Articles de yugcib

  • À propos des gestes barrière

    … Se laver souvent les mains tout au long de la journée… Très bien si l’on revient chez soi, de courses… Très bien dans les musées et les endroits publics (cinémas, bars, restaurants, médiathèques, galeries marchandes de surfaces commerciales), où il y a des toilettes…

    Mais lorsque tu te trouves en tant que touriste, ou de sortie en ville, longtemps dans la rue, dans une manifestation extérieure, un marché, un spectacle en plein air, ou allant de boutique en boutique, partout où il n’y a pas de toilettes à proximité (cas très fréquent, d’autant plus qu’en bien des endroits publics d’extérieur les toilettes sont fermées “pour cause d’incivilités”), alors, comment vas- tu – faire pour te laver les mains souvent ? Te trimballer avec une bouteille d’un litre et demi de flotte en permanence ? (au bout de 3 ou 4 lavages de mains, la bouteille est vide, et il n’existe plus nulle part, comme au début du 20ème siècle, de fontaines publiques)… La seule solution consiste à se munir d’un flacon de gel qu’on met dans son sac à main ou à dos.

    La distanciation ? Cela suppose d’avoir systématiquement le réflexe de se tenir à moins de 2 mètres d’une autre personne à proximité (ce réflexe là n’est absolument pas automatique et d’ailleurs il s’avère impossible dans les transports publics aux heures de pointe et… Le jour du “black friday” ou d’ouverture des soldes dans le “rush pour entrer dès la levée du rideau! (par exemple)…

    Le masque ? Il ne protège que partiellement, et avec 7 personnes sur 10 vaccinées, ne plus le porter ne fait plus de mal à grand monde (l’on imagine mal une personne de 90 ans en surpoids, diabétique, aux poumons fragiles, se déplaçant à pied difficilement, présente, debout, au milieu d’une foule ou dans un magasin, une galerie marchande, non accompagnée, durant une heure quelque part hors de chez elle)…

     

    … Et les plus de trois cent mille personnes sans domicile, vivant dans la rue, en France, comment font elles ?

     

     

  • NON au masque obligatoire !

    … Le masque ne devrait plus être obligatoire…

    Entre vaccinés, l’on ne risque pas de se faire bien mal, en cas de transmission du covid en effet, celui ou celle qui, vacciné, est infecté, ne sera pas affecté d’une forme sévère du covid (à l’exception de personnes ayant un “mauvais profil de santé”- par exemple une personne âgée de 85 ans, diabétique, en surpoids et aux poumons fragiles)…

    Dans un endroit où est demandé le pass vaccinal (QR code) ne se trouvent présentes que des personnes vaccinées, donc, le masque est inutile dans ces endroits.

    Dans les autres endroits publics où le pass vaccinal n’est pas demandé, par exemple sur un marché, dans une rue passante, pas d’obligation non plus, de porter un masque, puisque la plupart des personnes autour de soi, sont vaccinées (en moyenne 7 sur 10)… Et que pour les 3 sur 10 non vaccinées, ces personnes là savent, elles, ce qu’elles risquent en tant que réfractaires au vaccin.

    C’est la raison pour laquelle le masque ne devrait qu’être “très fortement recommandé” aux personnes non vaccinées…

    Quant au port du masque imposé aux enfants et aux adolescents, je ne pense pas que ce soit nécessaire : si ces derniers sont pour partie d’entre eux non vaccinés, en cas de transmission ils ne sont porteurs dangereux que pour des personnes de santé fragile qui, elles, savent ce qu’elles risquent en refusant le vaccin…

    D’autre part, en ce qui concerne la vaccination, les enfants et même les adolescents, ne devraient pas être concernés – à moins qu’ils ne se portent eux-mêmes volontaires… Parce que le risque lié à la vaccination, aussi infime et peu probable qu’il soit (effet grave), pour un enfant surtout, ne doit pas être pris…

     

     

  • Imprimante 3D

    Imprimante 3d

    … Cette imprimante 3D, pour le “fameux Black Friday” annuel de fin novembre (vendredi 26 cette année 2021) est proposée à Carrefour, au prix de 149, 99 euro…

    Si, pour une imprimante papier, en deux dimensions, la matière est celle de feuilles A4 en ramette, pour une imprimante en trois dimensions (volume), la matière utilisée est celle de filament thermoplastique en bobine, fondu à 200 degrés, permettant la reproduction d’un objet par superposition de couches de filament, donnant forme à l’objet…

    Les bobines de matière peuvent être de filament composite à base de métal, de fibre de carbone, ou de bois…

    Au prix (150 euro) où est vendue à Carrefour, cette imprimante trois dimensions (auquel il faut bien sûr ajouter le prix de la bobine de matière filament – l’on imagine un prix “accessible” pour du filament thermoplastique, mais sans doute un prix plus élevé pour du filament à base de métal ou de fibre de carbone )… Je suis très dubitatif en ce qui concerne la qualité de la reproduction : l’objet est simplement “cloné” et sa reproduction n’a pas du tout, on s’en doute, les mêmes propriétés et ne peut en aucun cas rendre le même service utilitaire que l’original…

    Soit par exemple la reproduction d’un réveille matin, ou d’une montre : pensez vous sérieusement que cette imprimante 3D, même en utilisant du filament à base de métal, vous reproduira le même réveil, la même montre avec leur mécanisme intérieur ? D’autant plus qu’il faudrait pour cette opération utiliser conjointement une autre bobine de filament… De verre…

    Bon sang, l’on l’imagine pas, tout de même, pouvoir “cloner” des appareils technologiques sophistiqués aux mécanismes intérieurs complexes, par exemple un téléphone portable, un GPS, une lunette astronomique… !

