Articles de yugcib

  • Collusion entre pouvoir et argent

    ...Chez les poudrés et les perruqués du 18 ème siècle l'on parlait un beau langage qui ne rendait pas la puanteur de l'immoralité, la richesse insolente et la brutalité des agissements, plus supportable qu'aujourd'hui, l'indécence, l'outrecuidance, l'obscénité et la même richesse insolente des puissants et de leurs lieutenants et servants qui parlent un aussi beau langage articulé de morale…

    Alors que s'accroissent autant les inégalités de richesse que de destin entre les humains partout dans le monde, qu'une collusion devenue évidente entre le pouvoir et l'argent, que la prépondérance de l'avidité privée sur le bien public s'impose, que le mensonge d'état s'organise et que sont laminées les institutions démocratiques… Jamais les puissances médiatiques influençant l'opinion publique, jamais les « crieurs de vérités » n'ont autant mis en avant devant les foules et partout où quelques personnes se rencontrent en un lieu quelconque, ces « problèmes du temps » que sont aujourd'hui ceux causés par les méfaits de l'immigration non ou mal maîtrisée dont le plus en vue de ces méfaits est celui de l'islamisation de la société en France et dans l'Europe de l'Ouest… De telle sorte qu'en face de ce dont il est « juste » de s'inquiéter, il y a cet autre problème « mis comme en sourdine ou en arrière plan » celui de l'explosion des inégalités sociales entre les plus riches et les plus pauvres, de l'indécence des dividendes servis aux actionnaires et de la rémunération du capital par rapport au travail, de l'inégalité qu'il y a encore entre les hommes et les femmes notamment en ce qui concerne les salaires…

    Pendant que les gens débattent et se déchirent sur ces questions d'immigration et d'islamisation qui « empoisonnent » notre quotidien de vie… Ils « pensent un peu moins » au pouvoir exorbitant des lobbys, des dominants, des financiers, des actionnaires qui eux, soit dit en passant, prennent les flux migratoires pour du pain bénit (main d'oeuvre corvéable à merci et d'un coût peu élevé), et l'islamisation de la société comme un « heureux pis aller » diversifiant davantage le Marché…

     

     

  • Télés Idoles Cultes et Marchés

    Grosjacques Tionnert aux cabins !

    Que la Bouse s'emplisse de mouches et s'aplatisse plus bas que le pied des champignons  vénéneux !

    Les Idoles et les Cultes piétinons !

    Les Télés cassons !

    Et les Marchés boudons !

    Une boule puante géante sur le parvis des Tours de la Défense et du rouge à lèvres caca de putois pour les hôtesses d'accueil au joli minois des grands hôtels et des salles de conférence !

    Merde au branché, au consulting, au phoning, au traîning et aux pubs !

    Les Prix et les médailles à la casse et l'Ordre du Mérite avec les Mythes et les Marques à la poubelle !

    Les confessionnals en tas de bois de chauffage et les cloches pour sonner à la volée un tocsin à crever le tympan de tous ces dieux qui déchirent le ciel !

    Une trompette de Jéricho comme mille avions du mur du son contre tous les klaxons rageurs de tous les automobilistes névrosés !

    Fric-Roi, Loi-Roi, Politic-Roi et Ennemour-Roi roulés en torches au bout de piques et haut flambés sous ce ciel déchiré qui ne pleut que des étoiles têtes d'épingle !

    Coups de bâton sur les doigts de fée qui sentent le sexe sale !

    Et coups de balai sur les saletés monsantosanofiques !

    Et de grands feux de nounours et de pèrnohaux devant les Gifi et Foirfouille les Black Friday de l'Avent !

    Mais Bazouka de sauce tomate brûlante sur les Kasseurs en avant des manifs, chaussés de godaces à 300 euro !

    Anarchie en vestes de cuir et bottes et pulls grande marque, t'es pas la bienvenue, t'es une insulte à l'anarchie !

     

     

  • Dans un temps d'élaboration des nouvelles technologies

    ... Nous sommes depuis 2008 et pour encore quelques années au delà de 2018, dans un temps où s'élaborent les nouvelles technologies, celles – on peut se poser la question- qui feront quel genre de vie au quotidien, pour les hommes et les femmes que seront devenus en 2030/2040 et au delà, les enfants et les adolescents, les jeunes adultes d'aujourd'hui...

     

    Quel quotidien, quels marchés nouveaux, quelles perspectives d'avenir, quelle place pour l'Homme (l'humain) dans la société, quels métiers, quelles activités, quels rêves, quelles aspirations, quelle relation entre les humains, quelle culture, quelle "mécanique" de la société, de la consommation de produits et de services ? ... Comment se déplacera-t-on, comment travaillera-t-on, dans quelles maisons ou lieux d'habitation vivra-t-on ?

