Articles de yugcib

  • Pensées, réflexions diverses, 8 Août 2020

    Il n’y a pas plus de différence entre civilisation et barbarie qu’entre une troupe de cavaliers avec des selles sous leurs fesses et une autre troupe de cavaliers fesses sur le dos de leurs chevaux, notamment lorsque les cavaliers, qu’ils soient assis ou non sur des selles, ont des arcs avec plein de flèches dans le carquois ou des fusils au flanc droit ou gauche, et qu’à bride abattue ils couchent les blés, saccagent les cultures…


     

    Le communautarisme, la liberté sans responsabilité et l’individualisme, de plus en plus exacerbés, promus et généralisés, sont le cancer pulmonaire de la civilisation humaine… Qui amorce actuellement et irrémédiablement, sa phase terminale… Avec la destruction par atrophie des tissus cellulaires qui sont ceux de la fraternité républicaine et de l’universalisme…


     

    L’écriture inclusive c’est une idée que les Grammairiens du 21 ème siècle ont inventée pour faire croire que l’inégalité entre les hommes et les femmes avait disparue et que l’on n’était plus à la même époque que Baudelaire…

    Les mentalités qui évoluent ça me fait penser à des feuilles de menthe alitées : les feuilles réduites en poussière incrustée dans les draps rêches et froissés verdissent les draps qui n’ont perdu qu’à peine un peu de la blancheur douteuse qu’ils avaient auparavant…


     

  • Une explication possible au sujet des contaminations actuelles covid

    Une explication possible me vient à l’esprit au sujet du nombre d’hospitalisations qui n’augmente pas (ni celui des malades “vraiment malades”) depuis que des foyers d’infection covid se multiplient en France en plusieurs régions, et que le nombre de cas positifs passe de 500 début juillet à 1000 par jour début août, et que l’on signale de nombreux rassemblements de personnes un peu partout…

    C’est que tous ces rassemblements festifs en général ou familiaux à l’occasion de mariages notamment, concernent en grande partie de participants, surtout des jeunes ou adultes de moins de 50 ans (et moins de personnes plus âgées)…

    Or, il se trouve que si les jeunes sont porteurs du virus, demeurent asymptomatiques ou peu atteints pour certains, plus ils sont jeunes et moins ils transmettent…

    D’autre part, depuis le port du masque à partir du 20 juillet, dans les lieux clos et dans les endroits non clos mais très fréquentés, les “personnes à risque”qui elles, très souvent, portent le masque même en extérieur d’une manière plus continue, se trouvent en conséquence moins exposées…

    Le vrai risque, à mon sens, dans les rassemblements, réside dans ceux de ces rassemblements qui amènent beaucoup de “seniors” (pour certains festivals axés sur des manifestations plus “culturelles” que “festives” par exemple des festivals de films, du livre, de la gastronomie, ou sur des thèmes de connaissance du monde et de l’environnement)… En effet dans ces rassemblements là, où l’on voit mettons environ 50% de seniors parmi les participants et visiteurs, même en portant le masque, les rapprochements sont inévitables notamment dans les lieux et salles et halls d’accueil, ainsi qu’aux terrasses bondées des cafés et restaurants, et dans les salles de conférences, de débats, les expositions en lieux fermés ou semi ouverts… C’est bien là, oui, le vrai risque… Car même dans le cas d’une organisation et d’une gestion de la part des autorités, la meilleure possible, il y a forcément beaucoup d’imprévu, de non gérable, du fait de ces rapprochements ne pouvant être évités, à moins de réduire considérablement par des conditions très restrictives les activités de ces manifestations festivalières (de leur enlever tout le sens, toute la portée de leur contenu en somme)…

    Une autre explication possible me vient aussi à l’esprit : c’est que les contaminations dont beaucoup d’entre elles sont asymptomatiques ou de peu d’atteinte, laisseraient des traces dans l’organisme (de petites lésions par exemple ou des dysfonctionnements dans la circulation sanguine, ou des altérations dans les tissus cellulaires système nerveux, pulmonaire) et qu’en conséquence à moyen long terme au bout de quelques semaines ou mois, alors là, cela pourrait devenir préoccupant, générer des affections chroniques et durables…

    Le fait que pour le moment les hospitalisations n’augmentent pas en dépit de tous ces nouveaux foyers, de tous ces cas positifs (1000 par jour début août) et de tous ces rassemblements festifs de centaines, ou milliers de gens, de tous ces déplacements de vacances… N’est pas forcément rassurant dans la mesure où l’on ne sait pas ce qui va se passer dans quelques semaines…


     

  • Épuisantes polémiques ...

