Articles de yugcib
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Une réflexion sur la violence
- Par guy sembic
- Le 14/10/2020
- Dans Pensée, réflexions, notes, tags
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… Il est une violence qui fait défaut dans la société, c’est celle qui, au lieu de s’attaquer à des commissariats de police, devrait plutôt s’en prendre aux sièges des assemblées d’actionnaires…
La violence qui s’attaque aux commissariats, n’est autre que celle de délinquants, de dealers, de petits caïds de quartiers et de leurs bandes qui, eux, n’ont jamais à l’esprit l’état du monde, aculturés qu’ils sont… Car ils se moquent de l’état du monde, des riches et des pauvres, des bibliothèques, des terrains de sport, des salles de cinéma et de théâtre, des maisons de la culture et des restaurants du cœur… Ils se moquent bien de tout cela, ils en sont à mille lieues!
La violence qui devrait s’attaquer aux sièges des assemblées d’actionnaires, fait défaut parce que la violence des possédants, des décideurs, des actionnaires et des puissances d’argent n’est pas vue par le plus grand nombre, comme étant la pire et la plus universelle de toutes les violences… Quoique si elle pouvait être éradiquée, cette violence là, ne ferait pas pour autant disparaître la violence des délinquants, des voyous, des dealers, des petits caïds de quartiers et de leurs bandes… Et plus généralement, de gens qui, loin d’être les plus démunis dans la société, n’ont d’autre “culture” que celle d’un individualisme forcené !
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Ces chiffres qui finissent par nous gaver
- Par guy sembic
- Le 13/10/2020
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… D’où sortent ces chiffres qui font état, récemment, de quelque 27000 cas détectés, de covid, en une seule journée ?
Alors que, actuellement, sur environ 150 000 tests réalisés par jour, l’on observe un taux de positivité de 12% soit 18000 personnes infectées, de plus, par jour ? Sachant, ce qui rend variable le résultat obtenu par jour, que, aujourd’hui ou demain ou hier, et selon les régions, les villes, en France, apparaissent des différences, en nombre de cas détectés, ne permettant pas d’évaluer précisément l’évolution réelle ?
À un rythme moyen de 15000 par jour, l’on arriverait à environ 1 million de personnes infectées par bimestre (2 mois) soit 6 millions en un an, ce qui n’est guère significatif puisque personne ne sait ni ne peut prévoir si cette progression d’environ 15 000 par jour, ne s’accélèrera pas exponentiellement ou bien diminuera peu à peu ou rapidemment…
Il est certain que pour les citoyens que nous sommes, en France, la vie au quotidien, déplacements, travail, activités, relation humaine ; n’est pas du tout la même selon que l’on vive en ville ou à la campagne…
Ainsi dans un bourg de 3000 habitants, où les gens demeurent pour moitié d’entre eux dans des maisons de lotissements, vont faire leurs courses au Carrefour Market du coin, ne rencontrent que rarement ou occasionnellement des foules autour d’eux, le nombre de personnes contractant le virus ne peut pas être très important, comme en ville ou grande ville où les gens forcément se côtoient dans des lieux très fréquentés…
Donc, une vie plus “pourrie”, plus restreinte, avec plus de contraintes, pour les citadins, que pour les ruraux…
Depuis le 20 juillet masque partout obligatoire, pourquoi n’installerait-on pas comme on le fait pour le tri des déchets, des poubelles dédiées aux masques usagés ? Afin de recycler ces centaines de millions de masques jetables en papier hygiénique? En effet, l’on fait bien du nouveau papier avec de vieux papiers récupérés!
Si nos merveilles gastronomiques joliment arrangées sur des assiettes de toutes formes autres que rondes, tombent en ruines dans nos latrines… Alors pourquoi ces masques qui dissimulent nos sourires ne finiraient-ils pas en feuilles de PQ ?
