Articles de yugcib

  • Les plaies de la Nouvelle Egypte" des "Nouveaux pharaons"

    … Ce sont

     

    -La radicalité des religions ( catholicisme, islamisme et autre ) et l’immiscion de la religion dans l’espace public et dans la vie en société

     

    -La récupération par des partis politiques dans des faits divers survenant, notamment des faits divers dramatiques et de violence

     

     

    -Les idéologies dominantes, discriminantes, moralisatrices et canalisatrices

     

    -Les communautarismes exacerbés, ostentatoires et revendicateurs

     

    -L’individualisme forcené axé sur le développement personnel dans la concurrence déloyale

     

    … Il y avait « dans le temps » (des Pharaons) sept plaies… Les cinq que je cite ne constituent pas une liste exhaustive…

     

     

  • Le film des souvenirs

    … Dans le film des souvenirs qui parfois se déroule – en accéléré, sans ordre chronologique, en diverses séquences pêle-mêle – me viennent en tête les visages des personnes que j’ai connues durant ma vie, depuis mon enfance, et qui aujourd’hui, pour certaines d’entre elles de ces personnes, ont soit disparu (mortes), soit – comme je dis à ma façon - « ont cessé d’être de mon cosmos » du fait de « quelque fracture relationnelle »…

     

    Oui, je vous ai aimé(e)s, vous m’avez aimé, ou je vous ai leurré, je vous ai déçu, je vous ai été infidèle, ou vous m’avez trouvé « bassinant », vous m’avez « zappé », vous m’avez quelque fois gratifié d’un bon coup de pied au derrière, vous avez infirmé mes propos, vous m’avez banni, je vous ai choqué, désagréablement surpris, vous n’avez pas cru possible que je puisse dire ou écrire ceci ou cela, le penser, l’exprimer ; il y a eu « mal donne », confusion, interprétation dans un sens ou dans un autre, erreur -ou l’erreur avait un petit air de vérité, comme le ver minuscule dans un fromage corse – on s’est mépris, alors on a « fracturé » on s’est plus vu…

     

    Visages oui, dont je me souviens (bon c’est vrai, sur les forums c’étaient, les visages, des « avatars »)… Ça m’a toujours déconvenu, les avatars (et les pseudos, surtout du genre « qui en jette »)…

    Visages sur lesquels je puis encore, après tant d’années, mettre un nom et un prénom (mais pas tous loin s’en faut, ma mémoire étant visuelle, les prénoms et les noms je ne les retrouve plus)…

     

    Ce qui est sûr, absolument sûr et certain jusqu’à la fin de mes jours sauf alzheimer, vos visages, chacun de vos visages, telle ou telle situation vécue de quelque nature qu’elle ait été, ce que vous fûtes, ce qui nous a lié, relié ou défait… Ça restera ineffacé, indécoloré…

    Disparu(e)s « par sortie de mon cosmos » (sortie avec perte et fracas) même depuis longtemps (plusieurs années), il m’est arrivé de vous rechercher sur la Toile (moteurs de recherche, Facebook pour voir si vous avez oui ou non une page)… Savoir ce que vous étiez devenu(e)s…

     

    Les « fractures relationnelles » (qui, il faut bien le dire, ne sont jamais ouvertes et causées par un seul acteur sur les deux – autant dire par chacun des deux mais dans une proportion variable) sont toujours des expériences « assez difficiles à gérer » …

     

     

     

  • La galaxie d'Andromède

    Andromede

    … La galaxie d’Andromède qui, soit dit en passant, se « rapproche » de notre galaxie la Voie Lactée (la fusion entre les deux galaxies ne se produira que dans 4,5 milliards d’années) est actuellement distante d’environ 2,5 millions d’années lumière du Système Solaire…

    Rappelons qu’à raison de 300 000 km par seconde parcourus par la lumière, la distance en kilomètres entre la Voie Lactée et Andromède est de 2,36 x 10 puissance 19 km…

     

    Ces 2,5 millions d’années lumière – en distance – nécessite une durée de temps de 2,5 millions d’années pour être parcourus.

    Mais ils ne sont, ces 2,5 millions d’années, que le temps perçu et appréhendé par les humains que nous sommes.

    Nous sommes en tant qu’humains en effet, totalement dépendants de la perception que nous avons du temps, et la réalité du temps est en conséquence celle que nous percevons en tant qu’humains.

