Articles de yugcib

  • Un vaccin "infiltré" ?

    … Je ne crois pas aux puces et nanoparticules incluses dans la solution du vaccin, pour nous faire devenir des zombies… C’est du domaine du possible mais “réfléchissons cinq minutes” :

    Si tel devait être le cas, alors toutes les doses de vaccin seraient “infiltrées” et alors, que tu sois un citoyen lambda ou une préparatrice en pharmacie ou une infirmière en hôpital, ou un cadre commercial ou un professeur de lycée, enfin, quelqu’un d’une profession, d’un métier utilitaire… Tout le monde ainsi, serait “infiltré” sans aucune distinction, tout le monde serait des zombies sauf 1% des humains vous devinez lesquels…

    Il serait difficile de concevoir en fabrication de ce vaccin, deux catégories : l’une avec les nanoparticules, l’autre pas, selon le “profil” du citoyen… Du moins pour la répartition entre les deux catégories…

    Et quand tu vas en pharmacie chercher un médicament, un vaccin dans son emballage, toutes les boîtes ont le même aspect, c’est écrit pareil dessus d’une boîte à l’autre, sans marque distinctive pouvant être par exemple, un code (code barre spécifique ou autre signe)… Et si cela était (imaginons quand même), comment le préparateur en pharmacie, l’employé, en aval, et le concepteur “alchimiste” en laboratoire, en amont, ferait-il un choix entre des doses normales et des doses “infiltrées”, et en vertu de quel critère, de tel à priori, fournirait – on à l’un le vaccin “infiltré” et à l’autre le vaccin “non infiltré”?

    … Bon, ce n’est pas tout, cela, il y a aussi le risque sanitaire (celui, par effet secondaire, possible, imprévu, de contracter 1 an, 2 ans plus tard, “quelque chose de vache”) … Par exemple, l’on se souvient du vaccin contre l’Hépatite B qui a généré, certes en peu de cas, des scléroses en plaque… Ces “peu de cas” ont tout de même été assez nombreux pour inquiéter et susciter une résistance d’un certain nombre de personnes à la vaccination…

    L’hépatite B ce n’est pas le covid… Ce ne sera pas non plus le même vaccin, donc, s’il y a des effets secondaires, ces effets seront différents… Oui, peut-être aussi graves…

    Mais, à choisir entre deux “horizons de vie” pour demain, l’un avec le covid à répétition, avec les masques, la distanciation, la relation humaine très impactée, les restrictions, la “vie pourrie” en somme… L’autre avec une vie redevenue normale mais avec le risque pris en se faisant vacciner… Quel “horizon de vie” ? Quel choix? …

    Et il y a aussi cet autre “horizon de vie” qui ne vaut pas mieux (peut-être même pire) : la moitié des gens qui se font vacciner, l’autre non… Résultat : le risque pour les uns ET la vie pourrie, encore, pour ces uns ; la vie pourrie mais sans le risque du vaccin pour les autres… ( Parce que la moitié seulement des gens vaccinés ça veut dire des re-confinements et des re-couvre feux successifs)… Cela dit, il y a déjà tous les risques existants avec lesquels on vit, covid ou pas, depuis pas mal d’années !

  • Le grand exercice ...

    … Décider, faire le choix, de ne pas publier ou poster un texte… “Ce texte là” qui est de son cru avec sa formulation, ses mots, sa verve…

    Sur sa page qui est publique… C’est être, se sentir ou “penser se sentir” aussi responsable que de le publier à la vue de tous…

    Accepter les conséquences et peut – être… Les “foudres”…

    Mais… Les conséquences, les sait-on vraiment ? Les “foudres” viendraient-elles ?

