Articles de yugcib

  • Crédibilité de la Gauche ? ...

    … La Gauche sera crédible lorsque, tout comme le souci qui est le sien, de l’égalité, la fraternité et de la justice, elle se décidera à avoir le souci de combattre les hordes de voyous, de crétins, d’abrutis de fanatiques anti-tout, de “ôte-toi-de-là-que-j’my-mette”, d’ignorants crasseux et de vociférateurs en tout genre, qui font la fortune des mafias internationales, le terrain de chasse des terroristes assassins, et, il faut dire aussi, par des “voies communicantes”, la dominance, la prédation, la fortune insolente et ostentatoire des grands groupes, lobbies et compagnies, mondialisés, tout cela avec la complaisance des gouvernements autant de droite que de gauche ou de tout ce qu’on voudra dans des formations centristes indéfinies ! …

    Dans leurs ouvrages, Karl Marx et Engels ont parfaitement décrit, expliqué, détaillé le problème de ce “prolétariat” de prédation, ennemi des déclassés, des ouvriers, des gens de bonne volonté, des opprimés et des plus pauvres qui eux, sont les premières victimes de la domination par la peur et par la violence qu’exercent ces hordes prédatrices peu contrôlées à vrai dire qu’elles sont par les Autorités en place, et maîtres dans les Cités…

    La Gauche sera crédible lorsque son objectif, ou son projet, sera celui d’une Révolution qui n’a pas encore été faite : une Révolution qui abattra les dominants et s’emparera des richesses détenues par une minorité possédante et arrogante, mais en même temps abattra les voyous, les truands, les barbares, les voleurs et les assassins, purgera les Cités des caïds et de leurs hordes !

    Tant que la Gauche s’autoproclamera crédible mais ne fera qu’illusion et déception, elle ne sera que de la “goche” , et… Rimera donc avec “moche” ! …

    Et inclinera les regards dépités du côté où feule la Panthère, ou quelque fauve qui lui ressemble… Ou à défaut du clin d’œil à la Panthère, du côté des complaisances et des arrangements !

     

  • Troisième confinement quasi certain

    … Dans les deux premiers confinements ainsi que dans le troisième qui sera vraisemblablement mis en place sans doute dès le début de la semaine prochaine à partir du 30 janvier, l’on peut en juger de l’efficacité en comparant par exemple un robinet que l’on laisse couler dans son débit normal et un autre robinet dont on réduit le débit autant que possible…

    Autrement dit en réduisant autant que possible la propagation du virus en limitant fortement les déplacements, en fermant les lieux publics et les commerces dits “non essentiels”, les écoles, les cafés, les restaurants, les salles de spectacle, en interdisant les rassemblements de plus de 3 ou 4 personnes dans l’espace public, en organisant les espaces commerciaux essentiels à la vie quotidienne (alimentation et produits indispensables) de telle sorte que les gens puissent se tenir à deux mètres de distance entre eux…

    Cependant, de telles prescriptions de distanciation, de fermetures, d’arrêt de certaines activités, de déplacements, sont naturellement et logiquement, bien plus difficiles à appliquer, à être réalisables, dans les villes, grandes agglomérations, grands centres commerciaux, en région parisienne notamment, dans les zones à forte densité de population…

    Et il y a encore la question des déplacements pour se rendre au travail dans la mesure où les activités professionnelles ne peuvent pas être exercées chez soi en télé travail… Ce qui fait nécessairement beaucoup de monde dans les transports publics en bus, trains, métros…

    Ainsi, par exemple, dans un Intermarché d’une ville de 3000 habitants, une distanciation de 2 mètres entre personnes circulant dans les allées, sera toujours possible ; mais pas dans un grand centre commercial à Cergy Pontoise ou à Mantes – La – Jolie ou à Saint Denis 93…

    Dans un confinement “dur et strict” de même type que le premier du 17 mars au 11 mai 2020, qui pourrait être mis en place à partir du 30 janvier 2021, il me semble cependant “absurde et illogique” de limiter les déplacements autorisés, en voiture, à pied, en vélo ou par tout autre moyen de transport personnel ou public, à 1 km de distance… Ne serait-ce que pour permettre aux habitants des villes, notamment des grandes agglomérations urbaines, de se rendre en voiture jusqu’aux abords d’une forêt, jusqu’à un endroit où l’on peut se promener, courir… Enfin autant que possible un endroit peu fréquenté…

    Donc une limitation de 20 km par exemple, ou de 50 en grande zone urbaine, me paraîtrait plus “juste” (et non pas ce ridicule petit kilomètre, surtout autour du pâté d’immeubles de 10/15 étages où l’on habite en région parisienne ou de grande ville)…

    Il y a dix fois plus de chances d’être contaminé en se rendant dans un grand centre commercial à Cergy Pontoise, qu’en se promenant en forêt de Fontainebleau un dimanche après midi le long de chemins où l’on croise en général à plus de 2 mètres, d’autres personnes…

