Articles de yugcib

  • Un "petit conte" du jour, dimanche 25 avril 2021

    … Philipou s’est installé dans le Lubéron en 2014.

    Du temps où il vivait en Bretagne et était lycéen, il avait une amie, Jennifer, avec laquelle il demeura en relation jusqu’à la fin de ses études…

    En 2008 lorsque Jennifer s’est mariée, Philipou avait été invité au grand apéritif géant ainsi qu’au repas du mariage…

    Cependant, après 2010 ou 2011, Philipou et Jennifer cessèrent peu à peu de se donner des nouvelles…

    “La vie qui court, le travail, les occupations… Des uns et des autres”…

    En 2019 Jennifer et son mari Séverin, décident de passer deux semaines de vacances dans le Lubéron au mois d’août où ils comptent se livrer à des activités de randonnée sportive et de parapente…

    Par des parents de Jennifer encore en relation avec Philipou, ce dernier apprend que Séverin et Jennifer vont séjourner, sans doute en chambre d’hôte, pas très loin de chez lui…

    Avec les téléphones portables, les smartphones, reliés à internet, Facebook, Messenger… Les listes de “contacts” – nouveaux, actuels ou anciens – un simple clic, et une communication s’établit…

    Donc “la vie qui court, le boulot, les occupations des uns et des autres”, oui certes, mais c’est plus un “obstacle”… En effet, que ce soit sur la cuvette des WC, dans une queue à la caisse du supermarché, en “trois coups de cuillère à pot”, bref “sans avoir à se prendre la tête pour un grand discours”… Un petit coucou à son pote/sa potesse, juste des nouvelles en trois quatre mots, salut/à plus… On est plus au temps où l’on tournait les pages d’un calepin pour trouver le numéro d’un ami, d’une de ses connaissances, d’un proche qui vit loin…

    Mais bon… Le tout c’est d’y penser, à ce pote, à cette potesse !

    Toujours est-il que, dans cette affaire de séjour de vacances de Jennifer et de Séverin dans le Lubéron où vit Philipou depuis 2014…

    Ni Jennifer et Séverin, ni Philipou, n’ont seulement l’idée d’un “p’tit coucou”… D’ailleurs – bonne question – qui, de Jennifer ou de Philipou, doit-il le faire le premier, le “p’tit coucou” ?

    Et passe le séjour de vacances dans le Lubéron, de Jennifer et de Séverin… Silence radio total réciproque… Pas la moindre idée de part et d’autre, d’une rencontre à la terrasse d’un café, à défaut d’une invitation de Philipou ou d’un passage un après midi ou un soir, de Jennifer et de Séverin chez Philipou…

    Ainsi va la vie…

     

  • L'écriture, un exercice difficile ...

    … L’écriture mais aussi la parole et plus généralement toutes formes d’expression, sont des “exercices difficiles”, et cela en dépit d’une “facilité” que l’on peut avoir à exprimer, notamment par la parole ou par l’écriture, ce que l’on destine à un public…

    Qu’est-ce qui peut être public, vraiment public ? Et qu’est-ce qui s’adresse à seulement quelques personnes en particulier (des amis, des “intimes”, des connaissances de longue date) ?

    Cette “facilité” à pouvoir exprimer, ne rend-elle pas “poreuse” la “frontière” entre ce qui s’adresse à un public élargi, autrement dit “à tout le monde” ; et ce qui s’adresse plutôt à un public restreint ?

    Peut-être que la réponse à cette question se situe dans une dimension ou dans un espace de communication qui serait celui “d’amis par extension”… C’est à dire un “espace en développement” (comme un univers se dilatant peu à peu) et dans lequel s’agrègent aux mondes déjà existants qui sont des mondes amis, d’autres mondes devenant aussi amis…

     

  • Les dinosaures

    Dinosaures

    … Regardé jeudi 22 avril au soir sur France 5, à 20h 30 “le temps des dinosaures”…

    Ah… Oui… “Mes copains dinosaures” ! Je me suis laissé convaincre par ce documentaire scientifique (rire)… Bon, c’est vrai, question dinosaures, j’étais “déjà convaincu”…

    J’ai pensé aux “créationnistes” – de “tout poil sinon de toutes plumes” (rire)… Aussi bien des chrétiens que des Judaïques que des mahométans… Qui croient que c’est Dieu qui a créé le monde, et l’homme et la femme… Et qui tiennent pour “fable” les dinosaures et les ères géologiques, en dépit des découvertes scientifiques, archéologiques, paléontologiques…

    L’Homme sur Terre depuis seulement 6000 ans ? Les anges qui sonnent de la trompette dans le ciel?

    Un “paradis de miel, de jeunes vierges et de jardins enchantés” ?

    Ah, oui, y’a aussi mes copains les coléoptères… (Un bousier sur le dos je le remets sur ses pattes)…

    Dieu créateur ?

