Articles de yugcib

  • Économie de marché, secteurs moins rentables dans les années 2040

    … Certains secteurs de l’économie de marché dans les années 2040 et peut-être même dès les années 2030 risquent de ne plus être porteurs en matière de profit financier pour les dirigeants et actionnaires de grands groupes et multinationales…

     

    Ce sont vraisemblablement les secteurs du tourisme (touropérateurs, voyagistes, croisiéristes), des maisons de retraite privées, du transport aérien de personnes, des équipements et appareils et services coûteux non indispensables…

     

    Avec l’augmentation des prix de quasiment tous les produits de consommation courante ainsi que de la plupart des services marchands, augmentation qui va se poursuivre durablement et en s’amplifiant ; la demande dans le secteur du tourisme est appelée à diminuer du fait d’une clientèle devenant d’ici une vingtaine d’années, plus réduite, dont les budgets seront de plus en plus serrés ; de telle sorte que les voyagistes ne réaliseront plus les mêmes profits qu’actuellement.

     

    Pour les maisons de retraite privées, notamment celles des groupes Orphéa, Korian, Domus, Colisée entre autres, vu le nombre croissant d’ici une vingtaine d’années, de futurs retraités à revenus modestes voire « à la limite du seuil de pauvreté », même si des aides publiques (du Conseil Général, départemental ou régional) continueront à être versées (probablement plus réduites), en effet quel futur retraité dans les années 2040 sera en mesure de payer 3000 euro ou plus par mois, une pension dans une maison de retraite ? Sûrement beaucoup moins qu’aujourd’hui !

     

    Ces groupes Orphéa, Korian, Domus, Colisée et autres, encore actuellement (et comme si cela devait être « un marché très porteur » dans les vingt prochaines années), n’arrêtent pas de construire de nouveaux établissements d’accueil de personnes très âgées et dépendantes, d’investir et de profiler des plans de développement et de profits (au détriment d’ailleurs, des résidents en réduisant le personnel d’accompagnement ainsi que les budgets alimentation, équipements, services)…

     

    Comment dans les années 2040, tous ces établissements d’accueil de personnes âgées et dépendantes, pourront-ils continuer à se remplir, sachant que plus de 50 % des futurs retraités ne pourront en aucune façon, envisager de « finir leurs jours » dans l’un ou l’autre de ces établissements ?

     

    Je ne suis pas actionnaire de quoi que ce soit et ne le serai jamais… Alors que, bien que la question soit « très sensible » et qu’en conséquence personne autour de lui ou d’elle n’en parle, une bonne part de gens à « revenus moyen » ou « relativement aisés » ont chez leur banquier un portefeuille financier comportant des actions servant des dividendes, ou quelque placement sensé être « sans risque » (généralement en Assurance Vie) dont la composition est « diversifiée » (c’est à dire avec des parts d’actions dedans sans que cela soit vraiment apparent)…

     

    Mais… Si je me résolvais à placer quelques milliers d’euros d’économie dans un placement bancaire « réputé porteur et prometteur », ce n’est sûrement pas dans le secteur du voyagisme tourisme de masse ni dans des actions des groupes Korian, Orphéa, Domus, que j’investirais !

    … Si vous voulez et « si Dieu me prête vie » (rire)… « On en reparlera en 2045 lorsque je serai âgé de 97 ans…

     

     

  • L'ordre naturel des choses

    ... Pour ce qui est d'une relation fondée sur des liens forts, ayant été brutalement interrompue par la disparition de l'un des acteurs de la relation ; il y a cet "ordre naturel des choses" qui, lorsque succède une nouvelle relation appelée à se fonder sur des liens forts ; implique que ce qui fut et en esprit demeure, s'inscrive dans une dimension différente... Comme dans une composition de peinture en un tableau où rien de l'arrière plan ne disparaît, mais où apparaît ce qui est introduit dans la composition, et donc, dans "l'ordre naturel des choses", change la perspective (c'est cela, la dimension différente : le changement de perspective)...

    L' "ordre naturel des choses" parfois, vu par les autres, par les témoins les plus proches comme des moins proches ; peut être mal perçu (en fonction de sensibilité, de vécu, de culture en soi -des uns et des autres )... Mais il s'impose parce que précisément, il est naturel, incontournable, inhérent aux lois de la vie, et implique que, de notre part à chacun de nous, l'on doive l'accepter...

     

  • Les filles des années 1970

    … Elles avaient toutes, vu “Le docteur Jivago”, visité la cathédrale de Strasbourg, elles étaient pour bon nombre d'entre elles, catholiques pratiquantes, souvent timides, aimant la lecture et le tricot, les promenades en forêt... Elles avaient toutes “une peur bleue du grand méchant loup”, elles préparaient un trousseau pour “quand elles se marieraient”, avaient un “coquet livret d'épargne” ; elles étaient “mademoiselle joliment arrangée dans un petit studio”, rêvaient d'une belle maison, d'un bon mari gagnant bien sa vie, voulaient des enfants, un grand chien ou peut-être même un cheval ; ne se rendaient jamais aux manifestations et ne faisaient pas grève, aspiraient à une meilleure promotion dans leur travail...

