Articles de yugcib

  • Les deux dimensions de l'espace de communication

    … Je n’arrive pas à concevoir l’existence, la vie, autrement que dans un espace de communication…

    Sans espace de communication, par exemple avec en face et autour de soi, rien que de l’inanimé, du “non vivant”, par exemple un mur de pierre, de bois, de briques, de contre plaqué, de verre, de métal ; ou encore une étendue de cailloux et de sable à perte de vue jusqu’à un horizon indiscernable, l’intérieur d’une “capsule de survie” genre “canot de sauvetage” dans le cosmos à la suite d’un naufrage de vaisseau spatial…

    Sans espace de communication, la vie n’a plus aucun sens…

    Et cet espace de communication, il est fait de tout ce qui est vivant autour de soi, qui émet, se sent, se touche, se voit, s’entend, s’écoute…

    Il est fait, cet espace de communication, de tout ce que l’on émet, transmet, exprime de soi par la parole, l’écriture, le regard, le geste, d’une part…

    Et par tout ce que l’on reçoit de tout ce qui est vivant, qui émet du son, qui se meut, qui sent, se touche ; et si c’est d’un être humain, ce qui est exprimé par la parole, l’écriture, le geste, en plus de tout ce qui vient de tout être vivant, d’autre part…

    Autrement dit les deux sens nécessaires, intemporels, vitaux dirais-je, ou les deux dimensions, de l’espace de communication…

    Il y a “quelque chose d’absolument dramatique”, de “grave”, à se sentir exister dans les limites de l’être que l’on est, “tout seul dans sa peau”, et de savoir que l’on n’est, n’ a été et ne sera tel que l’on est, à la fois si semblable et si différent des autres, et si unique à nul autre pareil… Qu’une seule fois dans l’éternité, dans l’espace…

     

  • Smartphone et tablette, et ordinateur : comparaison

    Smartphone, tablette et ordinateur ; comparaison

     

    … Ayant constaté que de plus en plus, aujourd’hui, et cela depuis déjà quelques années, le “phénomène” s’accentuant même, actuellement… Les gens, surtout les moins de 40 ans, utilisent au quotidien, notamment dans leurs déplacements pour se rendre au travail, en fait à tout moment, en tous lieux où ils se trouvent, bien davantage un smartphone, une tablette, qu’un ordinateur (fixe ou portable) lorsqu’ils se connectent sur Internet, sur les réseaux sociaux, les blogs, les sites de centrales d’achat ou d’informations et de services en ligne…

    J’en ai déduit (ou cela m’a incité à penser), que cela traduirait une “tendance générale” à préférer le visuel, l’immédiat, la facilité de transmission, l’effet produit, la rapidité, l’accessibilité de ce que l’on cherche ; plutôt que du “travail” de recherche, d’étude, de production par l’expression écrite, artistique, personnelle et demandant un réel effort de réalisation, tout cela nécessitant l’usage et la maîtrise d’ “outils” bureautiques…

    Il est certain, je dis cela pour l’avoir constaté en me servant tous les jours d’un smartphone connecté à Internet, et après avoir à plusieurs reprises pratiqué l’usage de tablettes ; que pour la bureautique, les smartphones et les tablettes, ce n’est pas l’idéal loin s’en faut !

    Bien sûr avec le système Android, purement et uniquement tactile (tout se fait, s’obtient, par pression du bout du doigt – ou d’un stylet adapté ), on peut tout de même “faire de la bureautique” (de base)… Mais “bonjour la fonction copier/coller” déjà (une galère, avec cette mise en surbrillance entre deux index, et l’appui sur “copier” et ensuite le report (coller) là où on veut, d’autant plus qu’il faut aussi avoir sur son appareil la possibilité d’ouvrir des onglets comme sur un ordinateur fixe ou portable, ou de naviguer entre un fichier, un dossier et une page d’internet en zone texte d’un blog, de facebook, etc.)… Pas pratique du tout même si c’est “faisable” !

    Néanmoins, pour tout ce qui est photos, vidéos, images à transmettre à son correspondant, à ses amis et connaissances, pour diffuser ce que l’on voit, dont on est témoin, pour envoyer de brefs messages, il faut reconnaître que le smartphone et la tablette, du fait de la mobilité, du peu de place prise sur soi, dans une poche, une sacoche, un sac à main… C’est mieux qu’avec un ordinateur, même qu’un mini ordinateur…

    Mais reconnaissons aussi que le smartphone et la tablette, ne sont pas ce qu’il y a de mieux pour les écrivains, pour les artistes, pour tous ceux et celles d’entre nous qui produisent des “choses personnelles” (ou y travaillent dessus) …

    Et, d’autre part, que la tendance à une grammaire autant de langage que de comportement, simplifiée dans le langage, et axée sur de l’effet produit dans le comportement…

    Que la tendance aussi, à se limiter de plus en plus à une pensée et à une réflexion réduite ou raccourcie, incite bon nombre de personnes à se servir bien davantage d’un smartphone, ou d’une tablette, plutôt que d’un ordinateur…

     

     

  • L' Inde, un "pays de rêve" ?