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La Terreur sans la guillotine, le Bolchevisme sans les goulags
- Par guy sembic
- Le 13/10/2020
- Dans Pensée, réflexions, notes, tags
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… La Terreur sans la guillotine, ou le Bolchevisme sans les goulags, cela “pourrait faire l’affaire sur cette Terre”…
Enfin… Quoi que, la Terreur ou le Bolchevisme sans le plus redoutable moyen de coercition, alors comment empêcher les accapareurs et les profiteurs d’abuser… Du moins une partie d’entre eux ? …
Et, la Terreur ou le Bolchevisme restaurés dans leur version d’origine, donc, avec la guillotine ou les goulags, cela n’empêcherait pas les accapareurs et les profiteurs de prospérer, et à des innocents de périr dans le lot des condamnés…
Alors que faire? Qu’instaurer sur cette Terre ?
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La littérature et la vie
- Par guy sembic
- Le 13/10/2020
- Dans Articles
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… La littérature est la preuve que la vie ne suffit pas ( Fernando Pessoa, écrivain et poète Portugais né le 13 juin 1888 décédé le 30 novembre 1935, Lisbonne )…
Bien sûr, sans la littérature et sans l’art, il resterait la vie, la vie avec le travail, les activités humaines pour l’essentiel pragmatiques c’est à dire liées à ce qui est purement matériel et utilitaire , la relation avec les autres tout aussi pragmatique, tous les événements des plus banals aux plus marquants dans leur réalité brute, oui…
Et ce qui fait la littérature donnant la preuve que la vie ne suffit pas telle que l’on la vit et la voit en l’absence des livres et des œuvres d’art … C’est le regard que l’on porte sur les activités humaines, sur le travail, sur la relation avec les autres, sur tous les événements des plus banals aux plus marquants ; ce regard que l’on porte et qui nous fait exprimer ce qui va être lu et vu par les autres … Et avec le regard, ce que l’on apprend et la manière dont on l’apprend et qui va constituer une base de connaissances…
Néanmoins ce regard que l’on porte n’est pas forcément la preuve qui fait la littérature – ou l’art…
À dire vrai ce regard que l’on porte n’a peut-être pas encore fait la littérature ou l’art dans sa “version” la plus achevée… Juste une “version” somme toute, qui a mis “un peu plus de vie à la vie”, ce qui est un début… Dût-ce le début durer “une éternité”…
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Claire Andrieux, film d'Olivier Jahan
- Par guy sembic
- Le 11/10/2020
- Dans Anecdotes et divers
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… Sur Arte, le vendredi 9 octobre 2020 à 20h 55, un film d’Olivier Jahan, avec Jeanne Rosa dans le rôle de Claire.
Qualifié d’ “humoristique”, ce film, en fait, n’a d’humoristique que le “charme” et que le comportement déconcertant de Claire, une femme indépendante, blessée…
Il s’agit en réalité d’un véritable drame, celui d’une femme qui, entre 11 et 13 ans, a été violée par son oncle qui a abusé d’elle durant deux ans, en se livrant sur elle à des actes de sodomie et autres gestes et pratiques inqualifiables.
À l’âge de 40 ans, toujours célibataire et réfractaire à tout geste d’attouchement fût-ce un simple baiser ou caresse ou manifestation de tendresse, elle rencontre Bruno, un régisseur en repérage pour un film, qui loue par l’intermédiaire de Claire, alors agent immobilier, une maison en Bretagne.
