terrorisme
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Les musulmans premières victimes du terrorisme islamiste
- Par guy sembic
- Le 05/12/2023
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… Ce type, Armand Rajabpour – Miyandoab – pour prendre le temps d’écrire entièrement son nom ; un franco – iranien musulman radicalisé, qui a tué au couteau et au marteau un touriste et blessé deux autres personnes au pont de Bir Hakeim pas loin de la tour Eiffel samedi 2 décembre 2023… « Vous avez vu la tête qu’il a ? Est-ce la tête d’un être humain ?
Neutralisé par une arme paralysante à impulsions électriques (taser) utilisée par la police… Que n’eût-il pas été purement et simplement, abattu d’une balle dans la tête à bout portant sans la moindre hésitation et le moindre « état d’âme » !
Il a dit avant d’être neutralisé : « j’en ai marre de voir mourir des musulmans », alors même que toutes les organisations terroristes islamistes dont Daesh, Boko Haram, Al Qaïda, le Hamas, le Hezbollah… Ont en priorité pour « cibles » les musulmans et donc font mourir des musulmans, bien plus que les Israéliens et que d’autres que les Israéliens en font mourir des musulmans !
D’ailleurs les musulmans dans leur « grande majorité silencieuse de simples croyants » - que l’on ne voit jamais en manifestations de milliers de personnes pour protester et pour dénoncer les auteurs d’attentats, qui, pour 70 % d’entre eux, soutiennent le Hamas en Cisjordanie, dans les pays arabes et dans les pays de l’Union Européenne où ils résident… Sont les « pourvoyeurs » de leurs prochains morts par assassinat (et le savent et ne font rien pour l’empêcher)… Et les morts musulmans seront toujours plus nombreux que les morts non musulmans !
Si - « on peut rêver parce que dans l’imaginaire tout est possible » - l’humanité toute entière décidait en congrès ou assemblée internationale de représentants, délégués et mandatés ; de bannir les guerres et le commerce des armes, ne serait-ce déjà, que pour éviter destructions de lieux d’habitation et de fréquentation publique, éviter que ne meurent des civils dont des femmes et des enfants… Il n’en demeurerait pas moins en dépit d’un tel traité de bannissement des guerres, que les organisations terroristes liées à des fanatismes religieux (l’on pense en l’occurrence à l’islamisme radical djihadiste), refuseraient de bannir les guerres, n’envoyant aucun « ambassadeur » à ce congrès ou assemblée internationale… Et que bon nombre de pays (dont certains « donneurs de leçons de morale et d’humanisme ») pratiquerait le commerce des armes avec des organisations terroristes, sans vergogne, et dont le bénéfice réalisé par la vente d’armes profiterait aux personnages les plus privilégiés de ces pays…
Le bannissement des guerres ne sera jamais une réalité, demeurera dans le rêve et dans l’imaginaire, du fait de l’existence « inéradicable » des organisations terroristes, mafieuses, liées aux fanatismes religieux – ou sous couvert de la religion, tout cela dans le but avéré d’élimination d’une partie de l’humanité, et de prédation au profit des dominants et décideurs de ces organisations (lesquels dominants et décideurs se présentant aux populations maltraitées et agressées, comme des sauveurs et des alternatives à des dominances par eux contestées et combattues)…
Et en définitive et tragique réalité, comment combattre les organisations terroristes liées aux fanatismes religieux, sans faire de « victimes collatérales », sans guerre menée avec des troupes armées, impliquant des bombardements et des destructions ?
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Le terrorisme exercé par la nature blessée
- Par guy sembic
- Le 22/08/2022
- Dans Chroniques et Marmelades diverses
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… Il y a le terrorisme sous toutes ses formes, qui détruit des vies humaines par des attentats perpétrés dans des lieux publics fréquentés, et dont les auteurs sont des hommes et des femmes…
Mais il y a aussi une toute autre forme de terrorisme qui n’est pas d’origine humaine et que l’on peut qualifier de terrorisme bien qu’il ne s’agisse pas là, de terrorisme au sens de terrorisme…
C’est le « terrorisme » exercé dans toute sa violence, n’ayant pas de cible particulière, sinon le genre humain dans son ensemble ainsi que d’ailleurs toutes les espèces vivantes, le « terrorisme » exercé par la nature blessée, qui se manifeste par les événements violents, destructeurs, que sont les tempêtes, cyclones, typhons, orages de grêle, inondations, incendies de forêts, vagues de chaleurs extrêmes, sécheresses prolongées, phénomènes climatiques dangereux et dévastateurs, devenant plus fréquents, plus nombreux en maints endroits de notre planète, souvent localisés et en déplacements d’une région à l’autre… Et ce « terrorisme » là n’a en face de lui ni police ni armée ni politique ni gouvernement ni ordre établi ni technologie « de pointe » investigatrice, de surveillance et de « cadrage » pour le combattre… C’est donc un « terrorisme » toujours gagnant et qui, tout comme le terrorisme dont les acteurs sont des hommes et des femmes perpétrant des attentats, détruit des vies humaines sans aucune distinction…
Et il cogne, il frappe, il détruit, il fait des dégâts considérables, il tue, il brûle, il saccage, il noie, il déracine et couche des arbres, il enlève des toitures, il rend les maisons inhabitables, il met à mal l’économie d’une région ou même d’un pays, ce « terrorisme » là, de la nature blessée qui réagit aux coups et au mal que l’activité humaine lui font, notamment depuis 200 ans surtout et plus précisément depuis les 40 dernières années…
L’on ne peut – se serait absurde – parler de « vengeance » de la nature blessée… Bien que, dans une certaine mesure, ce soit « comme une vengeance »…
L’on ne peut non plus « se révolter » autrement que de dire tous en chœur « c’est affreux ce qui nous arrive » !
