Articles de yugcib
-
Obscurantisme et stupidité vous "m'en direz tant" ! ...
- Par guy sembic
- Le 21/08/2023
- Dans Bateau pirate
- 0 commentaire
… Confronté qu’il peut m’arriver d’être à l’obscurantisme et à la stupidité, je ne me prends pas alors la tête deux secondes à « peser le pour et le contre » ou à me demander le pourquoi et le comment de ce qui m’a claqué sous le nez ou est venu apparaître sous mes yeux… Dans ce cas en effet, je ne tire pas le premier centimètre du fil de la bobine où il y a un nœud que je ne défais pas, je romps de suite le fil…
Qu’il y ait encore de par le monde des pays où il existe des écoles « confessionnelles » (religieuses) et « créationnistes » me fait dire « plutôt pas d’école du tout, que des écoles « créationnistes » du genre de celles du temps de Franco en Espagne où l’on apprenait à lire dans des livres de religion « la terre créée en 7 jours par Dieu et la femme tirée d’une côte d’Adam »…
Merde, mille fois merde au créationnisme !
Merde, mille fois merde aux « théoriciens » de la « Terre plate » ou de la « Terre creuse »…
Merde, mille fois merde aux négationistes et aux « fortement doutant » des réalités scientifiques élémentaires, aux contestataires des dinosaures et de l’homme de cromagnon…
Merde, mille fois merde à ceux et celles pour qui l’astronomie c’est du chinois, qui se foutent des planètes et des étoiles et des galaxies (mais pas de leur horoscope, de leur signe astral et des scoops des célébrités et des people et du dernier bébé princier qui vient de naître, ou du dernier best seller paru et plébisité par des millions de gens, ou du dernier modèle de bagnole, de smartphone, ou du score réalisé par le PSG… et j’en passe y’en a des tonnes et des tonnes)…
Merde, mille fois merde aux adeptes du coup de klaxon rageur dans les ronds points, aux incorrigibles déterminés du propos réducteur et laminant…
Merde, mille fois merde à tout ce qui pète et ou brait, pue la mayonnaise éventée ou la cevette qui pue le sexe sale…
Merde, mille fois merde à toutes les corniflarderies du monde…
Mis en face de l’obscurantisme et de la stupidité, je « toutouféroce », ne mettant que trois secondes de la terrasse où je soleille, au portail distant de trente mètres à peine devant lequel « furaxe » Tartempète qui se fout des étoiles et des planètes et hihâne de concert avec l’outrecuidante troupe !
Bon c’est vrai « je vais pas dire ça dans des forums (sauf le mien), d’où je me fais virer vite fait, honni des membres « patatant-saladant et bizouquant sur les kilomètres de posts semés de petits quecœurs rourouges »…
-
Intolérance, stupidité et fanatisme
- Par guy sembic
- Le 21/08/2023
- Dans Pensée, réflexions, notes, tags
- 0 commentaire
… Selon Albert Camus, l’intolérance, la stupidité et le fanatisme peuvent être combattus séparément…
Mais à la condition, cependant, que l’intolérance, que la stupidité et que le fanatisme ne se manifestent pas au même moment, ensemble…
Cela dit, l’indifférence est peut-être encore plus difficile à combattre, notamment lorsqu’elle est en quelque sorte une « gestation » de l’intolérance, de la stupidité et du fanatisme qui, insidieusement, « couvent » dans une « neutralité de principe et d’habitude »…
-
Les cultures de l'oralité ou les cultures de l'écrit
- Par guy sembic
- Le 20/08/2023
- 0 commentaire
… Ont en commun pour origine – avant même d’être orales ou écrites – le fait initial d’être de l’image qui se forme de ce qui est observé, vu, à un moment donné et dans une situation, dans un environnement particulier… Ou du bruit, du son, de ce qui est entendu et « enregistré », ou encore de ce qui perçu par l’odorat, le goût, le toucher…
Le cerveau humain – tout comme celui des animaux (notamment des mammifères)- présente une zone ou un centre « moteur » en lequel se forme l’image, ainsi que d’autres zones ou centres en lesquels « s’entregistrent » ce qui est perçu par l’odorat, l’ouie, le goût, le toucher…
La différence qu’il y a entre l’humain et l’animal, c’est que l’humain est le seul être vivant sur cette planète, qui est capable, dans ses facultés mémorielles, de situer dans le temps, autrement dit non seulement de situer le moment où ce qui a été observé s’est produit, mais aussi de préciser si ce qui s’est produit l’a été avant-hier, hier ou il y a un an, cinq ans, trente ans… Ce que ne peut faire aucun animal, les animaux ayant une mémoire « plane ou linéaire » où tout ce qui a été observé, perçu, entendu, est « enregistré » en un même plan et donc sans différentiation de ce nous appellons l’hier et l’avant-hier, ou le « il y a un an, deux ans... »
En ce qui concerne – pour les humains- les cultures de l’oralité et les cultures de l’écrit, l’image qui à l’origine s’est formée avant d’être « traduite » puis exprimée et transmise par le langage parlé ou écrit, cette image donc, ne se déforme, ne devient floue – et ne peut s’effacer – que par le temps écoulé, plus ou moins long – si elle n’ a pas été «traduite » ou « enregitrée » par le langage parlé ou écrit…
