Articles de yugcib

  • Deux formes de domination

    … S’exercent dans le monde deux formes de domination :

     

    La première, la plus évidente, celle qui distingue – pour simplifier les choses – les « bons » et les « méchants »… S’exerce par la violence, par la puissance, par la prédation d’un petit nombre de personnages qui détiennent les pouvoirs, sur le plus grand nombre… Dans une proportion de l’ordre de 1 contre 99 % - ou si l’on veut, comme « par extension du 1 % », mettons jusqu’à 10 % voire 20…

     

    La deuxième est « moins évidente » parce qu’elle s’exerce, s’appuie, se fonde, s’organise… Et se justifie aux yeux du plus grand nombre, sur la difficulté qu’il y a à différencier le « bien » du « mal »…

     

    Dans la première forme de domination, aux yeux de ceux qui subissent, s’opposent, désobéïssent, se révoltent ; les « méchants » sont toujours (et c’est vrai) les violents, les agresseurs, les accapareurs, qui détiennent l’argent et le pouvoir et qui décident en fonction de leurs intérêts…

    Tandis que pour les violents, les agresseurs, les accapareurs ; les « méchants » (ceux qu’il faut dresser et soumettre) sont les désobéïssants, les révoltés…

     

    Dans la deuxième forme de domination, entre une toute autre « stratégie » qui elle, s’avère finalement beaucoup plus efficace pour les dominants…

    C’est celle par exemple, du comité dirigeant d’une très grosse entreprise multinationale réalisant des profits importants et dont l’avenir est prometteur, qui décide de placer en un « poste clef » (en « management de personnel », en « psychologue et analyste de comportements et de compétences ») des personnages ayant de la « valeur ajoutée » parce que ces personnages là sont « des gens bien », sincères, ayant de grandes qualités humaines et sont autant soucieux des intérêts de tous les salariés de la « boîte » que de l’intérêt « de l’entreprise » (l’intérêt de l’entreprise étant mis en avant pour « éclipser » en quelque sorte, les intérêts des dominants eux-mêmes)…

    En somme cette forme de domination s’appuie sur des personnages dont il est possible de « tirer » ce qu’il y a de meilleur, de plus authentique en eux, afin de « gagner en efficacité » - et de parvenir à convaincre, à « faire adhérer »… Et « ça marche » !

    D’ailleurs les « intéréssés » -ceux qui sont choisis, élus, et rétribués en conséquence- n’étant pas pour autant « abusés » ou « dupés », se sentent confortés dans l’idée qu’ils vont « innover », « changer la face du monde » en ce sens que la « face du monde » s’en trouvera évidée de ce qui la rend difficile et désagréable à regarder…

     

    Mais dans chacune de ces deux formes de domination, le résultat est le même : c’est du profit au bénéfice d’une minorité, une réussite assurée en termes de finance, de pouvoir et de puissance accrue, et des actionnaires mieux rémunérés… Et « un certain nombre » - croissant il faut dire – de « laissés pour compte »…

     

    La question aujourd’hui – et pour « les temps qui viennent » - c’est de savoir ou de pouvoir déterminer laquelle de ces deux formes de domination pourrait prendre le pas sur l’autre…

    Le « fond du tableau » - et il en a toujours été ainsi par le passé (l’Histoire le confirme)- est un fond de violence, de brutalité, de prédation (la « loi du plus fort » en somme)…

     

    Il me semble évident – en tant que « témoin de notre temps » que nous pouvons être - que le « fond du tableau » demeure le même de nos jours et qu’il le restera durant le siècle présent…

    Néanmoins, l’on voit se profiler – peut-être plus vite encore que l’on ne l’observe dans la réalité au jour le jour – une évolution dans la deuxième forme de domination qui donnerait à penser que cette forme de domination « marquerait des points »… Par le biais d’une « politique » axée sur le développement de ce que l’appelle du « coaching », de « l’accompagnement de carrière », d’une prise en compte de la personnalité des gens auxquels on propose un poste, une fonction ; tout cela mis en « base de données » déterminant et sériant des « profils » (cela c’est du ressort de l’Intelligence Artificielle et des algorythmes, des « calculs intégraux et de résolution rapide et automatique de problèmes aussi diversifiés que complexes)…

     

    Mais « ne nous y leurons pas » ! Cette forme de domination là, demeure associée à la première, et, un jour ou l’autre, contrairement à ce qui a pu être cru « à juste titre » la violence, la « loi du plus fort », la brutalité, la « mise à l’écart », la discrimination, la loi du profit et de l’argent réapparaîssent au grand jour…

     

    Ainsi un personnage ciblé pour ses compétences, pour ses capacités, pour ce qu’il y a d’humanisme, de droiture, de sincérité, de crédibilité, d’efficacité, de fiabilité en lui ; peut se voir dans le « Système » (dans l’Ordre du Monde) propulsé à un poste, à une fonction spécifique et se voir confier une mission « enthousiasmante et prometteuse en valeur ajoutée »… Par un dirigeant selon la vision de développement de ce dirigeant… Mais considérée par un autre dirigeant « non essentielle », lequel dirigeant ayant « un peu plus de pouvoir » que l’autre (c’est à dire que ce dirigeant là est davantage dans la violence, dans la brutalité et dans la prédominance des valeurs d’argent et de profit)…

     

    En somme c’est dans une violence et dans une cruauté « masquée » et d’apparence acceptable, qu’évolue le « Système » ou l’« Ordre du Monde »… Et au final, la violence, la cruauté, la brutalité se révèlent évidentes et sans fioritures…

     

     

  • Métiers d'hier et d'aujourd'hui

    … Voici une liste non exhaustive des activités, métiers, professions, emplois, exercés en 1911 et identifiés lors du recensement de la population à Fraize dans les Vosges, effectué cette année là en 1911.

