Articles de yugcib

  • Temps, et moment ou instant

    … Certes, ce que l’on voit – à l’œil nu ou au télescope- de la galaxie d’Andromède (M31) située à 2,55 millions d’années lumière de distance ( en kilomètres cela représente cent milliards de fois la distance Terre – Soleil ), « date » de 2,55 millions d’années, temps que met la lumière produite par cette galaxie « voisine » de la nôtre la Voie Lactée, à nous parvenir…


     

    D’une planète semblable à la Terre autour d’une étoile comme notre soleil, de cette galaxie, s’il y a une vie intelligente de type humanoïde, il en est de même pour un observateur de notre galaxie dont la lumière produite met 2,55 milllions d’années à parvenir à cet observateur…


     

    Mais se pose la question du moment ou de l’instant qui est en quelque sorte un « lieu du temps » et qui lui, est un même « lieu de temps » entre deux lieux très éloignés…


     

    Ainsi sur la Terre, entre deux participants à un jeu vidéo, l’un à Clermond Ferrand en France, et l’autre à Christchurch en Nouvelle Zélande (environ 20 000 km séparant ces ceux villes), ce que voit ce que fait l’autre sur l’écran de son ordinateur, lui parvient « datant » de « je ne sais combien de milliardièmes de seconde » alors que l’un et l’autre interagissent ensemble exactement au même moment…


     

    Quelque soit la distance (en milliards de milliards de kilomètres ou en nano-millimètres) si la lumière prend du temps pour rendre visible ce qui se passe en tel lieu éloigné de tant de milliards de kilomètres ou de nano-millimètre ; l’instant (ou le moment) où se passe quelque chose en ce lieu, est le même que celui où se passe quelque chose de différent ou de similaire en un autre lieu très éloigné.


     

    L’on peut donc imaginer, sur une planète dans la galaxie d’Andromède, un « humanoïde » (ou une forme de vie intelligente) et un Humain de la Terre, réalisant l’un et l’autre au même instant ou moment, quelque chose (de différent évidemment)…


     

    Ainsi le temps qui s’écoule, mesuré en années – lumière entre un lieu dans l’espace, que ce soit une galaxie, ou le soleil, ou la lune, et la Terre, qu’il soit par exemple de 4 années – lumière entre Proxima du Centaure et la Terre, ou d’une galaxie très éloignée de 13 milliards d’années – lumière et la Terre, ou encore sur la Terre entre Clermond – Ferrand et Christchurch, de « je ne sais combien de milliardièmes de seconde… Le temps qui s’écoule est une réalité… Mais un moment ou un instant précis, où se passe tel événement ou fait, l’un en tel lieu, l’autre en un lieu différent, est une autre réalité…


     

    Dans l’Histoire de notre planète depuis son origine, l’on compte en milliards, en millions d’années en se fondant sur la durée d’une révolution de notre planète autour du soleil.


     

    Ainsi, à l’ère de l’Australopithèque il y a 4 millions d’années, le moment où un éclat de pierre fut travaillé par un australopithèque, est éloigné de 4 millions d’années du moment où un humain actuel en 2023, débouche une bouteille de vin lors d’un repas… Les deux moments ne peuvent être simultanés, c’est là aussi une autre réalité…


     

    Sur Terre l’on mesure le temps selon des unités perceptibles : un an (révolution de la Terre autour du soleil 365 fois la révolution en 24h de la Terre sur elle-même -un jour) puis en subdivisions heures minutes secondes… Et dans l’espace proche (le système solaire), l’on mesure encore le temps selon ces unités perceptibles par exemple pour se rendre sur la planète Mars, il faut entre 200 et 350 jours terrestres de 24h…


     

    Dans l’espace lointain hors du système solaire, à l’intérieur de notre galaxie et au-delà, l’on mesure le temps pour des déplacements que l’on imagine d’un lieu à un autre (de notre planète à une planète située quelque part dans notre galaxie ou dans une autre galaxie) en nombre d’années de 365 jours terrestres qu’il faudrait, en se véhiculant à la vitesse de la lumière 300 000 km seconde, pour effectuer « un aller simple »…


     

    Que penser, alors, d’une éventuelle communication pouvant s’établir entre deux civilisations sur deux planètes éloignées, distantes l’une de l’autre de par exemple, 2 millions d’années-lumière ? Les représentants de l’une, percevant un signal datant de 2 millions d’années-lumière – et parvenant à voir l’autre (ce qui se passe sur l’autre) datant de 2 millions d’années-lumière ?


     

    Que penser, imaginant dans quelques siècles ou dans 1000 ans une « confédération de représentants de planètes habitées » (les unes dans notre galaxie, les autres en d’autres galaxies) réunie en sommet en un endroit d’une « planète siège » ; ces « gens » ayant parcouru dans l’espace des distances considérables de l’ordre de plusieurs années lumière en « aller simple » afin de se rencontrer ? … Dans la dépendance à la vitesse de la lumière 300 000 km seconde, considérée scientifiquement à l’heure actuelle comme indépassable ?