    Pour conclure, “trois mots-clefs” : responsabilité, logique, intelligence …

     

  • Le rap français dans sa poésie et sa délicatesse en sa version la plus plébiscitée

    … Michel Zecler, homme reconnu et plébiscité dans le milieu du rap français, roué de coups par trois policiers dans son studio, est tout de même l’auteur d’une chanson “pleine de poésie et de délicatesse” dont je livre ici un court extrait :

     

    “Quand j’vois la France les jambes écartées j’l’encule sans huile”

     

    Que c’est beau, quel talent ! Que de délicatesse ! Que de culture ! … Mais oh combien ne seront jamais plébiscitées, et presque toutjours “zappées” dans l’indifférence et dans la déconsidération manifeste, tant d’autres productions d’artistes, d’auteurs, qui elles, sont d’un tout autre talent ? Ne font jamais la Une dans les réseaux sociaux et encore moins sur les scènes publiques ? …

     

    Certes, roué de coups par trois policiers, ce n’est point là “très glorieux” de la part des forces de l’ordre ; et “pas tout à fait conforme avec ce que doit être la justice dans les valeurs et dans la culture républicaine de la France”… Pour autant que ces valeurs se fondent bien sur la tolérance et non pas sur la complaisance…

    Soit dit en passant – note d’humour “harakirien” de ma part – (on peut bien rire de tout)… Dans une France de Philippe Le Bel au temps des gibets, de la roue, de la question, des écartèlements et des geôles où l’on pourrissait entouré de rats jusqu’à la fin de ses jours… L’équivalent d’un Michel Zecler auteur d’un pamphlet dans le genre “j’encule sans huile vos fêtes vos tournois vos vêpres vos charités vos guetteurs vos marchands vos bourgeois vos magistrats”… Il aurait été pieds et poings liés sur un établi de menuisier et on lui aurait coulé du plomb fondu dans la gargouillette !

     

     

  • La crise du covid

    … Non seulement la crise du covid n’a eu aucun impact négatif sur les plus riches ( environ 1% de tous les humains ) mais encore et surtout plus scandaleusement, plus révoltant ; la crise du covid a contribué à rendre plus riches les plus riches… Et fracturé la société en deux blocs aussi monumentaux et à peu près égaux entre eux… Soit le bloc constitué de tous ceux et celles qui parviennent en dépit de la crise sanitaire et économique, à vivre mieux que l’on ne vivait il y a cent ans en mangeant à leur faim, à rouler en voiture, à habiter dans des logements ou dans des maisons ; et le bloc constitué de tous ceux et celles qui, du fait de cette crise sanitaire et économique, ont les uns, tout perdu, les autres doivent se résoudre à vivre moins bien ou plus mal qu’ils ne vivaient déjà il y a quelques années…

     

    … En gros, ceux et celles qui parviennent à “se maintenir et vivre tant bien que mal”, soit pouvoir encore travailler en tant que salarié dans un secteur relativement peu impacté par le covid, les retraités ayant un revenu à peu près décent ou relativement confortable, qui représentent encore environ la moitié de la population en Europe et Amérique du Nord ; d’une part… Et tous les autres qui, malheureusement pour certains d’entre eux ont tout perdu avec l’arrêt de leur activité, se trouvent au chômage, étaient à leur compte en tant qu’entrepreneurs dans une profession impactée par le covid, ainsi que les jeunes en recherche d’emploi et sans ressources, les SDF, les plus pauvres, qui eux aussi représentent environ la moitié de la population en Europe et Amérique du Nord ; d’autre part … Une fracture qui devient de plus en plus nette, qui sépare, différencie davantage…

     

  • Oubliez mais aussi sachez ! ...

    … Oubliez la grammaire et l’orthographe et laissez parler les mots du cœur – et des “tripes” – sans le souci d’une belle écriture pouvant être celle des règles établies ou celle de vos propres règles qui se jouent des règles…

    Mais sachez en même temps ou en d’autres moments où vous vous exprimez, pratiquer la grammaire et l’orthographe de votre langue maternelle dans leurs règles établies, ou même dans la liberté qui est la vôtre et qui peut faire des oreilles heureuses et attentives…

    Oubliez les règles du dessin et de la peinture, inventez, imaginez, tracez, colorez selon votre inspiration ou idée du moment…

    Mais sachez autant qu’il vous est possible dessiner une fleur, un chat, un visage, un paysage…

    Oublier, se rire de …, avec tous les bras d’honneur à s’en bleuir le creux du coude, brandis à la face des pharisiens, des bien pensants, des conventionnels, des académiciens, des modes et du sens commun… Oui, cent fois oui…

