Articles de yugcib
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Manèges de chevaux de bois (ou à l'ancienne)
- Par guy sembic
- Le 19/08/2023
- Dans Anecdotes et divers
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… Ces manèges semblent « avoir le vent en poupe » notamment dans les lieux touristiques et festifs où se rendent en vacances, en visite, familles avec jeunes enfants…
D’ailleurs, certains de ces manèges font aussi la joie de quelques « grandes personnes » se balançant verticalement le long d’une colonne sur laquelle est fixé un cheval de bois… Ou un cochon…
Cependant, bon nombre de ces manèges – depuis quelques années récentes »- n’ont plus comme jadis, de cochon, bien visible, bien rose et bien « souriant », en posture de coursier, qui amuse petits et grands…
C’est le cas en particulier dans les lieux touristiques fréquentés en été ou à l’année, par des étrangers « multi culturo-ethnique » venus en général, de « pays du soleil »… Ou dans des villes de France « très cosmopolisées » et où demeurent des communautés musulmanes…
En effet, un manège à l’ancienne avec un « joli petit cochon » entre chevaux, ânes, carosses - citrouilles et voiture de pompiers… ça peut être « mal venu » par « certains »…
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Les cultures de l'oralité
- Par guy sembic
- Le 18/08/2023
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… L’oralité dans la transmission des savoirs, des connaissances, de l’Histoire ; de génération en génération, impose (et d’ailleurs soutient et entretient) une capacité mémorielle que nous avons en partie perdue et qui s’est réduite, avec la transcription par l’écrit, des savoirs, des connaissances et de l’Histoire…
C’est la raison pour laquelle les ethnies, les sociétés et leurs cultures, essentiellement orales et qui, pour certaines d’entre elles, raréfiées il faut dire, ont été conservées…C’est la raison pour laquelle ces ethnies, sociétés et leurs cultures sont demeurées quasiment intactes, ne se sont pas perverties… Mais sont demeurées inconnues ou mal connues…
Notre capacité mémorielle, que la transmission des savoirs, des connaissances et de l’Histoire, par l’écrit, par le document, a réduite ; s’est trouvée encore plus réduite lorsque l’internet, la numérisation, avec Google et les moteurs de recherche et les logiciels, sont apparus et se sont généralisés dans le monde entier…
Et avec notre capacité mémorielle réduite, s’est également réduite notre capacité à analyser, à réfléchir…
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Hijab
- Par guy sembic
- Le 18/08/2023
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… Si le hijab « protège » la femme du regard des hommes – regard des hommes supposé concupiscent alors que le regard de la femme peut être, à la vue d’un homme, tout aussi concupiscent… Les hommes devraient eux aussi, porter le hijab (hijab version homme)…
Cela dit, du fait que le hijab laisse voir le visage, et que le visage peut être comme d’autres parties du corps, « attirant »… C’est le niqab qu’il faudrait alors… Autant pour les hommes que pour les femmes…
Car, question concupiscence, la femme est l’égale de l’homme ( mais dans une société de type patriarcal et de dominance masculine, où la femme n’a pas le même statut social – et « moral » (peut-on dire) que les hommes, le regard qu’une femme peut avoir à la vue d’un homme, n’est pas pris en considération – ou jugé indécent…
Absurdes, le hijab ou le niqab dans une société où s’imposent les apparences et où femmes et hommes sont égaux en désirs, en rêves, en besoins, en émotions, et faits l’un et l’autre de la même chair, du même sang et des mêmes capacités physiques et intellectuelles…
Chez les catholiques du 19ème siècle et de la première moitié du 20ème, les femmes portaient un fichu sur la tête leur cachant les cheveux, quand elles sortaient de chez elles… Mais les hommes, eux, laissaient apparaître leur chevelure sous le chapeau, sous le béret, sous la casquette…
Absurde cette « moralisation » dans la manière de se vêtir, que les religieux et leurs principes, leurs obligations, leurs contraintes et leurs prescriptions, imposent aux hommes et aux femmes (mais surtout aux femmes)… Que les non religieux également, par les modes qu’ils lancent, par les engouements ou au contraire par les dédains et dégoûts et réprobations qu’ils suscitent, incitent hommes et femmes, le temps d’une époque ou d’une saison, à se conformer à des manières de se vêtir, de se coiffer, d’apparaître en public, et cela dans une société « consumériste » de recherche d’un bien-être « individualisé »…
Mais tout aussi absurde est ce qui découle des modes, des engouements et de l’individualisme encouragé par la société de consommation : ces extravagances, ces outrances vestimentaires (d’hommes et de femmes), et tout ce que l’on peut trouver sur le marché de l’habillement, de complètement déjanté, d’ostentatoire, de provoquant, qui fait de l’effet et « en jette », qui « singularise » et étonne, tant pour les coiffures, chapeaux, bonnets, casquettes, pantalons ultra moulants, etc.
