Articles de yugcib

  • Les vide grenier

    … Depuis quelques années, les vide greniers sont légions, se tiennent au moins une fois l’an dans quasiment tous les villages…

    À chaque fois, ce sont les mêmes interminables files de voitures garées aux abords du village, les mêmes étals souvent au sol, de toutes sortes d’objets, d’appareils, de vêtements…

    Arrivée des proposants vers 6h du matin, déballage pour exposition, toute la journée voir passer des gens qui regardent mais n’achètent pas, alors que tout ou presque ne coûte que 1 ou 2 euro à l’exception de quelques objets de valeur, utilitaires ou non… Et pour finir, vers 5h le soir, remballage de tout ce qui avait été étalé le matin.

    Ce qui est surprenant ce sont tous ces « vieux » équipements technologiques, complètement dépassés, du genre ordinateurs, appareils photos, caméras, machines à écrire, qui ne peuvent à la limite qu’intéresser quelques rares collectionneurs de ces antiquités… Mais sûrement pas une personne même « pauvre » à très petit budget, qui aspirerait à par exemple un vieil ordinateur windows XP datant de 2008, ou un modèle de smartphone obsolète…

    Et tous ces vide grenier… C’est très bien pour les petits objets pouvant être immédiatement emportés et placés dans un cabas, un sac… Mais pour les objets volumineux, lourds, encombrants, mobiliers, nécessitant de pouvoir approcher une voiture, une camionnette sur place (on se demande comment dans la foule et au milieu des étalages) ce n’est pas évident du tout !

    Personnellement, plutôt que de passer tout un dimanche de 6h du matin à 6h du soir, debout ou assis sur un pliant, derrière un étalage d’une cinquantaine d’objets à liquider, et de devoir quasiment tout remballer et recharger dans la bagnole en fin de journée, pour finalement récupérer juste quelque 10, 20, 30 euro… J’aime mieux tout fourguer aux Emaus ou en déchetterie ! (Soit dit en passant, avec tout ce que les gens apportent aux Emaus – n’importe quoi, hors d’usage, souvent – y’en a plus de la moitié de tout ça, qui après tri, va en déchetterie ! )

    La générosité envers les pauvres et les démunis, à mon sens, devrait impliquer que l’on offre au moins, des choses utiles et qui fonctionnent ! Et non pas des saloperies dont on veut se débarrasser (ça c’est pas de la générosité!)…

     

     

  • La religion, les religions : toujours du même côté !

    … À la fin du 18 ème siècle, et ensuite durant près de deux siècles, l’Église Catholique ne reconnaissait pas la Déclaration des Droits de l’Homme établie le 26 août 1789…

    À l’époque de la Révolution Française, en 1792 avec la Convention et la République, le Pape et l’Église Catholique Apostolique et Romaine, affirmaient qu’accorder à l’homme ses droits, signifiait retirer à Dieu ses droits…

    L’Église, la Religion, les religions, le Catholiscisme et l’Isl am notamment, de tous temps à jamais et de nos jours comme par le passé ; n’ont cessé d’être « du côté des riches, des possédants, de l’autorité en place, et ont toujours considéré, les Catholiques, la loi de Dieu, et les Musulmans la charia, supérieure à la loi des hommes…

    « L’amour des pauvres de des humbles », le secours aux démunis, la charité, la bonté… Des Chrétiens comme des Musulmans, prônés dans la Bible et dans le Coran, à l’égard du prochain ( du « frère ») c’est « une belle couverture » dont se drapent ceux qui ont les moyens de se montrer charitables et généreux…

    Chez les Chrétiens, à part Saint Vincent de Paul au 17 ème siècle et mère Térésa au 20 ème siècle, il n’y a pas beaucoup de religieux qui ont fait à ce point, comme Saint Vincent de Paul et mère Térésa, acte de pauvreté et de charité et de don de soi en renonçant aux richesses et aux honneurs…

    L’Islam et la Charia, ça me gonfle et je rejette…

    Le Catholiscisme avec ses évêques et dignitaires en grande pompe, tiare sertie d’ors et de diamants et de pierreries, ça me gonfle et je rejette…

    Je ne veux rien de tout ça dans mon environnement !

