Mercosur, une calamité pour le consommateur et pour le producteur local, Français, ou d’un pays de l’Union Européenne

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  • Le 16/11/2024 à 08:14
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… En France l’indication de l’origine des produits alimentaires est obligatoire pour la viande bovine, porcine, ovine, caprine et volaille…

Sur l’emballage doit apparaître nettement le lieu de naissance de l’animal, le lieu d’élevage et le lieu d’abattage de l’animal…

 

Dans le cadre de l’accord de Libre échange avec les pays hors Europe, Mercosur ; il est certain que le « bœuf Argentin – ou Américain USA, Canada- et que le « poulet brésilien » et d’une manière générale toutes les viandes bovines, porcines, ovines, caprines, et volaille provenant d’Amérique, d’Asie ou d’Afrique, proviennent d’animaux d’élevage nourris sans principe de précaution pour la sécurité alimentaire…

 

Toutes ces viandes importées – sur ordre des patrons, PDG, directeurs de Grandes Surfaces Leclerc, Intermarché, Carrefour et Discount… Soit disant pour vendre moins cher aux consommateurs, reviennent effectivement, notamment avec des « promos » bien moins cher aux consommateurs à « petits budgets » qui achètent en quantité afin de mettre dans les congélateurs…

 

Et ce sont ces mêmes viandes conditionnées en barquettes sous emballage, ou vendues « en gros » par des fournisseurs intermédiaires, que l’on retrouve dans les cantines des écoles, collèges, lycées ; dans les restaurants à « menu du jour », dans les collectivités assurant des repas, dans les maisons de retraite, les EHPAD et les hôpitaux…

 

L’on ne peut que comprendre et soutenir la lutte, la colère, les manifestations d’agriculteurs et d’éleveurs en France et dans l’Union Européenne, contre cet accord « scélérat » - quasi « assassin » du Mercosur !

 

Aussi, l’on doit s’attendre à voir survenir des manifestants en colère, dans des mouvements organisés, investir des Grandes Surfaces, se saisir des produits venus d’Amérique, d’Asie et d’Afrique notamment les viandes et charcuteries en emballages, les retirer brutalement des rayons et les jeter en vrac, en tas, sur les parkings à l’extérieur… Et que toute cette « barbaque scélérate » demeure exposée à l’air libre, au vu des consommateurs – dont certains seraient « médusés » (et peut-être outrés) mais d’autres, applaudiraient !

 

Nous Français, avec nos produits – alimentaires et d’équipements – de très bonne qualité et donc « forcément assez onéreux », dans cet accord de Libre Echange à l’exportation – Mercosur – nous sommes perdants, car, dans les pays de Mercosur, il est certain que seuls, les acheteurs « aisés » peuvent se procurer nos produits de qualité !

 

En revanche ce qu’exportent vers la France les pays du Mercosur, du fait de leur bas coût, est acheté par nos « pauvres » qui sont légions !

De toute évidence, pour prendre un exemple, dans un restaurant « sélect » de Buenos Aires, ce n’est pas le « péon du coin » qui va se payer une entrecôte bordelaise ou charolaise !

Et en France, le « smicard » du coin, lui, quand il va à LIDL ou à Aldi ou dans un Discount, il prend des côtes de porc à 1,90 euro ou du poulet brésilien étiquetté « conditionné en Union Européenne » à 6,50 euro le kg !

Voilà la « vérité » sur le Mercosur !

 

 

 

Mercosur

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