    Cela signifie qu’il existe une réalité du temps qui n’a rien à voir avec la réalité que nous percevons, du temps.

    Cette réalité « autre » et donc, n’étant plus celle ni de l’humain ni celle d’un être vivant ; est sans doute celle de la dynamique de la physique quantique ( la physique du comportement des objets observables par les humains et par les êtres vivants – objets réels – au niveau de l’atome, du noyau, des particules)…

    Ce n’est donc, que dans cette réalité là, celle de la dynamique de la physique quantique (ou si l’on veut la « vraie réalité cosmique du temps » (qui ferait en quelque sorte que le temps n’existerait plus tel que nous le percevons) que se situent (et seraient atteignables) les galaxies proches de la nôtre (dont Andromède), les galaxies lointaines (celles distantes de plusieurs milliards d’années de nous) et même ce qui est le commencement de l’univers…

     

     

  • Tri sélectif

    … Dans les communes (par exemple dans les Vosges) où sont ramassés une fois par semaine les sacs noirs contenant des ordures ménagères, et une semaine sur deux (tous les quinze jours) les sacs jaunes contenant papiers et briques alimentaires et boîtes de conserve ; il est certain que les sacs jaunes se remplissent bien plus rapidement que les sacs noirs.

    En effet, vu ce qui est mis dans les sacs noirs d’ordures ménagères, des déchets alimentaires tels des os de poulet, arrêtes de poisson, os de jambonneaux par exemple, des matières diverses ne pouvant être brûlées ; d’autant plus que les déchets végétaux, de légumes et de fruits vont dans le composteur… Cela fait une quantité très minime pour les sacs noirs, et que pour ces sacs, un ramassage par semaine ne se justifie pas…

    En revanche pour les sacs jaunes, avec en plus des papiers, revues, prospectus, journaux, boîtes de conserve, briques alimentaires et bouteilles en plastique, depuis que l’on place aussi dans ces sacs jaunes les pots de yaourt, les pots en plastique, les emballages de produits alimentaires, cela fait qu’un sac jaune se remplit bien plus vite, et que pour les sacs jaunes, un ramassage seulement tous les quinze jours est insuffisant, et de loin !

    Il faudrait donc que ce soit le contraire : soit une fois par semaine les sacs jaunes, et une fois chaque deux semaines les sacs noirs.

    Le problème avec les sacs jaunes, c’est que, pleins au bout de 2 ou 3 jours, il faut les entreposer (mais où ? Dans le garage, autour de la maison, les pendre à une branche d’arbre à cause des petits animaux « farfouilleurs »?)… L’on imagine dans des foyers de 5 personnes, 2 adultes et 3 enfants, cinq ou six sacs jaunes pleins à entreposer quelque part…

    Et dans toutes ces communes où sont ramassés sacs jaunes et noirs, l’on ne trouve en un lieu dédié, sur le territoire de la commune, que des containers pour le verre, mais pas ou plus comme jadis, de grands bacs à couvercle jaune pour ce qui va dans les sacs jaunes…

    Résultat (pour beaucoup d’entre nous, pourtant en « bons citoyens » que nous sommes, respectueux des règles et soucieux de qualité environnementale – et en gens responsables) , lorsque le sac jaune est archi plein au bout de 3 jours, afin de ne pas devoir entreposer dans son garage ou à l’extérieur de sa maison (risque de déchirure et d’éparpillement par des animaux errants) plusieurs de ces sacs jaunes, alors on « fout tout » dans la poubelle à ordures ménagères, sacs noirs fermés dont le contenu est invisible…

    Il y aurait, éventuellement, la possibilité de brûler (à plus de 10 mètres de la maison) un jour sans vent et bien sûr pas en été par forte canicule, ses sacs jaunes… Mais encore faut-il à cette fin, que cela ne se voit pas de loin (la fumée montante, révélatrice)… Rappelons qu’il est interdit de brûler quoique ce soit dans son jardin ou sur son terrain…

     

     

  • Une question de vocabulaire

    … Ou de terme, ou de vocable employé… Et la manière dont est interprété ce qui est dit comme on le dit, ce qui peut traduire, exprimer la pensée, la vision que l’on a de la chose, et que peut révéler le terme utilisé, pouvant ainsi paraître irrespectueux, « limite », péjoratif… et donc, choquer, déranger…

    Par exemple dans le cas du couple homme femme, l’enfant dit « papa et maman »… Quel est alors, « terminologiquement parlant » l’équivalent de « papa et maman » dans le cas d’un couple homme/homme ou femme/femme , comment peut et doit dire l’enfant ?