    Toutes ces polémiques autour et au sujet du port du masque… Les Pour par la force des choses, les Pour inconditionnels et convaincus, les Contre, les rebelles, les désobéissants , les archi contre, les donneurs de leçon de morale (par exemple ceux et celles qui brandissent des images d’intubés lesquels intubés pouvant être papy ou mamy en ehpad)… Les Pour souvent étant pour parce qu’il le faut, par conformisme de bon aloi… Les Contre avec leurs arguments (dont certains tout de même tiennent debout du fait du nombre de morts en dessous de vingt par jour actuellement en France et des hospitalisations qui diminuent en dépit de grands rassemblements festifs)… Tout cela m’inciterait-il pas à une sorte dirais-je d’ “antimasquisme”, se traduisant – non point par une opposition systématique du port du masque - mais indirectement par un désenthousiasme, par une démotivation quasi totale à se rendre en tous ces endroits fréquentés, vide grenier brocante spectacles festifs de rue, cinéma théâtre marchés bibliothèques, plages, bals, concerts… Un désenthousiasme et une démotivation incitant à ne plus rien faire, à ne plus entreprendre ni projeter, à ne plus aller nulle part là où il y a du monde ? …

    À quoi bon”? “Dans ces conditions…” S’entend on dire, se persuade – t – on…

    C’est vrai, bon sang, toutes ces nouvelles contaminations, foyers d’infection, qui ne génèrent pas pour autant ce que l’on a vu en mars et avril en France en arrivées aux urgences, hospitalisations à la chaîne, soins en réanimation, morts, avec ces courbes de statistiques orientées à la hausse chaque jour ! Plus rien de tout cela, à présent ! Seulement un martèlement d’annonces de tant de nouveaux cas et de nouveaux foyers, un martèlement de leçon de morale coup de bâton à propos du moindre rassemblement festif en famille et de jeunes en particulier ! (Ah ces pauvres Papy et Mamy futurs nouveaux intubés – bon d’accord c’est tragique- et ces personnels soignants exposés, fatigués, qu’à juste titre l’on évoque)…

    Bon, d’accord/d’accord/d’accord…

    Mais à force d’entendre tout ça, toutes ces polémiques, cette obstination des uns et des autres dans le Pour et dans le Contre… On n’a plus envie de rien faire, d’aller quelque part, on en vient à ne plus s’enthousiasmer, se bouger, se motiver pour quoi que ce soit… (Et c’est ça qui fait que l’économie a du mal à repartir…Et qui “plombe le moral”…

    Biarritz, Lille, La Rochelle, etc. … Les centres villes, les terrasses de café en centre ville… Le masque/le masque/le masque… Boire un ricard ou un coca ou un demi de bière en soulevant le bas du masque, alors ? Ou en faisant un trou dans le masque pour y mettre une paille? Merde, autant prendre l’apéro devant sa maison, dans sa véranda, avec ses voisins, à Sainte Radegonde les jolies mésanges dans le Cher et Loir où l’on passe tout son été 2020 sans un seul instant rêver de l’un ou l’autre de ces endroits où tout le monde veut aller !

    Paradoxe que celui, d’un côté, ce tourisme de masse fréquentation de mêmes lieux “habituaux” en général stations balnéaires et sites prisés qui, covid ou pas, bat son plein quoique sans les Américains et les Chinois en cet été 2020 ; et d’un autre côté, ce désenthousiasme et cette démotivation moins évidents parce que les médias n’en font pas état mais bel et bien présents dans les états d’esprit de beaucoup de nos concitoyens…


     

  • De quel côté, la violence ? ...

    La violence, la vraie, l’absolue, l’exécrable, la souveraine dans ses actes ses paroles ses comportements, et qui est celle du monde telle qu’on la subit de la part de ses nombreux acteurs du haut en bas des échelles sociales… N’est jamais, jamais/jamais, du côté des penseurs même les plus sévères et les plus critiques d’entre eux ; ni du côté des poètes et des artistes même les plus noirs, les plus anarchistes et plus plus déjantés d’entre eux…

    La violence, la vraie, l’absolue, l’exécrable, celle qui pourrit la vie, détruit, lamine, brûle, déboulonne, casse, abîme, prédate, extorque, recrute… Est du côté des imbéciles, des crétins, des crispés, des fanatiques, des jaloux, des “ôte-toi de là que j’m’y mette” et de ces “parangons de vertus qui pratiquent une morale coup de bâton”…

    Et le pire, c’est quand les imbéciles, les crétins, les crispés, les fanatiques, font de certains d’entre eux des martyrs de la société et que s’installe dans des esprits enténébrés et conditionnés, une ignoble piété…

    Les penseurs et les poètes, quand ils expriment leur désarroi, ils sont dans la colère, pas dans la violence…

    Ne pas confondre violence et colère…


     

  • La corruption mène le monde

    C’est la corruption, avec toutes ses prédations, qui gouverne sur l’ensemble de la planète, dans tous les pays, états, royaumes, nations confondus…

    Lorsque les gouvernements changent, la corruption change de camp… Ou, plus exactement, ce sont les nouveaux gouvernements mis en place, soit démocratiquement élus, soit par coup de force ou révolution, qui, avant qu’ils n’arrivent au pouvoir faisaient de la lutte contre la corruption leur “cheval de bataille”, parvenus au pouvoir placent leurs personnages tout aussi corrompus, du moins quelques uns d’entre eux dont on n’aurait pas cru qu’ils le soient, corrompus…

    Mais ce sont toujours, où que ce soit sur cette planète, les populations qui sont les victimes de la corruption planifiée, organisée, pérennisée…

    Certes, les populations sont inégalement victimes de la corruption, dans la mesure où les plus défavorisées d’entre elles, de ces populations, sont les plus impactées, celles qui souffrent le plus de la corruption… Et qui, n’ayant souvent d’autre alternative pour que leur sort s’améliore, versent dans la corruption, notamment dans toutes sortes d’activités illicites, informelles, vols, rackett; prostitution, trafic de stupéfiants…

