Articles de yugcib

  • Série Histoire de France sur France 2

    … Lundi 22 ocobre épisodes 5 et 6… Dans cette série documentaire « Notre Histoire de France » réalisée par Caroline Benarrosh, Yannick Adam de Villiers et François Tribolet, nous sommes – je me risque à le dire - « dans une Histoire pour les Nuls »… Mais l’on doit cependant reconnaître que, vu le niveau de culture historique actuel du commun des mortels dans ce beau pays de France, notamment chez les jeunes des écoles, des collèges et des lycées – mais également chez les 30/40 ans… L’on pourrait tout de même qualifier ce documentaire Notre Histoire de France , de « premier choix », ayant au moins le mérite d’esquisser « dans les grandes lignes » l’histoire de notre pays, la France…

     

    Je ne sais pas si c’est « si heureux que cela » d’introduire comme témoin des événements de chaque époque évoquée (comme s’il s’y trouvait au beau milieu des personnages de chaque époque en tant que narrateur présent sur les lieux) le comédien Tomer Sisley…

    Les passionnés d’Histoire ayant acquis -disons- « quelques connaissances » en regardant cette série documentaire « n’apprendront certainement rien de plus que ce qu’ils savent déjà »…

     

    Espérons que l’historienne Claude Gauvart, spécialiste du Moyen Age, tout comme Georges Minois ; se révèle « assez convaincante » dans sa tentative de rétablir la réalité historique du personnage mythique de Jeanne d’Arc – que tout croyant qui se doit et que même des gens ne mettant jamais les pieds à l’église – pense avoir été inspirée de Dieu par des voix entendues (ce qui fonde la légende)…

     

    Les « gros plans » sur les combats, sur les batailles, sont surtout à mon sens des « effets d’image » … Soit dit en passant je « rigole » en pensant à certaines personnes « sensibles » (plus des femmes que des hommes) « horrifiées » à la vue des « trucidages » à l’épée ou à la masse de fer… Qui néanmoins ne grimacent pas à la vue de la côte de veau servie dans leur assiette, ou à la vue d’une fricassée de cuisses de grenouilles…

    Et je « rigole » aussi en pensant à de jeunes dames et demoiselles ou même à des personnes d’une sensibilité exacerbée et « bizounoursique », horrifiées à l’évocation d’une tuaille de lapin ou de cochon pratiquée à la ferme dans la campagne des années 1950… Toutes ces personnes décidant de ne pas regarder « Notre Histoire de France » sur France 2 « parcequ’il y a trop de tueries et de massacres »…

     

     

  • Changement d'heure

    … Deux fois dans l’année, c’est une galère pour changer l’heure des montres digitales à quatre boutons poussoirs S1 S2 S3 S4, lesquelles montres offrent l’avantage d’être phosphorescentes la nuit quand tu te réveilles pour une raison ou une autre et souhaites voir l’heure qu’il est, avec appui sur S1 en haut à gauche

    Un appui long sur par exemple S3 sur la droite puis un appui sur S2 droite pour accès à « SET » puis régler avec S3 ou S4 droite, valider par nouvel appui S3… Quelle galère ! D’autant plus que selon le modèle de la montre – il y a 36 modèles différents – c’est jamais tout à fait la même procédure pour modifier l’heure !

    Lire le mode d’emploi, c’est une chose, mais comprendre et appliquer, c’est autre chose !

    Donc c’est bien plus simple avec les montres à aiguilles où il suffit de tirer le petit bouton sur le côté droit pour faire bouger l’aiguille des heures dans le sens voulu… Mais en général, les montres à aiguilles ne sont jamais phosphorescentes la nuit !

    Quant à l’horloge intégrée dans le tableau de bord de la voiture, c’est encore plus galère ! Du coup, je laisse pendant sept mois l’heure d’hiver si c’est en février que j’ai acheté la voiture.

    Et il y a encore l’horloge de la cuisinière électrique ou à induction…

    « Question à deux balles » :

    Est-ce que celui ou celle qui sait faire, se trompe jamais, n’hésite jamais, maîtrise en un quart de seconde – et, soit dit en passant, prend celui qui sait pas faire pour un con ou un demeuré, est plus intelligent qu’un autre ?

    Et, « question subsidiaire » :

    Qu’est ce que l’intelligence, domment définit-on l’intelligence, sur quels critères ?

