Articles de yugcib

  • Convaincre sans violence, sans contrainte, sans domination ...

    … La vérité n’apparait, au mieux, qu’au plus proche de ce qu’elle est, tout comme l’origine de l’univers vue au plus proche avec le télescope James Webb…

     

    Si tu es sûr de ce que tu penses, de ce à quoi tu crois, si tu veux convaincre -sans violence, sans contrainte, sans domination, sans pression – de telle manière que ton interlocuteur, de lui – même, librement, adhère à ce que tu penses, à ce à quoi tu crois, ce n’est possible que si ce à quoi tu crois, s’approche au plus près de la vérité qui est comme l’origine de l’univers vue au plus proche avec le télescope James Webb…

     

    Les pensées, les réflexions, les idées exprimées, en l’état actuel de l’évolution de l’espèce humaine, tout cela argumenté au plus juste, au plus vrai, sont de l’ordre ou du niveau, au mieux, au plus convaincant si l’on veut, de ce qui est visible en approche de l’origine de l’univers, par le télescope Hubble…

    Autant dire que ce qui est vu avec le télescope Hubble est aussi éloigné de ce qui est vu avec le télescope James Webb, que par exemple, un arbre situé à un demi kilomètre de nous, est éloigné de la ligne d’horizon…

     

    Ainsi avec les yeux humains qui sont les nôtres, les « yeux de la pensée » voit-on une partie de la vérité…

     

    Et, cette vérité de ce que nous exprimons, de ce que nous croyons et essayons de faire passer dans la pensée de quelqu’un ou de plusieurs personnes, cette vérité qui n’est que partielle (mais dont nous faisons une vérité entière) ne peut-elle qu’influencer… Ou soumettre… Sans pour autant convaincre… (dans la soumission intervient le caractère dominant de la personnalité de celui ou de celle qui fait passer son idée, sa pensée)…

     

     

  • Les limites de l'Intelligence Artificielle

    … Quand une intelligence artificielle sera-t-elle capable de dresser une liste des gens vivants (encore vivants) à telle date et en tel pays ou région ?

    Par exemple nous sommes le 28 janvier 2023, tu es né en 1954, tu veux voir apparaître sur une liste de gens nés la même année que toi, en 1954, ceux et celles qui seront en vie en 2054…

    Si tu penses que ton profil de santé ne te laisse que peu de chances d’arriver à l’âge de 100 ans, tu peux essayer, au lieu de 2054, mettons 2045, 2040, 2030…

    Tu essaies 2030, tu vois ton nom dans la liste, tu essaies 2040 tu vois ton nom dans la liste, tu essaies 2054 tu vois ton nom dans la liste…

    Je ne pense pas que tu essaies 2024 ou 2025 de peur que tu ne figures pas dans la liste…

     

    Bon, cela dit, aucune, absolument aucune intelligence artificielle – de QI de 1000 % voire de 10000 % - ne sera jamais capable d’une telle prouesse (établir une liste de gens nés en telle année, vivants encore en telle année distante de 30, 40, 50 ans plus tard)…

     

    Donc, l’intelligence artificielle a des limites…

     

    Et, partant des limites qu’elle a, elle pourra toujours « battre le cerveau naturel humain à la course et en capacité », mais parce qu’elle est, en fait, ce que produit le cerveau humain, par la pensée, l’idée, la conception, la fabrication (robots, logiciels), elle ne pourra jamais être autre chose qu’un cerveau artificiel créé par l’humain, doté de capacités supérieures au cerveau naturel… Mais qui sera cependant incapable d’intégrer dans son « mécanisme d’une extrême complexité fonctionnelle » si oui ou non un accident, une maladie n’interrompra ta vie dans un an, dans cinq ans…

     

     

  • Tout le bleu du ciel, de Mélissa Da Costa

    Tout le bleu du ciel

    … La plupart des romans de « Grand Public » sont en général des romans dont les contenus, les thèmes, les scénarios, les trames, sont des histoires, des situations, assez courantes, dramatiques, émouvantes, comiques pour certaines, ou « mélodramatiques » et qui, certes, selon les sensibilités de chacun, peuvent avoir un intérêt, et donc, des lecteurs en plus ou moins grand nombre selon l’impact du livre, de l’histoire…

     

    Récits, romans de fiction, de terroir, d’aventure ; sur fond historique ou d’actualité, ce ne sont, même s’ils sont « très bien écrits », jamais ou presque jamais des « œuvres de littérature » en ce sens que ces œuvres de roman, de récit, sont plutôt des ouvrages que des œuvres, c’est à dire des ouvrages d’écriture qui reproduisent tout ce qui ressort du monde, du quotidien de vie des gens, de la diversité des situations…

     

    Ce livre « Tout le bleu du ciel », de Mélissa Da Costa, en tant que « roman grand public », diffère par ce qu’il présente et raconte, de la plupart des autres romans de grand public…