    Avec la corruption généralisée, organisée, hyérarchisée, planifiée, pérennisée ; le droit, la justice, la loi sont bafoués bien qu’ils soient portés en étendards au devant des foules…

    Des étendards pour dire que la barbarie c’est de l’autre côté de là où on se trouve et se situe…

    La corruption mène le monde et le perdra… Autant dire que toutes les civilisations après avoir duré, fait leur temps sur cette planète, disparaissent, ne sont connues ou découvertes que par les traces qu’elles laissent…

    Mais quelles traces de l’Histoire présente de la civilisation humaine demeureront visibles pour ceux des humains qui peupleront notre planète, lorsque tous les humains aujourd’hui vivants auront disparu?


     

  • Croissez, multipliez et dominez ...

    Déjà, à l’époque du Paléolithique supérieur ( de -35 à -12 000) les humains (Homo Sapiens) par leurs activités, exerçaient sur leur environnement une pression assez forte dans la mesure où non seulement ils prélevaient, puisaient dans les ressources naturelles (sol, animaux, végétaux, forêts) mais aussi et surtout modifiaient selon leurs besoins, leur environnement naturel…

    L’être humain est le seul de tous les êtres vivants, qui modifie, transforme son environnement naturel…

    L’on ne peut pas dire, par exemple, que le renard en creusant un terrier, modifie son environnement, le terrier ayant une entrée naturelle, entre deux racines, dans une cavité, un creux… Peut-être le castor en accumulant des branches en bordure d’un cours d’eau ? …

    Durant environ deux mille ans, depuis l’antiquité romaine jusqu’au début du 20 ème siècle, la population humaine sur notre planète est passée de 250 millions (fin 1 er siècle) à 1 milliard et demi (début 20 ème)… Ce qui représentait en activité humaine (agriculture, industrie, exploitation et utilisation des ressources naturelles du sol et du sous sol, dont en particulier le bois) un poids, une pression assez considérable… Mais néanmoins supportable pour la planète.

    En seulement un siècle (début 20 ème – début 21 ème) la population humaine passe de 1,5 milliard à 7,8 milliards…

    Croissez et multipliez” qu’il a dit, le Dieu des chrétiens ! Et “je vous donne la Terre avec tout ce qu’il y a sur la Terre” (autrement dit “dominez, soyez les maîtres de toute chose et de tout ce qui vit, puisque je vous ai faits à mon image”)… (La Bible, Genèse)…

    Ce Dieu, il est forcément intelligent, parce que s’il était con, il ne serait pas Dieu…

    Alors comment se fait-il que ce Dieu, intelligent, n’a point subodoré qu’un jour, il y aurait un “très/très gros pépin” ?…

    En fait le “très/très gros pépin” c’est celui de la conjoncture de plusieurs “gros pépins” entre autres le changement climatique d’origine humaine (effet de serre production de CO2) et la sur exploitation de toutes les ressources naturelles… Dont le bois des forêts au Brésil (Amazonie), en Indonésie et au Congo, soit pour ces 3 pays, 60% de l’ensemble des forêts sur la planète.

    De ces 60%, 20% (le tiers) a déjà disparu en seulement 1 génération d’humains (vingt ans), et en plus de l’exploitation s’ajoutent les incendies (dont celui, dernièrement, gigantesque, en Australie)…

    Les spécialistes (grands intervenants, avocats, juristes) du Droit International, ne se sont jamais encore penché sur cette question : “à qui appartient une richesse essentielle à la survie de l’espèce humaine ?” En l’occurrence, la forêt amazonienne appartient -elle au Brésil ou à la Terre tout entière ?

    Pour l’Antarctique il existe un traité de non appartenance à quelque pays, état, nation, puissance, que ce soit… Jusqu’en 2048 concernant d’éventuelles ou réelles revendications…

    2048 c’est dans 28 ans… En gros, une et demie génération, celle de nos bébés qui viennent au monde en 2020, auront 20 ans en 2040, seront trentenaires en 2050 (et donc en activité professionnelle, propriétaires ou locataires de leurs habitations, possédant des voitures)…

    Combien de centenaires en 2048 ?

    Et… Combien d’humains sur notre planète dans l’état où elle sera ?


     

  • Médiatiquement surdimensionné, le covid en prolongation ?

    Mortalité covid en chute libre (moins de 20 personnes fin juillet, par jour en France)…

    Une très grande majorité d’infectés totalement asymptomatiques bien que les foyers de contamination soient en augmentation…

    Une virulence qui diminue, avec beaucoup moins d’hospitalisations, de nécessité en soins de réanimation, et finalement, de nombreux malades peu atteints…

    Mais des mesures, des contraintes, notamment avec la distanciation, le port du masque et de nombreuses manifestations festives, sportives, culturelles qui n’ont pas lieu ou doivent se dérouler dans des conditions qui les rendent moins attirantes… En somme tout cela, avec l’économie, le travail, l’emploi, l’activité qui souffrent… Qui nous pourrit la vie et la relation humaine…

    Comme si le covid en prolongation c’était aussi grave que la peste, que le choléra ou qu’une pandémie d’Ebola sur l’ensemble de la planète !

