Articles de yugcib

  • Sans filtre

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    … De Ruben Östlund, sorti le 28 septembre 2022, Palme d’Or au Festival de Cannes de mai 2022, Prix du meilleur film Européen 2022… Diffusé sur Arte le dimanche 17 novembre 2024 à 21h, durée 2h 25…

    Avec Harris Dickinson dans le rôle de Carl

    Charlbi Dean dans le rôle de Yaya

    Dolly De Léon dans le rôle d’Abigail

    Vicki Berlin dans le rôle de Paula, la chef du personnel du Yacht

    Zlatko Buric dans le rôle de Dimitri, le milliardaire russe qui « vend de la merde » selon ses dires

    Et Woody Harrelson dans le rôle du capitaine Thomas Smith

     

    Sur un yacht de luxe en compagnie de personnages possédant de grandes fortunes et dirigeant des multinationales, deux jeunes mannequins de la « Fashion » Carl et Yaya, sont sélectionnés et invités à passer un agréable séjour en croisière…

    Une terrible tempête survient, le pire se produit, et les richissimes clients sont malmenés…

     

    Ce film met en évidence dans un humour ravageur, dans une insolence assumée et « sans filtre » donc ; tout ce qu’il y a d’exécrable dans le monde des ultras riches, notamment dans la scène du repas-soirée du capitaine qui tourne au cauchemar lorsque le yacht est secoué par les vagues gigantesques de l’océan en furie, ainsi que dans la scène des toilettes qui débordent et de la merde liquéfiée qui se répand partout… Car toute cette « merde » déversée est bien celle que produisent dans leurs œuvres les ultra riches pollueurs, arrogants, puants et assassins de notre planète, et « verrues » de la civilisation humaine…

     

    Cependant « un bémol » toutefois – à mon sens – en ce qui concerne la dernière partie du film : l’épisode de l’échouage sur une île… « un peu simpliste » dis-je, et « peu convainquant » (frisant la « morale à deux balles)…

    À l’exception peut-être de la scène de l’abattage de l’âne par assènement d’un rocher sur la tête de l’âne (plusieurs essais, l’âne n’arrive pas à mourir et émet des braiements de souffrance)… Scène qui « symbolise » à mon avis, la violence extrême et la cruauté des ultra riches… Sans commune mesure avec la violence manifestée par les « subissants » du « commun des mortels » qui, elle, cette violence là, est toujours condamnée, stigmatisée, sévèrement punie par les Tenants de l’Ordre du Monde et leurs polices et leurs armées « à la solde des dominants et des décideurs tous des milliardaires »…

     

    Ma conclusion ? « Merde à ceux et à celles qui concevraient que ce film soit censuré, considéré comme une « inepte caricature »… Voire une «réalisation terroriste » !

    Si « terrorisme » il y a, par la réalisation et par la diffusion de ce film, alors c’est un « terrorisme » auquel j’adhère pleinement…

     

     

  • Louise Violet, film de Eric Besnard

    Louise violet

    … Sorti le 6 novembre 2024, drame historique, film réalisé par Eric Besnard, avec Alexandra Lamy, Grégory Gadebois, Jérôme Kircher

     

    Dans la « France profonde – et campagnarde » de 1889, huit ans après la Loi de Jules Ferry (1881) imposant partout en France l’école publique, républicaine, gratuite, laïque et obligatoire ; il est certain que, dans de nombreux bourgs et villages des campagnes et selon les régions de notre pays, il n’existait pas encore en 1889, de locaux adaptés, ni de « matériel scolaire »…

     

    Louise Violet qui « débarque » dans le village se voit attribuer par le Maire une grange dans un bâtiment de ferme, qui sert à la fois de logement pour l’institutrice et de salle de classe pour les élèves…

     

    Le décor, l’atmosphère, l’environnement… Ainsi que l’accueil fait par les gens du village (froid, indifférent, hostile) à Louise, cette Parisienne rescapée de la Commune de 1871 (et qui avait été emprisonnée, prise sur les barricades) sont d’un réalisme cru et dur, à la mesure exacte de ce qu’était la France rurale et sociale de 1889… Un réalisme qui, à nos yeux de citoyens Français de 2024, nous paraît « exagéré » et « non crédible »… Mais c’était cependant la vérité de l’époque où dans les campagnes – et même dans les villes – régnaient obscurantisme, ignorance, supersticions et religion rythmant la vie quotidienne du pays…

     

    Rappelons que, dans la France d’alors, en 1889, pour des millions de gens de tous milieux sociaux, la Commune de 1871 « n’avait pas bonne presse » et que l’on disait « La Commune ç’a a été un ramassis de voyous, d’alcooliques, de feignants » … Et qu’en est-il, d’ailleurs, du jugement sur la Commune, de nos jours ?…

     