     

    Il doit forcément – et naturellement – exister « quelque chose » d’encore non découvert, qui nous est inaccessible et invisible, qui serait une réponse à cette question des distances dans l’espace, des déplacements dans l’espace, de la communication entre plusieurs civilisations séparées par de grandes distances…


     

    La « clé » est peut-être dans cette réalité qu’il y a entre deux moments ou instants se produisant simultanément l’un en tel lieu, l’autre en un autre lieu, et où intervient une sorte de « mécanique, géométrie et physique » de l’espace – et de la matière ( encore inconnue)…


     

  • Résistance à l'épuisement

    … À ne rien attendre de personne, en particulier ce que l’on attend le plus des autres, et qui nous tient tant à cœur au sujet de ce que l’on aimerait que les autres découvrent de nous…

    À toujours « faire le premier pas » dans la relation, notamment lorsque l’autre ne s’est pas manifesté depuis plusieurs mois voire années…

    Et « à donner de sa personne », de ce que l’on croit être « au mieux et au plus heureux » pour les autres…

    À toujours parvenir à surmonter les déceptions que créent nos attentes… En particulier ce silence, cette indifférence des autres à notre égard, à ce que l’on leur montre, à ce que l’on exprime ; plus encore que les critiques acerbes, les médisances et les dénigrements de certains…

    Il finit par venir – à vrai dire parce que l’on le laisse venir en perdant de notre énergie – un temps d’épuisement, de renoncement à agir, à exprimer, à « faire le premier pas »… Où se vide peu à peu de son contenu, un quotidien de vie où en dépit de ce qui nous décevait, nous étions agissants et « allant de l’avant »…

    Lorsque virent ce temps d’épuisement, c’est la vieillesse qui se manifeste.

    Lorsque la résistance à l’épuisement ne faiblit pas, notre vieillesse alors, avance aussi longtemps que possible, déridée et insoumise aux rites qui l’affligent et dont on la pare…


     

  • Salon de l'agriculture

    … « Aux dernières nouvelles » (à vérifier) un emplacement au salon de l’agriculture pour les exposants éleveurs notamment, ainsi que pour les exposants ayant besoin d’un espace de 20 à 30 mètres carrés (il faut ce qu’il faut, pour les vaches, les porcs et autres animaux, le matériel et les installations nécéssaires, la paille, les abreuvoirs etc.) coûte 17 000 euro pour la durée du salon soit du samedi 25 février au dimanche 5 mars 2023…


     

    Un emplacement de seulement 9 mètres carrés coûte 5000 euro…

    À cela s’ajoute les frais d’électricité, les frais de parking, la nourriture (pour le logement, les exposants ne vont pas à l’hôtel, mais dorment sur place)…


     

    Assurément pour les exploitants éleveurs qui font le voyage depuis les départements, « il faut avoir les reins solides » - ce qui n’est pas le cas pour beaucoup – ainsi que pour les autres exposants qui vendent leurs produits, les restaurateurs…


     

    À titre de comparaison, au salon du livre qui se tient trois semaines plus tard, si l’emplacement coûte 800 euro pour les petits éditeurs – stand de trois mètres carrés - ce coût peut aller jusqu’à 20 000 euro pour des géants de l’édition ayant besoin d’un vaste emplacement…


     

    Verra-t-on aux JT de la télé, comme chaque année (un « rituel »)… Quelques uns de nos Élus, peronnalités influantes, dirigeants de partis politiques… Et président de la république… « tapototer » la tête de la vache, ou prendre dans ses bras le joli petit agneau, le porcelet couinant, voire la grosse poule Sussex pondeuse ? (rire)…


     

    Lorsque se clôt le salon de l’agriculture, se sont les éleveurs et les exposants qui « font le ménage » et donc nettoient, récurent, désinfectent, rangent… Et non pas des agents d’entretien de la municipalité parisienne… Il y a lieu de s’interroger sur le coût exorbitant d’un emplacement durant 9 jours !


     

  • Vivre en 2023

    … C’est chaque jour pour des millions de gens en France et partout dans le monde, un « parcours du combattant », une course contre la montre…


     

    Dans cette France de 89 députés du Rassemblement National, de 245 députés des partis de la majorité, de 131 députés de la NUPES, de 61 députés des Républicains, et de 22 députés « divers gauche »… Qui, soit dit en passant ont à peine obtenu un peu plus de la moitié des voix des électeurs…


     

    Dans cette France des « grandes réformes et orientations socio-économiques », bouffée par l’Europe de Bruxelles (heureusement si l’on peut dire il y a l’Europe de Strasbourg mais dont le Pouvoir est moindre que celui de Bruxelles), vassale des États Unis d’Amérique, prise dans les serres d’une mondialisation qui a cessé d’être « heureuse » et s’est fracturée et dans laquelle ce sont les Chinois qui mènent le jeu…