    Cela dit comment se fait-il qu’aux USA et qu’au Brésil, la mortalité par covid reste aussi élevée … À cause du nombre important de personnes à risque? Mais il y a autant en Europe qu’en Amérique , des personnes à risque… Alors?


     

    Déjà, le covid en février mars c’était pas comparable avec la grippe espagnole de 1918… Alors, le covid en prolongation ça vaut même pas une grippe saisonnière classique…

    Si peste il y a c’est l’ensemble de toutes les maladies invalidantes – à commencer par le cancer – qui font par jour des dizaines de milliers de morts avec la pauvreté, la misère, les suicides, le manque d’eau et d’hygiène et de nourriture pour plus de deux milliards d’humains, et les guerres, les violences, les crimes…

    Depuis quelques jours à présent, j’en viens à être dubitatif au sujet des avis des scientifiques et des professionnels de la santé, ainsi que des politiques sanitaires, des mesures prises par les gouvernements de différents pays en Europe et ailleurs… Non pas que je conteste ce que disent les scientifiques et que je mette en doute leurs connaissances, recherches, expériences, avis, conseils etc. … Mais ce sont toutes ces divergences entre eux dans leurs visions, qui me déconcertent… Et tout ce qui demeure encore inconnu…

    Quant aux gouvernements, l’on peut les accuser de laisser s’emballer la “machine médiatique” ou d’agir à dessein dans tel ou tel but inavouable… Mais “cela ne tient pas la route” du fait déjà qu’aucun gouvernement n’a réellement intérêt à sacrifier l’économie marchande de consommation de produits et de services… Au plus vrai, les gouvernements “font ce qu’ils peuvent au mieux ou au moins pire”, se rangent plus ou moins à l’avis des scientifiques et des professionnels de la santé… Il n’y aurait à la limite, que les lobbies et les grands trusts qui eux, agissent dans un dessein évident, à savoir réaliser le plus de profit possible…

    Finalement, les contraintes subies par les populations, par les gens en particulier dans leurs activités et leurs relations, par tout ce qui “pourrit et gâche la vie” au quotidien, tout cela est bien plus réducteur que la peur de tomber malade, de développer une forme grave de covid selon une probabilité incertaine…


     

  • Combien ils pèsent, les aînés, sur le Marché ?

    Combien pèsent sur le marché (de la consommation tous produits et services confondus), dans l’économie, quinze millions de retraités en France ?

    Sur ces quinze millions à vrai – réellement – dire, seulement trois millions et demi environ, dont les revenus mensuels (pension de retraite) se situent entre 1500 et 2500 euro ou plus, pèsent vraiment sur le marché mais pour l’essentiel sur les marchés du voyagisme, de la restauration, du spectacle, de la rénovation d’habitat.

    Donc, à mon avis, le “souci” de l’État et des décideurs économiques – et de la société française dans son ensemble – de “protéger nos aînés” n’est qu’un “souci de façade”… Sauf sans doute pour les croisiéristes, les voyagistes, les restaurateurs et accessoirement les entreprises de couverture (toiture) et de rénovation (façades)… Dans la mesure où un couple de “seniors” peut dans la même année se payer un voyage, une croisière, et refaire la toiture ou la façade de sa maison… Ce qui n’est pas forcément le cas pour tous les couples de seniors autour de 2000 euro mensuels qui en priorité, penseront à leur toiture, à leur façade, ou à remplacer leur chaudière…

    Soixante huit millions de français dont au moins trente millions d’actifs et quinze millions de retraités tous revenus confondus c’est à dire des moins au plus aisés, pèsent donc bien davantage sur le marché, dans l’économie tous produits et services, que ces trois millions et demi de retraités autour de 2000 euro par mois…

    On” a l’impression qu’ils pèsent beaucoup, ces trois millions et demi de seniors aisés, parce qu’ “on les voit partout” dans les restaurants, sur les bateaux de croisière, et qu’ils font travailler les couvreurs et les rénovateurs de façade…

    Le “souci” de l’État, des décideurs et de la société, pour les “vieux”… Parlons en !… Avec cette société du 21 ème siècle qui se délite, craque de partout dans ses structures et ses fondements, qui se fonde bien plus sur le bien être et le développement individuel (personnel) que sur le bien être de la collectivité humaine ; qui s’axe sur la consommation, le profit, la performance, la visibilité, tout cela dans l’ostentatoire et dans une certaine insolence ; avec toutes ces recompositions et éclatements de familles, séparations, divorces, abandons, concepts de “famille élargie” où la “filiation” ne veut plus rien dire… Que signifie aujourd’hui entretenir et transmettre un patrimoine? (un patrimoine constitué non seulement de biens mobiliers et immobiliers mais aussi de souvenirs, de réalisations, de ce qui est immatériel) … Quelle est la place des “aînés” (de nos aînés), réellement, dans notre société actuelle ? …

