Articles de yugcib

  • Si en 1969 l'Homme a marché sur la Lune, en 2029 il marchera sur la tête

    … L’attribuation à l’Arabie Saoudite des Jeux Olympiques d’ Hiver en 2029 est la preuve la plus flagrante que l’Homme, « seigneur tout puissant et plus grand prédateur de tous les êtres vivants sur cette planète – La Terre - » « marche sur la tête » !

    C’est en effet dans le désert montagneux du Nord Ouest de la pénisule arabique, que sera construite Néom, une gigantesque mégapole futuriste avec hôtels de luxe, galeries marchandes, centres commerciaux, aéroport international, et tout autour de cette « cité du futur », les installations, structures, pistes de ski, avec voies d’accès aux lieux de compétition…

     

    Il fut déjà imaginer les mégatonnes de neige artificielle à produire et à maintenir au froid durant les deux semaines durant lesquelles se dérouleront les jeux !

    Un tel projet est encore plus aberrant que ne l’a été la coupe du monde de football au Qatar en 2022…

     

    Dans une monarchie, l’Arabie Saoudite, qui pratique chez elle, la peine de mort en particulier à des femmes, assassine des journalistes, bafoue les droits de l’homme, intervient militairement dans la guerre au Yemen avec des armes françaises, finance des terroristes islamistes… Une telle décision des décideurs en haut lieu d’attribuer ces JO d’hiver en 2029 à l’Arabie Saoudite, est absolument scandaleuse, révoltante !

    Notons qu’en 2029 il n’est pas sûr du tout que le pétrole brut pour l’Arabie Saoudite soit encore une « manne financière » car d’ici là, avec des activités humaines telles que tout ce qui est lié au transport, au déplacement, au fonctionnement des usines, des centres industriels, qui seront alors moins dépendantes des énergies fossiles, les pays producteurs de pétrole brut – du Moyen Orient- et donc l’Arabie Saoudite, le Qatar et les Émirats, ne seront plus – peut-être – des partenaires économiques privilégiés… (du moins plus autant qu’en 2023)…

     

    Honte à tous ceux et celles, décideurs, organisateurs, concepteurs, design’eurs, économistes, industriels… Mais aussi au « commun des mortels » autant dire à tous ceux et celles qui, les uns soutiennent ce projet, et les autres s’en émerveillent et y applaudissent et pensent que c’est là une « opportunité » de développement dans la transition écologique de progrès ! Que de stupidité, d’imbécilité, d’arrogance, d’irresponsabilité, de prétention, et « au mieux ou au pire », d’adhésion tacite, et de – sans doute il faut le dire aussi – pour certains, de possibilité de pratiquer un tourisme loisiresque d’hiver dans un désert montagneux entre 20 et 30 degrés de latitude boréale !

     

    Les « pour » et les « émerveillés » d’un tel projet aussi aberrant, qui, comme je le subodore, sont peut-être plus nombreux que l’on ne le croit… Me sidèrent !

    C’est la raison pour laquelle, au vu et au su, depuis ces dix dernières années, d’événements climatiques violents et dévastateurs un peu partout dans le monde (gigantesques incendies, inondations, tornades, ouragans) je me dis que la Nature tout entière faite d’air et d’eau notamment, si l’on l’assimilait à une sorte d’être vivant géant, est assurément le plus redoutable et le plus violent des terroristes , qui « ne fait pas de quartier », ne choisit pas ses victimes, frappe l’humanité dans son ensemble, riches et pauvres, coupables et innocents (quoi qu’en réalité chacun à sa mesure et selon ce qu’il fait ou ne fait pas, est responsable)…

     

     

  • Quelle valeur pour un bien immobilier en face du risque d'événements climatiques violents ?

    … Si l’on établit le compte du nombre d’événements climatiques violents et destructeurs, rien qu’en France, ces dix dernières années en toutes régions , en tous lieux habités… Pour les victimes de chacun de ces événements climatiques dont certains furent d’une extrême violence, au regard et au souvenir des dévastations, des pertes considérables subies par des centaines voire des milliers de personnes en France, oui, rien qu’en France le constat est absolument effrayant ; et, pour ceux et celles d’entre nous qui n’ont pas encore subi l’un ou l’autre de ces événements climatiques dévastateurs, chacun peut se dire, inquiet, apeuré qu’il est sans doute : « un jour ou l’autre, cela finira bien par arriver là où je vis et habite »… En effet la probalité est élevée et le devient, saison après saison, davantage…

     

    D’où cette question qui se pose – que sans doute beaucoup de personnes se posent – au sujet de la valeur d’un bien immobilier – une maison, un logement en ville, dont on est propriétaire, financé par un prêt bancaire sur 15 ou 20 ans, ou acquit par héritage… En face du risque accru d’événement climatique violent et destructeur…

    En face de cette réalité du risque, cependant, dans les régions ou les endroits et lieux recherchés, les maisons, les appartements en état d’être occupés sans trop de rénovations et aménagements à réaliser, continuent à prendre de la valeur d’une année à l’autre, ont des acheteurs potentiels et bien sûr « font les affaires » des agents immobiliers…

     

    Mais qu’en sera – t -il de ces maisons à plus de 300 000 euros, dans des lieux recherchés, lorsque ces maisons seront un jour, elles aussi, comme cela est arrivé pour tant d’autres un peu partout depuis une dizaine d’années, dévastées, devant être entièrement ou en grande partie, refaites ?

