Articles de yugcib

  • Réveillon de Noël, Jour de l'An

    … Fuck le réveillon de Noël foie gras grosse dinde champagne, fuck également le réveillon de la Saint Sylvestre et le Jour de l’An !

    Corona ou pas, de toute manière, pour les esseulés, les sans famille, les exclus ou oubliés des réjouissances en famille ou amis, le Noël 2020 et le Jour de l’An 2021, ça changera pas grand chose par rapport aux années précédentes où y’avait pas le covid !

    Avec ces manifs et ces rassemblements de foule, dans des rues noires de monde même avec le masque, aussi proches les uns des autres que les gens sont pour faire leurs achats, ou dans les manifs, comme il faut bien que l’air expiré s’évacue autour du masque, bonjour la circulation du virus!

    Putain, vous allez voir : le Premier de l’An, finalement, il risque d’être un jour aussi ordinaire qu’un 22 janvier ou qu’un 4 mars ! C’est ce qu’il devrait être rapport contexte covid, n’en déplaise aux accros indécrottables du consumérisme et de la Fiesta tout est permis, dont certains de ces accros sont -oh paradoxe oh absurdité – des anti vaccin !

    Eh, covid de merde, y’a des moments tu commences à m’intéresser! Oui tu me fais chier, salaud de covid, mais… Dans un certain sens (le sens anti sens je vous fais pas un dessin), tu “remets les pendules à l’heure” !

    Ce putain de covid, il regarde pas si t’es festayre, papahouète, mémé en EHPAD, milliardaire, si t’a un bon compte en banque et une belle baraque, ou si t’es un miteux, un pouilleux, un gavatcho, un rabat joie, enfin n’importe quel enfoiré ou empapahouté!

    Mais ce qu’il y a de sûr, bordel, c’est qu’il en fout un sacré gadin dans la gamelle de cette société à la con, où tout le monde veut profiter de tout, se péter le ventre, faire la fête, se gaver, même avec des gadgets à 2 balles d’euro ! … ça me ferait presque rigoler si ne me venait point cette lucidité tragique en voyant évoluer au fil des jours, la situation du monde, les événements, l’actualité, les comportements !

     

    NOTE : “Fuck les 2 réveillons, fuck les rassemblements festifs bonané sur les Champs Elysées les grand’place des villes festayardes genre par exemple Bayonne, fuck les soirées repas dansant pluie de confettis chapeau paille serpentins, fuck la nuit de la Saint Sylvestre en boite branchée, fuck les concerts de klaxon à minuit et, soit dit en passant à 10h du mat’ le Premier de l’An le coup de klaxon rageur de l’automobiliste impatient à l’égard de l’hésitant qui va pas assez vite dans le rond point… Fuck tout ça, oui, et avec un grand bras d’honneur à m’en bleuir le creux du coude…

    Mais “pas fuck du tout” au contraire un grand regard de bienveillance, un coup d’œil amical, à Noël Jour de l’An en famille réunie vraie entente vraie solidarité vraie gentillesse, même avec une dinde grosse et grasse comme un petit cochon et des chocolats en boîte géante d’Auchan !

    Salut la compagnie !

     

     

  • Le Rubicon

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    … Tant que l’on en reste à l’horoscope (le “classique” avec les signes du zodiaque tel celui de nos sociétés occidentalisées, ou le “chinois” avec des noms d’animaux)… Le “Rubicon” n’est pas franchi…

    En revanche, au delà des civilités horoscopiques échangées, dès lors que sont abordés politique et religion, le Rubicon est franchi…

    Chez les toutous, pas d’horoscope, pas de politique, pas de religion… Juste des humeurs de trou de bale identificatrices de là où l’un, l’autre, vient…

    C’est “plus sain”, en somme, chez les toutous !

     

     

  • Le Téléthon à la Télé

    … J’ai “loupé/loupé” la “Grande/Grande Nuit du Téléthon” à la Télé !

     

    Pour un mec qui a “longuement épilogué” sur la condition des handicapés, “ça la fout mal” ! C’est le moins qu’on puisse dire !

     

    Mais bon… C’est ainsi !

     

    Cependant je reconnais le “bien fondé” de cette émission marathon de 30 heures étalée sur deux soirées vendredi et samedi, tout comme je reconnais chaque campagne de sensibilisation pour l’aide aux handicapés et en ce qui concerne ces “maladies orphelines” faisant l’objet de recherches coûteuses et incertaines quant au résultat…

    Seulement je n’arrive pas à adhérer au côté “voyeuriste” de la misère et de la souffrance de ces personnes que l’on fait venir sur une scène, que l’on questionne, que l’on filme, qui font arracher des larmes, suscitent une grande émotion…

    Enfin… “voyeuriste” dis-je… Ce n’est peut-être “pas tout à fait ça” – juste que ça y ressemble un peu – ou qu’il y a là une “ambiguïté”…

    Comment en effet – dans les formulations et dans les présentations les plus pertinentes possibles, dans les témoignages recueillis de ces gens en fauteuil roulant – concilier réalité de situation et préservation de l’intimité, de la dignité de la personne qui généralement est encline (on le comprend) à la discrétion .