    Il y a ce “comment on te connaît” -du moins celles et ceux qui, “de longue date” “jettent un œil” de temps à autre sur ce que tu produis…

    Il y a aussi ce “comment tu crois qu’on te connaît”… C’est… “peut-être là le hic”…

    Ce texte là, cette élucubration, cette saillie… Pas aseptisé du tout…

    Bon, oui, c’est vrai : il y a cet ami ou cette amie (s’il, elle en est vraiment un, une, d’ami, amie) qui va dire “c’est vulgaire, cela n’a pas beaucoup d’intérêt” ; cet autre ami ou amie qui est croyant et pratiquant et qu’un tel écrit peut atteindre…

    Quoique cet ami, cette amie, en vérité l’on en est quasi certain, demeurera un ami, une amie…

    Je dis bien quasi certain car justement la question de la certitude est une question grave, une question à laquelle la réponse n’est pas forcément écrite à l’avance…

    La reconnaissance et l’amitié ne font pas systématiquement “bon ménage”, car la vie nous montre que l’une et l’autre ont chacune leurs limites…

    À quoi bon conserver la reconnaissance si l’on perd l’amitié?

    Que les limites de la reconnaissance puissent être reculées, de mieux en mieux obtenues?

    Et que les limites de l’amitié puissent-elles être repoussées au delà des brisures de la ligne d’horizon? …

    Ah, le grand exercice qui est celui de la traversée de la vie… Tout autre chose qu’un problème de robinet qui coule dans une baignoire percée, ou que de deux trains roulant à des vitesses différentes qui se rencontrent à telle heure…

    … Les réseaux sociaux, ce n’est pas tout à fait la même chose qu’un blog, qu’un site, qu’un forum que l’on administre soi-même et dans lequel on produit ses œuvres…

    Les réseaux sociaux c’est comme la rue dans laquelle tout le monde passe, alors que les blogs et les sites sont comme des boutiques donnant sur la rue, des boutiques en lesquelles on entre parce que l’on y est client, consommateur, fidèle et qu’on a choisi d’y entrer…

    Avec une page Facebook on reste dans un réseau social…

  • Ah, ce "film citoyen" !

    … Hold Up, ce film documentaire présenté – et revendiqué – comme étant “un film citoyen”, d’une durée de 2h 45, relayé sur les réseaux sociaux et vu par des millions de gens, appuyé et confirmé et argumenté par des célébrités et des personnages influents des milieux médicaux et scientifiques notamment, fait état d’une mauvaise gestion de la crise sanitaire liée au coronavirus…

    Je n’ai pas vu ce film…

    Déjà, rien que la durée, 2h 45, cela ne m’a guère incité à le regarder (à quel moment de la journée, le soir, la nuit, quand il pleut ?) … Je pensais aux gens encore – heureusement pour eux lorsque c’est le cas avec toutes ces activités interrompues – travaillant et se levant le matin pour passer plusieurs heures dans un bureau, un atelier ou en télétravail chez eux… En effet, après une journée de travail épuisante, passer 2h 45 à regarder un tel film, cela me paraît “surréaliste”…

    Et outre la durée, le contenu : de quoi s’alarmer, être inquiet, “s’arracher les cheveux” ; épuisant avec toutes ces informations et ces affirmations qui “foutent le bourdon” et ne sont pas faites pour rassurer, et de surcroît alimente des contestations et des polémiques qui ne feront jamais au grand jamais, de “véritable révolution citoyenne”…

    De tout cela, je n’en ai eu qu’une connaissance fragmentaire, un résumé… Cela m’a suffit…

    … Sur les réseaux sociaux, Facebook notamment, où “presque tout le monde y a sa page sinon ses pages”, chacun sait et a pu l’observer, que, lorsque l’on poste quelque chose d’un peu long, de plus de 10/15 lignes, rares sont alors les lecteurs de ce post de 10/15 lignes (si ça en fait 20 ou plus, alors là…)

    Rapidité, immédiateté, zapping, vouloir voir tout à la fois, cinq minutes par ci par là (dont assis sur la cuvette des WC ou pendant les pubs à la télé) ou encore dans les transports publics et même en bagnole… C’est ça aujourd’hui la “tendance”, le mode de vie… Alors vous m’avez compris, “bonjour la réflexion, l’analyse, l’objectivité… Et en conséquence le “raccourci de pensée”…

    Bon sang cela me dépasse : comment des gens dont le mode de vie est dans l’immédiateté, dans le tout de suite consommable, dans le tout à savoir à l’instant ; peuvent-ils passer 2h 45 à regarder ce film Hold Up ? … Et, à côté de ça, zapper vite fait le post d’un ami qui fait 20 lignes ?