    Un flingue… Qui tire des vraies balles, peut-être, oui (avec des cartouches de filament de matière vendues par Amazon)…

    J’hallucine!

     

     

  • Polémiques autour de "iel" et autres sujets de société

    … L’Histoire humaine depuis le début des grandes civilisations post néolithiques, est jalonnée de grandes controverses qui en leur temps ont occupé les esprits et agité les opinions publiques..

    L’on peut citer parmi ces grandes controverses, celle dite de Valladolid, un débat politique et religieux qui s’est déroulé en Espagne au milieu du 16ème siècle pour déterminer les règles permettant de dominer et de convertir au Christianisme les Amérindiens du Nouveau Monde (le continent Américain) et le partage entre grandes puissances (à l’époque le Portugal et l’Espagne) de part et d’autre d’une ligne située en gros au milieu de l’océan Atlantique Est et Ouest…

    Puis celle qui agita l’opinion publique en France avec “l’affaire Dreyfus” de 1898 à 1906, un conflit politique et social…

    Et encore la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat, de 1905 qui a généré comme une guerre civile en France durant plusieurs années et qui d’ailleurs se poursuit avec les débats au sujet de la laïcité et du fait religieux s’invitant dans le débat public, de nos jours…

    Controverse également au sujet des flux migratoires qui sont aujourd’hui ceux du Moyen Orient et de l’Afrique vers l’Europe…

    Controverse sur la PMA et sur la GPA (procréation médicalement assistée et procréation par gestion par autrui)…

    Controverse sur l’avortement, sur l’homosexualité, notamment en Pologne par exemple, ainsi que dans les pays d’Islam ou de Catholicisme intégriste…

    Controverses de plus en plus diverses et multiples sur bien d’autres sujets de société autour desquels la société se divise, se fracture.. (celle du “iel” et de l’écriture inclusive entre autres)

    Controverse sur la vaccination…

    Dans toutes ces controverses, les uns et les autres, dans leurs oppositions radicales et déterminées, avancent leurs argumentations, leurs statistiques, les données dont ils disposent dont certaines il faut le reconnaître sont en partie fondées, appuyées de témoignages, de vécu…

    La caractérisque principale et générale de toutes ces controverses, c’est qu’elles débouchent toutes sans exception, sur des polémiques épuisantes et sans issue, des positions figées des uns et des autres…

    Cependant, dans le contexte de l’évolution du monde, de la société, qui est celui d’aujourd’hui, et qui est en même temps lié à l’environnement (le devenir de la planète – l’écologie, le bouleversement climatique, l’épuisement des ressources naturelles)… Un contexte il faut dire “assez dramatique et très inquiétant pour la survie de l’espèce humaine”… Toutes les controverses qui agitent les opinions publiques, qui divisent et fracturent la société, qui font les individualismes forcenés, les consommateurs que nous sommes d’idéologies de toutes sortes, avec nos engouements, nos crispations, nos batailles sans vainqueurs ni vaincus (et les comportements qui en découlent)… Tout cela si l’on y réfléchit vraiment… Quel en est le poids réel en face de ce qui nous menace et risque de nous faire disparaître… “Les enfants de Dieu pour les Croyants – créés selon les Croyants, à l’image de Dieu leur concepteur créateur) ou les humains que nous sommes, êtres vivants dotés de pouvoirs, de capacités, que n’ont pas les autres êtres vivants -qui eux, ont d’autres pouvoirs et capacités que nous n’avons pas – êtres vivants, et humains, “scientifiquement et biologiquement parlant” …

     

    … Il semble que “l’heure n’est point venue” de “tout mettre sur la table”, de se livrer et de se confier entre nous, “à cru et à cœur et sans fioritures”, et, de par delà nos si énormes différences, de mettre aussi sur la table le “stress”(les interrogations, les souffrances) qui nous est commun à tous… Et, finalement nous “jeter dans les bras les uns les autres” …

    Non, l’heure n’est pas venue…

    Ça sera donc… Titanic, avec pas assez de canots de sauvetage…

     

  • Une question qui me reste en travers de la gorge

    … Comment, de quelle façon et par quoi, les dizaines de milliers de personnes en Belgique, Pays Bas, Allemagne, France, Suisse, Luxembourg et autres pays européens, nouvellement contaminées covid ces derniers jours, ont pu être, chacune d’entre elles “formellement détectées/identifiées” comme ayant été infectées ; sachant que :

    - Un nombre infime de personnes, par rapport à une population locale, par jour, se fait tester ou est testé lors d’une entrée en milieu médical.

    - De nombreuses autres personnes, se sentant comme “un peu grippées sans plus” (cas très fréquent), ne consultent pas de médecin et ne se font pas tester pour savoir si c’est le covid ou non.

