hypocrisie

  • L'hypocrisie version 21ème siècle

    … C’est mal connu mais c’est la vérité : l’hypocrisie fait plus d’ adeptes que la franchise… Et ce n’est ni une question d’ être riche ou pauvre, ni d’être éduqué ou non, ni non plus d’ être de quelque Ordre ou Désordrorde que ce soit …

    L’hypocrisie version 21ème siècle s’est renforcée dans sa pestilence, dans la diversité de ses fragrances, et jusque même dans les multiples nuances de senteurs de pourriture, de crevette ammoniaquée, de vinaigre, de cornichon et de mayonnaise éventée tout cela bien mélangé et bien présent dans l’air ambiant que moult humains respirent en écartant les narines…

    Belles baraques, beaux aménagements intérieurs, beaux jardins, bagnoles cossues, valorisation de patrimoine financier et immobilier, comptes en banque, caddies pleins y’en a la moitié pour les étagères de derrière au cas où mais dont on laissera passer la date de fin, portail balaise avec télécommande, toutou féroce « je monte la garde », The Voice à la tu-es-laid le samedi soir, crédits conso en cascade… Fiat Panda New Look à défaut du Duster Dacia, Poulet « origine européenne » à LiDl… Et j’en passe de toutes les façons de toutes les modes et tendances et promo et applis du consumérisme ambiant, des morales pour se donner de la crédibilité et surtout de la visibilité… Vive les vaches bleues et les oies rouges, au fossé les vélos et les tacots déconnectés… Le beau rôle, et, au coiffeur, on se revisagise ; et à la salle des Carmes au spectacle sur réservation trois mois à l’avance, le jour dit à l’heure dite d’ un bout à l’autre de la salle comble, houle de rires à chaque propos de l’ artiste sur la scène – dont plus de la moitié des spectateurs n’a rien compris mais rit et applaudit quand même ! …

    L’ hypocrisie ça fait des émules à la pelle, et la franchise, ça fait des coups de bâton dans le dos que tu sais jamais trop d’où ça vient – ou, « au mieux » des zappés…


     

  • J'irai jamais

    … La liste des pays en lesquels je n’irai jamais, s’est considérablement allongée…

     

    En Août 2013 j’écrivais :

     

    J'irai jamais au Cameroun

    J'irai jamais au Nigeria

    J'irai jamais au Bangladesh

    J'irai jamais en palace 4 étoiles aux Seychelles

    Je ferai jamais du shopping en galerie marchande à Shangaï

     

    … En gros, ces pays en lesquels je n’irai jamais, en plus du Cameroun, du Nigeria, du Bangladesh, des Seychelles… Sont ceux qui n’ont pas voté à l’ONU la condamnation de la Russie pour avoir attaqué l’Ukraine, et ceux qui sont restés neutres…

    Et j’ajoute encore dans la liste de ces pays, la Hongrie, qui, pourtant faisant partie de l’Union Européenne et même de l’OTAN, est la « brebis galeuse » de l’Europe, avec son président Orban (un « cousin par idéologie de Jail Bolsonaro)…

    Que fait la Hongrie dans l’OTAN, et dans l’Union Européenne ? Peut-on être, se sentir solidaire de la Hongrie ?

    Je ne me vois donc pas, au petit déjeuner en chambre d’hôte, en face d’un touriste Hongrois présumé pro Orban…

    Ah, cette « ouverture d’esprit » prônée par les intellectuels de gauche Hidalguistes, de droite républicaine et du Centre – et de la pensée consensuelle dominante (mais pas partagée par tout le monde loin s’en faut) !…

    Est-ce que nous, citoyens des pays occidentaux, avec nos démocraties libérales et nos libertés d’expression, nos complaisances au nom de la tolérance, nos belles idées, nos Droits de l’Homme, nos grandes résolutions humanitaires, notre Convention de Genève au sujet des armes « non conventionnelles » et du traitement des prisonniers de guerre et des populations civiles… Nous « n’avons pas cherché le bâton pour nous faire battre » ?