    … Il y a autant d’incertitude, d’ambiguïté, de mensonges, d’effets spéciaux d’émotion et de formulation, de supercherie, d’imposture… Dans l’Ordre, le contenu de l’Ordre, la Pensée qui a cours et doit être celle qui fait référence, l’Ordre fait de ce qui doit être cru et su par tous, l’Ordre où il faut marcher dans les clous ; que dans le Désordre, dans la contestation, le déni, la dénonciation, les sentiers en dehors du grand chemin…

    Oui, autant d’imposture d’un côté que de l’autre… Et, “ça s’arrange pas” !

  • Dans le trou du cul ...

    Dans le trou du cul de dieu ça pue la merde, du coup, Allah il a mis du jasmin pour dissimuler la merde... Mais pour autant l'odeur de merde n'a pas disparue... Cela dit, les grands idéologues, les fakirs, les gourous, les hommes politiques et certains intellectuels de la doxia lénifiante, avec les Iman, les zévêques et toutes les cliques de la Pensée Unique en vogue, plus les grands lobbies de la Bouffe et de la littérature aseptisée, sur la merde vaporisée à l'encens et couverte de jasmin, ont ajouté des crevettes puant le sexe sale, des bouts de cornichon vinaigrés et de la mayonnaise éventée... De telle sorte que les fidèles, les fans, les accros et, d'une manière générale le consommateur lambda qui peut être roule en Dastia Duster et fait son marché chez Amazon... Se régale et en redemande, de cette merde... Et en bande quand elle ne fait que passer son nez, cette merde... Mais, avec 100 balles dans le Dada, ça te branle cinq minutes et tu t'en retiens de péter manque de pot, tu te macules le pantalon croyant seulement péter...

  • Ayant appris récemment ...

    … Ce qui, soit dit en passant, ne m’a guère surpris ; la candidature de Jean Luc Mélenchon à la présidence de la république pour 2022…

    Je me suis souvenu d’un meeting à Pau sur la place Clémenceau jusqu’en face du boulevard des Pyrénées, début avril 2012, avant le premier tour du scrutin, où le “Grand Orateur” Jean Luc Mélenchon avait pris la parole en un long discours que l’on eût pu qualifier de “discours historique” – quoique ce discours ne fût tout de même pas de la dimension d’un discours de Jean Jaurès – devant plusieurs milliers de sympathisants Front de Gauche à l’époque, venus de toute la région Aquitaine (qui n’était pas encore “Nouvelle Aquitaine”) …

    Au beau milieu du courant du Grand Discours fleuve, nous entendîmes, du Grand Orateur, à propos de François Hollande :“ le capitaine de pédalo…” Ce qui, soit dit en passant, m’avait inspiré un dessin humoristique dans une série de 2012 intitulée “élections présidentielles” qui figure dans mes galeries de dessins…

    Après la fin de ce discours fleuve, avant que la foule ne se disperse, je vis des dizaines de personnes s’engouffrer, pressées les unes contre les autres, dans le Grand Café de la place où devait “arroser” ses fidèles d’un pot amical, le Grand Orateur…

    J’entendis une dame dire à sa copine “viens donc, on va boire un coup à la santé de Jean Luc, c’est lui qui invite, tout le monde peut venir!”…

    Plus que “noir de monde” à l’intérieur, cela n’empêchait pas les gens de continuer à arriver, à se presser afin d’entrer dans le Grand Café…

