préférence nationale

… Le concept de « préférence nationale » est incompatible avec les fondements mêmes de la République Française…

Et l’équivalent de « préférence nationale » du temps de l’ Ancien Régime avant 1789, depuis le règne de François Ier au 16ème siècle, était incompatible avec les fondements même de la monarchie -ou de la Royauté – puisque toute personne, même née hors de France mais vivant dans le Royaume de France, depuis le règne de François Ier jusqu’ en 1789, était « sujet du Roi de France »…

Durant cette période en effet, du milieu du 16ème siècle jusqu’ en 1789, de nombreuses personnes nées hors du Royaume de France, sont venues s’ installer dans les régions, dans les cités du Royaume de France, afin d’y vivre et d’ y travailler, exercer un métier, une profession ( et pour finir ont été enterrées en un lieu – un cimetière ou une fosse commune en terre de France)… Toutes ces personnes donc, vivant en France étaient « sujet du Roi de France »…

… En revanche il est un concept qui semble avoir perdu l’essentiel de sa signification depuis 1969 année où le Général de Gaulle a cessé d’ être le premier président de la 5ème république, c’est celui de l’ éducation – constante, active, engagée – à la citoyenneté Française, qui a été, de 1958 à 1969, appliqué comme il se doit mais ne l’ a plus été ou s’ est délité peu à peu, depuis 1969…

Or, l’ éducation constante, active et engagée à la citoyenneté Française, s’adresse et doit s’ appliquer à toute personne vivant sur le sol Français, que cette personne soit née en France de parents venus d’hors de France, ou installée en France et y vivant, venue d’hors de France…

Au concept de « préférence nationale » doit être substitué le concept d’ « éducation citoyenne »…

Certes, le concept d’ « éducation citoyenne » n’éduquera pas les irréductibles (qui sont en vérité ou en réalité minoritaires – et que les  médias , les réseaux sociaux et les opinions publiques rendent majoritaires)… Mais, menée efficacement et organisée, et constante ; l’éducation citoyenne « porte ses fruits » ( de la même manière qu’un cerisier dont on prend soin produit en majorité des fruits de bonne qualité, et en minorité quelques fruits gâtés ou non mûris )…