C’est pourquoi le langage parlé ou écrit « conserve » mieux que ne le fait l’image qui s’est formé et qui, elle, se déforme… (Mais se déforme naturellement)…
Les animaux n’étant pas dotés de langage parlé et encore moins écrit, ne peuvent « conserver » ce qu’ils ont observé, percu, entendu, touché, senti ; que par leur faculté à communiquer entre eux autrement que par le langage articulé… Et qui ne peut être altéré, et, encore moins « interprété » de la même manière que les humains…
Les humains eux, par le langage parlé ou écrit, racontent, transmettent ce qu’ils ont observé, de leur vivant à leurs proches, à leurs connaissances, à la communauté dont ils font partie, et s’ils le peuvent pour certains, à l’humanité toute entière ou au moins à une partie de l’humanité… Et à leur tour par la suite, les humains qui ont reçu l’information, la connaissance des faits et des événements observés, racontent et transmettent ce qui leur a été communiqué…
Mais le langage parlé ou écrit (et donc, les cultures de l’oralité autant que les cultures de l’écrit) n’est pas seulement dépendant de l’image formée à l’origine qui se déforme naturellement avec le temps écoulé ; mais aussi dépendant de la « traduction » ou de l’interprétation qui est faite de ce qui est vu, entendu, touché, senti, perçu (l’interpétation étant individuelle et se fondant sur une sensibilité personnelle)…
Et en ce sens, les cultures de l’oralité ne « valent » pas mieux que les cultures de l’écrit… Du fait de l’interprétation dont l’inévitable conséquence est, avec le temps écoulé, et par les mécanismes complexes, diversifiés et évolutifs de la transmission (orale ou écrite)… La déformation… De telle sorte que ce qui est perçu après avoir été maintes fois transmis et retransmis, finit pas ne plus rien à voir avec ce qui, à l’origine a eu lieu en une image qui s’est formée…
… D’où la difficulté qu’il y a, à transmettre le plus intact possible, ce qui à l’origine a été observé, perçu…
-
Le double contexte actuel de la société française et européenne
- Par guy sembic
- Le 20/08/2023
- 0 commentaire
… Dans le contexte d’un antisémitisme ambiant en France et en d’autres pays européens, qui est celui – il faut le dire – de plus de la moitié de la population tant en France qu’en Europe, en ces années vingt du 21ème siècle… Et qui est une « résurgeance » - ou plus exactement une « continuation » de ce qui régnait en France et en Europe durant la période de 1930 à 1950 – et plus dramatiquement, plus précisément durant les années de la seconde guerre mondiale 1939-1945…
… Dans le contexte – celui là beaucoup plus actuel – également, d’un ordre dominant d’idée en France et en Europe, relatif aux migrants, aux « venus d’ailleurs », à certaines catégories de populations de migrants dont en particulier venues du Maghreb, d’Afrique sub-saharienne, du Moyen Orient (Syrie, Irak) et d’Afghanistan… Lequel ordre dominant d’idée se fonde sur la suspicicion, la peur, l’insécurité qu’il y a à accueillir des gens venus d’Afrique, du Moyen Orient en situation irrégulière et jugés pour certains de mauvaise apparence, et suspectés de violences, d’agressions, d’actes délictuaux, de crimes, de vols et de viols… (courant dominant d’idée qui est celui de plus de la moitié des Français et des Européens)…
… Dans ce double contexte actuel, donc, je ne puis demeurer silencieux, ne rien dire, ne rien exprimer, garder pour moi ce que je pense et je sens donc la nécessité de m’exprimer publiquement, résolu, déterminé et engagé que je suis contre cet ordre d’idée dominant dans la société française et européenne de ces années vingt du 21ème siècle… ( ce double contexte d’antisémitisme ambiant et de peur et de rejet de l’étranger, ou du migrant)…
Comme je l’ai déjà dit et que « haut et fort » je le redis : la délinquance, la violence, les agressions, les incivilités, les crimes, les vols, les viols, les communautarismes exacerbés et fanatisés… Tout cela c’est l’affaire de l’humanité toute entière du haut en bas des échelles sociales, et cela n’est pas le seul et unique fait de certains et pas d’autres, le fait de venus d’ailleurs, le fait de telle catégorie de personnes de tel milieu social, de telle autre culture que la nôtre, de telle ethnie ou origine…
C’est la société humaine dans son ensemble qui, par sa diversité et surtout par sa complexité en évolution, est devenue en grande partie plus violente, plus difficile dans les relations… Mais – et il faut le dire aussi – (je ne sais pas si c’est paradoxal ou pas) cette même société humaine toute entière dans son ensemble, est aussi faite de gens de bonne volonté, de toutes cultures, de toutes origines, de tous pays, de tous milieux sociaux…
-
Une jeune fille qui va bien
- Par guy sembic
- Le 19/08/2023
- Dans Articles
- 0 commentaire
… Film de Sandrine Kiberlain, semaine de la Critique Cannes 2021, sortie en salle le 26 janvier 2022.