    … L’Inde ne me semble guère être un pays dont on peut rêver, avec par exemple, une “ambition voyagesque démesurée” et je m’interroge sur l’engouement que peuvent avoir un certain nombre de gens “aimant les voyages” pour séjourner dans ce pays aussi densément peuplé, où les gens partout y compris dans le moindre “village” (d’au moins dix ou vingt mille habitants), sont entassés, compressés les uns les autres, où l’on se déplace au beau milieu de ces immenses foules au bord du Gange ; avec sans doute de l’électricité seulement dans quelques commerces et hôtels, une absence d’hygiène (j’essaye d’imaginer d’éventuels WC en guérites de planches disjointes ou même des fosses d’aisance communes où l’ on “bonze” par rangs de dix personnes) ; des restaurants en majorité de “gargotes” où l’on mange assis en tailleur sur une couverture ou à même le sol, des “hôtels louche” avec pour “salle de bains” un broc et une cuvette sur une table en formica… Sans compte le risque de contracter une gastro entérite carabinée ou quelque “saloperie” qui te foute en l’air ta santé pour un bon bout de temps…

    L’Inde, oui… Quel tourisme et surtout quel genre de tourisme, dans ce pays ?

    Un tourisme de Touropérator, peut-être, en palace, hôtel de luxe, en “ilot préservé” de la grande mouvance errance générale et des foules immenses, et de la puanteur de toutes sortes de relents ou de fragrances désagréables, de la cohue, des vols à la tire, de l’insécurité ambiante ; en cars Grand Tourisme équipés climatisés WC couchette internet à bord sur des routes cahotantes, des autoroutes défoncées, voire des chemins de terre “élargis”…

    Ou un tourisme de pur et dur aventurier, de personnes en très bonne santé, jeunes, rarement âgées de plus de 50 ans, avec sac à dos, bâtons de marche, smartphone au ceinturon, “logeant où et comment”, prenant un train bondé où les gens sont entassés sur les toits des wagons, ou faisant de l’auto stop, peut-être pris en charrette à âne, ou louant les services d’un coursier à pied tirant une “cahute” sur roues de vélo… Y’a-t-il d’ailleurs des “GR” balisés pour randonneurs “chevronnés” s’acheminant par étapes vers des sortes de “nirvanas” dans des montagnes ou vers le Gange, fleuve “mythique”?

    … Dans mes “J’irai jamais” ( J’irai jamais au Cameroun, j’irai jamais au Nigéria, j’irai jamais en palace quatre étoiles aux Seychelles, j’irai jamais faire du shopping à Shangaï…), j’irai jamais en Inde en vol sec aller retour New Delhi…

     

  • Les belles âmes

    … “Les belles âmes arrivent difficilement à croire au mal, à l’ingratitude, il leur faut de rudes leçons, avant de reconnaître l’étendue de la corruption humaine.”

     

    [Honoré de Balzac]

     

    … Les âmes les plus belles – à mon sens – ne sont pas forcément celles dont la beauté nous émerveille parce qu’elle est évidente ; ce sont les âmes “fortes”…

    Les âmes “fortes” qui bien sûr sont ou peuvent être “belles” par leur beauté, mais aussi par ce qui, en elles, les fait libres, indépendantes, et, ayant rencontré le mal, l’ingratitude, l’indifférence, l’hypocrisie, le mensonge, la cupidité, la jalousie ; ayant dû faire face aux individualismes les plus archarnés… Ne sont pas pour autant devenues amères ou emplies de rancœur, mais plutôt demeurées indéfectivement enclines à une espérance ne pouvant être qualifiée de déraisonnable…

    Si l’étendue de la corruption humaine peut être avec force et détermination dénoncée, autant que possible dans une formulation ayant plus de portée que d’effet…

    Si ce qui apparaît en “trompe-l’œil” dans le tableau doit être montré…

    N’y a- t – il pas aussi, nécessité, à “voir” ce qui n’a pas été vu, ce qui ne s’est pas laissé voir, ce qui a été tenu pour négligeable… Et qui aurait pu être aimé ? …

    … Comme dans les cimetières dont on parcourt les allées, s’arrêtant devant une tombe sans nom, abandonnée, où, gît, décédé à une date ne pouvant être lue, quelque personnage dont on imagine la vie et le visage qu’il a eu, une histoire, et ce que l’on aurait pu aimer de lui, qui n’a pas été su, de son vivant…

    … Il n’y a, c’est vrai, que dans les cimetières que peuvent nous venir de pareilles pensées, de pareilles “visions”… Que celles qui ne nous viennent jamais, enclins que nous sommes, à différencier, à apprécier, selon des valeurs, selon des critères, des principes, des apparences…