     

    Et, à deux mille kilomètres de la France, Poutine, le broyeur de l’Ukraine, pourfendeur des démocraties occidentales décadentes selon lui, ses généraux et ses indéfectibles oligarques pour la plupart d’entre eux anciens du KGB du temps des Soviets et de l’URSS…

    Et, à nos portes, et, dans nos esprits formatés, les réactiveurs d’une « guerre froide » fourbissant des armes nucléaires dites « de dissuasion » mais qui, sur les rampes de lancement, depuis des porte-avions et des sous-marins, sont prêtes à être lancées à tout moment…


     

    Le spectre d’une 3ème guerre mondiale qui avance non plus en catimini mais en bottes à clous, en infanteries dotés d’appareils technologiques bardés de numérique et d’intelligence artificielle, en chars d’assaut, en drones et en cyborgs…


     

    Pourquoi croyez-vous qu’en dépit de tous les traités et de toutes les conventions (Paix, désarmement, droits humains), on continue de fourbir, de multiplier, de perfectionner autant d’armes nucléaires et autres à grande capacité de destruction ?


     

    … Dans cette course contre la montre sur fond de vie chère, de précarité, de difficultés au quotidien, de chacun, en France et ailleurs – mais surtout dans les « pays pauvres »… Sont au rendez-vous de gigantesques incendies, des inondations, des coups de vent en tornade, tempêtes, cyclones, typhons, aussi subits que dévastateurs, des sècheresses, des étés brûlants…


     

    Les émerveillements se sont décolorés sous le lessivage du consommable, du loisirable, du jouissage, du profitage, tout cela dans la hâte, dans l’immédiateté, dans le paraître, dans un individualisme forcené… Pour ceux et celles de ce monde, d’en France et d’ailleurs, que les calamités n’ont pas atteints, « réservoirs de consommateurs » qu’ils sont pour les Géants de l’économie de marché…


     

    Les étonnements, les questionnements, les résistances, se sont laissé broyer sous la presse de l’indifférence et du silence…


     

    Contre le parcours du combattant et les obstacles qui le jalonnent, l’on fait encore de longues marches par milliers dans les rues… Mais l’on ne veut surtout pas devoir changer ses habitudes, ni son mode d’existence…


     

    L’on apprend aux enfants, par le jeu, ce qu’il y a lieu de savoir ; et, fous de télé et de consoles de jeux, à dix ans abonnés à TiK ToK, à Instagram et à Facebook ; fils et filles qu’ils sont, encore en environnement sécurisé, protégé, aseptisé… Du moins pour un certain nombre d’entre eux qui iront jusqu’à BAC plus 3, 4 ou 5…


     

    Quelques uns d’entre nous – pas forcément des « vieux » ou des « rassis » - se réfugient et se barricadent dans une « nostalgie de ce qui autrefois a été », « chiante à crever » de morale, de carotte et de bâton, alors que d’autres sont tournés vers l’avenir mais papillonnent lentement brûlés dans l’éclat lumineux des lampes halogènes…


     


     

  • Printemps des poètes

    … De cette 25 ème édition du Printemps des poètes, du 11 au 27 mars 2023, « je n’en ai point vu le bout du pif ni le bout de la queue en l’air d’un chat » dans les médias d’information, presse régionale et locale, audiovisuel, et je n’ai pas eu connaissance non plus de manifestations (spectacles, soirées, concours, etc.)… Par affichettes, annonces, par des associations, des municipalités…


     

    Pas possible, je dois être miraud, complètement miraud ! … Si info il y a eu lieu !


     

    Quoiqu’il en soit depuis plus de dix ans, ce printemps des poètes à chaque fois, je le loupe, n’en ayant « connu la couleur » que dans les années 1999 à 2006, où, y participant, je « croyais dur comme fer » que peut-être j’allais gagner quelque prix (c’est arrivé en 1999)…


     

    Petite anecdote :


     

    En 2008 une personne avec laquelle je communiquais dans un forum du Net, que j’avais rencontrée et invitée un dimanche chez moi, participa en compagnie d’autres personnes d’une association locale « interactive » (théâtre, musique, lecture, productions artistiques) à une « soirée poésie » dans le cadre du printemps des poètes, où je m’étais rendu (il était prévu lors de cette soirée, de lire des textes à voix haute)…

    Nous étions une trentaine de participants…

    Cette personne durant toute la soirée, prit en quelque sorte possession de l’auditoire, de telle sorte que, sur les trente participants et participantes assemblés, ayant prévu la plupart d’entre eux, de lire des textes « de leur cru », c’est à peine si deux ou trois ont pu faire écouter leur texte, un seul…


     