    Si l’enfant est un enfant adopté par un couple d’hommes, je suis tenté de dire – à défaut de trouver autre chose – ou de faire dire par l’enfant « papa et papate » , et dans le cas d’une couple de femmes « maman et mamane »…

    Bon, c’est vrai, « papa et papate » non seulement ce n’est pas « original », mais ça peut être « mal interprété » (comme étant irrespectueux, limite, un tantinet moqueur – moqueur avec une petite pointe de discrimination)…

    Est-ce que « papa et papou », ou « papa et papon », ça serait plus « gentil », plus « acceptable ?

    Cela dit, il est quasi certain, que, dans une cour d’école en récréation, à Cergy Pontoise, à Créteil ou à Bobigny, vu la diversité des situations familiales, « papa et papate » d’un gosse qui a deux papas, ou « maman et mamane » d’un gosse qui a deux mamans, ça passe sans problème, c’est comme si une fleur est rouge ou jaune ou bleue, si on est brun, roux ou blond, si l’on a les yeux verts ou marron… Les copains du gosse ne vont pas se demander s’il aurait du dire « papa et papon » ou « papa et papou »…

    Mais dans une cour d’école d’une bourgade de la Creuse ou de la Lozère, la diversité des situations familiales étant moindre, « papa et papate » ça interpelle… Et pour un gosse de parents « très évolués dans le progressisme culturel sociétal et « à cheval sur la manière de nommer les choses », « papa et papate » ça « passe pas très bien, dit par le copain du gosse à deux papas, qui lui dit « ton papa et ta papate » …

    C’est vrai que, dans la terminologie du vocabulaire enfantin, n’ont pas été prévues les évolutions des situations familiales et donc n’a guère été introduit dans la liste des mots enfantins pour désigner ses parents, l’équivalent de « papa et maman » à faire dire par les enfants, lorsque les parents sont deux hommes, ou deux femmes…

    Ne reste donc – à défaut – que « papa et papate, maman et mamane, papa et papou, papa et papon, maman et mamine, maman et mamouna »…

     

     

  • Rapatriement d'enfants, de camps de prisonniers djihadistes

    … Il y a très peu de chances pour qu’un gosse de 6 ans, fille ou garçon, rapatrié d’un camp de prisonniers djihadistes en attente de jugement en Syrie, en Irak ou au Kurdistan ; devienne dans les années 2060/2070, en France, un grand penseur, un grand écrivain, un grand philosophe, un grand humaniste, prix Nobel de Littérature, un homme ou une femme dont les livres se diffusent et se vendent par millions d’exemplaires dans le monde, traduit en 190 langues dont l’Aborigène australien, et qui soit, de par sa personnalité hors du commun, un condensé ou un mélange (tout cela « relooké » 2060/2070) de Nelson Mandela, d’Albert Camus et d’Indoura Gandhi…

    … Mais il y a un peu plus de chances pour que ce gosse de 6 ans, fille ou garçon, rapatrié d’un camp de prisonniers djihadistes, une nuit, disons quinze jours après avoir été accueilli chez Papy et Mamy à Sainte Radegonde les petites orties dans le Vair-et-Luzon, égorge Papy et Mamy dans leur sommeil… (une nuit, non pas de pleine lune mais de nouvelle lune)…

    « On va dire » que, s’il faut évaluer la possibilité que ce gosse de 6 ans devienne un grand écrivain prix Nobel de Littérature, cette possibilité est de l’ordre de 1 chance sur cent milliard …

    Et que, s’il faut évaluer le risque que ce gosse égorge Papy et Mamy dans leur sommeil, ce risque est de l’ordre – en étant « très optimiste »- d’ 1 chance sur cent mille…

    Entre 1 chance sur cent milliard et 1 chance sur cent mille, il y a quand même une différence…

     

    … Notons qu’il y a de fortes chances pour que ce gosse de 6 ans rapatrié d’un camp de prisonniers djhihadistes, soit « mieux accueilli » (si l’on veut) dans une école du département de la Seine Saint Denis, ou du Val de Marne, que dans une école du département du Var ou de la Meuse… Et, qu’il en est d’ailleurs de même à propos d’un gosse de même âge qui dit, interrogé par ses camarades sur ses parents « Mon papa et ma papate », dans une école de Cergy Pontoise, ou « mon papa et ma papate » dans une école d’Aubusson dans la Creuse…