    Est-ce que les fonds dont disposent les assureurs afin d’indemniser les victimes ; est-ce que les aides de l’État ( déclaration de catastrophe naturelle), est -ce que les réserves financières personnelles des gens – pour autant qu’elles existent – est-ce que tout cela, tout cet argent, suffira si les événements climatiques violents et destructeurs se multiplient et deviennent de plus en plus fréquents ?

     

    Déjà, rien qu’avec seulement le risque sismique existant et concernant au moins les deux tiers du territoire de la France, auquel s’ajoutent les effets sur les constructions en briques, agglos et autres matériaux composites, de sècheresse prolongée et de températures élevées… Combien d’habitations ont-elles des murs fissurés, et ne risquent-elles pas de devenir inhabitables si les fissures, les lézardes, les dénivellements s’aggravent ? Ce sont des centaines, des milliers d’habitations qui sont ainsi concernées, rien qu’avec le risque sismique et avec les sècheresses prolongées…

     

    Il y a là, entre d’une part le risque accru d’événement climatique violent, et d’autre part le fait que dans certaines régions le prix du mètre carré construit continue d’augmenter… « Quelque chose de surréaliste, de contradictoire, d’absurde »… Mais qui est « emblématique » d’une société humaine qui n’ a de cesse de croire à un développement durable moteur d’une vie meilleure et en capacité de s’adapter, de croître quasi indéfiniment !

     

     

  • Une culture française de la révolte

    … Si une « culture de la révolte » existe bien en France – et « bien française » dans son expression depuis 1789…

    À partir de mai 1968 qui vit la révolte des étudiants et d’une partie du monde ouvrier secouer, ébranler, les fondements de la société… La « culture de la révolte » s’est ensuite, tout au long des années 1980 et 1990, et plus encore, bien plus encore à partir de 2010, éloignée des idéaux fondamentaux de la Révolution française de 1789, éloignée des mouvements sociaux de lutte ouvrière, des combats et des actions menées pour un « mieux être » de la collectivité humaine (avec plus de justice, plus d’égalité, plus – autant que possible – de fraternité) ; s’est éloignée de ce qui fondait la Gauche (et qui « en partie » pouvait ressembler à « une Gauche qui n’a jamais existé)… S’est éloignée au point d’être devenue une « culture de la révolte » essentiellement axée sur des revendications personnelles et communautaires, sur de l’individualisme exacerbé et soutenu, encouragé par la Consommation (accession à des biens n’étant pas de seulement nécessité) ; par de la contestation systématique et lapidaire de tout un chacun, par une déterioration des liens et des rapports de relation… Tout cela « orchestré » et « planifié » par ceux des dominants qui aujourd’hui sont les « maîtres du monde » dont le pouvoir est démesuré, renforcé et barricadé…

     

    Les résultantes de cette « culture de la révolte » complètement dénaturée de ce qu’elle fut durant deux siècles (fin du 18ème – fin du 20ème) sont :

    L’antisémitisme version 21ème siècle, l’islamisme envahissant et s’introduisant dans la sphère politico-sociale, les partis d’extrême droite plébiscités par des gens qui jadis, étaient « de gauche », les « marches blanches » pour certaines victimes mais pas pour d’autres, les conséquences du changement climatique (répétition et multiplication des catastrophes naturelles que sont les inondations, les incendies, les tempêtes, les ouragans – dont la principale cause est liée aux « alchimies » des activités humaines - ( et des maladies invalidantes), la violence accrue de la société du haut en bas des échelles sociales et de part et d’autre des barrières qui séparent…

     

     

  • Comment s'établit la visibilité sur Internet ?

    … De toutes les voies ou les modes de transmission, d’information, de communication et d’échange généralement utilisés ; la moins aléatoire de toutes les voies est celle qui passe par des personnes ayant eu connaissance de ce qui a été vu, entendu, lu, produit, d’un tel, d’une telle, et qui a été communiqué à des proches, à des amis, à d’autres personnes régulièrement ou occasionnellement fréquentées…

    C’est ce que l’on appelle le « bouche à oreille », sur Internet à distance à partir d’un ordinateur, d’un smartphone, d’une tablette, depuis un lieu où l’on se trouve…

     

    Toutes les autres voies par lesquelles s’établit la visibilité, sont beaucoup plus aléatoires car elles dépendent de ce qui est recherché en particulier et en fonction d’un besoin, d’un usage que l’on s’apprête à faire de ce que l’on a trouvé en le recherchant.