    Mais ne restez pas, ne restez plus dans la méconnaissance, laissez en vous, venir les savoirs et les savoir faire… Et une fois que vous les avez acquis, ces savoirs, du moins certains d’entre eux qui vous deviennent chers, transmettez les…

    Et sachez aussi que les savoirs sont davantage, bien davantage, ceux qui se transmettent plutôt que ceux qui se construisent…

     

  • Un interdit sociétal clair, au sujet de la protection des mineurs

    … La proposition de loi adoptée par le Sénat afin de protéger les mineurs de moins de 13 ans, pose, certes, un interdit sociétal clair…

    Cependant, qu’en est-il vraiment du consentement ou du non consentement à des rapports “intimes” (d’ordre sexuel) d’un jeune de 13 ans, de moins de 13 ans ou de 15 ans et plus, avec un adulte ?

    La seule chose qui est vraiment claire dans cette proposition de loi, tient au fait que désormais selon cette loi, un jeune de moins de 13 ans ne sera plus tenu de justifier qu’il était non consentant…

    Mais comment, d’ailleurs, en vérité, un jeune, de moins de 13 ans, ou de 15 ans ou plus, peut-il justifier qu’il n’a pas été consentant ? Comment, de quelle manière peut-il le prouver, sur la base de quoi de probant, de convainquant ?

    Car il existe de la part de l’adulte, et dans le rapport social en général, une suspicion voire une négation du non consentement exprimé par l’enfant, par le jeune adolescent… Ou encore bien trop souvent, une non prise en compte, une déconsidération de la parole de l’enfant, du jeune adolescent…

    Je vous renvoie, je nous renvoie, à tous et à toutes ainsi qu’à moi-même, à cet enfant, à ce jeune adolescent que nous avons été, avec ses rêves, ce qu’il éprouvait, ressentait dans son intimité, dont il ne parlait à personne – sauf peut-être à un ami très cher, à un frère, une sœur, une cousine, une personne de son âge ou un adulte dont il se sentait très proche…

    Ils ont bel et bien existé, tous ces rêves “intimes et secrets”, et ils existeront toujours, ils ont passé et passeront toutes les générations depuis des temps immémoriaux…

    La seule réponse possible dépasse le cadre de la Loi, de la Justice, du jugement des hommes et des femmes… La réponse tient dans la conscience vive et aiguë et non soumise à une morale, à une opinion, à un ordre social ; une conscience se fondant sur de la responsabilité, de la réflexion tout cela de la part de l’un des deux acteurs de la relation adulte/enfant adolescent, soit l’adulte confronté à la connaissance de ce que peut ressentir l’enfant, l’adolescent…

    Ce qui est certain c’est que plus l’enfant, plus l’adolescent grandit, évolue physiquement et mentalement, plus il se rapproche de l’adulte… Sauf que, plus souvent que l’on ne le pense ou qu’il soit commun de penser, l’adulte peut -être un “enfant ou un adolescent prolongé”… Et que dans ce cas, où se situe alors, la “frontière” entre l’enfant/l’adolescent, et l’adulte ?

    Le crime, le délit, la violence abjecte, la prédation, ce qu’il y a de vraiment condamnable et d’inacceptable ; c’est lorsque la “frontière” se faisant imprécise, ou que la connaissance supposée de ce que peut ressentir l’enfant ou l’adolescent, est sciemment utilisée par l’acteur “intrusif” (l’adulte), lequel acteur profitant de la situation pour parvenir à ses fins, à ce qu’il a envie de faire…

    L’enfant et le jeune adolescent vivent dans le présent, un présent, un “monde à lui”, qui semble immobile, comme un jour sans lendemain, un jour comme infini où il est tout le temps la même heure ; l’enfant, le jeune adolescent alors, ne se projette pas dans un avenir, dans des jours de plus tard quand il aura 30, 40 ans et à plus forte raison à quand il sera vieux…

    D’où la nécessité pour l’adulte de bien prendre conscience de la réalité de ce qu’est le présent vécu pour un jeune, et de la marque ou de la trace qu’il va laisser dans ce qui est le présent du jeune, ce présent qui sera suivi d’avenir…

     

     

  • La Marseillaise

    … Biologiquement parlant, le sang, celui d’un humain comme celui d’un animal et même la sève d’un végétal, n’est jamais à proprement parler, impur… Le sang, la sève, sont des constituants naturels qui peuvent, il est vrai, être altérés…

    Littérairement parlant, l’expression “ un sang impur”, en l’occurrence dans les paroles du chant de la Marseillaise, est celle qui représente, évoque, le sang versé dans le combat mené par les citoyens d’une nation (la France) contre les ennemis envahisseurs, le sang qualifié d’impur étant celui des ennemis… Et, plus généralement, plus “intemporellement”, le “sang impur” est celui des ennemis des gens de bonne volonté, lorsque le sang de l’agresseur est versé dans un combat de résistance…

    Dans le contexte historique de la Révolution Française en 1791/1792, le chant de la Marseillaise, de Rouget de l’Isle, devenu notre hymne national par la suite, était un chant à juste titre guerrier, de combattant résolu à abattre des ennemis envahisseurs, des gens déterminés à détruire notre révolution sociale, politique et économique… Il fallait une réponse aussi violente et déterminée pour empêcher que nous fussions détruits, envahis, occupés dans nos territoires ! D’où ce “sang impur”, forcément impur dont il fallait abreuver nos sillons !

