Articles de yugcib

  • Quel intérêt pour un auteur d'ouvrage ...

    … Quel intérêt pour un auteur d’ouvrage (de type « souvenirs, anecdotes, mémoires », ou de roman, d’essai, de récit)… Y – a – t’il, de publier un livre à compte d’auteur, ou même en format numérique « en ligne » ?

    Sachant que, dans le meilleur des cas, le livre ou l’ouvrage, publié à compte d’auteur, ne le sera vraisemblablement qu’en 300, 500 exemplaires dont un certain nombre de ces exemplaires au bout d’un an, finiront au pilon, ou seront remis à l’auteur en expédition colis à ses frais, pour être rangés dans un carton en quelque pièce de débarras ?

    Sachant, pour le même ouvrage en format numérique, qu’il ne sera téléchargé (et vu et ou lu) que par quelques éventuels lecteurs ?

    L’intérêt réel n’est-il pas celui de voir sa production écrite, vue et lue par – non pas en un an par à peine 10 à 100 lecteurs – mais en 1 jour, en 1 semaine, en 1 mois, en 1 an ; par au moins 10 fois plus de lecteurs, sur la Toile, donc sur un blog, sur un site, sur un forum, sur une page Facebook ?

    En effet, même dans le cas d’un auditoire ou d’un lectorat limité à 100, 200, 300 abonnés ou « amis », ce que l’on produit sera toujours au moins 10 fois plus vu ou lu – sur une période d’un an par exemple – que l’ouvrage à compte d’auteur, publié et en étalage 3 mois à la Maison de la Presse du coin… Que les « gens du coin » d’ailleurs, ne remarqueront qu’à peine, indifférents qu’ils sont…

     

  • Le courant de la modernité présente et en devenir

    … Dans les domaines de l’habitat et des aménagements intérieurs de maisons et d’appartements, de l’habillement – féminin surtout mais aussi presque autant masculin ainsi que des adolescents, jeunes adultes et « seniors » jusqu’à plus de 75 ans - , des modes de vie et des loisirs, de la culture, de la consommation en particulier alimentaire ; du travail, des activités professionnelles dans leur environnement (espace, relation, rapports entre salariés et cadres et patrons)… Tout cela donc évoluant dans le courant de cette modernité ambiante… Diverses, parfois en opposition, sont les manières des uns et des autres, d’appréhender, de considérer, de s’intégrer ou non, dans le courant de la modernité ambiante.

     

    Les différences – peut-être – les plus marquées, sont visibles dans le domaine de l’habitat et des aménagements intérieurs… Où en majorité dans les pays développés, la modernité ambiante est celle des grands espaces à vivre avec équipement de cuisine et salon sans séparation, des maisons à l’architecture géométrique avec de grandes ouvertures… Cette modernité ambiante «tranchant très nettement » avec les habitats « à l’ancienne » ou « ne payant guère de mine » ou encore sans aménagement déterminé, « de bric et de broc », sans le moindre esthétisme, et de surcroît peu pratique…

     

    Les jeunes adultes, notamment ceux vivant en couple et avec des enfants, privilégient ces habitats de grands espaces à vivre, ces maisons et appartements aux aménagements intérieurs actuels dans le courant de la modernité… Ainsi d’ailleurs que des personnes plus âgées vivant seules ou en couple…

     

    Il y a aussi dans le courant de la modernité présente et en devenir, celui qui est le plus évident, le plus marquant, le plus différent de ce qui, avant, entrait dans la vie quotidienne des gens ; c’est la modernité liée à la présence sans cesse croissante des technologies de la communication avec les téléphones portables, l’internet, l’informatique, le numérique, la robotique, et tous les nouveaux équipements, appareils connectés…

     

    Je ne fais jamais de discrimination, n’émets jamais de critique négative, à l’égard des personnes, jeunes ou moins jeunes, qui dans les domaines de la modernité actuelle et ambiante, que ce soit au sujet de l’apparence de leur habitation et de leur aménagement intérieur, du fait qu’ils n’ont pas d’internet, n’utilisent pas de smartphone, ne disposent chez eux d’aucun appareil technologique nouveau et en vogue ; ont fait le choix délibéré et assumé (ou tout simplement parce qu’ils n’ont pas adhéré aux nouvelles technologies), pour certains d’entre eux, de se passer d’internet et de tous ces appareils.

     

    Personnellement, le rapport qui est le mien à la modernité, demeure pour l’essentiel celui que j’ai avec l’internet et, en général, avec tout équipement technologique nouveau, accessible et dans un but utilitaire… En revanche je suis indifférent et sans motivation en ce qui concerne l’apparence (extérieure et intérieure) d’une habitation… Mais curieux, observateur, reconnaissant, cependant, lorsque je me trouve occasionnellement dans un environnement de modernité…

     

     

  • Évolution de la société

    … L’évolution d’une société dans toutes ses diverses et inégales composantes, se mesure en observant quels sont, individuellement dans chacune des composantes sociales, ceux et celles qui édifient leurs opinions sur des réflexions personnelles.