    Il nous fait comprendre dans un récit vivant, dialogué, où sont présentés et décrits des personnages hors du commun pour certains et ordinaires pour d’autres (ordinaires parce conditionnés dans un ordre du monde fondé sur les apparences) ce qu’est l’autisme, ce qu’est l’atteinte dite d’Alzheimer, ces deux affections dans leur développement, leur manifestations, dans ce que cela implique pour les proches en particulier, ainsi que pour les amis et les connaissances…

     

    Mélissa Da Costa imagine un jeune homme de 26 ans, atteint d’un « alzheimer précoce »…

    Presque tout le monde en effet, croit que « alzheimer ne peut affecter que des personnes âgées de plus de 60 ans – surtout essentiellement des personnes de plus de 85 ans…

     

    Selon le neurologue Alain Robillard, une jeune femme, Violette Turgeon-Provost, 27 ans, serait – à sa connaissance en 30 ans d’exercice de sa profession et de son expérience de médecin neurologue – la seule personne au monde, de moins de 30 ans, atteinte d’alzheimer…

    Actuellement en France, cependant, 33 000 personnes de moins de 60 ans, souffrent (et vont mourir) de la maladie d’alzheimer, dont quelques unes âgées d’une trentaine d’années…

     

    Les quelques commentaires dont j’ai eu connaissance au sujet de ce livre, portent sur la relation qui s’établit entre Émile, le jeune homme de 26 ans atteint d’un alzheimer précoce, et Joane, la jeune femme qui accompagne Émile dans son voyage…

    Mais apparemment, ces commentaires ne semblent faire que peu de cas du petit Tom, autiste, qui meurt accidentellement à l’âge de 3 ans…

    C’est dire si l’autisme est encore en France, une affection mal connue, et surtout mal perçue…

     

     

  • Porosité de l'argent public et de l'argent privé

    Porosité de l’argent public et de l’argent privé

     

    … La porosité c’est passer ou aller de… à de… (D’une chose à une autre, sachant que ce qui passe d’une chose à une autre, est ce que contient quelque chose que l’autre chose ne contient pas et qui va donc le recevoir)…

    Une image simple :

    Lorsque tu donnes une pièce de un euro qui t’appartient, que tu retires de ta poche ou de ton porte monnaie, que tu mets dans ta main, pour mettre dans la main d’un indigent (un SDF, un mendiant) ; la pièce de 1 euro passe de ta main dans la main de l’indigent…

    Mais il s’agit là d’un acte volontaire…

    Mais il faut dire aussi que, si l’indigent te force, contre ta volonté, à lui donner la même pièce de 1 euro, il y a aussi passage de cette pièce de ta main dans la main de l’indigent…

     

    Qu’est-ce que l’argent public, et qu’est-ce que l’argent privé ?

     

    L’argent privé c’est celui que tu obtiens (de la monnaie ou de la valeur fiduciciare) en échange d’un service que tu rends (par un travail) ou d’une chose que tu as et que tu vends…

     

    L’argent public c’est celui qu’un certain nombre (très variable) de personnes, donne ou verse, en monnaie ou en valeur fiduciaire, à un organisme (un ensemble de personnes constituant cet organisme chargé de gérer, de redistribuer sous la forme de services dont chacun bénéficie, de redistribuer afin de satisfaire aux besoins d’une communauté de taille très variable de personnes)…

     

    Mais « obtenir en échange de ... » est soit, par l’acceptation de l’échange (de ce qu’il faut échanger), volontaire (et libre) ; soit forcé, lorsque ce qui est échangé l’est contre sa volonté, lorsque ce qui est demandé dans l’échange impose des contraintes difficiles à supporter…

    L’argent privé passe de personnes à personnes, ou de personnes à organisme. L’argent public passe d’un organisme à des personnes…

     

    L’argent, donc, public ou privé, est forcément, et naturellement, quelque chose de poreux, du fait de sa fluidité puisqu’il passe toujours de… à de ou de vers… à…

     

    Il est sans doute vrai de dire que la porosité entre l’argent public et l’argent privé, c’est du communisme, puisque l’argent privé, dans la politique économiste collectiviste communiste, devient par contrainte, de l’argent public…

    Mais, d’une autre manière, dans une économie libérale, capitaliste, il y a aussi porosité entre l’argent public et l’argent privé, puisque dans l’économie capitaliste, l’argent circule selon la règle de l’offre et de la demande liés à des occurrences et à des intérêts de chacune des parties en affaire, ces parties pouvant être des personnes entre elles, ou des organismes entre eux, ou des organismes et des personnes entre eux, sachant qu’en économie libérale les organismes ne sont « publics » que parce qu’ils concernent un ensemble de personnes ayant besoin des services qu’offrent ces organismes, mais fonctionnent en mode privé c’est à dire selon leurs intérêts, leurs objectifs de développement et en concurrence entre eux…

     

