Mais peut-être que l'enfer n'est pas éternel
- Par guy sembic
- Le 16/09/2021 à 07:04
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… Dans un conte que j’écrivis jadis, un petit garçon doté d’un pouvoir exceptionnel, avait la capacité en pressant un caillou entre ses doigts, de déclencher ce que j’appelais dans mon histoire, le “Dragorek’…
Le “Dragorek” est une force considérable de destruction, bien supérieure à celle d’une explosion atomique, pouvant être comparée à un événement cosmique anéantissant une planète toute entière, instantanément…
Je disais à la fin de mon histoire, que finalement, le petit garçon qui détenait ce pouvoir là, un tel pouvoir d’anéantissement, avait décidé de ne pas l’utiliser… Et qu’en somme il existait un autre pouvoir, encore plus puissant… Mais incertain quant à ses conséquences s’il était exercé…
Le pouvoir du pardon… Le plus difficile à acquérir, de tous les pouvoirs… À cause de ce que ce pouvoir a d’aléatoire…
Le petit garçon disait “ce monde est abject, il ne mérite que d’être détruit”… Il disait aussi : “si je ne fais pas le “dragorek”, est-ce que c’est par compassion, par mansuétude, est-ce qu’il y a quelque chose de “moral” en cela?”
Le “Dragorek”, et donc l’anéantissement définitif, c’est une “solution”… Mais à vrai dire, une porte qui se ferme pour toujours…
Si la porte demeure ouverte, elle montre à perte de vue, un enfer… Mais peut-être que l’enfer n’est pas éternel…
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