    D’où la pertinence qu’il y a, tous les ans à la même période, début décembre, de produire cette émission marathon de trente heures sur deux soirées… Ne serait-ce que pour porter à la connaissance du public, la réalité de la situation (des situations)…

    Dans ce “tout seul dans sa peau jusqu’à la fin de ses jours”, cette formulation avec laquelle je concluais mon texte, réside en fait “l’inexprimable”, l’ “indicible”; ce qui se situe au delà de l’émotion même (de ce qui nous impacte au vrai), au delà de toute “moralisation” de toute “pensée convenue ou commune”… C’est ce “tout seul dans sa peau jusqu’à la fin de ses jours”, ce qui nous renvoie à ce qu’il y a de plus intime en nous, à ce qu’il y a parfois sinon bien souvent, de plus tragique, de plus douloureux en nous et avec cette “solitude viscérale et intérieure” qui nous habite -même dans les moments censés être heureux ou insoucieux de notre vie … Parce que ce “tout seul dans sa peau jusqu’à la fin de ses jours”, en somme, c’est celui dans lequel on traverse la vie depuis notre naissance (et sans doute même depuis notre conception et foetus dans le ventre de maman)… C’est celui qui fait que, quand t’as une jambe en moins, que t’y vois pas, que tu es sourd et muet, que quand t’es trisomique, c’est toi qui l’est, pas l’autre, pas ton mari, ton compagnon, ta femme, ta compagne, ton fils, ta fille, personne d’autre!

    Bien sûr il y a l’amour, l’affection, le dévouement, la fidélité, la présence, l’aide… Oui, tout ça… Mais la jambe elle est pas là, ou autre chose qui manque !

    Et ce qui est le courage, la volonté de surmonter, l’énergie, l’optimisme affiché, la volonté inébranlable, tout ce qui fait qu’on arrive par exemple, jusqu’à des prouesses sportives, jusqu’à des réalisations, des métiers exercés, des productions artistiques, tout ça, en somme, c’est l’expression d’une gestion de ce “tout seul dans sa peau jusqu’à la fin de ses jours” ! Parce que cette gestion là est le seul choix possible : il n’y a en a pas d’autre… Sinon celui de l’amertume et d’une solitude, d’un isolement encore plus grand, avec des gens autour, qui te font sentir leur indifférence, voire leur mépris… Ou qui au mieux, te font des leçons de morale bien dans le confort de leur bonne santé…

     

    … Toute médaille ou pièce -de monnaie – a ses deux côtés ou faces… La médaille ou la pièce, en quelque sorte, représentant un “ordre des choses”( politiquement, socialement, économiquement, idéologiquement, ou sur le plan croyance – croyance religieuse entre autres )…

     

    … Néanmoins, la médaille (ou la pièce) avec ses deux faces différentes l'une de l'autre, il faut bien s’en servir et la lancer, la mouvoir : il n'y a pas d'autre choix. L'on espère toujours qu'elle présente en retombant au sol ou sur la table, la face que l'on souhaite... Et... Ce qui n'arrive quasiment jamais, c'est que la pièce ou la médaille se présente posée sur la tranche, et reste en équilibre après avoir "quelque peu vacillé" ... Il y a assurément, tout un art, à faire que la pièce en s’en servant, en la lançant, se présente sur la tranche en retombant au sol ou sur la table…

     

     

  • Un déséquilibre s'instaure entre des forces qui s'opposent

    … Je ne suis pas moi non plus, comme beaucoup de nos concitoyens dans ce pays, la France, un idôlatre de la Police, des gendarmes, des forces de l’Ordre…

    Mais il est une réalité de ce “temps présent que nous vivons” et qui n’est plus la réalité de celui du temps des grèves d’ouvriers des mines du Nord Pas de Calais, où à Fourmies la Troupe tirait à balles réelles sur les manifestants, en 1906 le jour du 1er mai si mes connaissances ne me font défaut ; et encore moins du temps des dragons et de la police armée de Louis XIV à la fin du 17 ème siècle, où les révoltes étaient durement réprimées, à coups de sabre, de fusil et de charges de cavalerie…

    Jusqu’en 1950 si l’on inclue la période de l’occupation allemande et du régime de Vichy, de tous temps à jamais, toutes les manifestations populaires toutes les révoltes, tous les mouvements sociaux contre un pouvoir établi, contre des possédants, les seigneurs au Moyen Age, trouvaient en face des foules massées et déterminées au combat, une force armée bien supérieure en moyens, matériel de répression, et résolue, bien résolue et d’ailleurs commandée, à tuer, à anéantir… Jusqu’à des femmes et des enfants… “L’on ne faisait pas dans le détail”!