    Et pourtant leurs tartinettes battaient comme des castagnettes sous de beaux rêves tendres si joliment guirlandés de petits dessous...

     

    … Quel crétin ce Jean-Charles, à l’époque, dans les années 70, qui ne possédait qu'un sac à dos et un vélo et demeurait dans des chambres d’hôtel au mois ; lui qui rêvait à s'en faire des cartes de France dans ses culottes – d'une fille “bien”... Il en avait trouvé une, chic et classe, gentille, pas emmerdante pour deux sous, elle s'appelait Craqueline et elle était infirmière dans un hôpital…

    Le Jean-Charles, il avait été reçu dans la famille de Craqueline, et invité, et écouté car il était poète... Et la Craqueline avec sa frêle silhouette, son joli visage, ses fringues chic, sa petite voiture, et sa “vision du monde” si peu dérangeante, et sa gentillesse de fille simple... Elle “en pinçait” ma foi, pour le Jean-Charles!

    Un jour elle l'avait accompagné jusque sur le quai du port d'embarquement à Boulogne sur Mer : il se rendait en Angleterre par l’Overcraft avec son vélo.

    Quel crétin ce Jean-Charles! Il ne lui a même pas envoyé une carte postale, depuis le fin fond des High-Lands ou de la verte Erin!

    ... Et quelques années plus tard lors d'un “coup de blues” un jour de pluie, claquemuré dans sa piaule et aux prises avec une solitude viscérale, il s'était décidé à lui écrire une lettre de dix pages, ayant retrouvé son adresse dans un vieux carnet... Une lettre qu'il soigna, qui fut presque un “monument littéraire”... Mais à laquelle il n'eut jamais de réponse...

     

     

     

  • Ne me demandez jamais de quel signe je suis

    … Pour un 2-0 inaccepté et contesté dans un match de foot, l’on entend hurler plus fort que contre un 49-3 du gouvernement…

     

    Pour une simplification du langage, de l’orthographe et de la grammaire 

    Pour une opinion exprimée en une longueur de tweet

    Contre ce qui est jugé illisible, écrit sur internet, parce que comportant plus de dix lignes

    Pour ce qui fait plus de « kilovues » que de commentaires

    Pour le port du voile ou d’un tissu couvrant les cheveux des filles de religion musulmane à l’école

    Pour les crèches dans les mairies

    Pour ce qui fonde une opinion à laquelle se rallie une majorité et qu’il est de bon ton de ne point contester

    Pour des débats de société et de politique abordés davantage dans l’émotion que dans la réflexion

    Pour les horoscopes que l’on s’échange en faisant connaissance, tels des chiens qui se rencontrant, se sentent le derrière

     

    C’est fou, vraiment fou, pour tout ça, ce qu’il y a de monde, olé-oléhohant dans les gradins !

     

    Il semble que la médiocrité aujourd’hui et de plus en plus, se mesure davantage sur la méconnaissance des exploits footballistiques et peopolistiques, sur l’ignorance de ce que tout le monde sait ; plutôt que sur la pauvreté du langage et de la pensée…

     

    Ne me demandez jamais de quel signe je suis

    Ne me parlez pas du premier ou du deuxième bébé – putain d’bébé – de telle princesse héritière ou de telle personnagesse célébrissime

     

     

  • Exposition annulée au festival de la BD d'Angoulême

    … Sans doute contraint par le Ministère de la Culture, le Festival Internationnal de la Bande Dessinée d’Angoulême pour sa prochaine édition fin janvier 2023, annule l’exposition « Dans les yeux de Bastien Vivès » l’auteur de « Polina » et « D’une sœur », mêlant pornographie et mineurs, et représentations d’enfants dans des situations à caractère sexuel… Suite à une « bronca » sur les réseaux sociaux à l’adresse de cet auteur de Bande Dessinée dont l’œuvre fait polémique…

     

    La programmation en effet, de cette exposition de Bastien Vivès, fait peser des risques sur l’auteur lui-même et sur les festivaliers qui « seraient interéssés » par cette exposition…

    Des menaces physiques ont d’ailleurs été proférées vis à vis de Bastien Vivès.

    La polémique ayant pris de l’ampleur, une pétition a été lancée dernièrement, de plus de cent mille signataires, contre cette exposition.