Avec Rebecca Marder, André Marcon, Anthony Bajon.
Dans ce film bouleversant et surtout délicat dans la mesure où le contexte dramatique de l’été 1942 en France (occupation allemande et mesures prises contre les Juifs par le Gouvernement de Vichy, les rafles, l’étoile jaune), est évoqué sans pour autant être rendu visible au premier plan ou en « toile de fond » comme c’est le cas dans d’autres films « de la même veine »…
Irène, une jeune fille juive âgée de 19 ans et Parisienne (et Française), passionnée de théâtre, envisage de devenir actrice et est inscrite dans une école de formation de comédien, où elle doit passer un concours avec son ami…
Grâce à la bienveillance d’un fonctionnaire, Irène a réussi à obtenir sa participation au concours, alors qu’en cet été 1942, les Juifs -Français – n’ont plus accès aux fonctions publiques, aux écoles spécialisées…
Soutenue par sa famille, par ses amis et connaissances du milieu du théâtre, et bien que consciente des périls encourus lors de ses déplacements pour se rendre aux répétitions, Irène vit pleinement et tout naturellement l’élan de ses 19 ans, en apparence insouciante, heureuse de vivre…
La scène de ce film, à mon sens, la plus « significative », la plus émouvante, la plus belle, c’est (à la fin du film) lorsqu’Irène portant sur sa veste l’étoile jaune, fête au milieu de ses amis du Théâtre (qui eux, ne portent pas d’étoile) sa réussite au concours…
À la vue de cette scène j’ai pensé – il m’a pris de penser – que, dans le monde de l’art et des comédiens et artistes, et en partie (en partie je souligne) celui des écrivains, des intellectuels, des gens de Lettres, de pensée et de réflexion, et plus généralement des gens ayant bénéficié disons « d’une certaine éducation »… Le fait d’être Juif – ou étranger, de telle origine, ou d’une « catégorie sociale déterminée »… N’avait aucune importance… Ce qui n’était pas le cas dans la société française de 1942, majoritairement acquise (tacitement ou délibérément) aux idées reçues et imposées, à l’antisémitisme ambiant…
Ce film sorti en salle en janvier 2022, « fait écho » à un ordre de pensée, d’opinion, à propos d’antisémitisme ambiant, et qui – il faut le dire- est assez présent en France et en Europe dans les années 20 du 21ème siècle – et ressemble à ce qui régnait en France en été 1942… (Avec les persécutions et les rafles en moins – mais pas les agressions et les insultes et les violences sur les réseaux sociaux et dans l’expression publique)…
D’une manière générale on peut dire que plus, largement plus de la moitié, aujourd’hui en 2023, de la population française, se retrouve dans un courant dominant d’ordre d’idée au sujet des juifs, mais également au sujet des étrangers, des « venus d’ailleurs », des migrants, des personnes suspectes, de mauvaise apparence, jugées responsables d’actes délictueux et de violences, d’agressions… Comme si la délinquance, la violence, l’incivilité, n’était pas « une affaire » intéressant l’humanité toute entière du haut en bas des échelles sociales… Mais « surtout » (et quasi essentiellement et décidé majoritairement) « une affaire » d’ethnie, de type de population, de différence cuturelle, d’origine, d’éducation, voire de couleur de peau!)