    Un grand bras d’honneur à m’en bleuir le creux du coude !

    Et idem pour toutes les religions en place sur cette Terre !

    Quant à la politique…

    La LFI et les « gauche » seraient bien encore dans mes vues question vision de la société, sauf que leur tolérance/complaisance/bienveillance avec l’Islam et les femmes voilées me gêne… (Le RN est « plus dur avec l’Islam » mais la vision de la société du RN me gêne)…

    L’athéisme d’autre part, auquel j’adhère ainsi qu’à la laicité, je n’en veux point faire pour autant, des religions…

    Les minorités qui revendiquent dans l’agressivité et dans la violence, ainsi que les communautarismes de toutes sortes – générés par la société de consommation et par des choix de mode de vie dans l’engagement ostentatoire… ça me gonfle et d’ailleurs je ne les soutiens jamais dans leurs « manoufs » …

     

     

  • L'eau courante devenant "peu de table"

    … Une information récente venant de plusieurs agences régionales de santé (dont celle des Hauts de France – région Nord Pas de Calais Somme- ) révèle que dans 1 commune sur 4 en France, en moyenne, l’eau du robinet « ne serait plus potable » bien qu’elle soit tout de même consommée par des millions de gens (pour la cuisine, pour boire)…

    Avec la dégradation des sols (usage de pesticides notamment), l’eau du robinet que nous buvons et dont nous nous servons pour la cuisine, si elle tend à devenir non consommable même dans des villages, à la campagne… C’est vraiment que le monde dans lequel nous vivons, va mal…

    Du coup, il va falloir acheter par douzaines, des packs d’eau minérale (on voit mal comment en vélo électrique on pourra charger jusqu’à chez soi, depuis « Carrefour City » ne serait-ce qu’un pack de 6 bouteilles d’une litre et demi!) … À moins que les constructeurs de vélos électriques se lancent aussi dans la fabrication de petites remorques…

    Et en ville, quand tu habites – et que tu es vieux et le dos et les pattes en compote – au 6ème avec ascenseur en p anne, des packs d’eau minérale à se coltiner, c’est pas évident !

     

  • Le territoire des sots

    … Le Garde des Sots, un peu moins sot que le commun de sots, mais encore assez sot, ne laissa point les Intelligents, entrer dans le territoire des sots…

    Alors les Intelligents forcèrent la porte d’entrée du territoire des sots et tentèrent de rendre moins sots, quelques uns de tous ces sots empapaoutés dans leur sottise…

    Mais les Intelligents, dont les discours ne convainquaient point, ne parvinrent point à rendre les sots, moins sots…

    Les Intelligents ne sont-ils pas, à leur façon, parfois des sots ? Le pire étant lorsque les Intelligensots sont patentés…

     

     

  • Une "sale affaire" !

    … Au sujet de l’affaire Adrien Quatennens, j’ai essayé de faire défiler en recherche sur internet, un maximum d’informations relatives à cette affaire…

    Je constate qu’aucune, absolument aucune de ces informations, commentaires, avis, etc. …, ne fait état des torts qui ont pu être – et que sont certainement – ceux de l’épouse d’Adrien Quatennens, lequel en est arrivé en dernière et regrettable extrémité, à donner une gifle à sa femme (personne en effet n’évoque ce qui a pu arriver, avant, pour qu’Adrien Quatennens finisse par se rendre coupable de ce geste de violence inqualifiable)…

    Sans doute Céline, sa femme, n’est-elle pas « un puits de vertu », dans cette affaire là, de conflit et de mésentente conjugale…

    Mais les médias, tout un chacun, les partis politiques (le LR, le RN, Le LREM, la NUPES, etc., « tous comme un seul homme ») forcément très confortés dans leur désaccord avec le parti de Jean Luc Mélenchon, « bichent » de voir la France Insoumise discréditée !