     

     

  • Les Empapaoutés et les Dépapaoutés, suite

    https://www.youtube.com/watch?v=69M2WfeBaoc

     

    … Les Empapaoutés, pas plus que les Dépapaoutés, ne sont forcément, les gens les plus intéressants…

    À fréquenter, à écouter, à lire…

    Il y a d’exécrables, d’ “imbuvables” Empapaoutés dont les empapatouements, pour ce qu’ils ont d’inaudible, pourtant parfois bardé de culture, ou au contraire bardé d’inculture, pour ce qu’ils ont de cocoricohant, de “patat’saladisant” dans leurs propos ; pour, encore, ce qu’ils ont de “luminant- qui – brûle – les – yeux” en eux, ce qu’ils ont d’emmerdant en eux, de crispé en eux… Nous gavent… Mais néanmoins suscitent des engouements de “followers”…

    Ils ont souvent, ces Empapaoutés là, qui nous gavent (enfin “qui ne gavent pas tout le monde il faut dire”) – y compris les bardés de culture – une caractéristique commune :

    Ils parlent et écrivent dans une langue qui n’est plus une langue ni française, ni anglaise, ni espagnole ni quoi que ce soit mais une langue d’une grammaire simplifiée, d’un vocabulaire limité, qui exclut les nuances, botte en touche la pensée et surtout la réflexion…

    Et ce ne sont pas, ces Empapaoutés là, les plus “zappés”… Soit dit en passant, vous vous doutez bien, quelques uns d’entre vous, quels sont les Empapaoutés les plus “zappés”…

    Le jour où la Panthère, sortie du bois, “trônera dans le paysage”, la Panthère devant laquelle se tortillent du derrière plusieurs millions de nos concitoyens (autant Empapaoutés que Dépapaoutés), sans doute n’existera-t-il point de censure pour exclure des débats publics, des réseaux sociaux, de ce qui fait l’opinon publique, toutes ces constellations d’Empapaoutés suscitant toujours les mêmes engouements allant dans le sens de ce qui régale le museau de la Panthère…

    En revanche il est fort à craindre que les Empapaoutés déjà aujourd’hui les plus “zappés”, soient encore plus “zappés” voire carrément bannis des réseaux sociaux, des débats publics !

    Quant aux Dépapaoutés, qui n’ont aucun empapatouement particulier, qui constituent “le gros des troupes” en grande partie “affilié” aux Empapaoutés avec “followers” derrière eux ; qu’auront-ils à craindre ?… Mais qu’auront-ils à vrai dire, à subir, sinon ce qu’ils subissent déjà, de la domination des élites, des décideurs, des grands patrons du CAC 40, ce qu’ils subissent donc déjà mais qu’ils subiront bien plus encore, en dépit de rognures peut-être enduites d’un peu plus de bidoche, qui leur seront jetées !

     

     

     

    … Bon, quelques militaires qui ont un peu – paraît-il – exprimé un peu trop haut et fort, ce qu’ils pensent de l’actualité du moment dans notre pays, la France…

    Mais que pensent, adhérents et sympathisants oui ou non, du Rassemblement National, beaucoup de “Français citoyens Lambda”…

    On ne peut leur donner tort, on les comprend, JE les comprends…

    MAIS… Mais…

    Outre ce qui désole, ce dont on en a marre, ce qui nous fait peur au quotidien… Pour appeler des chats des chats : l’islamo-gauchisme, le laxisme, les attentats terroristes, l’insécurité dans les banlieues avec les voyous et les dealers, l’école en déroute, et toutes les incivilités possibles et imaginables et… J’en passe y’en aurait des kilomètres à écrire…

    Outre ce qui désole, il y a AUSSI (mais ça on en parle beaucoup moins)… Toutes ces très grandes entreprises du CAC 40 et des lobbies des marchés agro alimentaires industriels tous produits, côtés en Bourse, qui ont reçu des aides de l’État à cause de la crise du covid, mais ont engrangé “comme par hasard” depuis plus d’un an, d’énormes profits et ont augmenté les dividendes de leurs actionnaires… Avec, c’est évident, une partie de l’argent que le Gouvernement leur a versé en compensation de supposées pertes parfois réelles…

    De “ça”, la Panthère, elle en “feule” pas trop ! … Du moins je n’ai pour ainsi dire rien entendu ni vu ni lu, de “ça”, de la part des “chantres” du Rassemblement National…

     

     

  • Nos modes de vie

    https://www.youtube.com/watch?v=vzpDmdjF6QI&t=79s

     

    … Ce sont bien là, nos modes de vie, dans une civilisation “occidentalisée consumérisée à l’échelle de toute la planète jusque chez les Inuits et les Papous” – version “Empire du Milieu” du côté du Levant et d’en dessous la Grande Muraille ; version Qatar, Iran, Grand Turc ou Pachtoune…

    Y’en effet que les versions qui changent mais pas le fond du fond…

    Des modes de vie qui, avant les masques portés sur les visages depuis le début de la pandémie de covid ; étaient déjà de toutes sortes d’autres masques couverts – et arborés…

    Des modes de vie qui ne seront peut-être jamais démasqués – ou qui parfois le sont mais indignant exaspérant tous ces porteurs de masques étendards foulards pancartes à bout de bras marchant à genoux sans le savoir ou dans la soumission ou dans l’indifférence…

     

     

  • "Par les temps qui courent" il faut reconnaître que ...