    Étant donné le nombre de symptômes similaires entre le covid et les affections grippales, rhumes et bronchites, trachéites etc. … Comment un médecin – s’il y a consultation – peut-il diagnostiquer par simple auscultation, une atteinte de covid ?

    En ce qui concerne les tests, depuis qu’ils sont payants (20 euro le test) et non remboursés en cas de “motivation personnelle” (pour pouvoir se rendre dans un lieu où est exigée une preuve de non contamination), plus personne ne se fait tester “rien que pour savoir” ! On le voit bien : le nombre de test par jour a considérablement diminué en France, depuis que les test sont payants pour “motivation personnelle”.

     

    D’autre part, sur les dizaines de millions de vaccinés que nous sommes, environ 75% de la population française, combien de gens sur ces dizaines de millions, durant les 6 ou 8 mois précédents, ont-ils une fois contracté le covid sans le savoir ? Il doit même y avoir des “cas de figure” où des gens se sont fait vacciner peu de jours après avoir contracté le covid sans le savoir…

    Et ces mêmes dizaines de millions de gens, pour 99% d’entre eux – ce qui est logique – à aucun moment ne se demandent s’ils peuvent être porteurs du virus (on peut se douter que oui, mais cela ne prend guère d’importance, n’inquiète pas trop)… D’ailleurs, partout où l’on flashe le QR code à l’entrée, personne au contrôle ne demande la preuve de non contamination au gens qui présentent leur QR code vaccinal… Autrement dit, “tu viens de choper le covid sans le savoir, tu es quinze jours porteur sans être malade puisque tu as été vacciné, et le pass portant le QR code te permet l’accès”… ,

     

    D’autre part, encore, des études montrant qu’au bout de six mois, l’immunité acquise par le vaccin diminue, cela donne parmi les vaccinés de plus de six mois, notamment les plus fragilisés d’entre eux, de nouveaux cas forcément… Mais là une autre question se pose, c’est celle de l’immunité acquise (et pour combien de temps) après une contamination ancienne (qui s’est traduite ou non par des effets)…

     

    Il est à craindre – ce que l’on constate avec le temps – au bout de 6 mois, un an, que ni le vaccin, ni une contamination initiale n’immunise durablement (pour 10 ans et encore moins pour la vie entière) !

     

    … Mais alors… Si vraiment les autorités sanitaires annoncent ces nombres de contamination, c’est qu’elles le font sur des bases ou des données “fiables”… Mais lesquelles ? S’il n’était pas possible par exemple, de parler de 20 000 ou de 30 000 – par jour… Aucun chiffre ne pourrait être avancé!

    Tout le monde sait que des tas de gens contractent le covid sans savoir que c’est le covid! (et ça, on ne peut le mettre en chiffres!)

     

     

  • "Iel", un virus !

    … Il m’est bien difficile voire impossible d’arriver à comprendre et à admettre qu’un dictionnaire tel que le Robert, tout de même une référence pour la langue française (vocabulaire, grammaire)… Ait pu introduire et officialiser le pronom “iel” (pour il, elle) dans ses pages de la lettre I…

    Il y a bien là – à mon sens- une aberration.

    Les autres dictionnaires, le Larousse par exemple, vont – ils suivre et introduire “iel” à leur tour?

    Ce pronom “iel” est un virus de déconstruction de la langue française, qui, aujourd’hui introduit, va se développer, se multiplier en différentes formes, appeler d’autres introductions de termes, de substantifs (noms communs), d’adjectifs, de verbes que la grammaire française devra absorber – on se demande comment et selon quelles règles …

    Ainsi avec “iel” l’on va lire “Iels sont fatigués” ou “Iels sont fatiguées”, ce qui, pour “iels sont fatigués” comme pour “iels sont fatiguées” est grammaticalement incorrect (de même, avec iel au singulier, “iel est fatigué, iel est fatiguée”…

    Si, avec “iel” on applique la règle grammaticale il faut écrire : iel est fatigué-e , iels sont fatigué-e-s … Ce qui introduit “de force” l’écriture dite inclusive (une autre aberration)…

    À moins d’écrire : iel est fatigué(e), iels sont fatigué(es)…

     

    Soit dit en passant, l’écriture inclusive dans le but de “dégenrer”( mettre à égalité le masculin et le féminin sans privilégier l’un ou l’autre) ne rend en aucune façon la femme l’égale de l’homme…

    Au lieu de “bricoler avec la grammaire” en introduisant “iel” et l’écriture inclusive, l’on ferait mieux, mille fois mieux, de commencer par égaliser les salaires entre les hommes et les femmes dans les activités professionnelles, les entreprises, partout où des hommes et des femmes travaillent ensemble…

    Je serais curieux de savoir, toujours soit dit en passant, comment les musulmans établis en France et parlant/écrivant Français, perçoivent ce pronom “iel” et ce qu’ils pensent de l’écriture inclusive…

     

    Dans l’espace géographique qui est celui de la France , espace situé à l’ouest du continent Eurasien (Europe Asie) avec pour rivage la cote Atlantique depuis la Manche jusqu’au golfe de Gascogne, et de 42 degrés de latitude nord Perpignan à 51 degrés de latitude nord Dunkerque ; à la fin du 21ème siècle quel “Français” parlera et écrira – t – on ? (Si le Français existe encore et avec quels apports aussi nombreux que divers, dont en particulier des “anglicismes”, des termes, des locutions venus du Chinois (du Mandarin), de l’Arabe ? …