    Bien que notre société française, depuis le règne de Philippe Le Bel, ait beaucoup évolué dans le sens où l’on ne pend plus à des gibets, où l’on ne roue plus, où l’on ne brûle plus d’hérétiques sur des bûchers ; il n’en demeure pas moins que notre société – française, européenne et occidentale – fonctionne encore sur des « supposés » et des « possibles » qui, d’une manière ou d’une autre, précisément lorsque ces « supposés » ne sont pas des feux sans fumée, ont un impact sur nos modes de pensée et sur nos comportements… Et c’est là ce qui – du moins pour un certain nombre d’entre nous - nous fait prendre conscience de la longueur du chemin d’évolution restant à parcourir…

     

     

     

  • Le Qatar a perdu, oui, mais ...

    Qatar foot

    … Le Qatar n'a en fait perdu, vraiment perdu, que pour une minorité (une grande minorité, certes)... Il reste pour la coupe du monde de foot - au Qatar et ailleurs dans 4 ans - les centaines de millions de supporters, de spectateurs des grandes rencontres, chez eux à la télé, ou des quelques milliers venus de partout dans le monde, qui prendront des avions (160 vols de différentes compagnies aériennes sont prévus pour acheminer ces milliers de supporters) et qui ont les budgets leur permettant de se payer des chambres d'hôtel à Doha, à 400 euros la nuit minimum, et de pouvoir séjourner un mois à Doha, afin d'assister aux rencontres (voir le prix des billets d'entrée)...

    Reste aussi les sponsors, leurs campagnes de publicité, leurs offres et leurs gadgets, maillots, ballons, et autres "fanfreluches", toutes les grandes enseignes commerciales qui sont partenaires, soutiens, avec leurs banderoles, leurs héros les Bleus en effigies en carton, les jeux à gratter et loteries, promos etc... sous l'égide de cette coupe du monde...

    Oui tous ces gadgets, maillots et ballons et godaces et casquettes, tous fabriqués dans des pays où la main d'œuvre est bon marché 30 euro par mois 12 heures de travail journalier... Honte et grand bras d'honneur iconoclaste et insolent, à la "non minorité" faite de "pour cette coupe du monde au Qatar et je sais pas où dans 4 ans !

     

     

  • Voyage dans le temps

    … S’il y a bien un thème de science fiction auquel je n’adhère pas du tout, c’est celui du voyage dans le temps…

    Absolument aucun ouvrage de science fiction sur ce thème du voyage dans le temps, de tel ou tel auteur, si bien rédigé et si « plausible » qu’il soit, ne peut me satisfaire et donc ne peut m’inciter à en entreprendre la lecture.

    « Plausible » ? À mon sens, même pas !

     

    Le temps n’existe que perçu par un être vivant, ainsi pour l’humain il est mesurable, en secondes, en heures, en jours, en années, en siècles, en milliénaires, en millions d’années… Et peut être défini ou perçu comme étant passé ou présent (passé d’hier, d’avant-hier, d’il y a 10 ans, 50 ans, 3 siècles, 2 millénaires ; présent dans le jour vécu, dans l’instant ou dans l’heure qui précède le moment vécu).

    Le passé – d’autant plus lointain qu’il est, d’un an, de 10 ans, d’il y a 200 ans, 1000 ans – ne peut être « vu » que par le souvenir que l’on a du jour qui précède, de telle période en telle année de notre vie ; ou, pour ce qui est antérieur à notre vie, par la connaissance que l’on a du passé tel que des écrits, des documents, des images nous l’ont représenté.