    Par dérision, dans mon “jargon”, j’ai transformé “Papy” ou “Mamy” en “Papu”, “Mamu”… Et j’ai mis “une casquette de pépère” sur la tête de “Papu”, coiffé “en chou fleur” Mamu… (rire)… C’est vrai, l’album photo souvenir vacances en Bretagne ou aux Baléares de “papy/Mamy” (ou le “journal intime” de papy ou de mamy) … Ou la collection de timbres, de cartes postales, de vieux dessins, de vieux poèmes… Qu’est ce qu’un jeune il en a à foutre ? Au feu, à la décharge, tout ça, quand on videra la maison après la mort de papu et de mamu…

    Si Émile Zola était de notre temps, vivant et écrivain… Il écrirait “La Terre” façon années 2020… Avec des EHPAD pour remplacer le tabouret du Pépé à côté du fourneau…


     

  • Les deux inconvénients du test covid

    Le premier (avec résultat positif) t’incite – ou te propose, t’invite – à un isolement de 15 jours sans sortie, sans aucune rencontre avec qui que ce soit même l’un de tes proches, femme, mari, enfant (à moins de faire en sorte qu’une distance de 2 mètres sinon 3 et avec le masque sur le visage, assure une protection maximum). C’est sans doute la raison pour laquelle certains hésitent à se faire tester du fait de la contrainte que cela implique.

    Le deuxième (avec résultat négatif) t’indique juste qu’au moment où tu as sous les yeux le résultat, tu n’es pas infecté donc pas porteur du virus… Mais d’ici un ou deux jours ou plus, ou même demain, tu peux “choper” le virus (dans ce cas le test n’a servi à rien, il faut le recommencer, en fait il faudrait être testé au moins une fois par semaine pendant des mois et des mois !)…

    Alors quand je pense à toutes ces situations de rencontres (fêtes, mariages, grandes réunions de famille, vacances en camping hôtel chambre d’hôte, bals, discothèques, cafés concerts, rave parties et autres concentrations de centaines voire de milliers de personnes en un même lieu, de festival, de grand marché etc.)… Je me dis que les occasions de “choper” le virus sont tout de même assez réelles et que c’est illusoire par exemple de “tabler” sur des statistiques qui font état de 10/15 contaminations sur 10 000 ou 100 000… Quand on sait que dans une réunion de mariage d’une centaine de personnes, 7 ou 8 personnes peuvent être testées positives, et sans doute autant d’autres non testées sont bel et bien infectées… (C’est ce qui a été observé et mis en évidence à plusieurs reprises en différents endroits de rassemblements en nombre)…

    Bon, le test prise de sang pour voir si on a développé des anti corps (été infecté à un certain moment dans un passé proche), au moins celui là te garantit que dans les trois mois qui suivent tu risques rien… Sauf que ta peau, tes mains, en contact avec le virus, peuvent quand même pendant quelques heures, être des supports du virus au même titre qu’une poignée de porte, une surface d’un objet…


     

  • Sur la route des Crêtes

    Sur la route des Crêtes, hein, cette via Appia de l’imbécilité rageuse épidermique et crispée, autant côté droit de la route que côté gauche mais surtout en zig zag en danse des canards au milieu, s’espatoufflent les crétins…

    Et pourtant à l’école quel est le gosse de huit ans qui ne sait pas la Terre qui tourne autour du soleil, la Voie Lactée, les galaxies ? Alors qu’au Texas ou en Louisiane ou même à New York, des gosses de quinze ans apprennent à l’école que c’est Dieu qu’a créé le monde…

    L’imbécilité quand elle flirte avec la violence, c’est pire que l’intelligence qui s’associe avec la méchanceté, parce qu’elle est, l’imbécilité, comme un mur où s’écrasent les têtes de marteaux et où s’y font rayer, griffer et raturer les mots qui chantent, réconfortent, apportent paix, bonne volonté et amour…

    Contre l’intelligence qui flirte avec la méchanceté, tu peux encore te défendre avec ce que tu as d’intelligence en toi qui peut répondre, réagir… Mais contre la bêtise qui sort le couteau ou qui te piétine et te bourre le bide à coups de pied, tu peux rien faire à moins d’être parvenu à piquer un sprint pour échapper…

    Le pire du pire c’est quand la Culture de l’époque et parfois l’autorité qui va avec, relayée par ses Grands Penseurs, ses Grands Médias, se met du côté des crétins, des têtes brûlées, des aboyeurs et des voyous de tout poil, au nom d’une liberté pour tous sans limites sans aucune restriction sauf quand ça choque trop et que ça dépasse les bornes mais c’est trop tard , et d’une tolérance qui consiste à baisser le pantalon jusqu’au bas des chevilles… Résultat c’est les crétins qui gagnent et plus ils se font entendre dans le cirque, et plus c’est eux qui mènent la danse et le monde…

    Résultat, encore, c’est la Culture qui se fait la malle, et… presque la Terre qui tourne autour du soleil, la Voie Lactée, les galaxies, en somme la Connaissance, le bon sens et la réflexion qu’ont plus droit de cité et sont même bafoués … Et Dieu qu’on ne se demande même plus où il est, ou qui prend une gueule de sorcier sanguinaire le couteau entre les dents…


     

  • Le prochain festival international de géographie à Saint Dié

    Dans Les annonces des hautes vosges du 16 juillet 2020, je suis très surpris de lire cet article en page Saint Dié des Vosges, concernant le prochain festival international de géographie (la 31 ème édition) qui aura lieu les 2, 3 et 4 octobre 2020 sur le thème du climat (effets du changement climatique), avec pour pays invité le Portugal…

