Articles de yugcib
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La Marseillaise
- Par guy sembic
- Le 24/01/2021
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… Biologiquement parlant, le sang, celui d’un humain comme celui d’un animal et même la sève d’un végétal, n’est jamais à proprement parler, impur… Le sang, la sève, sont des constituants naturels qui peuvent, il est vrai, être altérés…
Littérairement parlant, l’expression “ un sang impur”, en l’occurrence dans les paroles du chant de la Marseillaise, est celle qui représente, évoque, le sang versé dans le combat mené par les citoyens d’une nation (la France) contre les ennemis envahisseurs, le sang qualifié d’impur étant celui des ennemis… Et, plus généralement, plus “intemporellement”, le “sang impur” est celui des ennemis des gens de bonne volonté, lorsque le sang de l’agresseur est versé dans un combat de résistance…
Dans le contexte historique de la Révolution Française en 1791/1792, le chant de la Marseillaise, de Rouget de l’Isle, devenu notre hymne national par la suite, était un chant à juste titre guerrier, de combattant résolu à abattre des ennemis envahisseurs, des gens déterminés à détruire notre révolution sociale, politique et économique… Il fallait une réponse aussi violente et déterminée pour empêcher que nous fussions détruits, envahis, occupés dans nos territoires ! D’où ce “sang impur”, forcément impur dont il fallait abreuver nos sillons !
Le “sang impur” en tant que parole imagée ou représentative, est toujours d’actualité, contre les ennemis des gens de bonne volonté que nous sommes, plus de la moitié des Français de 2021! Contre les assassins, les fanatiques, les tortionnaires, les crétins, les abrutis, les lapidaires, les fous furieux, qui eux, tous autant qu’ils sont, veulent notre peau !
Vive la Marseillaise ! Un chant qui n’est ni de droite ni de gauche, ne peut être repris par quelque parti que ce soit, qui est du parti – si l’on veut vraiment parler de parti- des gens de bonne volonté !
Et soit dit en passant – dans la foulée ou dans le même ordre d’idée – Vive le chant des All Blacks Néozélandais dans les grandes rencontres internationales de rugby! Ça, oui, c’est des paroles! Le chant de la Marseillaise, le chant des All Blacks !
Ce sont les volontés qu’il faut entraîner, ce qu’il y a dans le cœur des gens, de plus authentique, de plus vrai, de fort et de meilleur… Et pas les foules ! Pas les meutes !
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"Sous le regard de Dieu" ... !
- Par guy sembic
- Le 23/01/2021
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… Ainsi les investitures au mois de janvier, tous les quatre ans, des présidents des États Unis d’Amérique, se font – elles “sous le regard de Dieu” avec prestation de serment sur la Bible ! Dans ce qui s’apparente à une cérémonie religieuse avec tout le décor, toute l’atmosphère solennelle caractérisant une célébration religieuse !
Pour le pur laïque que je suis, de tradition et de culture républicaine française, cela sort de mon entendement, est totalement étranger à ma compréhension…
Il me faudrait alors en pensée “remonter le temps” jusqu’avant la Révolution Française, à l’Ancien Régime monarchique et de droit divin, depuis le sacre en la cathédrale de Noyon, par l’archevêque de Reims Adalbéron, de Hugues Capet, premier roi de France, le 3 juillet 987 ; jusqu’au sacre de Louis XVI en la cathédrale de Reims, par l’archevêque Charles Antoine de La Roche – Aymon, le 11 juin 1775…
Et encore… Ma “culture historique” – si je puis dire – qui commence en 1954 à l’école publique gratuite laïque républicaine et obligatoire, durant les années de la 4 ème république française, âgé de 6 ans que j’étais à l’époque, demeure encore à ce jour où j’écris ce texte, le 23 janvier 2021, âgé de 73 ans que je suis à présent ; totalement impuissante à me laisser concevoir qu’un homme, un roi – de France ou d’un autre pays – ou qu’un chef d’état ou de gouvernement, puisse être “un fils élu et investi de Dieu” pour le temps de règne qui est le sien, ou le temps de gouvernement qui lui est imparti après un scrutin, un vote du peuple ou d’une assemblée…
C’est dire du “pur laïque” de culture républicaine française, et de tradition ancestrale, que je suis… Même si dans ma généalogie en ascendance directe je trouve un Jean Sembic né en 1759 sous le règne de Louis XV dans les années de la guerre de sept ans 1756 – 1763… À Geloux, un village de la Haute Lande…