    “Par les temps qui courent”, il faut tout de même reconnaître que :

     

    … Aussi “large d’esprit” que l’on peut être ; aussi convaincu de la liberté de chacun de croire et de pratiquer la religion de son choix…

     

    … Quelqu’un qui, à l’âge de 35 ans (par exemple), un homme ou une femme, baptisé catholique à la naissance (comme le sont une majorité de gens en France), pas “spécialement pratiquant” – ou même “pas pratiquant du tout, ne se rendant à l’église que pour des mariages et des enterrements, et finalement même “non croyant”… Et, de surcroît, “Français de souche” depuis plusieurs générations et ayant ses ancêtres dans un même terroir de France…

     

    … Qui se convertirait à l’Islam…

     

    … Ou encore ce même homme ou femme - ou un autre n’étant pas “de souche” (française) depuis plusieurs générations, et qui serait :

    Un policier, un militaire, un professeur des écoles…

     

    … Qui se convertirait à l’Islam…

     

    … Ou encore ton fils ou ta fille en âge de se marier, fréquentant un Musulman, une Musulmane “pur et dur” et l’épousant… Avec peut-être pour ta fille l’obligation de se voiler, ou voir ta belle fille porter le voile…

     

    … Tout de même… Cela peut paraître “suspect”, ou “il y a de quoi être “déstabilisé”!

     

    “Suspect” s’il s’agit du policier, du militaire ou du professeur des écoles, âgé de 35 ans (par exemple) catholique de naissance “non spécialement pratiquant”…

    L’on peut en effet s’interroger sur cette “motivation” à “embrasser” l’Islam et devenir “croyant et pratiquant” à tel moment de sa vie !

     

    “Inconfortable”, “déstabilisant ”… (y’a quand même de quoi), pour des parents, de voir leur fille ou leur belle fille porter le voile…

     

    … Je le redis : “avec pourtant l’esprit très large, très ouvert” et attaché, très attaché à la liberté pour chacun, de croire, de ne pas croire, d’être de telle ou telle religion…

     

    … “Par les temps qui courent” …

     

    … Être musulman de naissance, de parents musulmans, croyant/pratiquant ou seulement “de tradition”… Tout comme chrétien, Juif, Bouddiste, de naissance et de par sa famille et de par la tradition… Cela paraît “naturel”, cela s’impose comme étant naturel ( on croit ou non en un Dieu, c’est société, c’est la civilisation qui est faite ainsi )…

     

    … Mais devenir musulman à un certain moment de sa vie alors qu’avant on était d’une autre religion ou athée… “Cela ne se voit pas tout à fait pareil, ça se ressent pas aussi naturel aussi automatique, que de voir chaque matin le soleil se lever !”…

    … Mais… On peut en dire autant, de devenir Chrétien, Juif, Bouddiste à un moment de sa vie alors qu’avant on était rien ou autre chose…

     

    … J’arrive pas à imaginer Dieu, catholique, protestant, musulman, juif, bouddiste ; j’arrive pas à imaginer Dieu “privilégiant” une religion plutôt qu’une autre…

    J’imagine Dieu n’ayant aucune empathie pour les religions, s’en riant et s’en désolant en même temps – pour ainsi dire !

     

    … “Pas d’amalgame” ! “Pas d’amalgame” ! Oh combien je veux bien, oh combien je suis pour !

    Car il faut reconnaître que, pour un “vrai/vrai” musulman, pacifique, sincère, et de surcroît “aimant la France, la République française et ses valeurs” – et intégré à la société française ; ça doit être “très/très dur”, dramatique, désespérant ; d’entendre dire que l’Islam c’est la seule religion où l’on tue “pour aller au paradis” (ce qui soit dit en passant n’est pas vrai puisque dans d’autres religions on assassine aussi des gens au nom de Dieu ou pour “purger la société de ses mauvais éléments” – y’a qu’à voir par exemple comment sont traités des musulmans en Inde et en Chine et pas par des Chrétiens ) …

     

    … Il est vrai aussi que les catholiques “n’ont pas fait dans la dentelle” au temps des Cathares, ni les mêmes catholiques ainsi que les protestants (religion réformée) à l’époque des guerres de religion au 16ème siècle chrétien !