     

    L’argument avancé, pour la programmation de l’exposition, initialement, par la direction du Festival ; argument selon lequel la sensibilité à la cause de l’enfance et de la femme pouvait être exprimé « de cette manière » par Bastien Vivès – et par d’autres créateurs de BD- (en somme pour « conjurer »)… « Ne tient pas » parce que le risque d’incitation, sous couvert de « conjuration » est beaucoup trop important…

     

    Ces vues, par un public même « averti » et d’autant plus par un public de « tout venant » sont bien davantage une incitation à des atteintes de caractère sexuel sur des enfants, plutôt comme le laissait entendre la direction du Festival, qu’à une dénonciation  (la dénonciation ressemble trop à de l’incitation)…

     

    Bien qu’étant pour la liberté d’expression, dans cette affaire d’annulation de l’exposition de Bastien Vivès, je suis très résolument POUR l’annulation… Et donc, pour une fois, POUR la « bronca » qui sévit sur les réseaux sociaux à l’adresse de Bastien Vivès…

     

    Pour exprimer les choses nettement : « j’ai un problème avec les pédophiles – les pédos – comme « certains » peuvent avoir un problème avec les Juifs, les Arabes ; comme les Autorités Chinoises ont un problème avec les Ouighours… Et « une entreprise d’élimination politiquement socialement et scientifiquement organisée afin d’éradiquer la pédophilie de la surface de la Terre… « Me siérait » j’ose le dire…

     

    Si « ce » Bastien Vivès devait être agressé, dans ses déplacements, à son domicile, et si même il devait être assassiné à l’arme blanche en pleine rue (merde alors, on s’en est pris aux dessinateurs de Charlie et à Samuel Paty, ce qui fut un drame épouvantable et j’ai été et suis toujours « Je suis Charlie » et « Je suis Samuel Paty »…

    Mais si Bastien Vivès est décapité en pleine rue, ne comptez pas sur moi pour brandir une pancarte « Je suis Bastien » !

     

    … Bastien Vivès pourrait être un pédophile mais ce n'est pas sûr... Quoiqu'il en soit, le problème dans cette affaire d'exposition annulée, c'est que si la direction du festival pouvait avoir dans son programme cette exposition, le risque d'incitation par la vue de ce qui est présenté (des situations imagées en lesquelles des enfants sont impliqués dans des actes à caractère sexuel) est important et doit être considéré ...

    Quant à ce qu’il en est de la pédophilie, la seule "différence d'appréciation" (d'un cas par rapport à un autre) "possible"; c'est lorsque l'auteur d'une agression ou d'attouchements sexuel sur un enfant (ou à la limite un pré adolescent) a lui-même été victime dans son enfance, d'abus sexuel par un parent, un ami de la famille, ou une autre personne)...

    Cependant "ce cas là" n'est en aucune façon un"cas très fréquent" car au moins 8 pédophiles sur 10 environ, ne sont pas "dans ce cas là" ...

    Donc pour les autres, il n'y a pour cause que des pulsions survenant dans des situations particulières et ou à un certain moment de la vie ; or des pulsions tout le monde en a, mais souvent les pulsions sont "gérées" (maitrisées)...

    Enfin, l'acte sexuel commis sur un  enfant ou sur un préadolescent est un acte spécifique à l'espèce humaine : jamais un animal mâle n'a une relation sexuelle avec un représentant non pubère de son espèce...

     

    … C’est dans un mouvement spontané, irréfléchi « mais tout de même, oui, quelque peu réfléchi », de violente colère dictée par l’émotion au moment d’avoir eu connaissance de la cause de l’annulation de cette exposition ; que j’ai écrit cette phrase : «  Si Bastien Vivès devait être décapité en pleine rue, ne comptez pas sur moi pour brandir une pancarte Je suis Bastien »…

     

    J’ai en effet pensé lorsque cette phrase m’est venue à l’esprit, à l’assassinat de Samuel Paty et à l’attentat meurtrier contre les dessinateurs de Charlie Hebdo… Et, en imagination, je « voyais » que les menaces, que les agressions verbales menées à l’encontre de Bastien Vivès, pouvaient aboutir à « bien plus que des menaces et des agressions verbales »…

    Je ne regrette d’ailleurs pas d’avoir écrit cette phrase sous l’empire de l’émotion (émotion non maîtrisée)… « Ce qui est dit est dit et reste dit »…

     

    Mais il est certain que nous ne sommes pas du tout, avec cette affaire d’exposition annulée et de polémique autour de l’œuvre de Bastien Vivès, dans le même contexte que celui des caricatures condamnées par les islamistes… Nous sommes juste dans un contexte de réaction hostile et critique et de polémique au sujet de la programmation de cette exposition, dans un contexte également de menaces, d’agressions verbales à l’égard de l’auteur d’une œuvre décriée…

     

    Ces menaces, ces agressions, cette hostilité manifestée, et cette annulation de l’exposition de Bastien Vivès, ne « me posent pas problème » (je les approuve)…

    Cela dit, il me paraît quasiment certain que, le contexte de cette affaire n’étant pas le même que celui des caricatures condamnées par les islamistes, la vie même de Bastien Vivès n’est pas menacée (et qu’il ne sera donc jamais pour autant, ni décapité, ni poignardé, ni tué par arme à feu)…