    À notre époque, du numérique, de l’internet, de l’Intelligence Artificielle, des Facs, des Grandes Ecoles, de l’info accessible à tous et instantanée, de tous ces équipements et appareils technologiques hyper sophistiqués, de toutes ces applis sur smartphone, de la bagnole, du TGV, de l’avion, des autoroutes et des Grandes Surfaces commerciales, de milliers de bouquins, des télés, des magazines, d’un mode de vie au quotidien de robotique, de domotique… Les obscurantismes, l’ignorance, les croyances empiriques, les préjugés, les modèles proposés, les clivages, les haines, les violences, les exclusions et rejets… Tout cela en vérité est à deux pas de nous, nous talonne, nous ratrappe…

    Et les ordres dominants avec leurs codes, leurs procédures, leurs principes, leur formatage, leur manière de gérer et de niveler la société… Portails électroniques et programmés de contrôle, caméras de vidéosurveillance, profils algorythmés… Tout cela nous écrase, nous conditionne…

    Et le pire dans tout ça, c’est que l’École est bien plus celle des Ordres dominants, que celle de la transmission des savoirs, de la liberté de penser et de réfléchir par soi-même !

     

     

     

  • Douter ou nier

    … Entre « douter d’une capacité de réflexion » et « nier l’existence d’une capacité de réflexion », il y a une différence…

     

    L’on peut douter, oui, de la capacité de réflexion d’un certain nombre de personnes – dont en particulier de quelques jeunes de 15 à 20 ans plus ou moins nombreux autour de nous … Mais nier l’existence d’une capacité de réflexion, qui peut-être existe, de qui que ce soit… Est pérempoire, et c’est comme déclarer formellement une porte fermée…

    Douter ce n’est pas nier…

    Douter c’est considérer difficile que puisse s’établir une communication, un dialogue, un échange avec telle ou telle personne…

    Nier c’est considérer impossible l’établissement de tout échange, communication, dialogue…

    Reste cependant la pesée qu’exerce le doute sur la possibilité d’un échange, d’un dialogue, d’une communication.

    La capacité de réflexion est dépendante de l’environnement familial, social et culturel en lequel chacun vit et évolue… Et donc, plus cet environnement est défavorable, et moins existe et se manifeste la capacité de réflexion… Quoique parfois, un environnement défavorable tout au contraire, peut contribuer à ce qu’une capacité de réflexion se développe…

     

  • De quels jeunes faut-il se soucier, pour leur avenir ?

    … Les citoyens – Français, de chacun des pays de l’UE, et, plus généralement de chacun des autres pays en dehors de l’Europe - « conscients et responsables » dans leurs comportements et choix de consommation (on va dire « vertueux » selon un Ordre du genre « c’est bon pour la planète »)…

    De quels jeunes – de moins de 30 ans et plus encore de 10-20 ans – doivent-ils se préoccuper, se soucier – pour leur avenir ?

     

    Certainement pas – ou peu – à mon sens, de ces « jeunes générations » de 10-20 ans dont les parents, les familles, sont attachés, conditionnés (et à l’aise de l’être) à ce mode de vie de « consommation de masse » en alimentation, équipements technologiques, bagnole, baraque, pognon, apparence, « tout tout de suite le moins cher possible et à gogo »… Car tous ces jeunes là, élevés et éduqués comme ils le sont, seront, jeunes adultes devenus et plus tard « s’ils y arrivent », « rassis » puis futurs retraités… Encore moins « conscients et responsables dans leurs comportements » que ne le sont de nos jours des millions de « seniors », de trentenaires, de quadras et de quinquas, tous attachés, conditionnés et « à l’aise de l’être », à ce mode de vie d’hyper consommation, de l’accessible immédiatement, et qui sont peu soucieux voire « je-m’en-foutistes » de l’avenir du monde…

     

    Cependant – il faut le dire – ces jeunes là, d’aujourd’hui, des années 2010-2020, adultes devenus, disons qu’ils auront alors « quelques difficultés » (que nous connaissons déjà nous les plus de 30/40/50 ans mais qui pour les futurs jeunes adultes seront plus accentuées, plus « dures »)… Et, j’ose le dire « tant pis pour eux »… En effet, la « gamelle » leur sera « moins garnie » et habitués comme ils le sont, à 15 ans, à 20 ans, à « avoir tout à gogo » ils ne pourront que « déchanter » !