    Il semble qu’à la fin du premier quart du 21ème siècle, en France, en Europe, et partout dans le monde, de moins en moins nombreux sont ceux et celles qui édifient leurs opinions sur des réflexions personnelles, et qui autour d’eux s’ils le peuvent, font part de leurs réflexions, les exposent, les diffusent…

    En revanche très nombreux, « désespérement trop nombreux » dirais-je ; sont ceux et celles qui édifient leurs opinions sur le groupe social, sur le milieu social, sur la profession ou l’activité dans laquelle ils font partie, sur le journal, sur la radio, sur la télévision, sur les réseaux sociaux dont ils sont membres, tout cela leur suffisant pour orienter leurs idées et alimenter les discours…

     

     

  • L'esprit mystique

    … L’esprit mystique se fonde pour l’essentiel sur des pouvoirs imaginaires, sur des idéologies, des doctrines, sur des symboles tels que par exemple des amulettes, des signes, des représentations graphiques, des objets et figurines évocateurs, des formules incantatoires, des personnages dits de légende ; il est aussi parfois lié en partie à un esprit religieux et donc à ce qui caractérise une religion en particulier par des rites et des pratiques…

    Il a, l’esprit mystique, pour défenseurs, non pas seulement de grands intellectuels, de grands penseurs, de grands dignitaires, de grands fondateurs, mais aussi, en très grand nombre, des gens ordinaires ou du commun…Des serviteurs autant ou plus que des défenseurs à vrai dire…

    Cependant la part de dévotion qui entre dans l’adhésion à une forme ou une autre de mysticisme, tout comme la part de dévotion, d’ailleurs, qui entre dans l’adhésion à une religion, est variable ; de telle sorte que les plus dévôts sont réellement saturés d’esprit mystique, les autres, moins dévots mais dévôts quand même, sont ceux et celles qui sans vraiment croire à ceci ou à cela, suivent le mouvement, la pratique « mystico religieuse »…

    Le mysticisme et la religion sont des prétentions à expliquer le monde, la vie, le sens de la vie ; mais ils édifient des sociétés divisées en communautés, ils amènent des conflits, rendent la cohabitation ou la coexistence difficile avec les gens ne partageant pas ou ayant d’autres croyances …

    Pour combattre le mysticisme et la religion, pour les éradiquer l’un et l’autre, quelle révolution faire, quelles armes prendre contre eux, quelle violence exercer pour les détruire ?

    L’idée selon laquelle les forces mystiques ont édifié de grandes civilisations a longtemps prévalu, et le monde moderne, celui du 20 ème et du 21ème siècles, s’est cru soustrait de l’influence exercée par les forces mystiques sur les peuples, alors qu’en réalité, l’humanité, notamment dans le monde occidentalisé développé technologiquement et économiquement, n’a jamais été autant asservie aux forces mystiques qui mirent le feu à l’Europe à deux reprises durant le 20ème siècle ; et allumé des brasiers partout dans le monde au 21ème siècle…

     

  • Musique sans écriture, littérature sans grammaire

    … Lorsque les hommes (les hommes et les femmes) chacun d’entre eux isolé et séparé des autres, ou rassemblés entre eux, ne se sentent nulle part et en quoi que ce soit, responsables ; l’anarchie est partout…

    Mais à vrai dire, de quelle anarchie s’agit-il sinon d’une anarchie faite de désordre, s’apparentant à une musique sans écriture (portée, signes, notes) ou à une littérature sans grammaire…

    Avec la responsabilité, celle de chacun liée à celle de tous, c’est l’écriture pour la musique , c’est la grammaire pour la littérature, qui donnent, à la musique et à la littérature… Et, par extension, à la société toute entière en chacune de ses composantes, sa liberté…

     

     

  • Fake New

    Couscous

    … J’invente une « fake new » qui « ferait un tabac » sur les réseaux sociaux, avec des milliers de « likes » et de partages :

     

    Le 14 juillet 2022 dans toutes les villes des circonscriptions gagnées par la Nupes, sont conviés les citoyens à un couscous géant, présidé à Paris par Clémentine Autain et par le représentant local de la LFI dans chacune des villes gagnées par la Nupes… Ce couscous aussi géant que convivial sera précédé le matin par une opération Portes Ouvertes des mosquées, et par des défilés de jeunes femmes voilées tenant haut levé du bras gauche un drapeau bleu blanc rouge, défilé suivi par quelques unes de ces jeunes femmes, en burkini…