     

    … On le voit bien dans l’évolution du monde et de la société tous environnements et cultures confondus) depuis environ une vingtaine d’années et dans une accélération sans précédent dans l’Histoire humaine ; nous sommes dans un changement radical de “paradigme”, à savoir (pour définir et expliquer ce qu’est un paradigme) : une représentation du monde, une manière de voir les choses, selon un modèle reposant sur des bases définies – mais définies en fait, par les Décideurs et les Dominants auxquels s’est ralliée par adhésion, par intérêt, par démission, par passivité, ou encore par intoxication, par conditionnement ; une majorité de gens dans le monde…

    Et ce “iel” (ce virus de déconstruction – de la langue française mais aussi en même temps, de la société- ) s’inscrit dans le “paradigme”…

    Certes, le “paradigme” existait déjà depuis les premières grandes civilisations post néolithiques (avec au “sommet” de la “pyramide” les Décideurs, les Dominants et les Possédants (jadis de la terre)… Mais l’évolution se faisait à un rythme bien plus “solaire” (ou naturel), que de nos jours dans les immenses, violents et rapides bouleversements qui s’opèrent…

     

     

  • La liberté d'informer

    Reportages

    … Avec les lobbies de l’Audiovisuel et de la Presse, qui ont la main sur tout ce qui se publie, se diffuse, se voit à la télévision, s’entend à la radio et qui oblige les journalistes, les chroniqueurs à se conformer à une “ligne éditoriale” – ou de convenance ; ainsi d’ailleurs, de la part des géants de l’information – presse – audiovisuel, à l’égard des gens ordinaires ayant la possibilité de s’exprimer dans les “courriers de lecteurs”, tribunes émissions publiques de radio, pages dialogue de journaux…

    Les députés élus de l’Assemblée Nationale, les maires et détenteurs de quelque autorité, personnalités du monde de la littérature… Qu’ils soient (les élus) “Macronistes” ou autres (quand bien même ils seraient “Mélenchonistes” – enfin tout ce que l’on voudra)… Tous les intervenants qui s’expriment sur tel ou tel sujet, à propos de quelque fait d’actualité que ce soit… Sont tous “profilés”, épiés, et n’ont qu’une liberté très réduite, quand elle n’est pas, cette liberté, empêchée, muselée, sous le coup de poursuites judiciaires… Ou assez souvent, comme reprise en compte par intérêt…

    C’est ainsi que, de plus en plus – on le voit bien d’une année à l’autre – les lanceurs d’alerte, les témoins de l’inacceptable, observateurs et rapporteurs de conditions de travail exécrables chez Free et chez LIDL entre autres, d’abus de toutes sortes des dominants, des exploitants, ne peuvent s’exprimer (s’ils y arrivent) sans risquer d’être condamnés par la Justice (souvent il faut dire, sur dénonciation anonyme ; ou encore par des robots, des intelligences artificielles logarithmées)…

    Cette loi sur le “secret des affaires”, avant d’être introduite dans les Textes, pré- existait déjà et exerçait sa pression sur les organes de presse et de diffusion de l’information.

    La démocratie, la vraie, celle qui est évoquée dans les Textes, dans les Ordres, dans les constitutions… N’a jamais existé, ou n’a été qu’apparente…

    La démocratie, la vraie, celle qui n’est pas une apparence, une illusion, reste à conquérir par la force, mais peut – être autrement que par la force des armes, que par les mouvements de foule et de meutes, que par des révolutions n’ayant d’autre conséquence que de substituer un nouvel ordre à un ordre… Et de nouvelles prisons à des prisons, de nouvelles exclusions à des exclusions…

     

  • "Iel" je t'emmerde !

    … Je hurle de rage à “IEL” et autant pour l’écriture dite “inclusive” !

    En pensée je brûle les nouveaux dicos qui ont “officialisé” le pronom “iel” !

    Je hurle haut et fort sur la place publique : “ nos éminents grammairiens et académiciens progressistes réformistes sont des assassins de la langue française !”

     

    … Il y a de ces colères très fortes qui s’apparentent à de la haine… Encore faut-il distinguer la haine contre des personnes – c’est à dire des êtres humains – de la haine contre des comportements, des agissements, des manières de penser, des pratiques, des idées (idéologies), des systèmes, des principes, des modes… Que l’on combat, contre lesquels on s’insurge…

    Le problème c’est que derrière des comportements, des agissements, des manières de penser, des pratiques, des idées, des systèmes, des principes, des modes ; il y a des personnes…

    À défaut de s’en prendre directement, frontalement, à des personnes – ce que l’on serait enclin à faire dans un agissement violent – on s’en prend à une représentation : en l’occurrence, à propos des acteurs en tant que personnes, de l’institution de l’écriture inclusive et du pronom “iel” désapprouvés, la “représentation” c’est le dictionnaire qui est mis en diffusion officielle, reconnue ; et que l’on souhaite détruire, brûler en pleine rue après l’avoir ôté de la librairie ou du magasin où ce dictionnaire figurait en rayon…