Quel regard porter sur ce « terrorisme » là ? Sinon, tel celui que je porte, un regard de « témoin de son temps » qui, au vu et au su de l’actualité qui « défile » sur les écrans de télévision, d’ordinateurs et de smartphones, ou en colonnes à la Une des journaux, ou même encore « plus que parfois » au vrai, « de visu » dans la tourmente même… Une sorte – si je puis dire- de regard « d’avocat de la partie civile » lors d’un procès d’ Assises ?
Les victimes, c’est à dire les morts, les sinistrés, les blessés, sont-elles toutes comme on dit « d’innocentes victimes » ? Que dire de ces « victimes » que peuvent être – et que sont pour certaines d’entre elles – (par exemple) des automobilistes rageurs « klaxomerdeurs » dans les rond- points ; des gens aux comportements incivils et agressifs, d’un égoïsme crasse, d’irresponsables pollueurs de bords de route, etc. (la liste est interminable)… Ces victimes là faut-il les plaindre lorsque leurs bagnoles sont emportées dans des torrents en furie, lorsque la grêle saccage leur toiture ou leur jardin… ?
Oui « c’est affreux ce qui nous arrive » …
Oui « c’est révoltant tous ces lobbies et tous ces dominants, ces gouvernants, cette loi du profit et de l’argent et du Marché »…
C’est révoltant mais personne ne se révolte autrement qu’en s’exprimant sur les réseaux sociaux et en participant à quelques « manifs » de ci de là…
C’est révoltant mais les modes, les mots d’ordre, les slogans, des pneus qui brûlent à l’entrée des dépôts d’essence… ça fait pas la Révolution !
Oui « c’est affreux, c’est injuste »…
Alors la réaction c’est le terrorisme qu’exerce la nature blessée… D’une « redoutable efficacité » et qui se substitue à la Justice des Hommes… Et qui, oui, tout comme le régime de la Terreur en 1794, « dans le lot », élimine quelques « vrais salauds » !
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L'étape ultime -et la plus dangereuse- de l'insécurité liée au terrorisme
- Par guy sembic
- Le 04/10/2017
- Dans Articles
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... Il se pratique dans notre pays, une "culture de la précaution de langage" à mon sens -et c'est ainsi que le ressentent des millions de gens en France- aussi abjecte, aussi révoltante, que la réalité de la violence, des attentats... Elle est même, elle se révèle, cette "culture de précaution de langage" (cette manière de ne pas nommer les choses ou de douter) en partie responsable de l'insécurité ambiante dans la mesure où elle laisse se développer une idéologie radicaliste et meurtrière aux côtés ou en parallèle d'organisations déclarées, puisqu'elle incite des individus isolés à commettre des actes de terrorisme... Ces individus, en général, ne sont pas connus de la Justice, ou ont été repertoriés en tant que délinquants ordinaires pour des délits dits "mineurs"... Inconnus qu'ils sont, de la Justice ou seulement repertoriés en tant que délinquants mineurs, ces individus sont d'autant plus dangereux qu'ils se radicalisent eux-mêmes en un temps très court (donc sans préparation, sans progression par étapes, et sans être directement influencés par d'autres individus d'un groupe) et qu'ils peuvent avec un couteau, ou au volant d'une voiture en fonçant sur des gens, semer la terreur dans un lieu public...
Ainsi le tueur isolé, qui n'a pas une kalachnikov ou une ceinture d'explosifs sur lui, qui n'est pas un spécialiste d'engin explosif ; peut-il agir à tout moment n'importe où, par n'importe quel moyen à sa portée...
C'est à ce stade d'insécurité qui est celui du risque existant en permanence désormais, que nous en sommes arrivés, ce stade étant l'étape ultime (et la plus dangereuse) d'un processus qui a commencé à se mettre en place il y a une quarantaine d'années et n'a cessé de franchir les étapes successives...
... "La République est ce lieu magique qui permet à des gens de vivre dans l'intensité de leur religion" ... Dixit Emmanuel Macron, le 1er octobre 2016...
Ce qui me gêne dans le vocable " l'intensité de leur religion", c'est que forcément -cela me paraît évident- que "l'intensité de leur religion" évoque ce qu'il y a d'excessif, de radical, d'extrême, dans la religion, dans une religion quelle qu'elle soit... Et dans ce cas, selon le propos d'Emmanuel Macron, le "lieu magique" qui est la République, devient un lieu de violence, de peur, de discorde, d'insécurité, de division entre les citoyens... N'ayant plus en conséquence la moindre "magie" et qui devient à vrai dire un enfer !
... Accepter de vivre dans une société (et avec une politique) qui conçoit de "vivre l'intensité de sa religion" (l'intensité avec tout ce qu'implique cette intensité)... Ce n'est guère "préférable" à devoir vivre dans une banlieue ou un quartier dit "difficile".