Articles de yugcib

  • Désastre social

    …. Une pensée ce matin me vient et s’impose avec acuité, à l’esprit :

    Depuis un an en cette fin du mois de février, je mesure à quel point cette pandémie de covid a laminé la vie sociale…

    Dans une réalité cependant variable en fonction des situations personnelles de gens pouvant être “moins impactés” que les autres par les conséquences de cette pandémie de covid sur la vie sociale, se situent – c’est ce que l’on peut observer autour de soi :

    -Les familles avec enfants et adolescents vivant en un même foyer, souvent une maison individuelle entourée d’un espace, d’un terrain ; pour autant, tout de même que règne une certaine harmonie ou entente au sein du foyer…

    -Et peut-être des gens qui, en famille ou non, ont une occupation qui les motive, les passionne, du fait qu’ils peignent, dessinent, écrivent, jouent d’un instrument de musique, créent, imaginent… Car lorsque c’est le cas, avec internet, les réseaux sociaux, la communication par Messenger, Whats/Ap, etc. … Ces gens peuvent s’exprimer, échanger, et virtuellement se rencontrer…

    - Et il y a encore les personnes qui ont un animal de compagnie ou même plusieurs animaux, qui s’occupent d’animaux…

    - Et les couples, souvent des retraités, qui ont la chance d’être en bonne santé, de bien s’entendre entre l’un et l’autre, et dont bon nombre d’entre eux ont des contacts familiaux avec leurs proches, enfants, petits enfants, frères et sœurs, qu’ils rencontrent de temps à autre – mais bien sûr il faut dire, dans des “conditions covidiennes” c’est à dire restrictives en gestes, rapprochements, lieux possible de réunion…

     

    … Mais au delà de toutes ces personnes dont je viens d’évoquer les situations qui sont les leurs dans un cercle de connaissances et de relation familiale et autre ; il y a ces millions de gens vivant seuls, des jeunes, des étudiants, des célibataires, des séparés, des divorcés, des veufs et veuves, femmes et hommes, personnes âgées ; dont beaucoup demeurent en ville dans des logements, en location ou dont ils sont propriétaires et qui, en périodes de couvre feu ou de confinement, ne peuvent sortir de chez eux sinon pour des courses, des achats de produits de nécessité… (Avec un couvre feu à 18h pour les habitants des villes en appartement rien qu’un balcon donnant sur la rue, c’est assez dramatique, très inconfortable, difficilement supportable sur des semaines ou des mois, il faut dire)…

    Sans les cafés de quartier, dans les villes et les villages, sans les associations qui ont toutes et partout cessé leurs activités, leurs assemblées, leurs réunions, leurs festivités et repas conviviaux, sans les cinémas, les théâtres, les spectacles, les salles de sport, les terrains de jeux… C’est, socialement, un désastre…

    Déjà cette réalité : une très grande partie de l’activité sociale hors travail, est réalisé dans le cadre de plus d’un million d’associations en France, toutes villes et régions confondues…

    Imaginez! Un million d’associations à l’arrêt! C’est un véritable effondrement de vie sociale !

     

     

  • Vaccination covid : un scandale !

    … En France au jour d’aujourd’hui, bien que cela ait débuté avant mi janvier pour les plus de 75 ans en commençant par les résidents en EHPAD, seulement 25% des plus de 75 ans ont été vaccinés dont beaucoup, une première injection et quelques uns la deuxième… Et en ce qui concerne les résidents en EHPAD, je ne connais pas le pourcentage mais sans doute ne sont-ils pas tous vaccinés…

    Et des annonces sont faites par le Gouvernement, pour la vaccination des plus de 65 ans, donc la “tranche d’âge” en dessous des plus de 75 ans, à partir de début avril…

    Si les plus de 75 ans ne sont vaccinés que pour 25% d’entre eux, comment peut-on concevoir que, à partir de début avril, l’on arrivera à vacciner les plus de 65 ans et combien d’entre eux, sinon un pourcentage probablement proche plutôt de 10 ou 15% au bout de 2 mois ?…

    Un véritable scandale cette opération de vaccination ! Quand on voit qu’aux USA, l’on vaccine un million de personnes par jour, qu’en Israel la population est vaccinée massivement, et que dans d’autres pays, l’Angleterre entre autres, il en est de même en proportion par rapport au nombre d’habitants, l’on se dit que la France sera peut-être dans six mois ou dans un an, l’un des derniers pays au monde où l’on mourra encore du covid… (Plus de 80 000 morts depuis le début de la pandémie, en France)… Certes aux USA ils en sont à 500 000 morts, mais la “machine à tuer” va être “stoppée net” avec trente millions par mois de personnes vaccinées…

    En France l’on s’achemine vers les 100 000 morts… Oui on aura ce résultat avant l’arrivée de l’été le 21 juin…

    Cent mille morts du covid ? Et combien – peut-être davantage – de suicides, de maladies non soignées, de toutes sortes de pathologies consécutives à la crise économique, au désespoir de tant de jeunes et de gens en âge de travailler, d’avoir une activité… Oui, combien de “victimes collatérales” ? …

    La santé publique aux mains des lobbies pharmaceutiques et des grosses firmes aux budgets et aux dividendes d’actions pharaoniques ?