Autant je reconnais la religion (toutes les religions en fait) en tant qu’affaire de conscience ou de croyance – et respectable et devant être défendue, et donc jamais persécutée ; autant cela sort de mon entendement que la religion puisse être liée ou comme “soudée” à quelque forme de gouvernement que ce soit, et, à plus forte raison, se substituer à toute forme de gouvernement… D’autant plus faut-il dire, que les religions chrétienne et musulmane pour ne citer que les deux plus répandues dans le monde depuis le VII ème siècle chrétien, n’ont jamais au grand jamais loin s’en faut, fait un monde civil meilleur ! Un monde de guerres, de tueries abominables, de violences extrêmes, de dominations, de mise en esclavage de millions d’humains, de maltraitance animale, d’injustices, de grandes inégalités sociales, de perversion, de vice et de tout ce que les croyants appellent le royaume de Satan ou du Diable…
… Il faudrait – pour comparer – voir si, en mille ans de laïcité et d’ordre républicain avec d’un côté les Églises et de l’autre côté les pouvoirs civils – totalement séparés les uns des autres; le “résultat” serait le même, soit autant de guerres, de massacres, d’atrocités, de violences, de perversion et de vice…
Peut-être… Ou même sans doute… Mais la laïcité et l’ordre républicain – en l’occurrence à la française – n’ont que 115 ans d’existence (depuis 1905) et “à leur actif” (leur passif en fait) quelques massacres ( ceux, entre autres, de milliers de Malgaches en 1947… Et d’Algériens à Sétif en 1945 )…
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Antennes relais 5G vandalisées
- Par guy sembic
- Le 23/01/2021
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… Une question :
Y a t-il des poètes, écrivains, penseurs, artistes, gens se souciant de la portée de leurs productions ainsi que de leur éventuelle audience auprès d’un public ou de “followers”, et qui de surcroît seraient des anarchistes voire des terroristes d’extrême gauche ou des écologistes contestataires et violents… Qui pourraient être les auteurs de détérioration destruction d’antennes relais 5G, ou plus généralement ne condamnant pas ces destructions ?
Je ne pense pas qu’il y en ait, en effet, beaucoup, de ces “anarchistes écolo anti capitalistes anti technologies nouvelles”( mais poètes et gens d’écriture) qui seraient contre un internet de plus en plus performant et “voie royale” leur permettant de se faire connaître, de diffuser, présenter, leurs productions de poésie, de littérature, d’écriture, tout cela en un flux accru de données reçues et transmises dans l’instantanéité !
Ce serait en effet, de s’en prendre à un internet performant, comme scier la branche sur laquelle on se tient assis !
L’on peut imaginer à l’extrême limite, des écrivains, des artistes, des poètes, des penseurs, qui n’ont pas besoin d’internet parce qu’ils sont connus, édités, médiatisés, que leurs livres se vendent et se lisent, qu’ils remplissent des salles de spectateurs (des Zénith par exemple)… Mais alors pour quelle raison s’en prendraient -ils à un internet performant qui en aucune façon bien au contraire ne peut leur faire le moindre mal ? (dont ils n’ont guère besoin) …
Autant imaginer Amélie Nothomb (à ma connaissance “ininternaute” ) avec une barre à mine en train de vandaliser une antenne relais !
Quant on sait à quel point des centaines de millions de gens partout dans le monde, ne peuvent se passer d’internet, des réseaux sociaux, de facebook et de twitter et d’instagram, de leurs smartphones, d’envoyer des floppées de photos et de vidéos et de messages ; quant on sait que pour la vie quotidienne, les achats, les services, les loisirs, les transports, les échanges, le travail, internet est devenu absolument indispensable, incontournable… On mesure alors la folie qu’il y a, l’absurdité, le non sens, l’illogisme, à vouloir “scier la branche sur laquelle on est assis” !
Bon sang, avec de toute manière tout ce qu’on a fait sur cette planète en destructions, pollutions, depuis quarante ans… Qu’est-ce que ça change de crier “haro sur le baudet” contre la 5G ! (et de détruire des installations comme le font les “anti” ) …
Ils feraient mieux ces “anti”, de s’attaquer aux tortionnaires d’animaux, à l’inégalité homme femme, aux actionnaires et aux milliardaires prédateurs et à leurs bases, à leurs consortiums et à leurs sièges !
Le chroniqueur Untel/Unetelle qui s’exprime tous les jours sur un blog, sur Facebook… Autrement que seulement épidermique et lapidaire… Ne peut pas être contre un internet plus performant! ( À vrai dire la 4G ou même la 3G plus voire la 3G lui suffit, et finalement la 5G n’est jamais qu’un “plus” ne pouvant pas lui faire de mal…
Il y a toujours eu dans les découvertes, avancées, innovations technologiques, ou même scientifiques pour certaines relatives notamment à la biologie et aux êtres vivants ; des avantages et des inconvénients, ce qui implique – ou du moins doit impliquer – qu’une réflexion et que des choix se fassent, en fonction d’études, d’expérimentations, d’observations, tout cela durant un temps donné pouvant être de quelques mois ou années à plusieurs dizaines d’années voire plus…
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Peut-on - et doit-on - comparer deux époques dans l'Histoire ?