    Du fait que ce festival draine durant trois jours en divers lieux, rues, places de Saint Dié et de quelques localités environnantes, plusieurs dizaines de milliers de visiteurs (environ chaque année 50 000 sur 3 jours) ; dans le contexte de la crise sanitaire pandémie de covid, à priori je pensais que ce festival ne pouvait pas avoir lieu, serait annulé…

    Peut-être, vu l’évolution ces derniers temps, défavorable (foyers de contamination et cas positifs en augmentation partout en France) et d’autant plus si, selon des prévisions de scientifiques épidémiologistes, une “2 ème vague” pourrait survenir et s’étendre à partir de fin août… Peut-être que le festival devra être annulé, on verra bien…

    Personnellement en tant que passionné de géographie, depuis 2005 chaque année me trouvant dans les Vosges j’assiste à ce festival durant les 3 jours, du matin jusqu’au soir, prenant place dans les salles et les lieux de conférences, expositions, manifestations, débats, “tables rondes”, films documentaires et de long métrage… “Un grand moment dans l’année” dis-je, les 3 jours de ce festival, les thèmes choisis sont toujours très intéressants, portent à réflexion, échanges, rencontres, débats…

    Je me disais, pensant que cette année le festival n’aurait pas lieu “que du fait qu’il allait être annulé, je n’aurai rien à regretter, que c’était clair et net”… Mais, apprenant qu’il va avoir lieu quand même, cela me “pince un peu le cœur” dans la mesure où m’y rendre dans les conditions où ce festival va se dérouler (port du masque partout dans les salles et dans les lieux rassemblant des dizaines de personnes proches les unes des autres, mesures renforcées de protection, toutes sortes de contraintes et de dispositions particulières, relatives également à la sécurité) cela réduit fortement mon enthousiasme, ma motivation, en somme le désir de me rendre cette année à ce festival…

    Car c’est bien là, chaque année, une très importante manifestation avec rassemblement de dizaines de milliers de personnes, avec non seulement 150 à 180 conférences débats tables rondes en salles de 300 à 600 personnes – pour au moins les deux principales salles - (avec files d’attente avant de rentrer) mais en plus avec des cafés géographiques où les gens sont très rapprochés, des expositions, des spectacles, des films, le salon du livre, le salon de la gastronomie, les animations pour les enfants, les adolescents, la participation et présence des écoliers avec leurs enseignants… Et bien sûr, les nombreux conférenciers, intervenants, journalistes, photographes, scientifiques, professeurs, auteurs d’ouvrages, chercheurs, géographes venus du monde entier lors de cette rencontre annuelle à Saint Dié…

    Le “Quartier Général” étant l’Espace Georges Sadoul” – je vous dis pas du matin au soir le nombre de gens présents rien que dans le hall d’accueil, c’est assez impressionnant! …

    La question est de savoir comment vont réagir les visiteurs (ceux qui tous les ans viennent) à l’annonce du festival les 2,3 et 4 octobre dans le contexte pandémie covid… La majorité (sans doute plus de 50% des visiteurs) étant celle des Vosgiens déjà, et des Lorrains (du Grand Est)…

    Les restaurants, les cafés, avec déploiement d’immenses terrasses, sont pleins à craquer tous les ans (par chance souvent le temps s’y prête avec soleil, ciel clair et même chaleur)…

    Je m’interroge tout de même, pour cette 31 ème édition 2020 du FIG, comment cela va se passer, cela m’inquiète quelque peu… Autant de monde, autant de rapprochements, de gens venus de partout… Même dans les conditions les meilleures possibles avec, de la part des autorités municipales, une gestion de la logistique en matière de sécurité et mesures de protection, assez compliquée il faut dire! Et qui risque être très onéreuse, demander énormément de travail, d’investissement, d’effort…

    Faut-il voir là une “réponse” à l’adversité qui est celle de cette crise sanitaire et économique mondiale, une manière de “résister” – positivement et résolument – à cette terrible épreuve et contexte de crise (un “état de guerre” pour ainsi dire) ?

    La Vie, la Culture, la relation humaine, l’action, l’imagination, la créativité, l’investissement, l’éducation, la connaissance, l’information, la transmission des savoirs… La Vie, oui, avant tout et en dépit de tout ce qui la rend difficile la vie ; oui, je suis pour, archi pour… Mais dans une réflexion “grave” et avec quelques interrogations au sujet de ce qui est de “ré-inventer” (l’activité, la relation humaine, un mode de vie, une culture, une société, avec tout ce que cela implique d’imagination, d’intelligence, de faculté d’adaptation, d’effort et de travail à accomplir)… Pour une “géographie de l’humain, du vivant, de notre environnement naturel”…


     

  • Un temps difficile, un espace réduit, pour la relation humaine au quotidien

    Par la distanciation et par les mesures renforcées de protection avec les “gestes barrière”, le port du masque en lieux clos (et parfois en espace ouvert très fréquenté), tout ce qui fait et entretient la relation humaine, dans l’activité, dans le travail exercé, dans le rapport familial, entre amis, connaissances et personnes que l’on rencontre autour de soi… Se trouve modifié et changé dans la vie au quotidien, en ce sens que désormais et sans doute pour un temps indéterminé, les jours vécus par chacun ont en grande partie perdu ce qui faisait d’eux des jours parfois différents des autres jours, où quelque événement heureux, agréable, inattendu, survenait, par exemple une sortie entre amis, une séance de cinéma, une fête, un anniversaire, un projet commun dans une activité de loisir ou de sport, une réunion, une présence avec participation dans une association locale…