     

    Une recherche s’exprime par une question posée et formulée en mots, en une courte phrase, sur Google, Bing, sur un « moteur de recherche »… Alors s’ouvre en réponse une page – ou plusieurs pages – de « liens hypertextes », lesquels liens mènent soit à d’autres liens plus particuliers plus ou moins en rapport avec un lien principal, soit directement à des sites ou à des pages de Web…

     

    « Il va de soi » que ce qui est ainsi trouvé en réponse à une recherche, et qu’un « mot-clé » a déterminé – en principe logiquement mais en réalité « robotiquement » et sur un mode d’intelligence artificielle – ne correspond pas forcément à ce qui est attendu et en est même parfois très éloigné… Et que ce que l’on voit affiché, indiqué, n’intéresse pas du tout celui ou celle qui a recherché ceci ou cela…

     

    Donc, la visibilité qui pourrait s’établir grâce à une recherche faite sur Internet par un moteur de recherche, n’est en aucun cas, garantie et est « purement aléatoire » voire même « contre-productive » puisque l’informé ainsi, n’est absolument pas intéressé et encore moins motivé à s’intéresser…

     

    Supposons que la recherche effectuée mène directement à une page d’un tel, d’une telle, sur Facebook, sur Tik-Tok, sur Instagram, sur Twitter : si celui ou celle qui a cherché n’est pas membre ou inscrit (n’a encore jamais servi le formulaire d’inscription) à Facebook , à Tik-Tok, à Instagram, à Twitter… Il n’aura alors pas accès à la page d’un tel, d’une telle…

     

    Et il en sera de même sur les forums de discussion ayant un certain nombre de membres inscrits : si tu n’es pas inscrit en tant que membre à ce forum, tu ne pourras pas accéder à ce que produit tel ou tel membre de ce forum… Sauf si l’administrateur et créateur du forum a spécifié « accessible à tous » (visiteurs)…

     

    En revanche pour les blogs et pour les sites (d’auteurs ou purement personnels) n’importe qui peut y avoir accès, mais l’accès cependant, s’il ne se fait pas par « bouche à oreille » il ne peut alors se faire que par recherche, une recherche essentiellement dépendante d’un besoin d’information concernant quelque chose de particulier, besoin d’information qui, en général, n’est en aucun cas le besoin de savoir si oui ou non, un tel ou une telle est l’auteur d’un blog ou d’un site.

    … D’où l’importance qu’il y a dans la formulation de la recherche : il faut que ce soit à la fois suffisamment explicite et précis, et exprimé « ni trop court ni trop long » afin que la réponse corresponde au mieux par la logique (robot, intelligence artificielle) à la question posée…

    Car moins c’est bien formulé et plus c’est long (l’équivalent d’une ligne par exemple de 65 caractères), plus y aura des liens « plus ou moins référents » sur plusieurs pages et en conséquence, se révèlera être un véritable « casse-tête »…

    De surcroît, les liens qui apparaissent en réponse d’une recherche, sont – en principe- indiqués dans un ordre se fondant sur des priorités de recherche effectuées, de telle sorte que c’est ce qui le plus demandé qui vient en tête de la page des liens…

     

    Ainsi, lorsque tu vois apparaître en première ligne en haut de la page des liens, le lien menant à ta page sur Facebook, sur Instagram ou sur Tik-Tok ; ou à ton blog ou à ton site… Tu peux te dire que des recherches te concernant, ont été effectuées, « relativement nombreuses »… Quoique… (toujours cette part d’aléatoire – naturelle et inévitable)…

    En revanche si le lien de ta page, de ton blog, de ton site, n’apparaît que, par exemple, à la quatrième ou à la cinquième page, tu peux te dire que ta visibilité est faible…

     

    Pour conclure je dirais que les lois qui « régissent » (ou dont dépendent) la visibilité sur Internet (le monde virtuel) ne sont pas tout à fait les mêmes que celles du monde réel qui lui, fonctionne selon des « référents » (de notoriété liée à un statut social, à une formation universitaire, au fait d’être un personnage connu et influent invité lors de débats publics, ou un personnage détenant une autorité, qui a été appelé publiquement, ou élu ; un scientifique, un grand écrivain, etc.)…

     

     

     

     

     

  • La typologie des réseaux sociaux

    … Contrairement à TIK – TOK, à INSTAGRAM, à TWITTER et à d’autres réseaux sociaux ; FACEBOOK est je crois, le seul des réseaux sociaux, à permettre à chacun, à tous et à toutes, de rédiger du texte – de plus de quelques lignes accompagnant ou non une photo, une image, une vidéo…

    En effet, sur TWITTER une note écrite ne peut dépasser 280 caractères (il n’y a pas si longtemps c’était limité à 144 caractères), sur TIK-TOK et sur INSTAGRAM, on ne peut accompagner une photo, une image, une vidéo, que de 2 ou 3 lignes au mieux autrement dit, TIK-TOK et INSTAGRAM « ne sont pas faits pour des productions d’écriture, ni pour développer des idées, poster des sujets de réflexion, témoigner par écrit de ce que l’on observe autour de soi, commenter et argumenter, décrire, comparer, analyser, etc. … »

     

    Il serait « intéressant » (et peut-être « significatif » de la société présente tous milieux sociaux confondus) de savoir – par des études, par des enquêtes réalisées et chiffrées-

    S’il y a beaucoup, sur TIK-TOK et sur INSTAGRAM, d’artistes, d’écrivains, de poètes, de créateurs, qui, outre d’exposer leurs œuvres, se sentent dans la nécessité de s’exprimer… (de s’exprimer autrement que par une ou deux phrases courtes ou une brève note)… « J’ai dans l’idée qu’il ne doit pas y en avoir des foules, de ces artistes, de ces écrivains, de ces créateurs, sentant la nécessité de s’exprimer »…

    En revanche sur FACEBOOK c’est tout à fait possible (et heureux) de pouvoir, pour un artiste, pour un écrivain, pour un poète, pour une personne de pensée et de réflexion, s’exprimer, produire « de l’œuvre » et avoir – autant que possible » des visiteurs, des lecteurs – qui ne se contentent pas de seulement « liker »…

     

    Sur TIK-TOK et sur INSTAGRAM – quoique sur FACEBBOK aussi – il n’y a pour ainsi dire que des « scoops du jour », que des « non-événements » surdimmensionnés en grands événements, que des productions hétéroclites en général d’une consternante banalité, quand ce ne sont pas des invectives, des propos agressifs ou de la contestation systématique « à l’emporte-pièce » sans la moindre argumentation tenant debout !