    Sans doute, ces métiers et activités étaient-ils à peu près les mêmes dans toute la France rurale et urbaine de l’époque :

     

    Voiturier, bobineuse(textile), ouvrier papetier, employé de commerce, marchand de marée (poissonnier), mécanicien, poseur de rails de chemin de fer, garde-barrière, brodeuse (à domicile souvent), fermier(e), cultivateur/cultivatrice, ouvrier agricole, tisserand, contremaître en usine, perleuse, sabotier, manœuvre, vannier, couturière (souvent à domicile), débitant (boissons notamment), charpentier, tisserand(e), bûcheron, menuisier, cantonnier, charron, épicier(e)…

     

    Et voici, une autre liste tout aussi non exhaustive, des métiers, emplois, activités, professions exercés dans les années vingt du 21ème siècle.

    À noter que ces activités sont exercées pour l’essentiel dans de grandes zones urbaines et plus particulièrement dans les grandes métropoles régionales et à Paris, autour de Paris… À moins qu’un certain nombre de ces activités soient effectuées en « télé travail » (ordinateur, internet, logiciels, numérique etc. ) et donc, délocalisées :

     

    Développeur de logiciels, data-scientist, architecte cloud, consultant en transformation digitale, ingénieur en intelligence artificielle, Chef de projet, analyste de données, administrateur de bases de données, technicien de support informatique, spécialiste en marketing digital, développeur Web, développeur d’applications mobiles, ingénieur en réseau, technicien de maintenance informatique, architecte de systèmes d’information, consultant big data…

     

    Activités demandant des compétences acquises en formation et années d’études en grandes écoles … Alors qu’en 1911, les métiers et activités exercés n’exigeaint généralement qu’un apprentissage chez un patron…

     

    C’est dire de la différence de mode de vie, d’habitat, entre le début du 20ème siècle et les années vingt du 21ème siècle…

    Ainsi en 1911, une localité et ses environs (hameaux) de quelque trois mille habitants ou plus, constituait un centre d’activités – industrielles (usines, fabriques), agricoles, artisanales, commerciales… Qui permettait à tous les habitants d’exercer un métier, une profession, d’avoir un emploi, à peu de distance du domicile…

    Et de surcroît, chacun ou presque, dès le plus jeune âge – 12, 14 ans, trouvait à s’employer, et il n’était pas nécessaire comme de nos jours, de poursuivre de longues études (après le certificat d’études ou le « cours complémentaire » jusqu’au brevet)…

     

    De nos jours, les activités « sans qualification spécifique » souvent d’exécution de tâches manuelles et ne demandant guère de compétence particulière, telles que par exemple un travail à la chaîne dans une usine, et bien d’autres emplois « de services », sont réalisées par des machines, sont automatisées et robotisées, de telle sorte qu’avec un « cursus scolaire » limité au mieux au Baccalauréat, un jeune en âge d’entrer en « vie active » ne trouve pas d’emploi, ou trouve un emploi précaire, à temps partiel, avec un contrat de courte durée…

    La plupart des métiers, emplois, activités, professions aujourd’hui, exigent d’avoir reçu déjà une formation universitaire au-delà du BAC, et ensuite une formation dans une école spécialisée (enseignement supérieur, grandes écoles HEC, Science Po, écoles d’ingénieurs, etc.)…

    Ce qui implique pour un jeune adulte, de devoir quitter l’environnement local dans lequel son enfance s’est écoulée, de quitter sa région d’origine, à moins de trouver un emploi dans une grande métropole située dans la région…

     

     

  • Les livres qui mordent

    Le livre

    … Ce ne sont pas ces livres là, qui mordent et piquent, dont parlait en son temps Frantz Kafka… Qui sont demandés du « Grand Public » de nos jours !

    Loin s’en faut, car 9 livres (romans, récits) sur 10 sont, aujourd’hui, au même titre qu’un plat préparé sous cellophane ou en barquette en rayon de grande surface, ou qu’un jeu vidéo, ou qu’un film de Netflix, un « produit de consommation »…

    Les quelques livres qui « mordent et piquent » et plus encore ceux qui « fendent à la hache la mer gelée en nous » sont des livres que « l’Ordre du Monde actuel » considère comme étant « non aseptisés » ou dérangeants… Ou, parfois, par « reconnaissance de façade » (et « pour donner le change dans un but inavouable ») sont présentés au public tels des lapins ou des colombes sortis d’un chapeau…

     

  • IAG, outil d'intelligence artificielle

    … L’un des risques les plus importants lié à l’utilisation d’un outil IAG – Intelligence Artificielle – réside dans l’authenticité de l’information produite par une photo, par une vidéo, par un écrit, postés sur Internet et notamment sur les réseaux sociaux les plus fréquentés tel que Facebook et Instagram…

     

    Voici un document à consulter, relatif aux dangers de l’intelligence artificielle générative, du CESI, Centre d’expertise en sécurité de l’information, de l’Université du Québec :

     

    dangers-intelligence-artificielle-v1-long-20241004.pdf

     

     

    … Notamment ce paragraphe :

     

    Pour se protéger contre les hypertrucages, il est essentiel de vérifier systématiquement l'identité des demandeurs en cas de requête urgente, notamment par un autre canal comme un appel direct. Il faut également rester vigilant face aux comportements inhabituels, provenant même de sources de confiance. Enfin, limiter la diffusion d'informations personnelles en ligne réduit les risques que ces données soient exploitées pour des tentatives de manipulation.