    Réquisition, réquisition ! De toute la production, intensifiée comme il se doit! Une organisation d’état de guerre, partout dans tous les pays! Bolchevisation de tout ce qui concerne la santé publique!

     

  • Petite errance littératoque du jour, 27 février 2021

    Sigmathèques

    Ploutocrathèques

    Allénouillettes

    Branlé dans les vécés

    Pétarfumailloné dans les salons de thé

    Archibouzouqué à dada sur le totomate pas mis cent balles

    Mais quand même sauti sauta deux minutes un quart

    Au Crapinoza mollardé dans le chou farci

    Pété en plein cœur du chou

    y’en est sorti Enlive et Oranette

    Et pas Youcef comme on l’aurait cru

    Rastaquouère

    Patahouète

    Enculatory lavatory vécécireur

    C’est foutu sauf si

    Et des fourmis géantes concertonibulant

    Dans la purée de pois cassés

    Ça bout ça fait chaud dans les narines

    Les beaux masques des Dadames couturières brodés de p’tits queucœurs

    Covido covida plus de corridas

    Et Bébé qui vaque au sein

    Dont il sort d’la vape au jasmin

    Et les cons finement longuement suent de joie

     

     

  • Fichiers textes à écouter sur Youtube

    Sur ma chaîne Youtube je viens d’ajouter 2 textes audio. Il y en avait 91 déjà enregistrés. Je n’avais rien ajouté depuis plus d’un an…

    Les conditions de publication ont évolué depuis quelque temps sur Youtube, ainsi d’ailleurs que les conditions d’enregistrement de musique. Ainsi désormais on peut librement tout écouter mais pour télécharger et mettre par exemple sur une clé USB ou autre support, périphérique, il faut utiliser un logiciel à installer, qui offre 30 jours gratuits et ensuite s’abonner tant par mois, payable une année d’avance…

    Pour profiter des 30 jours d’essai gratuit, il faut nécessairement effectuer un paiement de 0 euro par carte bleue et au bout des 30 jours le paiement pour l’année se fait automatiquement et impérativement, du fait que pour payer 0 euro au départ, t’es obligé de donner ton numéro de carte, la date d’échéance et le cryptogramme.

    Du coup j’ai renoncé à cette “offre”, je me contente d’écouter en ligne de la musique, des chansons, sur Youtube, sans essayer de “récupérer”…

    Sur Youtube, comme avec Google, les conditions (droits, possibilités, choix, procédures, règlements, etc. ) ne sont plus tout à fait les mêmes qu’il y a un ou deux ans… D’un côté plus de sécurité, mais aussi plus de restrictions et d’acceptations de conditions et de règles dans les procédures en fonction de ce que l’on veut faire.

    Afin de continuer à pouvoir poster mes textes à écouter, après plusieurs essais sans résultat (la même chose que ce que je faisais jusqu’à il y a un ou deux ans), j’ai finalement trouvé : “Voice2 com fr “ qui transforme des fichiers audio MP3 ou MP4 en fichiers vidéo, en incluant une image, une photo de fond… Ça marche mais c’est un peu long ! Par exemple pour un fichier vidéo de 3 minutes il faut bien compter 10 minutes, mais dès que ça dépasse 5 minutes c’est beaucoup plus long (dans les 30, 40 minutes)… Mais une fois la vidéo mise en ligne, elle est aussitôt accessible – publique, privée, seulement pour des amis ou proches, comme on veut…

    Les deux textes ajoutés : Basile le coléoptère ( 2, 11 minutes) et Des ânes au Mali ( un peu plus de 5 minutes)…

     

  • Les Gugnoles gruses

    Tout en haut

    Au plus Pue-haut

    De la Grand Tour des Opérators

    C’est là que cela puhoit plus que cela sentoit

     

    Carapaçonnées harnachées ferraillées

    De coiffure architecturées en pièces montées

    Outrageantes ostentatoires et en futals moulants

    Et petits bustiers

    Accompagées de leurs lieutenantes rutilantes

    Elles siègeaient

    Les Grandes Gugnoles gruses

    Dans les bureaux décisionnels

    Aux étages supérieurs

     

    Lors des pause café

    Les lieutenantes sur la terrasse au dessus des étages décisionnels

    Dans les matins de lumière et de vent léger

    Venaient aérer faire pissossoter

    Leurs petits toutous exotiques

    Et pour deux ou trois d’entre elles

    Faire gambader

    Leurs gamins gâtés

    Bruyants et s’arrachant des mains des consoles de jeux

     