     

    … Et ce “pape de merde” Pie XII, qui, durant la seconde guerre mondiale et la domination nazi en Europe, a “fermé les yeux” sur la déportation, le massacre des Juifs !

     

     

  • Grippe "espagnole" et covid

    … De mars 1918 jusqu’en juillet 1921, durant un peu plus de trois ans et en trois “vagues” successives partout dans le monde, la grippe dite “espagnole” a tué au moins 50 millions de personnes – peut-être jusqu’à 80 millions, et cela toutes générations confondues même si, comme pour le covid depuis fin 2019, ce sont les personnes âgées et les jeunes et moins jeunes en mauvaise santé, qui ont été les victimes en grand nombre…

    Elle n’avait en fait, absolument rien d’ espagnol, cette grippe : ce n’était ni plus ni moins qu’un virus grippal de même type que le covid actuel, de la famille virale des coronavirus…

    Il a même été avancé (un “bruit qui a couru”) que c’était la peste pulmonaire, mais cela est impossible puisque la peste a pour origine un bacille (bacille de Yersin transmis par des rats et ayant pris pour hôte l’homme s’est transmis d’humain en humain ensuite), et que la peste n’était plus que marginale au 20 ème siècle, les dernières épidémies s’étant produites au 19 ème siècle, et les progrès de l’hygiène l’ont sinon éradiquée du moins très fortement diminuée en expansion à partir du début du 20ème siècle… Alors que la grippe et que le covid ont pour origine un virus (lui aussi au départ, transmis par des animaux sauvages)…

    À l’époque, de 1918 à 1921, partout dans le monde, il n’y avait aucun confinement, les magasins, boutiques, marchés, écoles, salles de spectacle, les ateliers, les usines… De tout cela rien ne s’était arrêté, tout fonctionnait normalement, les gens ne portaient pas de masque, sauf dans les hôpitaux, dans les centres médicaux…

    Il a fallu trois ans en trois grandes vagues successives, dont la plus sévère fut la deuxième, pour que la moitié de la population mondiale soit infectée, c’est à dire près d’un milliard d’humains (sur une population totale en 1920, de 1,811 milliards d’humains)…

    C’est sur ce 1 milliard de personnes infectées qu’il faut compter les 50 millions de morts. (Combien ont été malades, certains sérieusement, et finalement ne sont pas morts, cela on ne le sait pas vraiment, peut-être 300 millions)…

    Lorsqu’au bout de trois ans, la moitié de la population du monde a été infectée, alors l’épidémie s’est mise à régresser et à disparaître, pour laisser la place à des formes de grippe “normales” (et perpétuelles, annuelles)…

    Si l’on compare avec le covid depuis fin 2019, l’on s’aperçoit que le covid progresse “moins vite” dans l’ensemble du monde, que la grippe “espagnole”, et cela, parce que les confinements successifs, le port généralisé du masque y compris en extérieur, les mesures prises de protection notamment en matière de contacts entre personnes avec la distanciation beaucoup pratiquée sauf en Inde et au Brésil ainsi que dans certains pays, les nombreuses fermetures de lieux public, de spectacle, de sport, de commerce… Ralentissent la progression et en conséquence étendent la durée de la pandémie (mais sans pouvoir l’arrêter)…

    Aujourd’hui ce sont 3,5 millions de personnes dans le monde qui sont mortes du covid (en fait certainement davantage) sur un total de 7,8 milliards d’humains…

    Avant que seulement la moitié de la population mondiale puisse être vaccinée (et avec le temps qu’il faudra pour atteindre 50% de la population) il existe donc encore pour le virus Covid et ses variants, un “réservoir” de quelque 4 milliards d’humains… En conséquence, du fait de l’extension de la durée dans le temps, ce sont encore, avant que ce virus régresse de façon significative, jusqu’à 2 milliards de personnes qui peuvent être infectées, durant une période indéfinie – sans doute supérieure à 3 ans… Et, sur ces 2 milliards de personnes infectées, peut-être 1 milliard de malades à venir, cent millions de formes graves, et entre 10 et 20 millions de morts s’ajoutant aux 3,5 millions de déjà morts…

    En proportion du nombre de morts par rapport à la population mondiale, ce qui fait la différence entre la grippe “espagnole” de 1918-1921 et le covid de 2019- … , ce sont les mesures de protection, les fermetures de lieux publics, la vaccination, les progrès de la médecine, actuels (qui faisaient défaut en 1920)… Et du fait de tout ce qui “freine” la pandémie, de toute évidence, une durée de la pandémie covid, forcément plus longue que la durée de la pandémie de grippe “espagnole”…

     

  • Est-ce que la provocation et la dénonciation sont possibles sans amertume ?