Cette rencontre peu à peu, sur fond de comportement déconcertant de Claire, et de personnalité atypique de Bruno, va “changer la donne” et avoir au final, un dénouement heureux…
Ce film met en lumière et de manière très réaliste le problème qu’est la relation incestueuse et de caractère pédophile, entre une ou un pré adolescent et un familier, un proche pouvant être un oncle, un grand frère, un grand père, un ami de la famille, voire un père…
Il existe en effet comme une sorte d’ “omerta” de silence, de non dit, de peur de dénoncer, de se confier, pour un enfant, un adolescent, mais aussi des témoins qui sont la mère ou le père, ou des voisins, des amis… Une “omerta” qui est un véritable drame, un scandale, dont il faut absolument pouvoir enfin “lever le voile” et en faire un “sujet de société” – et de relation humaine entre proches – à prendre en compte avec urgence et moyens mis en œuvre pour éradiquer ces pratiques de caractère sexuel sur des mineurs…
Cela est bien trop grave, beaucoup trop grave, pour “ne pas en parler”, demeurer dans cette “omerta” scandaleuse, révoltante…
Beaucoup trop grave parce que cela détruit des vies, ces vies qui vont être celles, adultes, de ces enfants, de ces adolescents qui ont subi des violences sexuelles de proches, dans leur famille, d’amis ou de connaissances, presque toujours des hommes – parfois aussi des femmes mais par complicité ou association avec un compagnon, un mari, un frère…
Certes, le “problème” ne date pas d’hier … Seulement autrefois, avant le 20 ème siècle, l’enfant dans la société était moins protégé qu’il ne l’est aujourd’hui, en ce sens que de nos jours, la parole de l’enfant est prise en considération, notamment par les autorités en place (police, justice, organisations de défense des droits de l’enfant)…
Au 19 ème siècle, ou avant, par exemple, un enfant de huit ans qui se serait plaint que “tonton m’a touché le zizi”, eh bien non seulement l’on n’aurait pas considéré sa plainte recevable, mais de surcroît il aurait été battu, accusé de mensonge, et puni…
Et au 19 ème siècle et avant, il n’y avait pas même d’ “omerta”, mais l’acceptation tacite d’un “état de choses” considéré “normal” ou naturel…
Naturel? Parlons en : la pédophilie n’existe pas chez les animaux, seulement chez les humains. En effet, un mâle (chat, chien, âne, cheval, taureau, lapin, rat, souris, hamster, verrat (porc), chacal, etc. … ) jamais n’a de relation sexuelle avec l’un de ses petits, qui n’a pas encore atteint le stade de maturité. D’ailleurs, la relation sexuelle chez les animaux est essentiellement objectivée par la reproduction…
Non à l’ omerta quoiqu’il en coûte ! Osons enfin – plus qu’on ne le fait – dénoncer, témoigner… Et que la Justice soit plus intransigeante pour les actes de pédophilie !
Un grand frère? Un oncle? Un papy? Un grand ami de la famille ? Merde alors ! Dehors! En taule! Au tribunal! Exclu de tout rapport avec un enfant ou un adolescent! Isolé, enfermé ! Quand bien même ce “proche” ou ami serait un personnage charismatique, avec “une belle âme ou une grande pensée”, influent par sa position sociale ou le métier qu’il exerce, l’aura qui pourrait être la sienne dans la famille !
En pédo y’a plus d’aura, y’a qu’un type à exclure de son entourage !
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Le silence dans ses deux sens : le sien et celui des autres
- Par guy sembic
- Le 09/10/2020
- Dans Pensée, réflexions, notes, tags
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C’est peut-être un silence heureux
Mais il ou elle ne le sait pas
Il ou elle ne le saura sans doute jamais
Il ou elle pense que c’est un silence d’indifférence
Un silence malheureux
Mais son silence
Ce silence qui serait le sien
S’il lui était imposé
Ou seulement conseillé
Il ou elle ne s’y résoud jamais
Ou s’il le manifestait
Ce silence de lui ou d’elle
Il se ferait tel un bras d’honneur
En face de ces visages qui jamais ne se montrent
Jamais n’ont le moindre regard
Mais que dire de son silence
Qui est autant le sien
Que celui des autres
Que dire de toutes ces non réponses
À ce qui peut-être est attendu
Oui que dire de ce silence qu’il ou elle dénonce
Et qui est peut-être plus malheureux
Venu de lui ou d’elle
Que celui que l’on lui fait
Pour autant qu’il soit malheureux
Ce silence des autres qu’il ou elle dénonce
Il y a aussi ce silence de lui ou d’elle
Qui ne devrait point être
Mais qui est pour des raisons particulières
Et ne peut être exprimé
… Si cette réflexion que je fais au sujet du silence, est une “réflexion philosophique qui serait réservée aux philosophes”, alors je dirais que les philosophes, notamment ceux qui ont fait des études supérieures - ce qui n'est nullement mon cas- ont -en général pour ne pas dire "presque toujours" - un langage différent du mien, un langage "bourré" de termes et de formulations qui, non seulement me sont étrangers, mais parce qu'ils me sont étrangers et que je les ignore "souverainement", que je n'emploie donc jamais... De ce que je dis là, l'on pourrait en déduire que ma "philosophie" est "relativement compréhensible au commun des mortels "... Reste cependant, le "niveau" de réflexion - par des "chemins de pensée" sans doute difficiles - mais dont les contenus font état, disons, de "choses essentielles" qui sont souvent "éludées" (hélas)...