    Brûler, détruire, est un acte “fort” (de violence), un acte pouvant être qualifié de haineux, mais qui traduit, à mon sens, davantage un mouvement d’extrême colère ou de révolte, que de la haine proprement dite du ou des personnages en tant qu’acteur(s)…

    “Idéologiquement – ou philosophiquement” parlant, je pense que la haine ne peut être justifiée, ne peut être laissée, livrée à elle même… Elle peut juste, “à l’extrême limite” être “concevable” parce qu’elle est inhérente à la nature humaine (les autres êtres vivants que l’humain ne haïssent pas)…

    Inhérente donc reconnue en tant que réalité…

    Dans un certain sens, “il faut” – façon de parler- l’accepter, la haine, en tant que réalité (et par extension, accepter l’existence du mal)…

    Et de l’acceptation, de la reconnaissance, de la réalité de la haine, vient – ou peut venir- la conscience même de ce qu’elle est, de ce qu’elle implique, la haine… Alors s’ensuit – ou peut s’ensuivre – la réflexion sur l’implication…

    Alors s’ouvre, avec la réflexion, une “porte” sur ce qui n’a pas été exploré… C’est alors que la haine peut commencer à refluer…

     

     

  • Réflexion sur le langage écrit et parlé, sur les règles, sur les apports et sur les singularités

    … Les grammairiens et les académiciens, ainsi – parfois – que les tenants d’une littérature aux règles immuables et incontournables sur le plan de la logique, de la syntaxe, de la forme et du sens – en somme de la beauté, de la pureté, de la richesse, de la diversité et en même temps de l’unicité de la langue écrite (et parlée)…

    Non seulement les grammairiens et les académiciens mais aussi les auteurs, les écrivains et les poètes attachés “viscéralement” et inconditionnellement à l’authenticité, à la pureté de la langue – française ou autre… Tout en s’affirmant les garants de la pureté et de ce qu’il y a d’intemporel, d’immuable, de la langue – et qui selon eux, “n’est pas négociable”…

    Contribuent – parfois- à une ou à des évolution(s) de la langue… Soit par des apports, soit par de “nouvelles” formes (ou formulations)…

    Le “problème” que pose l’apport ou la “nouvelle” forme (ou formulation) dans le langage écrit (et parlé) est lié au rapport qui s’établit entre la règle, la logique, le sens, la perception et l’acceptation par le lecteur ou par l’entendant… D’une part ; et ce qu’apportent l’élément, le terme, la formulation, nouveaux et introduits dans le langage… D’autre part.

    Tout est dans ce rapport…

    Ce qui n’entre pas dans le rapport (qui, dans ce cas “déroge”, dérange, en s’écartant du sens, de la logique, en n’étant que de l’effet recherché, ou même en étant l’expression d’une singularité inhérente à la personnalité même de l’exprimant)… Ne peut, en aucun cas, être comme “officialisé” – en somme, entrer dans la normalité, dans la règle, dans le Dictionnaire… Mais doit demeurer indépendant (pouvant certes, être reconnu mais seulement reconnu en tant que singularité)…

     

    Si je hurle de rage à “iel” et à l’écriture inclusive ; si j’accuse (dans la colère) les grammairiens et les académiciens progressistes réformistes d’être des assassins de la langue française en se “fondant dans le moule” des modes, des engouements, de la modernité dans ses évolutions et en instituant et en officialisant de nouvelles règles…

    Je hurlerais autant de rage si, par exemple, les mêmes “décideurs” et arbitres et gardiens” devaient instituer et officialiser mes propres expressions personnelles et langagières, en somme la grammaire et le vocabulaire du personnage que je suis…

     

    La singularité peut être reconnue… Elle doit même l’être… Mais elle ne peut être “officialisée” ou devenir la règle, ou une règle…

     

     

  • La couleur

    Ils, elles

    N’annoncent pas la couleur

    Ils, elles

    Préfèrent la dissimuler la couleur

    Par le silence

    Par le non dit

    De peur que

    Ça fasse de brûlantes éclaboussures

    Et en retour de cuisantes giclures en projection

    Sur ta pomme

    De peur de

    Casser la relation

    De peur de risquer l’opprobre

     

    N’annonçant pas la couleur

    Ils, elles

    S’exposent à la suspicion

    Et en somme

    À ce qui fonde le supposé

    Et finalement

    À ce qui transparaît

    Du silence

    Du non dit

     

    Il paraît

    Que ne point annoncer la couleur

    C’est civil

    C’est de bon aloi

    À vrai dire

    Et je le dis

    Ça pue le cornichon vinaigré

    Et c’est fou

    Le cornichon vinaigré

    Ce que ça fait bander les narines

    Ce que ça conforte le goût

    Le goût qu’il convient d’avoir

     

    Mais

    Est-ce qu’annoncer la couleur

    Ça fait pas plutôt le Personnage

    Que l’Humain que l’on est

    Parce que si c’est que le Personnage

    C’est de l’imposture

    De l’imposture avec ou sans suiveurs

    Avec ou sans abonnés

    Avec ou sans tapements des mains ou des pieds

     