    … Peut-on être dans la provocation, dans la dénonciation, dans l’attaque, dans la violence de propos en parole ou en écriture ou en caricature…

    Sans pour autant être dans l’amertume et dans la rancœur ? Et sans tomber dans le répétitif quand bien même ce qui est répété l’est différemment et dans toute une “gamme” de formulations et de contenus sur les mêmes thèmes ?

    Difficile…

    Et… Quelle pourrait alors être la lecture, par les autres autour de soi, de ce qui parviendrait à être exprimé dans la provocation, dans la dénonciation, mais sans rancœur, sans amertume… Autant qu’il est possible ? Ou du moins, avec ce qui pourrait être de la rancœur et de l’amertume “canalisés au mieux” ?

    Être dans la provocation et dans la dénonciation avec le moins d’amertume et de rancœur possibles ; devrait avoir plus d’impact, plus de portée… Encore faudrait-il que la lecture qui en est faite, soit la “bonne lecture”…

    Car la lecture faite par les autres autour de soi, dans la mesure où cette lecture rejoint l’amertume et la rancœur qui habite l’autre, les autres…Incite à un partage de ce qui est ressenti entre deux ou plusieurs interlocuteurs… Un partage, en fait, sans perspective et comme figé tel la sauce refroidie dans un plat que l’on se passe entre convives réunis…

    En littérature et en art, la dimension qui semble la plus commune et dans laquelle les auteurs de toutes sortes d’œuvres se situent – pour autant que l’on puisse, cependant, parler de littérature et d’art – cette dimension est celle, soit de l’adhésion à ce qui doit plaire ou distraire, soit de l’inclination à la dénonciation et à la provocation dans l’amertume…

    Mais il existe – peut-être – une autre dimension que celle, soit de l’adhésion à ce qui est commun et qui passe aisément ; soit de l’inclination à exprimer dans l’amertume…

    Il est difficile d’y entrer, dans cette dimension là, indépendante des deux autres en lesquelles on entre habituellement…

    … S’il ne pouvait demeurer, dans cette “autre dimension”, QUE la provocation et la dénonciation !… Mais pas l’amertume…

     

  • Qui peut répondre à la question suivante ? :

    Considérons un espace One Drive, de Microsoft, espace de stockage en ligne gratuit jusqu’à 5Go de données stockées (textes open office, PDF, des albums de photos, entre autres fichiers, dossiers)…

    Il n’est pas nécessaire chaque année de renouveler, puisque l’option choisie est gratuite, et donc “apparemment illimitée” dans le temps, telle qu’elle est à partir du moment où les 5 Go ne sont pas atteints.

    Il a suffi au départ, d’accepter et de signer les conditions générales d’utilisation, en créant un compte Microsoft (et en choisissant définissant ce que l’on accepte ou non, grâce aux paramètres, et après avoir bien lu et considéré tout le texte des CGU)…

     

    Supposons que, l’espace de 5Go se révélant “trop court”, que l’on ait besoin par exemple d’obtenir jusqu’à 50 Go ; que l’on prenne alors un abonnement coûtant 2 euro par mois soit 24 euro pour l’année… Dans ce cas, bien sûr chaque année il faut renouveler à date fixe, l’abonnement de 24 euro…

     

    La question est la suivante :

     

    Si pour une raison (accident grave, maladie, décès) du propriétaire (en “co propriété” avec Microsoft Google et les partenaires acceptés dans les CGU), il n’est plus possible de procéder au renouvellement annuel de l’abonnement… Alors que devient l’espace de 50 Go : est-il automatiquement ramené à 5 Go – mais dans ce cas, comment – ou bien cesse-t-il d’exister, et disparaît-il donc ? … Ou perdure-t-il quand même, mais “ne se remplissant plus” ?

     

    L’incertitude à ce sujet (du devenir d’un espace de 50 Go) étant ce qu’elle est (ou ce que l’on peut croire)… Ne vaut-il pas mieux alors, s’en tenir à l’option gratuite et donc sans renouvellement annuel, de seulement 5 Go ? … Quitte à devoir choisir ce qui peut entrer dans les 5 Go…

     

    … C’est cela, en effet, le problème des espaces de stockage en ligne : dans les versions payantes, le renouvellement annuel… Qui “un beau jour” hélas ne peut plus se faire…

    Pour certaines plateformes d’hébergement de sites personnels (par exemple “monsite.com”), dans l’option “pro” qui coûte 60 euro par an, le jour où tu ne peux plus renouveler – c’est bien spécifié clairement – ton site, alors redevient version gratuite et perdure tel qu’il est, sans nouvelles productions…

     

  • Réflexion du jour, mardi 27 avril 2021

    … La pire des questions que l’on puisse poser à un anarchiste ( anarchiste “dans l’âme” faut-il préciser, puisque “anarchiste dans le vrai de vrai” c’est un peu difficile dans le monde où l’on vit)… C’est la suivante :

    “Que connaissez vous de l’anarchisme ?”