     

    Les nouvelles technologies qui s'élaborent et dont certaines sont encore "dans les cartons" sont celles de l'intelligence artificielle, de la robotique, de la génétique, du transport aérien et terrestre, de la médecine, des moyens et équipements de communication et d'information...

     

    Les "grands gagnants" de cette mutation technologique, de ces nouveaux marchés qui s'ouvrent dans un monde où des pays de traditions et d'économies anciennes se développent en l'espace d'une seule génération c'est à dire une vingtaine d'années... Les "Grands Gagnants" sont les lobbys de l'industrie et de l'agro-alimentaire, les élites dirigeantes en politique et économie, les décideurs de banque et de finance...

     

    Et les "Grands Perdants" sont les peuples, qui n'ont que leur capacité à servir, à travailler, à consommer ce que les "Gagnants" leur concèdent... en gavant les gens de toutes sortes de "gadgets, de joujoux, de dadas-tu mets 2 euro dans la fente ça te branle cinq minutes"...

     

    Les nouvelles technologies qui s'élaborent, avec ces marchés qui s'ouvrent et ces lobbys de plus en plus puissants qui dominent ; le type de société et d'économie qu'elles fondent, dans un libéralisme dévoyé d'une violence sans cesse accrue et avec des privilégiés de plus en plus arrogants ; les servitudes qu'elles mettent en place, les résistances qu'elles étouffent... Ont en l'espace de deux générations (entre 1990 et 2010 dans un premier temps "transitoire", et depuis 2010 dans un temps d'élaboration), effacé peu à peu ce qui demeurait encore à la fin du 20 ème siècle, des acquits de la Révolution Française de 1789... Que même un Louis Philippe roi des Français de 1830 à 1848 et un Napoléon III empereur des Français de 1852 à 1870 n'avaient pu effacer... Et que la constitution de 1958, que les régimes 5 ème république de Charles De Gaulle, Georges Pompidou, Valéry Giscard d'Estaing, François Mitterrand, Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy et pour finir "on va dire" jusqu'à François Hollande... Avaient "en partie" conservé !

     

    Depuis 2017/2018 on peut dire que tout ce qui restait encore des acquits de la Révolution Française de 1789 est en train de disparaître ou de se déliter... Et qu'une "nouvelle grande révolution" s'avèrerait nécessaire...

    Est-ce que ce serait "plus difficile" qu'en 1789?

     

     

  • Le feu qui brûlait dans le fourneau

    ... "L'angoisse de la page blanche" ou le manque d'inspiration, le "vide" en somme, qui vient un beau matin, pour celle, celui qui s'exprime... Et se retrouve devant son bol de café, sans mots, sans idée, la "panne sèche" quoi !... Et n'a pas encore allumé son ordinateur (il, elle se demande d'ailleurs s'il, elle va l'allumer, l'ordinateur)... Ah, cette "bonne question" qui, à vrai dire n'en est pas vraiment une puisque -en principe- "ça revient"... (enfin jusqu'à présent c'était toujours revenu)...

    Ce feu de la veille qui brûlait dans le fourneau et dont la chaleur emplissait la pièce et qui au petit matin, sans braises encore incandescentes ne repart point... S'il repartait ce feu ? Mais de quelle flamme incertaine ? Et de quelle portée calorifique ?... Et pour quel (s) visiteur venu du dehors, qui "pointerait le bout de son nez" ?

    Il y a dehors ces bois, ces champs, ces chemins, ce grand ciel, ce vent, ce soleil qui invitent à s'éloigner du fourneau refroidi... Et à éviter cette fatigue qui viendrait après avoir fait revenir en soufflant et tisonnant, une flamme qui n' éclairerait aujourd'hui pas grand chose autour d'elle ? ...

     

  • "Elle a fait son oeuf, la poule" !

    ... Il y a -je trouve et je le dis- une certaine indécence à "cocoricoher" sur la Toile, à "y aller de sa petite musique du jour", à produire son "scoop du jour" (par exemple la photo de famille au départ d'une croisière Costa ou MSC en Méditerranée, ou "sa pomme en une réunion pour fêter ceci/cela")... et à faire toutes sortes d'annonces d'événements personnels particuliers... Le jour même où une catastrophe s'abat sur plusieurs villages, où près de chez nous des gens souffrent, perdent tout ce qu'ils possèdent, voient leur maison s'écrouler, meurent ou voient mourir un proche...

    Oui, une certaine indécence !

    Comme si l'on ne pouvait pour un temps, ne serait-ce que durant une journée, à la connaissance d'une catastrophe qui frappe une population dans notre pays ou dans une région proche... "fermer le cinéma" !

    Certes la poule chez le voisin dans le coin de jardin clôturé où elle gratouille du matin jusqu'au soir, de son bec ; dès qu'elle fait son oeuf, elle chante, qu'il pleuve qu'il vente qu'il fasse soleil -sauf tout de même sous l'orage...