     

    Ah bien sûr, TIK-TOK et INSTAGRAM, c’est « idéal » pour des « mitraillages » de photos - « de sa pomme dans une situation qui en jette »… Ou pour « faire du journalisme à deux balles » ! Ou pour figurer dans le « panthéon » des records du nombre de vues et de partages !

     

    La typologie majoritaire, assez largement majoritaire il faut dire, dans tous les réseaux sociaux, c’est celle des gens de toutes générations (peut-être davantage les personnes de moins de 30 ans et un peu moins les personnes de plus de 60 ans) qui « font dans le bref, dans le raccourci, dans le rapide, dans l’effet produit, dans la mise en scène d’eux-mêmes, dans l’exposition de leur « vie privée », dans le « journalisme à deux balles »… Ce qui, de toute évidence, nuit considérablement à la visibilité et à la considération des productions d’une minorité de personnes qui elles, « ne font pas dans le raccourci ni dans l’effet produit et développent, argumentent, s’expriment autrement qu’en rédigeant « vite fait » deux lignes !

     

     

     

  • À propos de nuisances nocturnes

    … Si l’on peut faire appel à la police pour dérangement bruyant de voisins – dans un immeuble ou dans un lotissement où les habitations sont proches les unes des autres – entre 22h et 6h… Il n’en est pas tout à fait de même dans les campings où ce sont les gérants du camping qui, par le règlement affiché à l’entrée, imposent le silence de 22h à 6h, et en conséquence en cas de nuisance nocturne font eux, appel à la police (et non pas l’un ou l’autre des usagers du camping)…

    Il n’en demeure pas moins que dans les campings qui sont des lieux de séjour de vacances pour au moins la moitié des Français en été, il y a les « couche-tard » qui rient et parlent fort, écoutent de la musique bien au-delà de 22h, et donc empêchent de dormir les « couche-tôt » qui, sous leur tente, entendent tout, même avec des boules quiès dans les oreilles… Et qu’il y a aussi, les « lève-tôt » qui – il faut le dire – assez souvent hésitent à ouvrir les portières de leur voiture avant 6h, et s’installent devant leur tente pour le petit-déjeûner en faisant le moins de bruit possible (mais toute activité à cette heure là, avant 6h, est forcément cause de bruit et les paroles échangées à voix si basses soient-elles, entre membres d’une famille, résonnent dans le silence matinal du camping)…

    Question nuisances nocturnes au-delà de 22h et repos du matin des « couche-tard », le camping, surtout le camping géant quatre étoiles, n’est pas le lieu idéal pour des vacances espérées « tranquilles et heureuses et reposantes » ! … D’autant plus qu’année après année, augmentent les comportements « peu scrupuleux » de bon nombre de gens (des jeunes adultes, des enfants et des adolescents en particulier – mais pas seulement), les incivilités, les égoïsmes exacerbés, l’indifférence quasi totale au bien être d’autrui… Toutes choses que les règlements affichés et prescrits, aussi détaillés et précisés qu’ils soient, ne peuvent prévoir en fonction des situations se présentant, toujours particulières et occasionnelles…

     

     

  • Obscurantisme et stupidité vous "m'en direz tant" ! ...

    … Confronté qu’il peut m’arriver d’être à l’obscurantisme et à la stupidité, je ne me prends pas alors la tête deux secondes à « peser le pour et le contre » ou à me demander le pourquoi et le comment de ce qui m’a claqué sous le nez ou est venu apparaître sous mes yeux… Dans ce cas en effet, je ne tire pas le premier centimètre du fil de la bobine où il y a un nœud que je ne défais pas, je romps de suite le fil…

     

    Qu’il y ait encore de par le monde des pays où il existe des écoles « confessionnelles » (religieuses) et « créationnistes » me fait dire « plutôt pas d’école du tout, que des écoles « créationnistes » du genre de celles du temps de Franco en Espagne où l’on apprenait à lire dans des livres de religion « la terre créée en 7 jours par Dieu et la femme tirée d’une côte d’Adam »…

     

    Merde, mille fois merde au créationnisme !