… Comme s’il n’était pas possible de concilier sobriété, simplicité et élégance… Dans une « adéquation » entre vêtement porté et « intériorité » de la personne que l’on est, femme ou homme…
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Élitismes et dominations
- Par guy sembic
- Le 17/08/2023
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… Le RN au pouvoir – peut-être en 2027 sinon même avant en cas de délitement et échec de la « macronie »… C’est (il faut le savoir car l’Histoire nous le rappelle) :
-De l’élitisme (évidemment sur le modèle du RN ex FN ex Ordre Nouveau et précédents)… De l’élitisme « sous couvert de considération du bon peuple » (les « indésirables » n’étant plus tout à fait les mêmes et les « non élus » confondus dans ce qu’il convient d’appeler la masse des citoyens obéissants plus ou moins pétris de « vieilles valeurs », de religion, de bonne morale etc.) … Mais… D’une autre manière méprisés par les élites (les nouvelles élites) de telle manière que les méprisés du temps de la macronie ne se sentiraient plus méprisés comme par les « bobos actuels »… (mais ils sont ou seront qu’on le veuille ou non, bel et bien méprisés : excusez moi mais pour le changement (avec le RN) je ne vois pas trop ce que cela changera pour le « citoyen lambda »…
-Et toujours la domination des possédants (des gros possédants, des lobbies, des grands groupes, de la grande propriété), du « Système » en fait - conçu bien pour les riches, pour les « méritants » (méritants à condition qu’ils se conforment aux règles et à la vision du RN)… Sous couvert de « reconnaissance du travail » et de « souci du pouvoir d’achat du citoyen lambda selon ce que « promet » le RN… (n’oublions pas que le RN est contre le SMIC).
En ce qui concerne l’élitisme et la domination des possédants, le « bon citoyen lambda – celui qui vote RN et celui qui « sympathise » ou « tacitement souhaite ou envisage l’arrivée du RN au pouvoir … « en fait l’impasse, ne le voit pas, n’en parle pas, ou encore pense que « c’est dans l’ordre naturel des choses » et « que c’est comme ça que le monde a toujours fonctionné avec les riches qui dominent et profitent, et les élites qui dirigent et savent ce qui est bon pour le peuple »…
Et ce même « bon citoyen lambda » qui se lève le matin pour aller travailler, qui ne manifeste pas dans la violence, qui est respectueux de ceci de cela, qui est vertueux, travailleur, très « pour la famille » (avec la Femme dans son rôle de femme), qui a peur de l’étranger suspicieux et de mauvaise apparence, qui veut une police efficace et une justice qui punit… Ce même citoyen lambda donc (c’est vrai qu’on est nombreux à être dans ce « profil »)… Vu comment « ça se goupille » avec la NUPES, la Macronie, ou la « droite classique »… concevrait que ce soit le RN qui gagne les élections !
Juste une « petite remarque » : regardez dans les lotissements de « zones rurales urbanisées » le nombre de « baraques » bien clôturées (2 mètres de hauteur et autrement qu’avec une haie végétale ou en plastique et poteaux comme des allumettes), avec « portail balaise à digicode et ouverture fermeture sur télé commande » et… Cette pancarte sur le portail « Je monte la Garde » et donc, « toutou » genre doberman ou berger allemand qui – c’est écrit sous la pancarte - « ne met que 3 secondes pour aller de la terrasse devant la maison jusqu’au portail distant de 30 mètres »… ( Ça, déjà ça, les « amis », ça en dit long!)