    Et c'est bien cela, il faut le dire c'est la vérité : l'orage pète, la grêle s'abat, des toitures s'envolent quand passe la tornade, une vieille dame, un petit enfant sont emportés dans le flot furieux d'une rivière en crue... Mais la poule à deux pas du lieu où pète l'orage, toute gaillarde qu'elle est, elle fait son oeuf et y va de son cot'cot' codec" !

    C'est vrai, qui n'a point "son oeuf à faire" !

    Cependant, le poète, l'écrivain, l'artiste, et plus généralement celui ou celle qui donne ce qu'il a de son mieux autour de lui quand il le peut... Et cela d'autant plus qu'il est un témoin de son temps, ne cesse de s'exprimer, de produire... En dépit de ce qu'il y a de vain et de dérisoire en ce monde...

    Je vous demande pardon pour "l'oeuf" qu'est ce texte que je viens d'écrire...

     

  • L'identité culturelle

    ... Ce qui fait (ou fonde) une "identité culturelle" pour un peuple, une nation, une communauté de personnes, une "ethnie", une civilisation... Ce sont les souvenirs communs, les traditions, le passé historique, la religion, les croyances, le mode de vie, la pensée, le langage .. Tout cela constituant cette "identité" différente d'une autre "identité"... Et ne pouvant qu'être défendue, promue, maintenue autant que possible dans le temps, dans la durée...

    Mais doit-elle être pour autant "défendue à tout prix", cette identité ? Défendue parce que, de toute évidence, lorsqu'elle se délite ou se défait par la venue d'autres identités différentes, cela modifie le quotidien de vie d'un peuple, d'une nation, d'une communauté de personnes, d'une civilisation, d'une société qui jusqu'alors se fondait sur les mêmes repères culturels ?

    Je pense à ce que sera la France et à ce que seront les pays d'Europe ainsi que d'autres régions du monde lorsque les flux migratoires en évolution et en importance croissantes auront brassé toutes les cultures... Et, surtout en Europe notamment, lorsque les cultures venues d'Afrique et du Moyen Orient et d'Asie, avec leurs religions, leurs traditions et leur mode de vie, auront modifié le "paysage social et culturel" -et sans doute politique- de l'Europe...

    Est-ce que sera "mieux ou pire" qu'aujourd'hui, ou qu'avant ?

    Il me semble qu'une identité culturelle doit être défendue pour ce qu'elle peut apporter autour d'elle, et en même temps reliée aux autres identités qui lui sont devenues voisines et coexistantes...

    Autrement dit, elle ne doit pas être défendue comme on défendrait une forteresse au sein de laquelle on se retrancherait, on s'isolerait (ce qui finit toujours en général assez mal du fait de la pression et de la violence exercée par les "assaillants" d'une part, et la même pression et la même violence exercée par les "défenseurs" d'autre part lors de sorties ou d'actions combattantes contre les "assaillants")...

    Au delà des "repères" que sont les traditions, les religions, l'Histoire vécue, les croyances, les modes de vie, au delà de tout ce qui fait une culture, une identité, un peuple, une nation, il y a ce que je définis comme étant une "culture de la vérité scientifique"(donc, de la connaissance des êtres et des choses dans leur réalité) , universelle, naturelle, intemporelle, qui fonde et entretient et fait évoluer la relation entre les êtres et les choses dans la diversité et dans la complexité...

     

     

  • Les trois pressions conjointes de l'activité humaine sur la planète

    ... Le poids de l'activité humaine, de plus de sept milliards d'hommes et de femmes, et de bientôt dix milliards, sur cette planète, s'exerce désormais -et pour combien de temps encore- en trois pressions conjointes :

    -La pression sur l'écologie de la planète (sur le climat, sur les ressources naturelles, sur la biodiversité)

    -La pression démographique accélérée et inégale selon les lieux et territoires où cette pression s'exerce

    -La pression du numérique, de la robotique, de la technologie

    Les conséquences de cette conjonction entre trois pressions rendent de plus en plus problématique le maintien de la vie sur Terre... Le "signe" le plus évident étant déjà celui d'une biodiversité en "chute libre" puisque nous assistons actuellement, deux millions d'années après le début de ce que l'on appelle le "quaternaire" (qui soit dit en passant fait partie du "Cénézoïque" ayant débuté il y a 65 millions d'années) à une sixième grande disparition des êtres vivants qui elle, est en train de se faire avec une rapidité sans équivalent si on la compare aux cinq précédentes disparitions d'êtres vivants qui se sont faites en un temps chacune, de plusieurs milliers d'années voire de quelques millions d'années...

    ... Le seul "point positif" de "cette affaire là", c'est qu'aucune grande disparition d'êtres vivants (c'est vrai pour cinq d'entre elles avant celle d'à présent) ne s'est faite à 100%, le maximum ayant été de 95%...

    Sans doute en sera-t-il de même pour la sixième...