    En dépit de cette force armée au service de l’autorité et des dominants, si puissante, si organisée, si présente partout, si réactive ; il y a quand même eu quelques châteaux incendiés, et quelques seigneurs “raccourcis”, pas mal de “casse” à vrai dire, surtout dans les villes, notamment à Paris…

    C’était, oui, tout cela, à peu près jusqu’au milieu du 20 ème siècle… Depuis l’Antiquité Egyptienne, Grecque et Romaine…

    La réalité du temps présent, depuis les années 1960 en gros, et surtout après mai 1968, c’est que le pouvoir en place – dans les pays démocratiques faut-il cependant préciser - (Droite ou Gauche ou Centre ou tout ce qu’on voudra), avec son gouvernement, ses lois, ses institutions, son “éthique” si l’on peut dire, avec l’évolution de sa “pensée” et de sa “vision de la société” (une sorte de “morale”, convenue, établie, référente ), s’interdit de tuer lorsqu’il doit faire usage de la force (police, gendarmerie)…

    En revanche, les “éléments” les plus violents, les plus déterminés, les plus “casseurs”, les plus fanatiques, dans les mouvements sociaux, les manifestations ; et même ceux qui “prennent parti” -ouvertement ou tacitement – pour ces “casseurs”, et seraient prêts à participer de près ou de loin à des “actions”… Eux, oui, eux, “seraient déterminés à tuer”!

    … En somme, commence à s’instaurer un déséquilibre manifeste, déjà observable, entre des forces de l’Ordre ayant pour mot d’ordre de ne pas tuer et de maîtriser leurs interventions ; et des manifestants violents (pour certains d’entre eux de plus en plus nombreux) déterminés eux, à tuer…

    C’est ce déséquilibre, devenu évident, qui génère de part et d’autre, ce que l’on appelle des “bavures” pour les policiers, et des “exactions” pour les manifestants, les casseurs, les éléments violents… Des “exactions” qui vont jusqu’à des assassinats, des véhicules incendiés avec des gens dedans ! Des “bavures” qui vont jusqu’à des actes inqualifiables de violence inouie…

    C’est ce déséquilibre qui s’instaure et “change la donne”, qui “déshumanise” autant le policier que le manifestant, dans une situation non maîtrisée et sensible…

    Certes, le “monde d’avant” (du temps de la force armée réprimant par le sabre et par le fusil et les charges de cavalerie) était un monde dur, impitoyable… Mais le monde d’aujourd’hui, l’est tout autant, impitoyable, mais d’une autre façon… Sauf que le sang versé est toujours là sur le pavé !…

     

     

  • Exit la transmission des savoirs, mais en avant la construction des savoirs !

    … L’ enseignement ( l’éducation ) des jeunes, avant les premières grandes réformes de la fin des années 1960, c’était la transmission des savoirs dans ces domaines que sont les sciences, l’histoire, la géographie, la littérature, la langue, l’écriture, les mathématiques…

    Il en avait toujours été ainsi, depuis notamment le 13 ème siècle avec les grandes universités de France et d’Europe, et plus récemment depuis la fin du 19 ème siècle avec l’école républicaine, laïque, gratuite et obligatoire en France.

    Depuis les premières réformes de l’Éducation Nationale, devenue l’Enseignement, la transmission des savoirs, peu à peu, de réforme en réforme en commençant par l’école élémentaire et primaire, puis le collège, puis le lycée, avant de gagner l’université (les études supérieures), a cédé le pas pour devenir construction des savoirs par les activités…

    Ainsi la priorité n’est plus la transmission des savoirs. Désormais, et de plus en plus, c’est l’élève, l’enfant, l’adolescent, le jeune adulte qui construit lui-même ses savoirs par le biais d’activités diversifiées qui soutiennent la construction des savoirs…

    Mais “quels savoirs” ? Sinon ceux que les “Décideurs” souhaitent voir acquis, d’une part ; et ceux qui sont demandés, souhaités, par les jeunes eux-mêmes selon leurs aspirations et dans le “cadre” du “développement personnel”, d’autre part…

    Le résultat de cinquante années d’abandon du principe de la transmission des savoirs et de la mise en avant de la construction des savoirs par les activités, par le développement personnel (l’individualisme en somme)… Le résultat, le “beau résultat”, c’est la société devenue ce qu’elle est aujourd’hui, dans toute sa déliquescence, ses dérives, ses nouvelles violences, ses crispations, ses intégrismes, ses dénis, ses revendications, ses révoltes qui en aucune façon ne font de véritable et durable révolution…

    Dans des environnements hostiles, de guerres, de dominations, d’injustices, de dureté du monde et de la vie, par le passé, les sociétés ont survécu aux crises les plus graves, et même sont parvenues à se construire, à évoluer, en partie grâce à la transmission des savoirs – et des savoir faire … Même si cette transmission ne s’effectuait à vrai dire, que dans une partie minoritaire de la société ( les personnes qui déjà, savaient lire et écrire ; puis celles qui pouvaient étudier, accéder aux connaissances )…

    Aujourd’hui dans le monde où nous vivons, dans les nouvelles violences qui s’ajoutent aux violences existant depuis toujours, si la transmission des savoirs n’est plus la priorité et si, selon ceux qui décident, organisent et dominent, ce serait à chacun de “construire ses savoirs” et de se “développer personnellement”, alors notre civilisation est condamnée à disparaître…

     

    … Quelle est la proportion des enseignants, du primaire, du collège, des lycées et de l’université, qui adhère, ou soutient, ou est favorable à ce courant d’évolution de réformes se fondant davantage sur la construction des savoirs par les activités, que sur la transmission des savoirs ? Se dégage – t – il un “sentiment général” ?