    Alors, pas seulement rien que de la Terre…

    Les “jours” sont des ères…

    Ce que les scientifiques des origines de l’univers (selon la théorie du Big Bang) appellent “l’ère de Planck” (un temps sans durée entre un instant zéro inatteignable et l’instant du Big Bang)… C’est peut-être dans ce temps là qu’il faut l’aller chercher, imaginer, concevoir… Dieu ou Jéhovah ou Allah…

    Un temps de “gestation”, ou de création, ou de planification… comme on veut… Où “tout” se prépare, comme “né avant d’être né”… Je verrais les choses plutôt comme ça…

     

    Cela dit, comment peut-on en arriver, dès lors que des civilisations et des sociétés commencent à se faire, à tuer des gens au nom d’un Dieu… Ou de la Science, de quelque idée du bonheur ou du progrès, ou même encore au nom de la liberté, de quelle liberté d’ailleurs et pour qui ?

     

    Bon, c’est vrai, les dinosaures – surtout les carnivores- “ils faisaient pas dans la dentelle” ! … Le Minou, lui non plus, “ne fait pas dans la dentelle” avec la souris ! … Et le bousier, il dit pas merci quand l’humain le remet sur ses pattes…

     

  • Un rêve, fin de nuit, samedi 24 avril

    … Cela se passe dans un futur très proche, durant peut-être le mois d’août 2021… Nous sommes encore, question réunions amis et parents ou de connaissances en groupe, ainsi que pour se rendre dans des lieux de festivals ou de manifestations culturelles, des salles de spectacles… Quelque peu limités avec la crise du covid qui, “ne bat pas tout à fait de l’aile” et se livre de ci de là, à quelques “petites envolées”…

    Avec trois amies dont je ne cite pas le nom ici, trois amies -en fait les filles d’une “très grande amie de très longue date” (hélas disparue depuis 14 mois)… Nous avons convenu d’assister à un spectacle un soir d’été, en salle, dans une grande ville de la région “Grand Est”…

    Dans le rêve, la nature de ce spectacle n’est pas précisée…

    En effet, dans les rêves que je fais et dont je me souviens, pouvant les écrire, certaines choses, personnes, situations, lieux, ne sont pas toujours précisés, ou au contraire apparaissent dans le moindre des détails…

    Au soir dit, j’arrive, présente mon billet d’entrée, de nombreuses personnes ont déjà pris place dans la salle ; les billets sont numérotés, indiquant la place en réservation…

    La place m’étant attribuée se trouve sur la même rangée que celle où ont pris place mes amies, mais dans l’autre moitié de la salle, de telle sorte que je peux les apercevoir de côté… Elles ne sont que deux, l’une d’entre elles n’ayant pas pu venir, donc une place est libre à côté d’elles.

    À côté de moi est assise une dame que je connais très bien, je puis la nommer, elle s’appelle Reine, et c’est la femme de ménage “en second” du bureau de poste où j’ai travaillé de 1976 à 1999 à Bruyères…

    Avant de poursuivre, une explication ici s’impose :

    Souvent dans les rêves que je fais, les époques et même parfois les lieux, se mélangent ou se superposent, ou s’imbriquent… Cette Reine, elle est morte depuis déjà bien des années, et j’ai quitté la poste de Bruyères en janvier 1999…

    Le rêve, il se situe bien en août 2021, mais je suis en même temps, comme encore à la poste de Bruyères (Vosges) et Reine, je la vois vivante… Et, on est “dans le deuxième été du covid”…

    … C’est, je viens de le dire, Reine, la “femme de ménage en second”, en effet, “c’est/c’était” Madame Yvonne Kinet, la “femme de ménage en chef”…

    Reine, c’est une fille orpheline, de l’Assistance Publique, qui a perdu ses parents très jeune, qui est comme on dit “un peu simplette”… Un tuteur désigné s’occupe de ses affaires, elle ne sait ni lire ni écrire… Mais… Elle “sait parler”, elle exprime des choses tout à fait censées, avec ses formulations de langage, sa spontanéité, sa franchise, elle est d’une grande, très grande sensibilité… En somme, elle est, dis-je “d’une autre culture”…

    Autant que je me souvienne, du temps où j’ai “bossé” à la poste de Bruyères, j’étais “assez copain” avec Reine ; j’étais le seul parmi les facteurs et parmi mes collègues du “service général”, qui “ne se foutait pas de sa poire” ! Nous avions même lors de “pauses café casse croûte” dans la salle de repos et de réunion, Reine et moi, de “grandes conversations”…

    Je reviens à la soirée du spectacle…

    Venant tout juste de prendre place, j’aperçois l’une de mes deux amies qui me fait un signe pour me dire que la place à côté d’elle est libre…

    Précision au sujet de Reine : elle a eu son billet par une association de son village dont le président a tenu à ce qu’elle puisse assister à ce spectacle…

