pass sanitaire

  • Incohérence

    … Pourquoi l’obligation vaccinale aux soignants, médecins, infirmiers, personnels hospitaliers, responsables et exécutants des professions médicales… MAIS pas aux gendarmes, aux forces de l’ordre, aux personnes détenant autorité et pouvoir de contrôle ?

    Il y a bien là, une incohérence ! C’est tout à fait aberrant, absurde !

    Qui, détenant quelque autorité ou pouvoir de contrôle que ce soit, lisant ma question, peut me répondre ?

    Et d’autre part, “moins incohérent” si l’on veut mais absurde quand même : à quoi sert le pass sanitaire si dans les lieux où il est obligatoire, et donc là où n’entrent que des vaccinés et des non infectés, il faut “en plus” de la contrainte d’avoir à présenter le pass, porter un masque quand même ?

    Pourquoi? Pour “protéger” d’éventuels non vaccinés qui ont présenté un test négatif datant d’avant-hier mais peuvent tout de même être infectés depuis à peine quelques heures ? Donc, porter un masque dans des lieux où il a fallu présenter le pass, ça serait “un acte de solidarité et de responsabilité” à l’égard de possibles infectés non détectés ?

    Je regrette de le dire, mais je ne me sens “aucunement solidaire” de ces 2 ou 3 personnes en tel lieu de pass, qui ont pu entrer avec un test négatif d’avant-hier et pouvant être infectées depuis peu de temps…

     

    … Un décret paru au Journal Officiel le dimanche 8 août 2021 : “en contrepartie de l’obligation du pass sanitaire dans les cinémas, théâtres, musées, médiathèques, salles de sport et de spectacles, cafés, restaurants… Le port du masque en ces lieux soumis au pass sanitaire, ne sera plus obligatoire.

    En revanche le port du masque reste obligatoire dans les cars, les trains et les avions, dans les transports publics ; et les préfets selon la situation locale pourront rétablir le port du masque obligatoire dans les lieux publics, les marchés, s’ils le jugent nécessaire en fonction du nombre de contaminations locales.

     

  • Rappel - et à faire suivre - ce n'est pas une "fake new"

    … Le médecin qui, au Journal de 20h sur France 2, répond aux questions posées par des téléspectateurs sur le covid, la vaccination… A formellement déclaré que les personnes vaccinées (complètement vaccinées) qui, éventuellement, seraient porteuses du virus par contact avec un infecté (personnes porteuses asymptomatiques ou développant une forme bénigne de la maladie), ne transmettent alors qu’un virus très affaibli, très peu contaminant, dont la nocivité est réduite de 88%….

    D’autre part, Olivier Véran déclare au JT de 20h de France 2, qu’il ne sera plus demandé à un vacciné de se soumettre à une période d’isolement en cas de détection cas contact ; et que le port du masque ne sera plus obligatoire dans les lieux où l’on n’accède qu’avec un pass sanitaire…

    La déclaration de ce médecin intervenant au JT de 20h, au sujet de la réduction de 88% de la transmission par un vacciné à un non vacciné, corrobore ce qu’annonce la Haute Autorité de la Santé Publique ainsi que ce que disent bon nombre de scientifiques épidémiologistes sur ce sujet de la transmission du virus par un vacciné éventuellement porteur, à un non vacciné : soit 80% réduit…

    Que l’on arrête avec ces restrictions du genre “tous logés à la même enseigne, vaccinés ou non”

    Certaines municipalités “vont trop loin” dans ce que l’on appelle “le principe de précaution” ! Par exemple en allant jusqu’à imposer le masque en des lieux où n’ont accès que les détenteurs de pass sanitaire…

    Bon, c’est vrai on peut dire : 80% d’un “variant delta” qui lui est 60% plus agressif, ça fait tout de même 20% costaud qu’il reste… (on peut dire ça…) … De toute manière, les inconditionnels des contraintes et restrictions, les “ultra sages ultra prudents”, ils se fonderont toujours sur ces fameux 20% nocifs !

     

     

  • Le pass sanitaire, ce qui va s'ensuivre ...

    … Je viens d’avoir pris connaissance des mesures prises au sujet du pass sanitaire, en les lisant dans le détail, dans un article d’information de presse sur le Net…

    J’avais bien écouté l’allocution d’Emmanuel Macron, la veille au soir, au JT de 20h, mais je n’avais pas encore pris conscience de ce que cela représentait, comme difficultés de mise en application, et surtout aux conséquences que cela allait avoir, dans les rapports sociaux au quotidien…

     

    En effet, demander un cafetier ou à un restaurateur, de vérifier si un habitué du lieu (ou un client de passage) a bien son “pass” ou son certificat de non contagion, va obligatoirement générer des tensions très fortes, contribuer à créer des incidents fâcheux (ce qui se comprend et bien que l’on puisse le regretter)…

     

    Que l’on soit pour ou contre, cela pose un gros problème. Car nous ne sommes pas, loin s’en faut, dans une “configuration de relation sociale” apaisée, prétendument fondée sur la responsabilisation de chacun, mais au contraire dans un “climat social très dégradé, de violence, d’agression, de déni, de contestation, où chacun, au nom d’une liberté qu’il revendique, veut “faire ce qu’il veut” sans devoir en payer le prix, accepter les conséquences…

     

    Un contexte de société, de vécu, de situation, de relation à l’autre, où les uns autant que les autres ont leur raison ne pouvant être comme ça, éclipsée, déconsidérée, rejetée, balayée d’un revers de main ou d’un coup de poing asséné !