    La « sacralisation » de la femme (qui, soit dit en passant, ne se traduit pas par l’égalité des salaires entre les hommes et les femmes), « gomme » complètement le fait qu’en matière de comportements déplorables – et violents, agressifs pour certains – les femmes (certaines d’entre elles) valent bien, question violence, agressivité, insultes, trahisons, médisances… Les hommes…

     

  • Qatarfoot mon ennemour

    Foot qatar

    … Je ne soutiens pas les Bleus pour cette coupe du monde de football et je souhaite à tous les supporters, d’où qu’ils viennent, envisageant de se rendre au Qatar, d’avoir les pires difficultés d’embarquement, aux aéroports internationaux, avec des retards, des grèves, des « chancelled » affichés sur les tableaux de départ…

     

  • Ces paradis où tout le monde veut aller

    … Les paradis où tout le monde veut aller, nullement/aucunement ne me siéent ; ils sont quasiment tous le prolongement, dans « l’au delà », de ce pour quoi de son vivant l’on a bandé sans que ne vienne jamais au bout du nœud, seulement déjà la gougoutte de purée précédant la coulée de lave brûlante…

     

    Ce sont ces paradis, par exemple, qu’offrent – en général en abonnements payants – les grands temples de la consommation de masse par internet dont en particulier le marché du loisir voyage et Netfix et compagnie ; ou encore, de temps à autre en général en période estivale les grandes festivités les plus courues, et tout au long de l’année les grandes rencontres sportives notamment foutebalesques…

     

    Dans ces paradis où tu veux aller – ces « parudus » dis-je – t’auras jamais une meilleure place que celle que tu as eue dans les « paradus » où t’a été de ton vivant…

    Chez Netfix d’en haut au beau milieu des anges, ça va pas beaucoup changer les scénarios…

    Aux grands festiv(e)aux d’en haut, si tu y rêves comme tu en as rêvé de ton vivant, d’y être la grande vedette, t’y seras toujours au beau milieu des anges et de la foule, jetteur de confettis…

     

    … Quant aux paradis des religions, alors ceux-là, déjà de mon vivant ils me gonflent, et me siéent encore moins que moins, avec leurs « promesses »…

    Celui, par exemple, des musulmans, plus lénifiant encore que celui des chrétiens !

    Un monde de jardin enchanté où tout n’est que miel et délices, avec des harems de jolies mousmées qui te font des léchi lécha des guilis guilis, te font couler du miel dans le moulin en agitant des parapluies de fleurs et de feuilles de palmier au dessus de ta tête… J’en veux pas!

    Et les mousmées, alors ? Leur paradis, c’est d’être auprès de leurs sidis, de leur lécher le zizi et de veiller à ce que le couscoussier soit toujours parfumé, avec de la semoule constellée de grains de raisin, accompagné de vin de miel ?

    Déjà, le miel, de mon vivant, ne m’a jamais fait me lécher les babines, j’en achète jamais, fût-il parfumé de fleur d’oranger…

     

    Autant que je me souvienne, de mon vivant, dans les cafés du genre La Jasette, qui pouvaient être (ou singer) les paradus des « amus », l’on y causait patates salades beaux sentiments mamourisants, c’étaient des embrassades à répète accompagnées de pensée du jour tirée de quelque dico de maximes…

    Et l’Ostrogoth, le pestiféré, anti tout/anti rien, qui littératoquait des « choses pas très catholiques », était viré des La Jasette, leurs Suzan et modérateurs et admin tous très outrés…

     

    Alors vos paradus, à tous et toutes, ceux de nos vivants comme ceux de là haut, l’Ostrogoth n’en prend point le ticket d’entrée…

    Et, résolument planté droit debout les yeux pas dans les godaces, l’élastique carré de son tahouel tendu et prêt à tirer, il vise, l’Ostrogoth, la tête des gardiens de tous ces paradus où tout le monde veut aller… Et bras d’honneur après le tir !

     

     

  • Coucher, bouffer et pisser, à Londres, ce lundi 19 septembre 2022

    … Coucher, bouffer, pisser… Et… Qui plus est… Bonzer…

    Coucher, la nuit du 18 au 19 septembre voire aussi la nuit du 19 au 20, à Londres ou dans les environs, pour les « venus de loin » c’est très/très/très difficile… Même par terre à la belle étoile – pour autant que la météo le permette, encore faudra-t-il pouvoir étendre son sac de couchage sur l’herbe de quelque parc au milieu d’une foule d’aspirants dormeurs, très dense…

    Bouffer, en principe en fin de journée après les Cérémonies, dans les restaurants de Londres qui, si nombreux soient-ils, n’ont pas la capacité d’accueil pour autant de gens désireux de se restaurer ; ou dans des fast foods devant lesquels s’allongent d’interminables files d’attente, c’est hard/hard !