    En aucune façon je ne souhaite me fonder sur des “à priori” – quand bien même j’inclinerais à en avoir de ces “à priori”… C’est à dire à penser que ces enseignants là, en général affiliés à des syndicats, qui adhèreraient, seraient favorables ou même “suivraient tacitement l’évolution des réformes et donc se soumettraient”, constitueraient “un bon gros des troupes” …

    Il me faudrait connaître l’avis d’enseignants intéressés par cette question et qui, forts de leur expérience, pourraient m’apporter un “éclairage”…

     

  • Pays inaccessibles du fait de la pandémie de covid

    … Il est très malheureux et très inconfortable, d’avoir pour un Français, un proche parent en général un fils ou une fille, au Canada, aux USA, en Australie, en Chine, dans le contexte de la pandémie de covid où ces pays cités – entre autres – interdisent l’accès sur leur territoire, des ressortissants Français…

    Il n’en est aussi pas moins malheureux et inconfortable, pour un jeune diplômé formé, Français, sans emploi et sans avenir dans son pays, de ne pouvoir émigrer, s’installer au Canada, en Chine, en Australie, aux USA…

    Il était tout autant très malheureux et très inconfortable, du temps du mur de Berlin après 1961 jusqu’en 1989, pour un Berlinois de l’Ouest, habitant dans un immeuble accolé au mur, d’avoir dans un immeuble de l’autre côté du mur, à moins de 10 mètres, un proche parent, un fils, une fille, ses parents, une partie de sa famille…

    Ainsi dans les libertés individuelles dites “fondamentales”, inscrites dans les constitutions des états (certains états), et en particulier la liberté de se déplacer d’un lieu à un autre ; interviennent des empêchements liés soit à un environnement de pandémie virale, soit de système politique…

    Il n’en demeure pas moins que, indépendamment de quelque environnement que ce soit, système politique ou pandémie virale, cet environnement en question, invoqué, en l’occurrence la pandémie de covid actuelle, est en fait – et de fait – le “révélateur de l’état d’une société différente par sa culture, par son mode de vie, ses lois, ses institutions, ses règles en matière de relation humaine, son Histoire…

    Autrement dit, un pays d’une culture et d’une Histoire différents de là où l’on vit, ayant une “autre vision du monde et de la société”, veut bien accueillir l’Autre, venu d’ailleurs, lorsque “cela l’arrange”, pour le bénéfice pouvant en être retiré… Mais “cela s’arrête là”, et il ne faut donc pas qu’interviennent des circonstances environnementales indésirables – ou jugées ou supposées indésirables…

    Et pourtant, si l’on remonte dans un passé très lointain, à une époque préhistorique où n’existaient encore ni nations ni états, juste des territoires traversés par des peuples s’installant un temps dans tel ou tel territoire, il n’était alors vraiment partout, avec Néandertal et Sapiens, qu’une seule culture, celle de la pierre taillée dans la diversité de ses formes, de ses pratiques dans le travail, dans ses innovations, ses techniques, ses améliorations… Et ces peuples d’alors, périodiquement, se rassemblaient par groupes afin d’échanger, de communiquer, non seulement pour tout ce qui avait trait à la vie pratique, mais aussi pour ce qui déjà à l’époque, était du domaine de la pensée, de l’esprit, de formes d’expression artistiques, dessins, sculptures, chants, musiques à l’aide d’instruments fabriqués…

     

  • Derrière les contradictions, l'individualisme

    … Les personnes qui sont dans la contradiction en ce qui concerne leurs aspirations, m’énervent et je les trouve peu crédibles dans leurs arguments…

    Ainsi en est-il des anti vaccin covid qui, pour une grande majorité d’entre eux, se disent réticents parce qu’ils ont peur des effets secondaires à terme, et en même temps récriminent contre les mesures prises pour lutter contre la pandémie de covid et voudraient que la vie redevienne comme avant.

    Bon sang, s’ils veulent vraiment/vraiment que la vie redevienne comme avant, alors qu’ils acceptent de se faire vacciner! Sinon, eh bien qu’ils acceptent les mesures prises, de distanciation, masque, restrictions, privations de certaines libertés etc. … !

    Et les pro vaccin, eh bien qu’ils acceptent l’éventualité d’effets secondaires néfastes à terme !

    Absurde, débile même, dis-je, cette contradiction dans les aspirations! Merde, d’un côté je veux pas ça parce que…, et en même temps je veux ça, qui va pas avec ce que je veux pas!