    Le “sang impur” en tant que parole imagée ou représentative, est toujours d’actualité, contre les ennemis des gens de bonne volonté que nous sommes, plus de la moitié des Français de 2021! Contre les assassins, les fanatiques, les tortionnaires, les crétins, les abrutis, les lapidaires, les fous furieux, qui eux, tous autant qu’ils sont, veulent notre peau !

    Vive la Marseillaise ! Un chant qui n’est ni de droite ni de gauche, ne peut être repris par quelque parti que ce soit, qui est du parti – si l’on veut vraiment parler de parti- des gens de bonne volonté !

    Et soit dit en passant – dans la foulée ou dans le même ordre d’idée – Vive le chant des All Blacks Néozélandais dans les grandes rencontres internationales de rugby! Ça, oui, c’est des paroles! Le chant de la Marseillaise, le chant des All Blacks !

    Ce sont les volontés qu’il faut entraîner, ce qu’il y a dans le cœur des gens, de plus authentique, de plus vrai, de fort et de meilleur… Et pas les foules ! Pas les meutes !

     

     

  • "Sous le regard de Dieu" ... !

    … Ainsi les investitures au mois de janvier, tous les quatre ans, des présidents des États Unis d’Amérique, se font – elles “sous le regard de Dieu” avec prestation de serment sur la Bible ! Dans ce qui s’apparente à une cérémonie religieuse avec tout le décor, toute l’atmosphère solennelle caractérisant une célébration religieuse !

    Pour le pur laïque que je suis, de tradition et de culture républicaine française, cela sort de mon entendement, est totalement étranger à ma compréhension…

    Il me faudrait alors en pensée “remonter le temps” jusqu’avant la Révolution Française, à l’Ancien Régime monarchique et de droit divin, depuis le sacre en la cathédrale de Noyon, par l’archevêque de Reims Adalbéron, de Hugues Capet, premier roi de France, le 3 juillet 987 ; jusqu’au sacre de Louis XVI en la cathédrale de Reims, par l’archevêque Charles Antoine de La Roche – Aymon, le 11 juin 1775…

    Et encore… Ma “culture historique” – si je puis dire – qui commence en 1954 à l’école publique gratuite laïque républicaine et obligatoire, durant les années de la 4 ème république française, âgé de 6 ans que j’étais à l’époque, demeure encore à ce jour où j’écris ce texte, le 23 janvier 2021, âgé de 73 ans que je suis à présent ; totalement impuissante à me laisser concevoir qu’un homme, un roi – de France ou d’un autre pays – ou qu’un chef d’état ou de gouvernement, puisse être “un fils élu et investi de Dieu” pour le temps de règne qui est le sien, ou le temps de gouvernement qui lui est imparti après un scrutin, un vote du peuple ou d’une assemblée…

    C’est dire du “pur laïque” de culture républicaine française, et de tradition ancestrale, que je suis… Même si dans ma généalogie en ascendance directe je trouve un Jean Sembic né en 1759 sous le règne de Louis XV dans les années de la guerre de sept ans 1756 – 1763… À Geloux, un village de la Haute Lande…

    Autant je reconnais la religion (toutes les religions en fait) en tant qu’affaire de conscience ou de croyance – et respectable et devant être défendue, et donc jamais persécutée ; autant cela sort de mon entendement que la religion puisse être liée ou comme “soudée” à quelque forme de gouvernement que ce soit, et, à plus forte raison, se substituer à toute forme de gouvernement… D’autant plus faut-il dire, que les religions chrétienne et musulmane pour ne citer que les deux plus répandues dans le monde depuis le VII ème siècle chrétien, n’ont jamais au grand jamais loin s’en faut, fait un monde civil meilleur ! Un monde de guerres, de tueries abominables, de violences extrêmes, de dominations, de mise en esclavage de millions d’humains, de maltraitance animale, d’injustices, de grandes inégalités sociales, de perversion, de vice et de tout ce que les croyants appellent le royaume de Satan ou du Diable…

    … Il faudrait – pour comparer – voir si, en mille ans de laïcité et d’ordre républicain avec d’un côté les Églises et de l’autre côté les pouvoirs civils – totalement séparés les uns des autres; le “résultat” serait le même, soit autant de guerres, de massacres, d’atrocités, de violences, de perversion et de vice…