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L'amertume, un boulet que l'on traîne
- Par guy sembic
- Le 08/10/2020
- Dans Pensée, réflexions, notes, tags
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… C’est la conscience de ce qui existe en soi, d’une partie de ce que l’on dénonce et combat, qui fait le plus défaut dans ce que l’on exprime souvent haut et fort et avec une grande conviction, une grande sincérité…
Pour autant, cependant, que cette conscience se manifeste…
Ainsi en est-il, par exemple, de l’amertume, qui est peut-être, de tout ce que l’on pourrait dénoncer et combattre, mais que peu dénoncent et combattent à vrai dire, ce qu’il y a de plus ancré en soi et de plus difficile à éliminer…
Tant qu’il demeure en soi de l’amertume, il ne peut y avoir de véritable indépendance d’esprit, de véritable liberté, et forcément ce que l’on exprime, quelle qu’en soit la formulation, est impacté par ce qu’il y a d’amertume en soi qui n’a pu être éliminé…
… L’on peut aussi en dire autant à propos de l’hypocrisie : il en demeure assez en soi pour infirmer ce que l’on exprime avec autant de conviction et de sincérité…
La conscience en soi de ce qui demeure d’amertume, d’hypocrisie -entre autres “boulets” que l’on traîne , c’est - peut-être – déjà le commencement d’un chemin de liberté…
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La loi 2010 du 11 octobre 2010
- Par guy sembic
- Le 08/10/2020
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… Cette loi relative à la dissimulation du visage dans l’espace public, interdit le port d’une tenue destinée à cacher son visage.
Si le port du masque (protection contre la propagation du covid) est obligatoire dans l’espace public notamment dans les lieux clos ainsi que dans les espaces ouverts très fréquentés, et si le non respect de cette obligation est passible d’une amende de 135 euros… Selon le texte de la loi numéro 2010 du 11 octobre 2010, le fait de porter, en plus du masque qui lui, est obligatoire, des lunettes de soleil ET un bonnet, un chapeau, un béret ou une casquette, ce qui alors dissimule complètement le visage, devrait être passible d’une amende de 135 euro…
… Bon, nous avançons vers une saison moins ensoleillée (pour les lunettes de soleil)… Mais il n’en demeure pas moins que beaucoup trop de personnes à mon sens, autant des femmes que des hommes, dans l’espace public, et cela quelque soit le temps qu’il fait, et même dans des lieux de passage d’espaces commerciaux ou autres lieux où il n’est pas nécessaire de se protéger les yeux, portent des lunettes de soleil, des casquettes, chapeaux, bonnets…
Sans le masque je trouve que “ça pouvait encore passer” – quoique… Mais avec le masque, là, cela devient insupportable ! …
Et si ce sont ces mêmes personnes affublées de lunettes, de casquettes, de chapeaux, de bonnets et en temps de covid avec le masque, qui critiquent des femmes et des jeunes filles de religion musulmane portant un foulard, un voile ne dissimulant pas pour autant le visage… Que penser de l’incohérence de ces lunettés masqués casquettés qui critiquent les femmes et jeunes filles musulmanes portant foulard sur leurs cheveux ou voile sans cacher leur visage ? …
Bon évidemment, si en plus du foulard, du voile, du masque, il y a aussi des lunettes de soleil, là, “ça va plus du tout” !
Franchement, dites-moi : le type (ou la typesse) sur la photo, il -elle – ressemble à quoi ? …
Mais bon, pour une réclame de saucisson cochonou, peut-être… (rire)…
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La petite main, le petit cœur
- Par guy sembic
- Le 07/10/2020
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… Il y aurait de quoi s’interroger à la vue de la petite main blanche dans le petit rond bleu, ainsi que du petit cœur blanc dans le petit rond rouge, avec à côté à droite un nombre souvent à 2 chiffres voire 2 sinon un ou deux chiffres suivi de la lettre K… (Sur Facebook).