-
Manèges de chevaux de bois (ou à l'ancienne)
- Par guy sembic
- Le 19/08/2023
- Dans Anecdotes et divers
- 0 commentaire
… Ces manèges semblent « avoir le vent en poupe » notamment dans les lieux touristiques et festifs où se rendent en vacances, en visite, familles avec jeunes enfants…
D’ailleurs, certains de ces manèges font aussi la joie de quelques « grandes personnes » se balançant verticalement le long d’une colonne sur laquelle est fixé un cheval de bois… Ou un cochon…
Cependant, bon nombre de ces manèges – depuis quelques années récentes »- n’ont plus comme jadis, de cochon, bien visible, bien rose et bien « souriant », en posture de coursier, qui amuse petits et grands…
C’est le cas en particulier dans les lieux touristiques fréquentés en été ou à l’année, par des étrangers « multi culturo-ethnique » venus en général, de « pays du soleil »… Ou dans des villes de France « très cosmopolisées » et où demeurent des communautés musulmanes…
En effet, un manège à l’ancienne avec un « joli petit cochon » entre chevaux, ânes, carosses - citrouilles et voiture de pompiers… ça peut être « mal venu » par « certains »…
-
Les cultures de l'oralité
- Par guy sembic
- Le 18/08/2023
- 0 commentaire
… L’oralité dans la transmission des savoirs, des connaissances, de l’Histoire ; de génération en génération, impose (et d’ailleurs soutient et entretient) une capacité mémorielle que nous avons en partie perdue et qui s’est réduite, avec la transcription par l’écrit, des savoirs, des connaissances et de l’Histoire…
C’est la raison pour laquelle les ethnies, les sociétés et leurs cultures, essentiellement orales et qui, pour certaines d’entre elles, raréfiées il faut dire, ont été conservées…C’est la raison pour laquelle ces ethnies, sociétés et leurs cultures sont demeurées quasiment intactes, ne se sont pas perverties… Mais sont demeurées inconnues ou mal connues…
Notre capacité mémorielle, que la transmission des savoirs, des connaissances et de l’Histoire, par l’écrit, par le document, a réduite ; s’est trouvée encore plus réduite lorsque l’internet, la numérisation, avec Google et les moteurs de recherche et les logiciels, sont apparus et se sont généralisés dans le monde entier…
Et avec notre capacité mémorielle réduite, s’est également réduite notre capacité à analyser, à réfléchir…
-
Hijab
- Par guy sembic
- Le 18/08/2023
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
- 0 commentaire
… Si le hijab « protège » la femme du regard des hommes – regard des hommes supposé concupiscent alors que le regard de la femme peut être, à la vue d’un homme, tout aussi concupiscent… Les hommes devraient eux aussi, porter le hijab (hijab version homme)…
Cela dit, du fait que le hijab laisse voir le visage, et que le visage peut être comme d’autres parties du corps, « attirant »… C’est le niqab qu’il faudrait alors… Autant pour les hommes que pour les femmes…
Car, question concupiscence, la femme est l’égale de l’homme ( mais dans une société de type patriarcal et de dominance masculine, où la femme n’a pas le même statut social – et « moral » (peut-on dire) que les hommes, le regard qu’une femme peut avoir à la vue d’un homme, n’est pas pris en considération – ou jugé indécent…
Absurdes, le hijab ou le niqab dans une société où s’imposent les apparences et où femmes et hommes sont égaux en désirs, en rêves, en besoins, en émotions, et faits l’un et l’autre de la même chair, du même sang et des mêmes capacités physiques et intellectuelles…
Chez les catholiques du 19ème siècle et de la première moitié du 20ème, les femmes portaient un fichu sur la tête leur cachant les cheveux, quand elles sortaient de chez elles… Mais les hommes, eux, laissaient apparaître leur chevelure sous le chapeau, sous le béret, sous la casquette…
Absurde cette « moralisation » dans la manière de se vêtir, que les religieux et leurs principes, leurs obligations, leurs contraintes et leurs prescriptions, imposent aux hommes et aux femmes (mais surtout aux femmes)… Que les non religieux également, par les modes qu’ils lancent, par les engouements ou au contraire par les dédains et dégoûts et réprobations qu’ils suscitent, incitent hommes et femmes, le temps d’une époque ou d’une saison, à se conformer à des manières de se vêtir, de se coiffer, d’apparaître en public, et cela dans une société « consumériste » de recherche d’un bien-être « individualisé »…
Mais tout aussi absurde est ce qui découle des modes, des engouements et de l’individualisme encouragé par la société de consommation : ces extravagances, ces outrances vestimentaires (d’hommes et de femmes), et tout ce que l’on peut trouver sur le marché de l’habillement, de complètement déjanté, d’ostentatoire, de provoquant, qui fait de l’effet et « en jette », qui « singularise » et étonne, tant pour les coiffures, chapeaux, bonnets, casquettes, pantalons ultra moulants, etc.