    Le communisme (ou le collectivisme), le libéralisme (ou le capitalisme) ainsi d’ailleurs que les communautarismes , les regroupements de personnes en fonction de besoins, d’attentes, d’aspirations communes à tel nombre de personnes) sont des systèmes (des systèmes de gestion, d’organisation de la société, avec des modèles, des règles, des ordres établis…

     

    Et tous les systèmes (économiques, sociaux, politiques ) quels qu’il soient, qui existent sur notre planète, ne peuvent fonctionner qu’avec de l’argent (ou de ce qui tient lieu d’argent, parce que si l’on supprimait la circulation de l’argent et l’argent proprement dit, il faudrait bien remplacer l’argent par quelque chose d’autre - le troc, l’échange, impliquant forcément et naturellement un passage de ce qui est offert vers ce qui est demandé, en échange soit d’un service rendu par un travail, soit d’une chose que l’on a dont l’autre ne dispose pas)…

     

    À noter qu’en l’absence de tout système (économique, politique, gouvernement) la règle naturelle de l’offre et de la demande, de l’avoir et du besoin, demeure exactement, immuablement la même… (la règle d’ailleurs, concerne tous les êtres vivants)…

     

  • Tableau comparatif

    Tableau comparatif 1

    … Il semble « assez évident » que « MdE » soit « milliards d’euros »…

     

    Au vu de ce tableau, les convaincu(e)s d’une « nécessité » de la réforme des retraites ( avec âge de départ à la retraite à 64 ans) peuvent-ils demeurer aussi convaincu(e)s qu’ils le sont… Non pas parce que, de « sensibilité politique proche de la droite ou des partis de la majorité gouvernementale » ils seraient « en accord »… (quoique…) … Mais par « pure conviction personnelle » (conviction fondée sur l’allongement de la durée moyenne de vie, sur la diminution du nombre d’actifs cotisants au régime de répartition instauré en 1946 en France) ?

     

    Outre l’allongement de la durée moyenne de vie (qui est cependant « discutable ») et la diminution prévisible du nombre d’actifs cotisants, l’un des principaux arguments avancé par les « tenants de la retraite à 64ans en France » consiste à faire observer qu’en Belgique, Allemagne, et autres pays de l’Union Européenne, les gens cessent leur activité professionnelle en tant que salariés à l’âge de 65 ou 67 ans selon les pays, et cela depuis déjà plusieurs années, et qu’ils n’ont par exemple en Belgique ou en Allemagne, jamais fait de grandes manifestations contestataires pour leur réforme des retraites, du moins si cela a pu être le cas, jamais comme en France avec autant de vigueur, de force, de résistance, allant jusqu’à des rassemblements de plus d’un million, voire de deux millions de personnes, en 1995, en 2003, 2010, 2019, 2023…

     

    Les Belges, les Allemands… Auraient-ils un rapport différent avec le travail, et de ce fait, considèreraient-ils le travail (la plupart des activités même les moins « valorisantes » comme une composante essentielle de la vie sociale, en somme plus qu’une simple nécessité pour subvenir à ses besoins ?)…

    En effet en tant que composante de la vie sociale, du lien social, le travail, oui, est essentiel… Et… Être un retraité – de 60, 62, 65 ans – inactif, passif, sans perspective de vie sociale, non impliqué dans un tissu associatif, ce n’est guère très heureux… (Du temps et de la disponibilité devant soi, mais pour en faire quoi?) …

     

    Au vu des dividendes versés aux actionnaires ( 259 milliards d’euros en 2021) , de la fortune des 42 milliardaires Français en 2022 ( 545 milliards d’euros), de la fortune des 500 plus grandes fortunes françaises en 2022 ( 1000 milliards d’euros)… Il paraît assez évident que tous ces milliardaires, grands patrons d’entreprises d’envergure, et que les actionnaires principaux et privilégiés dans les conseils d’administration et de gestion, n’ont que faire du bien être de leurs salariés (quantités ajustables, corvéables et payées au minimum possible), n’ont que faire du « lien social », de la « valeur travail »… Et qu’en Belgique ou en Allemagne, « ce ne soit pas tout à fait, à ce sujet, de la valeur travail et du bien être des salariés » - du moins pour leurs ressortissants- la même politique qu’en France…

     

    L’on voit bien, sur le tableau, que les 12 milliards d’euros de déficit prévisionnel du système Français des retraites, pourrait être largement et rapidement comblé par les mêmes 12 milliards repris sur les 259 millards d’euros de dividendes, ou encore, sur une reprise effectuée sur les 1000 milliards d’euros des 500 plus grandes fortunes françaises… Ce qui ne « changerait pas grand-chose au volume énorme de la fortune des plus riches »…

     