    Bien des années plus tard, un beau jour, en réponse à un message que j’avais adressé à cette personne, à la suite d’un effacement de mes productions sur le forum qu’elle administrait, elle m’avait répondu que je squattais beaucoup trop son forum et que j’usai (selon elle) abusivement du pronom « je »… Et s’est montrée assez agressive à mon égard, n’acceptant de recevoir aucune argumentation, ou quelque excuse que ce soit de ma part…


     

    Je me suis alors souvenu de cette soirée poésie où elle avait « royalement dominé » l’assistance en lisant en enfilade ses textes (et dans lesquels soit dit en passant, il y avait quelques « je »)…


     

    J’écrivais, dans ce forum, depuis plus de dix ans et j’y avais mon « coin dédié »… Tout a disparu mais… « ça m’a fait une belle jambe » du fait que je sauvegarde et conserve en fichiers de textes et documents, tout ce que je produis, sur un disque dur externe, sur des clés USB, sur des espaces de stockage en ligne, et même en feuilles A4 imprimées dans des classeurs…


     

    Depuis que cette personne m’a viré de son univers – bon, allez, je révèle la date : c’était le 13 mai 2020 – je me sens « assez mal à l’aise » avec le pronom « je », que j’essaie autant que possible d’éviter d’user… Et « par extension » j’hésite, m’interroge lorsque j’envisage d’écrire un récit à connotation autobiographique ou d’autofiction…


     


     

  • Des "wagons silence" à la SNCF ?

    … Entendu parler (émission publique de débats sujets d’actualité Sud Radio midi 13h) de « wagon silence » ou d’espaces dans les trains, dédiés au silence…

    La première chose qui m’est venue à l’esprit c’est celle de la mise en place d’une signalétique nécéssitant quelques aménagements dans les voitures, notamment en haut en bout de couloir central (il y a déjà l’indication pour les toilettes), ainsi qu’une même signalétique afin d’identifier depuis l’extérieur la ou les « voitures silence »…

    Ces aménagements de signalétique ont forcément un coût de réalisation (on ne va pas simplement placer une pancarte en métal vissée sur un côté du wagon, pouvant être enlevée et placée sur un autre wagon).

    Et… Irait-on jusqu’à construire de nouvelles voitures, adaptées et pourvues de signalétique ?

    Ensuite, deuxième chose me venant à l’esprit : comment pourra – t – on gérer le nombre de demandes, d’achats de billets de train en réservation en TGV -OUIGO – INOUI, TER, Intercités, afin de déterminer s’il faut placer dans le convoi de 10, 15 voitures, une, deux, trois ou plus, de « voitures silence » ?

    Un « casse-tête » qui, sans doute pour des logiciels d’informatique, de robotique, d’intelligence artificielle, ne posera pas trop de problèmes…

    Ces dernières années, lors des trajets que j’ai effectués dans les TGV – OUIGO – INOUI et TER, en des périodes de fréquentation normale – et même dans des périodes d’affluence, j’ai constaté qu’en règle générale, règne à vrai dire un relatif silence, que les gens ne se parlent pas, les uns lisant une revue, un journal, un livre, ou occupés qu’ils sont avec un ordinateur portable, un smartphone, écouteurs dans les oreilles, sans compter ceux qui dorment durant une partie du trajet…

    Il est vrai que parfois, notamment en période de vacances scolaires, l’on voit des couples avec enfants agités, ou en toute période de l’année, des gens en groupes dont on entend les propos qu’ils tiennent, les bruits qu’ils font… Mais c’est bien là tout à fait circonstanciel… Il n’y a donc pas à « en faire un fromage » de cette affaire de « voitures silence » dans les trains  (elles existent déjà « de facto »).

    Le jour où cette mesure sera mise en place, vu le nombre de réservations qui se feront pour des places en « voiture silence », à la direction de la SNCF, on réalisera qu’il eût fallu plutôt concevoir des « voitures tapage »…


     

  • Individualité et individualisme

    … John Steinbeck, écrivain Américain né le 27 février 1902 et mort le 20 décembre 1968, déclarait qu’il combattait toute idée, religion ou gouvernement qui limite ou détruit la notion d’individualité.

    Entendait-il par là, que l’individualité était liée à la personne humaine, et que cette individualité de la personne humaine à ne pas détruire, à encourager, à protéger ; aussi unique dans son genre, aussi singulière qu’elle soit, ne dérangeant que des contraditeurs crispés dans leurs croyances, ne s’exprimant pas et n’agissant pas dans la violence… Était aussi reliée à la communauté humaine ?

    Que peut-on dire, en revanche, de l’individualisme, sinon qu’il ne relie en aucune façon l’individu à la communauté humaine, lorsque l’individu n’est préoccupé que de ses aspirations personnelles, de ses besoins, de ses vues, au détriment des autres ?

    Oui donc, à l’individualité, mais non à l’individualisme…


     

  • Proposition de loi contre l'écriture inclusive

    ... Contre l'écriture inclusive, l'argument le plus difficilement contestable est celui de la fragmentation des mots et des accords, constituant un évident obstacle à la lecture et à la compréhension d'un texte, qui contrarie la fluidité dans la communication écrite, ne contribue pas à la maîtrise de la langue française...