     

    … Une « requête urgente » en effet, peut être celle qui est adressée sous la forme d’un couriel par une ou plusieurs personnes en association, dans le but de nuire à la réputation de quelqu’un en particulier, et surtout, de tenter, par chantage, de soutirer une somme d’argent relativement importante.

    Ainsi dans un premier temps est proférée une menace qui incite à réagir le plus rapidement possible. Et si la menace n’est pas prise en compte, alors sont diffusées de fausses informations sous la forme d’images produites, récupérées, accompagnées d’écrits… Bien sûr, de telles images et de tels écrits en réalité, n’ont jamais été postés…

    C’est si grave, une telle malveillance, que cela peut entraîner jusqu’à une enquête de police, jusqu’à des poursuites judiciaires et à une condamnation pénale… Dans la mesure où ont été produites des « preuves » sous forme d’images et d’écrits, et accompagnées, ces « documents », de témoignages « fabriqués »…

     

    Les techniques d’hameçonnage, déjà très efficaces, se voient aujourd'hui renforcées par la simplicité d'utilisation des outils d'IAG. Des enregistrements audios, des photos ou encore des imitations vocales d'un proche, d'une personne influente au sein d'une entreprise ou d'un ami peuvent être utilisés pour créer des situations urgentes et convaincantes, telles que des demandes de transferts bancaires ou la divulgation d'informations sensibles. La confiance suscitée par ces hypertrucages amplifie considérablement le taux de succès de ces tentatives d'hameçonnage.

     

    Il y a ce dilemme qui est celui du choix entre s’exprimer et produire du texte, de l’image, sous un pseudonyme et sous un avatar, et donc sans aucune indication, aucune représentation de son vrai visage et sans jamais communiquer la moindre information personnelle, de sa vie privée, de sa famille, de ses enfants… Ce qui, en quelque sorte « sécurise » ce qui est produit (et son auteur) – ou du moins « tend à sécuriser »…

    Et « se produire » en s’identifiant avec son vrai visage, son vrai nom ; ce qui bien sûr peut sembler préférable si l’on veut être reconnu par ses connaissances là où l’on vit et l’on exerce son activité (travail, emploi, implication dans une association, etc. )… Mais avec le risque d’exposition à des malveillances…

    C’est là, oui, une dilemme…

     

    Reste que – à mon sens – si l’on n’a point sur le « mur sur lequel tout le monde écrit ou trace » une « ribambelle d’amis – de plus de par exemple 50 personnes ; et si l’on n’est pas un personnage influent – avec un certain rayonnement – et si, pour peu que l’on ait quand même « un certain rayonnement » mais que l’on veille à ne pas « directement divulguer » et à produire du récit avec des personnages fictifs, si en quelque sorte on « habille » ou « enfouit dans des généralités » ; en somme si l’on rend difficile une tentative de malveillance parce que rien ne nous fait accuser formellement… Alors le risque est moindre, même s’il demeure potentiel…

     

    L’intelligence artificielle dis-je… En dépit de son immense puissance et pouvoir, peut-être « coiffée sur le poteau » ou « battue à la course »… N’oublions jamais que le cerveau humain, au naturel, fonctionne comme un ordinateur dont le disque dur a une capacité de stockage de données de cent milliards de tétra-octets… Et que l’intelligence artificielle finalement ne sera jamais que le produit de l’intelligence humaine via les ingénieurs et les chercheurs de la Silicon Valley et de Shangaï City au service des Elon Musk and Cie !

     

     

  • Lien entre la pensée et l'écriture cursive

    « Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi on n'apprend plus aux enfants à écrire en cursive ? Et non, ce n'est pas un hasard si on l'utilise de moins en moins. Écrire en cursive, c'est traduire la pensée en mots, c'est s'obliger à ne pas lâcher le papier. C'est un effort stimulant, qui permet d'associer des idées, de les lier, de les mettre en relation. Ce n'est pas un hasard si le mot "cursive" vient du latin "currere", qui signifie courir, couler, car la pensée est ailée, elle court, elle vole. Il est évident que la cursive n'a pas sa place dans le monde d'aujourd'hui, un monde qui fait tout pour ralentir le développement de la pensée, pour l'engorger. Je crois que la cursive est née en Italie et qu'elle s'est ensuite répandue dans le monde entier. Pourquoi ? Parce que c'était une écriture compacte, élégante, claire.

    Mais notre société n'a plus le temps pour l'élégance, pour la beauté, pour la complexité ; nous avons la synthèse mais pas la clarté, la vitesse mais pas l'efficacité, l'information mais pas la connaissance ! Nous en savons trop et pas assez parce que nous ne sommes plus capables de faire le lien entre les choses. Les gens ne peuvent plus penser. C'est pour cela qu'il faut revenir à l'écriture cursive, surtout à l'école. Car il ne s'agit pas seulement de retrouver une écriture, mais de redonner vie à notre pensée. Tout ce qui nous fait vivre, ce qui nourrit l'âme, ce qui soutient l'esprit, est lié à la respiration. Sans souffle, disaient les Grecs anciens, il n'y a pas de pensée. Et sans pensée, il n'y a pas de vie. Je vous laisse le soin de décider si cela est important ou non..." Guendalina Middei, Professeur X - écrivain

     

    Guendalina Middei, écrivain(e) Italienne sous le pseudonyme de Professeur X

     