     

    Donc, ce que j’ai écrit sous le coup de la colère, de l’indignation, de l’émotion (je répète la phrase : « Si Bastien Vivès devait être décapité en pleine rue ne comptez pas sur moi pour brandir une pancarte Je suis Bastien ») … Ce que j’ai écrit là ne peut inciter personne à attenter à la vie de Bastien Vivès… (C’est du moins ce que je crois – ou crois croire)…

     

    J’ai parfois évoqué en ce qui concerne la liberté d’expression, la liberté de dire et d’écrire et de dessiner « des choses innommables, scandaleuses, révoltantes, iconoclastes, horribles  (humour noir si l’on veut), des choses même quasiment impossibles à accepter »… Évoqué la production d’écrits ou de dessins, de caricatures, pouvant « conjurer » l’inacceptable, dans le sens : c’est tellement horrible, tellement scandaleux, tellement iconoclaste ainsi présenté, que cela peut rendre la réalité non réalisable (je ne sais si je me fais bien comprendre)…

    Le but serait donc de « rendre la terrible et inacceptable et révoltante réalité », par l’impact produit, irréalisable, inconcevable dans le réel…

     

    Soit dit en passant, « petite précision » de ma part… Certains de mes dessins ainsi que « quelques uns de mes textes non aseptisés » « ne sont pas piqués des hannetons et sont même à hurler et à me valoir des coups de bâton »…

     

    Mais bon, « conjurer » il faut bien le dire, c’est prendre le risque d’inciter des gens à « faire »… De là, une évidente ambiguité (difficile à gérer, à maîtriser) …

    Et puis, il y a aussi, avec la liberté d’expression, le risque de « faire le vide autour de soi », autant dire de voir s’éloigner parfois des amis ou des connaissances de longue date, en « passant la mesure » comme on dit !

     

     

     

  • L'Art est gagnant mais peu le savent

    Alexandre Soljenitsine :

     

    « … La littérature avec le langage protège l’âme d’une nation… Dans le combat contre le mensonge, l’art a toujours gagné et il gagnera toujours. »

     

    … Mais qu’est-ce que l’âme d’une nation si cette nation appauvrit, réduit et pervertit son langage ?

    Et qu’est-ce que l’Art si l’Art se fait lard ?

     

     

  • La "moralité" du monde de l'argent et du pouvoir

    … Le Qatar décrié, le Qatar interpelé, le Qatar critiqué, le Qatar honni… Pour son non respect des Droits de l’Homme, pour ses 7000 morts sur le chantier du Stade du Siècle, pour son financement des organisations terroristes islamistes…

    Mais le Qatar qui « arrose », le Qatar qui investit, le Qatar qui contribue au développement de l’économie Européenne ( et procure des emplois ), le Qatar qui achète des Rafale à la France, le Qatar qui soutient des organisations sportives dont des clubs de foot, le Qatar en arrière plan des Galeries Marchandes des Grandes Surfaces commerciales internationales, le Qatar et ses touristes dans les Duty Free des aéroports les plus fréquentés de la planète, le Qatar qui – si ça se trouve pourquoi pas – soutient des organisations humanitaires (on aura tout vu), le Qatar et sa vitrine de promotion (convaincante et crédible ) d’un monde futuriste mode transition écologique technologique de pointe soucieux d’un avenir de progrès et d’évolution bien pensé pour l’Homme…

    Le Qatar en somme, partenaire incontournable !

    Quatre députés du Parlement Européen poursuivis en Justice, accusés d’avoir été « arrosés » par le Qatar et d’être corrompus… Ça c’est « pour l’exemple », pour faire « figure honorable » (La « moralité de l’Europe de Bruxelles » !)…

    Mais la « moralité » du monde de l’argent et du pouvoir, ça, c’est « tout autre chose ! »

     

     

  • Banalité et conformisme dans les débats de société à la Télé

    … Michel Houellebecq dans « Sérotonine » :

     

    « Je tentais de m’intéresser aux débats de société, mais cette période fut décevante et brève : l’extrême conformisme des intervenants, la navrante uniformité de leurs indignations et de leurs enthousiasmes étaient devenus tels que je pouvais à présent prévoir leurs interventions non seulement dans leurs grandes lignes mais même dans le détail, en réalité au mot près, les éditorialistes et les grands témoins défilaient comme d’inutiles marionnetttes européennes, les crétins succédaient aux crétins, se congratulant de la pertinence et de la moralité de leurs vues, j’aurais pu écrire leurs dialogues à leur place et je finis par éteindre mon téléviseur, tout cela n’aurait fait que m’attrister davantage, si j’avais eu la force de continuer. »

     

    … Les débats de société… Ce sont comme dans un pré sans ciment parce que nul ramasseur de champignons blancs dit « champignons de pré » n’a versé de sac de ciment sur un groupe local de bouses de vache et que sans ciment versé certes on ne pollue pas le pré mais on ne plante pas le piquet en fer qui va soutenir un panneau publicitaire 4X4mètres, d’autant plus qu’on n’a pas fait au préalable de trou pour enfoncer le bas du piquet car sans trou rien que le ciment le piquet tient pas…