    Le « principe démocratique » et son corollaire la liberté d’expression ont une exigence qui a été « laissée de côté » : l’exigence de dureté, d’intransigeance, de refus du compromis démissionnaire…

    En face de la barbarie, on a dit « pas de barbarie »… Mais soit dit en passant, les bombes au napalm au Vietnam et les mêmes bombes incendiaires dans les Aurès en Algérie en 1956, sont œuvres des Etats Unis d’Amérique et de la France…

    Hypocrisie

    Démission

    Compromission

    Dictature de l’argent et des puissances dominantes et des lois du marché

    Individualismes forcenés, arrogants et insolents

    Je ne me sens plus solidaire du « Terrien moyen » vivant dans l’un ou l’autre des pays en lesquels je n’irai jamais…

    Les catastrophes climatiques et autres, séismes, éruptions volcaniques, inondations, épidémies, crash d’avions, déraillements de trains, incendies etc. … Dans ces pays là, ne me suscitent désormais aucune compassion, et ne m’encouragent guère à souscrire par un don à une action humanitaire pour que soient secourus des gens dans ces pays…

    Je me désintéresse du sort du « Terrien moyen » des pays non démocratiques et dont les cultures ont pour projet de détruire nos cultures occidentales…

    Je me désintéresse tout aussi également du « Terrien moyen » occidental celui là, mais qui, dans une hypocrisie crasse, se complaît dans son individualisme forcené en ne voulant à aucun prix se voir arraché un iota de qu’il possède, de ce qui le conforte…

     

     

  • Hippocrisie

    ... Si hypocrisie pouvait s'écrire "hippocrisie" (comme hippopotame -cheval des eaux)... Alors l'hypocrisie serait "une crise à cheval"...

    Une crise qui balaye depuis plusieurs siècles voire deux millénaires, toutes les sociétés et civilisations humaines de toutes sortes de vents chargés de fragrances de mayonnaise éventée, de cornichons au vinaigre, de relents de crevettes défraichies...

    Une crise dans laquelle se complaisent de nombreux humains, en particulier les plus "çuvulusus" et les plus "soft'pensants" d'entre eux...

    Et la crise toujours depuis des siècles voire deux millénaires, "navigue" ou "surfe", comme "à cheval" si l'on peut dire, entre des marais putrides et des champs parsemés de fleurettes, tout au long d'un chaotique chemin dont on ne sait jamais si, à chaque pas que l'on fait, l'on va s'enfoncer jusqu'au cou dans quelque ornière...

    ... Les "çuvulusus", les "soft'pensants"... Me font penser à des toutous bien élevés (ou plus exactement "bien dressés") qui, se rencontrant, se hument réciproquement le trou de bale... Et se délectent mutuellement de leurs "analsexfragrances"...

    Mais les toutous, un peu plus tard, cheminant de conserve, se mordent le nez entre eux pour un bout de pâté dans une gamelle...

    Ou se mettent à furieusement aboyer contre celui d'entre eux qui fait une drôle et inhabituelle pirouette ; ou encore à l'adresse de l'un d'autre d'entre eux, un cagneux, un trois pattes, un oeil battu, un sans niche sans gamelle, un que la nature a pas gâté, un qui peut pas se défendre... Afin qu'il dégage vite fait du milieu du chemin... Alors que hier, à celui qui fait la drôle de pirouette ou à celui que la nature a pas trop gâté, les mêmes autres toutous lui avaient "civilement" humé le trou de bale...

     

  • Droits des femmes (et autres droits en général)

    ... Dans mon esprit (dans ma tête) j'en étais encore à "la journée de la femme" (c'était l'ancien vocable en effet, que l'on utilisait : "la journée de la femme" )... Je n'avais pas "topé" que l'on dit désormais "la journée internationale des DROITS de la femme" ...

    J'aimais mieux "la journée de la femme" ...

    En matière de "droits" je me méfie de ce qu'on entend et qu'on définit en tant que "droits" (droits de l'Homme et donc "droits de l'humain" )...