     

    NOTE :

    -1ère grande disparition : fin du Cambrien, vers -480 millions d'années

    -2 ème : fin de l'Ordovicien vers -444 MA

    -3 ème : Au Dévonien vers -385 MA

    -4 ème : A la fin du Permien vers -252 MA

    -5 ème : Fin du Crétacé vers -65 MA

    ... Les 4 premières étant situées durant le Paléozoïque (ère primaire)...

     

     

  • Les artificiers des jeux de scène et les Grands Témoins de l'Histoire

    ... Ceux qui racontent l'Histoire et, ou s'expriment sur des faits d'actualité, sur des événements, en somme qui parlent du monde tel qu'ils le voient, en tant qu'auteurs d'ouvrages ; écrivains, journalistes, chroniqueurs, gens de télévision, de politique, personnages des médias... Sont des gens qui, pour bon nombre d'entre eux, ont une formation universitaire, et qui, intellectuels qu'ils sont (et le font d'ailleurs savoir autour d'eux) , et du fait de leurs références, de leur statut, de leur notoriété... Et du genre de vie qu'ils ont dans leur quotidien le plus souvent entre eux dans leurs confréries ou leur milieu (un genre de vie qui est à mille lieues de celui du quotidien de millions de gens)... N'ont que le regard qu'ils portent, que la vision qu'ils ont depuis ces hauteurs où ils évoluent...

    Ainsi les Historiens les plus connus parlent-ils plus souvent de châteaux, de grands personnages et de leur train de vie, de grandes batailles où ont brillé des maréchaux ; plutôt que des gens du peuple, des paysans, des ouvriers et des soldats de seconde classe tombant sous le feu de l'ennemi...

    Ainsi les écrivains, les journalistes, les chroniqueurs, les gens de télévision, de politique et personnages des médias, parlent-ils plus souvent des grands acteurs de la vie économique, politique et sociale, de la réussite, de l'envergure de ces grands acteurs et de l'influence qu'ils ont sur la marche du monde ; plutôt que de parler du quotidien, de la vie de millions de gens du peuple, ces gens qui à dire vrai, font l'Histoire que les Grands ne peuvent faire sans eux...

    Le "progrès" qu'il y a, à notre époque (première moitié du 21ème siècle) par rapport à "avant la fin du 20 ème siècle" et à plus forte raison dans le passé historique des siècles précédents, c'est qu'il y a davantage aujourd'hui, d'écrivains, de gens qui racontent l'Histoire, qui parlent du monde et des événements en mettant en scène et à la connaissance du public, le peuple, les paysans, les ouvriers... Du fait qu'ils s'engagent, se rendent comme on dit "sur le terrain", agissent et le disent autour d'eux dans les réseaux sociaux...

    Mais il demeure encore sur cette planète, partout dans toutes les sociétés du monde, et, ce qui est dramatique, parmi les pauvres... Trop de monde à la botte et à la dévotion de ces Grands acteurs bardés de références et artificiers de jeux de scène...

     

  • Réflexion au sujet de cette question pertinente mais dérangeante "Que proposez-vous?"

    ... Cette question "Que proposez vous" pouvant être posée en face de tout ce qui se dit s'écrit se discute sur les réseaux sociaux et les blogs, et au coin de la rue, et au bistrot, et dans toutes les réunions syndicales, politiques etc... En face de tout ce qui s'exprime contre un état du monde, le gouvernement, les lobbys, le travail précaire, la pression fiscale, les injustices... Dans des manifestations, dans des grèves, dans toute forme d'opposition... Et en face du constat de l'état du monde et de la société que tant et tant d'entre nous font et refont chaque jour... Cette question "que proposez vous?" qui vient et revient toujours de la part de quelques uns d'entre nous, cette question qui interpelle et à vrai dire dérange, parce que de toute évidence la ou les réponses ne nous viennent pas, ou si elles nous viennent ces réponses elles se révèlent incomplètes, ne sont qu'un "pis-aller", que des "coups d'épée dans l'eau", que des idées de ceci de cela...

    Sans doute dans les années qui ont précédé la révolution française de 1789, où depuis des siècles régnaient l'arbitraire, le pouvoir du roi, les fastes de la Cour, où s'exerçait la puissance et la domination de la noblesse, du clergé des grands propriétaires terriens, des guildes de marchands, une fiscalité écrasante de toutes sortes d'impôts et de taxes, des famines, des guerres... Cette question "que proposez vous" a-t-elle été posée par des gens circonspects et dubitatifs dont le regard se portait sur les événements, sur les révoltes de paysans et d'ouvriers...

    De nos jours ce sont les lobbys de l'industrie, de l'agro-alimentaire, de la biotechnologie, les multinationales, les actionnaires, les banquiers, les financiers, qui exercent le pouvoir et dominent...