    … Les débats de sauces y étaient, dans le fond du Grand Bocal, parce que dans les sauces s’agitaient de petits vers blancs, c’étaient donc des débats animés…

    Et c’étaient les ânes qui mimaient ; en effet on avait bien vu jadis au temps du Dadaïsme ou du Surréalisme je ne sais plus, un âne peindre avec sa queue sur une toile montée sur chevalet…

    Cela dit les raisins en seaux si hauts sont pleins de pépins qui avalés, s’en vont dans les selles…

     

     

  • Le Qatar sans complexe, mais... La France et bien d'autres pays avec leurs complexes ?

    … Le boycott de la Coupe du Monde de Football au Qatar, orchestré, tambouriné à cris indignés à l’adresse du Qatar, dont le (la) Chef de File est Madame Anne Hidalgo maire de Paris et les « supporters » sont « de cette Gauche et d’une partie de la Droite et de la coalition macroniste qui se veulent « moralistes assis sur les Droits de l’Homme et sur les principes démocratiques », m’ a paru avant que ne débute cette Coupe du Monde le 20 novembre dernier, une « hypocrisie pantalonnante sentant la mayonnaise éventée et la crevette amoniaquée », une hypocrisie qui s’inscrit déjà depuis pas mal d’années, dans un « ordre du monde et de pensée figé dans un consensus et dans des engagements de combats idéologiques sans issue et surtout sans « maillot trop mouillé » ; tout cela assez caractéristique d’une société occidentalisée incluant toutes les « classes moyennnes ou aisées » autant de l’Occident Chrétien USA - Canada – Europe – Australie, que des non occidentaux et non chrétiens ralliés à l’Occident par un même mode de vie dépendant de ce qu’apporte la technologie en matière de confort et de consumérisme) : pays d’Afrique développés – Péninsule Arabique dont Qatar – Inde et Chine (quelque 300 millions d’habitants pour chacun de ces deux derniers pays sur le milliard et demi qu’ils comptent chacun)…

     

    Au moins, le Qatar et l’Arabie Saoudite font état sans complexe de l’aisance dans laquelle vit la majorité de leurs habitants , au détriment de populations venues chez eux pour travailler et les enrichir…

    Et nous, Européens avec nos  valeurs et nos droits de l’homme, on fait à peu près la même chose en un peu moins injuste et un peu mieux rétribué, pour les populations venues d’Afrique et Moyen Orient, qu’au Qatar et qu’en Arabie Saoudite !… Mais « pas sans complexe » !

     

    Si « épidermiquement parlant » dans les semaines qui précédèrent la Coupe du Monde, j’ai applaudi au boycott, je n’y applaudis plus aujourd’hui…

    Néanmoins, je fais impasse totale sur cette Coupe du Monde dont je ne suis ni ne regarde les Bleus jouer…

    Et ne m’intéresse aucunement à ce que vivent là bas à Doha, mes concitoyens supporters des Bleus, pour lesquels j’ai une archi totale déconsidération, venus en avion (je pense au prix du billet AR) et séjournant dans des hôtels de luxe (sûrement pas dans des campings -y’a pas de campings au Qatar ou alors des hôtels à ciel ouvert)…

     

     

     

  • La pétrochimie en pleine croissance

    … Avec les multinationales des hydrocarbures, Aramco, Gazprom, China Energy, et la pétrochimie en pleine croissance pour produire des matières plastiques, c’est d’ici 2030 environ 1,35 gigatonnes par an, d’émission de gaz à effet de serre rejeté dans l’atmosphère, soit l’équivalent de ce que rejette dans l’atmosphère 295 centrales à charbon…

     

    Nos économies sont devenues de plus en plus dépendantes des produits pétrochimiques, avec le conditionnement des produits alimentaires en emballages plastifiés, le pétrole converti en propylène, en benzène, en paraxylène, dans l’industrie textile (fibres de polyester et nylons pour la fabrication de vêtements), les centaines de milliards de contenants en plastique pour les liquides dont les bouteilles d’eau minérale et de boissons, coca cola, sodas, etc., les sacs en plastique, les emballages de médicaments ; et d’une manière générale pour des milliards d’objets, d’appareils, d’usage quotidien, qui sont faits de plastique ou qui contiennent du plastique…

     

    Et à tout cela, qui concerne la consommation courante des gens au quotidien, il y a aussi ce qui concerne l’industrie et le bâtiment, avec des millions de kilomètres de tuyaux et conduits en PVC, de panneaux, de tout ce qui entre de « matériaux composites » dans les immeubles, maisons d’habitation…

     

