Articles de yugcib

  • Vers une immunité collective quoiqu'il arrive ?

    … Dans une petite commune des Vosges ( Courcelles sous Châtenois) une famille (trois personnes :les parents et leur fils, sont décédés du covid, en l’espace de quelques jours…

    Ils n’étaient, aucun des trois, vaccinés…

    Ce qui me conduit à penser que, lors de cette flambée nouvelle de contaminations au covid, depuis deux semaines, et qui s’accélère ; les personnes encore non vaccinées ( environ 15 millions sur un total de 66 millions sachant que 51 millions sont vaccinés) doivent forcément être dix fois plus nombreuses à être infectées, que lors des vagues précédentes de l’épidémie…

    Ce virus décidément, en face d’un potentiel réduit, de 15 millions de personnes, n’ayant plus comme avant 30, 40 millions de personnes non protégées ; semble “mettre toute la gomme” sur une fraction de la population non protégée…

    Si cela s’avérait vrai, avec plusieurs millions de vaccinés en plus selon les objectifs recherchés (d’ici 3 mois mettons), qu’est-ce que ça va “flamber” alors, dans ce qui restera encore de personnes non protégées ! Comme si un étau se resserrait plus fortement sur ce qui reste de population non protégée !

    À tel point qu’en définitive ce sont tous les non vaccinés qui vont être infectés, les uns après les autres jusqu’à ce qu’il n’en reste plus un seul à atteindre…

    Cela veut dire que quoique l’on fasse ou ne fasse pas, contre le covid, il va arriver un temps où toute la population sera immunisée (les uns par le vaccin, les autres, naturellement)…

    Immunisés, que nous serons tous… Mais pour combien de temps ?

     

     

  • Le niveau insupportable atteint par la tolérance, de nos jours

    Tolerance

    … C’est l’esbrouffe, c’est la hargne, c’est l’épidermique, c’est l’émotionnel, c’est le sensationnel, et parfois la haine, et souvent le péremptoire, le raccourci… Quand ce n’est pas le non dit, l’omerta ou le silence complice… Tout cela sur fond de massacre de la langue et de la grammaire française avec la bénédiction de quelques intellectuels “progressistes” invités de plateaux télé et écrivant des bouquins de politicaille ou relatifs à des sujets de société… Qui se substitue à la réflexion ou qui la remplace et la méprise voire même la proscrit et la honnit…

    Tout cela ayant fait de la tolérance un torchon sale agité en étendard derrière lequel se pressent des hordes de crétins ne risquant, aucun d’entre ces crétins, d’être offensé et de se voir interdit de hurler…

    Si Voltaire, le Grand Voltaire alias Jean Marie Arouet, philosophe et promoteur de la tolérance, voyait ce que nous avons fait de la tolérance au 21 ème siècle, il se retournerait dans sa tombe!

    Au moins, au 18ème siècle, les gens “de la Haute” aussi hypocrites, perfides et fielleux qu’ils étaient… Écrivaient et parlaient correctement – et même plus que correctement – la langue française!

     

     

  • Le vaccin, oui ; mais les monopoles des Big Pharmas” et les brevets, non !

    … Les non vaccinés résolus dans leur refus du vaccin, représentés par les personnes les plus influentes et les “mieux crédibles” des milieux médicaux et scientifiques, s’appuyant sur leurs argumentations et sur des faits constatés… Devraient se poser cette question :

     

    “Faut-il, afin de ne pas courir le risque aussi minime qu’il soit mais réel, d’effets secondaires graves pour -mettons – 0,001% de gens (dont des enfants et des jeunes en général peu atteints dans des formes graves du covid), accepter de prendre un autre risque, celui là plus élévé, de voir un nombre important de personnes, sans vaccination, gravement atteintes et décédant du covid” ?

    Autrement dit de faire le choix d’un risque minime mais réel, en refusant le vaccin?

    En effet, pour un père ou une mère qui ne veut à aucun prix faire courir le risque à son enfant, risque minime- du vaccin (effet indésirable entraînant la mort), cela se comprend…

    Et de même pour l’un de ses proches n’étant pas très âgé et sans “comorbidités”, ou encore pour lui, elle même…

     

    Oui, les non vaccinés résolus devraient se poser cette question !