     

    Si je comprends bien, ou “crois comprendre”, c’est que le cafetier en cause qui ne vérifiera pas, s’il est avéré que son client contracte le covid dans son établissement, par un autre client infecté (avec le “traçage”, la technologie investigatrice) il risque de se voir retirer sa licence, ou de devoir fermer son établissement.

    Alors le choix pour ce cafetier : soit se faire tabasser par un récalcitrant, soit contre son gré, se faire flic ou vigile (ce qu’il n’est pas).

    Dramatique ! Absurde!

     

    Sans compter d’un côté tous les “résolument anti” (opposés aux mesures covid et aux dispositions contraignantes) tous aussi engagés les uns que les autres dans le déni et dans la violence) – se retranchant dans des idéologies , des visions et des cultures aussi obscures que divisantes, entre autres les complotistes et quelques “intellectuels” de divers courants ou tendance “de mode” et assez éloignés en général du quotidien de vie des gens du commun… Et d’un autre côté, tous les “résolument pour” qui eux aussi se retranchent dans leurs idéologies , leurs visions et leurs cultures se fondant sur une connaissance scientifique dont ils méconnaissent les limites ; avec eux aussi, leurs “intellectuels donneurs de leçons de morale”, souvent complices des décideurs et des dominants, de l’Ordre du monde et de la pensée consensuelle…

     

    Et pour l’accès aux centres commerciaux, je pense à des Leclerc, des Intermarchés, des Carrefour Market, des Bricorama, des Leroy Merlin, des Décathlon, etc. … Sans ce pass sanitaire – de 15 jours d’ancienneté obligatoire – ou sans certificat datant de moins de 48h, de non contagion, comment et où les gens ne pouvant entrer dans les centres commerciaux, pourront-ils se ravitailler, autrement que dans les petits commerces de proximité (pour autant qu’ils existent là où l’on vit) ?

    Il faudra donc, pour les non vaccinés (réfractaires ou hésitants ou pas convaincus) se résoudre tous les deux jours à se faire tester, et à chaque fois, obtenir le QR code ou le document justificatif…

    Un vrai “parcours du combattant” ! Nous allons tout droit, en plein dans la discrimination, dans le contrôle – pour ne pas dire le “flicage” systématique, dans une vie quotidienne d’état d’urgence, de relation pourrie, de suspicion…

     

    Et tout ça, parce qu’en “haut lieu” selon une idéologie à la mode un peu “bizounours sur les bords”, l’on a misé sur le “comportement respons able des gens”, sur leur compréhension, sur leur capacité de réflexion, etc… Une “idéologie” qui est à cent lieues de la réalité brute !… Mais qu’il faut, réalité oblige finalement, revoir à la baisse et donc se résoudre à ces mesures contraignantes jugées par certains “liberticides” (ils n’ont pas tort, mais pas raison non plus, ces “certains”)…

     

    Il eut mieux valu tant qu’à faire, imposer au plus tôt possible la vaccination obligatoire pour tous, comme on le faisait dans les années 1950 contre certaines maladies infectieuses (dont la tuberculose, la variole, la diphtérie et le tétanos entre autres)…

    Seulement voilà : dans les années 1950, il n’y avait pas les lobbies mondialisés de l’industrie pharmaceutique, il avait moins de milliardaires et d’actionnaires, on était question société, civilisation, mode de vie, mœurs, habitudes de consommation, culture, éducation, rapport de relation, dans un tout autre monde que celui d’aujourd’hui (pas forcément meilleur, bien sûr, et même très dur, inconfortable, difficile à vivre, on ne peut le nier!)… En somme nous étions et ce jusque vers l’an 2000, dans un monde qui, bien qu’ayant évolué question technologie et mode de vie, avait toujours été le même depuis les grandes civilisations de l’Antiquité…

     

     

  • Une question au sujet du "pass sanitaire"

    … Dans un lieu public où n’ont pu pénétrer que les vaccinés et les non vaccinés prouvant qu’ils ne sont pas infectés, où a donc disparu, pour les personnes présentes en ce lieu, le risque d’être contaminé ; pourquoi faudrait-il quand même porter un masque ?

    Si quand même oui, cela fait donc deux contraintes : celle de devoir présenter un pass sanitaire ou une preuve de non infection… ET celle de devoir porter un masque.

    Ah, ce masque! On n’en sortira jamais !