    … Et, que dire du rat qui parvient à choper le petit bout de fromage fixé sur le crochet de la tapette sans que la tapette se détende et tue le rat… (Et idem pour la souris) ?

    … Et que dire de la poule qui se démène à coups de bec répétitifs pour choper du grain derrière un grillage en face d’elle, alors que le grillage n’a qu’un mètre de long et qu’il suffirait à la poule de contourner le grillage ? La poule qui, pourtant, te reconnaît au son de ta voix quand tu l’appelles !

     

     

  • Propagande dominante

    … Combattre la haine avec des manifestations, des haut-parleurs diffusant des discours, en invoquant les droits de l’homme, en faisant appel aux tribunaux, aux lois internationales, à la justice, en déplorant la vindicte publique et la vengeance…

     

    Combattre la haine par la littérature, par l’art, par la culture, par l’éducation, par ce que la civilisation apporte d’humanisme, de justice, de bienfaits, de progrès dans la société… C’est, tout cela, ce à quoi croient environ un milliard d’humains c’est à dire un milliard de personnes dans le monde qui ne sont pas au quotidien de leur vie, directement confrontés à la violence, à l’insécurité, à la précarité ; et qui pensent que les hyènes et que les chacals peuvent être apprivoisés…

     

    C’est là une propagande, que celle d’un milliard d’humains, qui consiste à résister à la haine, à tendre la main, à comprendre, à considérer, à reconnaître, à composer, à concilier… Qui, dans une réalité brute, une réalité crue et nue, est en train de détruire la société, la civilisation même, qui est parvenue tant bien que mal à s’édifier à travers les siècles, sinon à travers les millénaires…

     

    Et en face de cette propagande il en est une autre, sans doute encore bien plus puissante, et qui elle, s’adresse à beaucoup plus qu’un milliard d’humains, appelle à adhérer, à croire en son bien fondé et en sa mission ; c’est cette propagande là, la propagande islamiste – ou d’islamisation du monde…

     

    Une propagande disposant de moyens financiers et humains (troupes, groupes, agents infiltrés) colossaux, à tel point que bon nombre d’organisations internationales -même humanitaires- sont investies, infectées…

     

    Car il existe – c’est une réalité- une ligue islamiste mondiale dont le Qatar, l’Iran, le Pakistan, l’Arabie Saoudite, les Emirats, l’Algérie, l’Egypte, font partie…

     

    L’organisation du travail – salarié ou contraint forcé – ainsi que l’organisation de la société en l’absence de démocratie et de liberté et dans une soumission totale, dans l’islamisme, est pire que celle qui existait au Moyen Age, pire que celle, imposée au 21ème siècle par les dominants, possédants et décideurs de l’économie libérale capitaliste marchandisée mondialisée…

     

    La haine, « eux » les islamistes et leurs milices, leurs troupes, leurs combattants, leurs dirigeants – et leurs infiltrés – ils ne la combattent pas, au contraire ils la distillent, la propagent, l’encouragent, la prônent…

    Et la manière dont environ un milliard d’humains dans le monde combat la haine, produit les mêmes effets qu’une politique de collaboration avec l’ennemi et l’envahisseur…

     

    La violence armée en réaction à ce que produit la haine, fait, occasionne ce que l’on convient d’appeler « des victimes collatérales »… Et ce sont ces victimes là qui « posent problème », sensibilisent, orientent les opinions (comme par exemple en 1944 lorsque les Alliés ont rasé Caen pour déloger et éliminer les occupants nazis, toute la France encore pétainiste anglophobe condamnait les bombardements des Alliés en Normandie)…

     

    Le Hamas et le Hezbolah, c’est comparable au nazisme : ils sont, le Hamas à Gaza, et le Hezbolah au Liban, comme à Caen et au Havre en 1944 étaient les Nazis occupants, au milieu d’une population autant subissante d’un côté, qu’adhérente de l’autre côté…

    Et… Eliminer, tuer les dirigeants, ça désorganise, mais restent les combattants sur le terrain, livrés à eux mêmes et non dirigés, qui font autant de mal chacun isolément… (le côté positif qu’il y a dans l’élimination d’un dirigeant, cependant, c’est que les combattants peuvent ne plus s’entendre entre eux et se séparer en plusieurs groupes, ce qui décoordonne leur action et donc les affaiblit)…

     

