Articles de yugcib

  • Blanc ou Noir

    … En toutes choses, humain, être vivant, pays, société, culture, mode de vie, passé, avenir, histoire… ( pour « religion » je ne saurai dire ou plus exactement je ne sais pas quoi dire d’autre sinon de mauvais très dominant)… En toutes choses donc, rien n’est « tout blanc » ou « tout noir »…

     

    Le blanc et le noir ne se mélangent pour former du gris, qu’en dessin ou en peinture car en toutes choses existantes – en particulier l’humain, la société, un pays, une culture, une civilisation, une idée, une pensée, un agissement – il y a pour le blanc des nuances de blanc et pour le noir des nuances de noir ; le blanc étant la clarté, la lumière ; le noir étant l’obscurité, la sombritude, l’absence de clarté… Le blanc, encore, symbolisant le bien, ce qui est bon ; le noir symbolisant le mal, ce qui est mauvais…

     

    Et les nuances autant dans le blanc que dans le noir sont innombrables, par exemple il ya le blanc écru, le blanc neige, le blanc mat, le blanc brillant, etc. … Il y a le noir ciel de nuit, le noir bleuté, le noir d’encre, le noir brou de noix, le noir de jais, etc. …

     

    En toutes choses existantes, les différentes nuances de blanc et les différentes nuances de noir co-existent ou peuvent être associées – dans la contradiction et en opposition ou dans la complémentarité – mais ne peuvent se mélanger au sens de ce qu’est un mélange (comme en dessin ou en peinture du gris)…

     

    Ainsi la bonté et la méchanceté ne se « mélangent » pas : elles peuvent être associées en existant l’une la bonté et l’autre la méchanceté, comme par exemple une pièce de monnaie présentant toujours deux faces…

     

    La question se pose du choix, de la préférence, de l’adhésion, du « parti à prendre » en toute chose existente, lorsqu’il nous est quasiment impossible de demeurer neutre ou indifférent… Aussi ce que l’on choisit, ce à quoi on adhère, ce qui nous incline d’un côté plutôt que de l’autre ; ne peut être que pris, porté en soi, qu’avec tout son contenu, ce contenu fait de blanc et de noir… Et avec ce que cela implique de réflexion, de mesure, de regard, d’acceptation (mais d’acceptation sans adhésion, sans pour autant approuver)… Par exemple dans un combat pour se défendre, dans une cause que l’on soutient et pour la quelle on se mobilise, l’acceptation sans y adhérer, des conséquences collatérales néfastes voire désastreuses et entraînant des victimes, des morts, des blessés, lors d’une opération de guerre… Fallait-il en juin 1944, depuis les navires destroyers bombadiers des forces armées alliées, ne pas tirer au canon sur les côtes françaises et donc ne pas détruire des villes, des villages, épargner les habitants de ces villes et villages ?

     

    Quand on a un ami, une personne que l’on apprécie et soutient, un fils, une fille, un père, une mère, un voisin que l’on fréquente ; que l’on fait partie d’une association, d’un groupe, d’une communauté… Pour autant que cet ami, que cette personne appréciée, que ce fils, que cette fille, que ce père, que cette mère, que cette association, que ce groupe, que cette communauté « entrent dans notre vie » on les prend en soi avec « tout leur contenu fait de blanc et de noir et de toutes les nuances de blanc et de noir »… Ce qui exclut – ou « devrait exclure » une « rupture brutale et radicale » (notamment à cause d’un différend, d’un « pétage de plombs » de l’un ou de l’autre à un moment donné, lequel « pétage de plombs » ne « reflétant pas », pas du tout, ce qu’est dans sa « vérité/réalité » la personne concernée…

     

     

  • Féminité

    Femme en noir et blanc

    …La Féminité à l’état pur…

    Rien à voir avec ce que l’on voit habituellement dans les espaces publics – de passage et de lieux fréquentés – notamment en se promennant en ville : ces jeunes filles et femmes en pantalons très moulants, fesses bien apparentes, quand ce ne sont pas blue-jeans troués ou faussement rapiécés ; et… « quincaillerie » de piercings, bijouterie « à 2 balles », maquillage fond de teint etc. …

    Bon, je le dis « tout net » - à ma manière : « je n’ai rien contre » étant pour la liberté dans l’apparence que l’on se donne, dans ce que l’on veut montrer de soi aux autres (en souhaitant cependant que cette liberté soit assumée selon un choix personnel - et donc non influencée par la mode, ou par ce que les autres font, se mettent sur le dos et qui est « en vogue »)…

    Mais… Tout de même… J’ai une très nette préférence pour ce que l’on voit sur cette photo… Je le redis encore : « la Féminité à l’état pur » !