     

    … Et ce qui me pèle de première dans cette affaire de pandémie de covid, et , je le dis aussi, indépendamment du covid ; c’est cet individualisme forcené, ostentatoire, “tapant du pied comme un gosse capricieux”, ces revendications agressives, lapidaires, totalement déraisonnables “gros bobo à la planète”, au nom des libertés individuelles qu’il faut sauvegarder à n’importe quel prix, cette rage d’hyper consommation loisiresque/gadgétique, cette propension/mise en avant du “développement personnel”! Oui, tout ça me pèle !

    À la radio j’entendais ce midi, 2 décembre, que pour les prochaines vacances de Noël, “ça faisait un carton pour des réservations de voyages au Costa Rica, dans les “Iles”, enfin dans ces “petits paradis touristiques” où l’on s’éclate au soleil sur les plages et dans les résidences 4 étoiles piscine jaccusi casino discothèque! Merde! Si c’est ça rêver ! …

     

    … Le vaccin, oui, c’est bien beau, je suis “pour” (selon ce que j’en ai dit précédemment dans plusieurs notes)… Mais… Le jour où sévira une autre pandémie, celle là, pas de covid mais de quelque chose de bien plus vache, ou même une sorte de covid 2 ou 3 plus des grippes carabinées, pneumopathies virales etc. … Il en faudra des nouveaux vaccins !

    Parce que ce siècle, le 21 ème, sera peut-être celui des pandémies virales à répétition et diversifiées dont certaines du genre Ebola fièvre hémorragique , du fait de tous ces virus transmis à l’Homme par les animaux sauvages, le dégel du permafrost dans les zones froides de la planète affectées par le réchauffement climatique…

     

    Du coup, putain, le “développement personnel”, le voyage de rêve au Costa Rica, le dernier modèle de bagnole tout automatique, les best-sellers des grands écrivains médiatisés, la société de consommation de masse, l’individualisme sanctuarisé… Tout ça mon cul, fini fini, et Téterre elle en pourra plus, elle en craquèlera se dessèchera de partout !

     

  • Punis de ski en Suisse, les accro de vacances de neige !

    … À l’annonce des stations de ski en Suisse, inaccessibles aux vacanciers d’hiver français pour les congés de Noël, dans le cadre de la lutte contre la propagation du covid ; ce qui il faut dire, contribue à limiter le nombre de ces vacanciers de la neige dans les trains TGV à destination des stations de ski… Je n’ai guère été “très choqué”.

    Je me fous royalement du “rêve” de ces “accros” de sports d’hiver vacances de neige, parisiens et autres !

    D’ailleurs, dans les stations alpines françaises, durant ces séjours de vacances de neige, après de belles journées ensoleillées ou non, de descentes à ski et d’accrobaties pour épater les copains, de circuits plus ou moins hors piste ; pas de resto le soir, ni de bistrot ni de discothèque branchée jusqu’à 3 plomb’ du mat ! Des œufs sur le plat et une tranche de jambon dans la piaule à l’hôtel ou le studio en location, avec une bouteille de pinard!

    La Suisse ? Avec, en plus de la carte européenne d’assurance maladie, une bonne police d’assurance couvrant les frais d’hospitalisation, de soins médicaux, dans un pays où le moindre bobo te coûte la peau du cul ; des hébergements tarifés “par personne” (et non par chambre à 2 ou à 3) , des séjours d’une semaine ou plus si on peut, qui reviennent à deux sinon trois fois le prix d’un séjour en France même durée…

    Les “punis de vacances de neige en Suisse” seront donc, en très grande majorité, des “bobos” pleins aux as, “droite confortable ou gauche aisée” en général trente-quarantenaires pétant de santé…

    Bon, c’est vrai, ma pensée tout de même se porte sur les salariés en CDD, occasionnels, saisonniers pour beaucoup ; sur les bistrotiers et restaurateurs d’établissements relativement modestes par la taille, sur tous les travailleurs dans cette économie du tourisme hivernal…

     

    … Juste un “léger détail” – afin de “remettre tant soit peu les pendules à l’heure” :

    Dans les trains TGV à destination de Chambéry, Grenoble et à plus forte raison Genève, Lausanne, à l’occasion des vacances de neige… L’on ne compte guère – même en première classe – de ces voyageurs “bobos aisés accro de sport d’hiver”… Ceux là, en effet, se rendent dans les stations hivernales en bagnoles cossues à arrière riche et gras et à avant capot plantureux… (rire)…

     

  • Allez, chiche : qui se prend en selfie sans quitter son masque en mangeant ?