Je suppose que la lettre K signifie “par 1000” comme “Kilo-euro” (jadis au temps du Franc on disait “Kilo-franc”)…
Faut-il comprendre que l’absence de cette petite main blanche dans le petit rond bleu (et idem pour le petit cœur blanc dans le petit rond rouge), ou apparaissant mais avec seulement 1 chiffre, et jamais la lettre K… Signifierait que le message ou le texte publié -avec éventuellement une photo ou une image – serait sans intérêt? Ne susciterait qu’une indifférence crasse ? Révèlerait une tendance de notre société consumériste et individualiste à ne pas réagir , à comme on dit “zapper”? …
Ou bien, au contraire, avec 2, 3 chiffres à côté de la petite main et du petit cœur, serait la marque d’une manifestation- réaction publique équivalente à un tonnerre de claquements de mains et de pieds dans un “Zénith” (avec la lettre K à côté des 2, 3 chiffres) … Ou tout au moins la marque d’une adhésion tacite de quelques “ami(e)s” à ce qui a été vu ? …
… Faudrait-il plutôt “comprendre autrement” ? … Donc, “autrement” que dans le sens “convenu” ? …
Faudrait-il croire en cette vertu que peut avoir le silence à s’assimiler à un langage ? Un “langage réponse” ayant une toute autre signification qu’un tonnerre de claquements de mains et de pieds ?
… Il est à peu près certain que, dans une pensée “convenue” ou plus précisément “tacitement convenue”, l’absence de la petite main et du petit cœur, et raison de plus sans 2 ou 3 chiffres à côté… Signifie “indifférence” ou “sans intérêt”…
La pensée “convenue” ou “tacitement convenue” est une mer agitée de vagues sur lesquelles on surfe sans exécuter forcément des figures de haute voltige… Sauf que – “détail important” – la mer est complètement gelée avec des vagues pétrifiées et que les regards des surfeurs ne se portent pas même jusqu’à une ligne d’horizon, qui, entre des lignes de crêtes déchirées, serait visible par endroits…
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Les deux côtés du "tableau"
- Par guy sembic
- Le 05/10/2020
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… D’un côté la culture, la volonté d’agir, la conscience des réalités du monde (en particulier de la réalité environnementale), les savoirs partagés et communiqués, les projets relatifs à l’ organisation et à la gestion du monde de demain en ce qui concerne les humains et leurs activités, les êtres vivants, les ressources de notre planète, la société… Tout cela dans des conférences, réunions publiques, débats… Je pense en l’occurrence en ces 2, 3 et 4 octobre 2020, au Festival International de Géographie de Saint Dié dans les Vosges, dont le thème cette année est le climat ( le changement climatique et tout ce qu’implique ce changement)…
… D’un autre côté ( et en ces mêmes jours 2, 3 et 4 octobre 2020) cette catastrophe climatique d’une ampleur et d’une violence considérables qui vient de s’abattre sur le haut pays niçois, sur plusieurs vallées et habitats humains dans les Alpes méridionales.