… Comme s’il n’était pas possible de concilier sobriété, simplicité et élégance… Dans une « adéquation » entre vêtement porté et « intériorité » de la personne que l’on est, femme ou homme…
-
Élitismes et dominations
- Par guy sembic
- Le 17/08/2023
- 0 commentaire
… Le RN au pouvoir – peut-être en 2027 sinon même avant en cas de délitement et échec de la « macronie »… C’est (il faut le savoir car l’Histoire nous le rappelle) :
-De l’élitisme (évidemment sur le modèle du RN ex FN ex Ordre Nouveau et précédents)… De l’élitisme « sous couvert de considération du bon peuple » (les « indésirables » n’étant plus tout à fait les mêmes et les « non élus » confondus dans ce qu’il convient d’appeler la masse des citoyens obéissants plus ou moins pétris de « vieilles valeurs », de religion, de bonne morale etc.) … Mais… D’une autre manière méprisés par les élites (les nouvelles élites) de telle manière que les méprisés du temps de la macronie ne se sentiraient plus méprisés comme par les « bobos actuels »… (mais ils sont ou seront qu’on le veuille ou non, bel et bien méprisés : excusez moi mais pour le changement (avec le RN) je ne vois pas trop ce que cela changera pour le « citoyen lambda »…
-Et toujours la domination des possédants (des gros possédants, des lobbies, des grands groupes, de la grande propriété), du « Système » en fait - conçu bien pour les riches, pour les « méritants » (méritants à condition qu’ils se conforment aux règles et à la vision du RN)… Sous couvert de « reconnaissance du travail » et de « souci du pouvoir d’achat du citoyen lambda selon ce que « promet » le RN… (n’oublions pas que le RN est contre le SMIC).
En ce qui concerne l’élitisme et la domination des possédants, le « bon citoyen lambda – celui qui vote RN et celui qui « sympathise » ou « tacitement souhaite ou envisage l’arrivée du RN au pouvoir … « en fait l’impasse, ne le voit pas, n’en parle pas, ou encore pense que « c’est dans l’ordre naturel des choses » et « que c’est comme ça que le monde a toujours fonctionné avec les riches qui dominent et profitent, et les élites qui dirigent et savent ce qui est bon pour le peuple »…
Et ce même « bon citoyen lambda » qui se lève le matin pour aller travailler, qui ne manifeste pas dans la violence, qui est respectueux de ceci de cela, qui est vertueux, travailleur, très « pour la famille » (avec la Femme dans son rôle de femme), qui a peur de l’étranger suspicieux et de mauvaise apparence, qui veut une police efficace et une justice qui punit… Ce même citoyen lambda donc (c’est vrai qu’on est nombreux à être dans ce « profil »)… Vu comment « ça se goupille » avec la NUPES, la Macronie, ou la « droite classique »… concevrait que ce soit le RN qui gagne les élections !
Juste une « petite remarque » : regardez dans les lotissements de « zones rurales urbanisées » le nombre de « baraques » bien clôturées (2 mètres de hauteur et autrement qu’avec une haie végétale ou en plastique et poteaux comme des allumettes), avec « portail balaise à digicode et ouverture fermeture sur télé commande » et… Cette pancarte sur le portail « Je monte la Garde » et donc, « toutou » genre doberman ou berger allemand qui – c’est écrit sous la pancarte - « ne met que 3 secondes pour aller de la terrasse devant la maison jusqu’au portail distant de 30 mètres »… ( Ça, déjà ça, les « amis », ça en dit long!)
Bon, c’est vrai : les bobos parigos et de grande ville, qui vont au théâtre, roulent en vélo électrique « haut de gamme », dont les mômes font des études science-po et autre, qui vont en vacances à l’Île de Ré en location 3000 euro la semaine, ceux là, n’ habitent jamais dans des quartiers périphériques et encore moins des « cités » et ne sont jamais confrontés à la violence et à la délinquance de bandes de jeunes cagoulés lançant des cocktails molotov et munis de barres de fer !
Alors de grâce les uns et les autres, réfléchissez cinq minutes à la façon dont le monde fonctionne (ça fait pas dans la dentelle, c’est dur/dur, et « ça se goupille »pas trop comme on le souhaite dans sa garce de vie !)…
Mais… ne l’oublions pas, et, « sans faire dans l’angélisme bizounours » … Y’a encore de la beauté sur Terre (et des gens de bonne volonté) !