    Merde, mille fois merde aux « théoriciens » de la « Terre plate » ou de la « Terre creuse »…

    Merde, mille fois merde aux négationistes et aux « fortement doutant » des réalités scientifiques élémentaires, aux contestataires des dinosaures et de l’homme de cromagnon…

    Merde, mille fois merde à ceux et celles pour qui l’astronomie c’est du chinois, qui se foutent des planètes et des étoiles et des galaxies (mais pas de leur horoscope, de leur signe astral et des scoops des célébrités et des people et du dernier bébé princier qui vient de naître, ou du dernier best seller paru et plébisité par des millions de gens, ou du dernier modèle de bagnole, de smartphone, ou du score réalisé par le PSG… et j’en passe y’en a des tonnes et des tonnes)…

    Merde, mille fois merde aux adeptes du coup de klaxon rageur dans les ronds points, aux incorrigibles déterminés du propos réducteur et laminant…

    Merde, mille fois merde à tout ce qui pète et ou brait, pue la mayonnaise éventée ou la cevette qui pue le sexe sale…

    Merde, mille fois merde à toutes les corniflarderies du monde…

    Mis en face de l’obscurantisme et de la stupidité, je « toutouféroce », ne mettant que trois secondes de la terrasse où je soleille, au portail distant de trente mètres à peine devant lequel « furaxe » Tartempète qui se fout des étoiles et des planètes et hihâne de concert avec l’outrecuidante troupe !

     

    Bon c’est vrai « je vais pas dire ça dans des forums (sauf le mien), d’où je me fais virer vite fait, honni des membres « patatant-saladant et bizouquant sur les kilomètres de posts semés de petits quecœurs rourouges »…

     

     

  • Intolérance, stupidité et fanatisme

    … Selon Albert Camus, l’intolérance, la stupidité et le fanatisme peuvent être combattus séparément…

    Mais à la condition, cependant, que l’intolérance, que la stupidité et que le fanatisme ne se manifestent pas au même moment, ensemble…

    Cela dit, l’indifférence est peut-être encore plus difficile à combattre, notamment lorsqu’elle est en quelque sorte une « gestation » de l’intolérance, de la stupidité et du fanatisme qui, insidieusement, « couvent » dans une « neutralité de principe et d’habitude »…

     

  • Les cultures de l'oralité ou les cultures de l'écrit

    … Ont en commun pour origine – avant même d’être orales ou écrites – le fait initial d’être de l’image qui se forme de ce qui est observé, vu, à un moment donné et dans une situation, dans un environnement particulier… Ou du bruit, du son, de ce qui est entendu et « enregistré », ou encore de ce qui perçu par l’odorat, le goût, le toucher…

    Le cerveau humain – tout comme celui des animaux (notamment des mammifères)- présente une zone ou un centre « moteur » en lequel se forme l’image, ainsi que d’autres zones ou centres en lesquels « s’entregistrent » ce qui est perçu par l’odorat, l’ouie, le goût, le toucher…

     

    La différence qu’il y a entre l’humain et l’animal, c’est que l’humain est le seul être vivant sur cette planète, qui est capable, dans ses facultés mémorielles, de situer dans le temps, autrement dit non seulement de situer le moment où ce qui a été observé s’est produit, mais aussi de préciser si ce qui s’est produit l’a été avant-hier, hier ou il y a un an, cinq ans, trente ans… Ce que ne peut faire aucun animal, les animaux ayant une mémoire « plane ou linéaire » où tout ce qui a été observé, perçu, entendu, est « enregistré » en un même plan et donc sans différentiation de ce nous appellons l’hier et l’avant-hier, ou le « il y a un an, deux ans... »

     

    En ce qui concerne – pour les humains- les cultures de l’oralité et les cultures de l’écrit, l’image qui à l’origine s’est formée avant d’être « traduite » puis exprimée et transmise par le langage parlé ou écrit, cette image donc, ne se déforme, ne devient floue – et ne peut s’effacer – que par le temps écoulé, plus ou moins long – si elle n’ a pas été «traduite » ou « enregitrée » par le langage parlé ou écrit…

     

    C’est pourquoi le langage parlé ou écrit « conserve » mieux que ne le fait l’image qui s’est formé et qui, elle, se déforme… (Mais se déforme naturellement)…

    Les animaux n’étant pas dotés de langage parlé et encore moins écrit, ne peuvent « conserver » ce qu’ils ont observé, percu, entendu, touché, senti ; que par leur faculté à communiquer entre eux autrement que par le langage articulé… Et qui ne peut être altéré, et, encore moins « interprété » de la même manière que les humains…

     

    Les humains eux, par le langage parlé ou écrit, racontent, transmettent ce qu’ils ont observé, de leur vivant à leurs proches, à leurs connaissances, à la communauté dont ils font partie, et s’ils le peuvent pour certains, à l’humanité toute entière ou au moins à une partie de l’humanité… Et à leur tour par la suite, les humains qui ont reçu l’information, la connaissance des faits et des événements observés, racontent et transmettent ce qui leur a été communiqué…

     

    Mais le langage parlé ou écrit (et donc, les cultures de l’oralité autant que les cultures de l’écrit) n’est pas seulement dépendant de l’image formée à l’origine qui se déforme naturellement avec le temps écoulé ; mais aussi dépendant de la « traduction » ou de l’interprétation qui est faite de ce qui est vu, entendu, touché, senti, perçu (l’interpétation étant individuelle et se fondant sur une sensibilité personnelle)…

     