    Peut-être… Ou même sans doute… Mais la laïcité et l’ordre républicain – en l’occurrence à la française – n’ont que 115 ans d’existence (depuis 1905) et “à leur actif” (leur passif en fait) quelques massacres ( ceux, entre autres, de milliers de Malgaches en 1947… Et d’Algériens à Sétif en 1945 )…

     

  • Antennes relais 5G vandalisées

    … Une question :

     

    Y a t-il des poètes, écrivains, penseurs, artistes, gens se souciant de la portée de leurs productions ainsi que de leur éventuelle audience auprès d’un public ou de “followers”, et qui de surcroît seraient des anarchistes voire des terroristes d’extrême gauche ou des écologistes contestataires et violents… Qui pourraient être les auteurs de détérioration destruction d’antennes relais 5G, ou plus généralement ne condamnant pas ces destructions ?

    Je ne pense pas qu’il y en ait, en effet, beaucoup, de ces “anarchistes écolo anti capitalistes anti technologies nouvelles”( mais poètes et gens d’écriture) qui seraient contre un internet de plus en plus performant et “voie royale” leur permettant de se faire connaître, de diffuser, présenter, leurs productions de poésie, de littérature, d’écriture, tout cela en un flux accru de données reçues et transmises dans l’instantanéité !

    Ce serait en effet, de s’en prendre à un internet performant, comme scier la branche sur laquelle on se tient assis !

    L’on peut imaginer à l’extrême limite, des écrivains, des artistes, des poètes, des penseurs, qui n’ont pas besoin d’internet parce qu’ils sont connus, édités, médiatisés, que leurs livres se vendent et se lisent, qu’ils remplissent des salles de spectateurs (des Zénith par exemple)… Mais alors pour quelle raison s’en prendraient -ils à un internet performant qui en aucune façon bien au contraire ne peut leur faire le moindre mal ? (dont ils n’ont guère besoin) …

    Autant imaginer Amélie Nothomb (à ma connaissance “ininternaute” ) avec une barre à mine en train de vandaliser une antenne relais !

    Quant on sait à quel point des centaines de millions de gens partout dans le monde, ne peuvent se passer d’internet, des réseaux sociaux, de facebook et de twitter et d’instagram, de leurs smartphones, d’envoyer des floppées de photos et de vidéos et de messages ; quant on sait que pour la vie quotidienne, les achats, les services, les loisirs, les transports, les échanges, le travail, internet est devenu absolument indispensable, incontournable… On mesure alors la folie qu’il y a, l’absurdité, le non sens, l’illogisme, à vouloir “scier la branche sur laquelle on est assis” !

    Bon sang, avec de toute manière tout ce qu’on a fait sur cette planète en destructions, pollutions, depuis quarante ans… Qu’est-ce que ça change de crier “haro sur le baudet” contre la 5G ! (et de détruire des installations comme le font les “anti” ) …

    Ils feraient mieux ces “anti”, de s’attaquer aux tortionnaires d’animaux, à l’inégalité homme femme, aux actionnaires et aux milliardaires prédateurs et à leurs bases, à leurs consortiums et à leurs sièges !

    Le chroniqueur Untel/Unetelle qui s’exprime tous les jours sur un blog, sur Facebook… Autrement que seulement épidermique et lapidaire… Ne peut pas être contre un internet plus performant! ( À vrai dire la 4G ou même la 3G plus voire la 3G lui suffit, et finalement la 5G n’est jamais qu’un “plus” ne pouvant pas lui faire de mal…

    Il y a toujours eu dans les découvertes, avancées, innovations technologiques, ou même scientifiques pour certaines relatives notamment à la biologie et aux êtres vivants ; des avantages et des inconvénients, ce qui implique – ou du moins doit impliquer – qu’une réflexion et que des choix se fassent, en fonction d’études, d’expérimentations, d’observations, tout cela durant un temps donné pouvant être de quelques mois ou années à plusieurs dizaines d’années voire plus…

     

     

  • Peut-on - et doit-on - comparer deux époques dans l'Histoire ?

    … D’aucuns – et sont nombreux à le penser, notamment les plus de 50/60 ans, disent autour d’eux et le font savoir sur les réseaux sociaux, que la période dans laquelle notre vie quotidienne est impactée par le covid, les confinements, couvre feu, restrictions limitations de déplacement etc. … Ne peut être comparée à, par exemple, l’époque de l’occupation allemande de 1940 – 1944, ou encore à d’autres périodes sombres et très dures de notre histoire… Périodes durant lesquelles la vie était vraiment difficile, où l’on avait faim, où l’on ne ne trouvait rien pour se ravitailler, où l’était privé de tout, où le moindre déplacement était contrôlé, souvent interdit, où l’on risquait sa vie à tout moment… Et où, disent tous ces gens de plus de 50/60 ans dont certains, les plus âgés ayant vécu cette période là dans leur jeunesse entre 1940 et 1944, que c’est toute une tranche d’âge, celle des 15/25 ans, qui a été sacrifiée, empêchée, privée d’avenir… Et tous aujourd’hui, parlent d’individualisme, d’égoïsme, d’irresponsabilité, d’ enfants gâtés, à propos de cette jeunesse d’aujourd’hui, en gros de la même tranche d’âge 15-25 ans… C’est du moins le jugement ou la pensée qui domine et “court l’espace public” en somme…