    Je me suis dit à la vue de cette cohue : “ le citoyen camarade sympathisant Front de Gauche Lambda, il aura du mal à se faufiler jusque près du Grand Orateur officiant levant son verre entouré de son aéropage devant le comptoir et derrière, la grande glace reflétant la foule des buveurs, qui, un demi de bière à la main, qui, un verre de ricard”…

    Du coup je suis reparti vite fait, pour regagner ma voiture garée sur une autre place servant de parking…

    … Si, vaccin ou pas (et si vaccin combien de vaccinés) contre le covid, au printemps 2022, y’a encore les masques, la distanciation d’un mètre entre les gens, et peut-être en ce printemps 2022, encore un confinement et des cafés fermés… Pour le pot amical du Grand Orateur je ne sais où cette fois, ça s’ra râpé/râpé ! (rire)…

  • Vaccin covid

    … Plus de la moitié des Français renonceraient à se faire vacciner contre le covid…

    Pour autant que le vaccin, prévu courant janvier 2021 en première distribution (personnels soignants, personnes à risque) serait “au point” et “efficace” à 90%…

    50 millions de doses injection, en France, tout au long de l’année 2021.

    Je suis tenté de rejoindre la moitié de mes compatriotes hésitant à se faire vacciner et envisageant de renoncer…

    Mais la vie quotidienne qui est celle que nous connaissons, sans contacts autres que de loin en loin, par internet, avec juste le visage masqué du commerçant chez lequel on se fournit, et même le policier en face, à deux mètres, masqué ; sans pouvoir se réunir en famille, devoir se promener – dans les périodes de confinement successives inévitables – à moins d’un kilomètre de chez soi… Une telle vie quotidienne, oui, durant peut être des années et des années, pour le restant de son existence si l’on est âgé de plus de 70 ans… Est-ce que c’est une vie, cela?

    Alors, le vaccin, oui… Tant pis pour les effets secondaires, pour ce que l’on ne sait pas… Plutôt le risque à courir, que de continuer à vivre dans cette vie qui n’en est plus une!

    Sauf que, si on est que la moitié à se faire vacciner, ça va pas changer grand chose pour la vie quotidienne… Encore des mesures, les masques, la distanciation, des couvre -feux, des demi ou trois quarts confinements par période d’un mois, des cafés fermés, etc…

    Si on est que la moitié à se faire vacciner, alors là, on aura ET la vie pourrie (bon, peut-être un peu moins pourrie?) ET le risque lié au vaccin…

    Je trouve -personnellement – que le risque lié au vaccin, suffit largement à lui seul, sans y ajouter en plus l’absence de contact humain, la solitude pour beaucoup de gens dont les personnes vivant seules (9 millions en France)…

    Le vaccin, dès qu’il est administré “grand public”, j’y vais… En espérant que plus de la moitié de mes concitoyens se tiendront au fond d’eux, le même “raisonnement” que moi…

    Bon sang, ça vous dit de continuer à vivre comme vous vivez? Devant votre ordinateur, votre smartphone, Skype, Facebook, Messenger et compagnie ; le masque dès le nez dehors, plus de ciné, de théâtre, de bistrot avec les copains, d’aqua gym, de pétanque, de belote, d’atelier de cuisine, de marche en groupe, de réunions et fêtes et activités associatives ?… Plus de bals, de thés dansants, de shopping en centre ville boutiques, plus rien, rien de rien de tout ça (ou très réduit)… Et cela durant des années !

    Le vaccin, ça fera revenir tout ça normalement ! Certes, oui, avec “des risques”! …

    Ah, oui, y’en a un justement, de risque, qui fait peur et qui prend la tête comme on dit : c’est celui selon lequel des puces ou des nanoparticules seraient incluses dans la solution du vaccin, et qu’ainsi, à terme, notre cerveau serait modifié (en gros on deviendrait des zombies) …

    La question vaut le coup d’être posée (donc je la pose) :

    Est-ce que c’est si intéressant et si profitable que ça, pour les lobbies, les décideurs, pour les 1 ou 10% des plus privilégiés, et d’une manière générale pour les “cénacles et coteries” des Intellectuels et faiseurs de civilisation… D’avoir pour “interlocuteurs”, “clientèles”, consommateurs en tout genre… Rien que des zombies devant eux?