    La "problématique" est la même, elle a seulement changé de décor et d'environnement, les gens sont les mêmes, les pauvres comme les riches sauf qu'ils n'ont pas le même mode de vie en 2018 qu'en 1789...

    En 1789 c'étaient les gazettes et les journaux et les différentes feuilles imprimées qui circulaient depuis Paris, les villes et jusque dans les campagnes, c'étaient les marchés, les cafés, la place du village, les foires, où l'on se rencontrait et où l'on parlait, racontait ce que l'on avait vu, appris...

    En 2018 ce sont les réseaux sociaux, internet, la téléphonie mobile, les ordinateurs, les smartphones... En plus des marchés, des cafés, de la place du village, de la rue, des entrées d'immeubles, lieux publics, fêtes, festivals, spectacles où les gens se rencontrent...

    Et c'était en 1789 aussi difficile, aussi problématique, aussi quasi impossible qu'aujourd'hui de voir arriver un changement de société, de se révolter, d'essayer de mener des actions, de résister, de s'opposer, pour les millions de gens de l'époque avec derrière eux et comme "gravé dans le marbre" les traditions, les croyances, la religion, l'idée que rien jamais ne pourrait changer...

    En effet quelle différence entre la noblesse le clergé les privilégiés d'avant 1789, et les lobbys et les banquiers d'aujourd'hui ?

    Et pourtant, en 1789 lorsque fut décidée la réunion des Etats Généraux, le peuple des villes et des campagnes envoya ses représentants à Versailles où devaient siéger les trois ordres (la noblesse, le clergé, le tiers état)...

    Il faut suivre jour après jour, du 3 mai jusqu'au 20 juin 1789, tout le déroulement des travaux (des discussions) de ces états généraux, pour comprendre ce qui va enfin changer et qui ne sera plus comme avant 1789... L'entreprise qui fut celle du tiers état, de réunir à lui les deux autres ordres, semblait vouée à l'échec et effectivement le samedi 20 juin 1789, le tiers état après avoir formé avec une partie du clergé, une assemblée nationale ; cette assemblée empêchée de se réunir (l'entrée dans la salle initiale ainsi que dans les autres possibles était gardée par des troupes fidèles au roi et à l'aristocratie) , trouva la salle du jeu de paume où elle décida unanimement de ne plus se séparer et d'élaborer une constitution pour le royaume de France...

    Une masse de peuple venue de Paris et de toute la région autour de Versailles, dissuada les troupes fidèles au pouvoir royal d'intervenir, de telle sorte que l'assemblée nationale constituée put commencer son oeuvre...

    Je conseille de lire à ce sujet "Histoire d'un paysan", en deux parties, d'Erckmann Chatrian : dans la 1ère partie 1789-1792, plus de 250 pages sont consacrées aux Etats Généraux et à ce qui les a précédés...

     

    ... Est-ce, aujourd'hui, parce qu'il ne s'agit pas que de la France mais du monde... Que ce "serait plus difficile" qu'en 1789 en France ?

    L'équivalent du tiers état français de 1789, n'est-il pas l'ensemble des populations actives, travailleurs tous métiers, professions, de partout dans le monde ? Et l'équivalent de la noblesse et du clergé de 1789 en France, n'est-il pas celui des lobbys, des dominants, des décideurs et des financiers d'aujourd'hui ?

     

    ... Une simple constatation pour conclure :

     

    Ce qui fait la puissance et la domination des lobbys, c'est la consommation, et les consommateurs sont tous les gens que nous sommes... Il y a bien là "quelques leviers" (quelques actions à entreprendre ensemble) dans la consommation...

     

     

  • Boulots de merde, de Julien Brygo et Olivier Cyran

    Cvt boulots de merde 1430

    ... Du cireur au trader, enquête sur l'utilité et la nuisance sociales des métiers...

     

    ... Je vous mets au défi de trouver ce livre en Maison de la Presse ou dans un rayon de Grande Surface genre Leclerc Culturel...

    A la limite peut-être le trouve-t-on dans quelques librairies "spécialisées"... Ce qu'il y a de sûr, c'est -qu'à ma connaissance- ce livre ne fait pas l'objet de la part des Médias, d'une "grande campagne publicitaire" (et pour cause ! -vous voyez la cause)...

    Je l'ai trouvé, ce livre, au salon du livre du festival international de géographie, à Saint Dié des Vosges... Son prix est de 10,50 euro, 240 pages... Pas de quoi grever un budget même modeste !

    C'est pourtant un livre qu'il faut lire ! (Enfin, que beaucoup d'entre nous, de la France dite "d'en bas" devraient lire -je déteste ce vocable de "France d'en bas" qui date du temps où "papa Raffarin" était premier ministre sous Jacques Chirac en 2002 )...

    L'on y apprend ce que les Médias, le Gouvernement, nos députés d'En Marche et bien d'autres des "sphères politiques" ne disent pas au sujet de ce qu'est vraiment un "emploi à temps partiel" (soit disant 20 h par semaine minimum) et un "emploi à temps complet"...