     

    Aux personnes qui ont eu des proches, vaccinés, affectés par des effets secondaires graves à la suite de l’injection du vaccin ; rares mais en mesure de témoigner… Je leur dis sincèrement que je suis désolé, vraiment désolé pour elles – c’est le moins que je puisse dire…

    Mais, en ce qui me concerne, “pro vaccin résolu que je suis”, si après avoir reçu la dose de rappel, “il m’arrive quelque chose” de totalement imprévu, et de grave ; je demeurerai toujours pour la vaccination, je ne “retournerai pas ma veste” ! Parce que je suis convaincu de la différence importante qu’il y a entre deux risques (le risque lié à l’administration du vaccin, relatif à des effets indésirables et graves, et le risque sans vaccination, bien plus élevé d’être atteint du covid et d’en mourir)…

     

    Cela dit, il existe des traitements efficaces contre le covid, hors vaccination, qui ne sont pas prescrits… Et qui ne font pas l’objet de débats et de controverses, qui ne sont pas évoqués, pris en considération par les médias…

    En effet, le problème de ces traitements, c’est qu’ils ne sont pas trop, loin s’en faut, générateurs de grands profits financiers, et que de toute évidence, les “Big Pharmas” ne veulent pas en entendre parler de ces traitements, ainsi que les gouvernements et une partie du corps médical et de quelques scientifiques qui les soutiennent, ces géants décideurs de la santé des gens, de qui pourra bénéficier ou non ou moins, de ce qu’il a de meilleur !

    Le vaccin oui, mais les brevets et la grande propriété et les monopoles, non! Et, conjointement ou même hors vaccin, les traitements qui s’avèrent efficaces !

     

     

  • COP 26 Glasgow : échec et mat

    … Lorsqu’un président de la conférence mondiale pour le climat, en l’occurrence fin octobre 2021 à Glasgow, le Britannique Alok Sharma, à l’issue de la séance, à l’annonce du résultat (un échec patent), se met à pleurer devant le micro en prenant la parole devant des journalistes et un public, assailli par le chagrin qu’il était, Alok Sharma… Cela est impressionnant, dramatique et interpelle…

     

     

    Ainsi les objectifs envisagés (réduire les émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030, de manière à ce que la température moyenne de la Terre n’augmente pas – d’ici 2030 – de 1,5 degrés)… Ne pourront pas être atteints…

    En 2040 et peut-être même avant, ce n’est pas de 1,5 degré que va augmenter la température moyenne de la Terre mais de 3, 4 degrés voire plus…

    Toutes les villes côtières verront leurs quartiers situés en bordure de l’océan Atlantique, et de la Méditerranée, envahis par les eaux… Ainsi que les plages, réduites en étendues, et les rivages, modifiés… Bordeaux verra sa place des Quinconces (la plus grande place, en surface, d’Europe, où se joignent les lignes de tramway) recouverte par 20 à 30 cm d’eau…

     

    Et quel avenir, déjà à partir de 2030, pour le marché de l’immobilier, notamment sur la cote Basque où actuellement encore, le prix des terrains constructibles atteint des sommets ?

    Quel avenir, au quotidien, dans la partie sud de la France où durant les mois d’été, de mai jusqu’à octobre, les périodes de grande canicule, au lieu de durer 3 jours ou une semaine comme ce fut le cas ces dernières années, s’étendront sur 3 semaines, un ou deux mois sans interruption, avec des températures en Nouvelle Aquitaine, de 42 degrés à l’ombre, de 45 degrés en Provence et cote d’Azur ; et autour de 40 degrés dans les autres régions y compris dans le Pas de Calais, le Nord et la Lorraine ? (quant à la température diurne -et nocturne – à l’intérieur des villes, n’en parlons pas, une vraie fournaise!)…

     

    Qui, en 2040, voudra encore s’installer – pour la retraite ou pour le travail – dans le midi de la France ?

    Les riches pourront cependant s’installer dans les régions de moyenne montagne par exemple dans le Morvan, dans le nord du Dauphiné, les Hautes Vosges, ou en Normandie, dans le Pas de Calais, les Ardennes… Quoi que…

     

    Quoique… Parce que, outre l’augmentation des températures estivales et une plus grande fréquence des périodes caniculaires, en toutes régions vont sévir de fortes intempéries dévastatrices (orages très violents, inondations, tornades) ainsi que des incendies de forêt sur de grandes surfaces boisées de résineux…

     

    Nous sommes à la fin de ce premier quart de 21ème siècle, dans les dernières années où nous pouvons encore connaître le mode et le niveau de vie qui sont les nôtres depuis 40 ans (confort, consommation alimentaire et de produits de toutes sortes, sécurité relative)… Il n’en sera plus de même après 2030, et pire après 2040…