De cet autre côté, aussi, récemment, le même phénomène climatique ( “épisode pluvio -orageux méditerranéen”) dans le Gard ; les incendies dans le département des Alpes maritimes, en Grèce, en Orégon et Californie aux USA, en Amazonie, en Indonésie, et d’octobre 2019 à février 2020 en Australie…
Que peuvent penser des milliers, des dizaines, centaines de milliers de gens, affectés, tragiquement impactés dans ces catastrophes climatiques que sont incendies et inondations sur des territoires pour certains, plus étendus que la France… Que peuvent penser les habitants du Gard et les habitants de ces vallées du haut pays niçois, qui par dizaines n’ont plus de maison, ont perdu tous leurs biens, n’ayant sur eux que ce dont ils sont vêtus, réduits à des “réfugiés climatiques” qu’il faudra bien accueillir quelque part, et devront peut-être “refaire leur vie” ailleurs que dans le pays où ils ont leurs racines, leur passé, leur histoire? …
Oui, que peuvent penser les habitants éprouvés, en situation de détresse, du haut pays niçois, en ce 4 octobre 2020 troisième jour du Festival international de Géographie se tenant à Saint Dié dans les Vosges ? … De ces conférences, rencontres entre géographes et public où sont conviés des journalistes, des écrivains, des personnages “influents,” certes tous conscients dans une “volonté d’agir et d’organiser le monde de demain dans un environnement de changement climatique ? …
… Ce sont là deux côtés d’un “tableau”, l’un de couleurs et de formes avec du contenu, qui incite à l’espérance, parce que les couleurs et les formes interpellent le regard de l’observateur de la même manière qu’une trouée de ciel bleu apparaissant dans la masse nuageuse, et l’autre de concrétions aiguës, de crevasses, de déchirures, de couleurs délavées ou d’un noir, d’un rouge, d’un bistre, aussi violents pour l’œil qu’une brusque éclaboussure aveuglante et brûlante…
Mais le “tableau” dans son ensemble, dans son unité, est un “tableau raté”… Un “tableau raté” dont il sera de plus en plus difficile d’extraire ce qu’il reste de beauté, d’immaculé, encore présentable, prometteur et utilisable dans les “galeries” suivantes pour autant que ces “galeries” puissent se tenir…
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Donald Trump testé positif au covid
- Par guy sembic
- Le 03/10/2020
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… Une “personne à risque”, comme disent les épidémiologistes à propos de la pandémie de coronavirus qui sévit depuis fin 2019…
1 mètre 90, 110 kilogs, né le 14 juin 1946, âgé en 2020 de 74 ans…
Une masse !
Il a donc plus de “chances” (probabilité) de développer une forme “relativement grave” sinon même “très grave” de la maladie, qu’une personne âgée de 30 ou 40 ans…
Rappelons que Boris Johnson né en 1964, âgé de 56 ans en 2020, le premier ministre du Royaume Uni de Grande Bretagne, avait développé une forme “sérieuse” de la maladie au printemps dernier…
Je ne souhaite cependant à personne – en l’occurrence au Président des États Unis d’ Amérique, de “choper cette saloperie de covid dans une forme grave”… Pas plus que je ne le souhaite, d’ailleurs, au président du Brésil Jair Bolsonaro, à Recep Tayyip Erdogan le président Turc, ou encore à Alexandre Loukachenko le président de Biélorussie… Personnages pour lesquels je n’ai aucune sympathie et que je souhaiterais voir éliminés du Pouvoir…
… À l’heure de la plus grande souffrance qui précède la mort – en l’occurrence quand on meurt du corona ou plus exactement, avant d’être intubé et mis dans un coma artificiel quand on se trouve en détresse respiratoire et fièvre de plus de 40 degrés (une détresse respiratoire équivalente à ce qu’on ressent en se noyant) – quoique l’on ait été ici ou là dans le monde, quoique l’on ait fait ou pas fait, à l’heure de la déchéance physique, de la souffrance et de la mort, l’être humain est alors dans le même état qu’un tout petit enfant qui aurait été abandonné au pied d’un arbre dans une forêt en plein hiver…
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Covid, tu m'emmerdes !
- Par guy sembic
- Le 03/10/2020
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… S’il faut désormais au restaurant, inscrire son nom, son adresse, donner son numéro de téléphone, afin de pouvoir éventuellement être identifié “cas contact covid” , c’est là pour moi une raison supplémentaire de ne pas me rendre dans un restaurant ou même dans un café, où des personnes présentes en salle ou en terrasse peuvent être porteuses du virus…
Déjà, de toute manière, depuis le 2 juin dernier, date à laquelle les cafés et les restaurants ont repris leur activité, je ne me suis rendu nulle part, sauf pour des courses alimentaires et autres relatives à des achats indispensables, en des lieux publics fermés ou ouverts, des cinémas, des théâtres, des fêtes, des manifestations culturelles, des assemblées diverses de personnes…
Je n’ai aucune envie d’être identifié “cas contact” et, en conséquence, de devoir m’isoler – une semaine ou quinze jours de “taule”… D’ailleurs sur cette question d’isolement, je suis très sceptique en ce qui concerne les modes d’application, comment on est “pris en charge”, si on vient porter à manger, comment on fait si on a besoin de quelque chose (je pense par exemple à une bouteille de pinard, ou de bière, à une connexion internet wifi ou 4G, des bouquins, des revues de mots croisés, des clopes)… Parce que si la “taule” c’est ça, privé empêché ceinture en plus de ne plus voir personne, merci, j’en veux pas de cette “taule” !