    Sur ce dernier point, de la maîtrise de la langue française ; l'écriture inclusive, introduite et instituée à l'école, participe à une démolition de ce qui, en orthographe et en grammaire française, a été enseigné depuis que l'école est devenue gratuite, publique et obligatoire en 1881...

    Si l'on s'en tient, dans l'esprit du projet de loi déposé à l'Assemblée Nationale portant sur l'interdiction de l'écriture inclusive aux éditions, aux productions et publications scolaires et universitaires, aux actes civils, administratifs et commerciaux... À ce qui demeure intemporel dans l'orthographe et dans la grammaire française, à ce qui dans la grammaire ne peut être modifié afin d'être rendu soit – disant- plus accessible (ou en vertu de cette "idée" du "pour tous"), l'essentiel est dit... Sans qu'il soit question de "sexisme" ou de "féminisme".

    Ce concept du "pour tous" à propos de ce qui doit se faire ou ne pas se faire, de ce qui doit être ou ne pas être, de ce qui doit être introduit, officialisé dans la vie sociale ; et ces complaisances, tolérances, abdications, démissions, des autorités, à l'égard de minorités communautaires aux comportements souvent ostentatoires et agressifs, souvent aussi se faisant dans une pensée de repentance parce que jadis ces minorités étaient stigmatisées, violentées, contraintes au silence... Ne constituent pas un progrès dans l'évolution de la société, bien au contraire!

    L’on pourrait me faire observer que ce sont les députés du Rassemblement National qui ont déposé ce projet de loi contre l’adoption de l’écriture inclusive…

    Je n’en ai cure… Et me demande pourquoi, en ce qui concerne des principes fondamentaux qui régissent la grammaire des langues parlées et écrites ; ainsi d’ailleurs que les règles tout aussi fondamentales de la relation humaine, de toute relation avec les êtres et les choses en général, les partis de Droite, de Gauche et du Centre, ou les formations majoritaires dans une assemblée nationale, ne font pas leurs ces valeurs et principes fondamentaux, au lieu de les dénaturer, de les faire passer sous le « rouleau compresseur «  du « wokisme », d’un progressisme sociétal de complaisances, de tolérances, de laxisme, de démissionisme…

    … Seulement voilà : parce que ce sont les députés du Rassemblement National qui ont déposé ce projet de loi, et que ce parti, le Rassemblement National, reprenant à son compte ces valeurs fondamentales (mais dans le projet de société qui est le sien), valeurs dénaturées par une partie de la droite, par la gauche et par les partis majoritaires à l’Assemblée Nationale … Il faudrait afin de contrecarrer ce que proposent les députés du RN, que, si ces députés du RN disent «  deux plus deux égale quatre » l’on réponde tous en chœur sous l’égide des autres partis « pour la forme rassemblés dans ce qu’ils contestent séparément », que deux plus deux ça fait cinq !

    Eh bien « merde à deux plus deux égale cinq » ! Merde à l’écriture inclusive, chantre du wokisme et de ces modes et cultures et mouvements réformistes de démolition de la société, de la civilisation ! Merde aux soutenants de l’écriture inclusive !


     


     

  • La morale, l'ordre moral

    … « Quand la morale fout le camp, le fric cavale derrière » [ Jacques Prévert ]

    Mais quand la morale trop s’emmêle, mâtinée de religion, nous régente, nous étouffe, nous tient en ordre sur la route ; ce sont les pharisiens qui nous cavalent au train, du côté qu’ils sont, les pharisiens, du fric et des ordres…

    Mais lorsque s’impose par la contestatation violente, par des mouvements de révolte, ou encore - ce qui est plus souvent le cas- par ce que l’on pourrait définir comme étant du « réformisme conciliant et démissionnaire ; l’amoralité (refus de toute morale) ainsi que l’immoralité (refus de la morale commune), produisent de nouveaux pharisiens, de nouveaux ordres, qui, sous couvert de régulation de l’amoralité et de l’immoralité, « nous prennent bien profond par le derrière » !

     

     

  • Là où il y a de l'innocence blessée

    … Un autre – et meilleur- monde possible ? Tu rigoles !… Est-ce que cent milliards d’euros, des centaines de lois, de dispositions prises pour que ce soit mieux et surtout plus juste, est-ce que la meilleure volonté du monde et de tout un chacun, est-ce que les plus ferventes résolutions pour que les vieux ne meurent plus seuls, que les gosses ne soient plus laissés en vadrouille dans les rues, est-ce que des grandes réunions en sommets, des consciences plus éveillées, est-ce que tout cela mis bout à bout jusqu’en haut du ciel, pourra vraiment changer quelque chose… Si l’on l’on ne comble pas l’énorme abîme face au ciel que les sociétés de toute l’Histoire n’ont cessé de maintenir ouvert : l’absence d’amour ?