Bon, c’est vrai : les bobos parigos et de grande ville, qui vont au théâtre, roulent en vélo électrique « haut de gamme », dont les mômes font des études science-po et autre, qui vont en vacances à l’Île de Ré en location 3000 euro la semaine, ceux là, n’ habitent jamais dans des quartiers périphériques et encore moins des « cités » et ne sont jamais confrontés à la violence et à la délinquance de bandes de jeunes cagoulés lançant des cocktails molotov et munis de barres de fer !
Alors de grâce les uns et les autres, réfléchissez cinq minutes à la façon dont le monde fonctionne (ça fait pas dans la dentelle, c’est dur/dur, et « ça se goupille »pas trop comme on le souhaite dans sa garce de vie !)…
Mais… ne l’oublions pas, et, « sans faire dans l’angélisme bizounours » … Y’a encore de la beauté sur Terre (et des gens de bonne volonté) !
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Les facettes du prisme
- Par guy sembic
- Le 17/08/2023
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… Lorsque l’une ou l’autre des multiples facettes d’un prisme, dans un « registre » (registre au sens d’expression littéraire ou plus généralement de communication par l’écrit ou par la parole), « lumine » en retenant le regard de ceux et de celles qui aiment, apprécient cette facette là, ou celle qui lui est similaire… Alors « tout va bien dans le meilleur des mondes » - comme on dit…
Mais lorsque, dans un « registre » très différent, d’autres facettes du prisme produisent un « éclairage » qui rend le regard de l’autre ou des autres, plus « mitigé », voire « contrarié »… Alors « plus rien ne va dans le meilleur des mondes » (dans ce « meilleur des mondes » qui n’est autre que celui en lequel on se meut, s’agite, en général dans le courant porteur d’« air ambiant »)…
Un artiste, un écrivain, et plus généralement chacun de nous, est comme un prisme aux multiples facettes… inégales à vrai dire, le plus souvent… certaines facettes en effet, « lumi-dominent » et en conséquence, rendent les autres facettes moins visibles…
« C’est fou » ce que « dans le meilleur des mondes où tout va et sied à merveille » ce que cela peut être « confortable », « rassurant »… Et générateur d’accompagnants, d’amis et « amis », de « followers »…
Et c’est « patent »… Ce que dans le « bien moins meilleur des mondes où rien ne va plus et dérange »… C’est , au contraire, « inconfortable », « isolant »… Et, général, incite à l’invective, au coup de bâton – dont ne sait pas forcément toujours d’où il vient le coup de bâton… (ou au mieux si l’on peut dire, tu reçois, de quelque modérateur ou administrateur, un message avertisseur avant bannissement, en quelque univers d’expression sur la Toile où tu postes – à vrai dire davantage sur des forums que sur des réseaux sociaux (lesquels réseaux sociaux modèrent ou censurent grâce à des algorythmes et de l’intelligence artificielle investigatrice)…
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L'intérieur d'une église
- Par guy sembic
- Le 17/08/2023
- Dans Anecdotes et divers
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… L’intérieur d’une église… D’un village Vosgien – en l’occurrence celle du Valtin -
Et tant d’autres partout, de tant de villages de France ou d’ailleurs… Cela n’a rien à voir avec ce que peut être la pratique, l’observance d’une religion ; cela n’a rien à voir avec le fait d’être croyant ou pas…
Et c’est bien là, que réside le sens profond, véritable, de ce « rien à voir » qui peut emplir notre pensée lorsque nous entrons dans une église… Que nous soyons croyants ou non, pratiquants ou non…
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Les morts du Valtin
- Par guy sembic
- Le 17/08/2023
- Dans Anecdotes et divers
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… Les morts du Valtin sont les mêmes que partout ailleurs.
Vivants qu’ils ont été, ils furent ici inhumés, habitants du Valtin en terroir de Haute Meurthe dans les Hautes Vosges.