- Par guy sembic
- Le 22/01/2021
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… D’aucuns – et sont nombreux à le penser, notamment les plus de 50/60 ans, disent autour d’eux et le font savoir sur les réseaux sociaux, que la période dans laquelle notre vie quotidienne est impactée par le covid, les confinements, couvre feu, restrictions limitations de déplacement etc. … Ne peut être comparée à, par exemple, l’époque de l’occupation allemande de 1940 – 1944, ou encore à d’autres périodes sombres et très dures de notre histoire… Périodes durant lesquelles la vie était vraiment difficile, où l’on avait faim, où l’on ne ne trouvait rien pour se ravitailler, où l’était privé de tout, où le moindre déplacement était contrôlé, souvent interdit, où l’on risquait sa vie à tout moment… Et où, disent tous ces gens de plus de 50/60 ans dont certains, les plus âgés ayant vécu cette période là dans leur jeunesse entre 1940 et 1944, que c’est toute une tranche d’âge, celle des 15/25 ans, qui a été sacrifiée, empêchée, privée d’avenir… Et tous aujourd’hui, parlent d’individualisme, d’égoïsme, d’irresponsabilité, d’ enfants gâtés, à propos de cette jeunesse d’aujourd’hui, en gros de la même tranche d’âge 15-25 ans… C’est du moins le jugement ou la pensée qui domine et “court l’espace public” en somme…
Je ne suis pas sûr, pas sûr du tout, de la “pertinence” de cette comparaison entre deux époques, entre deux jeunesses, que 70 ou 80 ans séparent…
Nous sommes aujourd’hui, et nous étions d’ailleurs de même il y a 70/80 ans, dans un contexte d’actualité ne pouvant seulement être défini, apprécié, jugé, que selon une “vision morale des choses et des gens”…
Bien que l’individualisme et l’égoïsme soient de tous temps réels et bien présents, notamment dans les périodes difficiles de l’Histoire ; la réalité qui est celle de la jeune génération d’aujourd’hui des 15 – 25 ans, n’est plus la même du tout que celle des mêmes 15-25 ans des années 40, déjà pour une raison essentielle : l’entrée dans la vie active, avec un “boulot” (un “boulot”, oui, quel qu’il soit)! En effet en 1942, un “boulot” on le trouvait, la plupart du temps d’ailleurs sans avoir à quitter sa famille et sa région, sa ville ) … Alors qu’en 2021, un “boulot” on ne le trouve pas et de surcroît si l’on arrive à en “décrocher un comme on décroche le pompon d’un manège”, on ne sait pas pour combien de temps on va le garder ce “boulot”, et l’on n’a aucune chance de se “hisser barreau après barreau le long de l’échelle sociale” !
Bien sûr, d’aucuns me diront : “y’a les smartphones, y’a les réseaux sociaux”, y’a tous les gadgets technologiques, le RSA, les aides sociales, la CMU, tout ce qui fait que matériellement la vie est moins difficile qu’elle le fut jadis, on ne risque plus sa peau au coin des rues – quoique… - Mais tout ça, ça ne fait pas revenir la foi en un avenir meilleur, ça fait de la désespérance, jusqu’à du suicide… Et ça s’inscrit dans une durée indéterminée, dans un combat contre l’adversité, contre un ennemi qui n’est pas humain… Dans une résistance encore plus mise à mal, plus écrasée, que celle de 1943 contre l’occupant nazi…
On ne fera sans doute jamais le compte exact de toutes les victimes de ce grand désastre économique et sociétal, qui risque être sans comparaison possible avec le total des seules victimes en nombre de morts de la pandémie de covid…
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Insécurité, vols et agressions, dans le contexte du covid
- Par guy sembic
- Le 22/01/2021
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… L’une des conséquences – non négligeable et bien réelle – de la pandémie de covid, est l’augmentation significative de la délinquance, des cambriolages, vols, agressions…
Avec la diminution, par exemple, des touristes en toutes saisons notamment à Paris et dans les villes et les régions les plus visitées, ce sont désormais d’autres personnes que l’on vole et arnaque, jusqu’à même son voisin, des gens de sa connaissance ; tout devenant bon à voler, susceptible d’être revendu… Et la précarité dûe à la perte d’emploi, de revenu, sans cesse accrue dans le contexte du covid, “n’arrange pas les choses” !