-
Les facettes du prisme
- Par guy sembic
- Le 17/08/2023
- 0 commentaire
… Lorsque l’une ou l’autre des multiples facettes d’un prisme, dans un « registre » (registre au sens d’expression littéraire ou plus généralement de communication par l’écrit ou par la parole), « lumine » en retenant le regard de ceux et de celles qui aiment, apprécient cette facette là, ou celle qui lui est similaire… Alors « tout va bien dans le meilleur des mondes » - comme on dit…
Mais lorsque, dans un « registre » très différent, d’autres facettes du prisme produisent un « éclairage » qui rend le regard de l’autre ou des autres, plus « mitigé », voire « contrarié »… Alors « plus rien ne va dans le meilleur des mondes » (dans ce « meilleur des mondes » qui n’est autre que celui en lequel on se meut, s’agite, en général dans le courant porteur d’« air ambiant »)…
Un artiste, un écrivain, et plus généralement chacun de nous, est comme un prisme aux multiples facettes… inégales à vrai dire, le plus souvent… certaines facettes en effet, « lumi-dominent » et en conséquence, rendent les autres facettes moins visibles…
« C’est fou » ce que « dans le meilleur des mondes où tout va et sied à merveille » ce que cela peut être « confortable », « rassurant »… Et générateur d’accompagnants, d’amis et « amis », de « followers »…
Et c’est « patent »… Ce que dans le « bien moins meilleur des mondes où rien ne va plus et dérange »… C’est , au contraire, « inconfortable », « isolant »… Et, général, incite à l’invective, au coup de bâton – dont ne sait pas forcément toujours d’où il vient le coup de bâton… (ou au mieux si l’on peut dire, tu reçois, de quelque modérateur ou administrateur, un message avertisseur avant bannissement, en quelque univers d’expression sur la Toile où tu postes – à vrai dire davantage sur des forums que sur des réseaux sociaux (lesquels réseaux sociaux modèrent ou censurent grâce à des algorythmes et de l’intelligence artificielle investigatrice)…
-
L'intérieur d'une église
- Par guy sembic
- Le 17/08/2023
- Dans Anecdotes et divers
- 0 commentaire
… L’intérieur d’une église… D’un village Vosgien – en l’occurrence celle du Valtin -
Et tant d’autres partout, de tant de villages de France ou d’ailleurs… Cela n’a rien à voir avec ce que peut être la pratique, l’observance d’une religion ; cela n’a rien à voir avec le fait d’être croyant ou pas…
Et c’est bien là, que réside le sens profond, véritable, de ce « rien à voir » qui peut emplir notre pensée lorsque nous entrons dans une église… Que nous soyons croyants ou non, pratiquants ou non…
-
Les morts du Valtin
- Par guy sembic
- Le 17/08/2023
- Dans Anecdotes et divers
- 0 commentaire
… Les morts du Valtin sont les mêmes que partout ailleurs.
Vivants qu’ils ont été, ils furent ici inhumés, habitants du Valtin en terroir de Haute Meurthe dans les Hautes Vosges.
Il y a ce souvenir que je n’ai pas d’eux, antérieur au souvenir que j’ai de tout ce qui s’est passé dans ma vie depuis que je suis né, antérieur au souvenir de toutes les personnes que j’ai connues et rencontrées dans ma vie… Ce souvenir surgi de je ne sais d’où, qui me vient à la pensée de ces morts du Valtin, dont je ne sais rien de la vie qui fut la leur… Mais que je puis imaginer…
-
Sensibilité en matière de bien-être animal
- Par guy sembic
- Le 15/08/2023
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
- 0 commentaire
… Ma sensibilité en matière de bien-être animal se fonde bien sûr en grande partie sur l’idée selon laquelle il serait convenable d’éviter à tout animal souffrance et maltraitance… Mais aussi sur l’idée que, par exemple, le poulet « a été créé par le bon dieu pour être bouffé et non pas pour faire joli dans la nature » (rire, rire athée et iconoclaste)…
En effet, imaginons qu’un « décret mondial » stipulerait que l’on abandonne l’élevage de poulets, de vaches et veaux, de moutons et agneaux, et, de cochons et de dindes et de canards…
Que ferait-on alors, du jour au lendemain, de vingt-cinq milliards de poulets, de quatre milliards de bovins, de deux milliards de cochons… Relâchés dans la nature ? Se fonderait-on sur la réalité de la sélection naturelle qui régulerait, du fait que tous ces animaux relâchés dans la nature devraient par eux-mêmes se nourrir et auraient forcément des difficultés pour se nourrir, en si grand nombre qu’ils demeureraient pour un temps ?
Au risque de décevoir – sinon de choquer – mes « amis écolos/anti viande/amoureux de jolies cocotes/mignons petits cochons de lait »… Je déclare publiquement « adorer un bon poulet rôti, adorer voir tourner à la broche lors d’une foire gastronomique un petit cochon dont un bon morceau me sera servi !
Est-ce que je suis « plus cruel/plus méchant qu’un autre » en disant cela ?
… Très franchement, dites-moi si une truie « enfante autant dans la douleur qu’une femme ? » … Quand on sait qu’une truie « pond » - « chie » pour parler vulgairement- dix gorets à la fois deux fois dans l’année après avoir porté 3 mois ?