    À l’issue de ce grand couscous géant, un spectacle de danse du ventre sera donné en première partie, suivi d’un florilège des rappeurs les plus en vogue…

     

    … Ce tweet en réponse, de Laurent Jacobelli, porte parole du Rassemblement National :

     

    « L’extrême gauche nous accuse d’inciter à la haine des Musulmans, et, afin de « tordre le cou » à un préjugé de nombreux citoyens voyant d’un mauvais œil l’islamisme grandissant dans la société française, nous encourageons nos électeurs dans les circonscriptions gagnées par la Nupes, à venir se joindre fraternellement à ce couscous géant… Cependant nous les approuvons de ne point applaudir au défilé des jeunes femmes voilées »…

     

     

  • Les histoires de robots, en vogue

     

    … « Paraît-il » - c’est ce que j’ai entendu vers 13h à la radio (France Inter je crois) le 22 juin – qu’au cinéma dans le genre science fiction, les histoires de robots ayant des sentiments et des émotions, avec lesquels une relation quasi amoureuse serait possible, feraient un tabac notamment chez les jeunes adultes et adolescents… Des réalisateurs s’étant investis dans ce créneau là, soutenus par de « grands intellectuels et penseurs et personnalités de milieu culturel « avant-gardiste »…

     

    Cette « nouvelle » m’horrifie, je nie, rejette absolument toute possibilité à un robot d’éprouver « par la grâce de l’intelligence artificielle purement technologique » le moindre sentiment, la moindre émotion, ainsi d’ailleurs que tout droit à être reconnu comme un humain, comme un être vivant qu’il n’est, de toute évidence, pas du tout… Car quel que soit le niveau atteint de perfectionnement et de développement technologique (jusqu’à égaler et dépasser les capacités du cerveau humain), un robot reste un robot, une machine, une entité non humaine et ne peut en aucun cas faire l’objet de reconnaissance avec des « droits » (merde quels « droits »?)…

    Complètement déroutant, indécent, absurde, cette « affaire là » !

     

    « Ça », c’est bien dans « l’esprit » (dégénéré) du monde de la culture (de l’art cinématographique en particulier), d’un « progressisme sociétal avant-gardiste » très à la mode du jour et plébiscité par en général les moins de 40 ans…

     

    « Ça », devrait être totalement censuré, interdit de production et de diffusion, ce « genre là » de « science fiction de merde » ! C’est la négation de l’humain, et les adorateurs et fans de ce « genre là », sont des crétins ! C’est aussi, ce « genre là », de l’obscurantisme au même titre que la sorcellerie, les diableries, la « fantasy » (en littérature et cinéma), les religions, l’ésotérisme, l’horoscope !

     

    En fait – et de fait lorsque ça se produira vraiment – les robots seront tellement technologiquement avancés en intelligence artificielle, que le plus froidement du monde, sans le moindre sentiment ou émotion, tels les machines à réduire qu’ils seront devenus, feront des humains des sortes de limaces – à l’exception des concepteurs formés dans de grandes écoles, au service des dominants qui eux, « relationneront entre eux et avec leurs subordonnés privilégiés » en « comités réduits » à quelques millions d’humains… Et non pas avec des robots et des machines, qui ne seront que des objets technologiques accomplissant telle fonction dans le pragmatisme le plus commun, le plus banal, le plus utilitaire…

     

    Un robot pourra – t – il (il le peut déjà?) « singer » une manifestation d’émotion, de dépit, de « souffrance intérieure », de déception, de joie… Et qui plus est, « partager » son émotion avec un partenaire humain ?… Et en conséquence, aller jusqu’à « revendiquer » un statut d’être vivant, afin d’être reconnu, considéré, avoir des « droits » ? « Singer » oui, mais artificiellement et par la technologie de l’intelligence artificielle… Mais en aucun cas, en véritable être humain ! D’ailleurs, ce qui me semble absolument certain, c’est que les concepteurs de ces robots au service des dominants et des décideurs, ne seront jamais eux-mêmes les partenaires « partageant » (les émotions imitées) des robots… Et que la croyance en « l’humanité du robot » par de nombreux humains conditionnés et médiatiquement sensibilisés dans cette croyance, sera largement exploitée par les dominants, c’est ce qui existe déjà, souvent à notre insu et entrant dans nos habitudes en matière de consommation de produits « de service » (culture, loisirs)…

     

    J’imagine déjà, une résistance, une révolte, une opposition plus ou moins organisée, « tout à fait humainement intelligente, cette résistance »… Une révolte avec des « casseurs de robots » bien déterminés !