     

    Il est en effet à craindre que des pénuries de denrées et de produits, suite à une désorganisation générale dans la logistique, dans le transport et dans les approvisionnements, ainsi que de nombreux dysfonctionnements survenant, tout cela dans une insécurité sociétale, viennent à perturber l’économie et à avoir des conséquences sur la vie quotidienne des gens ; du fait, également, des ressources et capacités énergétiques devenues plus limitées, ne couvrant plus les besoins…

     

     

     

    Même parmi les riches, une sélection s’opèrera, de telle sorte que les plus privilégiés d’entre eux, les dominants et les possédants dont les fortunes s’évalueront en milliards – de dollars ou d’euro – “tireront leur épingle du jeu”…

     

    C’est sans doute à tout cela que pensait Alok Sharma, à l’issue de la conférence mondiale pour le climat, fin novembre 2021…

    Et c’est vrai qu’un personnage d’une telle importance, ayant présidé cette conférence mondiale, qui se met à pleurer devant un micro en face d’un parterre de journalistes, ce n’est “pas ordinaire” – c’est le moins qu’on puisse dire!

     

     

  • Hier soir à la télé

    … Hier soir à la télé, lundi 22 novembre, jai “loupé/loupé” Secrets d’Histoire de Stéphane Bern… En effet, Sainte Thérèse de Lisieux, c’est pas ce qui m’intéresse. La religion et moi, ça fait deux, vous m’avez compris !

     

  • "Croissez et multipliez"

    … Le “croissez et multipliez” de la Bible, était sans doute d’actualité et d’une injonction “recommandable” à l’époque du début de l’histoire humaine (on va dire il y a quelques milliers d’années avant JC, ce qui n’était déjà plus tout à fait le début) …

    Mais aujourd’hui avec 8 milliards d’humains sur Terre, le “croissez et multipliez” de la Bible, est une aberration !

     

  • À propos des gestes barrière

    … Se laver souvent les mains tout au long de la journée… Très bien si l’on revient chez soi, de courses… Très bien dans les musées et les endroits publics (cinémas, bars, restaurants, médiathèques, galeries marchandes de surfaces commerciales), où il y a des toilettes…

    Mais lorsque tu te trouves en tant que touriste, ou de sortie en ville, longtemps dans la rue, dans une manifestation extérieure, un marché, un spectacle en plein air, ou allant de boutique en boutique, partout où il n’y a pas de toilettes à proximité (cas très fréquent, d’autant plus qu’en bien des endroits publics d’extérieur les toilettes sont fermées “pour cause d’incivilités”), alors, comment vas- tu – faire pour te laver les mains souvent ? Te trimballer avec une bouteille d’un litre et demi de flotte en permanence ? (au bout de 3 ou 4 lavages de mains, la bouteille est vide, et il n’existe plus nulle part, comme au début du 20ème siècle, de fontaines publiques)… La seule solution consiste à se munir d’un flacon de gel qu’on met dans son sac à main ou à dos.

    La distanciation ? Cela suppose d’avoir systématiquement le réflexe de se tenir à moins de 2 mètres d’une autre personne à proximité (ce réflexe là n’est absolument pas automatique et d’ailleurs il s’avère impossible dans les transports publics aux heures de pointe et… Le jour du “black friday” ou d’ouverture des soldes dans le “rush pour entrer dès la levée du rideau! (par exemple)…

    Le masque ? Il ne protège que partiellement, et avec 7 personnes sur 10 vaccinées, ne plus le porter ne fait plus de mal à grand monde (l’on imagine mal une personne de 90 ans en surpoids, diabétique, aux poumons fragiles, se déplaçant à pied difficilement, présente, debout, au milieu d’une foule ou dans un magasin, une galerie marchande, non accompagnée, durant une heure quelque part hors de chez elle)…

     

    … Et les plus de trois cent mille personnes sans domicile, vivant dans la rue, en France, comment font elles ?

     

     

  • NON au masque obligatoire !

    … Le masque ne devrait plus être obligatoire…

    Entre vaccinés, l’on ne risque pas de se faire bien mal, en cas de transmission du covid en effet, celui ou celle qui, vacciné, est infecté, ne sera pas affecté d’une forme sévère du covid (à l’exception de personnes ayant un “mauvais profil de santé”- par exemple une personne âgée de 85 ans, diabétique, en surpoids et aux poumons fragiles)…

    Dans un endroit où est demandé le pass vaccinal (QR code) ne se trouvent présentes que des personnes vaccinées, donc, le masque est inutile dans ces endroits.