     

    Les jeunes – de 10/20 ans – dont il faut assurément, et quasi essentiellement se soucier, sont ceux qui « éduqués » par des parents et des familles « conscients et responsables » sont déjà à leur jeune âge, eux-mêmes « conscients et responsables » : ceux là devenus adultes, dans le monde de demain, souffriront davantage en ce sens qu’ils seront pénalisés alors qu’il ne mériteront pas de l’être…

     

    Aussi, ces « Jules, Léa, Sophie, Habib, Kévin, Brice, David, Estelle, Boris, Sylvain, Philippe etc. ... » qui ont aujourd’hui 15 ans, 12 ans… De parents d’aujourd’hui du genre « tout est permis tout à gogo des tonnes de joujoux à Noël smartphone Tik-Tok Instagram et qu’à l’école on éduque dans le sens du développement individualiste personnalisé et non plus dans l’acquisition des savoirs… Je me fous et contrefous de leur avenir comme eux ces jeunes là se foutent complètement de ma vieillesse : entre eux et moi le fossé est pire que la faille du grand rift africain ! D’ailleurs je comprends que dalle à leur langage, à leurs pokémons, leurs lapins et leurs nounours, leurs toutous et autres bestioles virtuels sur applis, leur univers de gosses gâtés et capricieux… Et je fais un « bras d’honneur à m’en bleuir le creux du coude » à leurs parents qui font des « pendaisons de crémaillère » et qui divorcent au bout de 2, 3, 5 ans la baraque pas finie d’être payée le toutou on peut pas le couper en deux ! (rire iconoclaste, insolent et sarcastique)…

     

     

  • Mercosur, une calamité pour le consommateur et pour le producteur local, Français, ou d’un pays de l’Union Européenne

    … En France l’indication de l’origine des produits alimentaires est obligatoire pour la viande bovine, porcine, ovine, caprine et volaille…

    Sur l’emballage doit apparaître nettement le lieu de naissance de l’animal, le lieu d’élevage et le lieu d’abattage de l’animal…

     

    Dans le cadre de l’accord de Libre échange avec les pays hors Europe, Mercosur ; il est certain que le « bœuf Argentin – ou Américain USA, Canada- et que le « poulet brésilien » et d’une manière générale toutes les viandes bovines, porcines, ovines, caprines, et volaille provenant d’Amérique, d’Asie ou d’Afrique, proviennent d’animaux d’élevage nourris sans principe de précaution pour la sécurité alimentaire…

     

    Toutes ces viandes importées – sur ordre des patrons, PDG, directeurs de Grandes Surfaces Leclerc, Intermarché, Carrefour et Discount… Soit disant pour vendre moins cher aux consommateurs, reviennent effectivement, notamment avec des « promos » bien moins cher aux consommateurs à « petits budgets » qui achètent en quantité afin de mettre dans les congélateurs…

     

    Et ce sont ces mêmes viandes conditionnées en barquettes sous emballage, ou vendues « en gros » par des fournisseurs intermédiaires, que l’on retrouve dans les cantines des écoles, collèges, lycées ; dans les restaurants à « menu du jour », dans les collectivités assurant des repas, dans les maisons de retraite, les EHPAD et les hôpitaux…

     

    L’on ne peut que comprendre et soutenir la lutte, la colère, les manifestations d’agriculteurs et d’éleveurs en France et dans l’Union Européenne, contre cet accord « scélérat » - quasi « assassin » du Mercosur !

     

    Aussi, l’on doit s’attendre à voir survenir des manifestants en colère, dans des mouvements organisés, investir des Grandes Surfaces, se saisir des produits venus d’Amérique, d’Asie et d’Afrique notamment les viandes et charcuteries en emballages, les retirer brutalement des rayons et les jeter en vrac, en tas, sur les parkings à l’extérieur… Et que toute cette « barbaque scélérate » demeure exposée à l’air libre, au vu des consommateurs – dont certains seraient « médusés » (et peut-être outrés) mais d’autres, applaudiraient !

     

    Nous Français, avec nos produits – alimentaires et d’équipements – de très bonne qualité et donc « forcément assez onéreux », dans cet accord de Libre Echange à l’exportation – Mercosur – nous sommes perdants, car, dans les pays de Mercosur, il est certain que seuls, les acheteurs « aisés » peuvent se procurer nos produits de qualité !

     

    En revanche ce qu’exportent vers la France les pays du Mercosur, du fait de leur bas coût, est acheté par nos « pauvres » qui sont légions !

    De toute évidence, pour prendre un exemple, dans un restaurant « sélect » de Buenos Aires, ce n’est pas le « péon du coin » qui va se payer une entrecôte bordelaise ou charolaise !

    Et en France, le « smicard » du coin, lui, quand il va à LIDL ou à Aldi ou dans un Discount, il prend des côtes de porc à 1,90 euro ou du poulet brésilien étiquetté « conditionné en Union Européenne » à 6,50 euro le kg !

    Voilà la « vérité » sur le Mercosur !

     

     

  • Elle 94, Lui 97

    Couple 1

    … Est-ce là une « référence » ? Une « valeur » ?

    L’on pourrait le penser… L’on a envie de le penser…

    Peut-être…

    Peut-être pas…

    « Par les temps qui courrent ! »…

    Sur la photo de gauche, elle a 18 ans et lui 21…

    Sur la photo de droite, elle a 94 ans et lui 97…

    Il y a 76 ans qu’ils sont ensemble.

    Pour « idéaliser » - si l’on veut- « on va dire » que…

    Elle, à 18 ans n’avait jamais « connu » de garçon et que Lui, à 21 ans n’avait jamais « connu » de fille.