  • Le vélo électrique ne vaudra jamais ce cyclomoteur d'antan

    Mobylette

    … Sauf peut-être les VTT ou VTC électrique ayant le moteur au pédalier, plutôt qu’à la roue arrière… Et avec des rapports d’assistance électrique “éco – tour – sport – turbo” (au moins 4 niveaux)…

    Les batteries ? Pour les vélos et surtout pour les autos, ce n’est pas vraiment “écolo” vu la quantité de “métaux rares” qu’il faut extraire du sol dans les régions du monde où sont ces métaux ; sans compter le temps de chargement des batteries (plusieurs heures et “pompant” de l’électricité bien plus qu’une machine à laver)…

    Pour une autonomie, finalement, d’environ 70 à 80 km en vélo ( à condition de mettre la batterie en sourdine – zéro ou éco- durant au moins un tiers du parcours )…

     

    Ce cyclomoteur de jadis – qui pourrait être refabriqué et remis en circulation, a un moteur à deux temps consommant 2,5 litres de carburant (du mélange essence huile 3 ou 4% huile) par 100 km… La contenance du réservoir pouvant permettre de parcourir 150 km soit 2 fois plus qu’un vélo électrique…

    D’autre part, en ce qui concerne un certain effort physique tout de même, à faire ; lors d’un parcours relativement accidenté, par exemple un circuit ou un trajet comportant sur 50 km, 20 ou 30 km de montées, le cyclomoteur étant doté d’un pédalier, incite l’utilisateur à fournir une assistance musculaire afin “d’aider” le moteur…

    Vous ne trouvez pas que ce cyclo de jadis a “une meilleure allure” que les lourds et encombrants scooters que l’on voit de nos jours ? Une “meilleure allure” et une plus grande maniabilité ?

     

     

  • Coup de gueule du jour

    … Bon sang, mais d’où “ils” les sortent ces chiffres sur le nombre de contaminations au covid, en augmentation ces derniers jours ?

     

    Sachant que, pour le “quidam” que je suis multiplié par plus de 5 millions de mes concitoyens non vaccinés ainsi que par plus de 60 millions de vaccinés ; les uns non vaccinés pour la plupart d’entre eux ne se font plus tester (à 20 euro le test), les autres vaccinés se faisant encore moins tester pour savoir s’ils seraient porteurs (en effet en tant que vacciné je me fous complètement de savoir si je suis éventuellement porteur et en nul endroit où je me rends on exige que je prouve que je suis pas porteur, on me demande juste un pass sanitaire dont je dispose et que je présente là où il faut)…

     

    Et d’autre part – et c’est bien là un constat que l’on peut faire déjà pour soi même et autour de soi d’une manière plus que générale – si on se sent “un peu patraque, un peu fiévreux”, comme pour un rhume en somme, est-ce qu’on va consulter un médecin pour autant ? Et donc, si c’est le covid, qui le saura?

     

    Comment peut-on identifier le covid sans test, sans aucune analyse de laboratoire, seulement sur la base d’un diagnostic de type médecine générale, c’est à dire par auscultation ?

    Est-ce qu’un simple médecin de médecine générale peut, sans test, sans analyse ordonnés, diagnostiquer (comme il le fait pour une colique ou un rythme cardiaque anormal) une atteinte de covid ? Absolument pas !

     

    Alors dans ces conditions, vous comprenez, le chiffre sur le nombre de contaminations des derniers jours, est un non sens, ne peut révéler aucune réalité vraie !

    Les seuls chiffres valables et fiables sont ceux du nombre d’entrées en hospitalisations pour covid (dans ce cas oui, identifié par test et analyse) et le nombre de morts en service de réanimation…

     

    Et puis, pour vraiment “dire les choses à cru et à cœur et sans fioritures”… Depuis deux ans que ça dure cette histoire de covid, pour une maladie qui fait 2% de morts “officiellement” et sans doute le double voire le triple à l’échelle mondiale, cela n’en fera jamais autant, de morts, que le cancer, que la malnutrition, que les guerres, que la misère, que toutes les maladies graves et invalidantes réunies, tout cela, toutes ces vacheries abominables ayant un taux de mortalité supérieur à 50% !

     

    Ainsi pour une vacherie (le covid) qui tue à 2% et au pire à 5% de la population mondiale, et rend malade vraiment malade un dixième de la même population mondiale, l’on a pris tout un ensemble de mesures contraignantes qui ont foutu en l’air l’économie et la vie sociale, qui nous a tous “pourri la vie” et nous la pourrit encore ! Alors que tout le reste (le cancer, alzheimer, la malnutrition, la misère, les guerres, les maladies graves) nous pourrit la vie bien davantage dans un quotidien fait de drames et de situations suite à ces drames, très difficiles pour des dizaines, des centaines de millions de gens…

     

    Quelle disproportion ahurissante que celle de tout ce qu’on fait contre le covid en rapport avec la mortalité, avec la dangerosité réelle du covid!

    Et depuis deux ans, ces milliers d’heures de plateaux télé d’émissions notamment sur BFMTV, LCI, CNEWS, etc. autour du covid - des télés aux mains de grands lobbies de l’audiovisuel et de l’information… ( Télé tu – es – laid comme je dis )…

    Absurde! Délirant! Hallucinant, tout ça !

