populations

  • Des décès en masse autour de 2045/2050 qui ne seront pas compensés par les naissances

    … La population Française est actuellement en ce début d’année 2024, de 68,5 millions d’habitants.

    18 millions de personnes en France sont âgées de plus de 60 ans en 2024.

    Sur ces 18 millions de personnes en 2024, en tenant compte de celles de ces personnes qui décèderont avant d’avoir atteint l’âge de 80 ans, au moins 6 millions d’entre elles seront âgées, de 2035 à 2045, de plus de 80 ans…

    Ce sont donc, autour de 2045, soit durant une période de quelques années, que vont disparaître 6 millions de personnes.

     

    Le nombre de naissances en France, 622 000 en 2023 ayant tendance à diminuer d’une année sur l’autre, il est probable qu’autour de 2045, le nombre de naissances soit d’environ 500 000 par an.

    Donc, à partir de 2045 en France, les naissances seront loin de compenser les décès en masse de 6 millions de personnes de plus de 80 ans, et en conséquence la population de la France au-delà de 2045/2050, pourrait perdre quelque 5 millions d’habitants, s’établissant autour de 63/64 millions…

     

    Plus la proportion de personnes âgées de plus de 80 ans augmente, et plus alors, les décès en masse s’accroissent, ce qui va être nettement le cas dans les années 2045/2050.

    Si le financement des pensions de retraite pose un réel problème dans les années 2030/2040, il n’en est plus un, de problème au-delà de 2045, du fait de l’accroissement des décès en masse de personnes très âgées.

     

    En règle générale dans le monde pour de nombreux pays (dont les pays Européens mais aussi la Russie, la Chine, le Japon…), plus il y a de « vieux » avec moins d’enfants par couple, et plus ces pays perdent de leur population… *

     

    Et reste le problème de la fécondité (en particulier masculine en raison d’une perte en un demi siècle, de près de la moitié des gamètes présents dans le sperme)…

    L’on voit mal comment – selon les projections statistiques actuelles qui affirment qu’en 2100 il y aurait dix milliards d’humains – la population mondiale pourrait encore augmenter et atteindre dix milliards à la fin du 21ème siècle !

     

    Seules – et cela pour les 20 ans qui viennent – les populations Africaines conservent un taux de fécondité impliquant que les hommes ont dans leur sperme suffisamment de gamètes… Donc à partir de 2045, les populations Africaines elles aussi, verront naître moins d’enfants…

     

     

  • Un "éventail" de populations ...

    Il existe à mon avis deux “types” de population, en France et dans la plupart des pays du monde, dans nos sociétés :

    -L’une que je définirais comme étant un “éventail de normalité” dont on trouverait à un bout des populations “difficiles” ou plus ou moins marginalisées, et à l’autre bout des populations “soumises” ou indifférentes ou obéissantes et ne “posant pas de problèmes particuliers, et au milieu si l’on peut dire, des populations réactives, intervenantes, s’exprimant et ayant divers comportements et habitudes posant parfois “quelques problèmes” mais parfaitement ou en grande partie intégrées dans la société, une société multi culturelle, une société “standard” en somme, et dans laquelle la violence exprimée ou agissante demeure « acceptable » (ou concevable)…

    Dans ce que je définis comme étant cet “éventail de normalité” l’on y trouve en fait –et de fait – une grande, très grande majorité de personnes, dans une caractéristique commune à tous, à savoir une violence comportementale plus ou moins modérée, ou quasiment inexistante, souvent une “passivité” ou une indifférence ou encore une adhésion tacite à ce qui fait référence, à un mode de pensée, à un “consensus” en somme…

     

    - L’autre que je définirais comme étant un “éventail” de populations dangereuses comprenant pour la plupart de ces populations, des personnes très violentes, très agressives, se livrant à des activités illégales, du racket, du vol, toutes sortes de trafics et vivant d’expédients, qui n’ont aucun sens de quelque “valeur” que ce soit... Ou encore des personnes faisant partie de groupes violents, contestataires systématiques, troublant l’ordre public... Toutes ces populations ayant pour caractéristique commune un refus de toute valeur morale et de toute réflexion, souvent incultes et irrespectueuses...

    Dans cet “éventail” de populations dangereuses, l’on n’y trouve en fait – et de fait – qu’ une minorité de gens (mais une minorité qui « fait parler d’elle » et qui inquiète, dont on subit les méfaits, les exactions, les violences, les incivilités)…

     

    Ce qui est inquiétant – à mon sens – selon ce que j’observe, c’est que depuis 2 ou 3 ans, l’ « éventail » de populations  et d’individus dangereux d’une très grande violence, tend à s’élargir et apparaître un peu partout y compris dans des zones jusqu’alors relativement épargnées… C’est « une tendance »…

    Cela est-il une réalité ou bien est-ce que cela vient d’un regard que je porterais ? D’une vision « plutôt pessimiste » ?

     

    Les forces de l’ordre on le constate n’interviennent plus dans ces zones qualifiées de « non droit » où règnent des bandes organisées, des clans, des « caïds » qui imposent leur loi, celle du plus fort…

    Les associations d’aide humanitaire, sportives, culturelles, n’ont quasiment aucun pouvoir dans ces zones, tout dialogue semble impossible, voué à l’échec du fait de la radicalisation et des crispations exacerbées de ces populations impénétrables, ingérables…