     

     

     

  • L'écriture

    … Pour une personne, femme ou homme, accomplissant toute sa vie durant, œuvre d’écriture, les moments les plus difficiles sont peut-être – pour certains – ceux lors desquels on se souvient de personnes disparues, que l’on a connues et aimées, et qui depuis leur disparition d’autant plus ancienne dans le temps, n’ont en conséquence pas eu connaissance de tout ce que l’on a écrit, jour après jour… Pour autant cependant que, du vivant de ces personnes que l’on a connues et aimées, ces dernières nous aient suivi, ne serait-ce qu’occasionnellement.

     

    L’écriture peut-être pour qui en accomplit œuvre, comparable à un « acte d’amour » par lequel, comme pour une femme dont on rêve et que l’on désire connaître, dont on espère être aimé, l’on donne ce que l’on porte en soi depuis son enfance, que l’on croit de meilleur, de plus sincère, de plus authentique, de plus vrai, et, en somme, comme je dis « du cœur même de son réacteur » - ou du moins « assez proche du cœur de son réacteur »…

    Cette « femme » en quelque sorte, toujours « idéalisée » (même avec une bonne part de réalisme) c’est en fait l’interlocuteur, l’Autre, le lecteur, celui, celle qui voit, qui lit… Et la relation qui s’établit entre la personne accomplissant œuvre d’écriture et celui ou celle qui prend connaissance de ce qui est produit, s’apparente à une relation amoureuse…

    Alors, dans ces moments difficiles où l’on se souvient d’un proche, d’un ami, d’une de nos connaissances disparu ; vient la certitude que l’autre a cessé d’avoir connaissance de tout ce que l’on a exprimé depuis le jour de la disparition…

    Une douloureuse certitude…

    C’est ce que je ressens lorsque je pense à ma mère et à mon père, ainsi qu’à bien des personnes que j’ai connues et aimées, et qui depuis tant d’années – ou depuis hier à peine (un hier plus long qu’un jour en réalité) – n’ont plus vu, plus su, plus lu ce que j’ai continué jour après jour d’exprimer…

     

    Certes il y a bien les autres, tous les autres, ceux et celles qui sont vivants, qui voient, qui ont connaissance, qui lisent… Mais tous ces autres ne remplacent pas ces interlocuteurs privilégiés que furent notamment une mère, un père, un ami, une amie très proche… Auxquels on a donné sans doute, autant que l’on l’ a pu, le meilleur et le plus vrai de soi-même… Et « un peu moins sinon pas du tout » ces « choses exprimées, moins belles » dont on se rend auteur (parfois à son « corps défendant)…

    Car « ces choses moins belles » que l’on exprime, que l’on écrit, que l’on publie au vu et au su de tout le monde, procèdent d’une nature en soi dont on ne peut se défaire, imparfaite qu’elle est, et, par moments « brute de coffrage »…

    Des « choses moins belles » aussi, qui sont produites dans la colère du moment, ou par défi, ou, délibéremment, pour s’autodétruire, ou par dérision, ou par provocation, ou encore – il faut le dire aussi – par absence en l’occurrence de maîtrise, de travail, de savoir dire…

    Tout cela les vivants le voient, le constatent bel et bien !

     

    Reste tous ceux et celles avec lesquels est survenu un jour, ce que j’appelle « une fracture relationelle » qui a interrompu définitivement un rapport d’amitié, un lien « de longue date » et qui, à la suite de la rupture, ont cessé de voir, de savoir, de suivre, de lire ce que nous avons continué de produire…

    À l’égard de ceux et de celles là, ce que l’on peut ressentir est différent – ou plus exactement si je puis dire « difficile d’une autre manière » - et donc, ne peut être comparé à ce que l’on ressent pour les personnes n’étant plus vivantes qui ne peuvent plus nous lire…

     

     

  • Les "vieux démons"

    … Il n’est pas du tout dans mes habitudes de pensée, d’attitude, de comportement, que de tenir compte de l’apparence des gens (et de le manifester ouvertement en public), par exemple si une personne a un « défaut physique » (dans son visage, sur son corps) ou est atteinte d’un handicap et donc en conséquence, de me moquer de cette personne, de l’éviter, de lui nuire de quelque manière que ce soit, délibérément à cause de son défaut, de son apparence, de son handicap…

     

    Mais j’avoue cependant que, lorsque cette personne est fortement soupçonnée de quelque chose « qui fait scandale » ou qu’elle s’est rendue coupable d’un acte très réprouvé par l’opinon publique (ou « n’entrant pas dans le cadre de ma morale personnelle ) par exemple un acte de pédophilie, d’abus sexuel, de viol… Alors si cette personne a un handicap, un défaut physique, eh bien d’une manière quasi instinctive (comme on dit une sorte de « vieux démon surgissant du fond des âges) je vais donc « faire ressortir » délibérément le défaut physique en question, ou le handicap et je vais être « cruel », iconoclaste, irrespectueux, agressif (tout cela contre ma volonté naturelle liée à l’éducation que j’ai reçue, à mes « principes moraux »…