    Vous vous voyez, en humain du 21 ème siècle de la Terre, débarqué sur une planète où l’espèce vivante la plus évoluée serait celle d’une sorte de lombric?

    Entre “ce qu’ils voudraient nous faire devenir” (et qui justifie que l’on se battre contre) et “être, devenir des zombies”… Il y a tout de même une différence !

    … Alors, pour les milliards qui vont tomber dans les tiroir – caisse des lobbies pharmaceutiques, avec la vente de ce vaccin à des dizaines de milliards d’exemplaires (parce qu’il faudra renouveler tous les ans comme pour la grippe)… Tant pis ! Qu’ils tombent ces milliards! … Après, oui, une bonne révolution pour que ce soit géré autrement !

    S’ “ils” la veulent pas, la révolution, “ils” n’auraient plus d’autre choix que de prendre le risque qu’on devienne vraiment des zombies… auquel cas, “bonjour leur développement et la durée de leur existence sur cette Terre avec rien que des zombies autour d’eux et pour finir la mort de la Terre”…

  • Solitude ensoleillée

    … “Ma seule étoile, non. Celle qui aurait pu être ma muse n’est jamais venue”…

    - Ischou Driss, sur Facebook -

    … Il y a des muses cependant, qui “musellent”…

    Enfin, peut-être pas tout à fait comme le ferait une muselière à un chien un peu trop “expressif”… Mais des muses qui “musellent” en réalité, à leur manière, de telle sorte que l’on ne se sent pas muselé…

    Juste retenu dans des élans un peu trop en avant portés…

    La muse qui ne vient jamais, ou que, par chance on peut avoir, c’est celle qui, toute ta vie durant… “t’existe”…

    Ainsi, par exemple, John Fante, le précurseur de la Beat Generation au 20 ème siècle en Amérique, eut, plus encore qu’une muse, Joyce Smart, sa femme, qui l’a “existé”…

    Pour le poète, pour l’artiste, pour l’écrivain, et, d’une manière générale pour qui s’exprime, ne pouvant se résoudre à garder au fond de lui son “monde intérieur”… Pour celui qui a besoin d’avoir des interlocuteurs… “il faut souvent faire” avec une muse qui est peut-être la femme ou l’homme de sa vie, et qui “muselle” tant soit peu, retient, modère… Et donc “s’exister” à défaut d’être “existé”…

    Une “entreprise” difficile, certes… Ou “une rude école” !

    Reste à savoir ce qu’il en ressort, de cette “solitude ensoleillée d’un être aimé et aimant” mais “balisée” …

    Ou ce qu’il en ressortirait, “existé” que l’on aurait été…

  • Quand ils auront fermé ...

    Quand ils auront ferme

    … C’est cela, déjà, en grande partie, avec la “corona- compatibilité” et les “collabo – covidiens”… Et leurs “clientèles” de consommateurs “un coup j’avale/un coup je défèque”(tout juste si c’est pas par le même trou comme l’oursin)… C’est cela, oui, déjà, le monde d’après le 17 mars 2020…

    Il y avait eu le monde d’après le 9 novembre 1989 jour de la chute du mur de Berlin, où l’on avait cru que, parce que le communisme avait capoté, tout le monde allait pouvoir devenir riche (certes en étant quand même un peu plus débrouillard que le clampin d’à côté qui attend que ça tombe tout rôti)…

    Il y avait eu Mai 68 où l’on avait cru qu’on allait “baiser à couilles rabattues”, et où il était devenu interdit d’interdire…

    Soit dit en passant, quand on voit tout ce qui, en 2020, est interdit…

    C’est déjà ça, les Mac Do, les Starbucks, les Carrefours, Zalando, Amazon… Avec du salariat à la pelle? … Des “boulots de merde”, oui! Vingt, trente heures par semaine en CDD, corvéables et jetables à merci (ça serait mieux que le chômage et plus “moral” que le RSA et les aides sociales)…

    C’est déjà ça, et ça sera encore plus ça, “post covidemment” !