Il en résulte que les victimes de vols avec agression peuvent être de plus en plus désormais, des personnes autres que celles dont les auteurs de ces vols et attaques prenaient pour cibles, et cela en des lieux qui n’étaient pas jusqu’alors considérés comme des lieux à risque, mais sont des lieux bel et bien familiers tels qu’autour de sa maison, dans la rue où l’on demeure, aux abords d’un établissement de commerce alimentaire ou autre, en se rendant tout simplement, tout bonnement chercher son pain ou son journal à 500 mètres de chez soi…
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Les sujets les plus sensibles
- Par guy sembic
- Le 19/01/2021
- Dans Pensée, réflexions, notes, tags
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… Les sujets les plus sensibles, ceux qui divisent, séparent, crispent, génèrent d’épuisantes et vaines polémiques, sont les plus difficiles d’accès lorsque l’on essaye de les aborder dans une réflexion et dans une pensée qui, l’une comme l’autre aussi profonde, aussi argumentée, aussi étudiée soit-elle ; se révèle en définitive “contre productive”…
Cela tient peut-être de la formulation dont on use pour exprimer les choses, de ce qui porte à se méprendre sur le sens de ce qui est dit, écrit, perçu par l’autre…
L’agressivité, le “raccourci”, le préjugé, le lapidaire, l’insulte, le déni, la dénonciation brutale et arbitraire, le propos laminant en phrases courtes, la vulgarité… Tout cela c’est la voie d’accès la plus empruntée, celle où l’on se porte parce qu’elle est facile, ne demandant aucun effort de réflexion mais seulement de se saisir de ce qui est agité au passage…
La réflexion et la pensée, ce n’est point la voie d’accès privilégiée, parce que considérée suspecte, ou dérangeante, ou “affaire d’intellectuel” (ou de rêveur)… Ce qui la rend “contre productive”. De toute manière, elle est “zappée” le plus souvent, dans l’indifférence…
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Variants covid
- Par guy sembic
- Le 18/01/2021
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… J’ai eu sous les yeux une carte de l’Angleterre faisant état de l’évolution du variant covid depuis décembre 2020 jusqu’à mi janvier 2021…
En 3 ou 4 semaines, de 2 ou 3 zones en rouge et tout le reste du pays en jaune et orange (en rouge pour les zones les plus densément peuplées dont l’agglomération londonienne et le sud est), cela passe en noir étendu pour toutes les zones densément peuplées, en marron ou bleu foncé, et en rouge pour tout le reste du pays…
Ce variant covid anglais, ainsi d’ailleurs que le variant d’Afrique du Sud, est déjà présent en France en au moins deux lieux distincts et non proches l’un de l’autre…
C’est dire de ce qui nous attend dans les prochains jours, les prochaines semaines, chez nous en France…
Inévitable, inéluctable… Quelles que seront les mesures prises (de confinement pour l’essentiel) par le gouvernement…
Avec les retards et les dysfonctionnements dans la campagne de vaccination, ajouté aux variants du covid, 2021 sera une deuxième “année noire”, encore plus noire pour les contacts humains, l’économie, les travailleurs (les salariés et les entrepreneurs), l’école, l’université, la culture, les spectacles, les loisirs, les sports, les déplacements…
Quand bien même l’on arriverait à tout bloquer, à tout immobiliser, à tout fermer ; il restera toujours deux voies ou passages obligés que l’on ne pourra pas bloquer :
D’une part toutes les activités en rapport avec l’alimentaire et donc le commerce des denrées alimentaires…
D’autre part toutes les activités de transit, de transport, d’échanges, importation exportation de marchandises sur distances pouvant être très longues, par avion, train, camion, bateau, entre pays, entre continents…
Dans ces deux domaines d’activités essentielles pour la vie quotidienne des gens partout dans le monde, c’est là où se concentrent des milliers, des millions d’emplois avec forcément des gens se côtoyant, les uns dans l’exercice de leur activité et les autres en tant qu’acheteurs et clients – dans l’alimentaire… Et de nombreux emplois également et donc avec du contact inévitable, dans les activités de transit, transport, logistique, échange de marchandises entre pays et continents…
En effet, lorsqu’un avion cargo arrive dans un aéroport, il faut bien que dans cet avion il y ait des gens, un pilote, un équipage ; et à l’arrivée des gens pour décharger, transporter, traiter, répartir pour les acheminements vers des destinations… Autant de personnes donc, en contact inévitable…
Et il y a aussi tout le secteur médical en passant par les hôpitaux, les centres de soins, les cabinets de consultation et d’examens, médecine générale et spécialisée… Donc, un troisième domaine essentiel partout dans le monde, en lequel les gens se trouvent en contact, les malades et les consultants entre eux, le personnel soignant exposé…