     

    Bien sûr je demeure absolument persuadé au fond de moi, qu’une personne, handicapée ou non, quelle que soit son apparence physique, n’est jamais « plus répréhensible ou plus condamnable » parce qu’elle a un défaut physique lorsqu’elle est l’auteur d’un acte de pédophilie, d’abus sexuel, de viol…

    C’est juste ce « vieux démon issu du fond des âges » et qui, je crois, existe chez quasiment tous les humains depuis l’origine des sociétés et qui est « non éradicable », inhérent à la nature humaine…

     

    Il n’y a que par un niveau d’intelligence atteint, hors du commun peut-on dire ; que par l’habitude et par le travail de toute une pensée, de toute une réflexion sa vie durant, que l’on arrive, que l’on peut arriver à « tordre le cou » de ce « vieux démon » issu du fond des âges…

    Je n’ai pas la prétention – pris en défaut que je peux l’être – d’avoir atteint ce niveau d’intelligence hors du commun que seuls sans doute, dans toute l’histoire de l’humanité, quelques rares, très rares humains ont pu atteindre…

     

    S’il existe toujours aujourd’hui en dépit de quelques évolutions de la société, de la civilisation, du racisme ambiant ou « larvé », toutes sortes de discriminations relatives à une origine ethnique, sociale, à des différences de culture, d’éducation, de modes de vie, de mœurs, de traditions, de religions… Cela tient de la nature humaine – depuis des temps immémoriaux – et cela tient aussi (malheureusement encore plus qu’avant, de nos jours) de la vitesse à laquelle se répand l’information « toxique » et du nombre de personnes impactées par la circulation des idées, des paroles, des écrits, par les canaux actuels de la communication que sont les réseaux sociaux, l’internet et la voie publique avec les lieux de rencontre.

     

    Plus encore que la nature humaine dans sa réalité intemporelle, c’est la circulation des « nouvelles », de l’information, des idées, des propos, des écrits, des images, dans la rapidité, dans la simultanéïté, dans l’étendue et impactant les personnes – isolées ou rassemblées et en nombre- qui empêche ou retarde l’atteinte du niveau d’intelligence qui fera disparaître les « vieux démons »…

     

     

  • L'âme d'un peuple

    … Le populisme est une idéologie qui met en avant et prétend exprimer « l’âme d’un peuple »…

    Si l’âme d’un peuple s’édifie – c’est vrai – sur une accumulation d’acquits ancestraux s’étant stabilisés durant plusieurs générations successives ; il n’en demeure pas moins que le « socle » qui constitue la « base » de « l’âme d’un peuple », est aussi constitué – à sa surface comme en son intérieur – d’une multitude « d’âmes individuelles » mobiles, diverses, éparses ou agglutinées ; qui sont, toutes ces « âmes individuelles », des produits que l’éducation, les milieux sociaux et familiaux, ont façonné, ou brassé…

    D’un côté le populisme exprime l’âme d’un peuple, mais d’un autre côté le populisme « surfe » sur des « vagues » d’âmes individuelles, lesquelles vagues s’entrechoquent en se mêlant dans la fureur de leur mouvement, en entraînant d’autres entremêlements et mouvements de vagues…

    Dans quelle mesure les acquits ancestraux se stabilisent – ils (ou se sont stabilisés) ?

    Car tant qu’une conscience collective d’un peuple, n’est pas acquise, un peuple n’atteint pas la stabilité…

    Et c’est bien pourquoi le populisme, par ce qu’il y a de totalitaire dans son projet, cherche à « fabriquer de toutes pièces » une conscience collective. C’est ce qu’on fait le fascisme et le communisme…

    La conscience collective qui stabilise un peuple et lui donne son caractère, ne peut être atteinte qu’au bout d’un temps très long (et indéterminé ou non prévisible) , et qu’en indépendance ou libéré de tout régime politique…

     

     

  • Intelligence, sentiments, émotions

    … Les avancées technologiques, les acquisitions de connaissances notamment dans les domaines des sciences de la vie et de la nature, des lois de la physique, les inventions, les travaux et les œuvres accomplies… Tout cela a beaucoup contribué au développement de l’intelligence humaine…

    L’intelligence humaine d’ailleurs, ne cesse de progresser et de se diversifier…

    Cependant, tout cela , avancées technologiques et acquisitions de connaissances, demeure sans action sur les sentiments et sur les émotions qui eux, n’ont fait aucun progrès depuis l’origine des civilisations et des premières sociétés humaines…