    Et que… Durant les 76 années que cette femme et cet homme ont passées ensemble, pas une seule fois l’un ou l’autre n’a « été voir ailleurs »…

    Enfin on va « supposer » ou plus précisément « imaginer » - pourquoi pas – que…

    La jeune femme et le jeune homme sur la photo de gauche « étaient tous deux – de leur temps- des anarchistes inclassables…

    Et que, elle à 94 ans et lui à 97, n’ont pas « changé d’un iota » leur « vision du monde, de la société, de la relation entre les êtres et les choses »…

    Et que « pour finir » pour l’une comme pour l’autre, il n’y aura « ni messe ni absoute ni dieu ni « cela est juste et bon » ni « grand pieu de marbre » mais juste un carré de terre avec en dessous, des cendres…

     

    Faut-il « idéaliser » ?

    Faut-il faire de ce couple un « modèle » ? … Ou une « légende à la Roméo et Juliette » ?

    Est-ce que les séparés au bout de 2 ans, de 5 ans… Ou au bout de 30 ans de mariage… Et qui ont « été voir ailleurs » - l’un ET l’autre ou seulement l’un des deux… Ça serait critiquable ?

    Est-ce que c’est la réalité du monde qui est « dans le tort » ? … Parce qu’elle « ne fait pas dans la dentelle », qu’elle est dure, injuste, absurde… Tout ce dont on la qualifie pour la fustiger, cette réalité ?

     

    Comme disait Arthur Rimbaud « Nous sommes voyants avec des yeux aveugles »…

    Et j’ajoute pour ma part :

    La clairvoyance implique l’existence d’une somme d’interrogations, de réflexions que l’on se fait de tout ce qui est, de tout ce qui se voit, se sent, s’espère ; de tout un travail d’approche, d’étude, de recherche… Dans la brève durée d’une vie humaine… La clairvoyance est incompatible avec les modèles…

     

     

  • Personnes vivant seules

    … Parmi les neuf millions de personnes en France qui vivent seules, hommes, femmes, célibataires, veufs et veuves, divorcés ou séparés ; un certain nombre de ces personnes seules sont des hommes et des femmes de plus de 50 ou 60 ans « normalement en bonne ou relative santé » qui n’ont pas forcément là où ils habitent en ville ou à la campagne, un voisin, un ami, une connaissance proche sur qui compter en cas de « pépin » ; dont les enfants se trouvent à plusieurs centaines de kilomètres voire dans un pays lointain…

    Cependant actives et présentes dans des associations, ou adhérentes à des groupes de personnes pratiquant la même activité – sportive, artistique, culturelle entre autres… Ces hommes et femmes vivant seuls dans leur maison, appartement, peuvent du jour au lendemain se trouver en cas d’accident domestique, de chute brutale dans un escalier, ou d’un malaise cardiaque, en grande difficulté au point de succomber… Et donc sans moyen de prévenir un ami, un voisin, un proche, l’une de ses connaissances, pouvant immédiatement et rapidement intervenir…

     

    Parmi les hommes et femmes vivant seuls ou isolés, âgés disons de 50 à 80 ans et « menant au quotidien des activités « normales » et « visiblement en relative bonne santé » (bien que parfois ayant des affections nécéssitant des traitements)… 60 % sinon jusqu’à 70 % des causes de décès subit sont liées soit à une défaillance cardiaque grave, soudaine, brutale ; soit à une rupture d’anévrisme…

     

    -Cas de défaillance cardiaque grave :

    L’un de ces cas est une dysfonction ventriculaire gauche (arythmie) sévère avec fraction d’éjection inférieure à 35 %.

    L’autre de ces cas est une thrombose coronaire (infarctus) au niveau soit de l’aorte droite, soit de l’une ou l’autre des deux branches de cette aorte droite (la « marginale » ou l’« interventriculaire postérieure »).

     

    -Cas de rupture d’anévrisme :

    Celle de l’anévrisme de l’aorte abdominale à l’endroit où cette aorte se divise en deux branches (les artères fémorales) soit au dessus de la bifurcation : anévrisme diamètre intérieur (lumière on dit) de moins de 50 %, soit au dessous de la bifurcation dans l’une des deux artères fémorales diamètre intérieur (lumière) de moins de 30 %…

    Et celle qui se produit par la rupture d’une artère ou d’une veine importante dans le cerveau (hémorragie cérébrale).

     

    L’existence d’un anévrisme apparaît très nettement lors d’un examen d’imagerie médicale scanner ou IRM ( thoraco-abdomino-pelvien et cerveau)…

    En règle générale, si la plupart des gens de plus de 50 ans « se font régulièrement suivre pour le cœur », en revanche pour le risque de rupture d’anévrisme on ne passe pas de scanner ou d’IRM seulement pour l’évaluation de ce risque. Parce que le plus souvent, un anévrisme « sans danger » (lumière de plus de 50%) n’est découvert que dans le cas d’un cancer suspecté… (par exemple un scanner ou une IRM prescrit à la suite d’une polyarthrite rhumatoïde susceptible d’être liée au développement d’une tumeur maligne essaimant dans la chaîne ganglionnaire).