    Un grand complot, le covid? Un virus fabriqué?

    Non, pas vraiment!

    Le “complot”, il existe depuis au moins vingt ou trente ans, il a pas attendu le covid pour désindustrialiser, pour ruiner les petits commerçants ; c’est le complot des géants du marché mondialisé, des banquiers, des financiers, des lobbies, des actionnaires…

    Et le “virus fabriqué” c’est l’individualisme promu en développement personnel sur fond de dénaturation et d’uniformisation de la Culture et du Loisir…

    Le covid, arrivé dans tout ça, qui existait déjà, ce n’est finalement qu’un vecteur en plus, mais comme le vecteur est très porteur, ça fait encore plus les affaires d’Amazon et d’Ali Baba l’Amazon chinois…

    … Cela dit, la caissière de Carrefour, le livreur d’Amazon, la femme de ménage qui nettoie la machine du Starbuck en boutique d’Autoroute Vinci… Avant de se demander si oui ou non ils font “un boulot de merde”, avant d’épiloguer sur les injustices du monde, si le “grand soleil” de France 2 entre 20h 40 et 21h 05 c’est oui ou non “une émission de merde”, et s’il faut mettre un masque en se promenant dans l’espace vert autour du lotissement… Tu les vois là devant toi qui te disent bonjour et te sourient de leur regard…

     

  • Trump et Amazon, ces "grands créateurs d'emplois"

    … Reconnaître à Trump le “mérite” d’avoir sorti de la pauvreté 4 millions d’américains, cela revient à reconnaître à Amazon le “mérite” de créer de l’emploi en pleine crise économique et période de chômage!

    Alors, merci Trump ? Merci Amazon ?

    … Et merci, bientôt, aux grands lobbies pharmaceutiques, pour le vaccin qui va sauver du covid sept milliards d’humains ?

    … Merci, également, pour le “ruissellement” ?

    Entre le “goutte à goutte” pour une fleurette qui dépérit, ou le filet d’eau qui n’arrive pas au rang de haricots trop éloigné, en somme…

  • Vendredi treize

    … Ce vendredi 13, de novembre 2020, combien ont-ils été, de nos concitoyens, à gratter sur des grilles de jeu, à faire leur loto ? Sans être spécialement superstitieux… Parce que c’était un vendredi treize, censé porter chance ? …

    Vendredi 13 ça me fait penser à un gros coq feu et or de plumage et à énorme crête rouge vif, avec du vert et du bleu en reflets dans le plumage feu et or, un gros coq juché sur un tonneau au milieu de la basse cour, qui émet un cocorico tonitruant au dessus du caquètements des poules, les unes derrière les autres courant pour piquer du bec un bout de tripe sorti du trou du cul d’une pondeuse ayant eu du mal à faire un œuf un peu plus gros que la moyenne…

  • Amis et ... "Amis"

    … Il y a “amis” et amis…

    Les “amis” sont des amis potentiels, probables donc…

    Ou aussi -sans doute plus souvent – des amis par intérêt particulier, par opportunisme passager…

    Parmi les uns ou les autres, “amis” ou amis…

    Il y a les silencieux – qui parfois se manifestent – et les réactifs – qui ne se manifestent pas forcément systématiquement…

    … Il y a aussi des “à priori” à “en veut-tu en voilà”… Que l’on pense, de ces “amis” ou amis… S’ils en sont ou n’en sont pas, de ces “amis” ou amis…

    … Dans les propositions d’amis, à priori, l’on peut se dire “pourquoi pas ?” … Et dire oui…

    Avec, cependant, un œil jeté sur un “profil” avant de dire oui…

    Quant à solliciter, à être demandeur d’ami, par recherche de celle ou de celui que l’on désire contacter (qui ne figure pas dans la liste des proposés), là, c’est “une autre histoire” !

