victimes civiles guerres conflits
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Journée mondiale de cessation de toutes activités, et de silence ...
- Par guy sembic
- Le 16/05/2024
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… De manifestation et d’opposition à tous les conflits armés et guerres en cours dans le monde qui font des milliers de victimes civiles hommes femmes enfants sous les bombardements et dans les combats sur les lignes de front et dans les rues des villes investies, qui déplacent des populations fuyantes abandonnant leurs biens et leurs habitations, qui concentrent les populations réfugiées dans des camps…
Et contre également tout ce que subissent des personnes, des populations, en matière de répressions policières, d’ internement, de tortures infligées et d’assassinats, dans les pays où la liberté de la presse, la liberté d’expression n’existe pas, sous des régimes autoritaires de dictature… Notamment pour les guerres et conflits en Ukraine, à Gaza, Israël, au Yemen, en Syrie et au Soudan ; et pour les opposants aux régimes autoritaires, en Russie, en Chine, en Iran, et partout ailleurs où n’existe pas de liberté d’expression…
Et contre, encore, les violences faites aux femmes et aux enfants partout dans le monde y compris dans les pays qui se targuent de démocratie, d’égalité, de civilisation, de droits de l’Homme et de morale et de religion…
Une journée mondiale de mobilisation où tout s’arrêterait : les commerces, les entreprises, les transports, les services, les écoles, les administrations, où toute activité cesserait à l’exception des soins d’urgence dans les hôpitaux et centres médicaux, les secours aux personnes dans les accidents survenant…
Avec des rassemblements dans le silence sur les places publiques, et donc sans paroles, dans l’ immobilité, sans mouvement, sans fanion, drapeau, étendard ou quelque insigne, pancarte, que ce soit…
Juste une immense banderole où serait inscrit en une seule ligne ; Ukraine Gaza Israël Palestine Yémen Soudan Syrie Ouïghours Nigeria et femmes enfants hommes victimes des guerres, des violences, des persécutions, des déportations, des tortures, des enfermements et des assassinats…
Est-ce que, dans les pays de dictature où les manifestations sont interdites, si des milliers de personnes parvenaient à se rassembler – dans le silence, dans l’immobilité, sans violence… Est-ce que les polices, est-ce que les forces armées au service du Pouvoir en place, ouvriraient le feu sur des gens rassemblés dans le silence et sans aucune violence ou signe de violence ?
Puisse un jour une telle journée mondiale de mobilisation où toute activité cesserait, exister, être une réalité et ainsi, par son retentissement, peser sur l’Ordre dominant du monde ?