    Je ne suis pas sûr, pas sûr du tout, de la “pertinence” de cette comparaison entre deux époques, entre deux jeunesses, que 70 ou 80 ans séparent…

    Nous sommes aujourd’hui, et nous étions d’ailleurs de même il y a 70/80 ans, dans un contexte d’actualité ne pouvant seulement être défini, apprécié, jugé, que selon une “vision morale des choses et des gens”…

    Bien que l’individualisme et l’égoïsme soient de tous temps réels et bien présents, notamment dans les périodes difficiles de l’Histoire ; la réalité qui est celle de la jeune génération d’aujourd’hui des 15 – 25 ans, n’est plus la même du tout que celle des mêmes 15-25 ans des années 40, déjà pour une raison essentielle : l’entrée dans la vie active, avec un “boulot” (un “boulot”, oui, quel qu’il soit)! En effet en 1942, un “boulot” on le trouvait, la plupart du temps d’ailleurs sans avoir à quitter sa famille et sa région, sa ville ) … Alors qu’en 2021, un “boulot” on ne le trouve pas et de surcroît si l’on arrive à en “décrocher un comme on décroche le pompon d’un manège”, on ne sait pas pour combien de temps on va le garder ce “boulot”, et l’on n’a aucune chance de se “hisser barreau après barreau le long de l’échelle sociale” !

    Bien sûr, d’aucuns me diront : “y’a les smartphones, y’a les réseaux sociaux”, y’a tous les gadgets technologiques, le RSA, les aides sociales, la CMU, tout ce qui fait que matériellement la vie est moins difficile qu’elle le fut jadis, on ne risque plus sa peau au coin des rues – quoique… - Mais tout ça, ça ne fait pas revenir la foi en un avenir meilleur, ça fait de la désespérance, jusqu’à du suicide… Et ça s’inscrit dans une durée indéterminée, dans un combat contre l’adversité, contre un ennemi qui n’est pas humain… Dans une résistance encore plus mise à mal, plus écrasée, que celle de 1943 contre l’occupant nazi…

    On ne fera sans doute jamais le compte exact de toutes les victimes de ce grand désastre économique et sociétal, qui risque être sans comparaison possible avec le total des seules victimes en nombre de morts de la pandémie de covid…

     

     

  • Insécurité, vols et agressions, dans le contexte du covid

    … L’une des conséquences – non négligeable et bien réelle – de la pandémie de covid, est l’augmentation significative de la délinquance, des cambriolages, vols, agressions…

    Avec la diminution, par exemple, des touristes en toutes saisons notamment à Paris et dans les villes et les régions les plus visitées, ce sont désormais d’autres personnes que l’on vole et arnaque, jusqu’à même son voisin, des gens de sa connaissance ; tout devenant bon à voler, susceptible d’être revendu… Et la précarité dûe à la perte d’emploi, de revenu, sans cesse accrue dans le contexte du covid, “n’arrange pas les choses” !

    Il en résulte que les victimes de vols avec agression peuvent être de plus en plus désormais, des personnes autres que celles dont les auteurs de ces vols et attaques prenaient pour cibles, et cela en des lieux qui n’étaient pas jusqu’alors considérés comme des lieux à risque, mais sont des lieux bel et bien familiers tels qu’autour de sa maison, dans la rue où l’on demeure, aux abords d’un établissement de commerce alimentaire ou autre, en se rendant tout simplement, tout bonnement chercher son pain ou son journal à 500 mètres de chez soi…

     

  • Les sujets les plus sensibles

    … Les sujets les plus sensibles, ceux qui divisent, séparent, crispent, génèrent d’épuisantes et vaines polémiques, sont les plus difficiles d’accès lorsque l’on essaye de les aborder dans une réflexion et dans une pensée qui, l’une comme l’autre aussi profonde, aussi argumentée, aussi étudiée soit-elle ; se révèle en définitive “contre productive”…

    Cela tient peut-être de la formulation dont on use pour exprimer les choses, de ce qui porte à se méprendre sur le sens de ce qui est dit, écrit, perçu par l’autre…

    L’agressivité, le “raccourci”, le préjugé, le lapidaire, l’insulte, le déni, la dénonciation brutale et arbitraire, le propos laminant en phrases courtes, la vulgarité… Tout cela c’est la voie d’accès la plus empruntée, celle où l’on se porte parce qu’elle est facile, ne demandant aucun effort de réflexion mais seulement de se saisir de ce qui est agité au passage…