    Bien sûr être Libanais et pas pro Hezbolah, ou être Gazaoui et pas pro Hamas, et avoir une jambe arrachée ou être déchiqueté et broyé dans l’écroulement d’un immeuble bombardé, c’est dramatique, c’est injuste… Mais y’a-t-il une autre solution que le recours à la violence ? Nous citoyens de pays de l’Union Européenne et des Etats Unis d’Amérique, dans notre confort et dans notre sécurité relative, éloignés que nous sommes des zones de guerre, juste des observateurs qui voient à la télé, nous ne sommes pas sur place, au Liban, à Gaza, en Israël… Confrontés directement à la violence, aux conséquences de la guerre…

     

  • Désespoir

    « L’habitude du désespoir est pire que le désespoir lui-même » ( Albert Camus )

     

    … Il faut dire que l’habitude du désespoir est entretenue par l’opinion dominante axée sur tout ce qui va mal et ne s’articule jamais sur ce qui va bien…

     

  • Prendre le temps ou non, de parler

    … Certaines personnes vous parlent quand elles ont le temps et d’autres libèrent leur temps pour vous parler. Faites la différence…

     

    Oui, mais la différence c’est aussi cela :

     

    Qu’elles vous parlent quand elles ont le temps ou qu’elles libèrent leur temps pour vous parler… Encore faut-il savoir de quoi il y a lieu de parler !

     

    Déjà, de vive voix et en face l’un de l’autre, c’est mieux (peut-être plus facile?) que par téléphone… En effet le problème à mon sens majeur de la communication par téléphone c’est « comment conclure, lequel des deux décide de la conclusion et comment » – en principe celui qui conclue c’est celui qui a appelé l’autre…

    C’est la raison pour laquelle « par mail » ou par « message rédigé » c’est plus aisé parce que pour conclure ça se fait tout seul sans problème donc sans tergiversation stressante (« à plus, bien à toi, bises, bonne journée » )…

     

    Savoir de quoi parler c’est pour ceux et celles qui ont entre eux des intérêts communs relatifs à des faits ou à des sujets de la vie quotidienne que l’on partage (jardinage, promenade, sortie, cinéma, télé, actualité du coin et ou du monde autour de soi, météo, « dadas » qu’on a en commun, projets de l’un ou de l’autre…)

    MAIS… Lorsque les intérêts, les activités, le mode de vie entre l’un et l’autre sont totalement différents et que l’un des deux n’est pas du tout intéressé par ce que peut faire l’autre dans la journée… Et qu’en plus y’en a un des deux qui revient à chaque fois sur le même sujet qui « pose problème »… Alors que tu aies le temps ou non de parler, ou que tu aies la volonté de bien vouloir prendre le temps « ça ne change pas grand’ chose ! » dans la mesure où cela n’incite ni l’un ou ni l’autre à parler (de vive voix ou par téléphone) – dans ce cas le silence s’avère « confortable » (et l’on s’y habitue très bien)…

     

    … « Il y aurait beaucoup à dire » sur le silence, sur l’absence, sur l’indifférence – supposée ou réelle – des autres, ou de tel autre en particulier qu’il soit un proche, une de ses connaissance…

    « Beaucoup plus… À réfléchir en fait… »

    Parce que cela n’a pas forcément quelque chose à voir avec une morale, avec un principe, avec du bien ou mal fondé – il faut considérer la réalité de telle ou telle situation de relation , avant de reprocher quoi que ce soit ou au contraire de louer, de « montrer en exemple un comportement jugé convenable »…

     

     

  • À Rive -de-Gier les notaires et les agents immobiliers ont les pieds dans l'eau

    … Les sinistrés de l’innondation du 17 octobre 2024 auront du mal à s’équiper en équipements de bricolage, en moquette, tapisserie, peinture, enduits, mobiliers, et de tout ce qui est nécessaire pour réaménager un salon, une cuisine, une chambre, un garage, dévastés ; puisque les grandes surfaces de bricolage ont elles mêmes, comme les notaires et les agents immobiliers, les pieds dans l’eau… Et en conséquence les sinistrés devront pour s’approvisionner en divers matériaux et outillages, se rendre dans d’autres centres commerciaux situés à une vingtaine, une trentaine de kilomètres, à la périphérie d’une ville où la rivière la plus proche coule en contre bas d’un plateau surrélevé… Sous réserve que leur véhicule n’ait point été emporté par les eaux ou devenu inutilisable, le moteur recouvert de boue…