     

    Pour un autre être vivant que l’humain, par exemple pour un chien, un chat, la perception du temps s’écoulant est différente, mais à vrai dire nous « retraduisons » le temps perçu par un chien ou par un chat, dans notre propre perception humaine du temps… Et pour le chien, le chat, tout être vivant, le temps est en quelque sorte « linéaire », il n’a pas de passé, seulement du présent… Un chien ne peut en effet faire la différence entre le hier et l’avant-hier, et tout ce qui lui vient en images dans sa tête (dans son cerveau) se situe sur un même plan (le coup de bâton qu’il a reçu il y a 1 an, la personne qui est venue en visite la semaine dernière à la maison)…

    L’humain est le seul être vivant à pouvoir faire la différence entre l’hier, l’avant hier, le demain, le il y a cent ans…

     

    Si l’on met devant un cheval un écran sur lequel on projette une bataille de Napoléon où l’on voit des chevaux éventrés par des boulets, le cheval n’ a pas dans sa tête (dans son cerveau) les images des événements historiques ; la mémoire du cheval comme pour tout être vivant autre qu’humain est une « mémoire linéaire » (sur un même plan d’ensemble) faite de tout ce qui est perçu par ses sens (la vue, l’ouie, l’odorat) et qui demeure comme « imprimé sur une feuille de papier »…

     

    Le temps, n’existant donc que tel qu’il est perçu par tel être vivant ou un autre, ou un humain ; ne peut qu’être vécu dans le présent (ou par l’humain, « vu » par la connaissance -écrite, imagée, documentée) mais jamais « revécu » (l’expression « remonter le temps » n’a pas de sens ou seulement le « sens » que l’humain lui prête – et qui n’en est pas un, de sens…

     

    Des scientifiques ont cependant postulé que « voyager dans le temps » pourrait être possible sous réserve d’une non intervention effective dans un événement du passé, par quelqu’un qui entrerait dans le temps où s’est déroulé l’événement.

    « Possible » mais comment ? Par la physique quantique, la physique de l’infiniment petit ou des particules, dont les lois sont différentes – et d’ailleurs en grande partie inconnues – de celles de la physique de la réalité observable, mesurable ?

     

    Enfin, à propos de science fiction en général (littérature, cinéma)… « À mon sens » n’est recevable que ce qui se fonde sur des faits, des principes, des vérités scientifiques établies -ou à la limite sur des hypothèses crédibles, sur des recherches en cours pouvant contribuer à la découverte de réalités, de principes, encore inconnus…

    Autrement dit, l’histoire narrée dans un roman, sa trame, son scénario, ses environnements, la technologie évoquée (imaginaire), tout cela « il faut que ce soit crédible » ! Sinon ça confine à la sorcellerie, à la magie, à l’invraisemblable, à la fable, et c’est « de l’imposture » !

     

     

  • La colère du vent

    … La colère du vent et plus généralement toutes les grandes colères de la nature, du ciel, des mers et du grand corps blessé de la Terre toute entière… Tout cela fait davantage de victimes, mis bout à bout depuis quelques années, par 10/20/30 à 100/150 de ci de là de par le monde, parfois par milliers… Et en fera sans doute davantage, de victimes, d’ici 2050… Que la Terreur de 1793/1794, que la Révolution Bolchevique d’octobre 1917, que les attentats terroristes Islamistes, que les 6570 travailleurs morts sur la chantier du siècle (le grand stade de Doha au Qatar), que les attentats anarchistes de la fin du 19 ème siècle, que toutes les peines de mort encore appliquées dans quelques états et nations (dont les USA, La Chine, l’Iran, le Pakistan, l’Arabie Saoudite, l’Irak…)

     

    En ce qui concerne la Terreur, la Révolution Bolchevique et la peine de mort, il faut tout de même reconnaître que quelques salauds « dans le lot », de « vrais salauds », ont été durant la Terreur « raccourcis », lors de la révolution bolchevique fusillés, et par la peine de mort pendus…

     

    Les grandes colères de la nature, de la Terre et du ciel, si elles feront – on s’en doute – disparaître, localement ou sur un territoire étendu, des gens comme vous et moi, qui ne sont ni pires ni meilleurs que d’autres ; elles feront – cela est certain – disparaître beaucoup de salauds « dans le lot », de « vrais salauds » dont entre autres quelques personnages richissimes, responsables et grands prédateurs, une quirielle de voyous, aussi, « dans la foulée »… Et encore quelques égoistes crasseux ou individualistes forcenés soucieux de leur confort de vie et de leurs possessions, acquistitions et statut dans leur entourage…

     

    Ne pouvant être le « terroriste » que l’on voudrait ou envisagerait d’être, il y a donc cet « allié de taille » - qu’aucune police ne peut combattre – qui est la colère de la nature… Et qui « fera à la place du terroriste que l’on voudrait ou envisagerait d’être, le travail, sans aucun risque de poursuite pénale »…

     