    La réflexion et la pensée, ce n’est point la voie d’accès privilégiée, parce que considérée suspecte, ou dérangeante, ou “affaire d’intellectuel” (ou de rêveur)… Ce qui la rend “contre productive”. De toute manière, elle est “zappée” le plus souvent, dans l’indifférence…

     

  • Variants covid

    … J’ai eu sous les yeux une carte de l’Angleterre faisant état de l’évolution du variant covid depuis décembre 2020 jusqu’à mi janvier 2021…

    En 3 ou 4 semaines, de 2 ou 3 zones en rouge et tout le reste du pays en jaune et orange (en rouge pour les zones les plus densément peuplées dont l’agglomération londonienne et le sud est), cela passe en noir étendu pour toutes les zones densément peuplées, en marron ou bleu foncé, et en rouge pour tout le reste du pays…

    Ce variant covid anglais, ainsi d’ailleurs que le variant d’Afrique du Sud, est déjà présent en France en au moins deux lieux distincts et non proches l’un de l’autre…

    C’est dire de ce qui nous attend dans les prochains jours, les prochaines semaines, chez nous en France…

    Inévitable, inéluctable… Quelles que seront les mesures prises (de confinement pour l’essentiel) par le gouvernement…

    Avec les retards et les dysfonctionnements dans la campagne de vaccination, ajouté aux variants du covid, 2021 sera une deuxième “année noire”, encore plus noire pour les contacts humains, l’économie, les travailleurs (les salariés et les entrepreneurs), l’école, l’université, la culture, les spectacles, les loisirs, les sports, les déplacements…

    Quand bien même l’on arriverait à tout bloquer, à tout immobiliser, à tout fermer ; il restera toujours deux voies ou passages obligés que l’on ne pourra pas bloquer :

    D’une part toutes les activités en rapport avec l’alimentaire et donc le commerce des denrées alimentaires…

    D’autre part toutes les activités de transit, de transport, d’échanges, importation exportation de marchandises sur distances pouvant être très longues, par avion, train, camion, bateau, entre pays, entre continents…

    Dans ces deux domaines d’activités essentielles pour la vie quotidienne des gens partout dans le monde, c’est là où se concentrent des milliers, des millions d’emplois avec forcément des gens se côtoyant, les uns dans l’exercice de leur activité et les autres en tant qu’acheteurs et clients – dans l’alimentaire… Et de nombreux emplois également et donc avec du contact inévitable, dans les activités de transit, transport, logistique, échange de marchandises entre pays et continents…

    En effet, lorsqu’un avion cargo arrive dans un aéroport, il faut bien que dans cet avion il y ait des gens, un pilote, un équipage ; et à l’arrivée des gens pour décharger, transporter, traiter, répartir pour les acheminements vers des destinations… Autant de personnes donc, en contact inévitable…

    Et il y a aussi tout le secteur médical en passant par les hôpitaux, les centres de soins, les cabinets de consultation et d’examens, médecine générale et spécialisée… Donc, un troisième domaine essentiel partout dans le monde, en lequel les gens se trouvent en contact, les malades et les consultants entre eux, le personnel soignant exposé…

     

  • L'un des biens les plus précieux

    … Commence par le verbe, le verbe qui va se faire agissement après avoir défini, identifié, nommé…

     

    … L’un des biens le plus précieux pour les femmes et les hommes de ce monde qui s’expriment dans une langue, n’importe quelle langue, de toute écriture… C’est celui du sens des choses, du sens de tout ce que l’on peut désigner en le voyant, le sentant, l’entendant, le touchant… De tout ce qui est concret, réel, fait de matière ; mais aussi de tout ce qui ressort des idées, de tout ce qui identifie des situations, des comportements, de tout ce qui fait relation…

    Les femmes et les hommes du monde actuel n’ont peut-être jamais autant dilapidé ce qui est leur bien le plus précieux : le sens des choses…

    Dilapidé, perverti, galvaudé, faussé, utilisé à d’autres fins que celle d’origine, naturelle, intemporelle… À tel point naturelle dans sa vocation, dans sa nécessité, dans sa vérité -initiales – que partout sans doute dans l’univers, dans le cosmos, dans l’infinité des galaxies , là où peut exister de la vie, une vie intelligente d’êtres en évolution, le sens des choses est le même, exprimé, produit différemment, avec d’autres sons, d’autres émissions, d’autres signes…

    Avoir dilapidé, perverti, faussé, galvaudé le sens des choses, c’est avoir défait le monde, déjà le nôtre, celui où nous vivons sur notre planète bleue à cent cinquante millions de kilomètres de notre étoile le soleil…

    Rêver de conquérir et d’occuper des mondes, des planètes, ailleurs dans l’espace, avec un sens des choses dilapidé, est absurde, déraisonnable…

     

     

  • Banalité, pauvreté dans le langage, dans l'écrit

    … Lu ceci, je vous le livre tel quel, sur une page Facebook d’écrivains et d’auteurs souhaitant se faire connaître :

     

    “J’ai visité écrivains poètes s’est vraiment une source d’imspiration j’ai passé un agréable moment à vous visité merci”

     

    … J’en suis resté comme deux ronds de frite !