    … S’il y a du vrai – et de la logique – dans ce qu’exprime Guendalina Middei, et que d’ailleurs je partage, il n’en demeure pas moins que je me pose tout de même la question de l’existence et de la réalité du lien entre la pensée, la réflexion, d’une part ; et l’écriture cursive d’autre part…

     

    Dans les langues issues du latin telles que le Français, l’Italien, l’Espagnol ; dans les langues anglosaxonnes, slaves ; ainsi qu’en Arabe… L’écriture manuscrite, celle que les enfants pratiquent à l’école lors de l’apprentissage de la lecture et de l’écriture, est le plus souvent cursive – donc avec les lettres reliées- (mais moins cependant, avec les nouvelles méthodes selon les programmes scolaires actuels, pour l’apprentissage de l’écriture à l’école en CP et CE)…

    Dans ces langues là, Français, Italien, Espagnol, Anglais, Russe, Allemand, Neéerlandais, et Arabe, le lien entre la pensée (la pensée développée et la réflexion) et le fait d’écrire à la main avec un stylo, un crayon, en cursif, s’impose en ce sens qu’il existe bien une logique, une réalité quasi évidente, dans le lien entre la pensée et l’écriture cursive…

    Mais alors, que dire du Mandarin (le Chinois), que dire du Japonais, que dire des langues qui n’ont pas d’alphabet mais s’écrivent et se lisent par signes ou signes reliés, de telle sorte qu’au lieu d’un alphabet de 26, 28 ou 29 lettres, l’on se retrouve avec plusieurs milliers de signes différents les uns des autres non reliés ? (Ce qui remplace en Mandarin ou en Japonais, l’écriture cursive, c’est la calligraphie c’est à dire le dessin du signe, l’art de bien dessiner ce signe)…

     

    Si je m’en rapporte à mon expérience personnelle, depuis plus de vingt ans, mon écriture manuscrite ne ressemble plus à l’écriture que j’avais lorsque j’étais au Lycée de Mont de Marsan en 1965 ou à celle que j’avais dans mes carnets, au crayon, entre 1983 et 1997…

    Cela fait une bonne vingtaine d’années que, lorsque j’écris à la main, je forme mes lettres presque comme en script, à peine ou non reliées entre elles, et que je ne sais plus écrire de « belles majuscules en écriture cursive » (je forme les majuscules en lettres d’imprimerie)…

    Cela vient de l’habitude d’écrire au clavier, certainement…

    Est-ce que pour autant, n’écrivant plus en cursif, ma pensée se serait atrophiée ? C’est bien là la question !

     

    D’autre part, il y a aussi une réalité non négligeable, à la perte de la pratique de l’écriture cursive :

    L’on en arrive à ne plus savoir ou pouvoir déchiffer certaines écritures de personnes que nous connaissons ou dont nous lisons ce que ces personnes expriment par écrit à la main… Et, quant à la lecture et à la compréhension de textes manuscrits anciens, très anciens pour certains, d’auteurs du 17ème, 18ème siècle, de documents historiques, etc. … C’est encore plus difficile pour les contemporains que nous sommes !

    Je m’en suis aperçu lors de recherches généalogiques avec l’accès aux fiches d’état civil numérisées notamment pour la période 1793 – 1806 : les actes rédigés avec les noms, prénoms du déclarant, des témoins… Sont très difficilement lisibles (forme des lettres) …

     

     

     

  • La stratégie des géants du marché

    Porte container

    … Tant que l’on verra circuler sur les océans tous ces énormes porte-containers dont certains sont chargés en hauteur au maximum possible, cela signifiera que les consommateurs de toutes sortes de produits – usuels ou accessoires – sur les cinq continents de la planète, seront assez nombreux pour « justifier » le transport maritime de marchandises à grande échelle, et surtout, pour permettre aux géants des marchés que sont les trusts et les multinationales dirigés par des multimilliardaires et des assemblées d’actionnaires, de réaliser des profits, des plus-values, des bénéfices de plus en plus importants…

     

    Ce sont bien, en effet les consommateurs qui « font le marché », ce qu’ est le marché, par la demande, par la capacité d’achat, et par le nombre…

    Tout l’équilibre entre ce qui se produit et se vend d’une part, et ce qui s’achète et se consomme d’autre part, réside dans la réalité du nombre de consommateurs de par le monde.

     

    Il est certain qu’une pression exercée par les possédants dominants décideurs -notamment les plus influents et les plus puissants d’entre eux, et soutenus par les gouvernants – (pression par exemple pour réduire le coût du travail, délocaliser des entreprises vers des pays à bas coût de main d’œuvre, licencier des salariés, rentabiliser ce qui se produit par automatisation, robotique, intelligence artificielle)… Ne peut si elle devient abusive, que nuire au marché tel qu’il se pratique…

     

    En effet, avec des salariés rétribués au plus juste – au minimum possible en fonction de l’environnement économique local associé au mode de vie – et avec un nombre relativement important de chômeurs, de diminution générale de revenus réguliers ; c’est le pouvoir d’achat qui se réduit, ce sont les consommateurs en moins grand nombre…

     

    L’équilibre actuel qui continue à perpétuer et même à renforcer la consommation, réside dans le fait que la pression exercée par les géants du marché et leurs servants les gouvernants, devient en quelque sorte une « valeur ajustable » (tout comme les salariés sont « valeur ajustable »)…

     

    Ainsi dans les pays dits « émergeants » où l’on gagne « un peu plus qu’avant » la consommation augmente… Mais dans les pays dits « développés » où l’on « gagnait relativement bien » et où la pression exercée fait que « l’on gagne moins » (ou que l’on gagne plus mais que l’on achète plus cher) la consommation stagne ou diminue…

     

    Vu la quantité de population dans les pays « émergeants » en Chine, Inde, Afrique notamment, il est certain que « gagner un peu plus » qu’il y a vingt ou trente ans dans ces pays, cela fait des consommateurs en plus…

     

    Perdre des consommateurs d’un côté, mais en gagner d’un autre côté, et au final, plus gagner que perdre, c’est la stratégie des « faiseurs de l’ordre du monde » …

     

     

     

  • La Trumpette

    La trumpette

    … C’est bien là, le genre de « look » (féminin) qui « m’extrêm’horripile » au plus haut point !