    Au signe de mon amie, j’hésitai à venir prendre place à côté d’elle, je pensais à tous ces mois durant lesquels nous ne nous étions pas vus, à cause de la crise du covid, je m’en trouvais tout malheureux, mais je ne voulais pour rien au monde “faire faux bond” à Reine, craignant de la décevoir en m’éloignant délibérément d’elle…

    Je décidai finalement de rester assis à côté de Reine, le signifiai d’un geste à mon amie, et me disais que lors de l’entr’acte je pourrais rejoindre alors mes deux amies…

     

  • One day I'll fly away

    … “Un jour je m’envolerais au loin”, de Randy Crawford…

     

    https://www.youtube.com/watch?v=tH2rgPqi8Ag

     

    … Durant les jours du mois d’avril en 2002, à Tartas dans les Landes…

    Assis sur un banc dans mon jardin en pensant aux dernières corrections suggérées par la conseillère littéraire que j’avais choisie, pour mon livre en préparation “Au pays des guignols gris”…

    Ou, toujours assis sur ce même banc lorsque j’entendais chanter le paon d’Yvette ma voisine qui habitait au bout du chemin menant vers la Midouze, dans sa maison du “Cap Nègue”…

    Ou lorsque je voyais ma chatte Matoune poursuivre un autre chat au fond du jardin là où jadis “Mamy” (ma grand mère) faisait bouillir sa lessive sur un fourneau surmonté d’un long tuyau…

    Ou encore lorsque je “jardinais”, arrachant des mauvaises herbes ou retournant à la bêche un coin de terre…

    Et que de l’autre côté de la clôture me séparant de la maison et du jardin des voisins, j’entendais rire et voyais jouer les filles d’Alain et de Priscilla mes voisins de l’époque, filles alors âgées de 10, 6 et 2 ans…

    Et que gambadaient dans le jardin des voisins leur chien – dont je ne me rappelle plus le nom – et leur chatte Osiris tigrée de roux et de blanc, et encore le lapin des filles, et les deux poules qui visiblement ne finiraient pas au pot mais donnaient chaque jour des œufs, émettant un magnifique “cot’cot’codec”…

    … J’écoutais, j’écoutais… One day I’ll fly away, de Randy Crawford – pour ainsi dire “en boucle”…

    Le souvenir récent – sans doute de l’année d’avant en 2001 – du passage d’une barquette de cerises “de mon cerisier” par dessus la clôture… Cerises que j’avais offertes à Priscilla, jeune femme très sympathique et enjouée, qui avait sur le cou une petite tache brune… M’inspira, dans un passage de mon livre en préparation, pour le portrait que je réalisai, d’une femme, personnage parmi d’autres dans un épisode du livre…

    Jardinant, retournant la terre à la bêche, mon radio cassette posé dans une allée, j’écoutais “à fond la caisse” un CD “des plus belles voix féminines” (une compilation) dont dans la liste, Randy Crawford “One day I’ll fly away”… Jetant de temps à autre un coup d’œil tout empli de ce qui m’habitait l’âme, vers les filles de Priscilla et d’Alain, sur les sauts de la chatte Osiris, et sur Alain qui brûlait de vieilles planches pourries dans un grand fût…

    Cette chatte Osiris, adorable et si mignonne, un peu fripone peut-être, je l’ai gardée durant une semaine chez moi lors de vacances prises par Priscilla et Alain… Elle travaillait dans un cabinet médical à Mont de Marsan et lui, dans une entreprise d’installation chauffage sanitaire, à Mont de Marsan également…

    Ils ont quitté leur maison en été 2006… Je les ai beaucoup regrettés…

    Je me souviens… Lorsque mon livre fut exposé, en vente, à la maison de la presse de Tartas, en 2003 ; à l’idée que Priscilla et Alain aient pu voir exposé mon livre, j’étais tout de même, je l’avoue “assez ému”…

     

  • Il était une fois ...

    … Tout a commencé à un moment où l’espace (l’univers que l’on connaît aujourd’hui dans son immensité) avait un diamètre de 1,62 x 10 moins 35 mètre…

    Cette longueur de 1,62 x 10 moins 35 mètre, c’est ce que les scientifiques appellent “la longueur de Planck” (du nom du physicien Allemand Max Karl Ernst Ludwig Planck, né le 23 avril 1858 mort le 4 octobre 1947, l’un des fondateurs de la mécanique quantique)…

    C’est la mesure la plus petite concevable, selon les connaissances actuelles en mathématiques et en physique…

    Imaginez déjà 1,62 x 0,01 mètre : 1,62 x 1 centimètre ( un trait d’un peu plus d’un centimètre et demi, pas même le bout d’un doigt de main humaine )…

    Et essayez d’imaginer alors - “pour commencer”- un trait qui serait 1 million de fois plus petit que la longueur du bout de doigt d’une main humaine…

    Inutile d’aller plus loin, c’est inconcevable à l’esprit humain, un trait, de centaines de milliards de milliards de fois plus petit que la longueur du bout de doigt d’une main humaine…

    C’était pourtant la taille de l’univers à l’origine : une “sphère” (façon de parler) d’un diamètre de 1,62 x 10 moins 35 mètre…

    Depuis ce moment originel jusqu’à nos jours, 13, 7 milliards d’années se sont écoulées, temps durant lequel le diamètre de l’univers connu (ou sa longueur on va dire par sa “tranche”) est passé de 1,62 x 10 moins 35 mètre, à 8,8 x 10 suivi de 23 zéros kilomètres c’est à dire 880 000 milliards de milliards de kilomètres.