    Ce qu' "ils" appellent "temps complet", les recruteurs pour ces "jobs" de manutention, de services, de vendeurs, de télé-opérateurs, de "techniciens de surface" ou même de "jobs" nécessitant quelque qualification, n'est autre que du "temps plein à 70%"... On joue sur les mots... Avec des salaires de 843 euro par mois...

    Des millions de gens en France, où le SMIG net est de 1188 euro/mois en 2018 pour 35 heures par semaine temps complet (durée légale), à commencer par les plus "fragiles" (ceux qui ne savent pas se défendre, ne connaissent pas leurs droits et sont dans des situations personnelles de souffrance et donc particulièrement exposés à la violence et aux abus exercés par les employeurs), du fait qu'ils ne travaillent pas 35 heures mais souvent 30 ou moins (à "temps plein à tant pour cent")... Vivent donc avec moins de 900 euro/mois (alors que selon l'INSEE, le seuil monétaire de pauvreté en France en 2018 est de 1026 euro/mois)... Ce qui fait 8,8 millions de pauvres en France ! (avec une partie importante des retraités, des chômeurs, des allocataires de revenus d'assistance)...

    ... Soit dit en passant, la proportion des pauvres (en dessous du seuil de pauvreté) par rapport à l'ensemble de la population, est encore plus forte en Allemagne et en Angleterre (sans compter les pays du centre et de l'est européen où les salaires sont nettement inférieurs à ceux de France)...

    ... En bleu et blanc ou en noir et blanc les cheveux courts une cravate et ou le logo de la boîte sur la casquette, un contrat de travail envoyé sur smartphone, des gants un balai des tenailles des ciseaux un téléphone un ordinateur une perçeuse un mètre une truelle un chariot une brouette une élagueuse une pelle de quoi gratter poncer cirer... Et... "ça te donne une dignité/ça te remet dans le bain de la réinsertion sociale/ça t'obliges à te bouger le cul" ... Dixit les donneurs de leçons de morale des ceu's zé celles d'un ainsi va le monde on peut pas faire autrement merci patron encore heureux d'avoir un boulot ! ... Merde !

     

  • Robotique, numérique, intelligence artificielle

    ... C'est un secteur en voie rapide, très rapide même, du développement technologique et un "facteur de croissance économique et industrielle" ... Que celui, conjointement, de la robotique, du numérique et de l'intelligence artificielle...

    En termes de "créations d'emplois" et de "métiers nouveaux", les décideurs et les dominants, les maîtres de Google et les lobbys de la robotique mettent en avant tous ces nouveaux métiers de maintenance, de concepteurs de logiciels, et "d'emplois induits" nécessitant un plus grand nombre de spécialistes, d'ingénieurs, évidemment formés dans des écoles de haut niveau...

    Cette évolution vers des "nouveaux métiers" présentés comme éminents, certains, diversifiés et nombreux ; n'a cependant rien à voir par exemple, avec l'évolution que fut dans le transport, de la fin du 19 siècle à 1930 environ, le passage de la traction animale (cheval) à la traction motorisée (moteur à explosion, voitures, camions, autobus)... En effet si aujourd'hui il n'existe plus de palefreniers (la profession la plus répandue dans le transport à la fin du 19 ème siècle) mais en revanche s'il existe un nombre incalculable de métiers liés au transport aujourd'hui... Il n'est pas "raisonnable" et encore moins pertinent, de comparer l'évolution de la robotique et de ses conséquences sur l'emploi, avec l'évolution dans le transport entre 1880 et 1930...

    La problématique de l'emploi en ce qui concerne la robotique n'est absolument pas comparable avec celle que fut le passage de la traction animale à la traction motorisée...

    Et cela pour une raison évidente :

    L'intelligence artificielle créera des machines qui assureront la maintenance, créera des "cerveaux" qui concevront les logiciels de gestion, de services, de fabrications... De telle sorte que les lobbys et leurs décideurs maîtres des Marchés (avec autour d'eux leurs actionnaires et profiteurs), n'auront plus besoin de spécialistes formés, d'ingénieurs, de cadres, de techniciens, puisque désormais l'intelligence artificielle aura réponse à tout...

    Quel sera alors l'"avenir" des grandes écoles actuelles, puisqu'il ne sera plus nécessaire de former autant d'élites qu'aujourd'hui?

    Je pense aux traders, aux métiers de design, de management, de banque et de finance, de "consulting/traîning" et autres activités de services administratifs du secteur dit "tertiaire" ...

    ... Bienvenue dans le monde de 2100 qui aura déjà au moins 2, 3, 4 dizaines d'années d'existence ! Et... Quel avenir "radieux" et avec quel type ou genre de "consommation", d'activité, pour les jeunes d'aujourd'hui qui sont encore dans les écoles, les collèges et les lycées ?