    Tout le beau monde des étages d’en dessous

    Arrivé par l’ascenseur express au Pue-haut

    Au plus Pue-haut sur la terrasse surrélevée

    Se la pétoit de savoirs construits

    Arrogants devisant pérorant

    Visages caramélisés

     

    Et la porte de l’ascenseur s’ouvrait

    Sur des hordes de folohouères béats

    En maraude tournant en rond

    Et se la pétant de leurs pétards dansolotants

    Et c’était à qui pèteroit le plus tonitruant

    À qui sentiroit le plus moutarde vinaigrée

    Le plus corniflard

    Le plus crevette cramouille sale

     

    Un grand Totem sculpté des douze signes du Zodiaque

    En bois de tek

    Se dressait sur la terrasse surrélevée

    Tel un phallus en érection

    Et les folohouères autour du grand Totem

    Se récitaient leurs horoscopes

     

    Les grandes Gugnoles gruses distribuèrent des cornets de biboules

    Et de triboules

    De crèmes glacées de toutes les couleurs

    De petits drapeaux noir blanc bleu

    Et de médaillons en forme de mini cœurs rourouges

     

    Ah que cela puhoit en cet En Haut de la Grand Tour

    Que cela brayoit vociféroit

    Et mitrailloit de petits éclairs arc-en-cieloyés

    Qu’ils étaient féroces ces petits toutous empanachés

    Et ces moutards aux laides colères

     

    Un grand perroquet juché sur l’épaule gauche de la Grande Gugnole gruse en Chef

    Cacahouèt’ajacoïsoit

    À bas la société des cons qu’sont en Sion

    Et la grande Gugnole gruse en Chef d’expliquoire

    Sion c’est la nouvelle jérusalem de la société de consommation

     

    Un pépère à casquette tyrolienne

    S’enquerrut de savoir où se tenait le dancing des seniors

    Dans quelle salle de l’étage de juste en bas de la terrasse

    Il avait envie le pépère

    Peut-être pas forcément avec sa vieille

    De se tortiller le derrière

    En compagnie rapprochée d’une affriolante jeune mamie en robe chic

     

    Un moutard de dix piges pianotait sur son smartphone

    Un pétard explosa devant la porte de l’ascenseur

    Télécommandé depuis une appli téléchargeable

     

    Au Luit-Bas tout en bas

    S’articuloit tout un échaffaudage de clowns acrobates

    Juchés montés entrelacés les uns les autres

    Et les clowns acrobates

    Montaient assaillir le Pue-Haut des Gugnoles gruses

    Et leurs lieutenantes arrogantes

    Et saper les fondements du plus Pue-Haut

    Et des Sous-Pue-Haut

     

     

  • Les animaux dépourvus et déconsidérés qui marchent dans les traces de la panthère

    … Les animaux souvent faméliques et de petite taille de la forêt de Brocéliande, méprisés par les habitants plus trapus et mieux nourris de la forêt, et même par quelques espèces ailées ou poilues mieux pourvues de nourriture sous l’égide de beaux volatiles gonflant leur plumage et affûtant leur langage… Portent pour beaucoup d’entre eux leur regard sur la panthère dont l’allure guide leurs pas sur les traces dont elle marque, la panthère, les chemins dans la forêt…

    Certains de ces animaux faméliques, jadis regroupés en une meute organisée en laquelle ils se retrouvaient tous entonnant de grands chants en des clairières de ci de là dans la forêt ; sont même aujourd’hui les animaux les plus enclins à porter leur pas dans les traces de la panthère…

    Mais tous ces animaux, des plus aux moins faméliques d’entre eux jusqu’aux mieux pourvus, se fiant moins au ramage et au langage des beaux volatiles bien emplumés du derrière ; n’ont point en images dans leur cervelle toutes ces antres et repères de grands fauves que la panthère et ses suivants à l’allure féline n’évinceront jamais du paysage…

    Qu’ils sont donc déconcertants, ces animaux faméliques, anciens de la meute entonnant les grands chants, traîtres devenus qu’ils sont à la belle cause qui les ralliait jadis, gâtés de sauces frelatées dans leurs gamelles… Des gamelles d’ailleurs distribuées très inégalement et avec des contenus tout aussi inégaux, par les beaux emplumés au langage éblouissant et trompeur…

     

     

  • Passeport vaccinal

    … En ce qui concerne ce que l’on appelle “le passeport vaccinal”, soit un document valide spécifiant que l’on a été vacciné contre le covid, à présenter en tout lieu public, gare, aéroport, salle de spectacle entre autres ; je suis favorable et donc “tout à fait partant”, mais à cette seule et nécessaire condition, à savoir que chaque personne ait eu la possibilité de se faire vacciner, ce qui pour longtemps encore, n’est le cas…

    En effet, interdire l’accès à un lieu public à des gens qui n’ont pas eu encore la possibilité de se faire vacciner, implique forcément que parmi ces personnes il y en ait qui “auraient bien voulu être vaccinées” – mais qui n’ont pu l’être encore, et l’interdiction alors, ou la discrimination n’est “pas juste” (liberticide on va dire)…