    J’imagine dans les vitrines des agences immobilières à Rive-de-Gier, toutes ces annonces de logements, maisons, terrains, à vendre, acheter, louer…

    J’imagine également des propriétaires de maisons, d’appartements, à Rive-de-Gier, désireux de vendre leur bien plutôt par nécessité que par désir de réaliser une opération rentable…

    Il y a là « quelque chose de tout à fait surréaliste » - qui « laisse rêveur » et qui « interroge …

    Envisager de se fixer, de se loger, d’habiter, d’être propriétaire… Dans un centre ville proche d’une rivière ou d’un fleuve, ou dans une campagne plus ou moins urbanisée de lotissements et de résidences, inondable… Est-ce un projet, un rêve, une aspiration, un souhait « raisonnable » ? En effet, s’il faut dans l’avenir, tous les deux ans voire même tous les ans, « tout refaire »… Autant éviter et préférer se fixer, se loger, être propriétaire, mais sur un plateau surrélevé ou loin d’un cours d’eau ! Mais… Encore faut-il que l’endroit choisi pour construire et pour habiter, ne soit pas aussi, proche d’une forêt de résineux… Sans compter que, n’importe où en France, en Europe et dans le monde peut survenir à tout moment de l’année hiver ou été, une tempête dévastatrice, un ouragan, un cyclone, une tornade, une averse de grêle, un très violent orage… Sans oublier les zones sismiques à risque…

    La terre et la pierre peuvent-ils encore être des « placements intéressants » ? Et la fierté de posséder une belle demeure, bien arrangée, bien conçue, dans la modernité ; ne va-t-elle pas cette fierté, être « mise à mal » ?

     

     

  • Episode cévenol

    … Après les inondations en Eure et Loir, Seine et Marne, ainsi que dans d’autres départements situés au nord de la Loire, dont Paris et l’Ile de France entre le 9 et le 12 octobre 2024, voici à présent le 17 octobre et les jours qui suivent, cet « épisode cévenol » bien connu depuis déjà plusieurs années, qui sévit, causant de catastrophiques inondations en Ardèche, Lozère, département de la Loire… Ce sont, du jour au lendemain, de nombreuses habitations, commerces, entreprises artisanales, agricoles et industrielles, dévastées, des centaines de personnes sinistrées, évacuées, dont les maisons de nombreuses personnes sont devenues inhabitables vu les dégâts occasionnés…

    Et nous ne sommes qu’en automne, avec l’hiver à passer, plusieurs mois durant lesquels, inévitablement, d’autres intempéries dévastatrices vont survenir dont ces fameuses très fortes tempêtes hivernales avec des vents de plus de 120 km/h, des arbres et des toitures qui vont être arrachés… De la détresse en perspective pour des milliers de personnes, de familles…

    Que va-t-il en être de la capacité des assureurs à gérer et à indemniser ? Car ce sont à chaque fois, des centaines de déclarations de sinistre en l’espace de quelques jours, que reçoivent dans leur boîte mail, les sociétés d’assurance qui, chacune d’entre elles, pour leur secrétariat, travaillent « à flux tendus » devant répondre à toutes ces demandes, bien plus qu’il n’en faut par jour et par employé au secrétariat… Au point d’arriver à saturation…

    Et par la suite, pour les indemnisations, il faudra des mois, voire des années afin que les sinistrés puissent financer des réparations voire des reconstructions d’habitations, de telle sorte qu’en attendant les sinistrés restent plus de six mois avec la bâche des pompiers recouvrant la toiture dévastée. Et, se débrouillant par leurs propres moyens forcément limités, et devant donc opter pour du provisoire !

    Et toutes ces voitures emportées par les eaux, devenues inutilisables, des centaines de véhicules… Cela donne le vertige rien que d’y penser !

    Et tous ces maçons, ces menuisiers, ces couvreurs, déjà « en temps normal » si fortement sollicités, souvent des entreprises d’à peine 5 salariés, qui devront être « partout à la fois » ! Une gageure !

    Il y a bien – c’est une réalité de surcroît durable – une énorme et évidente disproportion entre d’une part la capacité des assureurs à gérer et à indemniser ; et d’autre part, le nombre exponentiel, croissant, des sinistres !