Alors vous savez… Un petit cochon de lait qui tourne à la broche devant le public à l’entrée d’un stand restauration lors d’une foire gastronomique (ou d’une foire commerciale à Nancy par exemple)… ça me fait pas remuer les tripes autrement qu’en même temps l’estomac, et encore moins pleurer de compassion bizounoursique , et sans le moindre problème ou état d’âme, je prends place à la table où me sera servi un bon morceau du petit cochon que j’ai vu tourner en broche (rire)…
Bon c’est vrai, par comparaison, une vache met 9 mois pour faire un veau et l’« accouchement » pour une vache c’est pas « une sinécure » ! (et idem pour une jument 11 mois de portance)…
Du coup, pour le veau je suis « moins friand » ! Quant au poulet, n’en parlons pas, on fait des milliards de poulets sous couveuse artificielle…
… Petite anecdote :
Une certaine « Séraphine » sur « Notabene Forumactif » (un forum qui a disparu définitivement de la « circulation » fin août 2019)… Il y a de cela bien des années… Avait été scandalisée en lisant un « post » de moi sur le forum, où je parlais des lapins que ma grand-mère achetait vivants et me faisait tuer en leur ouvrant la gorge : je racontais – en détails- les tripes qui tombaient toutes fumantes par terre et les « petits pois noirs » qu’on voyait à travers la paroi de l’intestin…
« C’est horrible, je me moque, yugcib, de la manière dont tu tues ces lapins »… Réponse de Séraphine… Suivie d’imprécations et d’une « condamnation sans appel » à mon sujet…
Cette Séraphine tout comme bien d’autres du même genre qu’elle question « interlocuteur coup de bâton » fait partie de ces gens (de la Toile et de la vie) qui, à une occasion ou une autre « m’assassinèrent de première », ne seront jamais lecteurs de mes « œuvres », n’iront pas à mon enterrement… Et dont l’Histoire ne retiendra rien de ce qu’ils furent, de leurs imprécations, de leurs « leçons de morale », de leurs propos réducteurs à l’emporte – pièce, de leurs jugements fondés sur des à-priori, sur des courants d’opinion publique… (Ces personnes là, je crois que quand elles sont « bizounours » c’est encore pire question coup de bâton et jugement à l’emporte pièce)… (rire, rire insolent)…
Séraphine, Séraphine bizounours ex petite fille sage bien obéissante et ayant peut-être eu un lapin apprivoisé , je ne saurai jamais ce que tu es devenue, si aujourd’hui tu es morte ou vivante et dans quel état… Mais saches (ou que ton âme sache)… Que j’adore le lapin en gelée, le lapin sauté avec des pommes rôties, le lapin « chasseur » (avec des spaetzel’s alsaciennes) et même le lapin (la partie avant du lapin) en pot au feu avec des haricots verts, des carottes et des navets… Et que ma grand-mère, si elle les achetait vivants les lapins, c’est parce que vivants ils coûtaient 5 francs le kilo à l’époque et que tout prêts vidés à cuire ils coûtaient 15 francs le kilo chez le boucher…
… Bon voilà, fin de l’anecdote… Rire…
-
La standardisation dans le prêt à porter
- Par guy sembic
- Le 15/08/2023
- Dans Anecdotes et divers
- 0 commentaire
… Pose parfois de réels problèmes, par exemple pour les hommes achetant un pull, un tee-shirt ou un pantalon…
En effet, pour les tailles « standard » cela va de S à XL voire XXL en passant par M et L…
Seulement voilà : quand tu es un homme et que tu mesures 1 mètre 70, que tu as le tour du cou ainsi que ta carrure (de poitrine) dans la norme correspondant à une taille de 1 mètre 70 ; il se trouve qu’en vertu du principe selon lequel de nos jours la plupart des hommes « normaux » font environ 1 mètre 80, si tu prends M, oui ça te va pour ta carrure en ce sens qu’aux épaules ça s’ajuste à peu près correctement… Mais comme tu ne fais qu’1 mètre 70, eh bien le pull ou le tee-shirt en longueur, tombe dix centimètres en dessous du point où il devrait normalement et correctement tomber… Et que pour un pantalon il te faut à chaque fois en taille M, faire raccourcir de 5 à 8 cm parce que tu ne mesures pas 1 mètre 80…
Bien heureux donc, les hommes d’1 mètre 80 (majoritaires de nos jours) par rapport à ceux d’1 mètre 70, qui, ainsi, peuvent acheter un pull ou un tee-shirt M voire L qui va « tomber sans paraître trop long », ou un pantalon qu’il ne sera pas nécessaire de faire raccourcir de 5 à 8 cm…
Quand on sait le prix que prend une « retoucheuse » genre boutique « dé à coudre » pour réajuster un vêtement – notamment raccourcir un pantalon… ça devient « galère » pour trouver dans le prêt à porter de ces boutiques toutes les mêmes partout un pull ou un tee-shirt M qui ne tombe pas trop bas ( c’est sûr qu’un S tomberait « au poil » - mais serait en revanche un peu trop étriqué)… Ou un pantalon qui n’aurait pas besoin d’être raccourci de 5 à 8 cm pour un homme d’1 mètre 70…