    Et en ce sens, les cultures de l’oralité ne « valent » pas mieux que les cultures de l’écrit… Du fait de l’interprétation dont l’inévitable conséquence est, avec le temps écoulé, et par les mécanismes complexes, diversifiés et évolutifs de la transmission (orale ou écrite)… La déformation… De telle sorte que ce qui est perçu après avoir été maintes fois transmis et retransmis, finit pas ne plus rien à voir avec ce qui, à l’origine a eu lieu en une image qui s’est formée…

     

    … D’où la difficulté qu’il y a, à transmettre le plus intact possible, ce qui à l’origine a été observé, perçu…

     

     

  • Le double contexte actuel de la société française et européenne

    … Dans le contexte d’un antisémitisme ambiant en France et en d’autres pays européens, qui est celui – il faut le dire – de plus de la moitié de la population tant en France qu’en Europe, en ces années vingt du 21ème siècle… Et qui est une « résurgeance » - ou plus exactement une « continuation » de ce qui régnait en France et en Europe durant la période de 1930 à 1950 – et plus dramatiquement, plus précisément durant les années de la seconde guerre mondiale 1939-1945…

     

    … Dans le contexte – celui là beaucoup plus actuel – également, d’un ordre dominant d’idée en France et en Europe, relatif aux migrants, aux « venus d’ailleurs », à certaines catégories de populations de migrants dont en particulier venues du Maghreb, d’Afrique sub-saharienne, du Moyen Orient (Syrie, Irak) et d’Afghanistan… Lequel ordre dominant d’idée se fonde sur la suspicicion, la peur, l’insécurité qu’il y a à accueillir des gens venus d’Afrique, du Moyen Orient en situation irrégulière et jugés pour certains de mauvaise apparence, et suspectés de violences, d’agressions, d’actes délictuaux, de crimes, de vols et de viols… (courant dominant d’idée qui est celui de plus de la moitié des Français et des Européens)…

     

    … Dans ce double contexte actuel, donc, je ne puis demeurer silencieux, ne rien dire, ne rien exprimer, garder pour moi ce que je pense et je sens donc la nécessité de m’exprimer publiquement, résolu, déterminé et engagé que je suis contre cet ordre d’idée dominant dans la société française et européenne de ces années vingt du 21ème siècle… ( ce double contexte d’antisémitisme ambiant et de peur et de rejet de l’étranger, ou du migrant)…

     

    Comme je l’ai déjà dit et que « haut et fort » je le redis : la délinquance, la violence, les agressions, les incivilités, les crimes, les vols, les viols, les communautarismes exacerbés et fanatisés… Tout cela c’est l’affaire de l’humanité toute entière du haut en bas des échelles sociales, et cela n’est pas le seul et unique fait de certains et pas d’autres, le fait de venus d’ailleurs, le fait de telle catégorie de personnes de tel milieu social, de telle autre culture que la nôtre, de telle ethnie ou origine…

     

    C’est la société humaine dans son ensemble qui, par sa diversité et surtout par sa complexité en évolution, est devenue en grande partie plus violente, plus difficile dans les relations… Mais – et il faut le dire aussi – (je ne sais pas si c’est paradoxal ou pas) cette même société humaine toute entière dans son ensemble, est aussi faite de gens de bonne volonté, de toutes cultures, de toutes origines, de tous pays, de tous milieux sociaux…

     

  • Une jeune fille qui va bien

    Une jeune fille

    … Film de Sandrine Kiberlain, semaine de la Critique Cannes 2021, sortie en salle le 26 janvier 2022.

    Avec Rebecca Marder, André Marcon, Anthony Bajon.

     

    Dans ce film bouleversant et surtout délicat dans la mesure où le contexte dramatique de l’été 1942 en France (occupation allemande et mesures prises contre les Juifs par le Gouvernement de Vichy, les rafles, l’étoile jaune), est évoqué sans pour autant être rendu visible au premier plan ou en « toile de fond » comme c’est le cas dans d’autres films « de la même veine »…

    Irène, une jeune fille juive âgée de 19 ans et Parisienne (et Française), passionnée de théâtre, envisage de devenir actrice et est inscrite dans une école de formation de comédien, où elle doit passer un concours avec son ami…

    Grâce à la bienveillance d’un fonctionnaire, Irène a réussi à obtenir sa participation au concours, alors qu’en cet été 1942, les Juifs -Français – n’ont plus accès aux fonctions publiques, aux écoles spécialisées…

    Soutenue par sa famille, par ses amis et connaissances du milieu du théâtre, et bien que consciente des périls encourus lors de ses déplacements pour se rendre aux répétitions, Irène vit pleinement et tout naturellement l’élan de ses 19 ans, en apparence insouciante, heureuse de vivre…

    La scène de ce film, à mon sens, la plus « significative », la plus émouvante, la plus belle, c’est (à la fin du film) lorsqu’Irène portant sur sa veste l’étoile jaune, fête au milieu de ses amis du Théâtre (qui eux, ne portent pas d’étoile) sa réussite au concours…

     

    À la vue de cette scène j’ai pensé – il m’a pris de penser – que, dans le monde de l’art et des comédiens et artistes, et en partie (en partie je souligne) celui des écrivains, des intellectuels, des gens de Lettres, de pensée et de réflexion, et plus généralement des gens ayant bénéficié disons « d’une certaine éducation »… Le fait d’être Juif – ou étranger, de telle origine, ou d’une « catégorie sociale déterminée »… N’avait aucune importance… Ce qui n’était pas le cas dans la société française de 1942, majoritairement acquise (tacitement ou délibérément) aux  idées reçues et imposées, à l’antisémitisme ambiant…