    À l’entrée d’un lieu public, rien ne prouve en l’état actuel des choses (vaccination très partielle voire ne concernant qu’un pour cent de la population, dix au mieux), aux personnes chargées du contrôle, que telle ou telle personne, non vaccinée, est “pour” ou “contre” le vaccin…

    En revanche lorsque tout le monde, chacun d’entre nous se verra offert automatiquement la possibilité de se faire vacciner, et lorsque la vaccination alors sera – non pas obligatoire- mais accessible à tous sans la moindre difficulté (délai, prise de rendez vous, etc. )… Là, chacun sera libre et responsable …C’est à dire en clair – et il faut le dire – que, ayant fait un choix conscient, réfléchi et délibéré, toute personne volontairement non vaccinée devra accepter de se voir refuser l’entrée dans un lieu public, prendre un train, un avion, aller au cinéma, au théâtre, dans un bar, un restaurant…

    Reste cependant les lieux d’achat de première nécessité (alimentation et objets et services indispensables à la vie quotidienne) dans lesquels les “gestes barrière, port du masque” seront d’autant plus alors, d’actualité, pour les personnes volontairement non vaccinées…

    Quant aux autres, vaccinées (en majorité très probablement), elles pourront retrouver une “vie normale” et abandonner progressivement les “gestes barrière, port du masque et autres mesures restrictives, sur présentation du document valide (passeport vaccinal)…

    Mais de toute manière, déjà lorsque plus de la moitié de la population, en France et ailleurs, aura été vaccinée, ce qui est le plus redouté et craint (les formes graves du covid) aura pour ainsi dire quasiment disparu. Et le covid ne sera devenu qu’une grippe classique parmi les formes de grippe existantes. Or, que je sache, toutes ces formes de grippe que l’on voit surgir d’année en année depuis toujours, n’ont jamais empêché de mener une “vie normale”, jamais “plombé” l’économie, la vie sociale…

     

     

  • La page d'accueil de Facebook personnalisée

    … Comme c’est curieux… Ou plutôt… “Symptomatique” on va dire… Lorsque j’ouvre la page d’accueil de Facebook, cette page où défilent les nombreuses publications et photos, images, vidéos, des uns et des autres qui sont en général les publications de mes amis (c’est à dire les personnes qui sont dans ma liste soit environ 230 mais plus précisément en l’occurrence une centaine d’entre eux surtout)… Je ne vois pour ainsi dire jamais de publication ou de nouvelle faisant état d’un voyage en croisière, d’un séjour d’agrément Touropérator dans un “pays de rêve” – Seychelles, Caraïbes, Costa Rica, Grèce, Baléares, Cuba…

    Je “subodore” que les personnes dont je lis chaque jour ce qu’elles racontent, en général sur des sujets et des thèmes d’actualité, de littérature, ou produisent de “belles images”, des textes poétiques, parfois des choses “personnelles”… Ne sont pas trop des habitués de croisières, de “beaux voyages” dans des “pays de rêve” en Touropérator…

    Si d’aventure cela devait ou pouvait être le cas, et si le petit récit enchanteur en une demi page accompagné d’une “belle photo” voire d’une série de ces “belles photos”, s’offrait à ma vue en faisant défiler la page d’accueil… Je suis désolé, vraiment désolé de le dire, mais cela ne susciterait point de ma part, un “grand émerveillement” sanctifié d’un petit commentaire du genre “oh que c’est beau oh que ça me fait rêver oh combien je partage et trouve que c’est super, quelle chance pour vous” !

    Pour être “clair et net”, ce serait “silence radio” et indifférence totale… Pardon mais que voulez vous, je l’ai déjà exprimé : les croisières Costa MSN et compagnie, voyages de Touropérator les Iles les Grands Hôtels Jacuzzi Piscine le shopping sous les palmiers les vahinés les chapeaux de paille l’apéro sur la terrasse du complexe hôtelier les plats exotiques le surf la drague et les soirées disco tout ça “c’est pas ma tasse de thé” loin s’en faut…

    … Bon… Peut-être… Ou “y’a des fortes chances” que… La relation – en un quart, une demi page ou même en un “gros pavé” d’une page et demi 50/60 lignes, d’un “voyage d’aventure ou d’une expédition “difficile” dans de toutes autres conditions que celles d’une croisière ou d’un séjour Touropérator, pour de la découverte, de l’exploration, du vécu avec des gens… Pourrait bien davantage, retenir mon attention, m’émerveiller, me faire rêver…

     

  • Dans le ciel de France en février 2021

    Avions

    … En ces temps interminables de pandémie de covid et de leurs différents variants depuis 2 mois, en ces temps de couvre feu, de restrictions de déplacements, confinements locaux, fermetures de bars, restaurants, cinémas, théâtres, salles de sport et de spectacles etc. … Depuis en France, le 30 octobre 2020… Et d’une vaccination à l’allure de tortue…