    Dans les autres endroits publics où le pass vaccinal n’est pas demandé, par exemple sur un marché, dans une rue passante, pas d’obligation non plus, de porter un masque, puisque la plupart des personnes autour de soi, sont vaccinées (en moyenne 7 sur 10)… Et que pour les 3 sur 10 non vaccinées, ces personnes là savent, elles, ce qu’elles risquent en tant que réfractaires au vaccin.

    C’est la raison pour laquelle le masque ne devrait qu’être “très fortement recommandé” aux personnes non vaccinées…

    Quant au port du masque imposé aux enfants et aux adolescents, je ne pense pas que ce soit nécessaire : si ces derniers sont pour partie d’entre eux non vaccinés, en cas de transmission ils ne sont porteurs dangereux que pour des personnes de santé fragile qui, elles, savent ce qu’elles risquent en refusant le vaccin…

    D’autre part, en ce qui concerne la vaccination, les enfants et même les adolescents, ne devraient pas être concernés – à moins qu’ils ne se portent eux-mêmes volontaires… Parce que le risque lié à la vaccination, aussi infime et peu probable qu’il soit (effet grave), pour un enfant surtout, ne doit pas être pris…

     

     

  • Imprimante 3D

    Imprimante 3d

    … Cette imprimante 3D, pour le “fameux Black Friday” annuel de fin novembre (vendredi 26 cette année 2021) est proposée à Carrefour, au prix de 149, 99 euro…

    Si, pour une imprimante papier, en deux dimensions, la matière est celle de feuilles A4 en ramette, pour une imprimante en trois dimensions (volume), la matière utilisée est celle de filament thermoplastique en bobine, fondu à 200 degrés, permettant la reproduction d’un objet par superposition de couches de filament, donnant forme à l’objet…

    Les bobines de matière peuvent être de filament composite à base de métal, de fibre de carbone, ou de bois…

    Au prix (150 euro) où est vendue à Carrefour, cette imprimante trois dimensions (auquel il faut bien sûr ajouter le prix de la bobine de matière filament – l’on imagine un prix “accessible” pour du filament thermoplastique, mais sans doute un prix plus élevé pour du filament à base de métal ou de fibre de carbone )… Je suis très dubitatif en ce qui concerne la qualité de la reproduction : l’objet est simplement “cloné” et sa reproduction n’a pas du tout, on s’en doute, les mêmes propriétés et ne peut en aucun cas rendre le même service utilitaire que l’original…

    Soit par exemple la reproduction d’un réveille matin, ou d’une montre : pensez vous sérieusement que cette imprimante 3D, même en utilisant du filament à base de métal, vous reproduira le même réveil, la même montre avec leur mécanisme intérieur ? D’autant plus qu’il faudrait pour cette opération utiliser conjointement une autre bobine de filament… De verre…

    Bon sang, l’on l’imagine pas, tout de même, pouvoir “cloner” des appareils technologiques sophistiqués aux mécanismes intérieurs complexes, par exemple un téléphone portable, un GPS, une lunette astronomique… !

    Un flingue… Qui tire des vraies balles, peut-être, oui (avec des cartouches de filament de matière vendues par Amazon)…

    J’hallucine!

     

     

  • Polémiques autour de "iel" et autres sujets de société

    … L’Histoire humaine depuis le début des grandes civilisations post néolithiques, est jalonnée de grandes controverses qui en leur temps ont occupé les esprits et agité les opinions publiques..

    L’on peut citer parmi ces grandes controverses, celle dite de Valladolid, un débat politique et religieux qui s’est déroulé en Espagne au milieu du 16ème siècle pour déterminer les règles permettant de dominer et de convertir au Christianisme les Amérindiens du Nouveau Monde (le continent Américain) et le partage entre grandes puissances (à l’époque le Portugal et l’Espagne) de part et d’autre d’une ligne située en gros au milieu de l’océan Atlantique Est et Ouest…

    Puis celle qui agita l’opinion publique en France avec “l’affaire Dreyfus” de 1898 à 1906, un conflit politique et social…

    Et encore la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat, de 1905 qui a généré comme une guerre civile en France durant plusieurs années et qui d’ailleurs se poursuit avec les débats au sujet de la laïcité et du fait religieux s’invitant dans le débat public, de nos jours…