     

    Ce film sorti en salle en janvier 2022, « fait écho » à un ordre de pensée, d’opinion, à propos d’antisémitisme ambiant, et qui – il faut le dire- est assez présent en France et en Europe dans les années 20 du 21ème siècle – et ressemble à ce qui régnait en France en été 1942… (Avec les persécutions et les rafles en moins – mais pas les agressions et les insultes et les violences sur les réseaux sociaux et dans l’expression publique)…

    D’une manière générale on peut dire que plus, largement plus de la moitié, aujourd’hui en 2023, de la population française, se retrouve dans un courant dominant d’ordre d’idée au sujet des juifs, mais également au sujet des étrangers, des « venus d’ailleurs », des migrants, des personnes suspectes, de mauvaise apparence, jugées responsables d’actes délictueux et de violences, d’agressions… Comme si la délinquance, la violence, l’incivilité, n’était pas « une affaire » intéressant l’humanité toute entière du haut en bas des échelles sociales… Mais « surtout » (et quasi essentiellement et décidé majoritairement) « une affaire » d’ethnie, de type de population, de différence cuturelle, d’origine, d’éducation, voire de couleur de peau!)

     

     

  • Manèges de chevaux de bois (ou à l'ancienne)

    Manege avec cochon

    … Ces manèges semblent « avoir le vent en poupe » notamment dans les lieux touristiques et festifs où se rendent en vacances, en visite, familles avec jeunes enfants…

    D’ailleurs, certains de ces manèges font aussi la joie de quelques « grandes personnes » se balançant verticalement le long d’une colonne sur laquelle est fixé un cheval de bois… Ou un cochon…

    Cependant, bon nombre de ces manèges – depuis quelques années récentes »- n’ont plus comme jadis, de cochon, bien visible, bien rose et bien « souriant », en posture de coursier, qui amuse petits et grands…

    C’est le cas en particulier dans les lieux touristiques fréquentés en été ou à l’année, par des étrangers « multi culturo-ethnique » venus en général, de « pays du soleil »… Ou dans des villes de France « très cosmopolisées » et où demeurent des communautés musulmanes…

    En effet, un manège à l’ancienne avec un « joli petit cochon » entre chevaux, ânes, carosses - citrouilles et voiture de pompiers… ça peut être « mal venu » par « certains »…

     

  • Les cultures de l'oralité

    … L’oralité dans la transmission des savoirs, des connaissances, de l’Histoire ; de génération en génération, impose (et d’ailleurs soutient et entretient) une capacité mémorielle que nous avons en partie perdue et qui s’est réduite, avec la transcription par l’écrit, des savoirs, des connaissances et de l’Histoire…

    C’est la raison pour laquelle les ethnies, les sociétés et leurs cultures, essentiellement orales et qui, pour certaines d’entre elles, raréfiées il faut dire, ont été conservées…C’est la raison pour laquelle ces ethnies, sociétés et leurs cultures sont demeurées quasiment intactes, ne se sont pas perverties… Mais sont demeurées inconnues ou mal connues…

    Notre capacité mémorielle, que la transmission des savoirs, des connaissances et de l’Histoire, par l’écrit, par le document, a réduite ; s’est trouvée encore plus réduite lorsque l’internet, la numérisation, avec Google et les moteurs de recherche et les logiciels, sont apparus et se sont généralisés dans le monde entier…

    Et avec notre capacité mémorielle réduite, s’est également réduite notre capacité à analyser, à réfléchir…

     

  • Hijab

    Hijab

    … Si le hijab « protège » la femme du regard des hommes – regard des hommes supposé concupiscent alors que le regard de la femme peut être, à la vue d’un homme, tout aussi concupiscent… Les hommes devraient eux aussi, porter le hijab (hijab version homme)…

     

    Cela dit, du fait que le hijab laisse voir le visage, et que le visage peut être comme d’autres parties du corps, « attirant »… C’est le niqab qu’il faudrait alors… Autant pour les hommes que pour les femmes…

    Car, question concupiscence, la femme est l’égale de l’homme ( mais dans une société de type patriarcal et de dominance masculine, où la femme n’a pas le même statut social – et « moral » (peut-on dire) que les hommes, le regard qu’une femme peut avoir à la vue d’un homme, n’est pas pris en considération – ou jugé indécent…

    Absurdes, le hijab ou le niqab dans une société où s’imposent les apparences et où femmes et hommes sont égaux en désirs, en rêves, en besoins, en émotions, et faits l’un et l’autre de la même chair, du même sang et des mêmes capacités physiques et intellectuelles…

     

    Chez les catholiques du 19ème siècle et de la première moitié du 20ème, les femmes portaient un fichu sur la tête leur cachant les cheveux, quand elles sortaient de chez elles… Mais les hommes, eux, laissaient apparaître leur chevelure sous le chapeau, sous le béret, sous la casquette…