    Si la Terreur, si la Révolution Bolchevique, si la peine de mort, j’en déplore les excès, le caractère aveugle et les crimes commis pour « épurer » ; les replaçant et les considérant, la Terreur, la Révolution Bolchevique et la peine de mort, dans leur contexte historique, je ne les condamne pas car elles ont bel bien éliminé quelques vrais salauds… En revanche ce qui à mon sens est – en ce qui concerne ces « affaires là » - condamnable, vraiment condamnable, c’est l’oubli, c’est le déni et c’est aussi le retour sous des formes différentes, de ce que furent « ces affaires là »…

     

     

     

  • "L'épice" version planète Terre et donc pas Dune

    … Si notre dépendance au pétrole (carburants), au gaz, aux ressources énergétiques non renouvelables, en gisements dans le sous sol en divers lieux de notre planète ; est et demeure très importante, pour l’industrie, le transport, le fonctionnement de nos machines et appareillages, chaudières, etc. … (tout ce qui a un moteur thermique)… Notre dépendance à l’électricité est encore plus importante…

     

    L’électricité, c’est encore plus nécessaire, dans nos civilisations et sociétés technologiques désormais dépendantes des ressources énergétiques bien plus qu’elles ne l’étaient lorsqu’avant le 20ème siècle il n’y avait pas d’utilisation de l’électricité… Plus nécessaire que la fameuse « Epice » de Dune (série romanesque de science fiction)…

     

    Quand une tempête ou un événement climatique dévastateur prive d’électricité (poteaux, fils à terre et rompus) une zone d’habitat dispersé d’environ cinq à dix mille personnes – ou tant de foyers en centaines – il est encore possible d’avoir recours à des groupes électrogènes qui parviennent à alimenter par exemple, deux ou trois supermarchés, un hôpital, quelques maisons, des bâtiments administratifs, une école, quelques commerces, etc. …

     

    Mais lorsque la privation d’électricité impacte toute une région, plusieurs régions ou même pays, de vastes zones d’habitat humain avec grands centres commerciaux, et cela durant un temps long (au delà de plusieurs jours), alors c’est toute l’économie, toute la gestion d’une région, d’un pays, qui s’arrête, d’autant plus que la dépendance à l’internet et à tout ce qui fonctionne connecté, relié, à distance, est devenue absolument essentielle à nos sociétés technologiques (plus rien ne marche)…

    L’on peut par exemple imaginer ce que représente en tonnes, en dizaines de tonnes, les produits alimentaires congelés qui ne sont plus consommables au bout de 24 ou 48 heures… Et l’immobilisation, l’arrêt de tous les appareillages, des chaudières, des moteurs (là où entre de l’élecronique et de la nécessité de branchement à une prise)… Et de nos téléphones également tous désormais branchés à des prises électriques, et de nos batteries rechargeables ne pouvant plus être réalimentées…

     

    L’on imagine donc assez mal, des groupes électrogènes géants (super géants) disséminés un peu partout en des points stratégiques, avec tout ce qui relie par câbles et fils, d’énormes centrales électrogènes aux différents centres commerciaux et industriels, hôpitaux, écoles, administrations, maisons, résidences…

     

    Pensons, soit dit en passant, à une bonne partie de l’Ukraine dont le tiers des centrales électriques ont été détruites par des bombardements, des drones kamikases ! Des millions de personnes sans électricité, sans internet, où plus rien ou presque ne fonctionne (dont les chaudières pour le chauffage dans un pays où les hivers sont rigoureux)…

     

    Et l’information, tout ce qui est télévisuel et par l’internet, les réseaux sociaux, comment pourrait-elle alors nous parvenir, sans électricité ? Même la production des journaux (des grands quotidiens régionaux et autres publications à grande diffusion) est dépendante de l’électricité dans la technologie de production réalisation…

    Reste les piles, les accumulateurs, les batteries de voiture (solution électrolyte)… Qui ne sont pas renouvelables et donc s’usent…

     

     

  • "On ne subit pas l'avenir, on le fait" (Georges Bernanos)

    ... On fait l'avenir dans le présent, donc...