    Controverse également au sujet des flux migratoires qui sont aujourd’hui ceux du Moyen Orient et de l’Afrique vers l’Europe…

    Controverse sur la PMA et sur la GPA (procréation médicalement assistée et procréation par gestion par autrui)…

    Controverse sur l’avortement, sur l’homosexualité, notamment en Pologne par exemple, ainsi que dans les pays d’Islam ou de Catholicisme intégriste…

    Controverses de plus en plus diverses et multiples sur bien d’autres sujets de société autour desquels la société se divise, se fracture.. (celle du “iel” et de l’écriture inclusive entre autres)

    Controverse sur la vaccination…

    Dans toutes ces controverses, les uns et les autres, dans leurs oppositions radicales et déterminées, avancent leurs argumentations, leurs statistiques, les données dont ils disposent dont certaines il faut le reconnaître sont en partie fondées, appuyées de témoignages, de vécu…

    La caractérisque principale et générale de toutes ces controverses, c’est qu’elles débouchent toutes sans exception, sur des polémiques épuisantes et sans issue, des positions figées des uns et des autres…

    Cependant, dans le contexte de l’évolution du monde, de la société, qui est celui d’aujourd’hui, et qui est en même temps lié à l’environnement (le devenir de la planète – l’écologie, le bouleversement climatique, l’épuisement des ressources naturelles)… Un contexte il faut dire “assez dramatique et très inquiétant pour la survie de l’espèce humaine”… Toutes les controverses qui agitent les opinions publiques, qui divisent et fracturent la société, qui font les individualismes forcenés, les consommateurs que nous sommes d’idéologies de toutes sortes, avec nos engouements, nos crispations, nos batailles sans vainqueurs ni vaincus (et les comportements qui en découlent)… Tout cela si l’on y réfléchit vraiment… Quel en est le poids réel en face de ce qui nous menace et risque de nous faire disparaître… “Les enfants de Dieu pour les Croyants – créés selon les Croyants, à l’image de Dieu leur concepteur créateur) ou les humains que nous sommes, êtres vivants dotés de pouvoirs, de capacités, que n’ont pas les autres êtres vivants -qui eux, ont d’autres pouvoirs et capacités que nous n’avons pas – êtres vivants, et humains, “scientifiquement et biologiquement parlant” …

     

    … Il semble que “l’heure n’est point venue” de “tout mettre sur la table”, de se livrer et de se confier entre nous, “à cru et à cœur et sans fioritures”, et, de par delà nos si énormes différences, de mettre aussi sur la table le “stress”(les interrogations, les souffrances) qui nous est commun à tous… Et, finalement nous “jeter dans les bras les uns les autres” …

    Non, l’heure n’est pas venue…

    Ça sera donc… Titanic, avec pas assez de canots de sauvetage…

     

  • Une question qui me reste en travers de la gorge

    … Comment, de quelle façon et par quoi, les dizaines de milliers de personnes en Belgique, Pays Bas, Allemagne, France, Suisse, Luxembourg et autres pays européens, nouvellement contaminées covid ces derniers jours, ont pu être, chacune d’entre elles “formellement détectées/identifiées” comme ayant été infectées ; sachant que :

    - Un nombre infime de personnes, par rapport à une population locale, par jour, se fait tester ou est testé lors d’une entrée en milieu médical.

    - De nombreuses autres personnes, se sentant comme “un peu grippées sans plus” (cas très fréquent), ne consultent pas de médecin et ne se font pas tester pour savoir si c’est le covid ou non.

    Étant donné le nombre de symptômes similaires entre le covid et les affections grippales, rhumes et bronchites, trachéites etc. … Comment un médecin – s’il y a consultation – peut-il diagnostiquer par simple auscultation, une atteinte de covid ?

    En ce qui concerne les tests, depuis qu’ils sont payants (20 euro le test) et non remboursés en cas de “motivation personnelle” (pour pouvoir se rendre dans un lieu où est exigée une preuve de non contamination), plus personne ne se fait tester “rien que pour savoir” ! On le voit bien : le nombre de test par jour a considérablement diminué en France, depuis que les test sont payants pour “motivation personnelle”.