     

     

  • Post mortem amigos et désamigos ! (surtout désamigos)

    … Du fin fond du plus lointain et plus profond sous-sol où votre descenseur m’aura mené et précipité dans la sombre, très sombre et interminable galerie aussi chaude et moite qu’une nuit de février à Mayotte…

    Je n’aurai de cesse de venir hanter durant vos nuits, tous ces rêves que vous faites et qui n’ont jamais été les miens…

    Et, sur la rivière égoût, artère principale de cet espace sombre, chaud et moite comme une nuit de février à Mayotte, je voguerai sur mon bateau pirate, bras-d’honneuramant de toutes mes forces, giclant tout mon vocabulaire non aseptisé qui, par les failles sinuant à travers les couches de terrain, de marne, de cailloux et de sable, et jusqu’à la terre de vos jardins, viendra vous puer au nez…

    Amen et Ramen… « Braves » et même « très braves » gens…

     

     

  • Comment peut-on mesurer l'état d'une société humaine ?

    … L’un des principaux critères d’évaluation d’une société humaine de tel ou tel pays dans le monde, c’est celui relatif aux déchets et aux déjections de toutes sortes que l’on aperçoit dans l’espace public en ville répandus sur les trottoirs, au long des rues et des passages ainsi que sur les places et dans les jardins publics, à l’intérieur même de bureaux, de salles, de halls qui sont des lieux fréquentés par tous ; mais aussi et encore dans le paysage environnant, au bord de routes, de chemins, en forêt, sur les plages ; autour des containers de poubelles disposés en des endroits déterminés…

     

    Des déchets ménagers, boîtes de conserve, bouteilles en verre ou en plastique, papiers d’emballage, ainsi même que de gros objets usagés ou cassés tels que des appareils ménagers, des télévisions, du mobilier, de la vaisselle, des matelas, des seaux et récipients, des gravats, toutes sortes d’objets métalliques ou en plastique, dont les gens se débarrassent sur la voie publique ou au bord de chemins ou en forêt…

    Tout cela lié à des comportements de tout un chacun, de négligence, d’irresponsabilité, de mépris, d’irrespect, d’incivilité…

     

    Or qu’est-ce qu’une société humaine sinon un ensemble de toutes ses composantes c’est à dire d’une part les autorités civiles, d’état, gestionnaires de l’environnement urbain et paysager, et surtout d’autre part les citoyens que nous sommes tous chacun vivant en famille, en collectivités, ou individuellement – et avec nos comportements ?

     

    Une société dans tel ou tel pays – ce qui est le cas de la France mais pas seulement – qui rejette ses déchets dans l’espace public et dans les paysages, en une quantité ne pouvant pas passer inaperçue, dans les rues en ville, sur les trottoirs, au bord des routes et des chemins et en forêt, et qui de surcroit saccage ses poubelles et les laisse déborder sans tri sélectif en posant des sacs éventrés et toutes sortes de détritus en tas autour des containers de dépôt… Est une société déliquescente ou en déclin, qui ne « mérite » que ce qui lui arrive de fâcheux et la malmène « dans son ensemble » c’est à dire sans distinction entre les « bons » ou les « mauvais » citoyens…

     

    L’état d’une société humaine se mesure donc – entre autres – à la quantité de déchets et de déjections répandus dans les espaces publics et dans les paysages. Lorsque cette quantité de déchets rejetés ne peut plus passer inaperçue et qu’elle s’impose au regard là où nous nous déplaçons et en particulier au bord des routes et des chemins, alors cette société ne mérite plus la moindre considération, ne suscite aucune bienveillance…

     

    Et si l’on ajoute à ce que l’on fait de nos déchets, toute la violence, toute l’agressivité des uns et des autres, la somme de toutes les incivilités, de tous les individualismes forcenés – tout cela au quotidien – alors « bonjour et bienvenue dans le monde des années vingt du siècle 21 en France, dans l’Union Européenne et plus généralement de par le monde entier » … Une « préfiguration » de l’enfer qui nous attend – de notre vivant, de ce qui reste encore de notre vie à venir…