     

    Mais le présent c'est aussi le résultat de ce qui a précédé ce présent. Nous vivons actuellement le présent comme si ce qui l'a précédé ne nous concernait plus... Ou alors, nous avons, du moins certains d'entre nous qui avons connu ce qui précède, la nostalgie (le regret) de ce qui fut et n'est plus... Ce qui rend le présent que nous vivons, aussi peu apte à faire l'avenir, dans la mesure où nous subissons un présent dont on déplore les maux, un présent dans lequel nous refusons ou acceptons mal d’être les acteurs d'un changement qui s’opère, opposé qu’il est, ce changement, à ce dont on rêve ; un présent dans lequel nous demeurons essentiellement passifs et critiques, et qui forcément fera un avenir que nous subirons aussi...

     

    Pour ne pas subir l'avenir dans ce qui dominera, il faut donc déjà ne pas subir le présent dans ce qui domine ce présent.

    L'on cesse de subir les dominations du présent en se sentant relié à ce qui a précédé, mais sans la nostalgie (le regret) de ce qui a précédé, et sans cette idée que nous nous faisons d’un « retour nécessaire » de ce qui ne peut plus être ( ce qui dominait alors dont on disait que c’était « dans l’ordre des choses »)…

     

    Mais il y a encore le souvenir, le souvenir de ce qui fut, lors de la traversée des paysages, lors du parcours de tous ces chemins ; le souvenir d'une expérience difficile et douloureuse, ce souvenir dont on jalonne de bornes de pierre et de stèles, le paysage, le chemin présent…

    Comme pour "conjurer" un avenir que nous ne voulons pas de nouveau subir. Mais les bornes de pierre et les stèles, en prenant la dimension de monuments, sont des « érections sèches » parce que, des bornes de pierre et des stèles, ne sourdent qu’une poussière stérile, imprégnée de scories corrosives, entretenant l’illusion d’« érections fécondes »…

     

    Il faut donc ne pas avoir la nostalgie (le regret) mais à la place, la connaissance (connaissance de la vérité historique et événementielle)... Et en même temps, ne pas avoir le culte (ou la culture) de la "pensée comme il se doit en vertu de..."

    La nostalgie et le culte de la "pensée comme il se doit" , autant que l'oubli dans le sens où l'on ne se sent plus concerné, autant que l'abandon de ces assises fermes sur lesquelles on construisait, autant que ces racines enfouies dans le sol profond, que l'on a coupées à la "hache de la modernité et des modes nouvelles" ... Tout cela fait un avenir que l'on devra subir...

     

     

  • Charlie Hebdo 7 janvier 2015, Samuel Paty 16 octobre 2020, Lola 12 ans 14 octobre 2022

    Lola

    … Charlie Hebdo 11 janvier 2015 quatre millions de manifestants dans la rue dans toutes les villes de France (on se souvient de cette image à la Télé où l’on voit en tête de la manif de Paris du dimanche 11 janvier 2015, François Hollande, Anna Hidalgo son écharpe rouge autour du cou, Marisol Touraine en imper blanc bien ceinturé, et d’autres personnalités importantes, les responsables, élus, dirigeants des différents partis politiques, la main dans la main en tête de la manifestation)…

    Samuel Paty quelque jours après son assassinat le 16 octobre 2020 – en plein covid – lors de ses obsèques, combien de manifestants dans la rue et dans quelles villes de France ? Sûrement pas quatre millions (avec le masque anti covid sur le visage)…

    Et pour l’assassinat de Lola, 12 ans, à Paris, par 4 algériens (dont une femme) en situation irrégulière sur le territoire Français, ça les vaut pas, les 4 millions de manifestants dans la rue dans toutes les villes de France ? Et avec 4 millions de personnes dans la rue en défilés « Je suis Lola », autant de millions de « bons musulmans » respectueux des lois de la République Française, derrière Chem Eddine Hafiz le Recteur de la Mosquée de Paris ?

    Ah, ces « bons musulmans » - qui font partie intégrante de notre Nation Française et qu’il ne faut surtout pas discriminer et auxquels il ne faut surtout pas déplaire et qui (sauf « quelques uns ») ne sont pas fondamentalistes radicaux et de potentiels auteurs d’attentats islamistes ! Que ne se lèvent -ils tous pas « comme un seul homme » par millions tous ensemble, dans toute la France – avec leurs femmes en foulard ou en voile ou en abaya accompagnés dans les manifs, pour protester contre la barbarie et contre les tueries des terroristes

    On les attends, on les espère, en immenses défilés et manifestations, les six millions de musulmans de France, dans une protestation et dans une révolte contre les assassins auteurs d’attentats islamistes dont ils sont les premières victimes, et contre les imans des mosquées salafistes qui prêchent la haine des « infidèles » et la Charia !