Quand à la taille L, pour un homme d’ 1 mètre 70, c’est hors de question un pull ou un tee-shirt qui tomberait encore plus bas en supposant que cet homme aurait une forte carrure qui l’inciterait à prendre du L…
-
L'Odyssée Interstellaire
- Par guy sembic
- Le 15/08/2023
- 0 commentaire
… Sur Arte samedi 12 août 2023 de 20h 50 à 23h30, un exposé très scientifique faisant état d’un projet « dans les cartons » concernant la consctruction – dans l’espace – d’une gigantesque station, une base de préparation et de lancement de laquelle partirait un vaisseau piloté et géré par intelligence artificielle, à destination d’une planète « qui ressemblerait à la Terre » (Minerva B), située à environ 4,5 années – lumière du système solaire, et qui tournerait autour d’une étoile de même type que notre soleil…
À l’heure actuelle, nul ne sait encore, au sein de la communauté scientifique, quelles seraient les caractéristiques (atmosphère, présence d’eau, nature du sol, etc. …) de cette planète baptisée Minerva B, l’on sait juste qu’elle est rocheuse et se situe dans une zone « propice » au développement de formes de vie éventuelle, c’est à dire à une distance de l’étoile « favorable »…
La construction de cette station ou base, dans l’espace, demanderait environ une centaine d’années, soit le travail devant être effectué par plusieurs générations de scientifiques œuvrant à son élaboration nécessitant des moyens technologiques énormes – et du matériel en conséquence à acheminer…
Le « projet » débuterait vers les années 50 du 21ème siècle et « verrait son achèvement » en … 2157, année durant laquelle serait lancé le vaisseau selon un mode de propulsion à base d’énergie produite par du plasma, de telle sorte, qu’en 25 années d’accélération progressive, la vitesse atteinte serait de 20 % de celle de la lumière, et qu’ensuite durant 25 ans, s’opérerait une décélération tout aussi progressive…
Avec le mode de propulsion et déplacement actuel, les engins qui sortent du système solaire à destination de Proxima du Centaure (l’étoile la plus proche à 4 années lumière de la Terre) se déplaçant à « seulement » 61 000 km/h… Mettraient trente mille ans pour parvenir à une destination (une planète) orbitant autour de Proxima du Centaure… Et devraient devoir utiliser une quantité d’énergie (combustible) absolument énorme, telle que notre galaxie, la Voie Lactée ne peut produire…
Le problème de la propulsion et du déplacement (et de l’accroissement de la vitesse) devrait donc être résolu grâce à l’énergie produite par le plasma, de telle sorte que le vaisseau piloté et géré par intelligence artificielle à destination de Minerva B, ne mettrait plus « que » 50 ans au lieu de 30 000 ans, pour effectuer le « voyage »…
Ce qui permettrait à ce vaisseau investigateur doté d’appareils de mesure, de se poser sur le sol de Minerva B en… 2207… Si toutes sortes de difficultés, d’aléas, de problèmes rencontrés, toutefois, ne peuvent empêcher ou faire échouer le projet, et l’« atterrissage » sur Minerva B…
Une planète dont, même en 2200 on ne saura encore rien de déterminant (qui nous intéresse tant)…
Si ce projet voit le jour et s’il s’effectue selon ce qui est prévu… 150 ans en tout pour essayer de savoir si oui ou non il y aurait des formes de vie sur Minerva B à 4,5 années lumière de la Terre… « On risque fort d’être très déçu » une fois « arrivé sur place et les investigations, les mesures effectuées puis transmises à la Terre !
D’un côté l’aléatoire (vraiment aléatoire)… Et d’un autre côté la somme de travaux, d’activité technologique et scientifique déployés durant le temps de trois ou quatre générations d’humains, absolument énorme, vraiment énorme en regard d’un résultat très incertain !
Cela « me laisse rêveur » et me paraît « surréaliste », démesuré… Et vu sous l’angle de la seule capacité humaine, de la seule intelligence humaine, de la seule vision humaine, purement et seulement humaine !
Quand on sait déjà que 4,5 années lumière, en distance à franchir, ça n’a rien à voir, absolument rien à voir, avec les 2,5 millions d’années lumière qui séparent notre galaxie la Voie Lactée, de la galaxie d’Andromède notre « voisine » ! … Et à plus forte raison avec les 30, 50, 100 millions d’années lumière, qui nous séparent des autres galaxies bien plus lointaines !
L’Odyssée Interstellaire c’est encore du rêve et cela le restera durant bien des générations d’humains… Et les savoirs, les connaissances, la technologie en évolution, aussi gigantesques et novateurs et efficients qu’ils pourraient devenir (qu’ils deviendront certainement) … Seront toujours dépendants des capacités humaines, de l’intelligence humaine…