    Pisser, pour autant que les autorités municipales de Londres aient prévu, de ci de là, des WC algéco… L’on imagine les files d’attente, des messieurs finissant à force de dansoloter, de « se faire au pantalon », et des dames se mouiller la culotte et le bas de la jupe, de la robe, du pantalon moulant…

    Bonzer, quand on pense aux cuvettes bouchées à force d’être utilisées…

     

    "Qui n'a pas sa protection absorbante" ? "Qui n'a pas son pissoar" ? "Qui n'a pas son pack de quatre fish and chips conditionné en biscuit"? Crient les colporteurs traversant les foules ! ... ( Pissoar : tube plastique souple avec embout en ventouse au zob, descendant le long du pantalon et dont l'extrémité en bas laisse filer l'urine par terre)...

     

     

  • Violences faites aux femmes et violences en général

    … Bien que dénonçant et condamnant les violences faites aux femmes – et d’autre part considérant, comme Jean Ferrat, « que la femme est l’avenir de l’homme » - je n’adhère pas pour autant à la « sacralisation de la femme » ni à tous ces mouvements engagés de féministes « purs et durs » qui à mon sens, décrédibilisent par la violence et par le radicalisme de leurs actions sur la voie publique, dans des associations et sur les réseaux sociaux, le féminisme, la femme en général…

     

    À propos de « sacralisation » l’on peut en dire autant de l’enfant, de « l’enfant roi » dans la société de consommation, l’enfant qu’il faut vénérer et auquel il ne faut rien interdire…

    Que dire – oui il faut le dire parce que c’est aussi une réalité – des violences faites par des femmes, à des hommes ?

     

    La femme étant l’égale de l’homme en droits et devoirs et place dans la société, elle est l’égale de l’homme aussi, de la même manière que les deux faces différentes d’une même pièce de monnaie ; et, que ce soit d’une face ou de l’autre, la pièce peut-être rouillée, rayée, crasseuse ou au contraire bien nette, bien claire ou brillante ou mate ; et faite d’argent, d’or, de cuivre, ou d’alliage de plusieurs métaux de qualité et consistance différentes…

     

    Autour de cette idée dominante dans la pensée « occidentalisée » socialement, culturellement, de la « sacralisation » de la femme, règne néanmoins beaucoup d’hypocrisie, d’ambiguité et de contradictions… Le plus évident étant l’inégalité des salaires entre les hommes et les femmes, ce qui en aucune façon, n’est « sacraliser » la femme !

     

    Et il y a aussi, cette propension de tout un chacun, homme (jeune ou vieux), à considérer la femme en tant qu’« objet suscitant du désir (sexuel)… Comme si, soit dit en passant, il n’en était pas de même de la femme pour l’homme… Le sexe (attribut ou organe) masculin ou féminin, n’ayant « pas de sexe » puisque le sexe est tout bonnement le sexe, qu’il soit masculin ou féminin…

     

    Il y a encore cette idée selon laquelle la femme – en particulier la femme musulmane (et jadis la femme chrétienne ou catholique ou juive… Et en partie encore aujourd’hui) « accepterait d’elle-même d’être soumise à l’homme » (son mari, son frère, son oncle, son compagnon, son chef, son patron) parce que c’est « dans l’ordre des choses » et qu’ainsi, la femme « ferait acte de liberté » et donc, « il faut tenir compte de cet acte de liberté et l’accepter »…

     

    Au nom de la liberté en général et de la liberté de la femme en particulier, l’on conçoit « n’importe quoi » dans un courant de pensée et de mode dominant et « faisant référence »…

    Les insultes, les vociférations, les provocations, l’agressivité, les calomnies, l’exposition au vu et au su des autres autour de soi, de son intimité de couple, de femme ou d’homme, les mensonges, les « cocoricos », les « scoops du jour » en « storie’s »… Tout ça, sur les réseaux sociaux Instagram, Twitter et Facebook ; c’est autant une affaire masculine que féminine… Ainsi d’ailleurs que, outre sur les réseaux sociaux, autour d’une table en famille, au comptoir du bistrot du coin, entre voisins jacassant glosant des uns et des autres, ou dans la rue, en tout lieu public où l’on se rencontre et « cause »…

     

     

  • Moins de retraités après 2050 et au delà ?