    Le besoin au quotidien de tous ces objets et appareils, de tout ce qui se consomme pour l’alimentation et qui est conditionné en emballages plastifiés depuis les yaourts jusqu’aux plats cuisinés, aux viandes, charcuteries, surgelés, et de pour ainsi dire presque tout ; le besoin en achats de vêtements, de pulls, maillots, chaussettes, sous vêtements, écharpes, casquettes, bonnets, etc., le besoin dans l’industrie et dans le bâtiment… Est si énorme, si fréquent, si répandu, si indispensable dans le monde entier, auquel il faut encore ajouter les téléphones portables, les smartphones, les ordinateurs, les jouets, les appareils électroménagers… Qu’il est absolument ou quasiment devenu impossible dans un délai court (de l’ordre mettons de 2 ou 3 ans), de changer de mode vie, de conditionnements des produits, en somme de réduire rapidemment, d’au moins 50 % l’utilisation de matières plastiques…

     

    De gigantesques centres de production industrielle, pétrochimiques, sont implantés en des lieux généralement avec accès à la mer, en zones portuaires, ou par de grands fleuves navigables débouchant sur des estuaires, et forcément l’impact de ces gigantesques centres industriels sur l’environnement local naturel (faune et flore) n’est pas sans conséquences désastreuses…

     

    La croissance devenue exponentielle (et génératrice d’énormes profits financiers pour les multinationales) de la pétrochimie, n’entre pas dans les COP 21-22-23-24 et jusque 2029 et au-delà (pour le changement climatique) ni dans les G20 (dans les G20 autrement qu’en terme de développement technologique et économique et stratégique de Marché) …

    Mais prend désormais, question « gaz à effet de serre » et donc augmentation non plus de seulement 1,5 degré de température moyenne mais de 4 degrés d’ici 2050, la plus grande part…

    Ainsi que pour la production forcément croissante de déchets rejetés dans les océans, dans des milieux naturels…

     

     

  • Neuvième vague

    Neuvieme vague

    … Une pensée me vient pour les atteints et atteintes du covid durant ces jours de Noël et Nouvel An où pour les repas de réveillon, privé(e)s de goût (l’une des conséquences du covid), foie gras, huîtres, dinde et bûche seront au palais, aussi neutres que des christophines cuites à l’eau sans sel…

    Pour les « bec fin » l’agueusie (qui peut durer plusieurs mois après le covid), c’est vraiment un gros handicap !

    Putain d’covid ! … Neuvième vague… 75 mille cas pas jour… Alors que tout le monde ou presque l’a déjà eu, le covid, et même re-eu, et en ayant été vacciné jusqu’à 4 fois !

    Avec le recul, tout ce qui a été vécu en 2020 et 2021 et jusqu’au 14 mars 2022 (jour où le masque n’a plus été obligatoire)… Les confinements, les enfermements, les limitations de circulation dans un espace de 10 km, le masque partout y compris dehors, le pass vaccinal, toutes ces contraintes, etc. … Quelle aberration ! L’on voit bien que tout ce qui nous a été imposé, contraint, durant plus de 2 ans, ce n’est plus du tout d’actualité (« les temps ont changé », on en est enfin à « la responsabilité de chacun »)…

    Les quelques « miraculés du covid » (dont je fais partie) devraient se voir attribuer une Médaille !

    Si l’on fait le compte, à chaque vague, chaque fois pendant plus d’un mois, jusqu’à des cent mille cas par jour… En trois ans, oui, presque tout le monde l’a eu, le covid (et re-eu) !

    Cent soixante mille morts du covid en trois ans en France ?

    Dans les mêmes trois ans on peut quadrupler voire peut-être décupler ce chiffre, pour les morts par cancers !

     

  • Quel est l'impact sur les produits surgelés, d'une panne d'électricité de plusieurs heures ?

    … Si une interruption d’alimentation électrique suite à une avarie, à un dysfonctionnement devait priver d’électricité, comme cela s’est dernièrement produit à Paris le 8 décembre 2022, durant plusieurs heures, des dizaines de milliers de personnes dans leurs habitations ainsi que des commerces, notamment d’alimentation en produits frais et surgelés… Quelle serait alors, dans le cas d’une interruption de 6, 8, 12 heures, la conséquence d’une rupture de la chaîne du froid, de cette durée de 6,8,12 heures, sur des produits alimentaires qui, dans une température ambiante de 15 degrés en intérieur (en période hivernale) et de 25 degrés en intérieur (en période d’été), forcément auraient commencé à se décongeler ?