Il y a ce souvenir que je n’ai pas d’eux, antérieur au souvenir que j’ai de tout ce qui s’est passé dans ma vie depuis que je suis né, antérieur au souvenir de toutes les personnes que j’ai connues et rencontrées dans ma vie… Ce souvenir surgi de je ne sais d’où, qui me vient à la pensée de ces morts du Valtin, dont je ne sais rien de la vie qui fut la leur… Mais que je puis imaginer…
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Sensibilité en matière de bien-être animal
- Par guy sembic
- Le 15/08/2023
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… Ma sensibilité en matière de bien-être animal se fonde bien sûr en grande partie sur l’idée selon laquelle il serait convenable d’éviter à tout animal souffrance et maltraitance… Mais aussi sur l’idée que, par exemple, le poulet « a été créé par le bon dieu pour être bouffé et non pas pour faire joli dans la nature » (rire, rire athée et iconoclaste)…
En effet, imaginons qu’un « décret mondial » stipulerait que l’on abandonne l’élevage de poulets, de vaches et veaux, de moutons et agneaux, et, de cochons et de dindes et de canards…
Que ferait-on alors, du jour au lendemain, de vingt-cinq milliards de poulets, de quatre milliards de bovins, de deux milliards de cochons… Relâchés dans la nature ? Se fonderait-on sur la réalité de la sélection naturelle qui régulerait, du fait que tous ces animaux relâchés dans la nature devraient par eux-mêmes se nourrir et auraient forcément des difficultés pour se nourrir, en si grand nombre qu’ils demeureraient pour un temps ?
Au risque de décevoir – sinon de choquer – mes « amis écolos/anti viande/amoureux de jolies cocotes/mignons petits cochons de lait »… Je déclare publiquement « adorer un bon poulet rôti, adorer voir tourner à la broche lors d’une foire gastronomique un petit cochon dont un bon morceau me sera servi !
Est-ce que je suis « plus cruel/plus méchant qu’un autre » en disant cela ?
… Très franchement, dites-moi si une truie « enfante autant dans la douleur qu’une femme ? » … Quand on sait qu’une truie « pond » - « chie » pour parler vulgairement- dix gorets à la fois deux fois dans l’année après avoir porté 3 mois ?
Alors vous savez… Un petit cochon de lait qui tourne à la broche devant le public à l’entrée d’un stand restauration lors d’une foire gastronomique (ou d’une foire commerciale à Nancy par exemple)… ça me fait pas remuer les tripes autrement qu’en même temps l’estomac, et encore moins pleurer de compassion bizounoursique , et sans le moindre problème ou état d’âme, je prends place à la table où me sera servi un bon morceau du petit cochon que j’ai vu tourner en broche (rire)…
Bon c’est vrai, par comparaison, une vache met 9 mois pour faire un veau et l’« accouchement » pour une vache c’est pas « une sinécure » ! (et idem pour une jument 11 mois de portance)…
Du coup, pour le veau je suis « moins friand » ! Quant au poulet, n’en parlons pas, on fait des milliards de poulets sous couveuse artificielle…
… Petite anecdote :
Une certaine « Séraphine » sur « Notabene Forumactif » (un forum qui a disparu définitivement de la « circulation » fin août 2019)… Il y a de cela bien des années… Avait été scandalisée en lisant un « post » de moi sur le forum, où je parlais des lapins que ma grand-mère achetait vivants et me faisait tuer en leur ouvrant la gorge : je racontais – en détails- les tripes qui tombaient toutes fumantes par terre et les « petits pois noirs » qu’on voyait à travers la paroi de l’intestin…
« C’est horrible, je me moque, yugcib, de la manière dont tu tues ces lapins »… Réponse de Séraphine… Suivie d’imprécations et d’une « condamnation sans appel » à mon sujet…