    … Les projections qui sont faites quant au nombre de retraités qu’il y aura en 2050, ne correspondent pas à la réalité à venir, en ce sens que les générations actuelles de personnes de moins de 40 ans n’ont pas les effectifs suffisants pour voir arriver après 2050, autant de retraités qu’il y en a aujourd’hui dans les années 2020, et qu’il y en aura encore dans les années 2030/2040…

     

    Il y a en 2022 environ 17 millions de retraités en France, qui, après 2050 seront quasiment tous morts. Et derrière ces 17 millions de retraités de 2022, il y a une première vague de 13,5 millions de personnes âgées de 45 à 60 ans, futurs retraités à partir de 2035 dont une partie – pour cause de déterioration de la santé publique – seront morts après 2050 ; puis une deuxième vague de 15 millions de personnes âgées de 20 à 40 ans, et enfin une troisième de 15 millions de jeunes de moins de 20 ans qui, l’une et l’autre 2ème et 3ème vagues, ne donneront plus 17 millions de retraités après 2050 et au-delà…

     

    Le financement des retraites ne peut poser problème en fait, que durant la période 2035/2050, mais pas après 2050.

     

    Sur la question de la santé publique et de l’espérance de vie, il faut dire que les générations 45/60 sont celles en comparaison des 20/40, qui ont le moins d’activités physiques (sport, vélo, marche à pied et donc plus enclines à utiliser une voiture, à avoir des activités statiques)… Du moins pour environ 50 % de ces personnes de 45/60 ans et idem pour les moins de 20 ans, qui elles, générations confondues de 20 à 60, pour 50 %, se nourrissent mal (obésité) et n’ont que peu d’activités physiques…

     

    Si l’on peut observer qu’aujourd’hui en 2022, quantité de gens de tous âges (jusqu’à disons 80) font des randonnées à pied et en vélo et pratiquent des sports, et essayent de se nourrir le mieux possible ; l’on peut voir aussi qu’au contraire, quantité de gens (surtout jusqu’à 60 ans) n’ont guère d’activité physique et se nourrissent mal… Et donc, que les sportifs, les marcheurs ont en général plus de chances de « faire de vieux os », que les autres ayant peu d’activité physique et se nourrissant mal…

     

    L’incidence du mode de vie et d’alimentation, a et aura un impact sur l’espérance de vie après 2050 et, en conséquence, aussi, sur le nombre de personnes vieillissantes ou en âge de retraite après 2050…

     

    La progression annoncée, martelée pour ainsi dire, par les « grands économistes et sociologues », véhiculée par les médias, par les gouvernants, les « experts » etc. … D’un nombre de personnes âgées sans cesse en augmentation et dans une proportion de plus de 30 % de la population dans les années 2050/2060, est une « pseudo vérité » censée convaincre le « bon citoyen » d’accepter de travailler plus longtemps tout en le préparant à gagner moins et à vivre moins bien qu’aujourd’hui…

     

    D’autre part, en ce qui concerne le travail salarié des personnes de plus de 50 ans, et d’autant plus avec la retraite à 62, 64 ans ; la prise en charge en matière de couverture médicale tend à devenir plus lourde du fait de nombreux problèmes de santé impactant les plus de 50 ans ; ce qui, pour les entreprises et pour les employeurs, rend moins productif le maintien en emploi jusqu’à 62, 64 ans, des plus de 50 ans se trouvent fréquemment en arrêt maladie, ou étant, dans l’exercice de leur emploi, moins réactifs, moins « en forme »…

     