     

  • L'humour du jour, samedi 19 octobre 2024

    … Pour les croyants chrétiens et juifs, Yahya Sinouar, le chef du Hamas, ira en enfer…

    Tandis que pour les croyants musulmans, Yahya Sinouar ira au paradis…

    Mais alors « s’il n’y a qu’un seul dieu pour l’ensemble de l’humanité », que décidera ce dieu « de tous » pour Yahya Sinouar ? Il ne peut tout de même pas aller à la fois et en enfer et au paradis ! Une sorte de purgatoire ?

    Le dieu des chrétiens (celui des juifs ça doit être pareil?) dit « tu ne tueras point » (depuis, il faut le préciser, la loi dictée par dieu à Moise sur le mont Sinaï)…

    Le dieu des musulmans Allah fait dire par son prophète Mohamed dans le Coran « l’infidèle doit être tué » mais, paradoxalement le Coran appelle à l’amour et à la paix (ce qui sous-entendrait que l’on ne devrait pas tuer son prochain)…

    Bon… Pour résoudre le problème entre l’enfer ou le paradis en ce qui concerne Yahya Sinouar, je propose que l’on se réfère à un « dieu universel pour tous » qui lui, déciderait que Yahya Sinouar pour les siècles des siècles et de millénaire en millénaire, autrement dit pour l’éternité ; devrait être astreint à devoir souffrir d’une indigestion perpétuelle après avoir bouffé du couscous frelaté , et que, éternellement allongé et malade à en crever, il serait éventé par quatre jeunes femmes en hijab qui, à chaque éructation ou renvoi de couscous mal digéré, ôteraient chacune leur hijab et montreraient leurs fesses…

     

     

  • Agressivité des automobilistes en France

    ...Selon plusieurs études et enquêtes portant sur le comportement des conducteurs d’automobiles en France, le long des axes de circulation – routes et autoroutes- ainsi qu’en ville ( Le Figaro, Automobile Magazine, France Bleu, Le Monde, Sud Ouest, TFI info, Vinci Autoroutes…), de tous les pays de l’Union Européenne, la France est le pays où les automobilistes sont les plus agressifs, et il faut noter que ce sont les hommes dans 80 % des cas, qui ont des comportements agressifs…

     

    Cela ne m’étonne pas, vu la seule fréquence et en nombre, par exemple, des « coups de klaxon rageurs » - ou appels de phare en circulation sur les axes routiers – à la moindre gêne subie par un automobiliste en général seul au volant et le plus souvent un homme…

     

    Ce qu’il y a à craindre, ne peut manquer de se produire un jour ou l’autre – d’ailleurs cela a été constaté maintes fois lors d’altercation entre automobilistes – c’est qu’un conducteur habituellement paisible et peu enclin au coup de klaxon rageur, de rage et de fureur, dans une situation où il peut se trouver en face d’un accro de la klaxonade, frappe, tabasse, menace d’une arme, d’un objet lourd métallique, celui qui l’a pris violemment à partie…

     

    Comment en effet, demeurer « zen » en face d’un clampin accro de la klaxonade qui ne comprend pas que toi, tu hésites sur une direction à prendre, ni ce qui te porte involontairement à faire un léger écart, à rater une voie de présélection, à « galérer » en milieu urbain où tu n’as pas trop l’habitude !

     

    En général, l’agressivité au volant est le fait d’hommes – dont beaucoup de « rassis » - seuls dans leur véhicule, sûrs d’eux, arrogants et méprisant les gens moins habiles… Gens agressifs et arrogants et sûrs de leur « bon droit », du bien fondé de leurs idées, d’un individualisme et d’un égoïsme assez marqués, les mêmes que ceux qui crient, tempêtent, invectivent, critiquent, sur les réseaux sociaux, dans les propos qu’ils tiennent en lieux publics… Ce qui rend la vie au quotidien dès que tu sors de chez toi, invivable ; et qui fait que tu en arrives à ne plus rien oser dire, exprimer, au risque de te faire incendier !

     

    … Imaginons la situation suivante :

    Un couple de retraités dans une Fiat Panda ancien modèle s’avance hésitant, dans une rue d’un bourg ardéchois inondé, il y a environ 25 cm d’eau boueuse dans la rue…

    Derrière la Fiat Panda arrive un Duster Dacia conduit par un type âgé d’une trentaine d’années, qui peste contre ces retraités jugés trop lents… Coup de klaxon rageur du type de 30 ans…

    Question :

    Seriez vous solidaire de ce conducteur rageur dont la maison se trouverait en grande partie inhabitable, envahie par les eaux, à son retour chez lui ?