    La pire des questions, mais aussi la plus absurde…

    … La pire des questions que l’on puisse poser à un artiste c’est la suivante :

    “Que savez vous de ce qu’est un artiste ?”

    Question tout aussi absurde…

    … L’un des commentaires les plus stupides et des plus réducteurs que l’on puisse faire à un écrivain (un écrivain poète) qui rédige le récit d’un voyage qu’il a fait dans un pays lointain d’une société et de mode de vie différents de là où il vit, cet écrivain poète, c’est le suivant :

    “Il n’y a aucune vision politique dans ce que vous racontez et présentez”…

    C’est ainsi que l’on reconnaît, avec ce genre de question posée ou de commentaire, une formation universitaire (et intellectuelle) dans le sens le plus consensuel, le plus normalisé formaté, le plus conforme à ce qui fait référence dans le monde d’aujourd’hui – et qui d’ailleurs prévaut depuis le début des grandes civilisations…

     

  • Y'a pas photo !

    … Être universellement connu et vénéré dans 300 ans ou même encore dans 1000 ans, c’est bien plus motivant, bien plus heureux, bien plus enviable, de son vivant et en pensant à une postérité heureuse possible…

    Que … D’être universellement détesté, haï, par les humains qui vivront dans 300 ans, 1000 ans, pour des actes abominables commis ; d’être décrit dans les livres d’Histoire comme ayant été un tueur, un assassin, un tortionnaire… MAIS… En revanche, vénéré et en présence de Dieu dans le paradis de Dieu, pour avoir commis des actes de meurtre considérés par Dieu “nécessaires”…

    Décidément, “c’est bien cher payé”, l’amour de Dieu, au prix d’une détestation universelle qui va durer des siècles, et d’un jugement le plus sévère, le plus condamnant qui soit, dans les livres d’Histoire !

    Merde! À “ce prix là”, Dieu, qu’il aille se faire empapaouter par les anges en bataillons rangés, ou empaler sur la flèche de la plus haute église du monde, ou le plus haut minaret du monde !

    Comment un humain peut-il “envisager” – de son vivant- au prix déjà d’en mourir dès son acte de meurtre commis, d’être pour trois, dix, vingt siècles, universellement détesté des autres humains, abominé dans les livres d’Histoire, mais vénéré de Dieu dans un paradis où il n’y aura que si peu d’élus, d’ailleurs tout autant détestés à cause de ce qu’ils auront fait d’abominable sur Terre ?

     

    … Y’a pas photo ! C’est quand même incommensurément mieux, d’être universellement connu et vénéré, et loué dans les livres d’Histoire, dans 300 ans, dans 1000 ans… Que béni et vénéré de Dieu au prix d’une détestation universelle par les humains, et jugé assassin, condamné par l’Histoire écrite par les Humains ! …

     

  • Un surprenant contenu de poubelle

    … Il fut trouvé dans une poubelle : un chat mort, une batterie de démarrage électrique de tondeuse thermique, un ordinateur fracassé, un smartphone, un paquet de couscous surgelé décongelé de chez Picard, une photo en noir et blanc d’un jeune couple assis sur un banc près d’un landau dans lequel dort un bébé, un livre “le dernier homme” d’Albert Camus, un DVD de Jean Ferrat, un calendrier perpétuel en cubes et pièces de bois, deux crayons à dessin HB, 2B, un pistolet à pipi de pharmacie, une clé USB, un carton contenant des carnets, un petit sarcloir à main de jardinage, une selle en cuir de vélo, une pipe au tuyau abîmé, un GPS Garmin avec son mode d’emploi, un bâton de marche, un globe terrestre (qui avait cessé de “luminer” le contact électrique ne se faisant plus), un petit enregistreur de voix inopérant et muet dès le premier essai, un tajine fêlé, une calculatrice de poche, trois cartouches d’imprimante Hewlett Packard, une montre Casio qui, la nuit, ne “luminait plus”, un grand et épais verre à pied ébréché, Une cafetière italienne … Entre autres objets jetés dans cette poubelle…

    Il s’avéra après enquête approfondie autour des containers d’ordures ménagères du quartier, par des inspecteurs de la Brigade de la Voie Publique, que c’était un certain Hectorion Fourmiélet domicilié 34 rue des Acacias lotissement Les Alouettes à Sainte Purge du Ragondard dans le Chou et Loir, qui avait “foutu en l’air son monde dans lequel il vivait”…

    Cependant, la question se posa, au sujet du pistolet à pipi, et il s’avéra, renseignements pris auprès de voisins d’Hectorion, que ce dernier avait été apeçu à plusieurs reprises depuis plus de six mois, chaque jour, jetant dans son jardin le contenu du pistolet… Hectorion avait une fois à l’un de ses voisins, confié, qu’il pissait dans un pistolet à pipi, au lieu de se rendre aux toilettes, lorsqu’il pianotait durant des heures sur le clavier de son ordinateur, les volets de sa maison, soit dit en passant, encore fermés à dix heures du matin…

     

    “Foutre en l’air le monde dans lequel on vit”… Déconcertant! Étonnant! … Avec peut-être l’idée d’un “suicide sans se pendre ou se foutre une balle dans la tête” ; en somme de se “désexister” en détruisant des objets et des réalisations personnels mais tout en étant curieux de voir “comme après la mort avec une âme voyante” ? Observer ce que pourrait être la lecture par les autres, d’un suicide sans mourir, aux alentours d’un “soi désexisté”, après avoir délibérément foutu son monde en l’air ?