     

     

  • Violence et agressivité

    … Dans la violence et dans l’agressivité ambiantes au quotidien en de nombreuses situations conflictuelles, particulières et difficiles ; il y a un aspect de cette violence et de cette agressivité auquel on ne pense pas forcément mais qui explique en partie la violence et l’agressivité ambiantes au quotidien, entre personnes en relation les unes avec les autres…

     

    En effet, dans le cas de personnes ne se sentant pas ou peu acceptées par les autres du fait de leur différence en ce qui concerne ce qu’il est courant d’être, de paraître, de faire et qui est commun, habituel à beaucoup d’entre nous là où l’on vit…

     

    À force de se sentir observé, critiqué dans son mode de vie, dans ses habitudes de consommation, dans la manière d’arranger l’intérieur et l’extérieur de son habitation (ce qui est loin d’être la priorité des intéressés), dans la manière en somme de concevoir son existence au quotidien, dans ses activités, loisirs, déplacements…

     

    À force de se sentir « mis de côté » ou peu fréquenté ou évité par les autres (dont des proches) pour tout un ensemble de ces raisons évoquées de mode de vie, d’habitudes etc. … Et, à considérer certains regards qui en disent mieux et plus incidieux que des paroles prononcées, certaines réflexions et allusions faites « à propos » (et bien appuyées et de surcroît répétitives)…

     

    À force de tout cela l’on finit par arriver à devenir agressif, hargneux, violent, à l’égard des autres (dont des proches)  supposés enclins à nous éviter, à nous déconsidérer, à nous critiquer – et qui en aucun cas, ne nous acceptent tels que nous sommes…

     

    Bon nombre de ces personnes différentes des autres dans leur mode de vie, dans leur pensée, dans leur vision de la société et des rapports humains, ainsi que dans leur rapport avec l’argent et avec les « choses matétielles » (maison, voiture, biens que l’on possède)… Sont pour la plupart d’entre elles – avant qu’à force de… - des personnes « ni meilleures ni plus mauvaises que les autres », parfois même des personnes « paisibles » et ne cherchant à nuire à qui que ce soit… Mais, justement, « à force de... » ces personnes deviennent plus dures avec leurs semblables, plus rebelles, plus « retranchées dans leur intériorité »… Cela pouvant aller dans le pire des cas, à une forme de « suicide social » ; à tout le moins à un « silence relationnel » manifesté en réaction, à un refus de « faire le premier pas pour renouer »… (et à la place du premier pas, un « bras d’honneur »)…

     

     

  • Vivre et fonctionner au quotidien, différemment de ce qui est courant ou dans l'ordre des choses

    … Au travers de toutes les époques historiques, selon les modes de vie qui ont été ceux de la plupart des gens en tel ou tel siècle – et cela d’autant plus « marqué » de nos jours – le « commun des mortels » dans une immense majorité, a toujours « fonctionné » sur le plan de la pensée, des ambitions, des projets, de l’idée qu’il se fait de ce qui est matériel, pragmatique, de ce qu’il possède ou souhaite acquérir tout au long de son existence , de l’apparence des choses et des gens, en somme dans son mode de vie au quotidien et de son rapport avec les autres – sa famille, ses connaissances, ses amis, ses relations autant durables qu’occasionnelles… A toujours fonctionné donc, à peu près de la même manière selon ce qui, à telle ou telle époque était courant, habituel, commun à la plupart des gens…

     

    Aussi les personnes qui ne fonctionnent pas comme les autres dans leur quotidien de vie, en ce qui concerne les « choses matérielles de la vie », leur rapport avec les autres y compris les gens de leur famille, leurs propres enfants, dans leur pensée, dans leurs aspirations, dans leurs projets (pour autant qu’ils en aient), au sujet de ce qu’ils peuvent posséder ou envisager d’acquérir, de leur apparence (manière de s’habiller, de se montrer) ainsi que de l’apparence des autres, de l’activité ou de la profession exercée par un tel une telle, de ce que représente par sa place dans la société, un tel une telle, d’où il/elle vient… (Cest fou ce que l’argent, les possessions matérielles, maison, voiture, bijoux, objets de valeurs, c’est fou ce que les gens font d’important et de référent dans la vie, c’est fou ce que les apparences sont prioritaires dans l’esprit des gens)…