    … J’ai renoncé à me prendre en “selfie” avec mon smartphone (deux selfies) en train, pour la première, d’aspirer avec une paille insérée sous le masque, dans un grand verre, un jus de citron pressé… Et dans la seconde, en train, soulevant le bas du masque, de porter en bouche avec une fourchette, un petit morceau d’escalope de dinde… Sans salir le masque…

    J’avais déjà “suggéré” pour le jour où les bistrots et les restaurants rouvriraient (le 20 janvier 2021) ou pour le cas où ils pourraient rouvrir avant cette date du 20 janvier 2021, de prévoir un masque (jetable) troué au niveau de la bouche afin d’y fixer la paille pour boire un demi de bière ou un ballon de rouge ; et de se munir d’un masque visière spécial (avec la partie basse avancée), au restaurant, afin de porter en bouche ce qui se trouve dans l’assiette, le plus aisément possible grâce à la partie basse de la visière avancée mais néanmoins descendant assez bas au niveau du menton…

    Assurément, après avoir “réfléchi à la question”, j’ai pensé qu’il y avait “bien plus simple” :

    Soulever le bas du masque autant de fois que nécessaire en mangeant, afin de libérer la bouche le temps d’ingurgiter ; glisser la paille pour boire, sous le masque…

    Juste un “petit problème”, pour manger : éviter des plats en sauce du genre gambas en sauce américaine ou lapin à la moutarde ou navarin d’agneau, privilégier les viandes grillées, rôties ou bouillies, les pommes frites ou pommes noisette… Et renoncer aux salades “très mouillées” (rire)…

    Moyennant quoi, “on fait revivre nos cafetiers, nos restaurateurs habituels dans notre commune, ville, quartier”… Et, à charge pour eux de prévoir une distance suffisante entre les tables… Bon c’est vrai, pour les groupes d’amis, les gens en famille de plus de 4 personnes à table, c’est “un peu difficile” !

    … Et à charge aussi, pour les clients que nous sommes, de “rééduquer” nos palais à une dégustation de bons vins à l’aide d’une paille ( “un peu difficile aussi, certes” )…

     

  • La caravane

    … Des ânes, au Mali, en caravane menée par des griots “new age” et transportant sur leur dos, à leurs flancs, en échafaudages disparates, des rouleaux de tissus, des cornes de rhinocéros, des pierreries extraites de galeries creusées par des mineurs du Paléolithique Supérieur au plus profond du désert du Kalahari ; suscitèrent l’incompréhension des villageois voyant passer cette caravane d’ânes devant leurs maisons bâties de torchis, et troublèrent par la résonance de leurs pas, le silence qui d’ordinaire chaque jour, se fait, à l’heure de la prière…

    Et la caravane poursuivant sa route après avoir traversé le village, atteint un ancien forum romain dont ne subsiste qu’un bout de terrasse de mosaïques, quelques bases de colonnades, un autel brisé, une statue de femme sans tête…

    Sur un pan de mur l’on peine à discerner les formes et les couleurs d’une gigantesque fresque d’étranges personnages, d’animaux, de plantes et de fleurs mêlés… Et, tout à fait surprenant après tant de siècles écoulés, au fond de ce qui devait être un bassin, un lieu de baignade, apparaît ce dessin tracé dans la pierre, aux lignes, aux formes, aux traits bien nets ; une représentation artistique sans aucun rapport avec le monde de l’époque…

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    Han’Dou, l’un des griots “new age” qui venait tout juste de quitter Philadelphie sur la côte Est des USA, où il jouait du tambour sur des poubelles renversées dans le West Side multi ethnique, s’interrogeait sur le bien fondé de cette caravane d’ânes chargés de tant de ces pierreries dont la vente était bien incertaine, sur ces marchés du Nord en partie désachalandés du fait de la progression d’une fièvre hémorragique venue du Moyen Orient…

    Et Juliana, une Argentine écrivain dont le dernier livre “Au pue- bas des caves aux cruches tachées” avait obtenu le Renault d’O, envisageait une possible liaison amoureuse avec Han’ Dou, le batteur du West Side de Philadelphie…

    Cependant, les ânes, au Mali comme ailleurs, sans son et sans eau n’ont aucun avenir… Pas plus que les cons naissant, sans provende et sans vin ; pas plus que les génies de fer sans piédestaux, n’ont de chance d’historier…

    Tout de même, des pierreries enfouies depuis tant de siècles dans des galeries au plus profond du désert du Kalahari… Un beau jour de 21ème siècle, en charge aux flancs d’ânes en caravane au Mali ! …

    Et ce dessin anachronique, au fond d’un bassin !

    L’on imagine une horde de bandits du désert fondant sur la caravane, des bandits non pas à cheval mais en 4X4 Toyota et s’emparant des sacs de pierreries.

    L’on imagine également Han’Dou et Juliana, assaillis par l’un des bandits brandissant un sabre, le faisant tournoyer, et les deux têtes tranchées d’Han’Dou et de Juliana roulant dans les cailloux de la piste ; puis dans les jours suivant l’attaque de la caravane, un détachement de soldats des Forces Armées Françaises poursuivant les bandits du désert, et à la sortie d’un étroit défilé, lit asséché d’un oued entre deux plateaux rocheux, le détachement en partie décimé dans une embuscade…

    … À l’annonce de l’attribution du Prix Goncourt à Hervé Le Tellier, pour son roman L’ Anomalie, j’ai été surpris par cette analogie, ou plutôt ce rapport avec les genres mêlés thriller/science-fiction/espionnage/policier dont il est fait état dans la présentation… Et la lecture du résumé en 4 ème de couverture de cet ouvrage, m’a inspiré ce texte où il est question d’une caravane d’ânes traversant le Mali et se dirigeant vers des régions situées au delà du désert dans le nord, peut-être un pays du Maghreb…