    Mais il est une autre donnée – ou perspective – qui, elle, dimensionne le problème des retraites dans un sens qui ne sera plus celui auquel tout le monde pense, fondé sur cette idée de « croissance durable dans la transition écologique et de maintien adapté du niveau de vie actuel » ; idée qui, on le constate déjà, est mise à mal par l’accélération des phénomènes climatiques, par la dégradation de notre environnement, par la crise énergétique, et d’une manière générale par tout ce qui s’apprête « à nous tomber sur la tête » et constitue une réelle menace pour l’avenir de nos sociétés…

    Alors qu’en sera-t-il du problème des retraites après 2050, sur une planète très abîmée où de vastes espaces seront devenus inhabitables et où une minorité de privilégiés seulement, aura encore un niveau de vie comparable à celui d’aujourd’hui ?

     

     

     

  • Le monde du travail de nos jours

    … Lors d’une émission sur France Culture, relative au monde du travail, avec Natacha Polony, le samedi 17 septembre 2022 de 11h à midi ; portant sur le sens, sur la valeur, aujourd’hui, du travail…

    Il ressort pour l’essentiel, de cette émission, que le travail (l’emploi salarié notamment) dépend pour beaucoup de la relation qui s’établit entre le salarié qui rend un service ou contribue à la fabrication et la distribution d’un produit marchand, et l’acheteur, le consommateur, le demandeur d’un service…

    Parallèlement peut-on dire, à la relation entre le salarié et l’acheteur et le demandeur, il y a aussi la relation qui s’établit entre les salariés dans une entreprise, une relation encore, entre les salariés et l’employeur…

    Il est évident – et inévitable – que « certains emplois ou fonctions » dans la mesure où ils sont ceux d’une seule personne effectuant en un lieu notamment fermé, un travail répétitif, ne nécessitant pas de compétences particulières ou de formation préalable ; ou le travail de plusieurs salariés isolés les uns des autres et donc sans communication durant l’exercice de l’emploi, et que de surcroît ce travail, cet emploi, cette tâche s’effectue « en interne » c’est dire sans public, sans communication avec des gens de l’extérieur… Que ces emplois ou fonctions ne sont aucunement « enthousiasmants » et ne peuvent être « attirants » ou motivants…

    En gros, l’on peut dire qu’environ 50 % du monde du travail salarié, est fait d’emplois « non motivants », que l’on n’accepte que pour « gagner sa vie »…

    Il est en conséquence de cela, tout à fait évident aussi, qu’un travail avec relation (un public, des collègues, des dirigeants et des patrons) et nécéssitant compétences, savoir faire et en même temps étant des emplois et des fonctions utilitaires ; est forcément – sinon valorisant- du moins « faisant sens »…

    La relation est donc en grande partie ce qui fonde le sens et la valeur du travail, à tel point parfois dans les cas les plus heureux, que la relation dimensionne le travail au-delà du travail lui-même (autrement dit le travail devient alors activité et n’est plus ressenti dans ses seules contraintes d’horaires, de réglementation, de cadre défini, de pénibilité, d’obligations, de nécessité de gagner sa vie)…

    Bien évidemment, la relation qui « fait référence » - selon la réalité sur le terrain – c’est celle qui est la plus heureuse, la plus harmonieuse, et qui se fonde sur des principes naturels, intemporels… Et non pas la relation « conflictuelle » - de concurrence dans la violence et dans l’agressivité, d’individualisme exacerbé…

    Quel public, en somme, quelles personnes a-t-on en face de soi, dans l’exercice de son emploi ? Et avec qui et comment collabore, produit – t -on ?… Ce sont là des questions essentielles qui dimensionnent le travail soit en activité qui fait sens et qui fait « une vie heureuse », soit en « galère » d’horaires, de contraintes, de situations conflictuelles, de confrontation à l’agressivité et à la violence…

     

  • À la poste de Lesperon dans les Landes en l'an 2000

    … Deux petites anecdotes, du temps où j’étais Receveur à la poste de Lesperon dans les Landes Océanes, de février 1999 à juin 2002…

     

    Le bureau ouvrait de 9h à midi, puis de 13h à 16h.