     

    Aussi, donc, pour les personnes qui ne fonctionnent pas comme les autres dans leur quotidien de vie, qui pensent, agissent différemment - dans un sens « diamétralement opposé à ce qui courant ou considéré « dans l’ordre des choses », qui ont un rapport différent avec ce qu’ils achètent pour se nourrir, pour s’habiller, pour s’équiper ameublement, appareils divers etc.)… La vie actuelle en ce premier quart de 21ème siècle, telle que l’on doit « en principe » la vivre, n’est-elle pas faite, pas du tout faite pour ces personnes là qui fonctionnent différemment du commun des mortels…

     

    Et… Soit dit en passant … Pour les handicapés, pour les maladroits, pour ceux et celles qui ne savent pas trop comment faire (surtout dans les procédures et technologies actuelles), pour les personnes devenues très âgées ; en dépit du progrès, des dispositions prises par les autotités civiles et des aides sociales… La vie actuelle au quotidien, en ce premier quart de 21ème siècle, n’est pas faite pour eux non plus, loin s’en faut !

     

     

  • Un sujet-texte de philosophie pour le BAC

    … Dans la complexité et dans la diversité de la personnalité humaine résident des contradictions et des incompatibilités rendant impossible d’être globalement « pour » tel ou tel « ordre des choses », ordre prescrit par un « comité directeur » selon une « ligne » devant être acceptée par tous au risque d’être considéré dissident et d’être rejeté…

    Et réciproquement, ces contradictions et ces incompatibilités rendent tout autant impossible d’être globalement « contre » tel ou tel « ordre des choses »…

    Il y a donc dans un « ordre des choses » dominé par un « ensemble de principes constituant une base ne pouvant en aucun cas être remise en question - qui peut être une idéologie religieuse, une croyance, une foi, une « vision du monde et de la société », un parti politique, dans un « ordre du Bien ou un ordre du Mal » que l’on se fait en soi… De l’acceptable et de l’inacceptable, du « qui fait du bien » et du « qui fait du mal », du « là où l’on se rejoint » et du « là où l’on se disjoint »…

    L’« histoire en somme, de l’eau du bain et du bébé » - avec cette réalité quasi incontournable du trou de la baignoire qui forcément ne laissera pas passer le bébé, à moins d’aggrandir le trou avec une disqueuse pour que le bébé passe avec l’eau sale, ou de presser le bébé comme un citron pour qu’il passe dans le trou de la baignoire…

     

    Peut-on, par exemple, être antisémite, être Poutinien, ne pas condamner les totalitarismes et le nazisme, être un pédophile meurtrier en puissance d’un enfant, un religieux fanatique tueur au nom de Dieu… Et cependant, en promenade sur une chemin de montagne, retourner un bousier pattes en l’air dos au sol ou, au passage entre deux haies, éviter de déchirer une toile d’araignée ?

    Un nazi, un antisémite, un religieux fanatique et une personne de bonne volonté qui elle a le nazisme, l’antisémitisme et le fanatisme religieux en horreur… Peuvent-ils se « rejoindre» (si l’on peut dire) en un moment particulier où ils se trouvent en face de « quelque chose de la beauté du monde » - par exemple un morceau de musique, un paysage d’une très grande beauté ?

    En somme, est-ce compatible d’être antisémite et cependant en capacité de retourner un bousier sur ses pattes ?

    Il n’ y a peut-être pas d’autre réponse à cette question relative aux contradictions, aux incohérences de la personnalité humaine… Que la complexité de la personnalité humaine elle-même…

     

     

  • L'évocation du journal d'Anne Frank dans les écoles

    … Dans les programmes scolaires en Histoire…

     

    … Notamment en France et en Allemagne – et dans les pays de l’Union Européenne « par les temps qui courent » - temps de montée de l’antisémisme « activée » par la défense de la cause palestinienne dans les milieux gauchisants » , serait, aux yeux de « certaines autorités » (et intellectuels) dans les milieux enseignants et au sein de partis politiques ayant des groupes dans les parlements des pays de l’UE « contestable » et « sujette à polémique » en ce sens que, du fait du nombre de migrants issus des pays du Moyen Orient et du monde Arabe, et donc d’enfants de migrants scolarisés dans les écoles des pays européens ; il ne serait pas « décent » de conserver dans les programmes d’Histoire, le récit dramatique de cette jeune Juive, Anne Frank, morte assassinée en déportation au camp de Bergen – Belsen.