    Il faudrait 93, 016 milliards d’années à la vitesse de la lumière, pour “traverser” l’univers actuellement connu – et “observable” (avec les télescopes les plus perfectionnés)…

     

    La vie dans l’univers commence – sur la Terre et ailleurs où possible – il y a 3,7 milliards d’années, à partir de molécules simples partout présentes dans l’univers : des molécules qui parviennent à s’associer, ces molécules s’étant élaborées avec les principaux constitutifs de la vie ( le carbone, l’hydrogène, l’oxygène et l’azote)…

     

    La question se pose, cependant, d’une possibilité d’origine de la vie, lorsque l’univers n’était pas encore âgé de 10 milliards d’années et dans l’état et la dimension en lesquels il se trouvait alors, avant les derniers 3,7 milliards d’années…

    Il y a peut-être un lien entre les conditions nécessaires à l’éclosion de la vie (dans ses formes les plus simples) , et l’état dans lequel se trouve l’univers avant les 3,7 derniers milliards d’années…

     

  • Le Verbe

    Le Verbe

     

     

    … Le Verbe peut être violent, iconoclaste, décapant… Ou poétique, très beau à entendre mais surtout à écouter…

    Le Verbe peut être comme celui de Louis Ferdinand Céline, celui de Léo Ferré, de Coluche, de Jacques Brel mais aussi comme celui de Georges Brassens, de Jean Ferrat…

    Le Verbe on en fait ce qu’on en veut… Mais à vrai dire plutôt ce que d’ordinaire ou communément il nous suscite…

    Le Verbe est magicien ou charlatan…

    Le Verbe ne fait pas forcément l’action, mais parfois il la provoque, il l’induit…

    Ce n’est pas parce que le Verbe est violent, iconoclaste ou décapant, ce n’est pas parce qu’il se fait Kalachnikov pointée sur ce qu’il veut abattre, qu’il se fait pour autant assassin ou terroriste… En effet, par exemple pour l’humoriste “qui ne fait pas dans la dentelle” ou “qui appuie fort là où ça fait mal”; il expurge plus qu’il ne suscite ou pousse à agir… Quoiqu’il prenne le risque que ce qu’il évoque dans la caricature qu’il brosse, se réalise parce que suscité…

    Le Verbe on en fait ce qu’on en veut mais c’est tout de même un moteur…

    Reste à savoir si ce que l’on en fait ça change quelque chose dans la vie des gens… Et dans sa propre vie…

    Il y a oui, le Verbe…

    Mais il y a aussi…

    Comme pour l’arbre, l’écorce et le bois dont on est fait…

    L’écorce dans sa texture et qui se fait protectrice ou habit…

    Le bois jusqu’en son cœur et par la sève qui l’irrigue…

     

     

  • Quel serait l'espace le mieux approprié pour un travail d'écriture ?

    … La Toile – ou le Web – avec les réseaux sociaux, les blogs… L’instantanéïté de la communication, de la production, des échanges…

    Dans ce qu’elle a de démesuré, d’immense, la Toile… Et d’aléatoire…

    N’est peut-être pas l’espace “idéal” – ou le “mieux approprié” – pour “un travail et une production d’écriture ou d’œuvre d’écriture”…

    Cependant, je ne pense pas que ce caractère actuel, de démesure, d’immensité, d’aléatoire, dans ce qu’il comporte aussi de banalité, de vulgarité, de “fatras”, de productions hétéroclites sans avenir… Soit une fatalité…

    Il n’y a point d’évolution – de quelque nature que ce soit – qui ne se fasse sans “devanciers”, sans précurseurs, sans innovateurs… Qui sont – il faut bien dire- assez souvent des “dérangeants”…

    En fait, encore plus souvent, d’ “invisibles poussières”… Des “poussières” qui s’accumulant, n’incitent même pas à les balayer puisque le vent se chargera de les emporter…

    Pour que des poussières deviennent du terreau, il faut des durées de temps peut-être comparables à des ères géologiques…

    Sur la Toile, tout ce qui s’y exprime, se diffuse ; du fait d’une si grande diversité dans l’instantanéïté, et aussi hétéroclite, aussi éparse qu’elle est cette diversité… Ne peut jamais s’inscrire dans une “durée de l’impact” et encore moins dans ce qui “se retient” (dans la mémoire des gens, en quelque sorte)…