    Peut-être qu’en France, si la politique menée en matière de travail, de lien social, d’épanouissement de chacun dans son activité (tout cela nécessitant de l’investissement, et donc de l’argent pris sur les profits) était ce qu’il conviendrait qu’elle soit ; alors oui, peut-être, dans l’optique de l’allongement de la durée moyenne de vie et de la diminution prévisible du nombre d’actifs cotisants, un salarié Français en général pourrait envisager de cesser son activité à 65 ans… Ce qui est inenvisageable et ressenti comme injuste dans l’état actuel de la société française, du rapport au travail (aussi dur, aussi difficile) dans la réalité actuelle quotidienne pour des millions de gens en France, du peu de cas que font les milliardaires grands patrons, et leurs actionnaires, de la « valeur travail » et du bien être des salariés…

     

     

     

  • Les chiens

    Chiens

    … Je ne fais confiance à un chien qui n’aime pas une personne, que si ce chien appartient à une bonne personne…

    Le chien d’une bonne personne, il faut le dire aussi, lorsqu’il est méfiant, et que, visiblement il n’aime pas une personne, il s’éloigne de cette dernière et montre bien qu’il ne cherche aucun contact avec cette personne qu’il n’aime pas…

    J’ai souvent observé que les chiens peu aimables, agressifs pour certains, appartiennent à des gens de contact difficile, que l’on n’aime guère fréquenter…

    Ce sont ces chiens là, peu aimables, agressifs, que je n’aime pas… Doit-on se méfier de moi parce que je n’aime pas ces chiens, au point d’avoir donné à quelques uns d’entre eux lors de mes promenades, un coup de bâton ou de pied ? (Des chiens autour d’habitations non clôturées, libres de mouvement et non « rappelés à l’ordre » par leur propriétaire)…

    Un « bon chien », aimable, accueillant, confiant… Ne peut être que le chien d’une bonne personne… Je n’aime que ces chiens là, pas les autres, ceux qui grondent pour un rien, qui menacent, et qui souvent il faut dire « ont bien la tête qui correspond à leur caractère agressif »…

     

     

  • Pour qui en vérité, le monde d'aujourd'hui est-il fait ?

    … Quoi que l’on en dise sur les progrès réalisés, en matière d’ accueil, d’ aménagements et d’ accès à des lieux publics, à des locaux ; en assistance personnalisée, en appareillages de mobilité pour les déplacements, en faveur des handicapés…

     

    Et d’une manière générale si, aujourd’hui, les personnes vieillissantes fragilisées, les personnes de tous âges (dont des très jeunes) atteintes de maladies invalidantes, les personnes en difficulté de recherche d’emploi, en situation de précarité, de solitude, d’isolement, de souffrance, de deuil… Peuvent être « mieux aidées » qu’elles ne l’étaient, par exemple au début du 20ème siècle (et encore durant la seconde moitié de ce même 20ème siècle)… En France et dans l’Union Européenne…

    Il n’en demeure pas moins que le monde d’aujourd’hui tel qu’il est, tel que l’on y vit au quotidien, dans la consommation, dans les déplacements, dans les loisirs, dans le travail, dans la plupart des activités, dans la relation avec les autres (les liens de relations de nécéssité, d’amitié, familiaux, amoureux etc. …) est essentiellement et surtout conçu et organisé pour les personnes qui ne sont pas en situation de précarité, de souffrance, de solitude, d’isolement, de handicap, de maladie invalidante, de vieillesse et de fragilté, de mauvaise santé, de difficulté de recherche d’emploi, de logement, de « galère » comme on dit…

     

    Autrement dit – oui il faut le dire- le monde tel qu’il fonctionne, tel que l’on y vit aujourd’hui, est fait pour des gens de 20, 30, 40 ans et si on veut jusqu’à 60/70, en bonne santé (et qui sont « bien foutus » de corps, de visage, d’allure) qui ont un travail, des amis, des connaissances, une « vie sociale en somme », et qui « consomment » (alimentation, équipements, loisirs, services)… Des gens que l’on voit, le long des grands chemins de randonnée, à pied ou en vélo tout terrain , qui vont au restaurant, au cinéma, au théâtre, dans les lieux de détente…

    Pour s’en convaincre de tout ce que je dis là, il suffit de se rendre par exemple dans un DECATHLON et de parcourir les allées de ce magasin, les rayonnages, les produits, vêtements, équipements proposés… « Ça donne une idée » de « pour qui le monde est fait, finalement – enfin, « essentiellement fait »)…

     

    Disons le aussi : les personnes entrant en situation de précarité, de maladie, d’isolement, de handicap, de solitude, de perte d’emploi… Qui auparavant, se trouvaient en bonne santé et avaient « une vie sociale », des amis, des connaissances, voient en général se rétrécir assez considérablement leur cercle de relations (les amis « se font la malle »)…

     

    Alors, de grâce, les personnes qui jouissent encore d’un « capital de santé, de relative bonne fortune », arrêtez de « faire un caca nerveux » au sujet de ce qui vous est désagréable à devoir subir dans votre quotidien de vie mais qui ne remet pas fondamentalement en cause votre « capital de santé et de relative bonne fortune » encore intact en dépit de quelques accrocs ! »

     