    Et pour les poètes, les penseurs, les écrivains, les artistes... Avec des robots, des cerveaux artificiels "créateurs sur commande" ? Une littérature, des musiques, des oeuvres de peinture, de sculpture, sorti des machines ?

    Et "bonjour les followers artificiels" que tu auras sur les réseaux sociaux et qui réagiront/te répondront/te commenteront, en fonction de ta sensibilité/de ta culture/de ta personnalité tout cela cartographié enregistré avec toutes tes données dans le moindre détail dans un historique depuis ta naissance par Google ! (Il te suffira pour poster sur Twitter ou sur Facebook ou sur un blog, de définir en un vocable de quelques mots clé, le thème, le sujet, l'article, le texte que tu voudrais voir écrit et publié... Et un logiciel réalisera ton "travail d'écriture" dans le sens que tu souhaites et sans aucun défaut de grammaire ou autre et dans une clarté un style tout à fait personnel à nul autre pareil ! )

    ... Ah ces bébés de 2018 qui auront cent ans en 2118 ! y'en aura des génies ! ... A vrai dire (rire)... "le moindre Trouduc sera un génie" !

     

    NOTE : "Je ne suis pas un robot" ! Tout ce que je produis est de moi, de mon moi tout ce qu'il y a de plus authentique, de plus naturel (rire)... La preuve? Mes imperfections et mes défauts! ... Bon, vous m'direz " un robot peut produire quelque chose avec exprès 2 ou 3 défauts par ci par là afin d'être crédible, de faire vrai de vrai !"

     

     

  • La stratégie des dominants en cette 1ère moitié du 21ème siècle

    ... Toute la stratégie des dominants en cette première moitié du 21 ème siècle, consiste à nous faire accepter l'idée que leur domination n'en est plus une mais est au contraire une "libération", et le vecteur principal de cette "libération" c'est le Marché dans la diversité et dans l'immensité de son champ, ainsi que dans l'individualisation des produits et des services que les dominants désormais proposent ou plus précisément vendent...

    Les dominants sont, outre ceux de l'agro-alimentaire et de l'industrie, de la pharmacie, des équipements et des loisirs ; les maîtres de Google, les lobbys de l'intelligence artificielle, de la robotique, de la numérisation, de la biologie, de la génétique, des nanotechnologies et de tout ce qui procède d'un "post-humanisme" qui nous délivrerait de nos contraintes et repousserait le plus loin possible nos limites ... Par exemple prolonger nos vies, remédier à tout défaut, tout handicap... En un mot nous faire une vie meilleure selon nos rêves, nos fantasmes, nos aspirations de tout temps humaines depuis que l'homme existe sur Terre... Même si les dominants sont en concurrence entre eux et se font la guerre, il n'en demeure pas moins qu'ils s'entendent pour que le monde en son entier soit un espace marchand dans tous ses recoins y compris les plus reculés, réputés impénétrables ou inviolables ou encore sauvegardés en apparence... Tout sera donc fait pour être acheté et consommé par le plus grand nombre possible au détriment d'un plus grand nombre possible et pour le profit d'une minorité ... Et pour le plus grand malheur de la planète... Et de l'être humain...

     

  • La France demain

    ... "Demain" est issu de l'expression latine "De mane", qui signifiait "au matin"...

    Cet adverbe de temps "demain", désigne le jour qui suivra le jour présent, c'est en fait son sens "premier"...

    Dans un sens plus élargi, "demain" désigne une époque qui en suit une autre (en l'occurrence l'époque présente), mais en réalité "de fort près"...

    La France demain c'est donc la France dans laquelle l'ensemble des générations présentes (des jeunes enfants jusqu'aux personnes âgées de plus de 80 ans) vivra son quotidien ; les premiers, les jeunes enfants pour de "longues années" mais d'abord durant le temps où ils sont à l'école puis au collège et au lycée, et les derniers, les plus âgés durant le temps de leur vieillesse avant de disparaître...

    Dans la vision que l'on a de ce "demain" dans son sens "élargi" désignant l'époque qui va suivre celle où nous vivons cette année en 2018, il importe de "ne pas se tromper de présent dans la manière d'appréhender ce présent", en particulier et pour l'essentiel en occultant sa réalité voire en niant sa réalité, ou en lui donnant "un air de passé qui lui ressemblerait" ou "un air de futur dont on rêverait ou que l'on craindrait"... (c'est cela, à mon sens "se tromper de présent")...

    Penser à la France demain, et l'imaginer cette France, c'est aussi, parce que cela vient naturellement en esprit, voir en "demain" un "demain plus lointain, voire très lointain... Quoique "voir" ne soit point "voir" mais imaginer... Ce qui conduit à risquer de se tromper de présent...