     

     

  • Bateau de croisière

    Geant des mers

    … Du grand pont promenade commun aux Premières et aux Secondes, du bateau de croisière géant des mers, l’on aperçoit croisant au large à quelques miles de là, un bateau pirate…

    Un frisson d’épouvante passe sur les épaules des voyageurs qui se rendent à la soirée du commandant dans le grand salon.

    Mais le frisson d’épouvante pique au croupion les jolies dames et lumine d’un drôle de feu les têtes des costard-cravate et des rassis en jeans.

    Demain c’est dimanche avec office religieux en musique, piscine sur l’avant pont et pêche virtuelle au requin dans la salle de jeu.

    Et si, du bateau pirate, venait une torpille ?

     

  • Un bouclier aérien pour l'Ukraine

    … Un soutien massif et unanime de tous les pays de l’Union Européenne, des USA et des démocraties occidentales hors Europe et USA, s’impose afin de fournir à l’Ukraine une défense anti aérienne anti missile assez efficace pour arrêter et détruire tous ces engins de destruction et de mort lancés par l’armée Russe sur des villes, sur des civils, sur des infrastructures essentielles, sur le territoire Ukrainien !

    Que les « anti livraison d’armes » et que ceux qui pensent que livrer trop d’armement à l’Ukraine, réfléchissent à la question d’une défense anti aérienne efficace, qui est absolument nécessaire !

    Merde, est-ce que c’est « de la pensée unique » que d’être POUR (résolument pour) une défense anti aérienne de l’Ukraine (POUR majoritairement dans les pays de l’UE et USA et Occident) ?

    Quand la « pensée unique » a raison, elle n’est plus de la pensée unique !

     

    Bon, cela dit, on ne peut pas dire qu’elle a souvent raison, la pensée unique – notamment lorsqu’elle s’avère inique…

    Mais dans le cas d’un bouclier de défense anti aérienne pour l’Ukraine…

     

     

  • "co't co't co't bouaco't" !

    … C’est le 2 décembre 2010 que fut décidée par 14 voix pour le Qatar, contre 8 pour les USA, l’attribution de la coupe du monde de football au Qatar en 2022, qui débutera le 20 novembre et se clôturera le 18 décembre.

    La France, avec à l’époque en 2010 Nicolas Sarkozy président de la République et Michel Platini le « grand soutien » pour la tenue de cette coupe du monde au Qatar, a voté pour…

    De toutes les municipalités de grandes villes dont Paris, Marseille, Lyon, Bordeaux, Limoges, Reims, Clermond Ferrand, Périgueux… Et de toutes les grandes enseignes commerciales qui aujourd’hui boycottent cette coupe du Monde, avec de nombreux grands bars dotés de télévisions grand écran, et cette vague de contestation et de refus de suivre les matches, qui déferle sur les réseaux sociaux ; tout cela « dans l’air du temps comme une mode qui s’impose… Il n’y a pas une seule de ces municipalités, pas une seule de ces grandes enseignes commerciales, ni aucune vague de contestation et de colère, qui, à l’époque après le 2 décembre 2010, a réagi contre !

    Cette « bronca » médiatisée, qui se lève alors que « tout est plié », que le Stade du Siècle est construit, que 160 vols de compagnies aériennes vont acheminer au Qatar et dans les pays voisins, des dizaines de milliers de supporters, que 6570 cadavres de travailleurs sont enfouis sans sépulture sous des tonnes de gravats et de terre, que 50 % de nos concitoyens en France vont quand même suivre tous ces matches entre le 20 novembre et le 18 décembre, que les sponsors sont parties prenantes, avec leurs gadgets et leurs petits drapeaux, et que « si les Bleus gagnaient » ça ferait comme en 2018 dans les hourrah et la Fête avec réception à l’Elysée… Cette « bronca » pue l’hypocrisie !

    Et le pire, c’est qu’on recommence, qu’on réédite, avec l’attribution des Jeux Olympiques d’Hiver en 2029 à l’Arabie Saoudite !

     

    https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/le-choix-franceinfo/enquete-coupe-du-monde-de-football-2022-au-qatar-dans-les-coulisses-du-dejeuner-de-lelysee-qui-a-tout-fait-basculer_5387413.html