    À la réouverture de 13h devant le rideau (une grille) qui, d’une minute à l’autre allait être relevé, attendaient, groupées et jacassantes, cinq ou six « grosses mémères » avec des coiffures en chou fleur et habillées comme pour se rendre à Ibardin (frontière espagnole) avec le « car des vieux » une fois par mois…

    Les mémères se précipitaient au guichet, afin de faire mettre à jour leur livret de caisse d’épargne ou pour retirer de l’argent sur leur CCP…

    En fait – c’était ainsi chaque jour – elles venaient, ces mémères, à cette heure là, 13h, afin d’être revenues chez elles avant 13h 30 pour regarder à la télé « Les feux de l’amour »…

     

    Une nuit de janvier 2001, c’était le 18 janvier, alors que je demeurais encore dans le logement de fonction séparé du bureau par une simple cloison et communiquant avec le bureau par une porte ordinaire dotée d’une serrure tout ce qu’il y a de plus élémentaire ; je fus cambriolé…

    Les voleurs ont utilisé une petite perçeuse sans fil pour bousiller la serrure de la porte d’entrée du logement, il devait être dans les 3 ou 4h du matin, je dormais profondément, je n’ai absolument rien entendu… Ils m’ont ouvert plusieurs tiroirs d’un meuble où se trouvaient des clefs, divers objets, un porte monnaie, quelques documents sans valeur ; puis, s’étant introduits dans le bureau de poste ils ont essayé de forcer le coffre fort, et volé le porte monnaie de la factrice qui contenait 50 francs, laissé dans un casier de tri…

    Durant les 15 jours qui ont suivi la nuit de ce cambriolage, les gens, quasiment tous à Lesperon, et même la factrice et ma collègue du guichet, n’arrêtaient pas de me répéter, de marteler : « Et comment ça se fait que vous n’avez rien entendu »… Comme si, selon ce que je les soupçonnais de penser, que cela pouvait être moi-même qui aurait monté le scénario de ce cambriolage…

    Pour une fois, la seule et unique fois de mon passage à la poste de Lesperon de 1999 à 2002, la Direction de la Poste à Dax (du Groupement) m’a soutenu et n’a pas mis en doute ma sincérité quand j’ai déclaré n’avoir rien entendu.

    C’est donc avec un immense soulagement que, fin juin 2002, j’ai quitté la poste de Lesperon – et ce village – alors même que la cause de mon départ était liée à un conflit qui m’opposait au Directeur du groupement… Et depuis mars 2001, j’avais abandonné le logement de fonction, préférant effectuer 30 km aller/30 retour pour habiter à Tartas dans la maison de ma grand-mère…

    Un trajet que j’effectuais souvent en vélo…

     

     

  • Croire, vénérer

    … Je puis croire… Enfin, plutôt à ce qui est – au moins- crédible (par exemple à une histoire romancée de science fiction à condition que l’histoire soit fondée sur des bases scientifiques et que le scénario « tienne debout » - et ne soit pas un scénario où les personnages sont des sortes de gnomes, de fantômes, de sorciers, de surhommes, comme dans Harry Potter (que je n’ai pas lu et ne lirai jamais)…

    Je puis vénérer… Quoique plutôt des idées, des œuvres d’écrivains, des valeurs (intemporelles), des réalités heureuses ; que des personnages célèbres et charismatiques…

    Mais pas un dieu (notamment le dieu de la religion – peut-être, oui peut-être un dieu du genre « rivière ou terre mère ? ») ni une idole ni un mythe…

    Je n’imagine pas un seul instant de ma vie, depuis mon enfance, qu’il faille, afin de s’élever dans une destinée, croire en un dieu de religion, vénérer un personnage au point de s’identifier à ce personnage idolatré en s’habillant comme lui, en le « singeant » ; croire et se référer à un mythe fût-ce ce mythe le plus heureux qui soit (les mythes sont tous des mites qui bouffent non seulement les vêtements mais aussi cette sorte d’âme ou d’esprit que contient le vêtement)…

    Gosse, je n’ai jamais eu dans la chambre où je dormais, à Cahors dans le Lot, au 191 avenue de Paris à Tunis, ou au 57 neuvième étage bâtiment R quartier Montpensier à Blida en Algérie ; collé au mur, d’affiche de Grand Chanteur, de Grand Footballeur, de poster de bagnoles américaines ou de belles nanas à poil (rire)…