    Ah si !… Dans l’abîme l’on y a jeté toutes les apparences de l’amour…

     

    Est-ce que la charité c’est de l’amour ?

    Est-ce que aimer les gens qui nous plaisent c’est de l’amour ?

    Est-ce que aimer les gens qui font quelque chose pour les autres - de bien, à leur sens - c’est de l’amour ?

    Est-ce que faire une grande fête entre amis c’est de l’amour ?

    Est-ce que tendre un gobelet de flotte à un vieux décharné qui ne sent même plus sa soif, c’est de l’amour ?

    Est-ce que triquer comme un âne en face d’une jolie femme bien habillée, c’est de l’amour ?

    Non, rien de tout cela n’est de l’amour !

    J’appelle tout de cela de l’ennemour… De l’erzatz d’amour.

     

    Plus loin que que tout ce que dit le Nouveau Testament, Jésus et les prophètes, le Coran et tout le cinéma, est l’amour…

    Et plus près au beau milieu de nous là où l’on vit, là où il y a l’innocence blessée des abandonnés sur le bord de la route, qui ne hurle pas mais donne encore le peu qu’elle a…

     

    Dans le monde des références, des performances, des politesses obséquieuses, des formalités, des civilités, des apparences, des Monsieur Ducon long comme le bras et des feux de l’amour des nouvelas de télé et des romans, l’innocence blessée n’est pas souvent un thème d’actualité…

     

     

  • Solitude de l'artiste

    … La solitude d’un artiste, d’un créateur, d’un écrivain, est davantage celle qui lui vient quand il s’interroge sur le sens et sur la portée de son œuvre, que celle qui lui vient quand il n’est pas soutenu et compris par ses proches, ses amis, ses connaissances…

     

    Ne pas être compris, ne pas être soutenu, par ses proches, par ses amis, par ses connaissances, lorsque ce que nous produisons et exposons ne suscite pas d’intérêt, est ignoré ou inconsidéré… C’est en effet, vécu au quotidien, toute une vie durant, inconfortable…

     

    Mais il y a bien là, un défi, une difficulté à surmonter, rendant le travail de réalisation, de production, plus opiniâtre, plus déterminé, plus acharné ; un travail qui s’apparente par exemple à celui d’un homme préhistorique (un Solutréen ou un Magdalénien) qui, en milieu hostile et isolé qu’il est, de ses semblables, parvient à traduire par le dessin sur la paroi d’une caverne, ce qui, de l’animal représenté, témoigne au plus vrai de sa présence… Ce qu’il n’aurait peut-être pas pu accomplir, cet artiste préhistorique, entouré de compagnons l’encourageant, dans la chaleur d’un feu entretenu et dans la continuité d’une relation heureuse avec ses compagnons… (Il aurait alors dessiné le même animal, de traits plus précis, avec plus d’habilité… Mais avec moins de cette présence témoignante)…

     

    Est-ce à dire pour autant, que, par le défi et par la difficulté à surmonter, dans la solitude, en milieu hostile, dans un environnement d’indifférence, et donc par le travail accompli dans la détermination et dans l’opiniâtreté… Puisse apparaître le sens et la portée d’une œuvre ?

     

    Le sens et la portée d’une œuvre ne sont-ils pas liés à ce dont « s’approprie » une civilisation, un peuple, « qui vient de très loin dans l’Histoire » et qui s’inscrit dans un tableau de représentations symboliques, figuratives, entrant dans un patrimoine culturel intemporel, traverse les siècles et les millénaires, impacte nos pensées, nos modes de vie, de comportements, nos croyances, nos agissements ?

    En ce sens d’appropriation par une civilisation, par un peuple, et de patrimoine culturel commun à entretenir et partager… Les temps que nous vivons aujourd’hui ne sont-ils pas des temps où il y a lieu d’ s’interroger, sur le sens et sur la portée de tout ce qui se produit et s’expose, en littérature, peinture, musique, architecture, cinéma, théâtre… Et surtout de tout ce que l’on voit défiler sur les écrans des ordinateurs, des tablettes et des smartphones, des appareils de télévision, et de tous ces livres par milliers, par millions, sur les rayonnages dans les centres commerciaux ? …

     

     

  • Obésité : une personne sur deux en France

    … Sur Sud Radio je crois, ce midi, le 21 février, dans une émission de débats et d’échanges avec pour intervenants des auditeurs, alors que je déjeûnais (soit dit en passant je ne prends jamais de repas le midi ou le soir devant la télévision et encore moins assis sur un canapé assiette composée sur les genoux en regardant la télé - « ce n’est pas mon genre »)…

    Il a été question à un moment dans les débats sur des sujets d’actualité divers, du problème de l’obésité et des personnes en surpoids en France…

