avenir

  • Pensée du jour, 12 juillet 2024

    … Cueillir des fleurs, mettre des oiseaux en cage… L’ humain fait ça ! Et le chat, lui, quand il « cueille » une souris, il la « tapototote » de sa patte griffue, il l’estourbit… Mais ça, c’est « la nature qui ne fait pas dans la dentelle… Dans toute sa réalité, dans toute sa beauté… Mais la beauté n’ a pas de « morale », n’ a pas de « canons » ou de « modèles »… Elle n’ a pas attendu l’ Homme pour exister… Et quand l ‘Homme a défini la beauté en y introduisant l’ idée qu’il se fait de la beauté, quand il l’ a exprimée à sa manière par ses réalisations artistiques, la beauté s’ est toujours faite sans toi ni moi en particulier quoi tu aies fait, quoi que j’ aie fait… La beauté étant « l’ affaire » non pas d’ un en particulier aussi évidente qu’ elle soit, mais l’« affaire » de ceux et de celles qui ont placé dans le « puzzle » infini de la beauté, une pièce, une seule, de l ‘immense « puzzle » de la beauté…

     

    … L’avenir n’est rien d’autre qu’une projection dans un futur inconnu, d’ une vie, d’ un monde, de modes de vie, d’ une culture, d’ une « modernité », d’ une géographie, d’ une Histoire, de politiques et d’ économies, et avec des gouvernements, des codes, des lois… À partir d’ un présent dont nous connaissons l’ apparence qu’a ce présent, mais dont nous méconnaissons ce dont ce présent est fait de l’ intérieur…

    Il y a néanmoins en nous, cette capacité à imaginer le monde de demain, diversement présente cependant en chacun de nous… Mais l’ imagination demeure dépendante de ce qui a été dans un passé bien plus imparfaitement traduit ou interprété, bien plus « arrangé » selon les différentes « lectures » faites du passé, que ce qu’ il a, ce passé, vraiment été…

     

     

  • Quelle espérance, quel avenir ? ...

    … La seule perspective ou seul espoir, ou seule vision de sortie possible de cette pandémie de covid, de ces confinements répétitifs, de cette désespérance grandissante, des conséquences dramatiques sur l’économie, le lien social… Est liée à la vaccination…

    Or, on ne vaccine pas huit milliards d’êtres humains comme on en vaccinerait seulement quelques dizaines de millions ; nous ne sommes plus du tout dans la même échelle, en nombre de gens à vacciner, que lors de toutes les vaccinations précédentes contre la grippe, contre les maladies dangereuses que les populations humaines ont subies précédemment (variole, tuberculose, entre autres)…

    Pas la même échelle, c’est là une première réalité, en fait la réalité principale qui s’impose d’elle même du fait du nombre de doses à fabriquer, à acheminer, à distribuer…

    L’on ne peut comparer en effet un vaccin à produire pour huit milliards de personnes, et chaque autre vaccin jusqu’alors destiné à protéger cent, deux, trois cent millions de personnes dans le monde entier…

    Mais il y a une deuxième réalité qui s’ajoute à la réalité principale, c’est celle liée aux stratégies de dominance de marché, aux rendements et profits à réaliser et donc aux politiques et organisations mises en place à ces fins de domination de marché, de rendements et profits…

    Et peut-être – ce qui est à craindre – une troisième réalité qui, celle là, est bien connue, notamment avec la vaccination depuis un certain nombre d’années déjà, contre la grippe classique dont les formes en général hivernales sont, d’une année à l’autre différentes, et qu’il faut alors chaque fois, élaborer un vaccin de composition adaptée…

    Le covid étant de la famille des coronavirus tout comme les virus de la grippe, il est certain que des variantes et que des mutations interviendront chaque fois que la pandémie de covid repartira…

    En conséquence, avec la lenteur de la vaccination, les problèmes liés à l’organisation, à la répartition, à la distribution ; avec aussi le problème des stratégies pour la dominance du marché, des rendements et des profits pour les grands groupes pharmaceutiques… Tant que cette pandémie sévira et s’étalera dans le temps en plusieurs vagues successives , la désespérance et la résignation s’accentueront dans les populations, notamment les populations dont les activités sont fortement impactées et où l’emploi n’est jamais garanti dans la durée ni dans les revenus…

    Car jamais les vaccins seront à chaque fois en nombre suffisant pour des milliards de gens, jamais non plus l’on ne pourra administrer les vaccins en trois ou quatre mois seulement !

     

     

  • L'avenir

    Tout le monde pense à l'avenir, du moins beaucoup y pensent à certains moments de leur vie et en fonction de ce qu'ils observent ; d'autres qui y pensent, le prévoient ou l'imaginent… Et il ne manque pas de spécialistes, de prévisionnistes, de prospectives, d'études, d'ouvrages traitant de l'avenir…

    Mais qui d'entre nous, en tant que citoyen ordinaire du monde, par le genre de vie qu'il mène au quotidien, dans le présent et dans l'environnement qui est le sien, contribue à rendre l'avenir possible ?