    Bien sûr on peut toujours dire, du monde d’aujourd’hui, des inégalités de condition des uns et des autres, que ce monde a été le même par le passé, de tous temps…

    Mais sans doute de nos jours, les innovations technologiques et les modes de vie et de consommation, les environnements sociaux, ont « changé la donne » ou « redimensionné » les inégalités dans un espace de relation différent des espaces de relation précédents…

     

     

  • Réflexion sur l'Art et sur la Littérature

    … Lorsque l’Art et la Littérature – et c’est souvent le cas - « marquent le pas » sur les traces des uns et des autres, traces que laissent les différentes et si nombreuses représentations du monde, par les images et par les mots que ces représentations nous donnent et suscitent en nous, et ne font en somme que reproduire ce qu’il ressort du monde, à savoir les faits, les événements, les points de vue, les idées, les opinions, les explications de chacun, tout cela dans des débats, dans des échanges et sous des angles de vues aussi variés que possible, et quand bien même ces points de vue, ces explications, ces idées, de chacun, ne se fonderaient pas seulement sur ce qui en premier lieu se perçoit… L’Art et la Littérature alors, « marquant ainsi le pas » sur les traces de ce qui est, de ce qui se fait et s’exprime communément ou singulièrement, ne sont plus dans la vocation qui est la leur, celle d’une représentation des choses, des êtres et de ce qui se voit, sans explication, sans modèle référent ou proposé, sans réponse rassurante et confortable…

     

    La vocation de l’Art et de la Littérature c’est de briser ce qui est figé en nous et autour de nous, sans pour autant nous laisser voir si ce qui apparaît, une fois brisé ce qui fige, indique une voie de passage vers une destination précise, ou dans un dessein déterminé…

     

    … La création pure, libre, se réalise sans l’intention de montrer ou de prouver quelque chose, sans explication donnée, ne se réfère à rien, ne propose et surtout n’impose aucun modèle ; son cheminement et son évolution ne portent pas ses pas sur les traces déjà faites, mais sur ses propres traces…

    La création pure, libre, est faite de mots, d’images, de marques, de signes, de compositions, de réalisations qui ne sont pas des affirmations, ni non plus, des négations, et dans la création il y entre du questionnement sans réponse, de la recherche et de l’essai permanents…

     

    Néanmoins, la création pure et libre, totalement libre, de même que tout ce qui s’accomplit dans l’univers, ne se réalise que selon des règles, des principes immuables, des lois naturelles, en somme selon une « mécanique » ou une « grammaire » régissante, structurante, organisante…(Et d’une extrême complexité)…

    Et c’est le niveau atteint, de connaissance de ces règles, principes, lois, qui rend le réalisateur plus proche ou plus éloigné de la création pure…

    Ce qui s’éloigne le plus de la création pure, c’est la représentation sans règles ou avec des règles « arrangées », mais c’est aussi la création pure elle-même qui s’est affranchie des règles universelles ou qui ignore ces règles universelles… Et qui est donc désordre, incohérence…

     

     

     

  • Quel est le suicide le plus improbable ?

    … Sans doute celui d’un combattant d’une unité Wagner. Un Wagner en 2023, tout comme un SS en 1944, en effet, ne se suicide pas…

     

    Cela dit, au sujet de ces oligarques russes qui se seraient donné la mort, Mikhail Watford retrouvé pendu dans son garage, Ravil Maganov tombé de la fenêtre d’un hôpital, Yuri Voronov noyé dans sa piscine, ainsi que plusieurs autres « mystérieusement disparus », vraisemblablement aucun ne s’est réellement suicidé. « On » les a « suicidés »…

    En somme des « racailles de haut vol » ont été « suicidés » par d’autres « racailles de haut vol »…

     

    Cela dit, encore, je ne vois pas comment pourrait se terminer la guerre en Ukraine…

     

    D’un côté tout cet armement de plus en plus conséquent, de plus en plus lourd et livré en quantité, aux unités combattantes ukrainiennes par l’Union Européenne et par les USA (sur le terrain, sur le front des combats, il faut, pour utiliser tout ce matériel, des hommes, des soldats Ukrainiens, et donc puiser sans cesse dans un « réservoir humain » qui n’est pas inépuisable)…

     

    Et d’un autre côté, celui de l’armée russe, des réserves en armements et en munitions (missiles notamment) encore assez importantes pour finir par réduire toute l’Ukraine en champ de ruines – bien que ces réserves en armements et en munitions ne soient pas inépuisables…

    Du côté de l’armée russe – en nombre de combattants sur le terrain – de quel « réservoir humain » peut-on vraiment parler, sachant que le pouvoir poutinien en dépit de la police et des moyens de pression sur la population dont il dispose, ne parvient pas à mobiliser « des millions » d’hommes, ne parvient pas non plus à encadrer quelque cent mille combattants sur le terrain de guerre (les mieux encadrés étant ces unités Wagner)…