     

    En matière de prévention il serait souhaitable que toutes les personnes vivant seules (ou non) de plus de 50 ans, passent un scanner ou une IRM thoraco-abdomino-pelvien ainsi que le même examen d’imagerie médicale pour le cerveau… Ne serait-ce que pour détecter la présence d’un anévrisme…

     

    Et alors une fois détecté, un suivi – au moins une fois par an – de l’évolution de l’anévrisme, peut être assuré ; et ainsi, contribuer à diminuer d’au moins la moitié des décès survenant pour cause de rupture d’anévrisme de l’aorte abdominale ou d’une artère du cerveau… Quoique dans le cas d’un anévrisme sur une artère ou une veine importante du cerveau, il n’y ait point à vrai dire de traitement médico chirurgical préventif… Alors qu’il en existe un pour prévenir et éviter la rupture d’anévrisme sur l’aorte abdominale : ce traitement consiste à introduire dans les artères fémorales à l’aide d’un cathéter (un tube) une endoprothèse (comme un stent) qui « écarte » la « lumière »… Traitement qui peut aussi être chirurgical (ouvrir l’abdomen pour atteindre l’aorte – mais c’est plus complexe du fait de devoir interrompre la circulation sanguine dans l’aorte afin de placer l’endoprothèse (chirurgie vasculaire)…

     

    Le cas où l’on ne retrouve une personne vivant seule chez elle, que plusieurs jours après sa mort, est malheureusement assez fréquent…

     

     

     

  • Le mépris de l'autre est toujours contre-productif

    … Celui ou celle qui, dans un mépris affiché et délibéré, de l’Autre ; accuse, conspue, dénonce, discrédite, foule aux pieds, et exerce toute sa violence, toute son agressivité dans la suffisance, dans l’orgueil, dans la certitude de ses savoirs et de ses acquis culturels, dans ses argumentations, dans ce qu’il montre, dans ce qu’il stigmatise des obscurantismes et des ignorances de l’Autre… Est en général plus écouté, plus suivi, plus cru, autour de lui ; que celui ou celle qui, au contraire, dans la réflexion et dans la clairvoyance, s’attache à comprendre le pourquoi et le comment des comportements de l’Autre, de ce qu’est l’Autre dans l’environnement qui est le sien…

    Et à « tant enfoncer le clou à coups incessants de marteau » il fend la planche, fait éclater la planche et la planche, cassée, fragmentée, réduite en copeaux, c’est une planche en moins pour la construction de la cabane…

     

    « J’étais d’une famille qui ne parlait pas le Français, qui ne lisait pas, et le seul endroit où j’avais une île à moi tout seul, une île de milliardaire, c’était la langue Française »

     

     

    [Kamel Daoud, écrivain, lauréat du Prix Goncourt 2024]

     

    … Dans ces familles où l’on parle mal le Français, où l’on ne lit pas, « encore heureux » -il faut le dire- que l’un ou l’autre des enfants de ces familles, ne soit pas empêché d’avoir « cette île à lui » qui est celle des livres, de ce que produit d’œuvres, la langue Française…

    Ignorer, méconnaître, en tant que parent, n’implique pas forcément d’empêcher son fils ou sa fille, d’apprendre, de savoir…

     

     

    … S’il est vrai que dans de nombreuses familles vivant en France, l’on parle et l’on écrit si mal le Français, et si dans bien de logements et de maisons en ville et dans les campagnes, l’on ne voit guère de livres sur des étagères et donc pas de meuble bibliothèque…

    S’il y a tant de banalités, tant de propos réducteurs qui foisonnent sur les réseaux sociaux, s’il y a autant de nos jours alors que tout le monde va à l’école, d’obscurantismes, d’ignorance, de préjugés ou d’idées reçues, et d’inculture… Oui l’on peut dénoncer, déplorer tout cela et le dire… Mais afficher son mépris à l’égard de l’Autre, non…

    « Prendre par la main » et essayer de transmettre, de trouver les mots qui touchent, oui c’est risqué parce que c’est se heurter à de la violence en réponse, ou que cela se révèle sans effet parce que se heurtant à de l’indifférence »…

    Mais écraser de son mépris et de sa suffisance de privilégié et de chanceux parce que vivant dans un milieu favorisé ou faisant partie de l’élite, cela élargit la fracture sociale, cela rend encore plus agressifs les piétinés et les conspués, cela fait de ces Ordres – ou de ces désordres – qui se bousculent, qui parfois l’emportent et s’imposent…

     

    Si le mépris de l’Autre est toujours contre-productif, et si le pardon ou la mansuétude ou encore le fait de tendre la main est assez souvent contre-productif… Il faut bien cependant à un certain moment selon la situation qui se présente, se résoudre à prendre le risque de tendre la main – tout en se protégeant de l’inacceptable, de ce qui met notre vie en péril…