    Sur les questions purement et uniquement scientifiques et techniques dépendant de l’intelligence, de la connaissance des phénomènes naturels, des expérimentations réalisées, des inventions, du travail accompli, des applications et des utilisations dans la vie pratique ; les hommes et les femmes de tous les pays se trouvent d’accord, et d’ailleurs ils œuvrent ensemble, se transmettent leurs acquits, leurs découvertes et leurs expériences – dans la mesure précisons le, où ils n’entrent pas en concurrence les uns les autres, et où ils n’œuvrent pas dans un dessein de domination car dans ce cas ils œuvrent en formant des alliances opportunistes en fonction d’intérêts particuliers…

    En revanche sur les questions de religion, de politique, de vision de la société ; ce sont les impressions personnelles, ce sont les émotions, c’est ce qui est ressenti dans la vie que l’on vit et dans l’environnement en lequel on se trouve, qui se substitue à l’expérience, à la connaissance scientifique, ne rendant alors la compréhension possible qu’entre personnes ayant des sentiments identiques ou compatibles ensemble… Ce n’est plus la « vérité des choses » qui détermine et crée l’entente, mais c’est « l’identité des sentiments provoqués par ces choses » qui fait l’entente ; entente qui d’ailleurs est toujours fragile, aléatoire et ne s’inscrit pas dans la durée…

    Les divergences lorsqu’elles ne dépendent que de l’intelligence, et qu’elles sont purement intellectuelles, se supportent, aussi importantes qu’elles sont ; et c’est alors la raison la plus faible qui s’incline en face de la raison la plus forte (faiblesse d’un côté et force de l’autre côté, qui ne sont en fait que des différences de capacité ou de potentiel selon le principe de l’inégalité naturelle qui existe et qui est une réalité chez tous les êtres vivants)…

    Au contraire, les divergences qui ne dépendent pas de l’intelligence (ou n’en dépendent qu’en partie) mais dépendent des sentiments et des émotions, ne se tolèrent pas, s’opposent dans une violence qui, d’autant plus exercée par les uns, fait céder les autres – ou les éliminent…

    Les sentiments et les émotions sont contagieux, mais pas l’intelligence.

     

     

  • Législatives 2ème tour

    … Le « seul point positif » -si j’ose dire et je le dis, de Gauche que je suis mais d’une Gauche qui n’existe pas – de l’arrivée à l’Assemblée Nationale de 85 députés du Rassemblement National ; c’est que dans les 85 circonspections d’élus RN, au moins – c’est à peu près sûr – les voyous, les dealers, les délinquants, les petits caïds du coin et leurs bandes d’apaches ; ainsi que les islamistes et les femmes voilées (dont les jeunes filles musulmanes à l’école revendiquant le port du voile en classe), tout « ce monde là » va « faire profil bas »…

    Cela dit, avec un exécutif et avec des forces gouvernementales et des lois et des dispostions et un cadre juridique appuyés par une police et une gendarmerie nationales ; les élus du RN dans leurs circonscriptions, arriveront -ils à imposer la fermeture des mosquées salafistes, à empêcher d’aller à l’école les jeunes filles voilées, à « nettoyer » les cités et les quartiers « difficiles » de tous ces voyous, racketteurs et autres « racailles » (dont ces casseurs fils de famille en godaces à 300 euro qui pourrissent les manifs) ?

    Ce qu’aurait pu faire une « Gauche dure », « Robespiériste sans la guillotine (mais avec de gros moyens de coercition), de Salut Public », anti voyous/anti islamistes mais en même temps anti riches dominants gros possédants/milliardaires/actionnaires, rateau grandes fortunes, anti lobbies et multinationales agro-alimentaire industrie et pharmacie… Une Gauche dure qui aurait, avec l’argent pris aux très riches dominants, aux milliardaires et aux actionnaires, pu améliorer la condition de l’Hôpital Public, des écoles et de la qualité de l’enseignement, et favoriser le développement de la Culture et de la connaissance scientifique, avec des budgets importants pour la recherche… Et assécher, en un mot « faire crever » les religions et leurs pratiques, les supersticions, les obscurantismes !

    Le Rassemblement National ex Front National ex/ex Ordre Nouveau ex/ex/ex Régime de Vichy Pierre Laval … « Mange dans la main des gros riches grands propriétaires » en faisant croire qu’il s’occupe des intérêts et du bien être du peuple…

     

    … Le RN dans ces 85 circonspections (ou 89) sera en grande partie empêché d'agir avec suffisamment d'efficacité, par toutes les dispositions et cadre judiciaire qui bloquent ou tempèrent trop... Cependant, il faut dire aussi que le RN n'est pas "si net que cela" notamment en ce qui peut concerner des "alliances" opportunistes (ou des "porosités) avec la Mafia et quelques "pourris" sous façade et apparence de légalité... Mais soit dit en passant, il n'y a pas QUE le RN qui est, par quelques uns de ses élus, "mouillé" dans des "affaires" louches... Donc, hélas mille fois hélas, les "gros voyous", les mafias, et les dominants, les prédateurs, et d'une manière générale la "racaille" (petite et grosse et moyenne)... Ont "de beaux jours encore devant eux"!