     

     

  • Deux dominances qui produisent deux ordres de pensée dominante

    … Aucune Gauche du monde ne s’insurge et ne combat à la fois et avec autant de vigueur contre les deux forces qui menacent autant l’une que l’autre, le monde tout entier -et dans le monde tout entier, le monde occidental…

     

    -L’islamisme radical, le Jihad, avec le Hamas, le Hezbollah, les Ayatolahs Iraniens, les milices, polices, combattants guerriers assassins et mafiosos islamistes … D’une part…

     

    -Les colons très grands propriétaires installés depuis des siècles sur des terres dont ils se sont accaparés par la force et dans la violence, assistés par leurs milices, leurs polices privées et soutenus par les Gouvernants ; les dominants et décideurs que sont les grands consortiums de l’économie marchande, de l’industrie, de l’agriculture, de la chimie, de la pharmacie, les géants du Web -dont Amazon… D’autre part…

     

    Toutes -ou presque- les Gauche du monde, pensent implicitement ou délibérément – et par une sorte de calcul morbide – que les islamistes seraient des « résistants » à un Ordre que ces Gauche contestent, seraient plutôt du côté des opprimés, des pauvres, des miséreux, des exclus, des méprisés, des oubliés, des gens qui subissent les bombardements, les évacuations forcées… Et qu’en conséquence seraient en tant que combattants et résistants et terroristes, la « voie de passage obligée et nécessaire » pour un monde qui mettrait à terre les colons, les dominants, les décideurs, les possédants… Qu’elles, toutes ces Gauche, en vérité et « sans barguiner », continuent à engraisser, n’arrêtant jamais de mettre « cent balles dans le Dada » et allant même jusqu’à penser que sans eux, sans leurs capitaux, sans leur pouvoir, « rien ne se ferait dans le monde : le travail, l’emploi, la consommation, une certaine aisance »…

     

    Résultat : ces Gauche ne combattent pas vraiment les colons, les dominants, les décideurs, de leur propre force, de leur propre volonté déterminée et avec les moyens de lutte qui sont les leurs… Et semblent s’en remettre à ceux qui prétendent les défendre, au point de concevoir de sacrifier leur liberté, liberté de mode de vie et de pensée…

    Nous sommes en face de deux grandes dominances aussi exécrables et prédatrices, aussi violentes et agressives l’une que l’autre, et aucune Gauche du monde ne conçoit d’éliminer les deux à la fois !

     

    Et il y a aussi -il faut le dire – de toutes les gauches à toutes les droites, dans le monde occidental, tous ceux et celles qui pensent que le « rempart » que constitue l’ordre auquel on adhère « pour notre sécurité, pour nos libertés, pour notre confort » (ordre représenté par les grandes puissances avec leurs armements) va nous protéger de ce que l’on craint tant, du terrorisme, de la pression, des « invasions barbares » (islamistes notamment)…

     

    Résultat, encore : nous sommes confrontés à deux dominances qui produisent deux ordres de pensée dominantes. En conséquence « si tu ne sautes pas pour l’un tu n’es pas de cet un ; si tu ne sautes pas pour l’autre tu n’es pas de cet autre » ! Et ça, ça me court le haricot ! Parce qu’on va finir -ça a déjà commencé- par se peler les deux calamités en même temps et à perpète ! Et que ça va continuer à faire des victimes partout où ça se bat…

     

     

  • Le Sacré Cœur

    Sacre c ur

    … En 1882 sur la butte Montmartre à Paris, avait commencé la construction du Sacré Cœur, que, personnellement (et je ne me cache pas de le dire), je considère comme « l’une des plus exécrables verrues » accrochées au corps de notre pays, la France…