    “Les amis de mes amis sont mes amis”… Peut-être. Mais rien n’est moins sûr… Et encore moins sûr qu’ils soient amis entre eux…

    … L’ami ou l’amie, en fait, le vrai de vrai on va dire, c’est, plus que la personne elle même, plus que la relation qui s’établit avec cette personne… C’est, ce sont les mots, les paroles, par la voix, par l’écriture… Au delà des empathies, des préférences, des engouements, des clics sur “j’aime”… Au delà aussi, des émotions, des “à priori”, des certitudes et des visions qui sont celles que l’on se fait, des gens, de leurs comportements, de ce qu’ils ont dit ou pas dit…

    Autre chose que de “l’ennemour” en somme, autre chose qu’un magnifique tableau en trompe l’œil…

    Les mots, les paroles, l’écriture – en tant qu’ami(e)s – et, pour autant que l’on leur prête vie, énergie, pensée, jusqu’à être semblables si l’on peut dire à des ondes… C’est peut-être ça, la “réponse”, ou “l’antidote”…

    … Et pas quelque chose du genre “il a été observé au passage dans le tunnel d’imagerie de résonnance, une atteinte périphérique, bilatérale et en plages” …

    Faire de la vivisection avec les mots, les paroles et l’écriture, cela revient à faire un cours de relation humaine en inscrivant sur le tableau, des équations paramétriques dont les solutions ne sont jamais pérennes ou définitives…

    En revanche, le visage du professeur -ou de la professeur – son regard, sa voix, la manière dont il ou elle formule son propos… Ça a un impact !

  • Caroline Rémy, dite Séverine

    Severine

    … Portrait de Séverine, réalisé par Auguste Renoir

    … Séverine, de son nom de naissance Caroline Rémy, est une écrivain, journaliste, libertaire et féministe française née le 27 avril 1855 à Paris, et morte le 24 avril 1929 à Pierrefonds dans l’Oise.

    En 1883, alors âgée de 28 ans, elle entre à la rédaction du CRI DU PEUPLE, de Jules Vallès, en tant que secrétaire, et s’efforce de remettre en scène, en diffusion aussi large que possible, du moins à Paris, avec ses écrits, ses premiers articles, ce journal créé par Jules Vallès, le cri du peuple, pendant la période de la Commune de Paris, le 22 février 1871.

    Puis elle tient ensuite une chronique dans ce journal, intitulée “Les idées d’une Parisienne”, et, à la mort de Jules Vallès en 1885, elle prend la direction du journal.

    Séverine fut la première femme française à pouvoir vivre de son travail d’écriture… C’est dire, à cette époque de la seconde moitié du 19 ème siècle, à quel point ce devait être difficile, pour une femme, de vivre de sa plume… Et bien souvent d’ailleurs, de son travail et à son compte…

    Laïcarde, féministe, libertaire, puis anarchiste après avoir été exclue du Parti Communiste en 1923 ; ses idées dérangent…

    Féministe à vrai dire? Non pas vraiment : Séverine abhorrait l’idée d’adhérer à quelque association, à quel parti que ce soit…

    Mais sa beauté attire, Séverine étant une femme très belle.

    Par ses reportages sur la condition ouvrière, notamment sur les mineurs de Saint Etienne, elle est une chroniqueuse acérée, de la vie sociale de cette seconde moitié du 19 ème siècle que les Historiens qualifient de “Belle époque” (mais en réalité une “belle époque” pour les riches et pour les privilégiés)…

    Elle se montre d’une grande violence pour ses ennemis qui la surnomment “la chienne”, la considèrent comme étant “la plus rouge des bas bleus”…

    Aujourd’hui, cette femme est méconnue, son nom ne figure même pas dans le Larousse.

    Ses livres sont difficiles à trouver, et, pour découvrir l’immensité de son œuvre, et avec son œuvre la cohérence de son itinéraire d’activités, il faut se rendre à la bibliothèque Marguerite Durand à Paris dans le 13ème arrondissement.