    Cette image est celle du ciel de France tel que l’on peut le voir en se promenant dans la nature autour de chez soi…

    Ainsi à tout moment peut-on apercevoir ces sillages, ces traces blanches de passages d’avions de ligne intercontinentaux… Et s’interroger au sujet de tous ces gens qui, à 12 000 mètres d’altitude et à 850 km/heure dans des Airbus ou des Boeing, se transportent en six, huit ou dix heures, d’une capitale à une autre, entre deux continents par dessus les océans et les paysages… Et vont se trouver en groupes se croisant dans les aéroports…

    S’il n’y avait d’autre raison que professionnelle ou familiale particulière, verrait-on autant de ces sillages blancs dans le ciel de France au dessus d’un paysage par exemple, de Chalosse dans les Landes, ou de plateau Lorrain aux environ de Nancy ? …

    Les enjeux des grandes puissances de l’argent, de l’économie consumériste et, d’une manière générale, les enjeux personnels de caractère individualiste d’un bon milliard et plus des habitants de cette planète, la Terre… Font une “toute autre morale” que celle des ordres décisionnels se fondant sur un soit disant bien être sanitaire pour tous -dont les plus “fragiles”…

    Vraie “moralité” dans “l’histoire” : “ce putain d’covid, il a encore de beaux jours devant lui” !

     

  • En 6 ème au lycée Duveyrier à Blida en Algérie, en 1960

    … J’avais un copain, enclin tout comme moi à “des coups pendables” et dont je ne me méfiais pas, n’ayant pas réalisé à quel point il pouvait être retors, faux jeton et vicieux… Qui s’appelait Oudjaoudi, “demi pancu” comme je l’étais… J’habitais avec mes parents au 9 ème et dernier étage d’un HLM à Montpensier, un quartier périphérique de Blida au delà duquel partait la route d’Alger. J’effectuais matin et après midi, 2 fois dans la journée, à pied, le trajet de 3 km pour me rendre au lycée et en revenir… Mais parfois, le matin, mon père me conduisait au lycée dans la 403 peugeot verte immatriculée 437 JK 9A qu’il avait fait revenir de Tunisie en 1959… Mon père, lui, se rendait à son travail, au central téléphonique de Blida…

    Oudjaoudi habitait avec ses parents dans la cité militaire située avant Montpensier, en bordure d’un vaste terrain vague jonché de gravats et de matériaux de construction abandonnés, une jungle de toutes sortes de plantes et d’herbes méditerranéennes et de buissons épineux… Il était, Oudjaoudi le fils d’un harki…

    Un matin entre deux cours, on était en “perm” (permanence) sous l’œil inquisiteur du pion au visage buriné et en lame de couteau, un type particulièrement antipathique, un fana de la colle…

    Oudjaoudi et moi on était assis côte à côte au dernier banc de la salle et voilà-t-il pas que l’Oudjaoudi, il me dit tout à trac, comme ça : “ je vais te mettre une olive” … En toute innocence que j’étais, je croyais à une vraie olive, bien verte ou noire… L’Oudjaoudi il commence à me mettre la main derrière la ceinture de ma culotte ( on n’avait pas encore à 12 ans, les jeunes garçons, de pantalons longs), et je sens son doigt sans doute l’index, me descendre entre les fesses…

    Bon sang, j’ai pas attendu qu’il me foute le doigt dans le trou du cul ! Aussitôt sec, je prends un compas posé à côté de ma trousse, et j’assène un coup brusque de la pointe du compas, visant sa main, manque de pot la pointe du compas se fiche dans le bois de la table entre deux doigts de l’Oudjaoudi ! Ça fait un bruit sec et sourd, le pion crie “ Sembic ça suffit ce bordel! Vous me ferez deux heures” !

    Les deux heures de colle, faites le jeudi suivant de 8h à 10h, je les ai pas digérées ! Je décidai de me venger…

    Trois semaines plus tard j’avise l’Oudjaoudi à la sortie du lycée à 4h de l’après midi, je lui dis “on va revenir ensemble puisqu’on habite pas loin l’un de l’autre, j’ai quelque chose à te montrer, dans le terrain vague, qui va autant t’intéresser que moi, tu vas voir”…

    On arrive dans le terrain vague, je lui montre deux briques posées l’une sur l’autre dans un tas de gravats, je lui dis “ creuse sous les deux briques, dessous y’a une caisse contenant des boulons, c’est au poil pour nos tahouels ( lance pierres ), avec ça on est les caids à la récré au lycée, moi je fais le guet parce que c’est interdit d’aller dans le terrain et si quelqu’un nous voit, on s’applatit entre les buissons”…

    Il commence à creuser avec ses mains… Je fais ni une ni deux, je lui tombe dessus et lui fous une raclée carabinée, le laissant étendu roué de coups de pied, et je lui dis “ça c’est pour l’olive et pour les deux heures de colle que le pion il m’a foutues à cause de toi”!