     

    Et ce qui me gave, dans tout ça, c’est de voir tous ces gens “vertueux et obéissants” souvent donneurs de leçons de morale à leurs façons qui se ressemblent toutes, qui, aussi stoïques que raisonnables, “font avec”, s’adaptent, et qu’on voit par exemple avec déjà le masque 50 mètres avant d’entrer dans la boulangerie ou le supermarché !

     

    Et pour conclure dans ce même mouvement de colère du jour… À tout ce qu’il faut subir à cause de ce putain de covid, en plus/en plus, y’a la campagne électorale, un autre genre de covid si l’on peut dire (la “Zemmourite”) et bientôt, premier semestre 2022, le mundial de foot au Qatar… Et, ce très prochain “black friday” fin novembre ou début décembre (avec bien sûr le masque et des pèrnohaux made in Bangladesh)…

    Enculatory Lavatory Vécécireur !

     

     

  • Silence ou révolte

    … Entre le silence et la révolte, je ne fais pas vraiment de différence : le silence n’est-il pas par lui même déjà, selon l’usage que l’on en fait – pour autant que l’on l’exprime et qu’il soit, le silence, pressenti ou réellement perçu – une forme de révolte ?

    Tout comme la révolte, le silence peut blesser, être mal perçu, indisposer, surprendre, vexer… Jusqu’à mettre fin à une relation…

    S’il y en a peut-être (ou sans doute) une, oui, de différence, entre le silence et la révolte, c’est dans le fait que le silence est plus violent, plus “laminant” dirais-je, que la révolte… Lorsque le silence est perçu dérangeant, accusateur, et donc lorsqu’il condamne sans que soit dit ou écrit un seul mot…

    Quoiqu’il en soit, du silence ou de la révolte, autant l’un ou l’autre perçu – et même “subodoré”- il est “interpellant”, il questionne, il “remet en cause” ce qui fonde une vision que l’on a, que l’on se fait, à propos de ceci ou de cela que l’on croit…

    Il n’est pas sûr qu’il “rectifie”, il n’est pas sûr qu’il change quoi que ce soit dans nos comportements, dans nos croyances, il est comme une gifle reçue ou comme un coup de règle plate sur les fesses, et après que cela eût bien cuit la peau, l’on remet un boulon dans le porte projectile du lance pierres…

     

  • Les étrangers

    Les etrangers

    … En voyant cela, j’ai pensé à une pub – que l’on ne voit plus parce que les pubs ça va ça vient et qu’il en sort sans cesse des nouvelles à la pelle – une pub qui doit dater des années 2006, 2007… Qui représentait en une affiche de 4 X 4 mètres, Johnny Halliday OPTIC 2000 promo lunettes…

    Je m’étais dit à l’époque : “Si OPTIC 2000 avait pris MA POMME au lieu de celle de Johnny Halliday, pour son affiche de pub, ça lui aurait coûté beaucoup moins cher à OPTIC 2000 !”…

    En effet, j’aurais “posé” dans l’atelier photo de la célèbre marque de lunettes (que tout le monde connait et dont on voyait partout, dans les abris de bus, la grande affiche 4 X 4)… Pour un tarif disons, de quelques centaines d’euros seulement…

    En conséquence, OPTIC 2000 aurait réalisé une économie substantielle en me prenant, moi Yugcib (ou Guy Sembic) sur la Toile, plutôt qu’une “bête de scène” telle que Johnny Halliday… Bon, ça c’est “un volet” de la conséquence… L’autre “volet” étant celui lié au fait que “ça faisait en même temps de la pub pour “l’homme d’écriture que l’on peut apercevoir sur la Toile car, en lieu et place d’avatar, c’est ma pomme que l’on voit, en vrai de vrai (rire)…

    Cela dit, d’aucuns m’auraient rétorqué : “oui mais Johnny Halliday en 4 X 4 Optic 2000, ça fait plus d’effet qu’un type dans mon genre, c’est pourquoi Optic 2000 préfère payer très cher la pomme de Johnny Halliday pour vendre ses lunettes”…

    Comme quoi, du fait que dans la réalité les gens ayant besoin de lunettes, ce qu’ils voient le plus dans l’affiche, c’est sa dimension et l’endroit où elle est collée (par exemple un abri de bus en grande métropole urbaine)… Au fond, Johnny oui, ça tape, c’est percutant c’est vrai, mais c’est peut-être pas ça qui détermine… Alors autant qu’OPTIC 2000 à l’époque, m’eût pris, moi, plutôt que Johnny!

    Allez, je veux bien “poser” pour une grande marque : je prends pas cher, je suis très compétitif ! Je fais même “au black” si on veut ! Sans contrat!