     

  • Les civilisations du 21ème siècle

    … Toutes les civilisations aujourd’hui – au 21ème siècle – présentes sur notre planète, ont en commun une même caractéristique : elles ne pratiquent plus à grande échelle c’est à dire de manière fréquente et en nombre important, de sacrifices humains rituels ou religieux. Ce qui fut le cas dans les civilisations néolithiques d’il y a plusieurs milliers d’années, ainsi que dans l’Antiquité et jusqu’au Moyen Âge…

    Ainsi les Vikings, les Aztèques, les Incas, les Mayas, les Celtes et les Grecs anciens, pratiquaient des sacrifices humains rituels – en général de jeunes hommes et femmes…

    Cependant au 21ème siècle, il existe encore des cas isolés de sacrifices humains, en lien avec des sectes, par exemple en 2012 au Mexique (secte de Santa Muerte) et en 2003 dans l’ouest de l’état d’Uttar Pradesh (un état du Nord dans l’Inde), en 2013 dans l’état de Chhattisgarth district du Bijapur en Inde, en 2009 en Ouganda… Sacrifices rituels de jeunes garçons et filles, cas signalés de moins de 5 victimes…

    En revanche au 21ème siècle il existe encore à grande échelle dans les populations du Burkina Faso, du Mali, de la Guinée, du Sierra Léone, de l’Égypte, du Soudan, de la Somalie et de l’Indonésie ; la pratique de l’excision des filles, pratique portant atteinte au corps humain puisqu’il s’agit d’une mutilation… À noter cependant que l’Islam interdit la pratique de l’excision des filles (Coran) dans les pays musulmans d’Afrique et notamment en Indonésie, sans toutefois avoir pu éradiquer cette pratique, du fait de rites ancestraux de peuples africains et océaniens d’avant la venue de l’Islam à partir du 7ème siècle…

    L’on peut donc dire , sans cependant l’affirmer totalement, qu’au 21ème siècle d’une manière générale, partout sur notre planète, les civilisations humaines, les peuples, les sociétés, ont évolué en ce sens qu’elles sont « un peu moins barbares » c’est à dire avec les sacrifices humains en moins… On ne peut pas en dire autant en ce qui concerne les guerres et les violences, ainsi que de tout ce qui porte atteinte à des vies humaines, le travail forcé, entre autres atteintes…

    Quoi qu’il en soit, il peut à juste titre paraître certain (je dis bien « paraître ») que la civilisation dite « occidentalisée » regroupant USA – Canada – Union Européenne – Australie - Royaume Uni de Grande Bretagne et pays associés économiquement du « bloc occidental » serait celle des Droits Humains, de la Liberté, de la Démocratie et des valeurs auxquelles nous sommes tous attachés en tant que citoyens de ces pays (dont la France) , ce qui n’est point le cas dans les autres pays, les autres civilisations, peuples, sociétés non occidentales notamment la Russie, la Chine, l’Iran, les pays du Moyen Orient sauf Israël, et beaucoup de pays Africains et certains en Amérique du Sud…

    Il est certain (et là je ne dis plus « il paraît certain ») que nier, rejeter, exclure de toute relation pour des raisons « morales » ou pour des raisons d’incompatibilité de « vivre ensemble », de trop grande différence de mode de vie, de religion, de pensée… Telle ou telle civilisation, société, peuple, et le faire savoir autour de soi… Ne peut que « nous pourrir la vie » à tous sur cette planète, nous inciter à la haine, à des discriminations, à des communautarismes, à des crispations…

    La civilisation occidentale avec ses Droits de l’Homme, ses démocraties, ses libertés, ses valeurs, sa pensée – qui sont en fait plus théoriques que réels – n’a pas de « leçons de morale à donner aux autres civilisations, sociétés, peuples » ni non plus les autres civilisations et sociétés, aucune d’entre elles, à l’égard des pays occidentaux…

    La seule réalité c’est que nous ne pouvons que prendre en compte, les uns et les autres, nos différences culturelles, nos différences de mode de vie et de pensée, et donc, devoir intégrer dans notre esprit l’existence de ces différences, l’existence des contraites, des difficultés de relation et de parvenir à gérer tout cela « au mieux » mais sans compromission, sans soumission, en toute indépendance et dans l’affirmation de sa liberté sans recours à la violence et à l’agressivité – sauf dans le cas où notre vie et la vie de nos proches sont menacées et en danger d’être perdues (situation de guerre, d’invasion)…

     

     