    S’il y a “impact”, cet impact ne peut être que celui du moment où il se fait… Et puis, il y a en outre tous ces billets de blog, tous ces “posts”, accompagnés ou non de commentaires, qui, de jour en jour, les uns sur les autres, même pour les blogs dont les productions quotidiennes sont classées ou ordonnées en catégories ; se fondent comme dans un tableau de peinture où n’apparaît que ce qui vient d’y être ajouté, tracé, tout le reste du contenu n’étant plus visible…

    Ce sont bien là, les deux raisons – celle de l’impact dans le seul moment présent, et celle de la multiplicité des productions qui ne laisse apparaître que ce qui exprimé tel jour… Qui font que la Toile n’est pas l’espace “idéal” ou le mieux approprié, pour un “travail d’écriture” pouvant être apprécié selon la lecture que l’on fait, de ce travail d’écriture …

     

     

  • Mort en fraude, de Jean Hougron

    Mort en fraude

    … Jean Hougron est un auteur Français, né le 1er juillet 1923, mort le 22 mai 2001.

    En 1953 il se voit attribué le Grand Prix du Roman de l’Académie Française.

    Né de parents bretons, fils de cheminot, en 1947 âgé alors de 24 ans, il travaille à Marseille dans une société d’Import-Export, qui l’envoie en Indochine où il exerce durant cinq ans, divers métiers dont chauffeur de camion, ramasseur de benjoin, marchand de bière…

    Il mène donc une existence difficile, précaire et il est confronté à ce qu’est en cette époque, de 1947 à 1952, la péninsule Indochinoise sous la domination de la France (Viet Nam, Laos, Cambodge), à ce qu’est aussi, la société qui l’entoure, très inégalitaire, corrompue, hypocrite et arrogante de la part des Européens mais également de la part des “nababs” ou des “seigneurs locaux”, tous trafiquants et corrompus, Asiatiques, Chinois…

    En somme, le “paysage social” qui constitue le “fond dominant du tableau”, dans ce roman “Mort en fraude” ; est un “paysage social” que l’on retrouve d’un bout à l’autre des empires coloniaux Français et Britannique…

    Cruauté, bassesse, trahisons, orgueil démesuré, privilèges, puanteur et obscénité de ces “cercles” de privilégiés, fatalisme, indifférence, révoltes réprimées dans le sang, compromissions, trafics, etc. … Tout cela dans une grande violence sur fond de racisme et de ségrégations “officialisées”…

    Horcier, le personnage principal dans ce roman, est très malchanceux, dès son arrivée à Saigon à la sortie même du port, sa vie bascule dans la précarité… Il rencontre Anh, une jeune femme vietnamienne dont les parents vivent dans une province du Nord Vietnam contrôlée par le Viet Minh ; une relation difficile – mais forte – s’établit entre Horcier et Anh…

    Un personnage “hors du commun”, ce Horcier, d’une pureté, d’une intégrité, d’un courage, d’une sorte d’ “humanimalité ” - dis -je - en lui qui le rend proche de ce que ressentent les gens autour de lui…

     

    Un extrait, page 324 :

     

    “Sur son passag, les gens se retournaient. Deux sous-officiers français, installés à la terrasse d’un restaurant, échangèrent à haute voix des réflexions méprisantes sur sa tenue. Il les entendit, mais ne se détourna pas. L’un des militaires avait dit : c’est des gars comme ça qui fichent en l’air le prestige qu’on avait autrefois dans ce pays. Horcier pensa : il n’a pas tout à fait tort. Restait seulement à savoir ce qu’il fallait penser d’un prestige simplement édifié sur les signes extérieurs de la puissance. Le prestige de l’homme blanc à la colonie lui semblait parfois ravalé au niveau du “qu’en dira-t-on” des petites villes de province.”

     

    … Un livre, dirais-je… “Fort et marquant”…

     

  • Je suis votre drapeau

    Drapeau

    … Léo Ferré disait : le drapeau noir – de l’anarchie – voulait-il dire… C’est quand même un drapeau…

    Il n’était pas, Léo Ferré, “pour les drapeaux”, quels qu’ils soient (mais je pense plutôt : “dans la mesure où les drapeaux sont assimilés ou confondus avec des étendards” – lesquels étendards l’on se met en rangs derrière et on suit…

    Cependant, le drapeau de la France, c’est bien sûr, un drapeau… Mais pas seulement un drapeau : c’est une Culture, un Art de vivre, une Histoire, une Géographie, une Littérature, des mouvements artistiques…

    Anarchiste dans l’âme – mais surtout dans l’écriture sinon dans mon apparence – j’intègre dans “ma culture anarchiste” – si je puis dire, oser dire – La Marseillaise et le drapeau Bleu Blanc Rouge de la France !