    Reste pour l’armée russe, cette réserve en armements lourds et en missiles, de destruction massive, qui, pour le moment ne semble guère trop s’épuiser… Et qui a ses sources d’approvisionnement auprès de marchands d’armes (d’états marchands d’armes à vrai dire)

     

    Une grande interrogation demeure entre d’un côté tout ce que fait peser l’ensemble des destructions faites par les Russes sur tout le terriroire Ukrainien, et d’un autre côté tout ce qui accroît en apport de matériel de guerre, la puissance et la résistance de l’armée ukrainienne…

    Forcément, à force de destructions de centres énergétiques, de bâtiments, d’habitations, d’industries, de voies de communication, de populations, en réduisant peu à peu l’Ukraine à l’état de ruines, comment avec ses unités combattantes si pourvues qu’elles soient, l’Ukraine peut-elle s’en sortir ? (Dans les ruines et quand il n’y a plus d’électricité ni de connectivité à distance ni de passages praticables ni de sources énergétiques, comment peut s’organiser une armée sur un champ de bataille d’une longueur de plusieurs centaines de kilomètres ?)

     

    La seule « solution » envisageable serait que, sur le territoire même de la Russie, des destructions importantes puissent être faites, de centres énergétiques, de bases militaires, de centres industriels, de zones d’habitation, comme en Ukraine… Autrement dit de donner les moyens à l’armée ukrainienne de porter autant atteinte au territoire et aux installations russes…

     

    Objection à tout cela (aide sans cesse accrue à l’Ukraine)  : une guerre mondiale…

    Mais une guerre mondiale, on y est déjà engagé (il ne manque plus que la guerre portée sur le territoire russe et sur le territoire de l’union européenne)…

    Sur le territoire de l’union européenne deci delà, l’on entendrait le bruit des bottes des Wagner !

    Bon sang, avec la technologie ultra sophistiquée de répérages, localisation etc. … de la guerre moderne, comment n’arrive – t – on pas à les anéantir complètement, ces unités Wagner, ces assassins tortionnaires pire que les Nazis et les SS, recrutés parmi les pires criminels sortis des prisons et des camps en Russie ?

     

     

  • Que se passerait-il si ... ?

    … Supposons qu’au collège de Golbey dans les Vosges, où était harcelé Lucas âgé de 13 ans, à cause de son homosexualité ; une jeune fille du même âge, musulmane, aurait pu être harcelée pour port sur la tête, le cou et les épaules, du foulard islamique…

     

    Déjà, pour faire cette supposition, il faut imaginer que les autorités du collège, dans un climat social de crispations identitaires, communautaristes et d’appartenance religieuse, soient dans l’incapacité de faire appliquer la loi (officiellement dans un établissement scolaire en France – école primaire, collège, lycée – le port du tchador, pièce de tissu couvrant les cheveux et les épaules, est interdit)…

    Et qu’en conséquence, une jeune fille musulmane de 13 ans ne soit pas « rappelée à l’ordre » par le principal du collège ou par un professeur, à l’intérieur du collège, en cours de récréation, salle de cours ou de sport, parce que cette jeune fille porte le tchador pièce de tissu couvrant les cheveux et les épaules. ( L’on peut même imaginer car « on en est bien jusque là », le voile islamique complet, porté par cette jeune fille musulmane)…

     

    Il faut aussi imaginer que dans ce collège, il n’y ait que, sur une centaine de jeunes filles, deux ou trois d’entre elles, qui, de religion musulmane, s’affichent en salle de cours ou de sport et en récréation, portant le tchador…

    Et que, de même que l’homosexualité serait mal acceptée ou brocardée par une majorité d’élèves et de leurs familles ; de même le fait d’être de religion musulmane et de revendiquer le port du foulard islamique, serait tout aussi mal accepté…

     

    Dans la réalité, dans ce qui est vécu au quotidien (et observé), que ce soit à l’école ou ailleurs, dans le travail, dans une activité réunissant plusieurs personnes, l’on est, dans la société française d’aujourd’hui, bien plus souvent persécuté quand on est homosexuel masculin, que quand on est jeune femme musulmane portant le foulard ou le voile islamique… C’est là une réalité indéniable !

     

    Pour en revenir à ce qui s’est passé dans ce collège de Golbey dans les Vosges, le suicide de Lucas, harcelé depuis des mois à cause de son homosexualité… Que se serait-il passé, quel aurait été l’impact médiatique, si une jeune fille musulmane dans ce collège, portant le foulard islamique, harcelée en permanence, aurait fini par se suicider ?

     

    Déjà, est-ce que cette jeune fille musulmane aurait été jusqu’au suicide ? Et si vraiment elle aurait été jusqu’au suicide, quelle « lecture » de son suicide auraient pu faire les autorités du collège, de la Région, du Gouvernement, les familles concernées et les élèves du collège ?