    Cet ignoble lieu de culte, visité depuis la fin du 19ème siècle par des millions de touristes et qui fait l’objet de représentation « emblématique » de la « plus belle ville du monde » sur cartes postales, peut-être un milliard de fois photographié et qui voit arriver en ses alentours tout au long de l’année et surtout en été, chaque jour, je ne sais combien de « cars de vieux », de cars de Japonais ou de Chinois ou d’américains ( et si ça se trouve, des cars de Qataris), et que, autant « messeux » qu’ incroyants ou non pratiquants, viennent admirer… A été édifié « sur le sang des victimes de la Commune de Paris en 1871 » lors de la semaine dite « sanglante » du 21 au 28 mai 1871… Cette Commune que toute la France à l’époque honnissait et prenait pour un ramassis de racailles avinées, que Thiers a massacré, aidé par 130 000 soldats prisonniers des allemands, libérés en l’occurrence et envoyés en renfort aux Versaillais pourfendeurs des communards…

    Le Sacré Cœur, cette « verrue », je n’y suis jamais entré dedans de ma vie ! Et chaque fois que je vois « rue Thiers » et « Place Thiers » dans une ville de notre pays, j’enrage !

    Cela dit, la République (la 2ème) – oui je dis bien la République – en juin 1848, a fait feu à balles réelles sur le peuple qui manifestait sa colère, a tué des femmes et des enfants ! Envoyé ses soldats et sa police contre le peuple !

     

  • Pensée du jour, jeudi 17 octobre 2024

    … Les ennemis de l’opinion dominante, pour un certain nombre d’entre eux, sans doute – et à dessein- de plus en plus nombreux, n’ont plus ce statut d’ennemi qui était le leur lorsque la masse leur tombait dessus à bras raccourcis…

    Ils passent désormais sur scène, sont applaudis et ils bénéficient du statut d’amuseur public, de contestataire en vogue et de novateur plébiscité… Et les dominants n’ont pas de meilleurs alliés qu’eux !

    Reste que les ennemis de l’opinion dominante qui ne passent pas sur scène, ne sont jamais plébiscités – et qui deviennent de moins en moins nombreux, isolés qu’ils sont – quant à eux, lorsqu’ils ne reçoivent plus de coups, suscitent de l’indifférence, personne ne vient les chercher…

     

  • Hommage rendu à Samuel Paty

    … Il y a de quoi s’interroger au sujet de la réaction à l’ hommage rendu à Samuel Paty assassiné le 16 octobre 2020 par un terroriste islamiste, dans le cas d’ une classe de collège où la quasi totalité des élèves sont des musulmans issus de l’immigration maghrébine dont les parents ne veulent pas entendre parler de laïcité (oui, il y a des classes comme ça en France dans des « banlieues difficiles »)…

    Je doute fort que ces élèves là soient sensibles à l’hommage rendu à Samuel Paty, parce qu’à mon sens – et je ne dois pas être le seul à penser ainsi – ces élèves là – du moins les plus contestataires d’entre eux, de toute leur insolence et leur irrespect pour nos valeurs républicaines » entretiennent une « vision » communautariste exacerbée fanatisée axée sur leur revendication identaire en tant que musulmans… Qui leur est inculquée par leurs parents, leur famille, leur environnement religieux…

    Le message des autorités de la République Française et de l’Enseignement, relayé dans toutes les écoles, les collèges et les lycées ; s’impose donc, avec la commémoration et l’hommage à Samuel Paty… Mais il est certain que dans les classes dont les élèves sont en majorité des musulmans, pour la minute de silence, cela ne va pas être « si évident que ça » … Et je tremble pour l’enseignant motivé et « pétri de valeurs républicaines et de laïcité » mais qui ne va pas arriver à faire vraiment passer le message, et verra se dresser en face de lui, un « agité » contestataire refusant d’observer la minute de silence…

     

    … Et que dire d’un jeune non musulman, bien « blanc et baptisé catholique », qui, dans une classe de 3ème dans un collège, conteste l’hommage rendu à Samuel Paty ? Subverti qu’il est, ce jeune, par de l’idéologie d’extrême gauche mâtinée d’un islamisme anti occidentalisme ?

    Quel discours peut tenir un enseignant même formé à ce genre de situation, à un tel jeune ?

