vélo

  • Vélos d'homme

    … Tous avec barre entre le guidon et la selle… Très bien oui, en effet, pour les hommes… Et les femmes en pantalon…

    MAIS… Quand t’arrives à 70 ans passés et, qu’en « levant haut la patte » par dessus la barre, tu accroches la selle, ne pouvant plus lever assez haut… Patatras, te voilà par terre et le vélo avec ! (et, « y’a des chances », des bleus et des bosses voire « plus sérieux »)… Alors, no-no-non, après 70 balais, plus de barre entre le guidon et la selle mais plutôt « col de cygne » !

     

     

  • Vélo électrique

    … Le vélo électrique grandes distances de type circuit ou périple de 3000 km à travers la France (réseau de pistes et voies vertes et cyclables), par étapes journalières d’une centaine de kilomètres… Avec la batterie à recharger la nuit en hébergement, cela peut s’avérer parfois assez problématique du fait, surtout de la nature (du relief) du parcours journalier, notamment si, sur les 100, 120 ou 150 km, il en est pour largement plus de la moitié en côtes et montées, auquel cas la capacité de la batterie (80/90 km) est insuffisante.

    Et hors de question de s’arrêter le soir dans un camping zéro étoile non équipé de prises électriques, ou de « dormir à la belle étoile »…

    D’autre part, pour se rendre en voiture en un lieu de vacances avec un vélo électrique (ou deux) accrochés sur un porte vélo, vu le poids du vélo (minimum 22 kg sans la batterie) il faut des supports solides et donc un porte vélo assez balaise et donc d’un prix élevé (rien à voir avec le porte vélo à fixement par sangles Feu Vert à 70 euros )…

    Et quel type de vélo électrique choisir ?

    Il est certain qu’avec le moteur électrique au pédalier (au lieu de la roue arrière) c’est bien mieux (mais plus onéreux à l’achat)…

    Et qu’un vélo de type citadin (sans amortisseur), avec moteur électrique à la roue arrière, et d’un prix de 700 à 1200 euro… Bonjour le confort assis sur la selle pendant 3 ou 4 h, sur une piste, une petite route ou un chemin carrossable au revêtement très rugueux, irrégulier, jalonné de crevasses, caillouteux par endroits ! C’est en effet, « assez tape - cul » !

    Un « bon vélo électrique » c’est pas pour les « petits budgets » ! … À moins, pour le prix d’une croisière de deux semaines en méditérranée que l’on ne fera pas, ou pour ce que coûterait un voyage en Thailande ou à Bali en touropérator, l’on achète un vélo électrique tout terrain avec moteur électrique au pédalier, six ou sept rapports d’assistance et amortisseur (de 3000 à 7000 euro ce type de vélo)…

    Vu le nombre de vélos à assistance électrique, dont une bonne partie de ces vélos autrement que de premier prix c’est à dire de 1800 à 4000 euros, qui ont achetés en France durant les deux dernières années… Il est assez probable qu’un certain nombre d’acheteurs de vélos électriques, ont du renoncer (notamment du fait de la pandémie de covid et de l’hésitation à voyager en train et avion) à une croisière en méditérranée, ou à un séjour de vacances loisirs en touropérator en quelque paradis tropical, l’argent ayant servi en conséquence à l’achat d’un vélo électrique chez Moustache par exemple…

     

     

  • Errances littératoques, suite ...

    ... De petits anchois sucrés dans le panier des poux dragueurs de mantes religieuses, entourent de grosses olives violettes enduites d'huile de palme.

    De gros bérets jaunes piqués de plumes de geai dans la baignoire bleue de la reine des pissenlits homologués, flottent avant de sombrer, emplis de billes cassées, au fond de la baignoire...

    Ciseaux, couteaux, bobos, caca pot, yaourts à la noix de cajou, fanfreluches féminines soldées et coccyx cassés...

    Pété dans le seau à champagne, roté dans le bidet et bu toute la bouteille de white spirit.

    A bas les anchois sucrés sacralisés et les barbarismes préfacés !

    Une vieille rombière aux mille sortilèges, un canard gigotant entre ses cuisses, sirote lentement son jus de trique, secoue silencieusement ses fesses molles.

    Il pleut des frites sans moutarde ni ketchup, et plouf, le veau à l’eau, et, vloff, cent kilos de fraises pourries dans le plumard, et splasch, une caille écrasée dans un chausson de singe savant, et, fichtre -mais ça on s'y attendait- quarante mégots sous une couche de suppositoires à moitié fondus, de gélules molles et de pilules roses...

    Et trois enfoirés sourd-muets dans un champ de queues de boucs, mille pastèques éclatées sur le tapis bleu des culs-de-jatte en caleçon long le dos appuyé contre des rebords de banquette dans la salle d'attente de Médiapart...

    Le beau p’tit orgue électrique arrosé de sirop d’orgeat, les quatre fers en l’air....

    Eh, coccyx cassé, T’as pas vu passer un buffle devant le tas de tuiles émiettées du grand basané ?

    Eh, hardie coccinelle, est-ce que les ploucs aux chapeaux pointus ont ramé les petits pois et flytoxé les doryphores ?

    Eh, rombière en tutu, si l'homme descend du singe, pourquoi la vache ne descendrait-elle pas de Pythagore ?

    Il n’y avait rien d’essentiel à ajouter après les discours véreux des fossiles pensants et les discus philorasoir…

    Et la Conne rit, et la Nonne hennit, et le baudet s’accroupit.

    Pipi de mal en pis assis sur un tabouret dans l'étable pour pas aller jusqu'à la rigole dehors, le robinet miro visant le pis de la vache, tant pis mouillant l’épi tombé du pantalon...

    Saugrenu, le grand basané offre nu aux incongrues son ventre mou, ses loques à terre et son béret posé entre deux tags géants tracés sur le trottoir.

    Sot mont de piété culturelle, intelligent trou -de bale plutôt que de Vittel, frais minet/sec toutou, bébé grenouille dans un bocal de cervelles d’agnelles Chiliennes, pépé grenaille et sa pétoire en trompette…

    Bikini sur la plage oui, bique dans le salon nenni.

    Veni vidi vici, pénis vidéo whisky rateau vélo business man rat de feu vêle veau buse inepte manpower horrible cul vérolé hors cible cuvée rollerball papier pape hier papy-y est (sur le pot) hôtel terminus terminal en panne bip be bop kaho kapout… Tout est faussé, court circuité, TILT, merde, adieu la valise !

     

  • Un vélo dans la tête

    Bicycl10

         J'avais un vélo dans la tête en ce printemps 2016, qui, en ma cervelle fumante comme un pot au feu bouillant, nostalgiait de la lueur de ses rayons lumineux d'un lointain passé, sans doute du temps où ce vélo tel Moïse sur les eaux roulait sur les canaux.

    Je n'étais pas Moïse certes, mais juché sur ce vélo, j'insultais un gigantesque robot dont le visage horloge m'affligeait, dont l'haleine fumée pestilentielle sortie de sa bouche métallique, s'enrageait à m'encrasser tout entier et la tête et l'âme et toutes ces halles de visages et de souvenirs, que j'avais traversées, solitaire sous les feuillages au dessus des canaux.

    Alors l'énigme, la question sans réponse, le pourquoi de mon existence et de mon errance sur ce vélo roulant sur les eaux... me parurent vains, incertains, absurdes...