    Faire coexister bonté et dureté n’a jamais été facile…

     

     

  • Contestataire

    Contestataire

    De toutes les vacheries

    De toutes les roueries

    De toutes les simagrées

    De toutes les hypocrisies

    De toutes les pueries

    À ta façon certes

    Et ce n’est peu dire

    Tant ta façon peut déconcerter ou surprendre

    Ne serait-ce que par ton langage

    Par tes propos

    Nous ne sommes point

    Toi et moi pour autant

    Du même bord

    En ce sens

    Que nous ne mettons pas dans l’Urne

    Le même bulletin

    Nous ne sommes pas du même bord

    Mais nous sommes du même « autre bord »

    Celui de ces personnes

    « Franches de collier »

    Et sur lesquelles on peut compter

    En toute confiance

    Les « bonnes personnes »

    Qui à leur manière sont des résistants

    À l’ordre scélérat

    À l’ordre auquel tant adhèrent

    Ou aux désordres faits ordres

    Qui font des communautés

    Partout

    Sur les réseaux sociaux

    Dans les villes et dans les campagnes

    Dans les esprits

    Dans les opinions

    Les « bonnes personnes »

    Des « vieux » comme des « rassis » comme des jeunes

    Et même des gosses et des ados

    Qui dans la rue te disent bonjour

    Sans te connaître

    Et que toi tu ne connais pas non plus

    Les « bonnes personnes »

    Sont  légions dont ne sait le nombre

    Sûrement plus grand que l’on ne le croit

    Ce sont ces « amis les danseurs »

    Ces « amis de la promenade »

    Ces «amis de la musique »

    Ces « amis de la nage »

    Ces « amis de la bricole »

    Ces « amis du vélo »

    Ces « amis des minous »

    Ces « amis de tout ce à quoi on fait partie »

    Que l’on retrouve de temps à autre

    Un temps où l’on est tous de cet « autre bord »

    Celui de la résistance

    À l’ordre qui domine aujourd’hui

    Qui dominera encore demain

    Qui ne cesse d’être donné gagnant

    Et dans lequel cependant

    De « l’autre bord » que nous sommes

    Nous faisons partie

    Et que nous reconnaissons tel qu’il est

    Tout en le combattant

     

    À un ami, disparu à la fin de l’été 2024

    « prolixe en paroles mais discret et « franc de collier »

    Un « petit bout d’absolue confiance »

    Qui « s’est fait la malle » hélas

     

     

  • L'aire du Bourbonnais

     

    Aire

    … Cette aire d’autoroute, l’une des plus vastes en France avec ses aménagements boutiques restauration et services, située au carrefour de l’A79 et de grands axes Est-Ouest et Nord-Sud, à Toulon sur Allier près de Moulins ; est « tout à fait représentative » du monde marchand mondialisé technologique du 21ème siècle… Les prix pratiqués, de tous les produits d’usage courant ou particulier, alimentaire et boissons ; et de toutes sortes d’équipements et appareils pour véhicules ainsi que les produits de loisir et destinés à des cadeaux… Sont à la mesure de ce qu’en général, les gens de passage acceptent de payer (c’est à dire « le prix fort »)…

    Cependant, il faut reconnaître que pour la restauration – notamment « rapide » - les prix pratiqués sont « relativement normaux » - donc pas excessifs… Quoique… Un sandwich au jambon blanc 7 euro…

    L’affluence à cette aire d’autoroute y est permanente, de jour comme de nuit et à toute heure, et bien sûr en été encore plus importante…

    J’ai imaginé ce que serait – en 2090 par exemple- (je ne serai plus là pour le voir) cette aire du Bourbonnais de Toulon sur Allier, ayant « évolué » dans un monde marchand mondialisé de « nouveaux » produits de consommation et de services, avec les technologies de l’Intelligence Artificielle « fin du 21ème siècle »…

     

     

  • Liberté, tolérance

    … L’on ne voit sur Terre aucun arbre d’une hauteur très largement supérieure à la hauteur d’un séquoïa géant… Par exemple de 300 mètres de haut…

    Et aucun arbre sur Terre n’a de branche d’une longueur de 50 mètres…

    Il en est de même de la liberté et de la tolérance, qui sont comme des arbres dont la croissance et l’envergure dépendent de forces et de principes naturels…

    Or dans les pays du monde où règne « en principe » - et donc « idéologiquement » la liberté de s’exprimer et d’entreprendre, ainsi que la tolérance…  Aux forces, aux principes, aux lois, à l’ordre naturel et universel, se sont substitués des désordres qui se sont imposés comme des ordres, en réaction d’opposition à des ordres établis…

    Et c’est ainsi qu’abîmée, la liberté disparaît sous l’emprise d’un ordre qui revient au pouvoir et renforce son autorité…