    J’en ai le nœud qui se ratatine et se recroqueville, rentrant telle la tête d’une tortue dans sa carapace, entre les deux boules, à la vue de la « Trumpette » chapeautée « Eglise méthodiste », dont on ne voit pas le regard sous le bord du chapeau !

     

     

  • C'est "ce monde là" ...

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    … C’est ce monde là auquel croient les généreux dépourvus de toute dureté, les compatissants et rêveurs sachant bien le mal du monde mais faisant comme si le mal n’existait pas sauf quand on ne peut le nier ; les offusqué(e)s du lapin dépouillé dont les tripes tombent par terre, les « guiliguili-ieurs » des « bons musulmans » et autres pratiquants de religions « de paix », les « Trumpépoutine c’est pas la cata », les « j’ai-un-joli-jardin-et-en-prom’ton-avec-des-amis-j’évoque- ma-tata-qui-croit-aux-fées », les « qui-se-balancent-dans-les-forums-du-net- des-mamours-et-des-bisuqueries »…

    C’est ce monde là, tel celui que symbolise l’image de ce gros nounours accompagné de deux poupées dont on peut se demander soit dit en passant si elles ne sont pas Qataries…

    C’est « ce monde là » qui a, dans son espérance contre-productive et dans son beau rêve pernoëllique… Fait en vérité – en lui permettant par manque de fermeté la possibilité d’exister – le monde réel tel qui l’est et tel que nous le subissons…

    Indirectement mais aussi sûrement que la Terre tourne autour du soleil… Indirectement et contre toute attente… « Nounours » - le « gentil nounours » s’est fait assassin sans le savoir, il a tellement cru « faire dans la dentelle » qu’en définitive il a laissé les déchireurs de dentelles « singer » les confectionneurs de dentelle et mettre sur les étals des marchés, de la dentelle faite de déchirures de dentelles…

     

  • Stupéfiants, un fléau !

    … Si même un chauffeur de bus scolaire peut-être un consommateur de drogue, tout comme en moyenne 1 français sur 5 actuellement, alors un gendarme, un infirmier, un enseignant, un salarié d’entreprise, un écrivain, un artiste, un intellectuel, un député, et, en somme « tout un chacun » dans ce pays, la France ; c’est dire du fléau qu’est la consommation de stupéfiants !

    Toute une société ainsi gangrenée !

     

    Et l’on s’étonne, l’on s’offusque de la déterioration du lien social, familial, de la violence et de l’agressivité au quotidien, du nombre d’accidents de la circulation notamment d’autocars et de camions de transport… De toutes ces bandes de trafiquants et de règlements de compte avec armes de guerre, de cette insécurité généralisée dans les quartiers de grandes et moyennes villes où sont présents au vu et su de tout le monde, tous ces dealers !

     

    Et, à côté de ça, haro sur le fumeur qui « se fait une clope – de tabac et non de hasch – sur un trottoir où passent des gens !… Haro sur le jeune couple qui se rend chez Mac Donald avec ses deux mômes pour bouffer des burgers et des frites et boire du coca cola !

     

    La drogue tue plus que la clope, la vape, ou Mac Donald ! Et non seulement elle tue, la drogue, mais elle assassine, elle fout des bus en l’air, et peut- être – ça va devenir possible – des avions et des trains ! Et des brigades de gendarmerie, des enseignants, des toubibs, en congrès ! On aura tout vu ! Quelle chienlit cette société ! Ça pue la haine, le sang, l’hypocrisie, l’individualisme forcené, la consommation de masse, la shoote ; ça se plaint de tout, ça veut jouir de tout, et en plus ça moralise !

     

    Pourquoi bon sang autant de stigmatisation des fumeurs de cigarettes – dont la plupart d’entre eux, il faut dire, se tiennent en extérieur pour fumer- alors que pour un « joint » on ne dit rien, on trouve cela « normal » - comme si c’était « entré dans les mœurs » !

     

    Je dis à ce chauffeur de bus testé positif à la consommation de stupéfiants, responsable de la mort d’une jeune fille de 15 ans : « toute ta vie t’auras la mort de cette jeune fille sur la conscience et si tu veux pas que ça te pourrisse la vie, suicide toi, c’est ce que tu as de mieux à faire ! ; de toute façon, t’es foutu, tu perds ton boulot et pour faire autre chose, ça sera la galère, personne ne voudra de toi ; alors avale des cachets, pend toi, ou fous toi à l’eau , ou jette toi sous un train ! »

     

     

  • L'âme des animaux ?

    « Il viendra un jour où les hommes connaîtront l’âme des animaux et tuer un animal sera considéré comme un crime, comme de tuer un être humain. Ce jour là, la civilisation aura avancé ».

     

    Léonard de Vinci, génie et végétarien

     

    … Je « partage » différemment cette réflexion de Léonard de Vinci :

     

    Est-ce qu’une mouche a une âme ?