Cette Séraphine tout comme bien d’autres du même genre qu’elle question « interlocuteur coup de bâton » fait partie de ces gens (de la Toile et de la vie) qui, à une occasion ou une autre « m’assassinèrent de première », ne seront jamais lecteurs de mes « œuvres », n’iront pas à mon enterrement… Et dont l’Histoire ne retiendra rien de ce qu’ils furent, de leurs imprécations, de leurs « leçons de morale », de leurs propos réducteurs à l’emporte – pièce, de leurs jugements fondés sur des à-priori, sur des courants d’opinion publique… (Ces personnes là, je crois que quand elles sont « bizounours » c’est encore pire question coup de bâton et jugement à l’emporte pièce)… (rire, rire insolent)…
Séraphine, Séraphine bizounours ex petite fille sage bien obéissante et ayant peut-être eu un lapin apprivoisé , je ne saurai jamais ce que tu es devenue, si aujourd’hui tu es morte ou vivante et dans quel état… Mais saches (ou que ton âme sache)… Que j’adore le lapin en gelée, le lapin sauté avec des pommes rôties, le lapin « chasseur » (avec des spaetzel’s alsaciennes) et même le lapin (la partie avant du lapin) en pot au feu avec des haricots verts, des carottes et des navets… Et que ma grand-mère, si elle les achetait vivants les lapins, c’est parce que vivants ils coûtaient 5 francs le kilo à l’époque et que tout prêts vidés à cuire ils coûtaient 15 francs le kilo chez le boucher…
… Bon voilà, fin de l’anecdote… Rire…
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La standardisation dans le prêt à porter
- Par guy sembic
- Le 15/08/2023
- Dans Anecdotes et divers
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… Pose parfois de réels problèmes, par exemple pour les hommes achetant un pull, un tee-shirt ou un pantalon…
En effet, pour les tailles « standard » cela va de S à XL voire XXL en passant par M et L…
Seulement voilà : quand tu es un homme et que tu mesures 1 mètre 70, que tu as le tour du cou ainsi que ta carrure (de poitrine) dans la norme correspondant à une taille de 1 mètre 70 ; il se trouve qu’en vertu du principe selon lequel de nos jours la plupart des hommes « normaux » font environ 1 mètre 80, si tu prends M, oui ça te va pour ta carrure en ce sens qu’aux épaules ça s’ajuste à peu près correctement… Mais comme tu ne fais qu’1 mètre 70, eh bien le pull ou le tee-shirt en longueur, tombe dix centimètres en dessous du point où il devrait normalement et correctement tomber… Et que pour un pantalon il te faut à chaque fois en taille M, faire raccourcir de 5 à 8 cm parce que tu ne mesures pas 1 mètre 80…
Bien heureux donc, les hommes d’1 mètre 80 (majoritaires de nos jours) par rapport à ceux d’1 mètre 70, qui, ainsi, peuvent acheter un pull ou un tee-shirt M voire L qui va « tomber sans paraître trop long », ou un pantalon qu’il ne sera pas nécessaire de faire raccourcir de 5 à 8 cm…
Quand on sait le prix que prend une « retoucheuse » genre boutique « dé à coudre » pour réajuster un vêtement – notamment raccourcir un pantalon… ça devient « galère » pour trouver dans le prêt à porter de ces boutiques toutes les mêmes partout un pull ou un tee-shirt M qui ne tombe pas trop bas ( c’est sûr qu’un S tomberait « au poil » - mais serait en revanche un peu trop étriqué)… Ou un pantalon qui n’aurait pas besoin d’être raccourci de 5 à 8 cm pour un homme d’1 mètre 70…
Quand à la taille L, pour un homme d’ 1 mètre 70, c’est hors de question un pull ou un tee-shirt qui tomberait encore plus bas en supposant que cet homme aurait une forte carrure qui l’inciterait à prendre du L…
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L'Odyssée Interstellaire
- Par guy sembic
- Le 15/08/2023