    Et que la tolérance qui accepte tout, creuse la fosse dans laquelle elle tombe et est ensevelie…

     

  • Le pire est à venir

    … Les Américains marchent sur la tête : ils élisent Président du pays le plus puissant du monde, un type qui a qualifié Kamala Harris de « vice-présidente de merde » en public, devant les médias et les Télés, et qui en novembre 2020 a investi et pris d’assaut le Capitole comme pour un « coup d’état » en contestant par la violence l’élection de Jo Biden, et qui, encore, était passible de 4 ans de prison ! (recel de documents, falsification de comptes, surévaluation frauduleuse d’actifs)… On aura tout vu, mais le pire est à venir…

    J’imagine que lors de l’attentat – tentative d’assassinat- dont il a été victime, le tireur devait être d’élite pour atteindre seulement l’oreille (et ainsi laisser croire au monde entier qu’il avait loupé Trump entre les deux yeux) …

    Et dire que plus de la moitié de la planète – en nombre d’humains c’est bien plus que la moitié- dit « amen » et trouve « pas si mal que ça » voire approuve, que Trump soit élu – à commencer par tous les partis d’extrême droite, par les dictateurs et autocrates et les curés, les imams et les rabbins – plus Kim-Jong-Un et Poutine…

    Dans notre pays, la France il est certain qu’un certain nombre de gens ayant voté dernièrement pour le RN – mais pas seulement – ne « voient pas d’un mauvais œil » que Trump soit élu – sans compter ceux qui sont nettement « pro » !

    Le climatosceptique Trump à la 29ème conférence sur le changement climatique – COP 29- à Bakou en Azerbaïdjan du 11 au 22 novembre 2024… Ça promet !

     

     

  • Grand Hôtel du Merdier

    … Le fait que des millions de personnes de par le monde, de toute génération, adoptent et se livrent à de mêmes comportements d’une vulgarité, d’une banalité aussi crasse que généralisée, de consommation, de loisirs, de lectures tout cela dans le culte de l’apparence, dans la médiocrité autant culturelle que relationnelle, dans un individualisme aussi exécrable qu’ostentatoire et revendicatif… Ne fait pas de ces comportements, de ce à quoi adhèrent des millions de personnes, des vertus, des modèles …

    Le fait qu’elles partagent les mêmes erreurs, les mêmes croyances, ne fait pas de ces erreurs et de ces croyances, des vérités…

    Et lorsqu’en face de ces comportements exécrables, de ces erreurs et de ces croyances qui font le monde que l’on connaît tel qu’il est, tel qu’il devient ; se lève un vent de colère, de révolte, de celui, de celle, de ceux qui n’adhèrent pas et subissent… Toujours se lève aussi toute la hargne d’une majorité outrée d’être conspuée…

    Et quand « Dieu s’en mêle » c’est encore pire, le « Grand Hôtel du Merdier » !

     

     

  • J'irai jamais ...

    … Aux États Unis d’Amérique de Donald Trump, et ne verrai donc pas en « voyage Touropérator » et encore moins en « voyage par mes propres moyens », le Grand Ouest Américain et son Grand Canyon et ses paysages de western, les grandes plaines à perte de vue entre les Appalaches et les Rocheuses, je n’arpenterai pas les rues, les avenues et les quartiers « emblématiques » de New York City, en touriste lambda avec une casquette sur la tête…

     

    Personne, absolument personne – puisque « là bas » de l’autre côté de l’Atlantique je ne connais personne- ne m’invitera chez lui ni ne m’attend, ne sachant même pas d’ailleurs que j’existe… De toute façon, aux USA la moindre chambre d’hôtel pour une nuit sans petit déjeûner doit coûter plus de 100 dollars…

     

    L’Amérique de Trump ne me fait pas rêver, je ne serai donc jamais un touriste débarquant à l’aéroport JF Kennedy devant passer par je ne sais combien de portails électroniques de reconnaissance faciale (et plus que faciale il faut dire), et devant remplir un formulaire de 10 pages…

     

    Et, outre ma désaffection totale et absolue pour l’Amérique de Donald Trump, le samedi soir où sur France 5 dans « Échappées Belles » il sera question d’un reportage dans le Wyoming ou le Montana, avec le folklore des gens du coin en fête conviviale repas populaire et concours rodéo – tous des gens qui vont à l’église le dimanche et qui font la prière avant chaque repas- eh bien ce soir là je ferai l’impasse totale de « Échappées Belles » !

     

    C’est que la « culture Trump Américain lambda moyen qui peine à situer la France sur une carte et se tape des bières au saloon du coin en discutant de tout et de n’importe quoi avec ses potes (la revue de tous les potins mis à la sauce de chacun) … Cette « culture » là c’est pas la mienne !

    Et leur « dieu partout » il me gonfle !