     

    Et, que dire d’une guêpe dont le dard est rétractile alors que le dard d’une abeille ne l’est pas, rétractile ? De telle sorte que l’abeille, contrainte de te piquer, meurt, son abdomen déchiré ? L’abeille qui fait le miel, la guêpe qui est un nuisible et un « être » totalement inutile (qui aurait été créé par Dieu au même titre que toute créature vivante sur terre, dans les eaux et dans les airs?)…

     

    Est-ce qu’un sanglier, quand on voit les dégâts qu’il fait, et que, contrairement à bien d’autres animaux il est loin d’être en voie de disparition, a une âme ? Aux USA, des « battues » sont organisées en hélicoptère dans des endroits où il y a beaucoup de sangliers que des tireurs abattent au fusil mitrailleur : est-ce « atroce » ?

    ( Mais… « Rillette » la laie apprivoisée dont il a été question dernièrement, a quant à elle, une âme)…

     

    Est-ce qu’un poulet a une âme ? Ou un canard, ou une dinde ? Ou encore un petit cochon de lait ? Ou une « valeur » autre que celle d’être de la nourriture ?

    ( Sauf si une poule peut-être un animal de compagnie – mais « difficilement » un canard ou une dinde, et oui, certainement un petit cochon)…

     

    Et que dire des yeux totalement inexpressifs d’un lapin, comparé au regard d’un chat ou d’un chien ?

    ( Mais un lapin animal de compagnie, a une âme – si l’on peut dire – mais merci pour les « petits pois noirs » évacués sous les lits )…

     

    Enfin, est-ce qu’un Taliban, un Houti, un russe pro poutine, un américain pro trump, un terroriste et combattant du Hamas… Est-ce qu’un pédophile, est-ce qu’un jeune de 15 ans qui deale et sèche l’école et « joue de l’opinel » ; est-ce qu’un Ayatollah, est-ce qu’un Elon Musk… Est-ce que trois ou quatre racketteurs « en poste » dans une entrée d’immeuble qui, « culturellement parlant » ne réagissent qu’à de la musique « tam tam battement de cœur de pieuvre (et à rien d’autre de culturel) »… Ont une âme ?

     

    Qu’entend-t-on par « âme » ?

     

    Ne serait-ce pas, plus exactement, pour tous les êtres vivants y compris l’être humain, une  intelligence naturelle et donc innée qui, concernant par exemple un chien ou un chat ou même encore d’autres animaux adoptés en tant qu’animaux de compagnie vivant auprès d’humains, pourrait être assimilée à ce nous appelons « de l’âme », nous les humains ? En ce sens que ces animaux de compagnie proches des humains, à l’origine à l’état sauvage, peuvent avoir des émotions, et exprimer à leur manière par leur regard, par les mouvements de leur corps, par leur comportement, des émotions (les mêmes émotions que celles des humains) ?

    Il y a tout de même une différence par exemple, entre le chien ou le chat de la maison (ou un lapin, une poule « de compagnie » ; ou Rillette la laie apprivoisée) et un poulet, un lapin, un porc d’élevage, un sanglier qui laboure un champ, et à plus forte raison une mouche, une guêpe, une souris, une punaise…

    Le poulet, le lapin, le porc d’élevage ne ressent soit que du bien être s’il est correctement traité, soit que de la douleur et du mal-être s’il est élevé dans de déplorables conditions d’exploitation… Et, une mouche à laquelle tu arraches une patte, ça ne lui fait pas de bien… Et la guêpe si tu tentes de l’estourbir avec un torchon, elle ne se laisse pas estourbir, ni la mouche d’ailleurs… (c’est de l’intelligence naturelle intuitive, de l’instinct de défense)…

     

    Le Taliban, le Houti, l’islamiste terroriste du Hamas, le pédophile, l’épaisse brute humaine, le jeune de 15 ans qui deale, sèche l’école et joue de l’opinel, l’exécrable voyou caïd du coin, le multi récidiviste assassin et violeur… Ont peut-être une « âme » mais cette âme est une « âme noire » (faite de violence, d’agressivité, d’obscurantisme) et en ce sens – j’ose le dire - « perdent leur statut d’être humain », ne peuvent plus être considérés comme étant des êtres humains, mais plutôt comme si c’étaient des extraterrestres ultra prédateurs venant nous envahir…

     

    La vie qu’elle soit humaine ou animale, c’est un combat, ça « fait pas dans la dentelle », c’est pas « bisounours on laisse faire par indifférence, complicité tacite ou lâcheté ou recherche de la facilité » (comme chez les humains)…

    C’est un combat mais c’est aussi dans la nécéssité, de la symbiose, de l’association, de la collaboration, de la complémentarité, dans la relation entre les êtres vivants, entre les humains…

     

    Le pire serait que l’intelligence artificielle, au service d’un ordre du monde décidé par des gens tels qu’Elon Musk et d’une minorité élitiste prédatrice, se substituerait à l’intelligence naturelle, et, en quelque sorte à l’âme… Alors que la vocation – si l’on peut dire – de l’intelligence artificielle, serait « dans l’idéal », de se mettre au service de l’intelligence naturelle (et de l’âme)…

     

     

  • Petit "conte" de Science Fiction

    … Cela se passe dans un centre de recherche et d’étude de différents virus jusque là inconnus et qui ont été « récupérés » lors de fouilles réalisées dans le permafrost de l’île de Baffin au nord est du Canada…

     