    En effet, selon « eux » - ces salauds de « cafards antisémites » et de leurs « implicites soutiens » - les enfants et adolescents scolarisés, de parents migrants du monde arabe, ayant fui les bombardements et vécu des jours dans la terreur, dans la précarité, dans l’insécurité et dans la misère, trouveraient que « faire cas de cette jeune fille Juive martyre » ce serait déconsidérer leur souffrance, leur drame vécu, à tous ces enfants et adolescents scolarisés dans les pays de l’UE…

    « On en est là » aujourd’hui, et c’est « proprement scandaleux » de « ré-assassiner » une deuxième fois en 2023, la mémoire d’Anne Frank !

    Cela donne une idée qui fait « froid dans le dos », du niveau d’antisémitisme atteint aujourd’hui !

     

  • Mamy's in the years 2040

    Mamy s dans l ventMamy s storie s r

    … Dans les maisons de retraite des années 2040 et 2050, « si tant est qu’elles seront alors peuplées de personnes encore relativement bien valides » et « dans la mesure où les investisseurs grands groupes et gestionnaires d’EHPAD que sont Korian, Orpéa, DomusVi, Colisée, Domidep, Emera, LNA Santé, Sedna… Trouveront encore rentables de construire de nouveaux et plus nombreux établissements pour personnes âgées – du fait que dans ces années là, 2040/2050, les « vieux très vieux » devenus beaucoup moins riches pour la plupart d’entre eux, et ne bénéficiant plus autant d’aides sociales et de subventions du Conseil Régional, ne pourront plus finir leurs jours dans des établissements à 3000/4000 euro par mois…

    Dans les maisons de retraite, donc, des années 2040/2050, comme sur la première photo, l’on y verra des « mamy’s au look excentrique » et, comme sur la deuxième photo, des « mamy’s à storie’s qui, sur leurs smartphones holographiques, s’échangeront entre elles des tortillages de cul de leurs arrière petites filles en string, bustiers ultra court ou futal moulant et cheveux vert ou bleu fluo…

    … Deux heures moins le quart avant que ne survienne la Nième tempête du siècle dévastatrice qui arrachera la toiture de la maison de retraite – et (ou) qu’un terroriste Tchétchène armé d’un grand couteau ne déboule dans le Grand salon de la maison de retraite et coupe la tête de deux ou trois mamy’s…

     

     

  • "Vision politique" ...

    … Ma « vision politique » - si tant est que j’en aie une, ou alors il faudrait la qualifier autrement que « politique » - (soit dit en passant un commentateur en 2009 ayant lu mon ouvrage « Voyage en Guyane » m’avait écrit « il n’y a aucune vision politique dans votre ouvrage »… Ce commentateur étant vraisemblement un trentenaire de formation universitaire « dans l’Ordre du monde » - le genre de personnage arrogant, bardé de certitudes confortables, aisé, sans doute propriétaire d’une voiture cossue et habitant une maison « de style 21ème siècle » avec « façade qui en jette », genre de personnage avec lequel je n’ai absolument et résolument « aucun atome crochu » et que je « bradoneurise à m’en bleuir le creux du coude » )…

    Ma « vision politique » donc, qualifiée autrement que « politique » serait assurément « de Gauche » - résolument de Gauche, de « Gauche très à gauche »…

    Mais seulement voilà, il y un « Hic », un « très gros Hic » : sur le terrain de la cause Palestinienne et du rapport à l’Islam, du voile des femmes dans l’espace public – notamment à l’Université, au Lycée, voire au collège pour les jeunes filles ; sur le terrain aussi mouvant qu’instable du rapport avec les Israélites (autant dire sur le terrain de l’antisémitisme sous couvert d’antisionisme), sur le terrain du conflit Israélo- Palestinien… Sur « ce terrain là » je n’y suis plus, plus du tout, à Gauche (la Gauche de LFI qui cependant « hors ce terrain là » serait « assez proche » de ma vision de la société)…