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… Sur Arte samedi 12 août 2023 de 20h 50 à 23h30, un exposé très scientifique faisant état d’un projet « dans les cartons » concernant la consctruction – dans l’espace – d’une gigantesque station, une base de préparation et de lancement de laquelle partirait un vaisseau piloté et géré par intelligence artificielle, à destination d’une planète « qui ressemblerait à la Terre » (Minerva B), située à environ 4,5 années – lumière du système solaire, et qui tournerait autour d’une étoile de même type que notre soleil…
À l’heure actuelle, nul ne sait encore, au sein de la communauté scientifique, quelles seraient les caractéristiques (atmosphère, présence d’eau, nature du sol, etc. …) de cette planète baptisée Minerva B, l’on sait juste qu’elle est rocheuse et se situe dans une zone « propice » au développement de formes de vie éventuelle, c’est à dire à une distance de l’étoile « favorable »…
La construction de cette station ou base, dans l’espace, demanderait environ une centaine d’années, soit le travail devant être effectué par plusieurs générations de scientifiques œuvrant à son élaboration nécessitant des moyens technologiques énormes – et du matériel en conséquence à acheminer…
Le « projet » débuterait vers les années 50 du 21ème siècle et « verrait son achèvement » en … 2157, année durant laquelle serait lancé le vaisseau selon un mode de propulsion à base d’énergie produite par du plasma, de telle sorte, qu’en 25 années d’accélération progressive, la vitesse atteinte serait de 20 % de celle de la lumière, et qu’ensuite durant 25 ans, s’opérerait une décélération tout aussi progressive…
Avec le mode de propulsion et déplacement actuel, les engins qui sortent du système solaire à destination de Proxima du Centaure (l’étoile la plus proche à 4 années lumière de la Terre) se déplaçant à « seulement » 61 000 km/h… Mettraient trente mille ans pour parvenir à une destination (une planète) orbitant autour de Proxima du Centaure… Et devraient devoir utiliser une quantité d’énergie (combustible) absolument énorme, telle que notre galaxie, la Voie Lactée ne peut produire…
Le problème de la propulsion et du déplacement (et de l’accroissement de la vitesse) devrait donc être résolu grâce à l’énergie produite par le plasma, de telle sorte que le vaisseau piloté et géré par intelligence artificielle à destination de Minerva B, ne mettrait plus « que » 50 ans au lieu de 30 000 ans, pour effectuer le « voyage »…
Ce qui permettrait à ce vaisseau investigateur doté d’appareils de mesure, de se poser sur le sol de Minerva B en… 2207… Si toutes sortes de difficultés, d’aléas, de problèmes rencontrés, toutefois, ne peuvent empêcher ou faire échouer le projet, et l’« atterrissage » sur Minerva B…
Une planète dont, même en 2200 on ne saura encore rien de déterminant (qui nous intéresse tant)…
Si ce projet voit le jour et s’il s’effectue selon ce qui est prévu… 150 ans en tout pour essayer de savoir si oui ou non il y aurait des formes de vie sur Minerva B à 4,5 années lumière de la Terre… « On risque fort d’être très déçu » une fois « arrivé sur place et les investigations, les mesures effectuées puis transmises à la Terre !
D’un côté l’aléatoire (vraiment aléatoire)… Et d’un autre côté la somme de travaux, d’activité technologique et scientifique déployés durant le temps de trois ou quatre générations d’humains, absolument énorme, vraiment énorme en regard d’un résultat très incertain !
Cela « me laisse rêveur » et me paraît « surréaliste », démesuré… Et vu sous l’angle de la seule capacité humaine, de la seule intelligence humaine, de la seule vision humaine, purement et seulement humaine !
Quand on sait déjà que 4,5 années lumière, en distance à franchir, ça n’a rien à voir, absolument rien à voir, avec les 2,5 millions d’années lumière qui séparent notre galaxie la Voie Lactée, de la galaxie d’Andromède notre « voisine » ! … Et à plus forte raison avec les 30, 50, 100 millions d’années lumière, qui nous séparent des autres galaxies bien plus lointaines !