     

    D’autre part, sur les dizaines de millions de vaccinés que nous sommes, environ 75% de la population française, combien de gens sur ces dizaines de millions, durant les 6 ou 8 mois précédents, ont-ils une fois contracté le covid sans le savoir ? Il doit même y avoir des “cas de figure” où des gens se sont fait vacciner peu de jours après avoir contracté le covid sans le savoir…

    Et ces mêmes dizaines de millions de gens, pour 99% d’entre eux – ce qui est logique – à aucun moment ne se demandent s’ils peuvent être porteurs du virus (on peut se douter que oui, mais cela ne prend guère d’importance, n’inquiète pas trop)… D’ailleurs, partout où l’on flashe le QR code à l’entrée, personne au contrôle ne demande la preuve de non contamination au gens qui présentent leur QR code vaccinal… Autrement dit, “tu viens de choper le covid sans le savoir, tu es quinze jours porteur sans être malade puisque tu as été vacciné, et le pass portant le QR code te permet l’accès”… ,

     

    D’autre part, encore, des études montrant qu’au bout de six mois, l’immunité acquise par le vaccin diminue, cela donne parmi les vaccinés de plus de six mois, notamment les plus fragilisés d’entre eux, de nouveaux cas forcément… Mais là une autre question se pose, c’est celle de l’immunité acquise (et pour combien de temps) après une contamination ancienne (qui s’est traduite ou non par des effets)…

     

    Il est à craindre – ce que l’on constate avec le temps – au bout de 6 mois, un an, que ni le vaccin, ni une contamination initiale n’immunise durablement (pour 10 ans et encore moins pour la vie entière) !

     

    … Mais alors… Si vraiment les autorités sanitaires annoncent ces nombres de contamination, c’est qu’elles le font sur des bases ou des données “fiables”… Mais lesquelles ? S’il n’était pas possible par exemple, de parler de 20 000 ou de 30 000 – par jour… Aucun chiffre ne pourrait être avancé!

    Tout le monde sait que des tas de gens contractent le covid sans savoir que c’est le covid! (et ça, on ne peut le mettre en chiffres!)

     

     

  • "Iel", un virus !

    … Il m’est bien difficile voire impossible d’arriver à comprendre et à admettre qu’un dictionnaire tel que le Robert, tout de même une référence pour la langue française (vocabulaire, grammaire)… Ait pu introduire et officialiser le pronom “iel” (pour il, elle) dans ses pages de la lettre I…

    Il y a bien là – à mon sens- une aberration.

    Les autres dictionnaires, le Larousse par exemple, vont – ils suivre et introduire “iel” à leur tour?

    Ce pronom “iel” est un virus de déconstruction de la langue française, qui, aujourd’hui introduit, va se développer, se multiplier en différentes formes, appeler d’autres introductions de termes, de substantifs (noms communs), d’adjectifs, de verbes que la grammaire française devra absorber – on se demande comment et selon quelles règles …

    Ainsi avec “iel” l’on va lire “Iels sont fatigués” ou “Iels sont fatiguées”, ce qui, pour “iels sont fatigués” comme pour “iels sont fatiguées” est grammaticalement incorrect (de même, avec iel au singulier, “iel est fatigué, iel est fatiguée”…

    Si, avec “iel” on applique la règle grammaticale il faut écrire : iel est fatigué-e , iels sont fatigué-e-s … Ce qui introduit “de force” l’écriture dite inclusive (une autre aberration)…

    À moins d’écrire : iel est fatigué(e), iels sont fatigué(es)…

     

    Soit dit en passant, l’écriture inclusive dans le but de “dégenrer”( mettre à égalité le masculin et le féminin sans privilégier l’un ou l’autre) ne rend en aucune façon la femme l’égale de l’homme…

    Au lieu de “bricoler avec la grammaire” en introduisant “iel” et l’écriture inclusive, l’on ferait mieux, mille fois mieux, de commencer par égaliser les salaires entre les hommes et les femmes dans les activités professionnelles, les entreprises, partout où des hommes et des femmes travaillent ensemble…

    Je serais curieux de savoir, toujours soit dit en passant, comment les musulmans établis en France et parlant/écrivant Français, perçoivent ce pronom “iel” et ce qu’ils pensent de l’écriture inclusive…

     

    Dans l’espace géographique qui est celui de la France , espace situé à l’ouest du continent Eurasien (Europe Asie) avec pour rivage la cote Atlantique depuis la Manche jusqu’au golfe de Gascogne, et de 42 degrés de latitude nord Perpignan à 51 degrés de latitude nord Dunkerque ; à la fin du 21ème siècle quel “Français” parlera et écrira – t – on ? (Si le Français existe encore et avec quels apports aussi nombreux que divers, dont en particulier des “anglicismes”, des termes, des locutions venus du Chinois (du Mandarin), de l’Arabe ? …