    Il y a cette « ligne rouge absolue » en matière de tolérance (de tolérance du genre « ouverture à l’autre » qui est pour moi une limite sur laquelle il est totalement hors de question que je pose ne serait-ce que la pointe d’une de mes chaussures, cette « ligne rouge » étant l’antisémitisme…

    « En vertu de quoi » l’ « homme de gauche que je suis - « écrivain chroniqueur sur la Toile » ne peut rejoindre « la Gauche de la Gauche » QUE hors, totalement hors du terrain de l’antisémitisme, de la cause palestinienne, du conflit Israélo Palestinien vu par « les » Gauches…

    Une « position » assurément « difficile » étant donné la dimension de la contradiction entre d’une part les « valeurs de Gauche » - auxquelles j’adhère – et cette question du rapport avec les Israélites, avec l’Islam, avec le conflit israélo – palestinien…

    D’un côté donc, ces « valeurs de Gauche » qui sont les miennes… Mais d’un autre côté ces entorses tolérées à la laïcité, cet antisémitisme latent ou même parfois nettement déclaré, qui ne peuvent à mon sens en aucun cas, être « de Gauche »…

    Et, il est aussi clair que, jamais au grand jamais, du fait de ce terrain sur lequel je ne suis pas la Gauche, je ne « lorgnerai » - et encore moins adhèrerai à l’extrême droite (ou à quelque totalitarisme à la Poutine, à la Xi Jinping, à la Erdogan)…

    « Voilà : je ne pouvais pas mieux préciser les choses en matière de vision politique personnelle si l’on veut » !

     

  • Le film "Joyeux Noël"

    … Sur Arte, dimanche 5 novembre 2023 à 21h…

    Film réalisé par Christian Carion, sorti en salle en 2005… Et diffusé sur Arte, « comme par hasard » au 29 ème jour de la guerre menée par Israël contre le Hamas – avec peut-être un « clin d’œil » en direction du front de guerre en Ukraine…

    Dans le contexte de la première guerre mondiale, deux « nations chrétiennes » se combattaient, et il faut dire que des dignitaires de l’église anglicane (donc chrétienne) appellaient « au nom de Dieu » à exterminer tous les allemands – dont femmes et enfants (Tiens ça rappelle un peu plus d’un siècle plus tard, l’appel des Islamistes du djihad à exterminer les Occidentaux dont femmes et enfants jusqu’au dernier)…

    Il n’en demeura pas moins – puisque l’histoire est réelle – que les deux bataillons Français et Allemands ce soir de Noël 1914, ont observé une trève et célébré Noël ensemble…

    L’on n’imagine pas en 2023, deux bataillons l’un Israélien et l’autre du Hamas, par exemple « au passage d’une comète » ou de je ne sais quel événement astronomique survenant – ou autre chose que Noël pouvant « à la limite » « intéresser » autant les Israéliens que les combattants du Hamas – observer une trève « quasi amicale »… Ni non plus, sur le front de la guerre en Ukraine, dans les tranchées, deux bataillons l’un Ukrainien et l’autre Russe, cette fois oui pour Noël entre deux nations chrétiennes et de surcroît toutes les deux orthodoxes, observer une trève et célébrer Noël ensemble…

    « Joyeux Noël » oui, « ça me fait rire et pleurer » (mais plus pleurer que rire)… Et, au bout du rire et ou des pleurs, ça me laisse « cauchemarêveur » (et dubitatif)…

     

     

  • Institut et centre culturel Français bombardé à Gaza par l'armée Israélienne

    … Deux questions me viennent à l’esprit :

     

    -En quoi la présence de la culture française pouvait-elle être une nécessité dans un territoire qui, depuis 2007 se trouve sous la domination du Hamas ?

    Bien que les Gazouis se soient vus imposer le Hamas par un coup de force – et non par des élections libres – ces mêmes Gazouis en majorité d’entre eux, ne se sont pas opposé le moins du monde à la domination du Hamas… Et quel regard pouvaient-ils bien porter sur la présence d’une culture française dont ils étaient loin, bien loin d’appeler de tous leurs vœux ? Dont ils n’ont que faire ?

     

    -Et n’est-il pas « fortement probable » que le Hamas ait décidé le positionnement d’un PC de combat à proximité de ce centre, en pensant que l’armée Israélienne dotée de moyens pour « mieux cibler » ferait en sorte de ne pas atteindre ce centre ?