    Les “fameuses paroles” de notre chant national (un chant du Peuple à vrai dire) qui “choquent” certaines personnes avec “le sang impur abreuve nos sillons” … Ne me dérange aucunement, bien au contraire, parce que le sang des gens qui veulent nous détruire et nous haïssent, est un sang impur!… Qu’il faut donc verser … (Il faut se replacer dans le contexte historique de 1792 où les envahisseurs étrangers voulaient nous trouer la peau !)…

    L’on peut être – ce que je suis, ce dont je me sens – “profondément Français” et en même temps “profondément citoyen du monde” !

     

    … Cela dit, peut-être – je dis bien peut-être – y-a-t-il une autre option que celle de la violence - même de la violence la plus “justifiée” ou “légalisée”- et du “non pardon”, de la vengeance…

    Le pardon n’est pas “un acte de complaisance” mais “un acte fort”…

    Ainsi l’option prise en Afrique du Sud par Nelson Mandela, de pardonner, de ne pas avoir eu, jamais de sa vie, recours à la violence, à la vengeance, est une option qui “mérite réflexion”…

    Certes, c’est – personne ne peut dire le contraire, une option à haut risque, que celle du pardon…

    Mais sans ce risque pris, est-il possible que l’espérance d’un “monde différent” où la haine et la violence disparaîtraient, soit autre chose qu’un rêve ?

    J’ai toujours dit que “tout avait un prix” (que rien n’était gratuit en ce monde)… “gratuit” dis-je, dans le sens de la facilité, autrement dit “gratuit de tout effort”…

     

     

  • Un rêve, fin de nuit, mercredi 21 avril

    … J’étais en tête, dans le peloton de tête, d’une course cycliste qui pouvait être le Tour de France, lors d’une étape dont la principale et réelle grande difficulté, résidait dans une section d’environ trente kilomètres de descente sur une route non goudronnée, jonchée, recouverte par endroits, de gravillons, de sable, de petites pierres.

    Ce Tour de France – ou ce qui y ressemblait – avait lieu dans une époque indéfinie, mais différente de celle où nous vivons aujourd’hui, et où les participants étaient en fait, davantage des “salariés” d’entreprises sportives, que des compétiteurs amateurs ou professionnels tels que ceux de l’époque d’aujourd’hui… Et en tant que “salariés d’entreprises sportives”, les participants devaient, selon la nature du contrat qui les liait à un employeur, se soumettre aux conditions imposées…

    Dans la “politique” des dirigeants, la sécurité et même la vie des “employés”, passait pour “négligeable”, cependant, les plus hardis de ces derniers, recevaient des salaires plus élevés…

    Toujours dans la “politique” des dirigeants, ce qui importait le plus, c’était l’audimat, c’était l’engouement du public pour des spectacles à très fortes sensations, ce qui, par le biais des publicités, des sponsors, générait des “mannes de bénéfices et de profits”, pour les lobbies du Cyclisme en l’occurrence, très côtés en Bourse… (Et leurs actionnaires)…

    Je savais, pour l’avoir étudié sur la carte, la difficulté de cette étape, avec cette descente de trente kilomètres sur une route non goudronnée, dont la pente oscillait par sections, entre 12 et 15%, dont l’une des sections, de 300 mètres, à 40%…

    Lors de cette étape, nous avions parcouru déjà une centaine de kilomètres, je me trouvais en tête du peloton de tête, mais cependant mes poursuivants n’étaient guère très éloignés de moi…

    J’arrive au début de la section de descente…

    Je commence à m’engager, toujours en tête, à jouer des freins de telle façon à réduire ma vitesse le moins possible en évitant à chaque instant de déraper, et je sens que derrière moi, personne ne tente de me rejoindre…

    Tout à coup, bien que je m’y attendais, surgit à ma vue, la dénivellation de 300 mètres à 40%…

    Surpris, en une fraction de seconde je “réfléchis” – si l’on peut dire – à deux possibilités :

    Soit freiner au maximum et me laisser glisser en dérapant lentement le long de ces 300 mètres, ou au contraire, lâcher les freins et effectuer, comme depuis un tremplin de piste de ski, un saut au dessus de la section, suivi d’une retombée sur les deux roues…

    C’est cette dernière option que je choisis…

    Je savais que lors de “Tours de France” précédents, de nombreux participants avaient vu leurs freins lâcher, le câble se rompant, et certains gravement accidentés…

    La difficulté, c’était de parvenir, au moment de la retombée sur les deux roues, à jouer au mieux des freins, afin en retombant sur les roues, de rester en équilibre, et de continuer à avancer le long de la descente sans déraper…

    C’est à ce moment “critique” que je m’éveille…

     

    … La réflexion que je me suis faite après ce rêve :

     

    Supposons que j’ai réussi sans faire de chute ayant des conséquences désastreuses, et que j’aie gagné l’étape…