    Avec le réchauffement climatique, particulièrement accéléré durant ces dernières années passées, dans les régions de haute latitude notamment autour et au-delà du cercle polaire arctique, le permafrost fond en partie, libérant ainsi des bactéries et des virus qui, jusque là, étaient pour ainsi dire « endormis » et donc inactifs…

     

    Des ingénieurs et chercheurs (des microbiologistes) de la Silicon Valley, spécialistes en Intelligence Artificielle, viennent de « modifier » l’un de ces virus issus du permafrost, de telle sorte qu’un « programme » a été introduit dans la composition de l’organisme…

    En conséquence le virus modifié « largué à dessein dans l’air ambiant », va progressivement infecter les humains… Mais « pas n’importe lesquels »…

    Parce que le « programme introduit » est conçu pour détecter toutes les caractéristiques du « profil de personnalité » de l’individu – en particulier ses travers, ses comportements agressifs, ses inclinations à des actes de violence et de prédation – et, plus généralement tout ce qui rend cet individu désagréable à son entourage, ou exécrable…

    Une fois l’organisme humain infecté par ce virus modifié, la personne devient en premier lieu porteuse du virus…

     

    Mais le virus ne s’active que dans l’organisme des personnes « ciblées » c’est à dire celles qu’a détecté le programme…

    L’on « imagine » des centaines de millions de personnes, de toutes conditions sociales, du « petit voyou du coin » jusqu’au grand caïd d’une mafia ou au multimilliardaire dominant prédateur – en passant par le klaxomerdeur dans un rond point ou par le vieux papy qui s’est livré à des attouchements indécents sur sa petite fille de six ans … Des centaines de millions de personnes, mourir de ce virus (un genre de fièvre éruptive et hémoragique de type Ebola) ; de nombreux hôpitaux et cliniques refusant l’entrée des malades et obligeant les ambulances à repartir, des médecins et secouristes décidant de ne pas soigner « ces malades là »…

     

    Précision cependant, au sujet de ces ingénieurs chercheurs microbiologistes et spécialistes de l’intelligence artificielle, de la Silicon valley – ou de Shangaï…

    Ce sont des « atypiques » et des « non indéodés à l’Ordre du Monde », des scientifiques qui, au départ avaient été recrutés par des directeurs de multinationales, et qui, devenus conscients d’un engagement qui leur a été imposé dans l’intérêt des dominants, ont rompu avec leur engagement et au lieu de concevoir un « programme » détecteur de « profils indésirables » (indésirables aux yeux des dominants), se sont évertués à créer un autre programme celui là détecteur de « profils de salauds »…

     

    (Au moment du recrutement – entretien d’embauche- les DRH les plus rompus aux techniques sélectives, avec l’aide, pourtant, de l’intelligence artificielle, ont été incapables de détecter lesquels de ces ingénieurs et chercheurs formés dans de grandes écoles, pouvaient être des atypiques et des résistants potentiels)… Comme quoi, l’on « mesure » les limites de l’intelligence artificielle – du moins au stade où elle se trouve aujourd’hui ( et à charge pour les résistants de donner à l’intelligence artificielle un pouvoir qui ne soit plus prédateur mais au contraire éliminateur de prédation)…

     

    Allez… ! Et ce sera ma conclusion :

    « De même que qui ne saute pas n’est de l’ELO – ou du TRUCLA – qui ne rêve pas de ce virus n’est pas de cet OTMONDE » !

     

     

     

  • Libération du camp d'Auschwitz 27 janvier 1945

    … Les témoins encore vivants, très âgés, rescapés des camps de la mort, ont tous déclaré en substance :

    « Qu’il ne fallait plus que l’on désigne des personnes considérées indésirables en fonction de leur couleur de peau, de leurs origines, de leur religion, de leur mode de vie, de leur culture »…

    C’était là, en gros, le sens du message des survivants…

    Oui MAIS…

    Il y a tout de même dans le monde des gens qu’il faut désigner comme étant des ennemis de l’humanité et qui sont des personnages plus puissants que des gouvernements, tant leurs fortunes sont colossales et que leur pouvoir est illimité et que leur domination s’exerce dans toutes les activités humaines marchandes de produits, de biens et de services…

    Ces gens là, donc, des personnages plus puissants que des gouvernements, aux fortunes colossales et au pouvoir illimité, et avec leurs plus proches collaborateurs et associés… Sans oublier aussi les grands caïds de toutes les mafias et leurs cartels … Sont les ennemis de l’humanité ! Il faut les désigner, les identifier, il faut qu’ils soient ciblés, qu’ils fassent l’objet de violences, de propos haineux à leur égard, des caricatures les plus insolentes et les plus irrespectueuses sur les réseaux sociaux…

    Il faut détourner vers eux, toutes les vindictes, tous les anti ceci cela, toutes les discriminations, au lieu de continuer à s’en prendre à tous ceux que depuis si longtemps dans l’histoire et qu’encore aujourd’hui l’on agresse, stigmatise et parfois assassine ou cherche à éliminer…

    Il faut que se lève de par le monde un mouvement qui s’oppose à ces ennemis de l’humanité que sont ces personnages si puissants et leurs associés et collaborateurs, et dont l’objectif de ce mouvement viserait à détruire ces personnages et les systèmes qu’ils ont mis en place ; en somme que leur pouvoir passe entre les mains des peuples qui eux, sauront bien mieux gérer, du moins gérer différemment c’est à dire dans l’intérêt de tous plutôt que dans l’intérêt d’une minorité élitiste et prédatrice…

    Il n’y a que ce vocable pour désigner les ennemis de l’humanité : « salauds » ! À bas les salauds ! (Et leurs « cliques »)…

    « Comme c’est curieux » !, à la cérémonie commémorative de la libération du camp d’Auschwitz, le 27 janvier 2025, n’étaient points présents : Elon Musk, Donald Trump, Vladimir Poutine… Et bien d’autres…

     

     

  • Hah'men !