    Je veux bien croire, à la limite, que le “m” d’ ‘imspiration” pourrait être une “faute de frappe” -quoique sur le clavier AZERTY le “m” et le “n” ne soient guère “voisins”…

    Le “s’est vraiment” ainsi que le “visité”, et l’absence de ponctuation me gênent davantage… Surtout de la part d’un commentateur (ou d’une commentatrice) s’exprimant sur une page Facebook d’écrivains auteurs…

    Et l’on s’étonne que bon nombre d’ “auteurs écrivains poètes en herbe” – ou “de longue date depuis leur adolescence – méconnus et dont les manuscrits ou “tapuscrits” sont refoulés, refusés par les éditeurs, enragent de voir leurs “œuvres” “passées à la trappe” !

    Cela dit, en vitrine dans les librairies – et surtout dans les rayons des “Leclerc Culturel” – et qui plus est encore, dans les productions d’ “ouvrages en ligne” de textes numériques à lire sur écran de liseuse ou de smartphone… Que choisir dans tout ce qui paraît, dans les derniers romans sortis, dans une telle profusion et diversité de sujets, de thèmes traités, en des histoires qui, pour la plupart d’entre elles, sont “de la vie qui court”…

    Ce terme “en herbe” pour désigner des auteurs débutants, m’exaspère quelque peu, je le trouve “convenu” ou “passe partout”… Est-ce que par exemple un auteur âgé de 60, 70 ans, qui écrit depuis ses 15 ans, peut-être un “auteur en herbe” ?

    L’herbe – dans un sens général pour qualifier tout ce qui est vert et pousse dans des champs et des près ou en forêt au sol entre les arbres- c’est le mot employé lorsque l’on n’y connaît rien ou presque, de ce que l’on voit pousser de vert en brins, en tiges, en feuilles, au sol…

    À force de banalité, et surtout de pauvreté dans le langage, dans l’écrit ; l’on finit par n’être plus qu’un consommateur insensible, inapte à faire la différence entre telle ou telle production, forme d’expression… Et, plus grave ou plus désolant, ce qui mériterait de la considération, en somme “ce qui sort du banal et du commun”, en arriverait à déranger, à être rejeté, “zappé” à plus vrai dire…

     

    … Bien que privilégiant l’intelligence du cœur à celle de l’orthographe, je constate que malheureusement et assez souvent, l’intelligence du cœur et l’intelligence de l’orthographe font en même temps défaut… Et que, pour s’en convaincre il suffit de “balayer du regard” quelques pages de différents réseaux sociaux du Net, emplies d’imprécations, de vociférations, de contestations lapidaires, où l’infinitif se substitue au participe passé, de la part de personnes “bien françaises de souche” titulaires d’un baccalauréat !

    Cela dit, bien sûr que le commentateur ou la commentatrice que j’évoque ci dessus, pourrait être une personne étrangère, sensible à la poésie et aux livres, et que dans ce cas, l’on peut effectivement et par respect, considération de cette personne, être indulgent…

    Ce qui me gêne dans la pensée générale de notre époque, en France en particulier, c’est ce “pas d’amalgame” qui s’apparente à de la complaisance, à de l’acceptation de la différence lorsque la différence devient agressivement revendicatrice et ostentatoire, que l’on laisse s’exprimer au nom de la liberté d’expression…

    En somme le même “pas d’amalgame” à l’égard des musulmans par exemple, ou des intellectuels, ou des “tout ce que l’on voudra” , dans l’idée qu’il ne faut paraît-il en vertu d’une correct pensence consensuelle “ne pas mettre tout le monde dans le même sac”… Le même “pas d’amalgame” à l’égard des gens de peu de culture et maîtrisant mal le langage et l’écriture pouvant tout aussi bien être “des gens de cœur” (à bien sûr considérer), que des crétins, des abrutis, des “épidermiques” (qui, soit dit en passant, ne le sont vraiment, crétins, abrutis, épidermiques, que “sous influence”, ou “en meutes” – mais beaucoup moins voire plus du tout, pris seul à seul entre quatre yeux, en privé)…

    “Pas d’amalgame” d’accord… Mais encore faut-il ne point faire de ce “pas d’amalgame”, du renoncement à dénoncer ce qui doit être dénoncé au nom d’une tolérance qui est devenue de la complaisance ou de l’abdication…