    Le droit de faire n'importe quoi au nom de... ? Le droit de revendiquer n'importe quoi au nom de... ? Si c'est cela, le droit, eh bien je n'y souscrit point, à ce "droit" !

    Nous sommes dans une civilisation dévoyée qui se crispe sur des droits, sur des principes,

    lesquels droits d'ailleurs, sont bafoués par cette civilisation dévoyée : le fait le plus patent étant l'inégalité des salaires entre les femmes et les hommes dans bon nombre d'emplois en entreprise...

    Je déplore aussi cette tolérance érigée en "grand principe moral" se fondant sur un soit-disant "respect de l'autre" et sur des "arrangements de convenance et de compatibilité " dont on constate le résultat désastreux : des fanatiques de toutes espèces de "minorités arrogantes et agressives" auxquels on laisse la liberté de manifester, la liberté de se constituer en associations, la liberté de "coloniser" des quartiers ou des zones urbaines... Le pire étant cette culture de la mixité sociale qui, en pratique ne donne que le résultat contraire à celui attendu ou espéré !

    A bas les sectaires, à bas les fous de dieu, à bas les défilés des fêlés et des fêlées toutes griffes sorties, à bas les donneurs de leçons de morale, à bas les crispés, à bas ce plus grand ennemour du monde qui n'est autre que l'apparence de l'amour pire encore que l'indifférence !

     

  • "Il ne manquait plus que ça" !

         "Il ne manquait plus que ça !"... Le Parti Socialiste qui faisait tout de même partie depuis 1971 congès d'Epinay, du "paysage politique Français"... Avec "tout ce qu'il y a de plus légal, de plus sérieux, de plus honorable question règles et chartes et organisation en principe démocratique et sans taches et magouilles (tout cela bien sûr en apparence et comme avec Label)... Comme tous les partis légaux officiels et reconnus droite et gauche extrême droite et extrême gauche... Le Parti Socialiste a surévalué à la primaire du 22 janvier 2017 le nombre de votants.

    En effet la Haute Autorité du Parti annonce dimanche soir 22 janvier "entre 1,5 et 2 millions de votants" ; le lendemain on annonce "en vérité" 1,6 million de votants... rectifié 1,4 par un ou deux grands quotidiens nationaux (ce qui semble "plus proche de la réalité il faut dire)...

    Mais la "vérité des vérités" au final, c'est... 1, 24 million de votants, pour autant que l'on soit encore tout à fait sûr de ce chiffre...

    En définitive, la "haute autorité", 48h après, soit hier le 25 janvier, annonce 1,65 million de votants... (Rien n'est vraiment clair)...

    Moralité dans cette affaire, c'est que la participation (nombre de votants) à ce premier tour de la primaire de la Gauche, en proportion du nombre d'inscrits en France sur les listes électorales (44 millions de personnes), est tout à fait dérisoire, et ne valide absolument pas la candidature du vainqueur (Benoît Hamon ou Manuel Valls) à la présidence de la république pour le 1er tour fin avril 2017...

    Déjà pour la primaire de la droite, 4 millions de votants ce n'était pas comme on l'a dit "si faramineux que cela" (tout juste "normal")... alors pensez, 1,24 pour qu'apparaisse Hamon et Valls au 1er tour de la primaire de la Gauche, c'est tout bonnement "ridicule" !

    Comment des gens qui pourtant ne sont pas des imbéciles, dans les hautes sphères du PS, ont-ils pu ainsi, croire qu'en annonçant un taux de participation proche de 2 millions et en faisant tout pour que ce soit crédible... que la vérité n'éclaterait pas au grand jour ?

    Ubuesque! Surréaliste! Irresponsable!

    ... Et, pour "arranger les choses" ne voilà-t-il pas que l'on apprend – par le Canard Enchaîné- que François Fillon aurait employé sa femme (plus de 5000 euro/mois) mais qui n'aurait pas été vue travaillant effectivement, d'où la suspicion d'un "emploi fictif"... ("Boule puante" ou pas... Toujours est-il que le doute est semé)...