    Par la suite, pour le restant de l’année, l’Oudjaoudi il “faisait profil bas” ainsi d’ailleurs que quelques autres qui m’avaient emmerdé et que j’ai rossés tout aussi carabiné, à ma façon…

    Dont, dans l’HLM où j’habitais avec mes parents, un certain Rallous du septième étage, que je pouvais pas blairer et qui me dénonçait quand avec des autres copains de la cité, on canardait au tahouel des fatmas revenant de l’épicerie avec leur cabas à la main… -ça nous changeait de la chasse aux gros rats qui infestaient l’oued séparant la “cité européenne” de la “cité musulmane”…

     

  • Le "petit lycée" à Cahors, entre 1954 et 1957

    … À cette époque à Cahors, il y avait au Lycée Gambetta située rue Wilson (l’entrée principale) deux parties distinctes : le Grand Lycée, de la 6 ème jusqu’à la classe terminale du second baccalauréat, et le Petit Lycée, de la 12 ème jusqu’à la 7 ème (l’école élémentaire et primaire)…

    Mes parents, l’année de mes 6 ans ( 6 ans le 9 janvier 1954) avaient décidé de me mettre au Petit Lycée parce que là, selon les “critères” de l’époque, enseignaient les meilleurs instituteurs; le “Petit Lycée” étant aussi l’école des “gosses de riches” (fils de commerçants, d’artisans, de fonctionnaires et de notables )…

    En fait, ces “gosses de riches” étaient plus vaches, plus vicieux, plus pervers, plus durs et fortes têtes et chenapans, en général, que les “gosses de pauvres” qui eux, se rendaient à l’autre école communale, celle proche de la place Thiers…

    Je n’y ai eu aucun “vrai ou bon” copain, du jour où je suis entré en 11 ème, le mardi 21 septembre 1954, jusqu’à mon départ fin juin 1957 classe de 9 ème…

    Une autre raison pour mes parents de me mettre au Petit Lycée, c’est qu’il y avait là, contrairement à l’autre école, un réfectoire pour les demi pensionnaires, ce qui arrangeait fort mon père inspecteur à l’automatique rural (branche téléphone et installation, aux PTT) qui souvent, ne revenait pas à midi, ainsi que ma mère, à cette époque, secrétaire à la Chambre d’Agriculture…

    Dans ce réfectoire, “on y bouffait très mal” cependant ! D’infects ratas avec des sauces innommables, de la purée dont les restes refroidis dans l’assiette verdissaient et durcissaient comme du ciment, d’horribles faillots nageant dans une espèce d’eau de vaisselle gélatineuse, ou des lentilles pleines de petits cailloux, des viandes bouillies et filandreuses avec des nerfs et du gras très dur… Nous étions 10 par longue table rectangulaire, j’étais le seul “petit” au milieu de grands galopins de 4 ème ou 3 ème ou même de grands de seconde première terminale, tous en blouse grise, des visages très durs et parlant haut et fort avec plein de “gros mots”…

    … En 11 ème et 10 ème, je n’ai pas “particulièrement brillé” question notes (de 0 à 10), j’étais très dissipé, désobéissant, bagarreur, et je n’ai pas eu, dans ces 2 années scolaires là, des maîtresses “intéressantes” – qui auraient pu me motiver et surtout “m’exister”…Elles trouvaient ridicules mes pitreries…

    Mais en 9 ème j’ai eu Monsieur Cammas, un homme rude, sévère, mais juste, qui lui, sans pour autant “m’avoir à la bonne” du fait que j’étais encore plus dissipé, plus “tête en l’air”, plus réfractaire aux règlements et encore plus bagarreur “pour un oui pour un non” notamment avec tous ceux qui m’”emmerdaient” tant soit peu… Lisait en classe mes rédacs (qui servaient de corrigé), accrochait mes dessins d’imagination sur le mur de la classe dédié aux “productions”…

    J’avais régulièrement, souvent quatre quinzaines de suite, zéro en conduite, zéro en calcul mental, zéro en leçons à réciter par cœur, mais 9 en rédac, 9 en “sciences’nat” et 9 en histoire géo… Et en gym j’étais mauvais en exercices bras et jambes à tendre à plier, sans cesse dans la lune et très déconcentré, mais hyper bon en course à pied… D’ailleurs au spiromètre, je faisais dépasser de 10 cm de plus que tout le monde, la colonne rouge indiquant le niveau de capacité thoracique…

