable, de rocaille, d’absence d’amour, de violence, de solitude ?

     

    Le paysage de la poésie, désertique, serait alors un désert parsemé de fleurs de sable qui auraient un langage ? Et habité par une sorte de “petit prince” qui traverserait ce désert dans l’espérance d’une rencontre avec un renard des sables qu’il n’apprivoiserait pas ? …

     

    Le paysage de la poésie est un désert lorsque ce paysage par la ligne d’horizon qui le cerne, ne s’ouvre pas à ce qui est situé au delà de la ligne d’horizon, et qu’il ne reste que les fleurs de sable, plus imaginées que réelles par “le petit prince”, à perte de vue, aussi belles, aussi “immortelles” qu’elles soient mais n’illuminant le paysage que d’une clarté aveuglante…