    À la limite – à l’extrême limite – oserais- je dire… Le seul personnage en lequel je crois – même dans les pires moments d’autodérision ou de facture plus que contestable voire inacceptable et délibérement autodestructrice – le seul personnage en lequel je crois – sans pour autant le vénérer et encore moins en faire une idole – c’est… Le personnage que je suis…

     

  • À la poste de Seignosse plage

    … Une émission sur France Culture, ce samedi 17 septembre 2022, entre 11h et midi, un entretien avec Natacha Polony au sujet du sens et de la valeur du travail dans le monde d’aujourd’hui après la crise du covid ; m’amène à faire part d’ une anecdote relative à cette expérience que fut la mienne lorsque j’étais brigadier remplaçant à la poste des Landes océanes, deux semaines passées au bureau de poste de Seignosse plage fin juillet et début août en 2002…

     

    Ayant, décision de mon directeur de Groupement, été viré de mon poste de Receveur à Lesperon, pour révolte, indiscipline et contestation de la politique commerciale de la poste, en juin 2002 ; je fus nommé ou plus exactement recadré en tant que brigadier remplaçant dans le groupement postal des Landes océanes, et envoyé fin juillet de cette année 2002, après un congé de trois semaines, à Seignosse plage, en pleine période touristique vacancière, sous l’autorité du Receveur de Seignosse Bourg, un type très « système/système » et qui « ne me voyait guère arriver d’un bon œil » et auquel « j’en ai fait voir de toutes les couleurs »…

    Ce bureau de poste annexe de Seignosse plage, à l’époque en 2002, ouvrait au public, pour toutes opérations 2 guichets, de 9h du matin à 15h 30 avec une pause de 30 minutes à prendre à tour de rôle soit à 12h soit à 12h 30 avec la guichetière qui était ma collègue, une auxiliaire de droit privé embauchée en CDD à la poste.

    Le public – à tout moment de 9h 30 à 15h 30, plus de 10 personnes en même temps en file d’attente- était en majorité, de vacanciers, très désagréable, de gens agressifs, enclins à des observations, des remontrances, impolis, impatients, qui voulaient des timbres rares, envoyaient des mandats télégraphiques internationaux pour lesquels il fallait consulter un guide spécial de réglementations compliquées, « gueulaient comme des putois » quand leur virement sur le livret CNE n’était pas arrivé, avaient des « petits et gros toutous » qui grondaient, des gosses capricieux et coléreux qui criaient… Enfin c’était l’enfer, la journée de travail…

    Et à la fin de la vacation, à 15h 30, il fallait repousser les gens agglutinés au moment de la fermeture du bureau ; et après la comptabilité opérations réalisées recettes dépenses (objectif zéro erreur de caisse) nous devions, ma collègue et moi nous « farcir » l’inventaire des timbres en catégories et des produits en vente de la poste (enveloppes, emballages pré affranchis, etc. )…

    Ce putain d’inventaire nous prenait bien une heure voire une heure et demi, et j’étais toujours faux, ce qui mettait mon supérieur hyérarchique dans une colère noire – sans compter tout ce que je lui en faisais voir par ailleurs…

    Finalement je sortais du bureau qui fermait à 15h 30, à des 17h, 17h 30, complètement lessivé !

    Mon supérieur me disait, me répétait : « c’est toi le postier, toi le titulaire, pas elle ta collègue qui n’est qu’une auxiliaire et que tu dois diriger, c’est toi le responsable » …

    Au bout de deux semaines, mon collègue receveur de la poste de Seignosse bourg, en a eu tellement marre de moi, qu’il a demandé au directeur de groupement de m’affecter ailleurs…

     

     

  • Amour heureux

    Il n’y a pas d’amour heureux ?

    Si, il y a des amours heureux…

    Mais ce sont des instants d’amour.

    Rien que des instants d’amour…

    L’amour heureux n’existe pas, qui dure plus que des instants d’amour…

     

    S’il n’y a pas d’amour heureux

    Il n’y a jamais, vraiment jamais…

    D’ennemour heureux

    Surtout des ennemours qui ressemblent à s’y méprendre

    À l’amour