     

    La réponse la plus probable à l’interrogation de ce qui va se passer… C’est… Qu’il ne se passe rien d’autre que ce qui se passe sans nous… Autrement dit, tout ce qui est possible sans nous…

     

    Frantz Kafka avait demandé à son ami Max Brod, de détruire ses écrits après sa mort… Ce que Max Brod n’a pas fait…

    Arthur Rimbaud à l’âge de 20 ans a cessé d’écrire et s’est lancé dans une vie aventureuse…

    Peut-être d’autres écrivains ont-ils à un moment de leur vie, cessé d’écrire, ou détruit leurs œuvres… Lesquels je n’en sais rien (on ne peut “tout savoir”, n’est-ce pas?) …

     

     

  • Les fous et les solitaires

    … “Seuls les fous et les solitaires peuvent se permettre d’être eux-mêmes. Les solitaires n’ont jamais personne à qui plaire et les fous s’en foutent complètement de plaire ou pas.”

     

    [ Charles Bukowski ]

     

    … Charles Bukowski, avec son ami et éditeur John Martin, de Black Sparow Press, qui a introduit dans la littérature américaine – et dans la littérature “en général” – John Fante (1909-1983) romancier Américain, un écrivain atypique et provocateur, en rééditant “Demande à la poussière”, œuvre faisant partie d’un cycle autobiographique commencé avec “Bandini”…

     

    … Les fous et les solitaires, en fait, ne se posent même pas la question de savoir s’ils sont oui ou non, eux-mêmes : ils le sont naturellement, eux-mêmes depuis leur enfance, et le demeurent, eux-mêmes, toute leur vie…

    Il est assez rare que les fous et que les solitaires soient “de formation universitaire” et s’ils leur arrive d’être de formation universitaire, alors, ils deviennent des fous et des solitaires “cotés sur le Marché” – pour quelques uns d’entre eux, peu nombreux tout de même – ou “bouffons ou amuseurs ou mascotes” dans un ordre social, dans un ordre de pensée, où prévalent les modes, les engouements… Ou encore, pour quelques autres de moindres formations, dans le monde d’aujourd’hui “internétisé connecté”, pour autant que leur vécu, leur expérience, leur éventuelle facilité d’élocution, de langage, leur prêtant vie publique de suiveurs et de commentateurs dans les réseaux sociaux ; en fasse les bénéficiaires de quelque audience…

    Les fous et les solitaires, vraiment dans “leur genre”, atypiques, inassimilables, qui en général ne plaisent à personne, totalement eux-mêmes, se foutant des podiums et des compètes, mais “cultivent” avec autant de détermination et de rage, la terre en eux et les terriers dont ils sont faits, se foutent aussi complètement d’entrer ou de ne pas entrer dans les “panthéons” des uns et des autres… D’ailleurs, pensent-ils “sans y penser”… Que les “panthéons” sont comme de beaux pantalons dont on affublerait des marionnettes grandeur humaine, des pantalons “patchwork”…

     

    … Un “bémol” cependant… Et “de taille”… Au sujet des fous et des solitaires…

    Lorsqu’ils se servent, outre des armes qui sont celles de leur langage, d’armes dites blanches ou d’armes à feu… Et se font tueurs, assassins… Là, “ça ne va plus du tout”… Passe encore qu’ils soient des schizophrènes, mais des tueurs, non…

     

     

  • Petite réflexion du jour... Entre autres passées et à venir...

    … Si un écrivain, un auteur, un artiste (musicien, peintre, etc…) par l’œuvre qu’il réalise, de tout ce qui, en lui l’habite sa vie durant, et y mettant une sorte de “rage”, de détermination, de permanence… Ne serait ce même que dans quelques unes de ses productions… Si son œuvre peut être qualifiée de “schizophrénique”, alors, le “Château des rêves” du facteur Cheval est une œuvre “schizophrénique”, et le facteur Cheval lui – même, est “schizophrène”…

    … Et c’est “toute la littérature, tout l’art, qui est “schizophrénique”… Sauf… Ce qui “braie bien”, “ce qui “se vend bien”, ce qui fait la popularité des salons et des expositions… Sans pour autant il faut dire, passer à la postérité… Quoique parfois si, mais pour combien de temps ? …