    Du coup le lien social, la relation, ayant en partie disparu, les jours que nous vivons au quotidien sont devenus “vides”, dans une succession d’heures où “rien ne se passe” qui “met du sel” ou “apporte un rayon de soleil”, du “nouveau” ou du “piment”… Il ne reste plus que ce que l’on peut encore faire seul pour autant que l’on se sente motivé : lire des livres, regarder des émissions ou des films à la télévision, du jardinage, du bricolage, des promenades à pied ou en vélo, la plupart du temps seul, en couple ou avec 2 ou 3 personnes de son entourage…

    Car désormais toute activité, projet, loisir, sortie, où nécessairement l’on se trouve avec du monde autour, comme par exemple se rendre dans un centre commercial, faire du “shopping”, “voir du monde” en somme… Ou se rendre dans une médiathèque passer un moment en salle de lecture ; prendre un bus, un tram, un métro, un train, aller dans un marché… (Tout ce qui fait du contact même sans échange réel avec des gens autour) … Pose le problème d’une contamination possible au covid, certes une contamination le plus souvent – encore – relativement improbable, mais “probable quand même”…

    Dans un tel contexte environnemental de relation, ce qui est sans doute le mieux et le plus heureux à vivre, qui résiste avec le plus de bonheur, c’est l’univers familial parents enfants dans la mesure où existe dans la “cellule familiale” une cohésion, une entente, du partage, de l’écoute, de l’amour en somme, et où ensemble l’on “construit” ou l’on vit un quotidien “meublé” de tous ces petits événements et activités qui ont du contenu, du sens, qui motivent, enthousiasment…

    En revanche lorsqu’il n’y a plus d’univers familial, soit parce qu’il y a mésentente ou manque de cohésion, soit parce que les gens vivent seuls, séparés, divorcés, veufs ; quand demeurait comme avant le temps du covid, le lien social grâce à une association locale par exemple, ainsi qu’ à des possibilités de sorties et de rencontres… Alors la vie quotidienne se trouvait-elle en partie “enrichie”… Et dès lors que disparaît le lien social avec les connaissances et rencontres, l’association locale, dès lors que l’on ne rend plus dans les lieux où il y a du monde, les personnes qui vivent seules sont forcément les plus durement impactées, dans la solitude, l’absence de contact et d’échange… Un drame pour 9 millions de nos concitoyens femmes et hommes… Et 700 000 personnes âgées dans les EHPAD et maisons de retraite…


     

  • Chez Véloland à Épinal le 22 juillet 2020

    ... Venant de découvrir Véloland à Épinal ce mercredi 22 juillet 2020, je suis littéralement ébahi par la modernité "high tech" de ce magazin de vélo où l'on voit toutes sortes de cycles de derniers modèles et pour la plupart "haut de gamme", des vélos (course, randonnée, VTT) valant entre 1000 et 3000 euro) ainsi que de vélos électriques tout aussi "haut de gamme"... Sans compter les pièces détachées, les articles pour cycles, tous ces matériels et outils nouveaux, performants, de grande qualité, innovants...

    Rien à voir avec les magasins de vélo de la fin du 20 ème siècle tel qu' il y en avait par exemple à Bruyères dans les Vosges ( cycles Oriel)... D'ailleurs dans les petites villes on ne trouve plus aujourd'hui de marchands et réparateurs de vélos...

    En arrivant à Véloland Épinal ce matin vers 10h ce 22 juillet, avec mon vieux vélo datant de 1998 acheté chez Cycles Oriel à Bruyères, j'ai eu l'impression ( c'est ce que j'ai ressenti ) que je "dénotais" complètement dans ce décor "ultra high tech", d'autant plus que les clients qui arrivaient à ce moment là en même temps que moi, eux, avaient tous de très beaux vélos dernier cri nouveaux équipements.

    Je venais pour une réparation que j'avais essayé d'effectuer moi même : refaire marcher et régler une manette de changement de vitesse de poignée droite au guidon. J'avais changé le câble du dérailleur (pignons), effectué réglages H et L avec les petites vis sur le dérailleur, mais en dépit de tous mes efforts, la manette ne répondait pas...

    J'ai même tenté ceci : graisser l'intérieur de la poignée avec WD-40 et ensuite chauffer à l'aide d'un sèche cheveux, rien à faire, la manette se mouvait à vide, inerte...

    De marque Shimano, cette manette changement vitesse droite (pignons) datant de 1998, peut-être ne peut plus être remplacée (mon "vieux vélo" datant d'une "autre génération" )...

    Ne séjournant dans les Vosges qu'une partie de l'année, je souhaitais ré-utiliser ce "vieux vélo" que j'ai conservé et m'a jadis donné grande satisfaction pour ce que j'en attendais... Mais cela faisait plusieurs saisons qu'il se trouvait au grenier, inutilisé...