    Et je me suis souvenu d’un dessin que j’avais réalisé en 2013, dont j’ai fait, dans cette histoire de caravane, une fresque surréaliste gravée au fond d’un bassin, un lieu de baignade d’une ancienne cité romaine dont subsistent les vestiges à la sortie d’un village au Mali…

    Les Romains dans l’exploration qu’ils firent des terres africaines sont sans doute arrivés jusque là, dans ces régions du Mali d’aujourd’hui…

     

  • Amalgame

    … Amalgame…

    Ce terme me fait penser à un tas de cerises de type bigarreau, par exemple de variété “cœur de pigeon’ (ou “napoléon”), des cerises fort belles et appétissantes en apparence, susceptibles d’avoir en leur chair ferme, des vers de mouche… Des asticots, en somme…

    Qui n’a pas au moins une fois acheté de ces cerises, et avoir ainsi absorbé le ver qu’il y avait dedans ?

    Aucun signe extérieur, pas la moindre perforation “cicatrisée”, rien qui montre que la cerise est véreuse…

    En fait, ces cerises là, des “cœur de pigeon” ou des “napoléon”, il faudrait avant de les porter en bouche, les fendre en deux avec la pointe d’un couteau et en extraire le noyau autour duquel se tortille le ver…

    Bien sûr, dans 1 kg de ces cerises, toutes ne sont pas véreuses. Mais lesquelles ? C’est bien là la question! …

    Faut-il donc éviter de les acheter, ces cerises de variété “cœur de pigeon”? Quel choix faire, présentées qu’elles nous sont, sinon de repousser toute la corbeille ou se saisir de quelques unes au risque de “bouffer” le ver?

    … En quelque sorte, c’est ça, l’amalgame… Jeter tout le tas de cerises parce que dix ou vingt d’entre elles dans le tas sont véreuses…

    Tout à fait réaliste, en somme, que de jeter tout le tas… Sûr que l’on est de ne pas ingurgiter l’asticot !

    Mais la cerise, on peut toujours la fendre en deux avec la pointe d’un couteau pour voir s’il y a un ver à l’intérieur… Chose que l’on ne peut faire avec un être humain de tel milieu social, de telle culture, de telle ethnie, de telle religion, de tel mode de vie…

    À moins que “fendre en deux pour voir l’intérieur” veuille dire : “ouvrir par la relation, pour autant que la relation puisse s’établir” -en sachant que si la relation ne s’établit pas, alors on est bon pour avaler l’asticot…

     

  • Ah, ces manifs à clusters !

    … Ces manifestations contre les violences policières, contre la loi sécurité globale, du 28 novembre à Paris et dans des grandes villes, et qui ont rassemblé des milliers de personnes en des espaces où ces personnes se trouvaient concentrées, proches les unes des autres comme on a pu le voir dans les reportages ; aussi justifiées qu’elles soient et témoignant de ce que ressentent beaucoup de nos compatriotes… Sont une violation de l’article 3 décret III du 29 octobre 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de covid 19 dans le cadre de l’état d’urgence sanitaire interdisant les rassemblements de plus de 6 personnes sur la voie publique…

    Je le redis, oui, elles sont justifiées ces manifs – dans le “sens commun” étant celui de la pensée générale de bon nombre de Français – mais le fait qu’elles aient pu avoir lieu, est étonnant pour ne pas dire “surréaliste” dans le contexte “covidéen”!

    Pour qu’il y ait eu un tel déploiement de forces de police, notamment à Paris place de la Bastille, c’est que la manifestation ne devait pas avoir l’aval des autorités préfectorales…

    On peine en effet à imaginer une telle contradiction entre d’une part le décret du 29 octobre et d’autre part le fait de laisser se dérouler la manifestation…

    Combien de foyers d’infection au covid, dans “cette affaire là” ? ( je n’arrive pas à me faire à ce terme de “cluster” pour désigner un foyer d’infection )… De nouveaux foyers, forcément ! … Car d’après ce que j’ai pu voir dans les reportages, bon nombre de manifestants n’avaient pas de masque!

     

    … Même s’il n’y a pas de comparaison pertinente entre la volonté de milliers de gens à manifester contre les violences policières et la loi de sécurité globale, et le fait de vouloir passer les fêtes de noël et du jour de l’an dans les conditions les mieux espérées possibles… Je pense à ces fêtes durant lesquelles nos vieux dans les EHPAD, les sans domicile dans la rue, les tout seul dans la vie les éclopés les jugés asociaux les “pauvres bougres” seront les grands exclus de toutes ces réjouissances retrouvailles réunions de famille, et pour certains d’entre eux, atteints du covid, en mourront…

     

    … Noël avec une dinde grosse comme un cochon basque, pour les uns, et au ski à Courchevel, pour d’autres dont par exemple Arnaud Le Magnifique et sa drague d’Audrey La Pétulante, au départ de la piste de ski de descente, drague qui finit trois mois plus tard en mariage 400 personnes à l'apéro géant et 130 au repas du samedi soir et 70 le dimanche midi total 15 000 euro avec la location de la salle pour 2 jours... Et au bout de 6 mois divorce...