    Sur sa tombe est gravée cette inscription : “Je suis Séverine, rien que Séverine, une isolée, une indépendante”…

    … Quelques une de ses œuvres :

    Notes d’une frondeuse

    Line

    Pages rouges

    En marche

    Vers la lumière

    Impressions vécues

    … Petit postcritum “humoristique” si l’on veut :

    Si le papa Hugo avait rencontré Séverine se promenant au bois de Boulogne, fatiguée qu’elle aurait été d’une longue marche solitaire, et que le dit papa Hugo lui aurait proposé de la raccompagner chez elle dans sa calèche ; et qu’au bout de cinq minutes le papa Hugo lui aurait mis sa main sur une cuisse à demi découverte du genou (peu importe si ç’aurait été la cuisse gauche ou droite)… Est-ce que Séverine lui aurait dit, au papa Hugo, et comme l’avait dit Louise Michel dans la même situation de proposition de raccompagnement en calèche : “descendez moi ici, tout de suite, je rentre chez moi à pied” ? … (rire)…

  • Les mots contre les maux

    Il y a les mots qui hérissent

    Il y a les mots qui guérissent

    Sauf que …

    Les mots qui hérissent sont entendus par des oreilles

    Ou vus et lus par des yeux

    Mais pour les mots qui guérissent

    Il faut avoir en soi autant pour qui les dit ou les écrit

    Que pour qui les entend ou les lit

    Une foi de charbonnier

    Pour qu’ils portent, ces mots

    Atteinte aux maux dont souffre

    Celui ou celle qui les subit ces maux

  • Dites leur que ...

    Aimer

    … Dites leur que vous les aimez car demain tout peut s’arrêter…

    Dites le leur non seulement avec des mots, des paroles – et parfois des “discours” – Mais aussi et – peut-être plus encore – avec des gestes, des actes, de votre présence auprès d’eux, et même de ce silence qui vous vient lorsque les mots vous manquent, de ce silence dont la “traduction” ne peut se faire que par le regard…

    Dites leur que vous les aimez, de telle manière qu’ils se sentent aimés tels qu’ils sont…

    Tels qu’ils sont, bien plus que “parce que…”

    Il y a en a tellement, tellement, de “parce que…” Qu’à force de toutes les raisons d’aimer fondées sur des besoins, des intérêts, des attirances, des empathies, jusqu’à des “coup de foudre”, de toutes sortes de motivations opportunistes et passagères… Cela devient de… L’ “ennemour”… C’est à dire “quelque chose qui ressemble à l’amour” – ou qui imite l’amour… Un magnifique tableau en trompe-l’œil en somme…

    … Tout peut s’arrêter, oui, sans que “des choses aient été exprimées qui eussent pu être entendues, espérées qu’elles furent durant peut-être des années…

    Au moment de “ah il (elle) était ceci, il (elle) était cela”… C’est trop tard… Toujours trop tard…

    Il y a bien la postérité – plus relative que réelle et durable, et, de toute manière “d’une éternité provisoire” allant de quelques jours à, par exemple, un ou deux siècles ; il y a bien les albums de photos, les écrits sous forme de journal, les souvenirs, des objets… Mais il n’y a plus celle ou celui à qui dire ce qu’il aurait aimé entendre de son vivant…

    Dites le lui, exprimez le, de son vivant…

    Même si, parce que nos vies sont toujours des vies inachevées dans ce que nous avons entrepris, produit (dans nos œuvres en somme)… Nous n’avons pas pu tout dire, tout leur dire…

  • Les pharisiens

    … Il y a des pharisiens partout, jusque dans l’anarchisme…

    Ce sont de bien tristes sires que ces gens là, les pharisiens, avec leurs discours, leur arrogance, leurs jugements, leurs polémiques sans issue et surtout sans réponses, leur absence de bonté…

    Ils font ces dieux qui déchirent le ciel…