    L’ “événement” fait un “buzz planétaire”… Les Télés, les journaux, la magazines, les réseaux sociaux, les médias… La “Totale” en somme…

    Les Lobbies du Cyclisme se frottent les mains…

    Podium…

    Au moment de la remise du Grand Prix…

    Grand bras d’honneur à m’en bleuir le creux du coude…

    Je démissionne, “allez vous faire foutre”…

    Me fais “cyclo-clodo-vadrouilleur sur les routes de France et de Navarre, et… Troubadour…

     

     

  • La différence entre un singe et Jeff Bezos

    Singe

    … Aucun singe, de n’importe quelle espèce de singe, “n’aurait l’idée” d’amasser plus de bananes qu’il ne pourrait en manger… D’ailleurs comment et où les entreposerait-il, d’autant plus par tonnes ?

    En revanche, l’être humain est le seul “animal” sur cette Terre, qui, non seulement, a l’idée d’amasser des choses pour lui-même en tant par exemple, que “mâle ou femelle dominant”, mais qui met l’idée d’amasser des choses pour lui-même à exécution… Et justifie son idée d’amasser autant qu’il lui est possible, en affirmant que ce qu’il amasse, ou plus précisément que la manière dont il amasse; que ce qu’il met en place, organise, gère, à l’échelle de toute la Terre, afin d’amasser… Constitue le moteur d’une économie pouvant permettre à tous les autres humains, d’amasser aussi, chacun d’entre eux… (Mais, il faut dire, avec beaucoup de diversité, de disparité, d’inégalités de fortune et d’accès, de possibilités)…

     

  • La différence entre "exprimer sur la Toile" et "exprimer en face de personnes présentes

    … Ce que l’on exprime ou montre, sur la Toile, que ce soit dans un blog, sur Facebook, Twitter, Instagram… Et cela lorsque l’on s’y livre assez souvent, à exprimer, à montrer, et depuis plusieurs années… À exprimer tant et tant de choses ordinaires de la vie, ou d’un tout autre ordre notamment sur un sujet d’actualité, pour développer une pensée nous venant…

    N’est-ce point comme si l’on se trouvait devant un mur – en l’occurrence l’écran d’un ordinateur – mais un mur en quelque sorte qui ne serait pas un mur ou une cloison fait d’une matière solide, en briques, en bois, en contreplaqué, en métal, ou un simple écran… Mais un mur “transparent” (et donc traversable) au travers duquel ce que nous exprimons se diffuse dans un espace dont on ne discerne pas les limites, un espace dont on sait qu’il est empli de personnes dont on ne voit pas les visages, ou dont on voit seulement par une image d’eux, apparente, ce qu’ils peuvent être… Et pour bon nombre d’entre eux, que l’on ne rencontrera jamais ? …

    Il y a donc une réelle différence entre “exprimer sur la Toile dans un espace indéfini”, et “exprimer en face de personnes que l’on a devant soi dans un espace délimité”…

    La différence résidant dans la portée et dans l’impact, sachant que, de toute évidence, la portée et l’impact en face de personnes que l’on a devant soi, sont mesurables, visibles, identifiables, notamment par ce que traduit l’expression du visage, du regard de l’autre en face…

    Sans doute l’impact et la portée de ce que l’on exprime, ont-ils “un peu plus de chances” de s’inscrire dans une durée, ou dans une mémoire, lorsque ce qui est exprimé l’est devant des personnes en face de soi…

    Sur la Toile, vient cette impression d’un “vide” en face, du fait que l’on ne voit pas l’exprimé s’accrocher, dont on ne peut mesurer la portée ou l’impact… Et de surcroît, lorsque l’exprimé à l’instant, faisant suite à de l’exprimé des jours d’avant, et de tant encore de jours d’avant… Se dilue jusqu’à finalement devenir invisible, ou enfoui, tellement enfoui qu’il ne peut être retrouvé ou “remonté à la surface”…

    … Il n’y a peut-être que le pouvoir, que la puissance de l’esprit, de la pensée, qui peut en quelque sorte “reconstituer” (façon de parler) une proximité physique entre deux ou plusieurs interlocuteurs…

     

    … Sans aller jusqu’à des “Eurockéennes de Belfort”, ou un “festival d’Avignon” ou à des “Francofolies de La Rochelle” réunissant des milliers de personnes…

    Pourquoi pas… Des “Facebookéennes” de groupes d’amis, de “vivre échanger partager ensemble”, ne serait-ce que pendant trois jours ou même une semaine ? Dans un lieu déterminé, avec une organisation, un hébergement collectif… En somme une vraie réunion ?

     

    … Pour le moment, avec la crise encore persistante du covid, des “Facebookéennes de groupes d’amis” en un lieu déterminé et avec une organisation… C’est “plus qu’un peu difficile” !