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L'un des biens les plus précieux
- Par guy sembic
- Le 18/01/2021
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… Commence par le verbe, le verbe qui va se faire agissement après avoir défini, identifié, nommé…
… L’un des biens le plus précieux pour les femmes et les hommes de ce monde qui s’expriment dans une langue, n’importe quelle langue, de toute écriture… C’est celui du sens des choses, du sens de tout ce que l’on peut désigner en le voyant, le sentant, l’entendant, le touchant… De tout ce qui est concret, réel, fait de matière ; mais aussi de tout ce qui ressort des idées, de tout ce qui identifie des situations, des comportements, de tout ce qui fait relation…
Les femmes et les hommes du monde actuel n’ont peut-être jamais autant dilapidé ce qui est leur bien le plus précieux : le sens des choses…
Dilapidé, perverti, galvaudé, faussé, utilisé à d’autres fins que celle d’origine, naturelle, intemporelle… À tel point naturelle dans sa vocation, dans sa nécessité, dans sa vérité -initiales – que partout sans doute dans l’univers, dans le cosmos, dans l’infinité des galaxies , là où peut exister de la vie, une vie intelligente d’êtres en évolution, le sens des choses est le même, exprimé, produit différemment, avec d’autres sons, d’autres émissions, d’autres signes…
Avoir dilapidé, perverti, faussé, galvaudé le sens des choses, c’est avoir défait le monde, déjà le nôtre, celui où nous vivons sur notre planète bleue à cent cinquante millions de kilomètres de notre étoile le soleil…
Rêver de conquérir et d’occuper des mondes, des planètes, ailleurs dans l’espace, avec un sens des choses dilapidé, est absurde, déraisonnable…
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Banalité, pauvreté dans le langage, dans l'écrit
- Par guy sembic
- Le 18/01/2021
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… Lu ceci, je vous le livre tel quel, sur une page Facebook d’écrivains et d’auteurs souhaitant se faire connaître :
“J’ai visité écrivains poètes s’est vraiment une source d’imspiration j’ai passé un agréable moment à vous visité merci”
… J’en suis resté comme deux ronds de frite !
Je veux bien croire, à la limite, que le “m” d’ ‘imspiration” pourrait être une “faute de frappe” -quoique sur le clavier AZERTY le “m” et le “n” ne soient guère “voisins”…
Le “s’est vraiment” ainsi que le “visité”, et l’absence de ponctuation me gênent davantage… Surtout de la part d’un commentateur (ou d’une commentatrice) s’exprimant sur une page Facebook d’écrivains auteurs…
Et l’on s’étonne que bon nombre d’ “auteurs écrivains poètes en herbe” – ou “de longue date depuis leur adolescence – méconnus et dont les manuscrits ou “tapuscrits” sont refoulés, refusés par les éditeurs, enragent de voir leurs “œuvres” “passées à la trappe” !
Cela dit, en vitrine dans les librairies – et surtout dans les rayons des “Leclerc Culturel” – et qui plus est encore, dans les productions d’ “ouvrages en ligne” de textes numériques à lire sur écran de liseuse ou de smartphone… Que choisir dans tout ce qui paraît, dans les derniers romans sortis, dans une telle profusion et diversité de sujets, de thèmes traités, en des histoires qui, pour la plupart d’entre elles, sont “de la vie qui court”…
Ce terme “en herbe” pour désigner des auteurs débutants, m’exaspère quelque peu, je le trouve “convenu” ou “passe partout”… Est-ce que par exemple un auteur âgé de 60, 70 ans, qui écrit depuis ses 15 ans, peut-être un “auteur en herbe” ?
L’herbe – dans un sens général pour qualifier tout ce qui est vert et pousse dans des champs et des près ou en forêt au sol entre les arbres- c’est le mot employé lorsque l’on n’y connaît rien ou presque, de ce que l’on voit pousser de vert en brins, en tiges, en feuilles, au sol…
À force de banalité, et surtout de pauvreté dans le langage, dans l’écrit ; l’on finit par n’être plus qu’un consommateur insensible, inapte à faire la différence entre telle ou telle production, forme d’expression… Et, plus grave ou plus désolant, ce qui mériterait de la considération, en somme “ce qui sort du banal et du commun”, en arriverait à déranger, à être rejeté, “zappé” à plus vrai dire…
… Bien que privilégiant l’intelligence du cœur à celle de l’orthographe, je constate que malheureusement et assez souvent, l’intelligence du cœur et l’intelligence de l’orthographe font en même temps défaut… Et que, pour s’en convaincre il suffit de “balayer du regard” quelques pages de différents réseaux sociaux du Net, emplies d’imprécations, de vociférations, de contestations lapidaires, où l’infinitif se substitue au participe passé, de la part de personnes “bien françaises de souche” titulaires d’un baccalauréat !