     

    « L’on dit » (c’est bien ce qu’il est courant d’entendre) que 2h d’interruption d’alimentation électrique d’un congélateur, c’est « sans conséquence », et même jusqu’à 24 heures… Mais pour ma part, et je suppose que je serais loin d’être le seul, je n’envisagerais pas de  faire mes courses de produits surgelés chez Picart ou chez Thiriet, dans les jours qui suivraient une panne d’électricité ayant duré 6, 8 ou 10 heures (et à plus forte raison davantage)…

     

    Les gestionnaires de chez Picart et de chez Thiriet, ainsi que de Leclerc, Carrefour, Intermarché, etc. doivent bien en être conscients, d’une telle panne pouvant survenir… Mais pour pallier à une interruption de plusieurs heures, je ne vois pas trop comment il leur serait possible, surtout en zone urbaine et péri urbaine, d’installer des groupes électrogènes… Quand on sait le volume et l’encombrement que prend un groupe assez important, qu’il n’est pas possible de placer dans un local fermé ni en extérieur aux abords du centre commercial… Rappelons qu’un groupe électrogène fonctionne avec du carburant (énergie fossile) qui permet l’entraînement d’un moteur produisant de l’électricité, et que le carburant consommé produit du gaz d’échappement, et en outre, fait énormément de bruit…

     

    Bonjour, en ville, quand l’électricité aura été absente durant plusieurs heures, voire une journée, et pire, trois ou quatre jours… (et aussi en zone rurale urbanisée), les poubelles d’ordures ménagères pleines de sacs de produits décongelés)…

     

    L’on peut imaginer, dans les immeubles détruits par les bombardements en Ukraine, tous ces congélateurs remplis de victuailles, les uns dans les décombres, les autres abandonnés dans des logements devenus inhabitables… La pestilence…

     

     

  • Flambée des prix

    … La « flambée » des prix – des produits énergétiques, alimentaires, d’utilisation courante au quotidien, des équipements nécessaires, de tout ce dont nous avons besoin tous les jours, le prix des services, le prix de tout ce qui est du domaine de la santé publique, des transports, et de tout ce qui est nécessaire pour toutes les activités individuelles, collectives, industrielles, agricoles… Est liée, directement liée à deux causes principales :

     

    -À la part croissante de la fraction de la population mondiale dont la vie et l’activité au quotidien, dépendent fortement de consommation énergétique, alimentaire, équipementière et de services, tout cela pour conserver des habitudes acquises, du confort, de l’aisance, de tout ce dont aujourd’hui l’on ne peut plus se passer…

    Cette part consommatrice d’énergies, de la population mondiale est de l’ordre d’environ le tiers de l’humanité, soit de quelque 3 milliards de personnes (à titre de comparaison, la part consommatrice d’énergie de la population mondiale en 1950 n’était que d’à peine 500 000 personnes – et encore, sans internet et juste l’électricité pour s’éclairer et faire tourner quelques moteurs, pour l’industrie).

    Certes, il est heureux pour les peuples des pays « en voie de développement » (du moins pour ceux qui le peuvent) d’accéder au confort, à l’aisance, aux commodités, on ne peut pas dire le contraire !

     

    -À la part croissante – pour ne pas dire exponentielle – des profits financiers des grands groupes dominants du Marché mondialisé (en particulier dans les domaines de l’énergie, de l’industrie, de l’agro alimentaire) réalisés, du fait d’un plus grand nombre de consommateurs ayant la capacité de consommer et de payer un prix plus élevé .

     

    … Mais, outre ces deux grandes causes principales, il en est une autre encore, non négligeable et qui commence à apparaître et à devenir préoccupante :

    C’est une cause liée à une production (de certains produits) qui n’arrive pas à suivre la demande (ou qui y parvient difficilement) ; une cause également liée à une pénurie de « savoirs faire », de compétences, de métiers… Tout cela étant aggravé par des problèmes d’approvisionnement, de logistique, de transport, de gestion, d’insuffisances d’emplois, de recherche d’une rentabilité qui en vient finalement à se révéler contre productive…

     

    Cette « flambée » des prix, qui impacte aujourd’hui tant de gens, partout dans le monde et en particulier dans les pays pauvres, s’inscrit dans une « durée longue » et «ne va pas aller en s’arrangeant » bien au contraire… Car nous ne sommes là, à partir de 2022, que dans le début des « grandes, très grandes difficultés » (pénuries, crises )…

     

    La part croissante de population mondiale « grande consommatrice » et conditionnée dans les habitudes de confort et d’aisance, n’est qu’en partie disposée à « changer ses habitudes et manières de consommer » - et encore elle le fait, bien sûr en « citoyens conscients, responsables et agissants » sans pour autant avoir trouvé la meilleure option puisqu’il y a toujours des  contreparties  négatives ou « peu heureuses » à tout ce qui est essayé, expérimenté… Ou qui aboutissent même à des effets délétères (par exemple la voiture électrique, l’utilisation de centrales à charbon et énergies fossiles afin de pallier au déficit de production d’électricité, gestion des déchets produits par les centrales nucléaires, traitement des panneaux solaires périmés et usés, exploitation des « métaux rares » pour la fabrication de batteries et de nombreux équipements technologiques devenus indispensables)…

     

    La « transition écologique »… Une « usine à gaz » ! Et avec des ingénieurs et des professionnels qualifiés en nombre insuffisant, et œuvrant dans l’expérimentation aléatoire… Et une population mondiale conditionnée à ce qui a été acquis et est devenu indispensable, rendant un « retour en arrière » quasi impossible, non envisageable sauf en cas de catastrophe irrémédiable…

     

     

     

  • Atteintes quotidiennes à la laïcité

    … Il ne m’est jamais venu à l’esprit à aucun moment de ma vie, que l’athéisme et que la laïcité puissent être assimilées – ou confondues- avec une religion au point d’être carrément prises, l’athéisme et la laïcité, pour des religions parmi d’autres religions !

