De quel côté, la violence ? ...

La violence, la vraie, l’absolue, l’exécrable, la souveraine dans ses actes ses paroles ses comportements, et qui est celle du monde telle qu’on la subit de la part de ses nombreux acteurs du haut en bas des échelles sociales… N’est jamais, jamais/jamais, du côté des penseurs même les plus sévères et les plus critiques d’entre eux ; ni du côté des poètes et des artistes même les plus noirs, les plus anarchistes et plus plus déjantés d’entre eux…

La violence, la vraie, l’absolue, l’exécrable, celle qui pourrit la vie, détruit, lamine, brûle, déboulonne, casse, abîme, prédate, extorque, recrute… Est du côté des imbéciles, des crétins, des crispés, des fanatiques, des jaloux, des “ôte-toi de là que j’m’y mette” et de ces “parangons de vertus qui pratiquent une morale coup de bâton”…

Et le pire, c’est quand les imbéciles, les crétins, les crispés, les fanatiques, font de certains d’entre eux des martyrs de la société et que s’installe dans des esprits enténébrés et conditionnés, une ignoble piété…

Les penseurs et les poètes, quand ils expriment leur désarroi, ils sont dans la colère, pas dans la violence…

Ne pas confondre violence et colère…


 

 

colère violence

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