    Contrairement à ce que m’avait annoncé un réparateur en atelier chez Décathlon à Saint Dié, où j’étais venu la semaine précédente avec mon vélo, la manette de changement de vitesse à poignée guidon de marque Shimano RXS n’était pas hors d’usage ; il y avait juste l’extrémité du câble de dérailleur qui se trouvait coincée et empêchait une installation correcte du nouveau câble que j’avais inséré…

    Et pour seulement 3,50 euro prix d’un autre câbe plus 12 euro de travail en atelier (environ une demi heure) chez Véloland Épinal, voilà mon dérailleur qui cette fois enfin, répond à la demande…

    Du coup je trouve que Véloland “palais du Vélo” (60 magasins en France) c’est “le top” (donc même si t’as un vieux vélo qui date d’une ancienne génération de vélos, si t’es pas un pro du vélo ; pour une réparation en atelier l’on t’y traite à égalité en conseil, accueil, intervention, avec des clients qui viennent avec de beaux vélos high tech dernier cri !

    C’est vrai que “par les temps qui courent” (2020 pandémie de coronavirus) les ventes de vélos ont bondi ces dernières semaines notamment dans les grandes zones urbaines où le transport public bus métro tram est devenu plus difficile en raison du port du masque et des mesures de protection renforcées, distanciation et sans arrêt faire attention…

    Je me disais que si j’avais 30 ou 40 ans et si je bossais, étant payé environ 2000 euro par mois et si je disposais de quelques milliers d’euro d’économies sur un livret A… Entre m’offrir une croisière en Méditerranée à 3000 euro en famille et m’acheter un vélo (de randonnée, ou VTT ou vélo électrique) à 3000 euro, mon choix serait vite fait sans hésiter, ce serait le vélo…

    Soit dit en passant, l’épargne des français sur livret A a bondi énormément ces derniers mois, du fait que l’on ne va plus en croisière, ni en voyage organisé en Thailande Bahamas Seychelles ou Baléares, donc l’argent ainsi économisé peut servir pour l’achat d’un beau vélo high tech chez Véloland ou autre “palais du vélo”!

    Un seul “petit” bémol ( mais tout de même “un peu gros”) : 90% de ces nouveaux beaux vélos high tech d’une valeur en général comprise pour beaucoup d’entre eux, entre 1000 et 3000 euros ; ainsi que les matériels, équipements, fournitures associés, en vente dans les grands magasins de cycles… Sont fabriqués en Chine…


     


     

  • Une question ...

    Dans une réflexion qui se veut – ou « s’espère » - « logique » - si je puis dire – je me pose cette question au sujet de la transmission du covid19 :

    Ne pourrait – on pas distinguer « être porteur » (du virus) et « être véhiculeur » ?

    Je m’explique :

    « Être porteur » c’est avoir en soi le virus, le transmettre par l’air que l’on expire, par la parole, par ces gouttelettes microscopiques projetées qui avant de tomber au sol ou sur une surface, une poignée de porte, tout ce que l’on touche, stationnent dans l’air ambiant jusqu’à quelques mètres de distance.

    « Être véhiculeur » ce serait alors ne pas avoir en soi le virus et donc ne l’ayant pas en soi on ne le transmet plus par l’air que l’on expire MAIS ce serait être comme un objet (de la matière) au même titre qu’une surface, une poignée de porte, n’importe quoi pouvant être touché par une personne se trouvant à proximité, et qui durant un certain temps (plusieurs heures) est imprégné du virus.

    Si cette différence peut être faite, entre « être porteur » et « être véhiculeur », il en résulterait qu’une personne qui a contracté le virus, qui a été soit asymptomatique, soit malade puis guérie, et qui a en conséquence développé des anticorps, est devenue immunisée (immunisée durant le temps de durée de l’immunité acquise pouvant être de 3, 6 mois, un an?)…

    Donc, « logiquement », durant le temps de l’immunité acquise, on ne devrait être QUE véhiculeur (et non pas porteur)…

    Or « être véhiculeur » c’est être comme un simple objet (une surface – en l’occurrence ses doigts, ses mains, sa peau) imprégné du virus pendant 3, 4, 6 heures)…

    Un objet (une surface, une matière inanimée) n’a pas de respiration, ne projette pas, ne peut qu’être imprégné)…

    Les doigts, les mains, la peau, sont bien des matières animées, vivantes, mais ne projettent pas, il faut que les doigts, les mains, la peau puissent être touchés pour infecter pendant un temps limité…

     

    C’est cette question qu’il faudrait poser à des professionnels de la santé, à des scientifiques, à des épidémiologistes…

    Donc, à voir, à vérifier, à confirmer ou pas…

     

     

  • Le masque chez Mac Donald's

    Big mac

    Il faudra chez Mac Donald’s soulever le bas du masque bien haut et retroussé sur le nez afin d’ingurgiter en y mordant dedans, le Big Mac du menu Best Off chez Mac Do… C’est que nous n’avons pas, nous humains, comme certains grands singes très largement « bouchus », une « gueule de crapaud buffle » …

    Peut – être le « Wrap », crêpe au froment enroulée avec du poulet ou du bifteck haché à l’intérieur et accompagné de crudités, est – il mieux adapté (de préférence sans sauce plus ou moins coulante)…