    Le carnet de notes devait être tous les 15 jours, rapporté au Maître, signé des Parents et surtout du Père… Avec mes trois zéros 4 fois de suite, j’avais imité la signature de Papa et caché le carnet dans une corbeille emplie de jeux de construction et de cahiers à dessin, dans ma chambre, mais une fois en faisant le ménage Maman a trouvé le carnet… Elle a dit “ On va pas le montrer à Papa, sinon t’auras droit à la séance de coups de grande règle plate sur les cuisses!”… Il était “dur”, Papa… La première année, il m’emmenait à l’école à califourchon sur le cadre de son vélo et, on avait pas fait dix mètres qu’il m’interrogeait : “alors, 2 plus 2 ça fait combien ?” … Je le savais mais rien que de l’entendre, papa, me questionner, j’étais complètement bloqué, incapable d’articuler la moindre réponse… “Quel crétin tu fais” ! Qu’il me disait…

    Mon grand bonheur cette année là et l’année d’avant, ce fut de pouvoir aller le jeudi tout entier à “l’Ermitage”, une sorte de colonie de vacances du jeudi, où il y avait des petites filles avec lesquelles j’étais très copain, leur racontant des histoires drôles, faisant le pitre… Je n’aimais pas les jeux de ballon et de guerre, je n’aimais pas ces garçons de mon âge, tous fiers, arrogants, méprisants en compagnie forcée que j’étais avec eux à l’école, où je m’ennuyais à mourir… Dans les jeux de ballon ils faisaient 2 équipes, les deux caids de chaque bande “faisaient les pas” pour savoir qui prendrait qui en premier et ainsi de suite… Sembic on le prenait jamais parce qu’il était toujours dans la lune, qu’il ratait le ballon ou bien s’en emparait et le donnait à personne, le serrant entre ses pieds et distribuant des coups de poing à tout va…

     

  • Au 2 rue Emile Zola à Cahors en 1952

    … Sur l’index de ma main droite, à la deuxième phalange, apparaît encore une petite cicatrice en forme de triangle sans base, une cicatrice cependant qui, avec l’âge (j’ai 73 ans) a presque disparue dans le modelé quelque peu vieilli, altéré, de la peau…

    Elle est le résultat, cette petite cicatrice, d’un coup de ciseau à bouts arrondis qui m’a été donné lorsque j’avais 4 ans par un garçonnet de mon âge, un chenapan parmi d’autres, à l’école maternelle de Cahors, en 1952… À la suite d’une dispute entre ce garçonnet et moi…

    Il faut dire qu’à cette époque là, en 1952 en classe de maternelle à Cahors, les mômes “n’étaient pas des enfants de chœur” ! Tous des chenapans prêts à tous les mauvais coups… Et les “gros yeux” ou les coups de règle sur les doigts de la maîtresse d’école, n’avaient bien souvent aucun pouvoir!

    Du coup, n’étant pas moi-même un “enfant de chœur’, suite à cette agression, je décidai de rendre “œil pour œil dent pour dent”…

    J’habitais avec mes parents en 1952, au 2 rue Emile Zola à Cahors, la dernière maison au bout de la rue, proche des “remparts” (une vieille enceinte de mur de pierre derrière laquelle se trouvait le cimetière)… “Un lieu de perdition” au dire des gens du quartier, où sévissaient des bandes de galopins chapardeurs et bagarreurs et où il ne faisait pas bon s’aventurer à certains moments de la journée notamment en soirée ainsi que le jeudi…

    Notre maison au 2 rue Emile Zola jouxtait un bâtiment de garages pour voitures, et un peu plus loin en direction de la ville, habitaient dans une belle et grande maison de pierre à la façade plantureuse, Monsieur et Madame Pouzergues exerçant le métier de maraîchers, avec leurs deux enfants jumeaux, de même âge que moi…

    Ces deux là, les frères Pouzergues, des brutes, cheveux coupés très court en brosse, visages de durs, n’arrêtaient pas de m’asticoter, me voyant revenir de l’école, de me “faire des niches”, de m’appeler “biquette” et un jour ils sont venus dans le jardin derrière notre maison, piétiner, casser des petites autos avec lesquelles je jouais en compagnie de Jean Claude mon meilleur copain…

    “Hou-hou la biquette” ! Criaient-ils en me voyant passer dans la rue… J’entends encore le son de leurs voix mêlées…

    Fou de rage, un jour où ils m’attendaient en embuscade, je ramassai un très gros caillou et les poursuivis prêt à jeter de toutes mes forces ce caillou à leur tête…

    Je ne connaissais pas ma force… Ma mère ayant entendu du bruit et des cris dehors, se précipite vers moi et juste à temps retint mon bras… Il s’en était fallu de peu que je fracasse le crâne de l’un des jumeaux Pouzergues…

    Du coup, après cet incident, les frères Pouzergues m’ont foutu la paix, on ne se voyait plus que de loin sans jamais se regarder…

    Cependant, l’”histoire” n’eut aucune incidence sur la venue, tous les 2 mois, du camion citerne de Monsieur Pouzergues (la “pompe à merde”), pour vider la fosse des cabinets (cabinets de l’époque, situés en dehors de la maison, à côté de l’entrée de la cave)…

     

  • Le cours de notre vie sans les astres

    … Ne me demandez jamais de quel signe je suis... Ne me parlez jamais d'horoscope, d'ésotérisme ou de voyance ou de magie ou de sorcellerie ou de l’un ou l’autre de ces "mystères" que la science ne peut expliquer mais dont on fait état avec soit-disant d'irréfutables indices...