Cela dit, bien sûr que le commentateur ou la commentatrice que j’évoque ci dessus, pourrait être une personne étrangère, sensible à la poésie et aux livres, et que dans ce cas, l’on peut effectivement et par respect, considération de cette personne, être indulgent…
Ce qui me gêne dans la pensée générale de notre époque, en France en particulier, c’est ce “pas d’amalgame” qui s’apparente à de la complaisance, à de l’acceptation de la différence lorsque la différence devient agressivement revendicatrice et ostentatoire, que l’on laisse s’exprimer au nom de la liberté d’expression…
En somme le même “pas d’amalgame” à l’égard des musulmans par exemple, ou des intellectuels, ou des “tout ce que l’on voudra” , dans l’idée qu’il ne faut paraît-il en vertu d’une correct pensence consensuelle “ne pas mettre tout le monde dans le même sac”… Le même “pas d’amalgame” à l’égard des gens de peu de culture et maîtrisant mal le langage et l’écriture pouvant tout aussi bien être “des gens de cœur” (à bien sûr considérer), que des crétins, des abrutis, des “épidermiques” (qui, soit dit en passant, ne le sont vraiment, crétins, abrutis, épidermiques, que “sous influence”, ou “en meutes” – mais beaucoup moins voire plus du tout, pris seul à seul entre quatre yeux, en privé)…
“Pas d’amalgame” d’accord… Mais encore faut-il ne point faire de ce “pas d’amalgame”, du renoncement à dénoncer ce qui doit être dénoncé au nom d’une tolérance qui est devenue de la complaisance ou de l’abdication…
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Mots et termes soulignés en rouge
- Par guy sembic
- Le 16/01/2021
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… Lorsque l’on écrit un mot non reconnu par les logiciels d’orthographe et de grammaire, dans un texte open office ou word que l’on “colle” dans la zone texte de Facebook, d’un blog, d’un site, d’un forum ; ce mot ou ce terme (avant de valider enregistrer) se trouve souligné en rouge, dans la zone texte de Facebook, blog, site, forum…
En ce qui concerne les “Grands Auteurs”, ceux qui sont très connus et figurent dans les “grandes listes officialisées” (ou les Personnalités célèbres et bien connues) , jamais le nom de cet auteur n’est souligné en rouge… C’est ce que j’ai observé…
En revanche, les “autres auteurs” – moins connus voire “méconnus à dessein” pour certains d’entre eux – lorsque l’on écrit leur nom et prénom dans la zone texte, leur nom se trouve alors souligné en rouge, comme si ces auteurs étaient, pour les logiciels de reconnaissance, des “intrus” !
Je n’ai donc pas “encadré” que le nom d’Irène Némirovsky, auteur de “Suite française” soit souligné en rouge ! Merde à ce genre de discrimination matérialisé par le trait rouge ondulé !
… Soit dit en passant, le trait rouge ondulé pour souligner certains néologismes, formulations personnelles, incorrections orthographiques ou grammaticales volontaires dans un contexte particulier, et autres “libertés” prises délibérées et “à dessein”… Je m’en tape, m’en “tamponne le haricot”, de ce trait rouge, persiste et signe, et avec un bras d’honneur aux académiciens (dont certains on se demande ce qu’ils foutent sur les bancs de l’Académie!)…
Je hais l’imbécilité en dentelles et papier soie érigée en “œuvre pie”, sanctuarisée officialisée dictionnarisée !
Je hais le sens dévié ou perverti, ou contrefait, ou galvaudé, ou usurpé, des mots, surtout des mots dont le sens réel est bien clair ; je hais cette mode outrancière, ostentatoire, qui pue l’hypocrisie et les “effets spéciaux”, consistant à dénaturer les mots pour leur faire prendre un sens voulu, le sens de celui d’une opinon répandue soumise à la pression médiatique, à une “pensée commune et orchestrée et dominante” !
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Suite française, d'Irène Némirovsky
- Par guy sembic
- Le 16/01/2021
- Dans Livres et littérature
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… Devant cet ennemi que l’on ne peut combattre avec les mêmes armes qui furent celles de la Résistance contre l’occupant Nazi en ces “années noires” 1940-1944, devant cet ennemi autrement occupant et envahissant qu’est le covid depuis février 2020 ; et qui a pris possession de la France, de l’Europe et du monde, rendu vulnérables les populations les plus exposées aux formes les plus graves du covid, radicalement modifié en les détériorant les rapports sociaux et nos modes de vie ; durement impacté nos économies et nos activités ainsi que nos libertés… L’on retrouve les mêmes désordres tragiques, les mêmes inerties, lâchetés, peurs, égoïsmes, individualismes, précipitations, préjugés, violences, prédations, hypocrisies, que durant le déversement sur les routes de millions de gens en juin 1940… Mais aussi il faut dire, les mêmes héroïsmes, les mêmes générosités…