    Non, l’athéisme n’est pas une religion, la laïcité non plus !

    MAIS au vu à la télé au JT de 20h de France 2, au soir de ce vendredi 9 décembre, de ces centaines d’atteintes à la laïcité en une même journée, particulièrement à l’école, je suis exaspéré, révolté, et plus que jamais farouchement « anti religion » !

     

    Bon sang, pourquoi contre ces atteintes à la laïcité, si ostentatoires, si violentes, si déterminées, si libres de se manifester et que les pouvoirs publics, impuissants par laxisme, ne sanctionnent pas ; que l’opinion publique dans une écrasante et silencieuse majorité ne condamne pas… Pourquoi n’oppose-t-on pas une aussi grande violence, aussi déterminée, aussi visible et agissante, contre les religions et leurs représentations dans les lieux publics ?

     

    Ah, comme nous sommes loin, très loin, de ces années de la Révolution Française où l’on transformait en écuries les églises, où les armées de l’An II de la République guerroyaient contre les « ennemis de la Nation » qu’étaient les royalistes et les messeux… Comme nous sommes loin, très loin, de la Révolution Bolchevique d’octobre 1917 qui avait foutu les popes et la religion par terre !

     

    Merde alors, la haine, la violence, le fanatisme, les crispations, les revendications ostentatoires en rapport avec la religion, tout ça, en fait – et de fait- c’est d’abord de quel côté ? Sinon en premier lieu du côté de la religion et de ses pratiquants (soit dit en passant y’a pas QUE les musulmans – quoiqu’ils y soient pour une bonne part )…

     

    Si l’on devait assister aujourd’hui à un grand mouvement anti religion bien visible et bien agissant ; en opposition aux atteintes à la laïcité et aux crispations des pratiquants de religions ; la violence de ce grand mouvement serait une réponse consécutive à « leur » violence puisque c’est « eux » qui tirent les premiers et qui sont les agresseurs initiaux !

     

    C’étaient pas les Révolutionnaires de 1793 qui avaient commencé !

    C’étaient pas les Bolcheviques de 1917 non plus, qui avaient commencé !

    C’était l’obscurantisme religieux depuis des siècles !

    Et avant, du temps des pharaons, puis des dieux Romains… Et depuis les anciennes croyances, divinités, totems et autels de sacrifices !

     

    Que je sache, avant les années 1980, et si l’on remonte à l’après guerre, en gros de 1950 à 1980, il n’y avait pas dans la société française de cette époque, toutes ces affirmations et revendications identitaires en rapport avec la religion, ni d’autres manifestations de minorités de ceci ou de cela, communautaires, de mouvements anti ceci anti cela, toutes ces crispations et violences des uns et des autres, ces atteintes à la laïcité, dans l’espace public, dans les familles, à l’école, au travail…

     

    Tout cela, tout ce délitement de la société, a commencé dans la décennie 1980, s’est accentué dans la décennie 1990 puis a pris de plus en plus d’ampleur à partir du début du 21ème siècle, pour en arriver là où l’on en est aujourd’hui et qui ne cesse de s’aggraver…

     

     

  • Plié un bleu en carton !

    … Plié la tête d’un bleu en carton dans une allée d’Intermarché ce matin… Sans le souci de savoir s’il y avait oui ou non, une caméra de vidéo surveillance à proximité, suspendue quelque part…

    Sans cherché à savoir lequel de ces bleus c’était, M’Baté (ou Bapé) ou un autre…

    Complètement « choué » cette Coupe du Monde de foot au Qatar, pas vu les bleus jouer, un bras d’honneur à M’Bat(p)é – me fous de l’orthographe de cette « icône » du foot français – et iconclasto-déconsidère, une grande tape sur le cul en pétant, tous ces supporters des bleus qu’ont pris l’avion pour aller à Doha assister aux matches, et le soir se tortiller le derrière dans des discothèques branchées, et s’enfiler sur les terrasses climatisées des palaces piscine jakuzi, servi par des hôtesses Bangladaises la bouche en anus de pigeon peinturlurée de rouge, des plats de la gastronomie de nos régions françaises importée au Qatar en avion cargo frigo et promener leur look de bobos friqués dans les galeries marchandes d’architecture futuriste des centres commerciaux de Doha…

    Merde à eux ! Merde à M’Bat(p)é ! Merde au dieu foot !