     

    Je « subodore » que, dans les « hautes sphères de l’intelligensia culturelle française où l’on s’imagine que les « belles et grandes idées humanistes » peuvent impacter des peuples qui ne sont pas particulièrement demandeurs de nos valeurs et de notre culture, et ainsi rendre ces peuples « plus réceptifs sinon amis »… L’idée d’installer à Gaza un Institut culturel Français, a été jugée porteuse d’une grande espérance et d’une très louable intention…

    Mais bon, « v’là le résultat » : « boumbadaboum, plus d’institut Français à Gaza… Faut-il pour autant « faire un trou au cul à Tsahal » ?

     

     

  • Les exclus de la Civilisation

    … De la civilisation humaine tous peuples, pays, ethnies et cultures confondues je précise…

    Sont de deux sortes :

     

    - Les inassimilables, les contestataires, les insoumis, les réfractaires aux ordres établis, qui mènent des actions violentes, s’en prennent à ce qui symbolise ce qu’ils rejettent… Mais qui sont exclus parce qu’implicitement, consciemment ou non, ils sentent que la civilisation les exclue, les rejette, les pourchasse et leur ferme la porte de « l’ascenseur social »… Alors, perdus pour perdus, ils cassent, incendient, détruisent…

    Certains de ceux là sont, du moins pour quelques uns… « rattrapables » - sous réserve d’une « approche » qui « ne passe pas par la Voie Sacrée » (ou par l’Ordre du Monde)…

     

    - Les irréductibles, totalement fanatisés et résolus, qui eux, se sont délibérément exclus eux-mêmes d’une civilisation et d’une société dont ils rejetent les valeurs, la culture, et qu’ils ont décidé de détruire, d’éliminer totalement… Ce sont des volontairement exclus qui excluent les autres… Et ceux là ne sont en aucune façon, « rattrapables », autant dire que l’approche qui ne passe pas par la Voie Sacrée, avec eux, ça ne marche pas… Et que tout dialogue avec eux est voué à l’échec… Il ne reste donc à la Civilisation, qu’à les combattre et à les éliminer jusqu’au dernier…

     

     

     

  • Le "Tableau"

    … L’armée Ukrainienne en difficulté dans sa contre offensive débutée il y a cinq mois, immobilisée sur une ligne de front de plusieurs centaines de kilomètres, ne parvenant qu’à contenir l’armée russe, échelonnée tout au long de tranchées comme lors de la première guerre mondiale en 1916/1917 à Verdun… Et de part et d’autre des deux armées, des milliers de morts, une population Ukrainienne « saignée à blanc » avec tous ces hommes de 18 à 50 ans morts au combat (comme en 14/18 aucune famille n’est épargnée)… Une guerre qui s’installe dans la durée où chaque jour meurent des dizaines, des centaines de combattants, dont l’issue est inconnue (l’armée russe comptant sur le long terme, toujours approvisionnée en armement par la Corée du Nord, l’Iran, la Chine, la Turquie… Et ainsi, espérant parvenir à réduire la résistance ukrainienne en hommes, en matériel, en opérations…)

     

    Plus de la moitié de tous les pays de la planète – dont les plus peuplés de tous ces pays – en Amérique du Sud, en Afrique, en Asie – qui soutiennent la Russie et Vladimir Poutine ou sont plutôt du côté de la Russie…

     

    Un « vent mauvais » qui souffle sur les démocraties et sur la culture occidentales activé par les pays totalitaires…

     

    Une montée accrue et amplifiée de l’antisémitisme, avec de nombreuses manifestations dans les grandes villes en Amérique du Sud, en Afrique, dans le monde Arabe… Et même dans les pays occidentaux aux USA, en Europe, soutenant la cause palestinienne…

     

    Israël en difficulté, combattant le Hamas et menacé par le Hezbolah à sa frontière avec le Liban ; de plus en plus isolé sur la scène internationale et en conséquence de moins en moins soutenu…

     

    Vladimir Poutine perçu par les populations des pays d’Amérique du Sud, d’Afrique, d’Asie et du monde Arabe en tant que porte parole, soutien, « plus proche » de ces populations et mettant en avant (hypocritement il faut dire) le fait que dans son pays, la Russie, résident de nombreux musulmans – Tchétchènes et autres…

     