Sauf que ce ne sont plus les routes qui sont encombrées par des voitures, des charrettes, des bicyclettes, des familles et des gens à pied, mais des appartements en ville, des maisons de lotissements entourées de murs ou de palissades ou de haies, en lesquels les gens, les familles se “terrent”, se “barricadent”, dont ils ne sortent que masqués…
L’on retrouve aussi la même désespérance, la même absence de perspective, le même fatalisme… La même idée qui s’impose selon laquelle “il faut désormais faire avec”, s’adapter en somme et donc, accepter, se soumettre, obéir aux ordres, se conformer aux prescriptions, renoncer à rêver, à penser, à imaginer, à réfléchir ; et se jeter sur tout ce qu’il reste encore d’accessible et de consommable, d’achetable, de vendable, de jouable (je dirais de “loisirable”)… Avec seulement son regard pour s’exprimer dans la mesure où l’on arrive à rendre son regard “parlant” ; avec le sourire en moins (dissimulé et d’ailleurs souvent inexistant sous le masque)…
Ce sont les nouvelles “années noires” 2020 – 20…” De la “Suite française” d’Irène Némirovsky” emportée sur les routes de l’exode, trouvant refuge dans un village du Morvan et peu après, arrêtée, déportée à Auschwitz où elle mourut assassinée en 1942…
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La société est gangrenée
- Par guy sembic
- Le 16/01/2021
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… Le terme qui me vient à l’esprit pour qualifier la société actuelle, générale, mondiale, qui est celle d’aujourd’hui, est “gangrenée”… La société toute entière dans ses diverses et nombreuses composantes, est gangrenée…
Lorsqu’un corps vivant, en l’occurrence celui d’un être humain, à la suite d’une blessure, d’un traumatisme, d’une maladie, est gangrené en l’une ou l’autre de ses parties, par exemple un bras, une jambe, un pied, une main ; l’on ampute, l’on élimine la partie atteinte, nécrosée, afin que le mal ne s’étende pas davantage, entraînant une mort inévitable à terme…
Mais la société ne fonctionne pas comme un corps vivant. Elle peut, la société, certes, être comparée à un corps vivant, mais pour autant, cependant, que l’on la représente telle un ensemble d’organes en relation entre eux, chacun des organes étant une personne, un être humain…
Éliminer un organe, ou plusieurs organes, cela revient à pratiquer une chirurgie aléatoire dont la nécessité immédiate est celle d’obtenir un résultat jugé convenable, acceptable… Mais pour combien de temps, l’on n’en sait rien…
Une autre question est celle de se demander depuis quand la société est gangrenée…
Sans doute depuis ses origines si l’on s’en tient à l’étude de l’Histoire et des évolutions de la civilisation ; ce qui montre que la société n’est pas encore morte de la gangrène qui la ronge… Et que finalement, la société ne fonctionne pas comme un corps vivant qui, lui, mourrait forcément si l’on n’éliminait pas le membre atteint…
La chirurgie est une option, mais tant qu’elle n’a pas encore l’intelligence qu’elle devrait avoir, elle est impuissante…
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Chaque génération a eu ses hommes et femmes de bonne volonté
- Par guy sembic
- Le 14/01/2021
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… “Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais ma tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde se défasse.” [ Discours de Suède, remise du Prix Nobel de Littérature le 10 décembre 1957 à Oslo, Albert Camus ]
… La génération d’Albert Camus fut en gros celle des gens nés entre 1910 et 1920 ayant traversé le 20 ème siècle jusqu’en ses dernières années…
Certes, de grands esprits, de grands auteurs, de grands artistes, gens de cinéma et de théâtre, et de littérature, aujourd’hui en 2021 quasiment tous disparus… Furent en leur temps, de cette génération qui n’a pas pour autant, même avec ses “géants”, ses “immortels” de l’Art, de la Littérature, du Théâtre et du Cinéma ; refait le monde…
D’ailleurs, quelle génération à vrai dire, de quel siècle, de quelle Histoire, de quel passé, l’a refait, le monde ?