L’Odyssée Interstellaire c’est encore du rêve et cela le restera durant bien des générations d’humains… Et les savoirs, les connaissances, la technologie en évolution, aussi gigantesques et novateurs et efficients qu’ils pourraient devenir (qu’ils deviendront certainement) … Seront toujours dépendants des capacités humaines, de l’intelligence humaine…
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Opinions, idées et croyances
- Par guy sembic
- Le 13/08/2023
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… Une opinion, une idée, une pensée… Contraire ou opposée à celle que l’on a, d’une chose ou d’une autre ; n’est réellement contestable, ne peut qu’être rejetée et combattue, que lorsqu’elle se caractérise par le déni manifeste de faits et de réalités scientifiquement prouvés, établis… Et cela d’autant plus s’il y a dans le déni, de la bêtise et de l’obstination dans la bêtise…
Ainsi, croire que la Terre est plate, dire que la Norvège est sur l’équateur, que deux plus deux ça fait sept… N’est en aucun cas une idée « acceptable » et « discutable » et « pouvant faire l’objet d’un débat, d’une controverse »…
En face de ce que les preuves et les faits et vérités établis justifient… La croyance, l’idée, que l’on a d’une chose ou d’une autre au-delà de ce qui est manifestement vrai, réel, prouvé … Croyance obstinée et fondée sur une vision des choses et du monde tout à fait personnelle (et ne pouvant, elle, être ni établie ni prouvée)… Est une croyance dont il convient de se défaire si l’on l’a…
La persécution des imbéciles… Des « imbéciles crasse obstinés », des gens qui nient des vérités établies scientifiquement ou par la connaissance et par l’expérimentation, des « théoriciens » de la « Terre creuse », de la « Terre plate » ; le rejet des croyances déraisonnables et il faut le dire souvent dangereuses – en particulier les croyances religieuses assorties de pratiques, d’interdictions, d’obligations, de rites, d’un mode de vie auquel il faut se conformer… Cette persécution là n’est pas « un crime contre l’humanité » (bien au contraire)…
Il est tout à fait évident – et établi- (d’ailleurs l’Histoire le prouve)… Que si les imbéciles – les « imbéciles crasse » - dominent, décident, légifèrent, imposent, ils persécutent bel et bien eux ! Et c’est la raison pour laquelle il ne faut en aucun cas, être « tolérants » envers eux…
Que les religieux fanatisés et dogmateurs – et « castrateurs »- , que les « théoriciens » de ce qui n’est pas acceptable et constitue un déni des réalités établies par la science et par la connaissance… « Se le tiennent pour dit » ! …
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Les œuvres à venir
- Par guy sembic
- Le 11/08/2023
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… Les porteurs de lumière sont davantage préoccupés de l’éclairage de la scène, que de la lumière qu’ils portent en eux…
L’éclairage les rend plus visibles au public venu les voir en scène, et les magnifie…
Et toutes les innovations de la technologie du paraître et de l’effet produit, font de l’éclairage, de nos jours, une science plus recherchée que ne le sont en général, demandées et appréciées, les œuvres d’art et de littérature avec leurs contenus et avec leurs clartés…
Sans doute parce que les innovations de la technologie du paraître et de l’effet produit, rendent la scène où se montrent les acteurs, plus accessible que jadis, à un plus grand nombre de ces porteurs de lumière que beaucoup d’entre nous sont devenus… Mais en vérité, plutôt des prétendants que des porteurs, de lumière ; des prétendants persuadés de la portée de leur rayonnement parce qu’ils ont acquis de la clientèle…
Et c’est vrai que, sans éclairage, sans ce qu’apportent l’utilisation et la maîtrise de la technologie du paraître et de l’effet produit, la lumière bien réelle portée en soi, si elle existe… Ne peut que “s’exister” elle-même – pour autant qu’elle s’y résolve en “bataillant” – Et n’est pour ainsi dire, quasiment jamais “existée”…
… Et… Si les œuvres à venir, si les porteurs de lumière à venir… Parvenaient un jour à être “existé(e)s”, indifférent(e)s qu’ils seraient à l’éclairage, à la technologie du paraître et de l’effet produit ?
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Les mots viendront plus tard...
- Par guy sembic
- Le 10/08/2023
- Dans Pensée, réflexions, notes, tags
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… Le vécu, dans le moment où il se vit, ne s’écrit pas.
Les mots viendront plus tard mais ils ne seront pas l’exacte photographie de ce qui fut vécu tel jour, dans telle situation et dans tel environnement.
Écrit-on ce que disent des regards, des doigts qui se touchent, des silences entremêlés?