    Selon des enquêtes menées, 1 personne sur 2 en France, toutes générations confondues, hommes, femmes, enfants et adolescents, serait en situation de surpoids, ou d’obésité plus ou moins marquée…

     

    Le fait est que je ne vois jamais sur des vélos, en promenade randonnée, pratiquant des sports exigeant de l’effort physique, de personnes obèses, difformes (mais sur des scooters oui, et qui prennent pratiquement autant de place que des voitures sur la voie de circulation publique, vu leur gabarit en masse corporelle plus les vêtements, parfois très largement hors normes)…

    Et les personnes que je vois circuler sur des vélos, des VTT ou VTC, pratiquer des sports, suivre des chemins de randonnée en montagne ou en forêt, ne sont jamais bien épaisses de silhouette…

    En revanche, les personnes obèses, difformes, en surpoids évident, passent toutes ou pour beaucoup d’entre elles, plusieurs heures par jour, soit devant un poste de télévision allumé la journée entière, soit devant un écran d’ordinateur, ou de smartphone ; n’ont strictement aucune activité physique exigeant de l’effort (sauf dans le travail si c’est le cas), ne se déplacent le plus souvent qu’en voiture notamment pour de courts trajets (acheter le pain, le journal, un paquet de cigarettes, jouer au loto et à des jeux de grattage)…

     

    Il est à noter aussi que dans les casinos, assises devant les « machines à sous », la proportion des personnes en surpoids évident est nettement plus que de 1 sur 2…

    Quant à sur les plages en été, n’en parlons pas…

     

    Avec toutes les pathologies liées à l’obésité, c’est bien la moitié de la population française dont l’espérance de vie ne correspondra jamais à ce qu’annoncent les statistiques sur l’allongement de la vie… Les retraites, pour beaucoup de ces personnes en surpoids, seront « prévisiblement assez courtes »…

     

    Ainsi, Mac Donald, Burger King et les producteurs de plats cuisinés riches en graisses, en sel et en sucres , les géants de la « mal bouffe » en somme, contribuent-ils à raccourcir d’un certain nombre d’années, le versement de pensions de retraite… (reste à savoir si les « vieux riches » bien portants, sportifs, qui se nourrissent mieux, à espérance moyenne de vie de 88 ans, dont les pensions de retraite sont supérieures à 2000 euro par mois, ne vont pas encore peser lourdement sur le budget de la Nation en dépit d’une diminution significative du paiement au-delà de 70 ans, de pensions de retraite de millions de Français qui eux, « ne feront pas de vieux os »…

     

    … Petite anecdote :

     

    Dans une boulangerie en été dans une station de grand tourisme de masse se tient dans la file d’attente un très gros monsieur en bermuda à fleurs, énorme chapeau sur la tête, sac à dos, si large de fesses et de poitrail et de bras, si plantureux, qu’il empêche celui qui est derrière lui, de voir parmi les pains de diverses variétés et appellations rangés dans les rayonnages (on s’y perd dans le nom des pains), le pain qu’il préfèrera à un autre et dont il peine à lire le nom… Et de surcroît, le gros monsieur n’arrête pas de se dandiner à droite à gauche, sans doute hésitant dans le choix d’un gâteau de belle taille et épaisseur bardé de crème au beurre en rayon réfrigéré devant lui, lorgnant en même temps la jolie serveuse en tablier chic…

     

     

  • scénarios pour la guerre en Ukraine

    … Deux scénarios assez probables dans les mois qui viennent, pour la guerre en Ukraine :

     

    - La victoire de la Russie à la suite de la contre offensive massive qu’elle prépare, avec des effectifs engagés sur les lieux de combat, plus importants en nombre que ceux de l’armée Ukrainienne ; avec un matériel de guerre qui loin s’en faut n’est pas épuisé et qui de surcroît est en appui fourni par les pays avec lesquels la Russie traite et échange, et grâce aussi à une économie qui, certes malmenée du fait de tout ce qui ne vient plus des pays occidentaux, n’en demeure pas moins soutenue par ses relations avec ces mêmes pays qui traitent et échangent avec elle…

     

    -Une guerre mondiale – qui déjà, il faut le dire – est une réalité du fait des apports en armements sans cesse croissants à l’armée Ukrainienne, des USA et de l’Union Européenne, et qui, surtout dans le cas de mise à mal de l’armée Ukrainienne, d’une pénétration et occupation par les russes du territoire Ukrainien, risque de transformer les pays de l’Union Européenne – en premier lieu la Pologne, les états Baltes – en champ de bataille avec forcément engagement des armées de plusieurs pays de l’UE, lignes de front de bataille, destructions, bombardements, victimes civiles et militaires en grand nombre…

    L’Ukraine avec son armée et l’aide en matériel de guerre qui lui est apportée, est en effet un rempart qui assure contre un franchissement des armées russes des frontières de l’Union Européenne…

     