    Absurde cette « moralisation » dans la manière de se vêtir, que les religieux et leurs principes, leurs obligations, leurs contraintes et leurs prescriptions, imposent aux hommes et aux femmes (mais surtout aux femmes)… Que les non religieux également, par les modes qu’ils lancent, par les engouements ou au contraire par les dédains et dégoûts et réprobations qu’ils suscitent, incitent hommes et femmes, le temps d’une époque ou d’une saison, à se conformer à des manières de se vêtir, de se coiffer, d’apparaître en public, et cela dans une société « consumériste » de recherche d’un bien-être « individualisé »…

     

    Mais tout aussi absurde est ce qui découle des modes, des engouements et de l’individualisme encouragé par la société de consommation : ces extravagances, ces outrances vestimentaires (d’hommes et de femmes), et tout ce que l’on peut trouver sur le marché de l’habillement, de complètement déjanté, d’ostentatoire, de provoquant, qui fait de l’effet et « en jette », qui « singularise » et étonne, tant pour les coiffures, chapeaux, bonnets, casquettes, pantalons ultra moulants, etc.

    … Comme s’il n’était pas possible de concilier sobriété, simplicité et élégance… Dans une « adéquation » entre vêtement porté et « intériorité » de la personne que l’on est, femme ou homme…

     

     

  • Élitismes et dominations

    … Le RN au pouvoir – peut-être en 2027 sinon même avant en cas de délitement et échec de la « macronie »… C’est (il faut le savoir car l’Histoire nous le rappelle) :

     

    -De l’élitisme (évidemment sur le modèle du RN ex FN ex Ordre Nouveau et précédents)… De l’élitisme « sous couvert de considération du bon peuple » (les « indésirables » n’étant plus tout à fait les mêmes et les « non élus » confondus dans ce qu’il convient d’appeler la masse des citoyens obéissants plus ou moins pétris de « vieilles valeurs », de religion, de bonne morale etc.) … Mais… D’une autre manière méprisés par les élites (les nouvelles élites) de telle manière que les méprisés du temps de la macronie ne se sentiraient plus méprisés comme par les « bobos actuels »… (mais ils sont ou seront qu’on le veuille ou non, bel et bien méprisés : excusez moi mais pour le changement (avec le RN) je ne vois pas trop ce que cela changera pour le « citoyen lambda »…

     

     

    -Et toujours la domination des possédants (des gros possédants, des lobbies, des grands groupes, de la grande propriété), du « Système » en fait - conçu bien pour les riches, pour les « méritants » (méritants à condition qu’ils se conforment aux règles et à la vision du RN)… Sous couvert de « reconnaissance du travail » et de « souci du pouvoir d’achat du citoyen lambda selon ce que « promet » le RN… (n’oublions pas que le RN est contre le SMIC).

     

    En ce qui concerne l’élitisme et la domination des possédants, le « bon citoyen lambda – celui qui vote RN et celui qui « sympathise » ou « tacitement souhaite ou envisage l’arrivée du RN au pouvoir … « en fait l’impasse, ne le voit pas, n’en parle pas, ou encore pense que « c’est dans l’ordre naturel des choses » et « que c’est comme ça que le monde a toujours fonctionné avec les riches qui dominent et profitent, et les élites qui dirigent et savent ce qui est bon pour le peuple »…

    Et ce même « bon citoyen lambda » qui se lève le matin pour aller travailler, qui ne manifeste pas dans la violence, qui est respectueux de ceci de cela, qui est vertueux, travailleur, très « pour la famille » (avec la Femme dans son rôle de femme), qui a peur de l’étranger suspicieux et de mauvaise apparence, qui veut une police efficace et une justice qui punit… Ce même citoyen lambda donc (c’est vrai qu’on est nombreux à être dans ce « profil »)… Vu comment « ça se goupille » avec la NUPES, la Macronie, ou la « droite classique »… concevrait que ce soit le RN qui gagne les élections !

     

    Juste une « petite remarque » : regardez dans les lotissements de « zones rurales urbanisées » le nombre de « baraques » bien clôturées (2 mètres de hauteur et autrement qu’avec une haie végétale ou en plastique et poteaux comme des allumettes), avec « portail balaise à digicode et ouverture fermeture sur télé commande » et… Cette pancarte sur le portail « Je monte la Garde » et donc, « toutou » genre doberman ou berger allemand qui – c’est écrit sous la pancarte - « ne met que 3 secondes pour aller de la terrasse devant la maison jusqu’au portail distant de 30 mètres »… ( Ça, déjà ça, les « amis », ça en dit long!)

     

    Bon, c’est vrai : les bobos parigos et de grande ville, qui vont au théâtre, roulent en vélo électrique « haut de gamme », dont les mômes font des études science-po et autre, qui vont en vacances à l’Île de Ré en location 3000 euro la semaine, ceux là, n’ habitent jamais dans des quartiers périphériques et encore moins des « cités » et ne sont jamais confrontés à la violence et à la délinquance de bandes de jeunes cagoulés lançant des cocktails molotov et munis de barres de fer !

     

    Alors de grâce les uns et les autres, réfléchissez cinq minutes à la façon dont le monde fonctionne (ça fait pas dans la dentelle, c’est dur/dur, et « ça se goupille »pas trop comme on le souhaite dans sa garce de vie !)…

     

    Mais… ne l’oublions pas, et, « sans faire dans l’angélisme bizounours » … Y’a encore de la beauté sur Terre (et des gens de bonne volonté) !