     

    Le seul endroit des États Unis d’Amérique, cependant, qui pourrait encore me faire rêver et, peut-être m’inciterait à m’y rendre en voyage, serait la Californie et Los Angelès, car cette partie des USA n’est pas « l’Amérique de Trump » - mais plutôt celle de ce que seront les JO de 2028 à Los Angelès et qui d’une certaine manière (différente certes) « ressemblera » à ce qu’ont été les JO de Paris en 2024…

     

    Cela dit, n’ayant aucun parent fût-ce un cousin éloigné, aucun ami, personne pour m’accueillir à l’aéroport de Los Angelès… Et débarquant avec une valise ou un sac à dos, sans avoir préparé ou organisé à l’avance mon séjour, il ne me resterait plus qu’à héler un taxi – entre 50 et 100 dollars la course – et me faire conduire – pour la première nuit- à la connaissance du chauffeur de taxi, dans un hôtel « bon marché » à disons 150 dollars la nuit sans petit déjeûner…

     

    Après, dès le lendemain, avec l’option internet 4G ou 5G Europe et USA 200 Go mois ; je regarde ma liste d’« amis » sur Facebook, et « miracle » je tombe sur un « ami un peu déjanté sur les bords » qui demeure à Los Angelès, et avec lequel j’échange de temps à autre ; et je lui envoie par Messenger « peux-tu m’héberger » ? (rire)…

     

     

  • Passé 75 ans

    … Est-ce que, passé 75 ans, c’est être très limité et « défaitiste » et donc regrettable, est-ce que c’est une « vision rétrécie » à plus de 75 ans, question projets et activités dans un avenir proche ou peu lointain (2 ou 3 ans par exemple) de ne plus rêver de se rendre en Terre de Feu, en Nouvelle Zélande « par ses propres moyens » - et donc pas en « Touropérator » séjour trajet tout compris, c’est- à dire selon ce qui a pu être envisagé « quelques années plus tôt quand on avait seulement 65 ans », avec un billet d’avion Aller Retour en « vol sec », location d’un camping-car à l’aéroport d’Auckland en Nouvelle Zélande ou à Ushuaïa en Argentine, et de crapuhuter par étapes durant un mois… Ce qui « eût coûté » (ou coûterait) bien plus que le prix de 2 vélos électriques de « moyenne gamme » - un pour monsieur, un pour madame…

    C’est que, passé 75 ans, le vélo électrique – autant que possible « pas trop bas de gamme », c’est disons « une option » peut-être plus « facilement envisageable » que de « se prendre la tête pendant 6 mois pour organiser un voyage par ses propres moyens en Terre de Feu ou en Nouvelle Zélande !

     

    D’une manière générale, passé 75 ans, est-ce que c’est « très limité » ou « très restrictif » de ne plus avoir en perspective de projets difficiles à réaliser qui nécessitent de devoir « se prendre beaucoup la tête » pour finaliser ces projets nécéssitant une somme d’énergie, de détermination, de volonté, d’effort ? Et qui exigent de devoir souvent se déplacer loin, de se soummetre à des procédures complexes et contraignantes (souvent d’ailleurs absurdes) dans un monde hyper numérisé formaté réglementé internétisé d’une complexité sans cesse accrue ?

    C’est que de nos jours (et de plus en plus d’une année à l’autre), rouler, stationner en bagnole en grande ville , prendre le train ou l’avion sur un long trajet avec des passages de frontières, réserver pour ceci pour cela, ça devient très « galère » ( de quoi s’énerver, partir en courant, abandonner, ou se révolter )… Et en plus quand il faut se heurter et subir l’agressivité, le mépris, la condescendance de gens peu disposés à te venir en aide… ça rend la galère encore plus insupportable (et l’on ne rêve plus alors que de l’éviter cette galère qui te pourrit la vie et ne t’apporte rien, rien de rien en ce sens que ça te grandit pas, ça te rend pas plus fort ! Au contraire ça te casse !)

     

    Résultat : le jour (chaque jour qui passe) où il n’y a pas un train, un avion à prendre, à aller dans une grande ville en bagnole, à se prendre la tête pour une réservation, pour suivre une procédure complexe, pour « batailler »… Juste à prendre son vélo pour une virée de 40 bornes dans la nature, ou lire un bon bouquin, ne pas être emmerdé par quoi que ce soit qui te pourrit la vie, c’est un jour heureux !

     

    Conclusion qui s’impose : ce monde numérisé, hyper règlementé, de procédures complexes, de contraintes, d’obligations, où il faut savoir faire, maîtriser, réagir très vite… N’est pas fait pour les « vieux »… Ni d’ailleurs pour les malhabiles de 25, 30, 40 ans…

    D’autant plus que les « ceu’s zé celles qui savent faire », te « snobent », te méprisent, te prennent pour un demeuré (et te le font savoir à leur manière et dans une agressivité manifeste ! Et t’éliminent de leurs relations )!

    Et c’est pour ça que, quand leur toiture s’envole ou que leur bagnole est écrabouillée sous un arbre qui tombe, dans une tempête, je ne les plains pas ces enfoirés !