    D’autre part, les tensions de plus en plus fortes entre la Corée du Sud et la Corée du Nord, entre les USA et la Chine, la menace qui pèse sur Taïwan, compliquent encore le tableau…

     

    Si l’Ukraine tombe, la Russie – de Poutine et de Wagner – ne va pas s’arrêter à des frontières qu’elle ne reconnaît pas, ni même aux autres frontières…

     

    Si, autre possibilité, l’armée russe devait se trouver en passe de perdre la guerre, en dernier recours la Russie en viendrait à utiliser l’arme nucléaire…

     

    Enfin, dans un conflit qui engagerait militairement en troupes et matériel de guerre la Chine et les USA, en réponse à une invasion de Taïwan par la Chine, il est probable que selon la dimension prise par une guerre entre la Chine et les USA, l’aide apportée à l’Ukraine risquerait alors d’être réduite, d’autant plus que les USA se trouveraient engagés dans un conflit armé avec la Chine, conflit en lequel seraient impliquées plusieurs autres grandes puissances…

     

     

  • S'enfilent les mots

    Des mots blancs

    Des mots bleus

    Mais pas des mots rose bonbon

    Contre les mots noirs et gris

    Dans un vocabulaire, dans une grammaire et dans un langage

    Qui ne sont pas ceux des académies ni ceux des modes ni ceux qui, invités sur les plateaux de télévision s’écoutent, ou sur les grands murs où tout le monde va, se lisent et s’écrivent…

    Tracer des diagonales qui ne sont pas en droite ligne

    Où se posent en enfilade les mots tels des lèvres brûlantes qui atteignent sans pour autant embrasser…

     

     

  • La "mondialisation heureuse" interrompue

    … Pour les géants du marché des produits énergétiques, de l’agro-alimentaire, de l’industrie, du tourisme, de l’électro-ménager, du numérique et de l’internet ; et, en général de tout ce qui se vend et s’achète ; le plus grand « réservoir de consommateurs » est celui des pays qui sont à la fois les plus peuplés et les plus développés où le revenu médian par habitant varie entre 10 000 et 20 000 euros ou dollars par an… Ainsi que ceux de ces pays développés où il existe un potentiel relativement important d’habitants dont le revenu annuel est supérieur à 20 000 euros ou dollars…

     

    Dans une mondialisation de l’économie de marché que l’on pouvait qualifier d’ « heureuse », en laquelle les partenaires qu’étaient chacune des grandes puissances et leurs populations (USA, Union Européenne, Chine, Russie, Inde pour les principales de ces grandes puissances), la circulation, les échanges, selon les traités en vigueur, le droit international, les implantations de sociétés commerciales et d’entreprises industrielles et de productions diverses en tel ou tel pays, s’accomplissaient sans exclusion de l’une ou l’autre de ces grandes puissances (mais avec, cependant, quelques tensions voire restrictions liées au non respect des règles établies par le droit international en quelque sorte si l’on veut « moralisé »)…

     

    La guerre en Ukraine, ayant pour cause et origine l’invasion et l’agression de ce pays, l’Ukraine, par la Russie, le 24 février 2022, a « changé la donne » et interrompu cette « mondialisation heureuse » de l’économie de marché… Mais pas pour autant parce que la Russie a cessé d’être le partenaire qu’elle était avant pour les pays de l’Union Européenne en matière d’implantations de sociétés et d’entreprises sur son territoire et dans ses grandes villes, mais surtout du fait de tensions internationales accrues, du covid et de l’après covid, de guerres localisées, tout cela sur fond de changement climatique, de catastrophes naturelles et de problématiques sur l’exploitation des ressources du sol et du sous-sol…

     

    Question « réservoir de consommateurs potentiels », comparativement aux USA 360 millions d’habitants, à l’Union Européenne 500 millions d’habitants, à la Chine 1 milliard 400 millions d’habitants, à l’Inde 1 milliard et demi d’habitants ; la Russie n’a qu’un « réservoir de consommateurs potentiels » de 130 millions d’habitants…

     

    Rappelons toutefois que seuls, 100 millions d’Américains, 200 millions d’Européens, 400 millions de Chinois, 300 millions d’Indiens, et 30 millions de Russes, sont vraiment des consommateurs du fait de leurs ressources financières…

     

    Pour l’économie de marché donc, les trente millions de russes consommateurs de produits importés, contraints de « faire venir d’ailleurs que de l’Europe » , et la cessation puis le départ des sociétés et entreprises occidentales implantées en Russie après le 24 février 2022, cela « ne pèse pas bien lourd » sur l’économie mondiale…

     

    En revanche, ce qui « pèse lourd » sur l’économie mondiale, ce sont les armements, les avions de combat, les chars, les drones, et toutes les technologies nouvelles de l’armement, dont disposent, qu’utilisent ou sont prêtes à utiliser, les grandes puissances USA, Union Européenne, Chine, Russie, Inde, Iran, Arabie Saoudite, Qatar…