La génération d’Albert Camus étant celle de tous les hommes, de toutes les femmes de partout dans le monde, de 1920 jusqu’au début des années 2000; est cependant celle qui, depuis la Renaissance au 16 ème siècle, a commencé à défaire le monde, ce qui explique à quel point la tâche d’Albert Camus consistant à empêcher que le monde se défasse, a été difficile…
La génération qui suit celle d’Albert Camus, en gros celle des gens nés après 1950, et à plus forte raison celle des nés après 1980/1990… Est celle qui a continué à défaire le monde encore davantage, en dépit de tous ces hommes et femmes de bonne volonté, artistes, intellectuels, bâtisseurs, créateurs, qui n’avaient jamais été aussi nombreux…
Aussi la tâche de chacun de ces hommes et femmes de bonne volonté, artistes, intellectuels, penseurs, créateurs, bâtisseurs, fondateurs, meneurs – ou gens du commun tout autant chacun à leur manière et selon leurs capacités… La tâche de chacun d’entre nous en ce siècle, le 21ème, qui consiste à éviter que le monde se défasse ; est-elle encore plus difficile, plus incertaine, que du temps d’Albert Camus…
Non pas que cette tâche soit impossible – est-il vraiment “trop tard”? - mais ce sont les “dés pipés” jetés sur le tapis qui roulent et dont on sait quelle face ils vont présenter en s’immobilisant… Ou les “mauvaises cartes” qui vont s’abattre sur le tapis, celles avec lesquelles on ne peut gagner la partie…
Et avec ces jeux là, de dés ou de cartes, qu’il faut continuer la partie…
Les générations d’avant celles du 20 ème siècle, aussi loin que l’on remonte dans le temps, ont toutes “salopé” le monde, fait des sociétés violentes, des guerres de domination et de conquêtes… Mais aucune de ces générations n’avait encore défait le monde comme a commencé à le faire la génération des nés entre 1920 et 2000, et comme a continué à le faire davantage, la génération des nés après 1950…
Ce qui défait le monde dépasse le cadre des sociétés violentes et inégalitaires, dépasse le cadre des guerres de domination, dépasse même le cadre des progrès technologiques dans la rapidité de leur évolution…
Ce qui défait le monde tient à l’absence de repères, d’horizon, dans un paysage que l’on ne reconnaît plus tant il a été dénaturé et transformé ; à l’oubli conscient ou inconscient de nos origines naturelles, au désintéressement tout aussi conscient ou inconscient de notre avenir…
Des sociétés violentes et inégalitaires, des guerres, des grandes crises économiques et sociales, des obscurantismes, de toutes les périodes sombres de l’histoire de l’humanité, l’on peut toujours s’en remettre, c’est d’ailleurs ce qui s’est passé durant des milliers d’années dans un mouvement de va et vient, de retours, de recommencements, d’avancées et de reculs, de hauts et de bas se succédant comme des marches ou des paliers…
Mais, de la disparition des repères et des racines, du désintéressement de l’avenir dans la consommation la plus effrénée du présent, l’on ne s’en remet pas…
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Das covid ...
- Par guy sembic
- Le 13/01/2021
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… Un virus – et celui du covid n’échappe point à la règle – n’est ni masculin, ni féminin, n’a pas de sexe, pas de genre…
Alors pourquoi “LA covid”, merde !
Cest “LE covid” point barre ! “LE” au sens du neutre “DAS” des Allemands !
Ils sont “piqués” ces grammairiens et ces académiciens de la langue française, d’officialiser “LA” covid !
Aussi ne puis-je me résoudre à dire et à écrire “LA” covid ! Ça n’a pas de sens ! C’est une aberration !
Et le plus “beau” dans cette affaire de dénomination officielle par les grammairiens et les académiciens et toute l’autorité scientifique épidémiologique, c’est que les gens dans l’ensemble, ont quasiment adopté, disant et écrivant “LA” covid !
Bon sang ! D’un côté quand on voit toutes ces contestations, toutes ces remises en question des Ordres, des Autorités (médicales, scientifiques), toutes ces polémiques lapidaires sans issue, tout ce verbiage sans fondement, épidermique, toutes ces désobéissances, tous ces dénis… De tout un chacun à propos de tout et de rien, dans une individualisme forcené, dans une inculture et un obscurantisme endémique… L’on se dit – je me dis – que lorsque, d’un autre côté, on voit tout un chacun à des millions d’exemplaires, en disant et écrivant “LA” covid, suivre le mouvement général comme des moutons bêlant bien en rangs… Que le monde marche sur la tête !
Merde, chacun y va de sa différence et de sa contestation à propos de tout et de rien, mais personne, absolument personne ne marque, n’exprime une vraie et pertinente – et il faut dire- “trop dérangeante” différence contre toutes les différences ! Contre autant les Ordres que les Désordres !
Merde à “LA” covid !
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L'Histoire et l'Archéologie, malmenées par les créationnistes
- Par guy sembic
- Le 13/01/2021
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… Si l’Univers – et donc la Terre notre planète – devait être né en 4004 AV-JC, comme le disent, l’affirment les créationnistes et certains croyants, chrétiens et autres… Les dinosaures alors, sont une supercherie, une invention, et leurs ossements dans les musées sont des faux ossements fabriqués de toutes pièces! …
En l’an 2000, la Terre avait donc 6000 ans d’âge…
Il faudra bien alors, qu’en l’an 3000, la Terre soit âgée de 7000 ans !
Bon, c’est vrai, les scientifiques, les géologues, les historiens, les chercheurs, les explorateurs, les archéologues… Et d’une manière générale toute personne sur cette Terre sachant lire et écrire, ayant été tant soit peu à l’école, ayant acquit quelques connaissances de base en sciences de la vie et de la terre, un peu d’histoire et d’astronomie… “N’avale plus” que la Femme a été créée à partir d’une cote de l’Homme, et a commencé à comprendre que “c’était un peu plus compliqué que ça, la création”! …
Il n’empêche qu’encore, en 2021, que des créationnistes purs et durs, invalident tout ce que les archéologues ont mis à jour lors de leurs recherches !