    ... Pour changer de sujet (mais à bien réfléchir on est bel et bien dans le même ordre de sujet)... Il y avait mardi 24 janvier sur France 2 à 21h "Cash Investigation", sur la razzia sur le bois, et sur la réalité de tous ces grands labels censés garantir ceci/cela, que ce soit pour le bois ou tout autre produit : tous ces labels c'est du pipeau, de la frime, de la poudre aux yeux, du mensonge. C'est purement effrayant, et ce reportage de Cash Investigation c'est bien la réalité de la manière dont le monde fonctionne, du haut en bas des échelles sociales (bien sûr ça commence par le haut)... Le problème c'est qu'en 1901 on était 1 milliard et demi d'humains sur Terre, et qu'en 2017 on est 7 milliards... Et que du bois y'en a partout dans tout notre environnement quotidien jusque dans les emballages de ce qu'on bouffe et boit...

    On veut quasiment tous une "belle Terre avec développement durable, où on respecte ceci/cela, où il faut des tas de labels de garantie, de morale, d'éthique"... Derrière tous ces labels il y a des ingénieurs, des chercheurs, tout un salariat, toute une information, toute une logistique... En somme toute une crédibilité tout un sérieux tout un irréprochable toute une police... MAIS TOUT CELA C'EST UNE VASTE HYPOCRISIE ! Et dans cette horreur, par ce "crime orchestré planifié contre l'Humanité" des milliers de gens meurent chaque jour quelque part sur cette planète (surtout en Indonésie, Afrique, Amérique du Sud, Asie du Sud Est, enfin, partout où il y a des ressources à exploiter)... Je vous garantis que tout cela, ça finira très mal un beau jour, peut-être bien avant les années 50 de ce siècle ! ... Autant dire que si "nos jours sont comptés" -à tous que nous sommes- ... Les jours des assassins et des voleurs sont aussi comptés...

    Merde! C'est Chrétien, c'est Musulman, c'est croyant, tout ça ?

    Pourris, vendus, irresponsables, assassins, foutriquets, génocideurs, ou au "moins pire -mais pire quand même" complices ! Tous ces grands de ce monde, tous ces G8/G20/cop 21, ces chefs d'état ces millardaires ces actionnaires ces labelliseurs ces orchestreurs ces décideurs... Et tous leurs séides, leurs complices avec les intellectuels, les donneurs de leçons de morale, les idéologues les religieux et encore même quelques artistes et personnages charismatiques qui, mine de rien, adhèrent à la pensée iniquo-unique mondialisée labellisée libérale consomojetable poubelles déchets nucléaires consommation de masse toxico prédatrice dictatorisée Troumpique Poutinique Erdoganique ou social libérale à la Macron ou à la Hollande ou la Valls ! Avec la soit disant médecine des laboratoires pharmaceutiques Sanofi et compagnie et leurs pilules qui font crever les gens et font naître des gosses rachitiques ou infirmes...

     

     

  • Angélismes et hypocrisies

          Que l'on arrête "d'angéliser" (en gros d'élever des monuments de louanges et de vénération voire de sacralisation) à la gloire, en hommage, à tel ou tel écrivain, auteur, artiste, penseur, philosophe, personnage charismatique... Parce qu'il est en face de son public, envers ses proches, effectivement et réellement irréprochable, exemplaire par son comportement, et d'autant plus encore qu'il a (ou qu'il aurait) du génie, du talent...

    Comme je disais (et écrivais) une fois : "nous sommes tous chacun de nous des êtres ordinaires, en ce sens qu'il y a en nous en dépit de ce qui n'est point ordinaire -et qui procèderait effectivement d'une essence- , en dépit de ce qu'il y a d'unique, d'émouvant, d'exceptionnel en nous... Du banal, du vulgaire, voire de l'inacceptable..."

