exclusion

  • De quelle exclusion faut-il prendre le risque d'être ?

    … Déranger, tenir des propos offensants, et arriver à ne point se faire exclure par l’intelligence artificielle, par les robots – de Facebook entre autres - par les “neunœils espions profileurs censeurs”, avec les logarithmes, les programmes et les logiciels veilleurs … C’est à se demander comment fonctionnent et en vertu de quoi, de quels critères, de quels mots clés inscrits dans les listes ; ces intelligences artificielles, ces robots, ces “neunœils” – que l’on croit ou s’imagine “niquer” mais qu’à vrai dire l’on ne “nique” jamais (car d’une autre façon les “neunœils” ils nous “niquent” toujours même quand ils ne nous censurent pas)…

    Le “vrai risque” – si l’on peut “ainsi voir les choses” – n’est pas de se faire exclure par un “système”… Mais de se faire exclure d’amis et de connaissances de “longue date”, de voir des portes qui jusqu’à hier étaient grandes ouvertes, se fermer brutalement…

    Ne pas encourir ce risque là, l’éviter, délibérément, sciemment, afin de ne pas perdre des amis ou des connaissances, des fidèles de longue date, et cela dans toute la duplicité dont on est capable, et donc, “se mettre la patte dans du velours” et… “bien passer l’olive huilée dans le trou de bale”… C’est renoncer à ce que l’on a de plus authentique, de plus vrai, de plus sincère en soi, à l’état brut et pur et d’un seul tenant, qui, certes peut déranger, choquer, mais fait partie intégrante de notre personne faite du meilleur comme du moins bon…

    “Par les temps qui courent” le courage d’oser exprimer, fait défaut… Ou, quand il ne fait pas défaut, il est le fait de gens qui “ne sont pas vraiment des gens de bonne volonté” (entre autre des fachos et des fanatiques religieux et quelques autres crétins patentés médiatisés)…