    L’implantation, outre dans les pays du Moyen Orient – Syrie, Irak – mais aussi en Europe notamment en France, en Allemagne, en Belgique, aux Pays Bas, d’Islamistes radicaux du djihad en groupes et en cellules organisés plus ou moins reliés entre eux… Avec, en corollaire peut-on dire, la montée d’un islamisme communautarisé qui « colonise » (c’est le cas de le dire) des quartiers entiers dans de grands espaces urbains…

     

    Et en plus de tout cela, des événements climatiques de plus en plus violents, étendus et dévastateurs (incendies gigantesques, inondations, tempêtes, ouragans, tornades, sècheresses, canicules) sévissant partout sur la planète entre les 10ème et 60ème degrés de latitude, et l’empreinte laissée sur les côtes, sur les rivages, par la violence des assauts de l’océan (affaissements, submersion, effondrements de pans rocheux) ; et la montée inexorable des eaux allant jusqu’à modifier le tracé des côtes, faire reculer des espaces de terres, provoquant des départs de populations (migrants climatiques)…

     

    … Le « Tableau » est décidément bien sombre, ne suscite pas l’optimisme… Sauf il faut dire un « optimisme aussi délirant que déraisonnable » de la part de certains « aficionados » du développement économique consumériste durable dans une transition écologique ne remettant pas en cause des modes de vie à conserver à tout prix… Et, de la part aussi, des « lanceurs de colombes de la paix », des « pacifistes à la bizounours », des « aficionados » de l’apaisement, du dialogue et de la tolérance y compris avec des assassins selon eux produits d’une société mal gérée…

     

    Bienvenue dans le monde de ce premier quart du 21ème siècle, bienvenue aux bébés de 2023 et de 2024, 2025 (qui auront cent ans en 2124) ; bienvenue dans le monde du travail, de la consommation, de l’habitat, à nos jeunes entrant dans la vie active… Bienvenue pour finir, aux « nouveaux vieux très vieux des nouvelles maisons de retraite ghetto-sécuri- médicalisées » des années 2030/2040…

     

    Quoiqu’il en soit – et en sera demain – de ce « tableau », je ne pencherai jamais du côté de la moitié de la planète qui regarde dans la direction de Vladimir Poutine, je ne pencherai jamais du côté où regarde le monde Arabe… Je suis du côté de l’Ukraine, du côté d’Israël, du côté du monde occidental tel qu’il est avec ses défauts, ses inégalités sociales, ses riches « trop riches », ses lobbies, ses dominants et décideurs son consumérisme, ses valeurs bafouées (que tout cela je combats) mais quand même il faut le dire, la liberté et la démocratie mêmes « relatives » que je reconnais…

     

    De toute manière pour un anarchiste, surtout un anarchiste inclassable, ça sera toujours moins difficile et moins périlleux, dans le monde occidental que dans le monde des totalitarismes où l’on va en prison, où l’on est tué pour ses idées qui dérangent l’autorité dominante…

    Au pire qui, en fait et de fait n’est jamais le pire, dans le monde occidental, l’anarchiste qui s’exprime est zappé, inécouté, on se moque de lui, on le stigmatise, mais on ne l’élimine pas physiquement, on peut oui, lui nuire, l’exclure même de la société, mais pas l’enfermer à vie, pas le passer par les armes après un jugement sommaire… Il arrive parfois -mais c’est très rare – que l’on le fasse passer sur une scène publique comme jadis les bouffons à la Cour… Ce qui, dans le monde des totalitarismes n’arrive jamais…

    Bon, voilà, je ne pouvais pas être « plus clair » ou « plus explicite !

     

     

  • Le mot du jour

    … Si un journal tel que Le Monde, titre « Israël assiège Gaza et rejette une pause humanitaire » - en première page – cela « donne une idée » du « sentiment général » qui domine dans les opinions qui en arrivent à évacuer les attentats atroces commis par le Hamas sur le territoire israélien le 7 octobre 2023…

    Du « grain à moudre », donc, pour les soit-disant antisionnistes qui « basculent » implicitement dans l’antisémitisme…

    Je fais en conséquence du « Lapallicisme » : « si il n’y avait pas eu cette attaque du Hamas (1400 Israéliens assassinés) le 7 octobre 2023, il n’y aurait pas eu de bombardements sur Gaza par l’armée Israélienne »…