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L'écriture
- Par guy sembic
- Le 08/08/2023
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L’écriture, dit Louis Ferdinand Céline dans « Voyage au bout de la nuit »…
« …L’écriture est la source de mes emmerdes. Depuis le Voyage… que les emmerdes s’accumulent, mesquineries, jalousies, embrouilles… Alors ne venez pas me causer de thérapie et de guérison de la nature humaine par l’écriture, je laisse ça aux autres, les spécialistes de la mou mouche.. C’est malsain l’écriture quand tu ne fais pas partie de la confrérie, ça active les haines »…
… L’écriture, de par toute la confrérie…des invités de plateaux-télés, des best-sellers, des journaux, des premiers romans à succès, des raconteurs, des posteurs, des tweeteurs, des producteurs de storys, des auteurs à la mode, par milliers de milliers de bouquins qui finissent pour beaucoup d’entre eux dans les vide-greniers, les centres Emaüs et du Secours Populaire ou dans les boîtes à livres… Ou dans les oubliettes de la Toile pour tout ce qui se poste, se tweete et se storie… Ne fait jamais de thérapie bien au contraire…
S’il y a des mots qui se posent tels des lèvres sur des cicatrices, ces mots n’ont d’autre pouvoir que celui, imaginé par l’auteur de ces mots… qui les voient, ces mots, ces jolis mots, ces mots de poète et de grands amoureux, si porteurs d’espérance, si empreints de foi de charbonnier, capables de guérir tous les maux, d’effacer les cicatrices… ces mots qui ne rendent pas meilleurs les gens, ses proches ni d’ailleurs soi-même… ces mots qui voisinent avec d’autres mots, des mots qui pètent, des mots qui escagassent, des mots qui iconoclastent, des mots qui se moquent, des mots qui incendient, des mots qui puent…et des mots recadrés, des mots fliqués, des mots asceptisés... et d’autres mots encore, qui sont vains, inutiles, de trop, ou qui font de l’effet, sont supercherie, tromperie, esbrouffe et de surcroît mal orthographiés, mal grammairés, déviés de leur sens, galvaudés, pervertis, assenés, tagués sur les murs, likés relayés sur la Toile… ces mots qui comme ceux des poètes et des grands amoureux, si jolis si empreints de foi de charbonnier… Ne sont pas prêts à sauver le monde ni les gens, juste bons à entretenir de l’espérance et à susciter de ci de là, de l’émerveillement… Mais l’émerveillement se décolore au fil de la vie qui passe, de la vie qui mord, de la vie où s’enfuient les jours heureux dans le souvenir…
L’écriture quand tu ne fais pas partie de la confrérie, ça t’isole, ça fait de toi un ovni, et, quand ça n’active pas les haines, quand ça fait pas des jalousies, quand ça te cloue pas au pilori… ça te refuse le tiquet d’entrée, ça fait de la zappe…
L’écriture ? Son meilleur côté, peut-être ?
C’est quand elle transmet… de la connaissance des choses et des êtres, qu’elle témoigne sans arranger sans mentir sans pervertir, quelle soit oui ou non, de la confrérie…
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La Citadelle
- Par guy sembic
- Le 07/08/2023
- Dans Bateau pirate
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… Dans cette vaste Citadelle qu’est le monde, s’entrechoquent les égoïsmes, les aspirations, les désirs d’amour, d’argent, de notoriété, de visibilité, de reconnaissance et de tout ce dont sont faits les hommes et les femmes de ce monde dans la Citadelle…
Tout cela s’entretient, se développe, se poursuit, se réunit, se désunit, s’altère, s’allie ou s’oppose… Mais en définitive se consume…
Dans la Citadelle, les êtres singuliers qui n’empruntent pas les rues passantes, ou les enfilent ces rues, distraits et cabriolant sous les huées ou sous les regards indifférents de leurs semblables qui pour la plupart d’entre eux les prennent pour des parias ou des ours… Sont des êtres le plus souvent isolés…
Alors, d’autant plus isolés, bannis des cénacles et des officines qu’ils sont, ils allument des feux dans la Citadelle…
Les incendiaires sont punis quand ils sont pris, honnis quand ils ne sont pas pris et que l’on les sait prêts à de nouveau allumer des feux…
Nous ne sommes plus au temps des bûchers… Bien que le temps d’aujourd’hui dans ses violences, dans ses rejets, dans ses indifférences, dans ses courants d’idées et d’opinions, ressemble au temps des bûchers…
Et… Ça commence avec les chartes qui régissent les univers de communication et d’expression, le « social-politiquement correct », la bienpensance consensuelle, les algorythmes modérateurs et censeurs, les caméras de vidéosurveillance… Et en plus avec la religion qui met son nez là dedans…