     

    … On le voit bien dans l’évolution du monde et de la société tous environnements et cultures confondus) depuis environ une vingtaine d’années et dans une accélération sans précédent dans l’Histoire humaine ; nous sommes dans un changement radical de “paradigme”, à savoir (pour définir et expliquer ce qu’est un paradigme) : une représentation du monde, une manière de voir les choses, selon un modèle reposant sur des bases définies – mais définies en fait, par les Décideurs et les Dominants auxquels s’est ralliée par adhésion, par intérêt, par démission, par passivité, ou encore par intoxication, par conditionnement ; une majorité de gens dans le monde…

    Et ce “iel” (ce virus de déconstruction – de la langue française mais aussi en même temps, de la société- ) s’inscrit dans le “paradigme”…

    Certes, le “paradigme” existait déjà depuis les premières grandes civilisations post néolithiques (avec au “sommet” de la “pyramide” les Décideurs, les Dominants et les Possédants (jadis de la terre)… Mais l’évolution se faisait à un rythme bien plus “solaire” (ou naturel), que de nos jours dans les immenses, violents et rapides bouleversements qui s’opèrent…

     

     

  • La liberté d'informer

    Reportages

    … Avec les lobbies de l’Audiovisuel et de la Presse, qui ont la main sur tout ce qui se publie, se diffuse, se voit à la télévision, s’entend à la radio et qui oblige les journalistes, les chroniqueurs à se conformer à une “ligne éditoriale” – ou de convenance ; ainsi d’ailleurs, de la part des géants de l’information – presse – audiovisuel, à l’égard des gens ordinaires ayant la possibilité de s’exprimer dans les “courriers de lecteurs”, tribunes émissions publiques de radio, pages dialogue de journaux…

    Les députés élus de l’Assemblée Nationale, les maires et détenteurs de quelque autorité, personnalités du monde de la littérature… Qu’ils soient (les élus) “Macronistes” ou autres (quand bien même ils seraient “Mélenchonistes” – enfin tout ce que l’on voudra)… Tous les intervenants qui s’expriment sur tel ou tel sujet, à propos de quelque fait d’actualité que ce soit… Sont tous “profilés”, épiés, et n’ont qu’une liberté très réduite, quand elle n’est pas, cette liberté, empêchée, muselée, sous le coup de poursuites judiciaires… Ou assez souvent, comme reprise en compte par intérêt…

    C’est ainsi que, de plus en plus – on le voit bien d’une année à l’autre – les lanceurs d’alerte, les témoins de l’inacceptable, observateurs et rapporteurs de conditions de travail exécrables chez Free et chez LIDL entre autres, d’abus de toutes sortes des dominants, des exploitants, ne peuvent s’exprimer (s’ils y arrivent) sans risquer d’être condamnés par la Justice (souvent il faut dire, sur dénonciation anonyme ; ou encore par des robots, des intelligences artificielles logarithmées)…

    Cette loi sur le “secret des affaires”, avant d’être introduite dans les Textes, pré- existait déjà et exerçait sa pression sur les organes de presse et de diffusion de l’information.

    La démocratie, la vraie, celle qui est évoquée dans les Textes, dans les Ordres, dans les constitutions… N’a jamais existé, ou n’a été qu’apparente…

    La démocratie, la vraie, celle qui n’est pas une apparence, une illusion, reste à conquérir par la force, mais peut – être autrement que par la force des armes, que par les mouvements de foule et de meutes, que par des révolutions n’ayant d’autre conséquence que de substituer un nouvel ordre à un ordre… Et de nouvelles prisons à des prisons, de nouvelles exclusions à des exclusions…

     

  • "Iel" je t'emmerde !

    … Je hurle de rage à “IEL” et autant pour l’écriture dite “inclusive” !

    En pensée je brûle les nouveaux dicos qui ont “officialisé” le pronom “iel” !

    Je hurle haut et fort sur la place publique : “ nos éminents grammairiens et académiciens progressistes réformistes sont des assassins de la langue française !”