    Car c'est bien le présent qui est la "fabrique" du futur, le présent tel qu'il est dans sa réalité et non pas tel que l'on se le représente en fonction de la vision que l'on en a , une vision "décalée" de la réalité parce que tournée vers le passé, ou construite à partir de ce qui fait l'environnement particulier dans lequel on vit notre quotidien...

     

  • Festival international de Géographie Saint Dié Vosges 2018

    ... Le thème cette année "La France demain" m'inspire en premier lieu la réflexion suivante :

     

    Ce sont les nouvelles générations, celles de ces jeunes qui en 2018 sont encore à l'école : les étudiants dont certains vont entrer dans la vie active (pour autant qu'ils trouvent un emploi en rapport avec leur formation), les adolescents que sont les lycéens et les collégiens, et enfin les jeunes enfants des écoles primaires... Qui feront la France, la société, la vie économique et plus généralement la vie quotidienne dans les années 2030, 2040, 2050...

    Lorsque les actuels et principaux intervenants, âgés de 30 à 60 ans qui auront éduqué, formé les jeunes, été les décideurs et exercé leur activité ; seront "vieux" ou morts...

    D'où l'importance de la transmission des savoirs, de l'héritage culturel... Et surtout de la manière dont les savoirs et dont l'héritage culturel sont transmis...

    Je m'interroge -et je ne suis certainement pas le seul à me poser la même question- sur justement la manière ( dans quel esprit, dans quel dessein, dans quel ordre de pensée ) dont ces savoirs seront transmis (et à qui ou plus exactement à qui plutôt qu'à qui), sur le devenir de l'héritage culturel (dans quel prolongement) et dans quelle mesure il conservera ses racines ? ...

    Avec la robotisation, les nanotechnologies, la chimie du Vivant... Et cette "philosophie" de la croissance économique ; avec les pouvoirs accrus -et démesurés- des "maîtres du monde" qui formatent les populations dans leurs loisirs, dans leurs activités, leur pensée, leur mode de vie et de consommation... Est-ce que les nouvelles générations qui, d'année en année, arrivent sur "la scène du monde" (à commencer déjà par les étudiants en fin de cycle) auront la capacité de résister au mouvement et à l'évolution amorcés ? Pourront-ils être des acteurs différents dans d'autres voies que celles qui aujourd'hui prévalent ?

    Pour être "franc et net"... La "France demain" du FIG St Dié 2018... Au vu du programme, de la liste des thèmes, conférences, tables rondes ; des personnalités organisatrices et invitées, me semble à priori (j'aimerais bien que ce ne soit qu'un à priori et donc avoir tort) "bien dans le vent du temps que nous vivons" (Un fossé qui se creuse et s'élargit entre d'une part la culture, les résolutions, les projets, les idées... Et d'autre part la réalité dans laquelle les gens vivent et se débattent, souffrent, subissent, meurent (mais parfois rêvent quand même, arrivent à s'en sortir)...

     

    ... Lors de l'édition 2017 de ce festival de géographie, j'avais noté et apprécié, de la part de la municipalité de Saint Dié et des organisateurs, l'incitation à l'implication et la participation des jeunes (enfants et adolescents des écoles) en différentes activités, expositions, débats, documentaires et films... La place des jeunes dans cette manifestation annuelle, qui n'avait pas encore été aussi importante lors des FIG précédents...

    http://fig.saint-die-des-vosges.fr/images/programme.pdf

     

     

  • L'esclavage aboli en 1848 est encore une réalité en France et dans le monde

    ... Emmanuel Macron peut bien se rendre au Panthéon (le 27 avril dernier) pour commémorer le décret d'abolition de l'esclavage signé il y a 170 ans (le 27 avril 1848)... Il n'en demeure pas moins qu'en France où l'on voit sur les frontons des mairies " Liberté Egalité Fraternité", l'esclavage existe bel et bien sous sa forme dure, celle qui existe depuis le début des sociétés humaines (Antiquité, premières civilisations Moyen Orient Afrique Asie, servage en Europe au moyen âge et Russie jusqu'au 19ème siècle)...

    L'esclavage étant la privation de liberté, le travail forcé sans rémunération, la négation de la personne humaine et de ses droits fondamentaux, la menace physique permanente, la contrainte...

    Environ 9000 personnes en France sont en situation d'esclavage (esclavage au sens défini ci dessus)... En 2018. Mais ce chiffre, de 9000, déjà effrayant, est sans doute loin de la réalité vraie...

    L'on estime à environ 25 millions le nombre de personnes en situation d'esclavage dans le monde en 2018.

    C'est bien la preuve, la réalité de l'esclavage en France et dans le monde, que la morale autant par l'écrit que par la parole, est une façade derrière laquelle on se donne "bonne conscience"...

    Parce que la morale en fait, c'est celle du dollar et de l'euro (pour prendre les 2 principales monnaies de la planète)...

     

     

    https://www.franceculture.fr/emissions/la-bulle-economique/esclavage-moderne-et-en-france