    « Soyons clair » cependant : une jeune collégienne musulmane portant le foulard islamique ne subit presque jamais de harcèlement (juste selon le cas « quelques pressions ») et, si vraiment cela arrive qu’elle soit harcelée, aucune ne s’est encore suicidée…

     

    Toute la question est de savoir si un jour cela se produit, qu’une jeune collégienne musulmane se suicide à la suite d’un long harcèlement parce qu’elle porte le foulard islamique ; quel sera l’impact sur les médias, sur l’opinion publique, sur les autorités en place, de la Région, du Gouvernement, d’un tel acte ?

     

    Il serait « intéressant » ( « intéressant façon de parler ») de se pencher sur cette question des « retombées » dans ce cas…

    Ce que je « pressens » alors, en rapport avec l’état actuel de notre société, qui pourrait se manifester … Il me serait assez difficile de l’exprimer…

     

     

  • Diversité dans la condition humaine

    … Dans la diversité de la condition humaine de chacun, plus encore que la différence de condition d’existence au quotidien qu’il peut y avoir entre les riches et les pauvres, il y a la différence de condition d’existence au quotidien, liée à l’état de santé de chacun…

    Nombreux sont ceux et celles dont l’état de santé est si déterioré, que presque aucune activité ne leur est possible, et cela même en dépit des progrès technologiques, médicaux…

    Entre autres différences de condition d’existence au quotidien, il y a celles liées à l’âge – que ce soit à 25/30 ans, à 50 ans, à 80 ans - ; celles liées à l’environnement social, familial, en lequel chacun se trouve, celles liées à l’éducation et aux formations que chacun a reçu ou non, de l’enfance jusqu’à l’âge adulte ; celles encore, liées à tout ce qui peut être acquit par chacun selon ses capacités cognitives, ses facultés naturelles, son activité, son travail…

    Et, il faut bien le dire aussi, une autre condition : celle de la chance que l’on a ou pas, à tel ou tel moment de sa vie.

    Qu’est-ce que la chance si ce n’est une opportunité de rencontre et d’introduction dans un milieu favorable, entre autres événements heureux et inattendus pouvant survenir dans la vie de quelqu’un ?

    La condition de chacun, lorsqu’elle est celle de qui peut s’activer, travailler, réaliser quoi que ce soit selon ses facultés, et donc être « heureuse » (à plus vrai dire « acceptablement heureuse »), n’évolue jamais en « beaucoup mieux » (selon ce dont on rêve), sans un minimum de chance, sans un minimum de conditions et événements et rencontres survenant et ayant des conséquences heureuses et durables…

     

     

  • Ces unités Wagner

    Wagner

    … Ces unités Wagner, de combattants dans l’armée russe, me désolent, à plus vrai dire m’horrifient ; je les assimile à ce que furent les SS, les commandos de la mort, de la seconde guerre mondiale…

    Faut-il, lorsque certains d’entre eux lors d’un engagement sur le front de guerre en Ukraine, sont capturés, appliquer à leur égard, les lois de la guerre ?

    « Pas de quartier ! » donc pas de prisonniers pour ces Wagner pris ou blessés !

    Si nous étions envahis par une espèce extraterrestre très agressive, nos lois de la guerre telles qu’elles ont été définies par 196 pays, ne pourraient pas être appliquées à l’égard des envahisseurs extraterrestres !

    Ces Wagner, tout comme les SS, n’ont que faire des lois de la guerre !

    Wagner = SS !

     

     

  • Tout ce qui se décline en isme

    … Tout ce qui se décline en « isme »

     

    Féminisme

    Libéralisme et son corollaire néo libéralisme

    Communisme

    Athéisme

    Sionisme

    Anarchisme

    Pluralisme

    Véganisme

    Égalitarisme

    Nihilisme

    Hédonisme

    Populisme

    Évolutionnisme

    Progressisme

    Messianisme

    Stylisme

    Élitisme

     

    … Tout ce qui se décline en isme – la liste ci dessus est loin d’être exhaustive – va contre le monde, contre les gens, contre la vie ; dresse les classes sociales, les sexes, les religions, les partis, les nations, les générations, les uns et les autres entre eux, sans discontinuer, dans tous les « paysages » ou passages de l’Histoire…

     

    … Tout ce qui se décline en isme défait le monde.

     

    Aucune civilisation n’a survécu aux ismes, toutes ont disparu, les unes moins rapidement que d’autres… Mais pour toutes, les venus d’au delà leur « limes », étaient des barbares, des envahisseurs, des indésirables (dont beaucoup d’entre eux par « la force des choses et des événements » ont été enrôlés, enrégimentés, intégrés et, pour ainsi dire « enneminisés dans la place »)…

     

    Autour des ismes, toutes les passions trouvent leurs raisons de s’exprimer et de s’assouvir au plus fort des exaspérations, des révolutions…

    La conscience, des uns ou des autres, d’être « dans la bonne cause »

     

    … Juste une observation que peut faire aussi bien un scientifique des choses de la vie et de la terre, que l’homme ou la femme du commun :

    Rien dans le monde non humain ne fonctionne avec des ismes…

     

    Mais avec nos ismes, le monde non humain on le fait disparaître, nous le monde humain le dernier arrivé sur la terre… Et le dernier à se maintenir avant de partir lui aussi…

     

    Si, cependant, les cloportes et les punaises survivent, pourquoi pas l’humain (pour ce que l’humain a de commun et de sans ismes avec les cloportes et les punaises) ?