     

    … À propos de ces gens, étrangers, maghrébins pour la plupart, si mal perçus mais “faisant les affaires” des patrons et des propriétaires de domaines agricoles, viticoles… Qui les prennent “au noir” pour des tâches pénibles sans qualification… Je me souviens de cette information qui, à l’époque, dans les années 1960/1970, circulait et était à la connaissance de tout le monde :

    Les gros viticulteurs et propriétaires terriens de grands domaines, dans le midi de la France, Languedoc, Roussillon, Provence, employaient pour des salaires de misère, à l’heure ou à la journée, sans contrat, “au noir” donc, des quantités de maghrébins, en général des marocains et des algériens venus clandestinement en France, pour effectuer ces travaux pénibles qu’aucun Français à l’époque n’aurait accepté de faire…

    Ils étaient “logés”, tous ces gens, dans des “algécos”, des baraquements en tôle ou en bois, et travaillaient dans les champs, dans les vignes, du matin très tôt au soir tard, par tous les temps, en hiver, avec le gel et la neige, le grésil, le vent…

    “Comme par hasard” ces grands propriétaires et ces gros patrons vignerons, ils étaient tous pour le Front National, anti migrants, n’aimaient pas les Arabes, qu’ils prenaient pour des voleurs et des feignants, avaient soutenu les gros colons en Algérie, et sans cesse dans leurs propos, disaient qu’il y avait trop d’immigrés en France…

    Cependant, ils étaient les premiers à utiliser cette “main d’œuvre” bon marché, qui ne leur coûtait rien en prestations sociales et en “charges” ; ils les faisaient même venir d’Afrique du Nord par des réseaux de passeurs…

    Je ne pense pas que “cela a beaucoup changé” 50 ans plus tard! Quoiqu’on dise (les gouvernements, les autorités, etc.)… Des mesures prises au sujet de l’immigration et des politiques menées depuis 50 ans…

     

     

  • Les réseaux sociaux, un terreau

    … Il peut paraître à juste titre, déplorable, que les réseaux sociaux puissent être comparés à du terreau favorisant le développement de ces pousses nauséabondes que sont la traque et la délation…

    Ce qui, il faut dire, est “manifestement le cas”…

     

    Cependant, faut-il s’offusquer lorsque traque et délation visent des “cibles” telles que, par exemple, des mutileurs de chevaux ou des pédophiles avérés ?

    Et même, “encouragent” à la constitution de patrouilles et de groupes organisés, pour s’en prendre par “opérations et agissements violents”, à des personnes absolument indéfendables et dangereuses, telles que des pédophiles avérés ?

     

    Une majorité de gens en France et ailleurs, ne “fermerait – elle pas les yeux”, sur ce genre de traque et de délation à l’encontre par exemple, de mutileurs de chevaux et de pédophiles avérés, traque et délation qu’au fond d’eux mêmes ils concevraient de “laisser faire” ?

     

    Ce qu’il y a de sûr – je l’exprime ainsi publiquement et j’assume – c’est que, question “cibles” ou “boucs émissaires”… De tout temps à jamais, l’on n’a jamais visé ou tiré sur les cibles qu’il aurait fallu viser… Toujours “celui qui pense et qui vit pas pareil et qui gêne”, les Juifs, les Homosexuels, les migrants, toutes sortes de gens “en marge de la société”, et même jusqu’à des handicapés, des personnes fragiles et “un peu dérangées”, etc… J’en passe y’en a des quantités…

     

    Les “vrais/vrais dangereux”, les vrais prédateurs, les vrais inacceptables, les vrais indéfendables… En vérité – c’est ce que l’on constate – sont considérés comme des malades qu’il faudrait soigner, et, “bizounoursement parlant”, l’on croit qu’ils pourraient être “récupérables”…

     

    L’on ne fait guère preuve d’autant d’humanité, en comparaison, hélas, et fort injustement, envers les juifs, les homosexuels, les “pas catholiques” qui dérangent, et même dans la société “civilisée” où l’on vit, des handicapés lourds, des personnes fragiles (d’ailleurs délaissées et méprisées jusque de leurs proches)…

     

    Soit dit en passant, à propos d’indéfendables et de cibles à viser… Jamais non plus trop, à l’égard des multi milliardaires, des actionnaires, des dominants possédants décideurs, de ces personnages à la tête des Big Pharmas et autres redoutables et exécrables prédateurs humains n’ayant rien d’humain… Qu’il conviendrait d’éliminer radicalement de la surface du globe, avec les pédophiles et les plus cruels et barbares des assassins, et quelques affreux et dangereux voyous, caïds, meneurs de bandes, ennemis de la France et de la société, gens totalement irrécupérables et forcément récidivistes lorsqu’ils sont relâchés au bout de 10 ou 15 ans !

     

    Il n’y a jamais eu d’”épuration convenable” ! Sauf peut-être sous la Révolution avec la Terreur en 1793, ou dans les débuts du Bolchevisme après octobre 1917… Sans doute certes, d’effroyables époques, durant lesquelles des innocents ont péri, mais tout de même où un certain nombre de vrais salauds ont été, durant la Terreur, “raccourcis”, et sous les Bolcheviks, jetés dans des camps en Sibérie, ou “passés par les armes”…

     

    L’extrême violence en tant que “moyen” de lutte contre l’inacceptable, notamment durant des périodes troublées, de crise sociale, de révolution, de désordres… Est parfois hélas, comme un “passage obligé”, incontournable, dans un certain sens “purificateur”, mais le plus souvent il faut dire, occasionnant “quelques dégâts collatéraux”…

     

    L’extrême violence donc, en tant qu’étape, n’étant que provisoire, mais ne devant jamais par la suite, être durablement instaurée, planifiée, organisée…