     

    « On n’apprivoise pas les hyènes et les chacals » - si ça arrivait ça se saurait…

     

     

  • L'audace

    … « Le troupeau, esclave de l’ordre établi, déteste celui qui ose danser au rythme de sa propre pensée…

    Ce n’est pas l’opinion qui le blesse, mais l’audace de l’individu qui refuse de se noyer dans la mer de la conformité, révélant ainsi la stérilité intellectuelle de la masse »…

    [ Marcel Proust ]

     

    … Frantz Kafka disait à propos des livres qu’en son temps l’on publiait et l’on lisait « un livre doit être un coup de hache sur la mer gelée »…

     

    … La « mer gelée » c’est aujoud’hui celle d’une conformité ambiante et généralisée des opinions, des modes de consommation, d’une culture marchandisée, des pensées dominantes canalisées par les puissances médiatiques…

    Le « coup de hache » est celui que bon nombre d’entre nous confond avec l’effet de langage et d’image qui impacte une clientèle, mais n’a pas de véritable grammaire et dont le sens demeure incertain…

     

    … Et la « stérilité intellectuelle de la masse » - si l’on peut admettre son existence en tant que réalité déplorable devant hélas être reconnue, elle est surtout, dans la société fracturée et inégalitaire où nous vivons, un « postulat » établi par les élites, par les privilégiés qui, vivant protégés et pour ainsi dire « barricadés », usent d’arguments qui justifient le « postulat » établi et énoncé comme une vérité intangible…

     

    L’audace de l’individu qui refuse de se noyer dans la mer de la conformité, dans la médiocrité ambiante, dans l’adhésion à l’ordre établi ; et qui dénonce avec vigueur la pauvreté intellectuelle de bon nombre de ses semblables ; consiste, non à blesser, non à stigmatiser, non à rabaisser ou humilier, non à agresser celui, celle, ceux qui le détestent, ceux dont il se sent différent… Mais à dénoncer et à, en même temps, tendre la main, trouver la manière de transmettre, de faire connaître ce qu’il sait, ce qu’il a acquis, ses interrogations, ses inquiétudes, sa pensée, ses réflexions ; et à essayer de partager ce qu’il porte en lui (et qui ne lui appartient pas parce que cela fait partie intégrante du bien commun à l’ensemble des êtres humains)…

    C’est « ça » l’audace !

    Un exercice difficile mais, aussi appliqué que l’on soit à le pratiquer, l’exercice on le rate, lorsque la colère l’emporte, ou la trop grande certitude d’être dans le vrai, dans le juste…

     

     

  • La différence entre Androïd - tablettes- et systèmes d'exploitation -Windows ordinateurs

    … En général – c’est juste une constatation- les mamies et les papys qui se servent d’une tablette plutôt que d’un ordinateur – fixe ou portable – (et pas seulement les mamies et les papys mais aussi les quinquas, les quadras, les trentenaires et les ados) sont assez rarement des « accro » de la bureautique, et privilégient dans leur activité sur la Toile, la production d’images, de séquences vidéo, le visionnage de films, les achats en ligne notamment sur Amazon, les réservations de billets de train et d’avion, les recherches pour des séjours de vacances, les discussions – brèves- (avec photo, vidéo, « scoop du jour ») sur les réseaux sociaux (davantage Instagram que Facebook), la messagerie instantanée avec photo ou vidéo par messenger, whatshapp… Ainsi que les jeux en ligne, sans compter une profusion d’applis pour les courses, pour le ciné, pour les sorties, qu’ils installent sur leur tablette android…

    Il faut tout de même reconnaître qu’Android autorise la bureautique (par exemple avec Office suite 8 – mais payant-) , mais c’est « galère » ! (j’ai essayé, j’y suis arrivé, mais c’est pas facile, avec la pression du bout du doigt – sélectionner, copier/coller, etc.)…

    Le « grand avantage », cependant, de la tablette par rapport à l’ordinateur portable, mais aussi par rapport au smartphone, c’est pour lire des e-books, pour voir des films, de la vidéo, des albums de photos… Car la tablette se transporte plus facilement avec soi (plus maniable) et que l’écran d’au moins 10 pouces, de la plupart des tablettes, est plus grand que celui d’un smartphone…

    Ce n’est pas pour autant « si probant que cela », mais l’on reconnaît ainsi, entre utilisation de tablette et utilisation d’ordinateur, à quel genre de personne on a affaire… Puisque, visiblement, les utilisateurs de tablette en général, sont davantage des « consommateurs de produits de loisirs et d’activités de la vie au quotidien » que des passionnés d’écriture ou de productions personnelles, que des créateurs, des imaginatifs, des artistes… Qui eux, ont forcément besoin de suite bureautique telles que celles pour les ordinateurs avec système Windows et outils « fichier, insertion, copier, coller, format, etc. …