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Hememene
- Par guy sembic
- Le 03/10/2020
- Dans Anecdotes et divers
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… À défaut de ces ennemis qui je dois le dire, ne sont pas si nombreux que cela, ou de ces maîtres et autres personnes “bien intentionnées” dont il m’arrive de contester la sévérité, comme par exemple ce maître d’école qui me tapait sur le bout des doigts avec une règle de fer quand j’étais âgé de dix ans, mais ne m’avait pas pour autant puni le jour où j’ai renversé la table, de colère mais pas de haine… Je m’invente “Hememene” une sorte d’ “ennemi intime” qui, de temps à autre me botte le derrière et, mine de rien, sans que je m’assagisse ou bien me résolve au silence, finit toujours par donner au regard que je porte, plus de champ, parfois jusqu’au delà de l’horizon… Alors je comprends que ce “Hememene” n’est plus vraiment un ennemi… Que serais-je sans lui ?
NOTE : j’ai eu un copain qui, dans son enfance, terrorisé qu’il était par sa marâtre le menaçant de “Leuleu”, sorte de fantôme effrayant et punitif chaque fois que mon copain faisait une bêtise ou ne se pliait pas à la volonté de sa marâtre ; avait “une peur bleue” de ce “Leuleu” qui, à la grande différence de mon “Hememene”, était, lui, un vrai ennemi…
C’est le souvenir de ce “Leuleu” de mon copain, qui m’a donné l’idée d’un “Hememene”…
“Étymologiquement parlant” si je puis dire, “Hememene” vient de “mmm”, d’un membre d’un forum du Net qu’en 2005 je fréquentais, qui m’ avait laconiquement pourfendu… Ce membre, comme d’ailleurs beaucoup dans les forums ne souhaitant pas apparaître sous leur nom véritable, avait pris pour pseudo “mmm” ! (“il s’était pas foulé la rate” – rire )! …
C’est “un peu pour ça” aussi – entre autre – que je ne suis guère “très copain” avec les pseudos et les avatars (ces logos imagés ou sortes de gifs non animés censés représenter le personnage qu’on est par un trait de caractère ou une passion affirmée, un hobby) …
… Et, “de fil en aiguille” ce “Hememene” inventé, est devenu en quelque sorte mon “ennemi intime”, une espèce de “gendarme intérieur”…
Voici donc… Pour la “petite histoire” …
… Cela dit, le “gendarme”, “il a tout de même l’esprit large” … Ou bien je déroge à sa “politique, droit dans les bottes et devant son nez et sa barbe” !
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Black Friday
- Par guy sembic
- Le 03/10/2020
- Dans Anecdotes et divers
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… Une mesure à prendre contre la propagation du virus : supprimer les "blacks Fridays" de décembre !
S'attaquer à la surconsommation me semble plus juste que s'attaquer à la convivialité (la convivialité des bars et autres lieux de rencontres en général amicales)...
Faites le compte entre d'une part les millions de "black-fridayors" à l'assaut des grandes enseignes des surfaces commerciales, et d'autre part le nombre de personnes prenant un verre à la terrasse d'un café partout en France…
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Ni pour ni contre
- Par guy sembic
- Le 03/10/2020
- Dans Pensée, réflexions, notes, tags
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Ni pour
Ni contre
Mais parfois
Anti pour
Anti contre
Ni avec
Ni sans
Mais parfois
Le clin d’œil des avec
Le clin d’œil des sans
Une manière
De s’y retrouver
Si l’on veut
… Cela dit, la chauve souris qui montre ses ailes aux oiseaux, ou qui montre ses dents aux souris… No no non…