  • La bouffe en vacances ou en pique-nique

    … Par de très fortes chaleurs, lors de longs déplacements en voiture et de séjours notamment en camping (emplacement sans branchement électrique, pour une tente) ou encore lors d’arrêts de pause casse croûte ou de pique nique du dimanche (évidemment en un endroit ombragé)… Il me semble assez difficile de faire suivre de la nourriture (mets froids) et surtout de la boisson (eau, jus de fruits, bière, vin) tout cela conservé « bien au frais »…

    Les glacières portatives munies de petit moteur électrique réfrigérant, à brancher sur l’allume cigare, ne réfrigèrent en fait, que fort peu, et si l’on veut éviter que la batterie de la voiture se vide, il faut que la glacière soit branchée durant que l’on roule, car la nuit par exemple, en camping, le moteur de la voiture étant arrêté, la glacière branchée tire sur la batterie que l’on retrouve à plat le lendemain matin…

    Il y a aussi des bacs réfrigérants en petits volumes en forme de brique, placés parmi des denrées dans la glacière, mais si l’on veut des boissons fraîches, il faut alors disposer d’une grosse glacière… Et, par près de 40 degrés dans un parcours assez long, au bout de 4 ou 5 h, les briques de congélation n’ont plus que du liquide fondu à l’intérieur…

    Rien ne vaut, donc, le bon vieux frigo avec compartiment congélation, de chez soi, où par ailleurs, à la maison, l’on ne se trouve pas exposé à la chaleur sous un ensoleillement de mi journée et de surcroît pris dans un embouteillage monstre sur autoroute ou à la confluence de grand axes de circulation sans compter les déviations pour travaux…

    D’autre part, il me semble aussi, très mal venu, avant un « grand départ » pour plusieurs semaines, de faire quelque « bombance » ou grand repas avec des invités, 2 jours avant le départ tôt le matin… Ne serait ce qu’à cause des restes à emporter si le frigo à la veille du départ est encore bien rempli. (L’horreur, de devoir faire suivre des denrées qui supporteront mal le voyage par grande chaleur)…

    Et il y a ces résidences de location pour quelques jours, une semaine, toutes équipées en ameublement de cuisine et vaisselle… Mais je vous dirais qu’il n’est guère très aisé de concocter dans l’habitation de location, des « petits repas » (plus ou moins élaborés) pour par exemple 3 ou 4 personnes et enfants, repas (un le midi, un le soir, plus le petit déjeuner du matin) pour lesquels il faut « se rendre en courses » et ensuite préparer (bonjour les « cordon - bleu » - rire)… Gare à « trop faire en quantité », gare aux restes à gérer, gare à de la bouffe à emporter en quittant la location…

    C’est que les vacances, c’est de l’investissement ! En budget, organisation, prévoyance – anticipation… Et si t’as pas ça dans la peau (la gestion – et avec un petit brin de motivation) c’est plus la galère qu’une « partie de plaisir »… À moins de compter sur un (ou une) qui sait gérer et s’occupe de tout…

     

  • Une "rédac" de la honte !

    Redac de iel

    …Ce texte – d’ Iel - a été noté 18 sur 20 par un professeur des écoles en 2022…

     

    Absolument désolant !

    "Iel" (pour il ou elle) me dérange et m'horrifie. Ce "texte" ne mérite qu'à peine 5 sur 20.

    Je pense aux "rédacs" du temps où je me trouvais en 2ème année de cours élémentaire au "petit lycée" Gambetta à Cahors en 1957, âgé de 9 ans... Mon maître en blouse grise, monsieur Cammas, "la cinquantaine bien sonnée", me gratifiait d'un 9 sur 10 en rédaction... Mais d'un "zéro pointé" chaque semaine, en conduite...

    Il est vrai qu'à l'époque, je "dénotais" par les questions "impossibles" que je posais, par les réponses que je donnais lorsque l’on m’interrogeait, par le fait que j'étais "souvent dans la lune" et "assez bagarreur"(notamment quand on "m'emmerdait")...

    Gloire à cet "instit" Monsieur Cammas, qui, en 1957, notait si bien mes "rédacs" et... Ne vérifiait jamais si la signature de mon père sur le carnet hebdomadaire était "la vraie signature", car je cachais le carnet au fond d'un carton contenant des pains de pâte à modeler et des cahiers à dessin, afin que mon père ne vît point les "zéros" de conduite que je me "pelais" régulièrement... Un jour ma mère en rangeant et faisant le ménage dans ma chambre, découvrit le carnet, et nous convînmes ma mère et moi, de ne point montrer à papa le carnet... Gloire à ma mère, qui elle aussi dans sa prime jeunesse, était "très bonne en composition française"...

    Cela dit, l’on n’est pas forcément « meilleur en écriture » à l’âge de 50 ans – ou même à 70 ans - notamment lorsque foisonnent des idées en lesquelles on se laisse entraîner dans des développements se révélant épuisants à la lecture, même pour les « fidèles » qui, de temps à autre nous suivent…