    … Mais par la suite, lorsque seront tombés les masques – et soit dit en passant – “bien d’autres masques, ceux là non covidiens” … Ce serait une expérience à tenter…

     

     

  • L'espérance

    … L’espérance est vue d’ordinaire comme la clarté naissante venant avec le jour qui pointe, mais ce n’est pas tout à fait cela :

    Déjà, l’on s’aperçoit que le jour qui vient n’amène pas la clarté faisant disparaître l’obscurité…

    Ce qui fait la réalité et la beauté de l’espérance, c’est la force qui l’anime, et cela d’autant plus que l’obscurité de la nuit dont on ne sait si elle est finissante, est difficile à percer ; ou que la clarté du jour venant se fait si éblouissante qu’elle rend le regard non voyant…

    En somme, l’espérance, la vraie, la plus belle, la plus motivante, celle qu’il faut avoir… C’est celle qui parvient à rendre voyants nos yeux, alors que l’obscurité se fait toujours et encore davantage, pesante, et que la lumière dans sa vivacité accrue, nous rend aveugles…

     

  • Une réflexion sur la crise du covid

    … Une société ne peut continuer à fonctionner avec la crainte permanente de devoir gérer, devoir prendre en compte, la difficulté qu’il y a, à sauver, protéger, avec les moyens, la technologie, l’organisation, les structures dont elle dispose, forcément limités ; une petite minorité de gens, en l’occurrence lors d’une épidémie, ou d’une pandémie… Et plus généralement lors d’une suite ou de la venue d’événements dramatiques, tels qu’une catastrophe climatique, tempête, sécheresse, grand froid, inondation, en un espace géographique étendu…

    Dans la crise du covid que traverse la société depuis 14 mois, une crise qui intéresse toutes les sociétés du monde quoique différemment selon que ces sociétés soient économiquement développées avec le mode de vie qui est le leur, ou en voie de développement avec encore ce qui leur manque et ce dont elles souffrent ; la grande crainte est celle de devoir gérer avec des moyens limités, un nombre trop important de malades du covid ayant besoin de soins intensifs et prolongés dans les centres hospitaliers…

    Il est clair que, même en augmentant le nombre de lits en services de réanimation dans les hôpitaux, même en se dotant des moyens nécessaires, en personnels soignants et en technologies médicales… Qu’il arrive un “point critique” à partir duquel, avec une augmentation prolongée et plus forte de malades ayant besoin de soins intensifs, il n’est plus possible de continuer dans les meilleures conditions, à sauver des gens…

    Autrement dit, dix mille personnes atteintes du covid, en réanimation, en France, on peut y arriver… Mais cinquante mille non…

    Avec la progression de la vaccination jusqu’au jour où plus de 60% de la population en France, aura reçu les 2 doses, et avant même que cet objectif soit atteint, il va arriver un moment où notre société cessera de craindre de devoir gérer, devoir prendre en compte cette difficulté qu’il y a, à sauver, protéger une minorité devenue très réduite, de malades du covid ayant besoin de soins intensifs… Et qu’en conséquence notre société fonctionnera de nouveau comme elle fonctionnait avant la crise du covid.

    Pardon de dire cela mais je le dis : pour quelques futurs malades du covid, non vaccinés, qui auront fait le choix délibéré de ne pas se faire vacciner – après tout c’est leur droit au nom de la liberté individuelle dans un pays de démocratie – mais également pour des non vaccinés “par négligence ou indifférence”… On va pas continuer à nous “pourrir la vie” avec encore des restrictions, des contraintes, faire attention tout le temps, porter le masque, etc… !

     

    … Pouvoir “sauver tout le monde” quand bien même ce “tout le monde” ne deviendrait plus que “encore quelques uns” – lesquels “quelques uns” seraient tout de même responsables de leur malheur (en ne se faisant pas vacciner contre le covid)… Est “utopique et déraisonnable”, fondamentalement injuste – et révoltant- dans la mesure où “tout le monde” non atteint du covid – et ayant moins de chances de le contracter – devrait continuer à se conformer encore aux mêmes restrictions et contraintes, et cela autant que ces contraintes et restrictions soient “allégées”…

    De toute manière, cela “cadrerait très mal” avec l’hypocrisie qui règne dans cette société, avec notamment ce soit disant “respect de la vie” et “ne laisser personne sur le carreau” et, au contraire ce que l’on voit dans la réalité, à savoir que des gens sont “vraiment/vraiment laissés sur le carreau” !

    “Pas dans les valeurs de la France! Pas dans notre philosophie de la vie de sacrifier des gens” – dixit Emmanuel Macron… Bon d’accord, l’on peut souscrire à cette idée là! C’est oui, une “belle et bonne idée”, on ne peut dire le contraire !

    Mais… Seulement voilà : “y’a de belles idées qui coûtent fort cher à une société !” …

    Cela dit, avec la “panthère” les “idées” qui vont changer la politique et la vie des gens en France”, vont ces idées là, coûter aussi fort cher à la société française !