    Nous avons tous en nous de... "l'inordinaire" (un "inordinaire" susceptible effectivement d'être "angélisé")... Mais assumer ouvertement et résolument son "ordinarité", c'est à dire ce qu'il a de banal, de vulgaire, d'inacceptable, de si peu "valorisant" en soi ; c'est prendre le risque de rater les trois ou quatre petites marches par lesquelles on accède au Podium... Un risque que peu d'entre nous prennent.

    ... Il faut en finir avec toutes ces hypocrisies qui puent la crevette sexe sale ou la mayonnaise éventée, crevette ou mayonnaise que l'on absorbe comme si c'était du "caviar pour tous" ; il faut en finir avec tous ces "angélismes de bon ton et de bon teint", avec tous ces "cocktails de salons" où l'on se congratule par devant et s'égratigne par derrière...

    Il faut en finir avec tous ces "vases sacrés" qui ne sont là en fait, que pour qu'on mette cent balles dans le dada pour que ça branle deux minutes...

    Il faut en finir avec ces "cultes de soi", avec ces affèteries, ces effets de mode, ces révolutions que l'on prétend faire avec "ce qu'on a dans les tripes" (alors même qu'on n'a rien dans les tripes)...

    Soit dit en passant jamais/jamais on se cague sur son propre système, jamais/jamais on se botte son propre cul et encore moins devant tout le monde... C'est à peine si on arrive à faire de "l'autodérision" pour arriver à prouver "qu'on n'est pas dans les clous" !

    Il y a tout le temps ces connes de trois marches pour monter sur le podium, ces marches qu'on veut pas rater quand par "miracle" y'a quelqu'un qui te poussote un peu !

    ... Je suis persuadé que, parmi les scandalisés et les ulcérés de ce qui est exprimé de telle manière en particulier et dans l'humour le plus crasse qui soit ; il y en a -plus qu'on ne l'imagine- qui, au fond d'eux-mêmes, si ce qui est exprimé ainsi devait être acté, et serait acté sans que rien ne s'y oppose... seraient les premiers en définitive, à "trouver normal" que cela se fasse ainsi...

    Car ces scandalisés et ces ulcérés ne le sont, scandalisés et ulcérés, QUE pour "se mettre dans les clous" par rapport à une pensée dominante, par rapport à un "sens convenu (et aseptisé) du monde".

    Ces scandalisés, ces ulcérés là, avec leur air à ne pas y toucher, leur soit-disante morale, leurs soit-disantes valeurs et principes auxquels ils déclarent souscrire, ce sont ceux-là qui crient "haro sur le baudet" quand le baudet "dérape"...

    Comme je disais, il ne faut surtout pas rater les trois ou quatre marches par lesquelles on accède au podium, et cela d'autant plus que, "par miracle" et contre toute attente interminable et incertaine quant au résultat espéré, quelqu'un enfin te poussote jusqu'au plus près des trois ou quatre marches...

    Alors, que ne ferait-on pas, que ne dirait-on pas, que ne montrerait-on pas de soi, de "plus convenable et de plus crédible possible", pour pouvoir mettre le pied déjà, sur la première des trois ou quatre marches menant au podium ?

    ... Une autre attitude, au contraire, et qui a "le vent en poupe" (peut-être encore davantage) consiste en une démolition systématique et organisée et médiatisée, de tel ou tel personnage, écrivain, artiste, humoriste... parce qu'il "ose dire certaines vérités" et parce que le succès qu'il a auprès d'un public, contrevient à un mode de pensée dominant...

    Démolition ou angélisme, on ne "voit que ça", bien bardé de toutes les hypocrisies assorties, de toutes les crispations, de tous les fanatismes, de toutes les modes, de tous les engouements et désengouements tout aussi assortis... Et, au bout de l'allée centrale, la grande scène avec ses marches de chaque côté... Et tout au long de l'allée en bordure des rangées de fauteuils, les strapontins... Et au fond de la salle, ceux qui sont debout derrière des têtes plus hautes et mieux placées... Et enfin, ne l'oublions pas, ceux qui sont dehors n'ayant pu entrer... et que d'ailleurs on ne fait pas entrer...