     

  • Réforme des retraites (réflexion)

    … Il est à mon sens, indécent, que des personnes ayant cessé leur activité professionnelle, récemment ou depuis plusieurs années, et n’étant plus dans la réalité au quotidien, du monde du travail ; fassent savoir autour d’elles qu’elles sont pour le passage à 64 ans, de l’âge de départ en retraite…

    Ce sont les actifs, ceux et celles qui exercent des métiers, occupent des emplois, qui sont concernés et peuvent dire s’ils sont pour ou contre le passage à 64 ans de l’âge de départ en retraite, argumenter, débattre, exposer leurs raisons…

    Que vaut l’avis d’une personne de – mettons 70 ans – qui a cessé son activité âgée entre 55 et 60 ans, et de surcroît perçoit une pension de retraite d’environ 2000 euro par mois, qui se déclare publiquement favorable au passage de l’âge de départ en retraite à 64 ans ?

    Le silence, sur cette question de l’âge de départ à la retraite, de la part de cette personne, me semble la meilleure attitude à adopter (ou du moins, préférable à adopter)…

     

     

    … Il faut reconnaître – et là je pense que beaucoup seront d’accord avec moi – que les problématiques de la vie au quotidien ne sont plus les mêmes pour les retraités, que pour les actifs (les problématiques liées à une activité rémunérée, avec un chef, un patron, un supérieur hiérarchique autoritaire, des objectifs de développement, des horaires, une durée de présence au travail, des déplacements aller retour pour se rendre au travail, la dificulté d’obtenir des congés à sa convenance, etc. … Plus rien de tout cela en effet, pour un retraité!)… Donc une vie au quotidien qui pour un retraité n’est plus du tout la même (disparition des contraintes et obligations liées à un emploi rémunéré, en conséquence, bien plus de liberté d’organiser sa vie, ses activités, ses loisirs, que pour un salarié)…

    C’est la raison pour laquelle un retraité qui serait « pour » la retraite à 64 ans (voire 65) ça me surprend ! Ou alors il faut que ce soit pour des « boulots » qu’on aime faire, où il n’y a pas toutes ces problématiques de contraintes, d’horaires, de relation avec des chefs, de trajets en bagnole, train, bus, métro… Qui finalement sont les problématiques de 9 salariés sur 10…

     

    … Je n'arrive pas à comprendre la nécessité de cette réforme des retraites, argumentée par ceux et celles qui pensent que la question d’être « pour » ou « contre » ne se pose pas (du fait de l’allongement de la durée de vie , de la réalité démographique et de part plus importante prise par la population vieillissante) …

    Peut-être n'ai je pas étudié suffisamment la question?

    Peut-être n'ai je pas toutes les données ? (qui les a, vraiment, d'ailleurs?)...

    J'en suis toujours à me demander comment des gens qui ne sont plus en activité (et qui ont eu la chance de pouvoir cesser leur activité professionnelle avant 60 ans) peuvent envisager de voir les générations qui les précèdent travailler jusqu'à 64 ans et en être satisfaits...

    Ce qu'il a de sûr dans cette affaire là, c'est que pour un gouvernement qui doit gérer un budget dans un pays, la France en l'occurrence, payer des pensions de retraite à partir de 64 ans au lieu de 62 et 60, ça fait gagner en masse d'argent à distribuer (d'ailleurs financé non seulement par les cotisations des actifs, mais en partie par de la dette... Et jamais par une remise en cause des profits réalisés par les géants de l’économie et des dividendes versés aux actionnaires)…

     

     

  • Sur le Grand Mur

    … Nos détracteurs bien souvent, ne sont pas des détracteurs au sens de ce que doit vraiment être un détracteur c’est à dire un interlocuteur critique ; mais des emmerdeurs ou des aboyeurs…

    Merci à toutes celles, à tous ceux d’entre vous, de tous lieux, de toutes conditions, qui, sur ce « grand mur » qu’est Facebook, contribuent à leur manière, à donner au débat (à tout débat), plus de sens, plus de pensée réfléchie, plus d’humanité, et postent des textes, des images, qui suscitent du questionnement, qui appellent à réflexion…

    Merci également à toutes celles et à tous ceux d’entre vous qui sont des interlocuteurs critiques, donc de vrais détracteurs…

    L’on ne peut pas empêcher les emmerdeurs et les aboyeurs de s’exprimer (liberté d’expression)… Mais l’on peut, les « tagueurs de paysages » et les « montreurs de beauté » , les penseurs et les poètes que nombre d’entre nous sont, en prenant davantage de place sur le « mur », battre à la course les emmerdeurs et les aboyeurs…