    Je fais pour ainsi dire un rejet de ces "choses là"...

    Comme si une conjonction de planètes, la position d'un astre par rapport à un autre corps céleste ou quelque évènement cosmique particulier, pouvait influencer notre comportement, avoir une action sur notre corps, notre santé, notre esprit, nos émotions, nos sentiments, nos rencontres!... Comme si le cours de notre vie, alors, pouvait être soumis et régi ainsi et cela sans que nous puissions jamais nous-mêmes de par notre volonté et de par notre intelligence,

    choisir, décider, agir, se sentir responsable...

    Il y a déjà tout ce qui nous est imposé par l'environnement économique, social, familial, professionnel, et qui entre pour une bonne part, de gré ou de force dans nos vies... Alors si en plus de tout cela il faut qu'une conjonction de planètes, un "thème astral" ou un évènement cosmique à répétition ou occasionnel, se "mettent de la partie"... Notre vie a-t-elle encore un sens ?…

    Cela dit, outre l’horoscope, l’ésotérisme, la magie, la sorcellerie… Ne me parlez pas non plus des séries hospitalières de télévision genre Urgences, Grey Anatomy et autres : l’hôpital dans le vrai c’est vraiment pas le pied, alors, l’hôpital à la Télé en plus !…

    … Ne pas passer sous une échelle, vendredi 13, le signe de croix sur la baguette de pain, ne pas être 13 à table, miroir cassé 7 ans de malheur, la journée qui commence du pied gauche en se levant… Y’en a comme ça des kilomètres ! Basta tout ça !

    Et l’une de mes plus grandes lacunes en littérature tous pays confondus, c’est celle de n’avoir de ma vie, pas pris connaissance d’une seule ligne de Harry Potter, le célèbre roman de Joanne Rowling écrivain et scénariste anglaise née le 31 juillet 1965 à Yate dans le South Gloucestershire…

     

  • Les aubes les rêves les farandoles

    Les aubes s’entôtent

    Les soirs se tardivent

    J’aime mieux ça

    Que les aubes qui se tardivent

    Et que les soirs qui s’entôtent

     

    Les rêves qui se dévivent

    Le vrai qui dévie

    Les segments de vie

    Qui se décentimètrent

    À l’aune des événements

    Qui eux-mêmes caracolant

    Se farandolant

    S’épuisant

    Ou se renouvelant

    S’enchaînant en tournant

    Autour du billot

    Et sur le billot les haches qui s’abattent

    Dont le tranchant

    S’émousse

    Et guillotine les souvenirs

    Les parapluies sous l’averse qui fuit

    Paratonnerrant la foudre solaire

    Qui incendie

    Irradie

    Les regards et les sourires

    Et les rêves dévivés

    Sous les parapluies qui ne protègent plus

    Du vrai dévié

    Qui pleut sur le billot

    J’aime pas tout ça

     

    Alors que les rêves s’allument

    Que le vrai se revérite

    Que le billot soit abattu

    Que les parapluies se fassent dans le vent

    Tutus dansant

     

     

  • Touristes français bloqués au Costa Rica

    … Un groupe de vingt touristes français âgés de 60 à 75 ans se trouvait, parti à la mi janvier 2021 avec un Touropérator, au Costa Rica.

    Avant d’effectuer le voyage de retour en France, ils ont dû se soumettre à l’obligation de test au coronavirus, en vigueur depuis les dernières mesures prises en ce qui concerne les arrivées dans les aéroports français…

    Tous testés positifs, sept d’entre eux ont été hospitalisés. Une “galère” pour leur rapatriement !

    C’est bien malheureux pour ces gens… Mais… Qu’avaient-ils besoin de se rendre en voyage d’agrément au Costa Rica ? En ces temps coronaviriques si peu propices aux ambitions voyagesques ?

    Vers le 20 janvier il y avait dans ce pays, le Costa Rica, quelque 800 cas nouveaux de covid par jour, pour 5 millions d’habitants… Une “paille”… Ces “braves retraités français – en fait de “jeunes seniors” (de la 1ère génération de retraités) “en pleine forme” avant leur départ, sans doute des “consommateurs de voyages d’agrément” comme beaucoup d’autres ; ont-ils mésestimé le risque encouru, hors de France, hors d’Europe de surcroît…

    … Est-ce que les grands lobbies de la vaccination vont passer contrat avec les lobbies des Touropérator et des croisiéristes, afin que les clients qui achètent des voyages puissent se faire vacciner indépendamment des ordres prévus ? … Cela ne serait guère si étonnant que cela !