contamination

  • Supermarchés et transports en commun, salles de spectacle

    … De l’impossibilité qu’il y a à fermer supermarchés et transports en commun, découle forcément la possibilité de transmission du virus.

    En effet, comme il faut bien par nécessité, pour se nourrir, pour se ravitailler en produits essentiels à la vie courante quotidienne, que les gens se portent dans les lieux d’achats de nourriture et de produits essentiels, et qu’ils empruntent les transports en commun pour se rendre à leur travail (le télétravail n’étant pas possible pour toutes les activités professionnelles), forcément donc, surviennent des situations où les gens sont proches les uns des autres…

    … De la possibilité qu’il y a à fermer les salles de spectacle, découle de toute évidence l’impossibilité de transmission du virus… Mais faut-il préciser : l’impossibilité de transmission du virus dans les salles de spectacle (ce qui sous entend : pas ailleurs que dans les salles de spectacle)…

    Pour faire simple, bien réel, bien concret, bien évident : soit deux robinets d’eau alimentant une baignoire, l’on en ferme complètement un et on laisse l’autre ouvert (en fait ouvert mais pas ouvert en grand). De l’eau coule dans la baignoire, certes, en moins grande quantité que si les deux robinets étaient ouverts notamment en grand…

     

    Le problème – si l’en est un – c’est comment les gens qui prennent les décisions, mandatés qu’ils sont à cet effet ; comment surtout les “décideurs économiques”, réagissent à ce qui est évident, logique, simple à comprendre… Ou qu’est-ce qu’ils en font de ce qui évident, logique, simple à comprendre ?

     

    Je ne pense pas que le Gouvernement de la France – qui est doté d’un ministère de la Culture – soit “pourfendeur” de la Culture et se satisfasse de la fermeture des salles de spectacle…

    Cependant, les décideurs économiques internationaux, qui, soit dit en passant n’ont pas attendu que survienne cette pandémie de coronavirus pour “tordre le cou” à ce qu’il y a de meilleur dans la culture (ils ont déjà commencé depuis pas mal de temps), se servent du covid comme d’un support afin de continuer à “tordre le cou” au meilleur de la culture…

    Et, qu’est-ce que le meilleur de la culture sinon la connaissance, les savoirs qu’elle apporte, et avec les savoirs, la réflexion… Et la résistance aux dominations ?

     

     

  • Plus de contaminations mais moins d'hospitalisations

    Si le nombre de cas positif augmente autant (plus de 4700 personnes le 20 août en France) et si en même temps le nombre d’hospitalisations pour covid diminue (- 58 même jour 20 août), cela pourrait vouloir dire que le virus se propage davantage (une contagion plus étendue) tout en étant moins virulent…

    Que faut-il en penser? Les virus sont des organismes “non vivants” (ou incomplets) dont les mutations sont plus rapides que pour les bactéries, les organismes vivants… Il y a une grande inconnue sur la question du ou des mécanismes de la mutation (nombreux paramètres environnementaux qui eux-mêmes, ces paramètres, évoluent au fil du temps)…

    Peut-être que, depuis l’origine fin 2019, ce virus covid 19 rencontre dans ses périodes d’extension ou de relance, des environnements qui le rendent moins agressif, notamment dans les pays d’Europe occidentale…

    Reste à savoir ce qui se passerait, question mutation prochaine ou évolution de la mutation, si ce virus, soudainement, devenait plus agressif…

     

  • Un été 2020 ...

    Le taux de contamination au covid19 en France, qui était d’environ 5 à 6 pour 100 000 au milieu du mois de juin, s’établit en date du 11 juillet autour de 10 pour 100 000 en moyenne sur l’ensemble des régions, mais avec une différence significative entre les régions situées à l’Ouest soit du Pas de Calais aux Pyrénées, passant par la Normandie, la Bretagne, Poitou Charentes, Nouvelle Aquitaine, Occitanie, ainsi que les pays du Centre, Orléanais, Berry, Limousin et une partie du Sud Est notamment Alpes maritimes, Provence Côte d’Azur… Où dans ces régions là, le taux de contamination atteint au-delà de 10, jusqu’à 15 pour 100 000, alors que par exemple dans le Grand Est le taux demeure inférieur à 10 pour 100 000.

    Avec tous ces rassemblements festifs de plus de 1000 personnes (plusieurs milliers pour certains) en plein air sans la moindre distanciation où les gens se trouvent très près les uns des autres, ou en lieu fermé grandes salles, chapiteaux etc. , des rassemblements précisément en des lieux de vacances le long des côtes atlantique et méditerranéenne ; avec tous ces déplacements de personnes à l’occasion des congés d’été, d’une part dans le sens Nord Sud au début des vacances et d’autre part dans le sens des retours Sud Nord quelques semaines plus tard (et oui, il y aura aussi les retours, dans les déplacements!)… Cela augmente le risque de contamination qui pourrait passer de 15 à 20 ou 25 pour 100 000 ; voire revenir à ce qu’était ce taux en avril dernier.

    Ce que je dis là n’est pas de « l’alarmisme » ni du « catastrophisme » mais de la réalité brute et vraie, d’ailleurs tous les professionnels de la santé, les épidémiologistes et les scientifiques le disent, nous avertissent…

    Décidément cette année 2020 ne sera pas loin s’en faudra, « l’année idéale » pour les rencontres, les relations humaines avec échanges et retrouvailles (familiales, amicales) et en particulier pour les histoires d’amour qui commencent… En effet, par exemple dans un train en voyage ou dans un lieu fermé, sur un marché, en en endroit où il y a du monde, j’imagine assez mal comment un « coup de foudre » - ou quelque chose de similaire – pourra s’établir entre deux personnes femme et homme – ou deux personnes de même sexe aussi – avec seulement une moitié de visage visible, autrement dit rien que le regard (bon, c’est vrai, le regard c’est déjà beaucoup)…

    Non, vraiment, « pas l’idéal du tout » en cette année 2020, les rencontres notamment amoureuses !

    Néanmoins, pensant aux nouveaux jeunes mariés du printemps été 2020, et à celles et ceux qui vont se marier durant cet été, c’est avec une certaine émotion que je leur souhaite beaucoup de bonheur et d’arriver tous deux à faire au mieux et au plus heureux possible dans ce contexte de crise sanitaire liée au coronavirus…