    … Broyé entre les puissantes mâchoires d’une grosse truie, le poussin jeté dans l’auge par un gamin qui auparavant, avait incendié une fourmilière d’un million de fourmis…

    La truie, exposée dans un parc carré constitué de huit barrières métalliques sous le marché couvert de Sainte Radegonde les Mimosas, largue un long pèt silencieux mais très fleurant…

    Et à côté du parc de la truie est disposé un parc à bébé dans lequel trois marcassins plongent leur grouin dans une bouillie de nourrissons : l’un taliban et l’autre houti, tous deux broyés et réduits en marmelade…

     

    Escagassés les dés creux sans six et les lapins en porcelaine sur l’étal de Jo l’véloce hardi au négoce mais lent à la mastication d’entrecôte bordelaise au gros poivre noir… Et hélant désespérément l’escagasseur parti en courant, bousculant une mémé corpulente en futal à fleurs…

     

    Aperçu sur des briques disjointes d’un mur du marché couvert, des cryptogrammes de cartes bleues…

     

    Elton, en haut de forme tel l’astronome de Pim Pam Poum, musquait le foutre de verrat et exhibait ses fesses tatouées en se dandinant tel une chèvre pelée égarée dans la chambre froide attenante à la cuisine du restaurant Le Maître Coq…

     

    Arrivent des brocanteurs non patentés, à trottinette électrique, poussant de petites remorques à bras chargées d’asphodèles en cristal, de téléphones portables, de mini-machines à coudre, de dentiers, de godemichés et de moules à tarte… Qui s’installent sous la halle du marché, là où d’ordinaire, paradent patates, salades et navets de jardiniers bavards au beau milieu de morutiers et de charcutiers merd’soudés qu’à coup sûr vont s’entendre question pratique de politique des prix afin que les cons que nous sommes à terre puissent se relever, même de guingois ou de traviole, et surtout acheter les salades nitratées, les patates et les navets pesticidés…

     

    Hamen, rh’ah’mène’moi les anchois aux noix de cajou, les foies de chapons, les gensives de génisses, et toute la mercantepicerie du bonbon du cornichon de la mayo et de la rillette et de l’œilleton de dindon « made in Belzézobie » de l’autre côté de l’Antarktouque voire de la Loune pour peu qu’on ait jamais vu qu’avait encore un poulailler en boule derrière la Loune…

     

    Bésosi putrécanti Meloni – Orban la Trumpette et son Trumpo comme le Pihi et sa Pie – ou le merle et sa merlette, la Trumpette chapeautée Eglise Méthodiste autour du grand vase chington et avec par nuées corrosives, des cohortes d’actionnaires se disputant les services de Déhèrrehaches rompus siliconvalés changaïsés à l’Hyhia…

     

    Un mossule bourré de grenaille sur le marché couvert, et écartelée la grosse truie, et effacés les cryptogrammes, et en poussière les salades les patates et les navets pesticidés !…

     

    Et redevenues vraies et donc plus en cristal les asphodèles !

     

    Hah’men ! … Cette fois pour de bon et pour toujours …

     

     

  • Inertie des peuples

    … L’inertie des peuples a pour moteur le genre de liberté que l’on donne à ces peuples…

    Il est certain que ce genre de liberté est la meilleure forteresse des tyrans…

    La preuve ? L’abandon de toute modération de tout ce qui se dit, s’écrit et se montre sur les murs où tout le monde dit, s’écrit et se montre…

    Le résultat ? Plus rien ne vaut quoi que ce soit, alors tout devient possible à qui détient le pouvoir puisque ce qui vaudrait quelque chose en tant qu’appel à résistance et combat, n’ayant plus aucun impact et se trouvant noyé dans la masse, le pouvoir du tyran n’a plus de limite et s’inscrit dans la durée…

     

  • La facture écologique à venir

    … Le Trumpisme va rendre la facture écologique très élevée en ce sens que les catastrophes liées au changement climatique, par leur fréquence et leur intensité, vont affecter l’ensemble de la planète, à commencer par tout le territoire des USA…

    Mais de toute manière, la facture écologique avant l’élection de Trump est déjà très lourde.

    Et il est certain que les privilégiés que sont les personnages les plus riches, s’établissant en des lieux particuliers moins impactés – par les incendies, les inondations notamment- et relativement bien protégés du fait des aménagements de leurs habitations et propriétés, ne se sentent pas trop concernés par ce qui menace le plus grand nombre d’humains dans les prochaines années…

    Cependant, au final, la facture écologique sera si élevée, que même les plus riches et les mieux assurés et protégés, seront eux-aussi, impactés… Et qu’alors, dans l’immensité des pleurs du plus grand nombre, retentira aussi le rire du même plus grand nombre, à la dévastation des palaces, des somptueuses villas et propriétés des milliardaires…

    Aucun terrorisme de quelque obédience que ce soit ne sera plus « vengeur » ou « punitif » que le terrorisme exercé par les catastrophes climatiques…

    « Mourir en voyant mourir ceux qui nous font mourir, n’est-ce pas mourir en beauté, ou tout au moins mourir moins dramatique » ? – dis-je…

     

    « Quand crèveront les salauds en même temps que nous, ça nous sera moins dur de crever ; et, d’une certaine façon, il sera alors intéréssant d’être témoin de l’anéantissement des salauds ! » …