     

    … Il y a de ces colères très fortes qui s’apparentent à de la haine… Encore faut-il distinguer la haine contre des personnes – c’est à dire des êtres humains – de la haine contre des comportements, des agissements, des manières de penser, des pratiques, des idées (idéologies), des systèmes, des principes, des modes… Que l’on combat, contre lesquels on s’insurge…

    Le problème c’est que derrière des comportements, des agissements, des manières de penser, des pratiques, des idées, des systèmes, des principes, des modes ; il y a des personnes…

    À défaut de s’en prendre directement, frontalement, à des personnes – ce que l’on serait enclin à faire dans un agissement violent – on s’en prend à une représentation : en l’occurrence, à propos des acteurs en tant que personnes, de l’institution de l’écriture inclusive et du pronom “iel” désapprouvés, la “représentation” c’est le dictionnaire qui est mis en diffusion officielle, reconnue ; et que l’on souhaite détruire, brûler en pleine rue après l’avoir ôté de la librairie ou du magasin où ce dictionnaire figurait en rayon…

    Brûler, détruire, est un acte “fort” (de violence), un acte pouvant être qualifié de haineux, mais qui traduit, à mon sens, davantage un mouvement d’extrême colère ou de révolte, que de la haine proprement dite du ou des personnages en tant qu’acteur(s)…

    “Idéologiquement – ou philosophiquement” parlant, je pense que la haine ne peut être justifiée, ne peut être laissée, livrée à elle même… Elle peut juste, “à l’extrême limite” être “concevable” parce qu’elle est inhérente à la nature humaine (les autres êtres vivants que l’humain ne haïssent pas)…

    Inhérente donc reconnue en tant que réalité…

    Dans un certain sens, “il faut” – façon de parler- l’accepter, la haine, en tant que réalité (et par extension, accepter l’existence du mal)…

    Et de l’acceptation, de la reconnaissance, de la réalité de la haine, vient – ou peut venir- la conscience même de ce qu’elle est, de ce qu’elle implique, la haine… Alors s’ensuit – ou peut s’ensuivre – la réflexion sur l’implication…

    Alors s’ouvre, avec la réflexion, une “porte” sur ce qui n’a pas été exploré… C’est alors que la haine peut commencer à refluer…

     

     

  • Réflexion sur le langage écrit et parlé, sur les règles, sur les apports et sur les singularités

    … Les grammairiens et les académiciens, ainsi – parfois – que les tenants d’une littérature aux règles immuables et incontournables sur le plan de la logique, de la syntaxe, de la forme et du sens – en somme de la beauté, de la pureté, de la richesse, de la diversité et en même temps de l’unicité de la langue écrite (et parlée)…

    Non seulement les grammairiens et les académiciens mais aussi les auteurs, les écrivains et les poètes attachés “viscéralement” et inconditionnellement à l’authenticité, à la pureté de la langue – française ou autre… Tout en s’affirmant les garants de la pureté et de ce qu’il y a d’intemporel, d’immuable, de la langue – et qui selon eux, “n’est pas négociable”…

    Contribuent – parfois- à une ou à des évolution(s) de la langue… Soit par des apports, soit par de “nouvelles” formes (ou formulations)…

    Le “problème” que pose l’apport ou la “nouvelle” forme (ou formulation) dans le langage écrit (et parlé) est lié au rapport qui s’établit entre la règle, la logique, le sens, la perception et l’acceptation par le lecteur ou par l’entendant… D’une part ; et ce qu’apportent l’élément, le terme, la formulation, nouveaux et introduits dans le langage… D’autre part.

    Tout est dans ce rapport…

    Ce qui n’entre pas dans le rapport (qui, dans ce cas “déroge”, dérange, en s’écartant du sens, de la logique, en n’étant que de l’effet recherché, ou même en étant l’expression d’une singularité inhérente à la personnalité même de l’exprimant)… Ne peut, en aucun cas, être comme “officialisé” – en somme, entrer dans la normalité, dans la règle, dans le Dictionnaire… Mais doit demeurer indépendant (pouvant certes, être reconnu mais seulement reconnu en tant que singularité)…

     

    Si je hurle de rage à “iel” et à l’écriture inclusive ; si j’accuse (dans la colère) les grammairiens et les académiciens progressistes réformistes d’être des assassins de la langue française en se “fondant dans le moule” des modes, des engouements, de la modernité dans ses évolutions et en instituant et en officialisant de nouvelles règles…

    Je hurlerais autant de rage si, par exemple, les mêmes “décideurs” et arbitres et gardiens” devaient instituer et officialiser mes propres expressions personnelles et langagières, en somme la grammaire et le vocabulaire du personnage que je suis…

     

    La singularité peut être reconnue… Elle doit même l’être… Mais elle ne peut être “officialisée” ou devenir la règle, ou une règle…