    Et papy d’Arnaud ou d’Audrey qu'a chopé le covid dans son EHPAD et qu'en est mort pendant la semaine de ski à Courchevel, d'Arnaud le trentenaire en Duster Dacia très accro des nouvelles technologies internet smartphone domotique qui draguait Audrey sur la piste. Ah ce putain d'noël qu'il faut surtout pas louper, et cette offre de booking com en promo une semaine à Courchevel sans compter le black friday du début de l'Avent ! Merde! Et une durite qui pète dans le Duster Dacia d'Arnaud - Le - Magnifique ! Et le masque Dolce Gabbana d’Audrey, passé sous le menton, maculé d’une projection de sauce américaine de gambas à la plancha lors d’un dîner d’amoureux dans un restaurant huppé de Courchevel !

     

  • Réalité subjective, réalité naturelle

    … Exprimer ce que l’on ressent, par la parole ou par l’écriture, ou encore par une représentation imagée, un dessin, une séquence filmée… Et le communiquant autour de soi à sa manière…

    Est-ce possible sans verser dans la morale, dans quelque forme de morale que ce soit ?

    À entendre, écouter, lire, prendre connaissance de ce qui est exprimé, n’est-on point incité à verser dans la morale, celle que l’on se fait soi-même, ou celle que le “sens commun” nous porte à nous faire ?

    Comment la parole, l’écriture, la représentation imagée, la séquence filmée, peuvent-elles – si elles y arrivent – parvenir à différencier ce qui est ressenti, éprouvé en soi, d’une morale ou d’une forme de morale pouvant s’en dégager?

    Cette question relative à ce que l’on ressent et à une morale qui s’en dégage, dans quelle mesure appelle-t-elle une réponse ?

    Il faut dire que dans l’actualité présente, du monde, la question n’est guère “de mode”… Et la réponse encore moins…

    Si la réponse existe, cette réponse pourrait bien être comme un passage, une voie d’accès menant à un espace en lequel les formes, les couleurs, n’ont plus de réalité subjective, mais une réalité naturelle, intemporelle…

    Imaginons ce qui se passerait, le passage ou la voie d’accès trouvée, dans un espace de liberté d’expression où les formes et les couleurs ne définiraient plus le tableau mais le “transcenderait” ( élèverait la vision du tableau au delà de la seule région de la Connaissance… Et du “sens commun”)…

     

    … Peut-être, oui peut-être… Si la parole, déjà, pouvait se faire écriture tout en demeurant parole ; et si l’écriture pouvait se faire parole tout en demeurant écriture… Un “bon début”, oui, peut-être, pour se libérer de la pesanteur de la réalité subjective, de ce qui définit le tableau et donc, le fige ce tableau dans les mêmes formes, les mêmes couleurs… Fussent-elles recomposées, renouvelées autant de fois…

     

     

  • L' inconnu

    … Tu ne sauras jamais ce que l’on dira et ou écrira de toi quand tu seras mort…

     

    Déjà dans ton vivant tu ne sais pas ce que l’on dit de toi que tu n’entends pas et tu ne vois pas ce que l’on écrit de toi qui te demeure inconnu…

     

    Et ce que tu entends que l’on dit de toi ou ce que l’on te rapporte que l’on dit de toi, tu n’en sais qu’une partie…

    Et ce que tu vois que l’on écrit de toi ou ce que l’on te rapporte que l’on écrit de toi, te le faisant savoir et le lisant, tu n’en sais que ce que tu vois écrit et qui n’en est qu’une partie…

     

    En somme ce qui t’est inconnu existe déjà de ton vivant, mais la différence qu’il y a entre de ton vivant et après ta mort, c’est que ce qui te demeure inconnu peut un jour ou l’autre t’être connu tant que tu es vivant ; et qu’après ta mort, tu ne seras plus là pour le connaître…

     

  • Des masques spéciaux pour resto et bistrot

    Masque pour resto

    … Afin que des milliers de cafetiers et de restaurateurs ne mettent point la clef sous la porte et puissent de nouveau travailler, voici ce que je propose :

     

    Pour les restaurants, un masque visière dont la partie basse devant la bouche est avancée, mais néanmoins descendant assez bas en dessous de la bouche, de telle sorte que l’on puisse porter en bouche aisément, ce que l’on a dans son assiette. Et pour le vin, ou une autre boisson accompagnante, une paille pour absorber.

    Pour les cafetiers ne servant que des boissons au comptoir ou en salle, il suffit de faire un petit trou dans le masque au niveau de la bouche pour le passage de la paille.

     

    … Bon, cela dit, un Bourgogne Pinot Noir ou encore mieux un Chambertin 2016 au verre, avec une paille… “bonjour la dégustation” !

     

    NOTE : pour se rendre au bistrot boire un coup comme on dit, je recommande d’avoir en poche ou en sac, un masque percé à l’avance, diamètre du trou identique à celui d’une paille.